L’art contemporain, un sujet dans l’air du temps, comme son nom l’indique. Une vogue, un esprit de XXI siècle, un amour pur, un outil de se distinguer ou un attribut de diversifier son portfolio d’investissement. Tout cela et encore plus. L’art ouvre des débats et nombreuses sont les personnes qui voudraient prendre la parole. Les années 2014 et 2015 sont recordes pour le monde des arts. Elles sont marquées par des adjudications hyper excessives et des ventes qui ne cessent croître. La question qui préoccupe tous les artistes émergents est comment de se mettre en avant sur un marché saturé de talents, plain d’énigmes et de secrets. L’art qui communique lui-même, a-t-il besoin d’une communication culturelle pour sensibiliser le public ? Les bien issus du processus de la créativité doivent être vendus sur un marché aussi créatif et innovent qu’eux-mêmes. Tels est aujourd’hui le marché de l’art contemporain. A l’avènement du web.2.0 bientôt 3.0 on l’associe avec les « spéculations financières », la grande médiatisation et les la culture contemporain. Quand on parle de l’art on parle aussi d’un statut de prestige. Les artistes sont aujourd’hui ceux qui donnent la plus grande liberté à leur expression. L’art contemporain n’obéit plus aux normes des artistes avant la guerre. Ils rattachent encore plus de symbolisme dans l’expression de leurs œuvres qu’avant. Forcément ceux qui comprennent la signification du message artistiques se démarquent de reste de la société. L’art donc joue aussi un rôle de catalyseur de l’estime de soi et de celle des autres. Comment les artistes peuvent se rapprocher de ceux qui vont les comprendre, sympathiser et acheter leurs arts. Comment se faire connaître ? Comment attirer des nouveaux suiveurs ? Il y-a-t-il des démarches stratégiques pour devenir un artiste connu ?