Les soins pharmaceutiques
Une étude au service des urgences de l’Hôpital Saint François d’Assise (QUEBEC).
Juillet - Septembre 2007.
Thèse présentée et soutenue le 13 mars 2009 en vue de l'obtention du diplôme d'Etat de Docteur en Pharmacie
Laurence CHERY
Pharmacien attaché
Centre Hospitalier de Remiremont
88200 Vosges (Lorraine)
On parle des propositions jalma sur l'observance dans le Quotidien du Pharmac...Daniel Szeftel
Des milliers d’hospitalisations et de décès pourraient être évités. Cinq propositions pour renforcer l’observance. Pour accéder à la publication complète: http://tinyurl.com/qexsgvv
La certification des hôpitaux et ses implications pour l'anesthésie réanimati...Réseau Pro Santé
D’abord appelée « accréditation des établissements de santé », la version 1 (V1) portait sur la mise en place de la démarche qualité dans les hôpitaux et le respect de la réglementation ; au travers des vigilances, elle ébauchait déjà la notion de gestion des risques.
Dans sa version 2 ou « certification », elle associe les médecins à la démarche de certification grâce à l’évaluation des pratiques professionnelles (EPP) et renforce la notion de gestion des risques en coordonnant les vigilances et en imposant les revues morbidité mortalité (RMM) aux services de réanimation.
Enfin dans la dernière version de la certification des établissements de santé, la V 2010 renforce encore l’amélioration de la qualité des soins en demandant le développement des EPP dans l’ensemble des secteurs d’activité. La gestion des risques n’est pas oubliée non plus puisqu’elle devient un des éléments du système de pilotage des établissements, elle fait partie des pratiques exigibles prioritaires (PEP).
Au nombre de 13, ces PEP sont introduites dans la certification, leur niveau d’exigence est majoré et toutes les PEP sont investiguées par les Experts Visiteurs (EV) lors des visites des établissements. Les RMM sont étendues à tous les secteurs de chirurgie et d’anesthésie.
L’autre nouvel élément de la V2010 est le suivi d’indicateurs et la tenue du dossier d’anesthésie fait partie des indicateurs nationaux généralisés suivis par la HAS.
reseauprosante.fr
Evolution de la pharmacie hospitalière durant ces dernières decennies avec l'exemple du centre hospitalier de Remiremont en terme d'activités et d'effectifs.
L'analyse de prescription, de la pharmacie clinique aux soins pharmaceutiques.Antarès
L'analyse de prescription, de la pharmacie clinique aux soins pharmaceutiques. La pharmacie clinique n'est pas l'aboutissement professionnel, il y a encore plus haut ! Au cours du stage Antares, Michel Juste a présenté ce que pourrait être le métier du pharmacien de l'an 2050. Juin 2004
Les soins pharmaceutiques
Une étude au service des urgences de l’Hôpital Saint François d’Assise (QUEBEC).
Juillet - Septembre 2007.
Thèse présentée et soutenue le 13 mars 2009 en vue de l'obtention du diplôme d'Etat de Docteur en Pharmacie
Laurence CHERY
Pharmacien attaché
Centre Hospitalier de Remiremont
88200 Vosges (Lorraine)
On parle des propositions jalma sur l'observance dans le Quotidien du Pharmac...Daniel Szeftel
Des milliers d’hospitalisations et de décès pourraient être évités. Cinq propositions pour renforcer l’observance. Pour accéder à la publication complète: http://tinyurl.com/qexsgvv
La certification des hôpitaux et ses implications pour l'anesthésie réanimati...Réseau Pro Santé
D’abord appelée « accréditation des établissements de santé », la version 1 (V1) portait sur la mise en place de la démarche qualité dans les hôpitaux et le respect de la réglementation ; au travers des vigilances, elle ébauchait déjà la notion de gestion des risques.
Dans sa version 2 ou « certification », elle associe les médecins à la démarche de certification grâce à l’évaluation des pratiques professionnelles (EPP) et renforce la notion de gestion des risques en coordonnant les vigilances et en imposant les revues morbidité mortalité (RMM) aux services de réanimation.
Enfin dans la dernière version de la certification des établissements de santé, la V 2010 renforce encore l’amélioration de la qualité des soins en demandant le développement des EPP dans l’ensemble des secteurs d’activité. La gestion des risques n’est pas oubliée non plus puisqu’elle devient un des éléments du système de pilotage des établissements, elle fait partie des pratiques exigibles prioritaires (PEP).
Au nombre de 13, ces PEP sont introduites dans la certification, leur niveau d’exigence est majoré et toutes les PEP sont investiguées par les Experts Visiteurs (EV) lors des visites des établissements. Les RMM sont étendues à tous les secteurs de chirurgie et d’anesthésie.
L’autre nouvel élément de la V2010 est le suivi d’indicateurs et la tenue du dossier d’anesthésie fait partie des indicateurs nationaux généralisés suivis par la HAS.
reseauprosante.fr
Evolution de la pharmacie hospitalière durant ces dernières decennies avec l'exemple du centre hospitalier de Remiremont en terme d'activités et d'effectifs.
L'analyse de prescription, de la pharmacie clinique aux soins pharmaceutiques.Antarès
L'analyse de prescription, de la pharmacie clinique aux soins pharmaceutiques. La pharmacie clinique n'est pas l'aboutissement professionnel, il y a encore plus haut ! Au cours du stage Antares, Michel Juste a présenté ce que pourrait être le métier du pharmacien de l'an 2050. Juin 2004
Diaporama de la journée d'information et d'échanges évaluation des actes prof...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 26 janvier 2018 une journée d’information portant sur l'évaluation des actes professionnels pour les Conseils nationaux professionnels, sociétés savantes et centres nationaux de référence.
Revue "Observance" n°21 hors-série Mars 2016
Parution du rapport Touraine-Robinet et des décrets d’application de la loi portant réforme de la biologie médicale
A la suite des auditions de l’ensemble des acteurs de la biologie médicale (la FNSIP-BM ayant été auditionnée en juillet dernier à l’Assemblée Nationale), les députés MM. Jean-Louis Touraine et Arnaud Robinet, ont présenté leur « rapport d’information sur la mise en application de la loi n° 2013-442 du 30 mai 2013 portant réforme de la biologie médicale » à la commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale, présidée par Mme Catherine Lemorton le 26 janvier dernier, commission qui a déposé ce rapport. Il vous est possible de retrouver le texte dans son intégralité sur le site de l’Assemblée Nationale.
Ce rapport intervient dans un contexte d’impatience de la part des biologistes et des directeurs d’ARS vis-à-vis de la parution des textes d’application de la loi portant réforme de la biologie médicale, car bien que l’objectif principal du renforcement de la médicalisation de la biologie soit bien compris et soutenu par la profession, les outils de lutte contre la financiarisation de notre secteur établis par la loi ne peuvent être mis en application faute de textes.
http://www.reseauprosante.fr/
Une heureuse initiative publique en termes d'accès aux indicateurs de qualité dans les établissements
A noter que certaines complémentaires santé avait devancé l'appel pour répondre aux besoins légitimes de leurs assurés
L'animation numérique du Territoire en Cotentin
Présentation de sensibilisation aux outils numériques à destination des partenaires des Offices de Tourisme du Cotentin.
e.tourisme en Cotentin
Présentation du programme 2014
Diaporama de la journée d'information et d'échanges évaluation des actes prof...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 26 janvier 2018 une journée d’information portant sur l'évaluation des actes professionnels pour les Conseils nationaux professionnels, sociétés savantes et centres nationaux de référence.
Revue "Observance" n°21 hors-série Mars 2016
Parution du rapport Touraine-Robinet et des décrets d’application de la loi portant réforme de la biologie médicale
A la suite des auditions de l’ensemble des acteurs de la biologie médicale (la FNSIP-BM ayant été auditionnée en juillet dernier à l’Assemblée Nationale), les députés MM. Jean-Louis Touraine et Arnaud Robinet, ont présenté leur « rapport d’information sur la mise en application de la loi n° 2013-442 du 30 mai 2013 portant réforme de la biologie médicale » à la commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale, présidée par Mme Catherine Lemorton le 26 janvier dernier, commission qui a déposé ce rapport. Il vous est possible de retrouver le texte dans son intégralité sur le site de l’Assemblée Nationale.
Ce rapport intervient dans un contexte d’impatience de la part des biologistes et des directeurs d’ARS vis-à-vis de la parution des textes d’application de la loi portant réforme de la biologie médicale, car bien que l’objectif principal du renforcement de la médicalisation de la biologie soit bien compris et soutenu par la profession, les outils de lutte contre la financiarisation de notre secteur établis par la loi ne peuvent être mis en application faute de textes.
http://www.reseauprosante.fr/
Une heureuse initiative publique en termes d'accès aux indicateurs de qualité dans les établissements
A noter que certaines complémentaires santé avait devancé l'appel pour répondre aux besoins légitimes de leurs assurés
L'animation numérique du Territoire en Cotentin
Présentation de sensibilisation aux outils numériques à destination des partenaires des Offices de Tourisme du Cotentin.
e.tourisme en Cotentin
Présentation du programme 2014
Voici la synthèse de la publication jalma sur les enjeux de l’observance en France : au moins 12000 décès et plus de 100 000 hospitalisations évitables, 1 milliard d’euros d’économies potentielles. 5 propositions financières et organisationnelles pour changer la donne. Pour accéder à la publication complète: http://tinyurl.com/qexsgvv
La règle selon laquelle l'absence de réponse de l'administration à une demande implique son acceptation s'accompagne de nouvelles restrictions qui impactent directement les chirurgiens-dentistes, notamment dans le cadre des demandes d'autorisation d'exercice.
Afin de pérenniser un système de bon niveau offrant un bon
rapport qualité-coût et permettant aux Français d’accéder
aux innovations technologiques et thérapeutiques, le MEDEF propose 5 réformes à conduire en urgence pour améliorer la qualité et l’efficience du système de santé.
La révolution numérique et le parcours de santé Alain Tassy
La loi de modernisation du système de santé de janvier 2016 ouvre la porte à une véritable révolution en proposant de rebâtir tout le système autour du parcours de santé afin de mettre le patient au centre du dispositif et de favoriser la prévention.
Pour être mise en œuvre, cette nouvelle approche nécessite une évolution des pratiques et une coordination à distance de tous les professionnels de la santé. L’utilisation des technologies numériques représente alors une solution car elles permettent une coordination efficace. Le dossier médical partagé est absolument nécessaire et son appropriation par les professionnels est vital.
L’introduction du parcours de santé représente pour le monde médical une innovation organisationnelle comme le vivent de nombreux autres domaines du monde économique confrontés à la transformation digitale. On peut alors s’étonner que les projets gérés par les ARS soient lancés uniquement pour répondre à un problème identifié localement sans prendre en compte le passage à l’échelle nationale. On peut aussi s’étonner de l’absence de structure et d’un chef de projet responsables de la mise en place du parcours de santé.
Rapport de l'Inspection Générale des Affaires sociales n°2005-22, présentant les "CONCLUSIONS DU GROUPE DE TRAVAIL SUR LA PRISE EN CHARGE DES MEDICAMENTS DANS LES MAISONS DE RETRAITE MEDICALISEES".
[Avis du HCAAM] Lors de sa séance plénière du 25 octobre 2018, le Haut Conseil pour l’avenir de l’assurance maladie a adopté l’avis relatif à « La prévention dans le système de soins : organisation, territoires et financement – à partir de l’exemple de l’obésité ».
En savoir plus :
https://strategie.gouv.fr/publications/prevention-systeme-de-soins
Similaire à On parle des propositions jalma sur l'observance dans l'AEF (20)
Conseil et vaccination du voyageur en pharmacieIpsos France
Valneva a fait appel à l'expertise d'Ipsos Healthcare pour réaliser une étude sur les comportements et les attentes des Français en matière de santé dans le cadre d'un voyage prévu hors de l'Union Européenne dans les 12 prochains mois. Les résultats révèlent le rôle essentiel des pharmaciens dans la préparation sanitaire des voyages à l'international.
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
On parle des propositions jalma sur l'observance dans l'AEF
1. La mauvaise observance des traitements
médicamenteux coûterait annuellement 5
milliards d'euros (Cabinet Jalma)
Par Grégoire Faney
Selon un nouveau rapport de Jalma (1), présenté le 19 juin 2014, la mauvaise observance des
traitements médicamenteux générerait en France chaque année près de 475 000 hospitalisations
évitables et un coût supplémentaire de 5 milliards d’euros pour le système de santé (2). "C’est un
phénomène global", avance Daniel Szeftel, consultant associé du cabinet, estimant que de 30 % à
50 % des patients seraient concernés par cette pratique consistant à ne pas respecter la posologie
prescrite pour un traitement. Au total, 1 médicament sur 8 prescrits ne serait pas pris de manière
effective, ce qui représenterait un "gâchis" de 2,5 milliards d’euros. "Il faut changer les
comportements", conclut Daniel Szeftel. Le cabinet Jalma émet 5 propositions pour améliorer
cette situation, en suggérant par exemple que le prix des médicaments tienne compte du degré
d’observance par les patients.
---
475 000 hospitalisations et 12 000 décès pourraient être évités en France chaque année, selon le
cabinet Jalma, s’il y avait une meilleure observance des prescriptions médicales. Se basant sur
une analyse d' études, pour la plupart internationales, transposées au cas français (lire encadré), le
cabinet Jalma fait ainsi de la non-observance un "phénomène global" qui engendrerait un surcoût
annuel de 5 milliards d’euros pour le système de santé français, à la fois du fait de non-
consommation des médicaments prescrits (un "gâchis" de 2,5 milliards d’euros) et du fait des
conséquences provoquées par un mauvais suivi du traitement. Le cabinet de conseils formule
cinq propositions pour contribuer à "changer les comportements" et réduire ainsi les effets de la
non-observance.
Jalma propose tout d’abord de créer un nouvel observatoire de l’observance pour mener des
études de suivi sur les prescriptions et pouvoir, en fonction des résultats obtenus, donner les
éléments nécessaires à la constitution de campagnes de communication en santé publique, afin de
mieux sensibiliser les patients. En second lieu, le cabinet propose de renforcer et d’étendre le rôle
de conseil du pharmacien, "second professionnel interagissant le plus avec les Français, derrière
le médecin", pour améliorer "l’observance médicamenteuse". Cette extension du rôle de conseil
nécessiterait toutefois un besoin de formation spécifique ainsi qu’éventuellement une
rémunération à la performance complémentaire, "opportune" d’après le cabinet pour "inciter le
pharmacien à la qualité de l’accompagnement". Ce rôle de conseil pourrait aussi être renforcé par
la mise en place de dispositifs d’e-prescriptions, qui permettrait d’avoir "une vision globale du
traitement, de la prescription à la délivrance" et de "renforcer la coordination entre praticiens".
Jalma souhaiterait également "assouplir" le cadre réglementaire permettant la mise en œuvre
d’actions de soutien à l’observance des traitements. Le cabinet suggère une simplification du
cadre légale des programmes d’accompagnement pour permettre des approches "plus légères,
2. favorisant une logique industrielle (visant plus d’une dizaine de milliers de patients),
l’accompagnement à distance par téléphone au lieu du face-à-face et l’utilisation des nouvelles
technologies (e-learning, télésurveillance)". Le cadre réglementaire devrait également être
assoupli pour permettre plus facilement une participation des industriels de santé "afin de
réellement les encourager à s’investir et financer de tels services". Jalma demande notamment
qu’un industriel de santé puisse lui-même définir le cahier des charges lors de la mise en place
d’un nouveau service.
INTÉGRER L’OBSERVANCE COMME CRITÈRE DU PRIX DES MÉDICAMENTS
L’intégration de l’observance comme critère pour la fixation du prix des médicaments constitue
la quatrième proposition du cabinet Jalma : "nous proposons de rétablir l’observance comme un
critère majeur d’amélioration du service médical rendu dans la doctrine de la HAS, lorsque le
niveau d’évidence est important dès la primo-évaluation ou sur la base d’études en vie réelle lors
de la réinscription." Le cabinet estime que cette mesure "permettrait de dépasser la prise en
compte de l’efficacité théorique du médicament pour mieux valoriser son bon usage […]". Dans
le même ordre d’idée, le cabinet recommande le développement de procédures de fixation
conditionnelle du prix des traitements" en fonction de critères objectifs, pertinents et mesurables
(comme l’observance)". Cette nouvelle politique de fixation des prix "responsabiliserait" d’autant
plus les industriels de santé, qui contribueraient de plus à une meilleure observance des
prescriptions par le biais de leur association plus étroite aux programmes d’accompagnement et
d’éducation thérapeutique des patients.
Encadré :
Limites méthodologiques
L’étude présentée le 19 juin 2014 par les consultants de Jalma repose, sur l’analyse d’une série
d’études internationales portant sur des données liées à la non-observance. Des données
épidémiologiques (prévalence et incidence, taux de décès et hospitalisations corrélés à un
mauvais suivi des traitements, durée moyenne des séjours en hospitalisation par pathologies) sur
un "nombre limité de pathologies" (3) et des donnés économiques (coûts moyens des
hospitalisations), ont ainsi pu être rassemblées. Ces données ont ensuite été transposées à la
situation française, en s’appuyant sur les comptes par pathologies publiés par l’assurance maladie
et en focalisant l’analyse sur l’impact de la non-observance des traitements sur le taux de décès,
les hospitalisations et les surcoûts engendrés.
Le chiffre de 475 000 hospitalisations évitables, engendrées par une mauvaise observance des
traitements, est lui-même extrapolé à l’ensemble du secteur de la santé, à partir de ces données
limitées à un certain nombre de pathologies. Jalma prend donc garde d’ajouter que "les résultats
de cette étude sont donc nécessairement modestes" au regard de ces limites méthodologiques.
(1) cabinet conseil spécialisé en santé
(2) Les estimations du cabinet Jalma reposent sur un certains nombre d'études portant sur un
nombre limité de pathologies. Le chiffre de 475 000 hospitalisations et de 5 Md€ est avancé en
3. extrapolant ces estimations à l'ensemble de la sphère des pathologies cardiovasculaires,
psychiatriques et cancers.
(3) Les pathologies retenues dans l'analyse de jalma sont le diabète, l'infarctus du myocarde,
l'insuffisance cardiaque, l'hypertension, le VIH, le cancer du sein, la bronchopneumothérapie
chronique obstructive, et les maladies psychiatriques.