Peut-on améliorer la lutte antipaludique basée sur l'utilisation des médicaments dans l'état actuel de connaissance de la population et du personnel de santé ? - Présentation du 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Serge Brice ASSI - Médecin/Chercheur - Institut Pierre Richet, Institut National de Santé Publique, Côte d'Ivoire - assisergi@yahoo.fr
Les tests rapides de la dengue, une opportunité de renforcement des capacités...valéry ridde
Présentation de Sylvie Zongo, Mabel Carabali & Valéry Ridde réalisée pour la 22ème Conférence Canadienne de Santé Mondiale, Montréal, 5-7 novembre 2015.
Limites des données épidémiologiques du paludisme publiées dans les documents de l'OMS - Présentation de la 7e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Sangare Cheick Papa Oumar - Mali - Oumar@MRTCBKO.org
Peut-on améliorer la lutte antipaludique basée sur l'utilisation des médicaments dans l'état actuel de connaissance de la population et du personnel de santé ? - Présentation du 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Serge Brice ASSI - Médecin/Chercheur - Institut Pierre Richet, Institut National de Santé Publique, Côte d'Ivoire - assisergi@yahoo.fr
Les tests rapides de la dengue, une opportunité de renforcement des capacités...valéry ridde
Présentation de Sylvie Zongo, Mabel Carabali & Valéry Ridde réalisée pour la 22ème Conférence Canadienne de Santé Mondiale, Montréal, 5-7 novembre 2015.
Limites des données épidémiologiques du paludisme publiées dans les documents de l'OMS - Présentation de la 7e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Sangare Cheick Papa Oumar - Mali - Oumar@MRTCBKO.org
Analyse des determinants sociaux de la résistance au test de dépistage volont...AJHSSR Journal
Abstract : In Côte d'Ivoire, HIV/AIDS is stilla public health problem. The current situation due to the harmful
effects of HIV/AIDS on the health of young people remains worrying. The situation is worrying because the
majority of young people aged 18 to 35 at Habitat-Nimbo express concerns and resistance to taking the
voluntary HIV test. Our study which addresses this question, through its results, shows that various reactions
legitimize this posture. Thus, some justify this by the fact that HIV/AIDS is a strategy of local NGOs and
governments to capture money from donors, while for others, getting tested is the opening of a door
stigma/discrimination and social rejection of the individual. These social reactions to HIV/AIDS expose part of
the young population to high risks of contagion. Indeed, although Bouaké has the necessary infrastructure to
reach at least 90% of people screened and knowing the result, however this WHO objective (2015) remains
difficult to achieve because according to the Ministry of Health (2019) the screening rate is less than 40% varies
by region. Apart from screening tests, the adoption of prevention methods encounters enormous difficulties
among young people aged 18-35.This article is based on two theories, namely the theory of rational choice and
the theory of social representation to explain the behavior of refusal and the social justifications that legitimize it
among young people. Semi-structured interviews and a grid were used to collect the data, allowing information
to be collected from 20 young people who had expressed a refusal to the voluntary screening test.
Keywords: Attitudes, Screening, HIV/AIDS, Reluctance.
Guide pour le suivi et l'évaluation des programmes - Séances Pratiques de la 5e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Luciano TUSEO - World Health Organization / Roll Back Malaria - Office for Madagascar and Reunion - Antananarivo, Madagascar - maloms@iris.mg
Promouvoir la santé
Projet mis en place au sein d'un lycée dans le but de leur faire passer le message " je suis le seul acteur de ma santé".Pour ce projet nous avons utilisé différents ateliers pédagogiques. Pendant cette journée, nous avons pu échanger a propos de la thématique : Vie sexuelle et affective et ainsi nous avons eu les points de vue et les comportements de chacun. Notre rôle était de s'assurer que chaque élèves avait les réponses a leurs questions mais aussi qu'ils comprennent les situations à risques concernant leur santé.
Présentation mémoire Divers et Coriolan 2013Diverscj
Ce travail a pour objectif de determiner les facteurs qui influent sur l'abandon des enfants de 1-5 ans en Haiti. La distance, l'accès aux centres, les dépenses liées à la vaccination et d'autres variables ont été identifiées......
L'Institut national du cancer, la Fondation Arc et la Ligue contre le cancer ont organisé le séminaire de préparation à l'appel à projet "Programme d'Actions Intégrées de Recherche (PAIR) sur les cancers de l'enfant" qui s'est tenu le 13 avril 2016 à Paris.
www.anemf.org
Après s’être offert un lifting au début de l’année 2012, le site ANEMF.org s’est très vite imposé comme une référence pour tous les étudiants en médecine de France !
ANEMF.org, c’est d’abord un portail proposant des dizaines d’articles consacrés aux études et à la pratique médicale. L’objectif est simple : offrir à chacun la possibilité de trouver une réponse claire et complète aux questions que posent la vie d’étudiant en médecine. Comment lire sa fiche de paye d’externe ? Comment accéder aux aides au logement ? Qu’est-ce que la sécurité sociale étudiante ? Qu’est-ce que la procédure de choix ? Quelles aides sont proposées pour s’installer ? Comment fonctionne le CESP ? Les sujets sont variés, et nous concerne tous à un moment de notre cursus : prendre quelques minutes pour s’informer, c’est l’assurance de ne pas rater le coche.
Mais ANEMF.org c’est aussi et surtout le portail de l’ANEMF ! Parce que les études médicales évoluent et parce que la démographie médicale est un sujet de débats politiques inépuisable, nous sommes, en tant que carabins, particulièrement concernés par l’actualité. De la réforme des ECN à la mobilisation des internes, en passant par l’évolution des conditions de travail en stage, il ne se passe pas un jour sans que l’ANEMF ne soit sollicitée pour porter la voix des étudiants en médecine de France. Le fruit de cette représentation étudiante active et continue vous est communiqué par le biais d’ANEMF.org, qui regorge d’articles et de communiqués à la pointe de l’actualité. Il vous est même possible d’inscrire votre adresse mail sur la mailing “Général”. Vous pourrez ainsi recevoir, chaque fois que la situation l’exige, des mails détaillant les discussions en cours et l’état des réformes à venir !
reseauprosante.fr
Est parue en Septembre 2012 les résultats de l’étude FECOND, menée par l’INSERM1 et l’INED2. Cette étude s’interroge sur les moyens de contraception des femmes en âge de procréer. Purement statistique, cette étude dresse des constats pour le moins intéressants.
Resituons le contexte : en 1967, la contraception devient légale. En 1975, Simone Veil fait promulguer une loi qui autorise l’avortement sous conditions. En 2001 a été votée la Loi Aubry, qui remanie en profondeur la loi Veil. Elle autorise les médecins généralistes à prescrire l’IVG médicamenteuse (pilule RU 489), facilite l’accès à la contraception, affirme le droit des femmes à avorter et autorise la stérilisation comme moyen de contrôle des naissances. Parallèlement, depuis 2000, on voit fleurir de nouvelles méthodes de contraception révolutionnaires (implant, patch...), permettant à chaque femme de choisir une contraception adaptée à son mode de vie.
Globalement, la pilule contraceptive reste la méthode de contraception plébiscitée par les femmes : elle est utilisée par une femme sur deux entre 15 et 49 ans. En revanche, on constate que son utilisation a diminué depuis les années 2000 (-4,6%), mais cette baisse est compensée par le recours aux nouvelles méthodes hormonales. Plus alarmant, chez les 20-24 ans, cette baisse d’utilisation (-10,4%) n’est pas compensée par le recours aux autres méthodes contraceptives (dont on constate une augmentation d’utilisation de 5,1% seulement)
reseauprosante.fr
Vaccination contre les infections HPV - Couverture vaccinale en Franc, impact...CripsIDF
Intervention du médecin Isabelle Parent du Châtelet, épidémiologiste à l'INVS lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Peut-on améliorer la lutte antipaludique basée sur l'utilisation des médicaments dans l'état actuel de connaissance de la population et du personnel de santé ? - Présentation de la 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Serge Brice ASSI - Médecin/Chercheur - Institut Pierre Richet - Institut National de Santé Publique - Côte d'Ivoire - assisergi@yahoo.fr
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
reseauprosante.fr
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas… Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°11" mars 2015
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
La plupart des infections à papillomavirus sont transitoires. L’évolution vers un cancer est rare et survient dans moins de 0,3 % des cas. En pratique, il se passe environ 20 ans entre l’infection et le diagnostic d’un cancer invasif du col. En 2008, l’âge au moment du diagnostic d’un carcinome invasif dépassait 39 ans chez plus de 64 % des femmes atteintes.
Il existe, à ce jour en France, deux vaccins ayant l’AMM en prévention des lésions précancéreuses du col de l’utérus dues à HPV-16 et HPV-18 : le Cervarix et le Gardasil. Le Gardasil a également l’AMM en prévention des lésions précancéreuses vulvaires et vaginales ; sa composition inclue 2 types d’HPV supplémentaires, les HPV-6 et le HPV-11 responsables de condylomes.
La vaccination contre le papillomavirus est, en 2015, recommandée chez les jeunes filles de 11 à 14 ans avec un rattrapage entre 15 et 19 ans révolus.
Cette vaccination peut être effectuée indifféremment avec l’un ou l’autre des deux vaccins, mais la vaccination de chaque sujet doit se poursuivre avec le même vaccin.
...
reseauprosante.fr
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Revue JEUNE MG N°11 - Mars 2015
État des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73%), le HPV-18 (19%) et le HPV-31 (7%).
La plupart des infections à papillomavirus sont transitoires. L’évolution vers un cancer est rare et survient dans moins de 0,3% des cas. En pratique, il se passe environ 20 ans entre l’infection et le diagnostic d’un cancer invasif du col. En 2008, l’âge au moment du diagnostic d’un carcinome invasif dépassait 39 ans chez plus de 64% des femmes atteintes.
Cette présentation s'axe sur le pole d'Éducation à la vie affective et sexuelle et prévention/réduction d'abus de substances de l'ONG LEAD, et sur son centre d'écoute, de prévention et d'information, Tibaz - Espace Santé Jeunes.
LEAD (Leadership and Empowerment for Action and Development - voir PDF sur l'ONG) encadre des communautés à travers divers services afin de les renforcer et les rendre autonomes.
Les sessions se font généralement dans les communes, avec les ONGs et les établissement scolaires avec généralement une première session dans le centre de prévention unique en son genre, Tibaz - Espace Santé Jeunes
* Chez les + de 6 ans
- Prévention alcool et cigarette avec le livre pour enfants - Samy et les Iles Maléfiques
* Chez les + de 13 ans
- Éducation à la vie affective et sexuelle et prévention/réduction d'abus de substances
* Chez les jeunes porteurs d'un potentiel de leader
- Formation en leadership social et développement communautaire afin des éclaireurs qui soutiennent LEAD sur le terrain et assurer l'action sur le long terme
* Chez les adultes
- Formation en leadership social et développement communautaire
- Éducation à la vie affective et sexuelle et prévention/réduction d'abus de substances
- Formation pour les parents en prévention/réduction d'alcoolisme parentale au détriment des enfants
Analyse des determinants sociaux de la résistance au test de dépistage volont...AJHSSR Journal
Abstract : In Côte d'Ivoire, HIV/AIDS is stilla public health problem. The current situation due to the harmful
effects of HIV/AIDS on the health of young people remains worrying. The situation is worrying because the
majority of young people aged 18 to 35 at Habitat-Nimbo express concerns and resistance to taking the
voluntary HIV test. Our study which addresses this question, through its results, shows that various reactions
legitimize this posture. Thus, some justify this by the fact that HIV/AIDS is a strategy of local NGOs and
governments to capture money from donors, while for others, getting tested is the opening of a door
stigma/discrimination and social rejection of the individual. These social reactions to HIV/AIDS expose part of
the young population to high risks of contagion. Indeed, although Bouaké has the necessary infrastructure to
reach at least 90% of people screened and knowing the result, however this WHO objective (2015) remains
difficult to achieve because according to the Ministry of Health (2019) the screening rate is less than 40% varies
by region. Apart from screening tests, the adoption of prevention methods encounters enormous difficulties
among young people aged 18-35.This article is based on two theories, namely the theory of rational choice and
the theory of social representation to explain the behavior of refusal and the social justifications that legitimize it
among young people. Semi-structured interviews and a grid were used to collect the data, allowing information
to be collected from 20 young people who had expressed a refusal to the voluntary screening test.
Keywords: Attitudes, Screening, HIV/AIDS, Reluctance.
Guide pour le suivi et l'évaluation des programmes - Séances Pratiques de la 5e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Luciano TUSEO - World Health Organization / Roll Back Malaria - Office for Madagascar and Reunion - Antananarivo, Madagascar - maloms@iris.mg
Promouvoir la santé
Projet mis en place au sein d'un lycée dans le but de leur faire passer le message " je suis le seul acteur de ma santé".Pour ce projet nous avons utilisé différents ateliers pédagogiques. Pendant cette journée, nous avons pu échanger a propos de la thématique : Vie sexuelle et affective et ainsi nous avons eu les points de vue et les comportements de chacun. Notre rôle était de s'assurer que chaque élèves avait les réponses a leurs questions mais aussi qu'ils comprennent les situations à risques concernant leur santé.
Présentation mémoire Divers et Coriolan 2013Diverscj
Ce travail a pour objectif de determiner les facteurs qui influent sur l'abandon des enfants de 1-5 ans en Haiti. La distance, l'accès aux centres, les dépenses liées à la vaccination et d'autres variables ont été identifiées......
L'Institut national du cancer, la Fondation Arc et la Ligue contre le cancer ont organisé le séminaire de préparation à l'appel à projet "Programme d'Actions Intégrées de Recherche (PAIR) sur les cancers de l'enfant" qui s'est tenu le 13 avril 2016 à Paris.
www.anemf.org
Après s’être offert un lifting au début de l’année 2012, le site ANEMF.org s’est très vite imposé comme une référence pour tous les étudiants en médecine de France !
ANEMF.org, c’est d’abord un portail proposant des dizaines d’articles consacrés aux études et à la pratique médicale. L’objectif est simple : offrir à chacun la possibilité de trouver une réponse claire et complète aux questions que posent la vie d’étudiant en médecine. Comment lire sa fiche de paye d’externe ? Comment accéder aux aides au logement ? Qu’est-ce que la sécurité sociale étudiante ? Qu’est-ce que la procédure de choix ? Quelles aides sont proposées pour s’installer ? Comment fonctionne le CESP ? Les sujets sont variés, et nous concerne tous à un moment de notre cursus : prendre quelques minutes pour s’informer, c’est l’assurance de ne pas rater le coche.
Mais ANEMF.org c’est aussi et surtout le portail de l’ANEMF ! Parce que les études médicales évoluent et parce que la démographie médicale est un sujet de débats politiques inépuisable, nous sommes, en tant que carabins, particulièrement concernés par l’actualité. De la réforme des ECN à la mobilisation des internes, en passant par l’évolution des conditions de travail en stage, il ne se passe pas un jour sans que l’ANEMF ne soit sollicitée pour porter la voix des étudiants en médecine de France. Le fruit de cette représentation étudiante active et continue vous est communiqué par le biais d’ANEMF.org, qui regorge d’articles et de communiqués à la pointe de l’actualité. Il vous est même possible d’inscrire votre adresse mail sur la mailing “Général”. Vous pourrez ainsi recevoir, chaque fois que la situation l’exige, des mails détaillant les discussions en cours et l’état des réformes à venir !
reseauprosante.fr
Est parue en Septembre 2012 les résultats de l’étude FECOND, menée par l’INSERM1 et l’INED2. Cette étude s’interroge sur les moyens de contraception des femmes en âge de procréer. Purement statistique, cette étude dresse des constats pour le moins intéressants.
Resituons le contexte : en 1967, la contraception devient légale. En 1975, Simone Veil fait promulguer une loi qui autorise l’avortement sous conditions. En 2001 a été votée la Loi Aubry, qui remanie en profondeur la loi Veil. Elle autorise les médecins généralistes à prescrire l’IVG médicamenteuse (pilule RU 489), facilite l’accès à la contraception, affirme le droit des femmes à avorter et autorise la stérilisation comme moyen de contrôle des naissances. Parallèlement, depuis 2000, on voit fleurir de nouvelles méthodes de contraception révolutionnaires (implant, patch...), permettant à chaque femme de choisir une contraception adaptée à son mode de vie.
Globalement, la pilule contraceptive reste la méthode de contraception plébiscitée par les femmes : elle est utilisée par une femme sur deux entre 15 et 49 ans. En revanche, on constate que son utilisation a diminué depuis les années 2000 (-4,6%), mais cette baisse est compensée par le recours aux nouvelles méthodes hormonales. Plus alarmant, chez les 20-24 ans, cette baisse d’utilisation (-10,4%) n’est pas compensée par le recours aux autres méthodes contraceptives (dont on constate une augmentation d’utilisation de 5,1% seulement)
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Vaccination contre les infections HPV - Couverture vaccinale en Franc, impact...CripsIDF
Intervention du médecin Isabelle Parent du Châtelet, épidémiologiste à l'INVS lors de la 92ème rencontre du Crips Ile-de-France "HPV : où en sommes-nous?"
Peut-on améliorer la lutte antipaludique basée sur l'utilisation des médicaments dans l'état actuel de connaissance de la population et du personnel de santé ? - Présentation de la 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Serge Brice ASSI - Médecin/Chercheur - Institut Pierre Richet - Institut National de Santé Publique - Côte d'Ivoire - assisergi@yahoo.fr
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
reseauprosante.fr
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas… Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°11" mars 2015
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
La plupart des infections à papillomavirus sont transitoires. L’évolution vers un cancer est rare et survient dans moins de 0,3 % des cas. En pratique, il se passe environ 20 ans entre l’infection et le diagnostic d’un cancer invasif du col. En 2008, l’âge au moment du diagnostic d’un carcinome invasif dépassait 39 ans chez plus de 64 % des femmes atteintes.
Il existe, à ce jour en France, deux vaccins ayant l’AMM en prévention des lésions précancéreuses du col de l’utérus dues à HPV-16 et HPV-18 : le Cervarix et le Gardasil. Le Gardasil a également l’AMM en prévention des lésions précancéreuses vulvaires et vaginales ; sa composition inclue 2 types d’HPV supplémentaires, les HPV-6 et le HPV-11 responsables de condylomes.
La vaccination contre le papillomavirus est, en 2015, recommandée chez les jeunes filles de 11 à 14 ans avec un rattrapage entre 15 et 19 ans révolus.
Cette vaccination peut être effectuée indifféremment avec l’un ou l’autre des deux vaccins, mais la vaccination de chaque sujet doit se poursuivre avec le même vaccin.
...
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Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Revue JEUNE MG N°11 - Mars 2015
État des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73%), le HPV-18 (19%) et le HPV-31 (7%).
La plupart des infections à papillomavirus sont transitoires. L’évolution vers un cancer est rare et survient dans moins de 0,3% des cas. En pratique, il se passe environ 20 ans entre l’infection et le diagnostic d’un cancer invasif du col. En 2008, l’âge au moment du diagnostic d’un carcinome invasif dépassait 39 ans chez plus de 64% des femmes atteintes.
Cette présentation s'axe sur le pole d'Éducation à la vie affective et sexuelle et prévention/réduction d'abus de substances de l'ONG LEAD, et sur son centre d'écoute, de prévention et d'information, Tibaz - Espace Santé Jeunes.
LEAD (Leadership and Empowerment for Action and Development - voir PDF sur l'ONG) encadre des communautés à travers divers services afin de les renforcer et les rendre autonomes.
Les sessions se font généralement dans les communes, avec les ONGs et les établissement scolaires avec généralement une première session dans le centre de prévention unique en son genre, Tibaz - Espace Santé Jeunes
* Chez les + de 6 ans
- Prévention alcool et cigarette avec le livre pour enfants - Samy et les Iles Maléfiques
* Chez les + de 13 ans
- Éducation à la vie affective et sexuelle et prévention/réduction d'abus de substances
* Chez les jeunes porteurs d'un potentiel de leader
- Formation en leadership social et développement communautaire afin des éclaireurs qui soutiennent LEAD sur le terrain et assurer l'action sur le long terme
* Chez les adultes
- Formation en leadership social et développement communautaire
- Éducation à la vie affective et sexuelle et prévention/réduction d'abus de substances
- Formation pour les parents en prévention/réduction d'alcoolisme parentale au détriment des enfants
Travail Pratique MWAMINI RUDAHARANA Esther powerpoint
1. UNIVERSITE LIBRE DES PAYS DES GRANDS LACS/ULPG
Goma
FACULTE DE SANTE ET DEVELOPPEMENT COMMUNAUTAIRES « FSDC »
B.P 368 Goma
Par : MWAMINI RUDAHARANA Esther
Promotion : G3 FSDC
Février 2017
2. I. Question de recherche
I.1. Question générale
Quelles sont les connaissances, attitudes et
pratiques des jeunes de l’Aire de santé CASOP
en matière de prévention des IST ?
3. I.2. Question spécifiques
De cette question générale, découlent des questions spécifiques :
Quel est le niveau des connaissances des jeunes de l’A.S
CASOP face à la prévention des IST ?;
Quelles sont les attitudes des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention des IST ?;
Quelles sont les pratiques des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention des IST ?.
4. II. Hypothèses de recherche
Une hypothèse est une proposition de réponse
provisoire à la question passée. Elle doit faire l’objet
d’une vérification objective au cours d’une réflexion
pour une confirmation ou une infirmation dans le
résultat de la recherche (Madeline
« GRAWITZ »Méthode des sciences sociales 2ème
édition paris 1974)
5. ==suite==
Le niveau des connaissances des jeunes de l’A.S CASOP
face à la prévention des IST serait élevé ;
Les attitudes des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention des IST seraient négatives ;
Les pratiques des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention des IST seraient dangereuses.
6. III. Les objectifs de recherches
III.1. objectif générale
Evaluer le niveau des connaissances,
attitudes et des pratiques des jeunes de l’A. S
CASOP face a la prévention des IST
7. III.2. Les objectifs spécifiques
Evaluer le niveau des connaissances des jeunes de l’A.S
CASOP face à la prévention contre les IST ;
Evaluer les attitudes des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention contre les IST ;
Evaluer les pratiques des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention des IST
8. IV. Explication des variables
IV.1.Introduction
Ce chapitre comprend des informations théoriques, des
résultats des recherches antérieurs autours des travaux sur
les connaissances, attitudes et pratique face à la prévention
des IST.
Ainsi en observant l’ordre des hypothèses, ce travail présente
tout d’abord les aspects sur le niveau de connaissance,
l’attitude, la pratique et enfin le cadre de recherche du travail
9. IV.2. Niveau de connaissance face à la prévention des IST
IV.2.1. Connaissance des causes des IST
A l’espace 2011-2015 la stratégie mondiale du secteur de la santé sur la
prévention du VIH et autres IST voulait améliorer l’accès universel aux
services de prévention, de diagnostic, de traitement, de soins et de soutien
aux patients (OMS., La stratégie mondiale du secteur de la santé sur le
VIH/sida 2011-2015)
La même idéologie est poursuivie avec l’intention d’éradiquer le VIH ici 2030
et les jeunes constituent la classe la plus visée par les actions de prévention.
Il est cohérant que la connaissance des causes d’un phénomène soit
déterminante pour décider de la prévention.
10. Ainsi, une étude menée sur 200 élèves de 14 à 20 ans d’un lycée
camerounais interrogés 89%, affirment pourtant avoir reçu une éducation
sexuelle, 99% ont déjà entendu parler des IST dont 91,92% des
répondants(es), connaissent la définition des IST. Malheureusement 59,5%
de répondants(es) ne savent pas réellement la véritable définition de la
sexualité. Et seulement 40% des jeunes possèdent des connaissances
précises sur le VIH et sa transmission. Les parents ont peu d'engouement
dans l'éducation sexuelle de leurs enfants (36,39) alors ceux-ci s'accrochent
aux autres sources d'éducation telles que : les enseignants, les camarades,
et les médias.
(Gervais Eleuthère NDONGO, Prevention des infections sexuellement transmissibles
en milieu scolaire : cas du lycée de Bertoua rural ( Cameroun), Ecole d'infirmiers, des
techniciens médico- sanitaires et du génie sanitaire de Yaoundé - Diplôme d'infirmier
d'état 2011)
11. IV.2.2. Manifestation des IST
Les scientifiques nous ont plusieurs fois
démontré qu’il n’est pas aisé d’identifier à la vue
un porteur d’une IST, seuls les professionnels
spécialisés en sont capables au moyen des
examens au laboratoire.
(Jean Paul NYONDO., cours de bio contaminent,
ULPGL/Goma, 2013-2014)
12. IV.2.3. Facteurs de risque aux IST
En référence à cela en 2013 l’UNICEF et l’OMS ont
estimé qu’il fallait que les jeunes contaminé depuis la
naissance et d’autres nouvelles contaminations
apprennent à vivre avec une infection chronique, révéler
leur état à leurs amis et à leur famille en vu d’éviter de
transmettre l’infection à leurs partenaires sexuels.
(OMS, UNICEF, Les services de prise en charge de
l'infection à VIH négligent les adolescents, Génève,
novembre 2013.)
13. IV.2.4.Conduite à tenir face aux IST
Pour certaines IST l’objectif est d’éliminer complètement l’infection,
mais pour d’autres on réduit la virulence et on évite des suivantes
contaminations. Ainsi, Elois SILGA montre dans son étude que parmi
les malades ayant consulté un agent de santé, seulement 62,7% ont
été recommandé le traitement du partenaire sexuel par le prestataire
parmi lesquels 53,6% ont déclaré avoir porté l'information à leurs
partenaires sexuels. (Eloi SILGA, Etude des déterminants de la forte
incidence des IST dans le district sanitaire de koupéla. Ecole Nationale de
Santé Publique de Ouagadougou - Attaché de santé en
épidémiologie 2008)
14. IV.4. Utilisation du préservatif
Quand le nombre de partenaires sexuels augmente chez les jeunes, le SIDA
perdure un problème majeur de santé publique en Belgique. En plus le préservatif
est le moyen de protection le plus efficace contre ces infections sexuellement
transmissibles. (http://prospective.be/IMG/pdf/DSP54-Emmilie WALEWYNS-Olivier
KLEIN. pdf, les jeunes et le preservative, us et coutumes de la negotiation)
Son efficacité est réduite si le latex ne sépare pas entièrement les régions
infectées, d’où l’importance d’un suivi gynécologique régulier. (Rapport
épidémiologique de cas de SIDA dans la province du Nord Kivu 2006)