Une présentation du business de l'assurance pour débutant.
Risk assesment, assurance, premium, business model, finance, vous y verrez plus clair!
Visitez mon blog: http://www.cedric-annicette.info/blog
Etude européenne de la mise en place du tarif unisexe en assurance (Arrêt Test-Achats C-236/9 Gender Directive 2004/113/CE). Analyse détaillée en France, au Royaume-Uni, en Belgique et au Luxembourg. Etude des enjeux éthiques et statistique en assurance inhérents au passage au tarif unisexe. Elargissement de cette réflexion aux enjeux contemporains de digitalisation de l'économie, de big data, de protection de la vie privée et de demande croissante de personnalisation des consommateurs. Mécanisme et impact tarifaire de la mutualisation et de la solidarité en assurance.
En 2011, à l'occasion de ses 25 ans, Predica, la filiale d'assurances de personnes de Crédit Agricole Assurances, a édité un livre avec les témoignages de collaborateurs qui ont contribué à faire de cette compagnie l'un des leader du marché.
Une présentation du business de l'assurance pour débutant.
Risk assesment, assurance, premium, business model, finance, vous y verrez plus clair!
Visitez mon blog: http://www.cedric-annicette.info/blog
Etude européenne de la mise en place du tarif unisexe en assurance (Arrêt Test-Achats C-236/9 Gender Directive 2004/113/CE). Analyse détaillée en France, au Royaume-Uni, en Belgique et au Luxembourg. Etude des enjeux éthiques et statistique en assurance inhérents au passage au tarif unisexe. Elargissement de cette réflexion aux enjeux contemporains de digitalisation de l'économie, de big data, de protection de la vie privée et de demande croissante de personnalisation des consommateurs. Mécanisme et impact tarifaire de la mutualisation et de la solidarité en assurance.
En 2011, à l'occasion de ses 25 ans, Predica, la filiale d'assurances de personnes de Crédit Agricole Assurances, a édité un livre avec les témoignages de collaborateurs qui ont contribué à faire de cette compagnie l'un des leader du marché.
Banques et Assurances : Comment lutter avec une plus grande efficacite contre...BRIVA
Le poids des pertes financières dans ce domaine et les contraintes réglementaires font de la lutte
contre la fraude un problème incontournable à traiter.
En matière de lutte contre la fraude (Interne ou externe), les banques et les assurances sont
confrontées aux difficultés suivantes :
• Des solutions de détection parfois fragmentées.
• Un déficit de communication entre les experts sécurité, les Métiers et la technique.
• Des coûts d’investissement et de fonctionnement qui deviennent des postes financiers
importants.
• La nécessité de conserver une relation fluide et simple avec les clients tout en intégrant des
étapes de sécurité supplémentaires.
Article aoc insurance_broker_informations_entreprises_n°_167_janvier_février_...Olivier LE FAOUDER
AOC Insurance Broker : S’assurer au-delà des frontières - « Paru dans Informations Entreprise N°167, Janvier, Février et Mars 2018 ». 1/2
Les entreprises envoient des bataillons d’expatriés à la conquête de nouveaux marchés. Ils sont 50 millions
en 2017, 70 à l’horizon 2020. Selon les pays, les risques sanitaires et sécuritaires ne sont pas les mêmes, les conditions d’accès aux soins, leur qualité et leur prix non plus. Avant son départ, tout salarié missionné à
l’étranger se doit donc de se préoccuper de sa protection sociale. Car celle dont il bénéficie aujourd’hui ne passera pas forcément la frontière avec lui.
Assurance : comment négocier le virage des objets connectés ?Wavestone
Des transports à la santé en passant par l’habitation, les objets connectés trouvent leur application sur des marchés clés de l’assurance. Et si les opportunités qu'ils offrent sont nombreuses, les défis qu'elles impliquent le sont tout autant.
Formation Les principes généraux de l’assuranceActions-Finance
Actions-Finance propose la formation Les principes généraux de l’assurance
Cette formation en finance permet notamment de:
•Une progression avec l’apporte du diagnostic préformation.
•L’apport de techniques pour comprendre les mécanismes juridique de l’assurance.
•Un apport de connaissances sur l’environnement assurances.
Pour plus de renseignements sur la formation Les principes généraux de l’assurance, N’hésitez pas à nous contacter par téléphone au + 33 (0)1 47 20 37 30, ou par email sur contact@actions-finance.com
[FRANCE] Polices d'assurances en entreprises : les bonnes pratiques pour mait...LEYTON
Leyton, cabinet de conseil en amélioration de la performance financière, livre des conseils aux entreprises pour optimiser la gestion de leurs polices d'assurances.
Etude PwC sur l'assurance à l'ère du digital (mars 2015)PwC France
L'étude PwC « Optimisation de la qualité de service et de l’expérience client dans l’assurance à l’ère du digital », fournit des conseils pratiques aux dirigeants, notamment français.
Le scandale éclate le 18 septembre 2015. Ce jour-là, le monde entier apprend que Volkswagen a dissimulé la non-conformité de ses véhicules. La première sanction tombe quasi instantanément... à la Bourse : en 48 heures, le constructeur automobile perd 14 milliards d’euros de capitalisation boursière. L’image n’est pas ternie qu’auprès des actionnaires. Les clients, s’estimant lésés, montent eux aussi au créneau. « Aux États-Unis, une quarantaine de class actions [actions de groupe, NDLR] ont été lancées dans les jours qui ont suivi les premières révélations », observe Stéphane Choisez, avocat spécialisé en droit des assurances (lire interview p. 16). Côté opinion publique, la marque allemande est « cabossée » de toute part. Sur les réseaux sociaux, les internautes multiplient les sarcasmes, dénigrements, détournements de publicités...
La réputation, un actif immatériel de l’entreprise !
Banque : Comment lutter avec une plus grande efficacité contre la fraude ?BRIVA
Le poids des pertes financières dans ce domaine et les contraintes réglementaires font de la lutte contre la fraude un problème incontournable à traiter.
En matière de lutte contre la fraude (Interne ou externe), les établissements financiers sont confrontés aux difficultés suivantes :
> Des solutions de détection parfois fragmentées.
> Un déficit de communication entre les experts sécurité, les Métiers et la technique.
> Des coûts d’investissement et de fonctionnement qui deviennent des postes financiers importants.
> La nécessité de conserver une relation fluide et simple avec les clients tout en intégrant des étapes de sécurité supplémentaires.
1. Assurance Et Risk Management
Les sociétés d’assurance trouvent grand intérêt à réduire la probabilité d’occurrence des
sinistres par leur encouragement à la mise en œuvre de politiques de prévention des
risques auprès des Ménages (risques domestiques) et des Entreprises (risques
industriels).
"Enfin, il faut aussi considérer le rôle déterminant des assureurs pour la promotion et
l’amélioration des techniques de prévention. Même s’il cherche à maximiser son profit,
l’assureur préfère toujours recevoir une prime modeste, mais comportant une marge de
profit raisonnable compte tenu de la qualité du risque, plutôt que d’encaisser une forte
prime très probablement insuffisante vu la gravité du risque assuré. L’assureur a donc tout
intérêt à conseiller son client en matière de prévention et à l’inciter, par une réduction de
prime, à mettre en oeuvre les actions et investissements appropriés“ dixit Professeur
Patrick GOUGEON ESCP-EAP/ ESA Alger In "L’assurance au sein des pays
émergents : Les conditions d’une croissance équilibrée garante de la solvabilité"
Octobre 2005
Les assureurs de par le monde ont, de tout temps, investi dans la prévention :
•
•
Pour diminuer le nombre des accidents, par la sensibilisation
Pour faire diminuer la gravité et l’importance des sinistres (nombre de victimes,
blessés, handicapés, décès) et donc la contraction des coûts et des dépenses.
En procédant :
Au financement de coûteux programmes de réalisation de crash tests (voitures,
avions, etc.)
A la réalisation de test des équipements de sécurité
A l’introduction ou l’imposition de normes et/ou de mesures de sécurité.
Ces politiques de prévention ont pour objectif d’agir sur la réduction de la fréquence de
survenance des sinistres.
Qu’en est-il de la prévention et de la gestion des risques en Algérie ?
Le développement économique et social souhaité en Algérie au lendemain du
recouvrement de son indépendance et la course à l’industrialisation comme locomotive
pour y parvenir ont vu s’ériger de nombreux complexes industriels (GNL, raffineries,
cimenteries, usines, etc.) dont les fruits étaient porteurs d’espoirs d’indépendance et
d’autonomie (ou du moins de réduction de la dépendance vis-à-vis de l’étranger) mais,
aussi, de périls.
2. C’est dans la confusion, sur le tas et par l’action au quotidien que se sont organisées la
prévention et la gestion des risques en Algérie : chaque secteur d’activité ayant eu à subir
panne ou coup du sort a, par réaction, qui, par des mesures correctives qui, par des
mesures préventives à assurer la continuité de production et le maintien en activité des
installations aidé, en cela, par les recommandations faites par les experts étrangers lors
de visites de risques de sites à assurer ou à la suite de sinistres survenus.
La réparation et/ou la reconstitution de l’investissement (n’étant pas à la charge de l’Etat
mais prise en charge par les mécanismes de l’assurance) nécessitent des capacités
financières énormes et difficilement mobilisables localement. C’est pour cela qu’à
l’indemnisation, les assureurs préfèrent l’action en amont (par anticipation) par la mise en
oeuvre de politiques, appelées par les américains Risk management, à faire mener par
les porteurs de risques.
C’est le constat fait que dans notre pays l’expérience des uns ne profite pas aux autres et
l’absence de politiques concertées en matière de prévention et de gestion des risques qui
ont amené les pouvoirs publics à décider d’engager une réflexion en la matière en y
associant tous les acteurs susceptibles d’être impliqués (assurés, assureurs, réassureur
national, pouvoirs publics) et en confiant cette tâche au Conseil National des
Assurances (CNA).
.Dans le but d’une démarche concertée, les travaux qui y ont été entrepris, sous la forme
d’ateliers et de groupes de réflexions ont porté sur la définition d’un "programme
d’actions de soutien à la prévention et à la gestion des risques".
Cette initiative est en fait une synthèse des contributions émanant du marché (assureurs,
assurés, experts, pouvoirs publics) en matière de recommandations faites pour la
prévention et la gestion des risques qui menacent les patrimoines, les activités et l’intégrité
physique des personnes.
Ce document préconise opportunément et entre autres :
•
La création d’une structure permanente chargée de la prévention au niveau de
l’UAR et de chaque société d’assurance
•
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La création d’un organisme spécialisé en prévention
Une plus grande implication du réassureur national – CCR
L’application d’un tarif juste
Le développement d’un partenariat Assureurs Assurés
Le renforcement du rôle de conseil du courtier
Le recours à la certification
• Des systèmes
• Des produits
• Des personnes
3. Réparties en trois volets intitulés actions communes, communication et partenariat,
ces propositions portent sur :
1- la nécessité de créer une structure permanente chargée de la prévention au
sein de l’UAR qui constituera, à bon escient, le réceptacle de l’action commune
des assureurs et dont le rôle serait la coordination et l’animation de leur action
collective
Elle jouerait, ainsi, le rôle d’interface entre les assureurs et les autres parties
Impliquées dans la prévention
2- la nécessité de créer pareille structure au sein de chaque société d’assurance
afin de développer les bonnes pratiques en la matière
3- la création, au niveau marché, d’un organisme spécialisé en prévention
réunissant les assureurs et les spécialistes dans la prévention afin de réaliser les
tâches qui intéressent les assureurs et de répondre aux attentes des assurés :
•
•
•
•
•
•
actions de formation et de développement des compétences
inventaire des risques potentiels, création de bases de données et
cartographie des risques
développement d’instruments et de solutions de prévention
accompagnement des clients durant les processus de certification
participation à la politique de communication commune du secteur
etc.).
Il est à signaler que pour la constitution du capital social de cet organisme, il sera
fait appel à la contribution financière des assureurs et à celle de quelques grandes
sociétés industrielles et pétrolières, éventuellement.
Il est attendu que cet organisme soit un centre de profit et non un centre de coût. En
effet les prestations de service fournies au profit des assureurs et des assurés ainsi
que les formations dispensées seront rémunérées.
4- Une plus grande implication du réassureur national – CCR par l’instauration de
clauses spécifiques à même de favoriser la prévention telles que la participation
bénéficiaire, la commission à échelle, etc.
•
•
•
il attendu ainsi le développement des bonnes pratiques chez les cédantes
qui les répercuteront sur leurs clients
amélioration du résultat de la rétention nationale induit par les effets positifs
de la prévention
réduction des couts de réassurance et mobilisation de capacités financières
plus importantes sur le marché international grâce à la réalisation d’un
résultat technique de la rétention nationale positif et stable
5- Il est entendu par application d’un tarif juste, la prise en compte lors de la
tarification de l’effort consenti par l’assuré en matière de prévention :
•
•
faire bénéficier les risques protégés de réductions sous forme de remises
sanctionner les risques non protégés par des majorations
4. 6- . Le développement d’un partenariat Assureurs Assurés consisterait à ce que
les parties fassent l’effort nécessaire pour que leur relation soit basée sur la
confiance réciproque et soient empreintes de bonnes pratiques. La finalité étant la
fidélisation de la clientèle.
La réalité du terrain montre l’impossibilité de mettre en œuvre des programmes de
fidélisation de la clientèle au vu de l’obligation de renouvellement périodique du
choix de l’assureur rendu obligatoire par le système des appels d’offres qui
empêche toute relation pérenne et rend impossible la mise en œuvre de tout
programme avec l’assuré.
7- Le renforcement du rôle de conseil du courtier
IL est à noter, qu’à ce jour, la règlementation algérienne en vigueur relative aux
courtiers ne consacre aucun mot à ce propos.
Peut-être serait-il judicieux que cette lacune soit comblée et que les taches relevant
des prérogatives du courtier vis-à-vis de son client soient clairement mentionnées sur
un modèle de mandat type qui sera en usage sur le marché afin que tout client qui
donne mandat à un courtier connaisse de manière précise en quoi consiste l’étendue
des pouvoirs qu’il lui a octroyé (mandat général ou mandat spécial) et quelle est la
nature exacte de la prestation qu’il est en droit d’attendre de celui-ci en retour.
8- Le recours à la certification
Il est utile de rappeler, tout d’abord, que la certification profite au client final et aux
parties intéressées (banquiers, les assureurs pouvoirs publics).
La certification peut, tout autant, concerner :
•
Un produit : certification d’un appareil ou d’une machine
•
Un service : certification d’une prestation de service revendiquée par une
chaîne de grands hôtels
•
Un process ou un système : certification d’un process de fabrication de
pièces mécaniques de précision
•
Une personne : certification d’un expert en risques aéronautiques
Mise en place de passerelles entre l’industrie de l’assurance et les universités
algériennes pour l’implication des chercheurs dans l’analyse des données recueillies
au niveau marché pour la fourniture de données statistiques, le développement de la
connaissance des risque latents, la préconisation de solutions pour permettre aux
assurés leur éviction sinon, à tout le moins, leur atténuation, permettre aux assureurs
d’affiner leurs tarifs et d’apprécier, à juste titre leur capacités de rétention et la mise en
place de programmes de réassurance idoines.
9- Nulle politique de prévention ne saurait être efficace en l’absence de
communication dont le rôle est "d’apporter une connaissance validée,
compréhensive et appropriable par le public visé".
5. Au-delà de l’informer, l’objectif est d’influencer ses attitudes et comportements.
Pour ce faire, spécialistes et communicants joignent leurs efforts :
• la validation de la connaissance est faite par des spécialiste es qualité
• émission d’informations percutantes finement mises au point par de bons
communicants.
L’objectif est de permettre la simplification et l’aisance de compréhension du public
pour en faciliter l’appropriation.
Hamid HAMADOUCHE
6. Au-delà de l’informer, l’objectif est d’influencer ses attitudes et comportements.
Pour ce faire, spécialistes et communicants joignent leurs efforts :
• la validation de la connaissance est faite par des spécialiste es qualité
• émission d’informations percutantes finement mises au point par de bons
communicants.
L’objectif est de permettre la simplification et l’aisance de compréhension du public
pour en faciliter l’appropriation.
Hamid HAMADOUCHE