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Paris, mardi 14 décembre 2010
A l'initatve de l'Agence LIMITE,
une étude IFOP sur les donateurs en ligne
23 % des Français se déclarent « e-donateurs »
dont 7 % donnent régulièrement
La 1ère étude réalisée en France auprès d'un échantllon représentatf de la populaton
française et sur 25 associatons françaises concernant le don par Internet et les donateurs
en ligne, complétée par une analyse systématque de 100 organisatons françaises faisant
appel à la générosité du public via Internet et sur la place actuelle et à venir d'Internet
dans les stratégies de collecte des responsables d'associatons
Les associatons et ONG sont à la croisée des chemins car le nombre des bénéfciaires et les
causes se multplient, mais on constate une diminuton du nombre de donateurs, et ce
malgré la progression de la collecte de fonds globale, rendue possible grâce à la hausse du
montant global des dons (France Générosités / CerPhi) et aux aides fscales
(Recherches&Solidarités)1
.
7% de « e-donateurs » confrmés
•23 % des Français, soit près d'un quart, déclarent donner en ligne à une associaton
caritatve ou une ONG, dont 7 % régulièrement et 16 % de temps en temps ; 26 % rarement
et 51 % jamais.
•Contrairement à une idée reçue largement répandue, 34% des personnes déclarant donner
par Internet ont plus de 65 ans. Les moins de 35 ans sont les moins représentés parmi ces
répondants : on compte, parmi les 7 % de e-donateurs réguliers, 11 % de personnes âgées
de plus de 65 ans (23 % sur les e-donateurs occasionnels) alors que c'est chez les moins de
35 ans que le don par Internet est le plus faible (27 % rarement et 58 % jamais) !
1
Ces études sont disponibles ici : htp://www.francegenerosites.org/ewb_pages/a/actualites-1673.php et
htp://www.recherches-solidarites.org/media/library/generositedesfrancais_2010_.pdf
Les logiques des 23 % de e-donateurs réguliers ou occasionnels
•L'étude malmène quelques autres idées reçues... Le donateur en ligne ne donne pas en
majorité dans des situatons d'urgence, puisque 87% des « e-donateurs » font un don
pour soutenir une associaton ou une cause, hors situaton d'urgence. 97% des « e-
donateurs » faisant des dons en ligne régulièrement sont dans cete situaton.
Concernant l'accusaton d'infdélité des donateurs en ligne, 84 % d'entre eux, soit plus d'1
Français sur 5, ont l'intenton de redonner de l'argent sur Internet dans les 12 prochains
mois, dont 23 % certainement (davantage les plus 50 ans et les donateurs réguliers).
•Une faible substtuton du don en ligne au don classique : suite à leur don en ligne, 20 %
seulement donnent signifcatvement moins sous une autre forme de collecte (chèque,
prélèvement automatque, espèces), notamment les moins de 35 ans, les personnes ayant
un revenu mensuel de 1500/3000 € et les Franciliens. 32 % donnent un peu moins, et pour
48 % leurs dons en ligne ne créent pas de substtuton.
•Les « e-donateurs » sont des donateurs satsfaits
84 % sont satsfaits des informatons reçues en retour de leur e-don, dont 22 % très
satsfaits, et sont une majorité (52 %) à souhaiter recevoir les informatons uniquement par
voie électronique, principalement les hommes, les moins de 35 ans, les CSP+ et les revenus
inférieurs à 1500 €.Une très nete majorité (89 %) a le sentment que l'argent qu'elle a
donné est bien dépensé. Il n'y a pas de « e-donofatgue » : 54 % des e-donateurs déclarent
ne pas avoir le sentment d'être sur-sollicités.
•Peu de bruit fait autour des ONG sur Internet, mais un potentel de difusion virale : 83 %
des e-donateurs ne recommandent jamais ou rarement de donner à une associaton au
travers des réseaux sociaux. Ce qui ne veut pas dire qu'il faille négliger la minorité (17% des
e-donateurs et jusqu'à 22% chez les jeunes) qui recommandent des causes et des
associatons sur les réseaux sociaux dans une optque de don, étant donné le pouvoir
démultplicateur de ce type de prescripton.
Le palmarès des associatons préférées des e-donateurs
La comparaison systématque réalisée mi novembre par l'Agence LIMITE a permis d'identfer
les 25 associatons et ONG qui ont une stratégie Internet exhaustve (accessibilité,
référencement naturel et payant, transparence fnancière, interactons non fnancières,
interactons fnancières, richesse et pertnence des contenus) et elle a été suggérée aux « e-
donateurs ». Ceux-ci ont noté chacune de ces organisatons afn de déterminer lesquelles,
par leurs actons sur Internet, leur donnent envie ou les incitent à faire un e-don ou pas.
Deux grandes catégories apparaissent :
− Celles dont la notaton par les « e-donateurs » correspond à leur notoriété globale et
qui arrivent en tête du classement : les Restos du Cœur, la Fondaton Abbé Pierre et la
Croix-Rouge Française.
− Celles dont la notaton par les « e-donateurs » est supérieure à leur notoriété, ce qui
semble être le résultat de leur stratégie pro-actve et de leur présence sur Internet :
SOS Village d'Enfants, Insttut Pasteur, Petts Frères des Pauvres.
Enfn, certaines associatons de faible notoriété ont une notaton également faible de la part
des « e-donateurs » et, à l'inverse, certaines associatons très connues ne remplissant pas
tous les critères d'une stratégie Internet exhaustve -ou dont la période d'étude ne
correspondait pas à leur actualité- n'ont pas fait l'objet d'une notaton par les « e-
donateurs » alors que leur stratégie Internet peut être considérée comme exhaustve.
Les responsables de la collecte de fonds des associatons2
Sur la base de questonnaires envoyés par l'IFOP aux responsables de la collecte de plus de
100 associatons françaises, les réponses reçues font apparaître que :
•Quanttatvement, Internet représente chez les associatons :
Entre 3 et 7 % de la collecte en valeur et en nombre de donateurs
Un don en ligne moyen de plus de 100 euros (133 sur 13 réponses)
Environ 1% du budget marketng global.
•Une très large majorité des associatons qui ont répondu :
Constatent une augmentaton de la part d'Internet dans leur collecte par rapport à 2008 (à
80%) et atendent une poursuite de cete augmentaton en 2011 (100% des répondants) ;
Déclarent qu'elles vont intensifer leurs investssements en 2011 :
− pour celles qui possèdent des profls et des stratégies dédiés à la collecte online (à
80%), et des campagnes déjà en place sur Google Adwords (la moité),
− pour les autres, notamment en recrutant des personnes dédiées à la collecte sur
Internet dans leurs équipes et en investssant sur Google Adwords (50%) ;
Quasiment toutes les associatons qui ont répondu déclarent qu'Internet sera principalement
utlisé pour prospecter et recruter de nouveaux donateurs en 2011.
Commentaires
Les nouveaux enjeux du secteur associatf, aujourd'hui, sont le renouvellement des troupes
et la fdélisaton : le montant global des dons augmente, mais le nombre de donateurs
diminue. Permetant de convaincre de nouveaux donateurs, Internet est déjà un enjeu
crucial pour les associatons caritatves et ONG.
•Tout d'abord, le coût d'acquisiton d'un donateur sur Internet est 4 à 5 fois inférieur3
à celui
engendré par les méthodes de collecte classiques (marketng direct, téléphone, street
2
Les associatons ayant répondu à l'enquête par questonnaire : Amnesty Internatonal, Acton Contre la Faim,
ARC, Care, Fondaton de France, Fonds ADIE, Médecins du Monde, Petts Frères des Pauvres, Plan France,
Restos du Cœur, Secours Catholique, Sidacton, WWF.
3
D'après les observatons de l'Agence LIMITE. Cependant, ce coût moins élevé du e-donateur est à nuancer car
il est plus étalé dans le temps et il s'appuie souvent sur un plus grand nombre de campagnes pour acquérir un
nombre équivalent de donateurs.
marketng, courrier postal, avec prélèvement automatque ou pas). Le don en ligne moyen
est trois fois plus élevé que le don classique moyen4
et le nombre de e-donateurs va
croissant et ne se substtue que partellement au don par courrier : l'étude montre que
seuls 20 % des donateurs en ligne ont signifcatvement diminué les autres formes de dons
au proft d'Internet. Internet est donc un vivier pour les organisatons qui cherchent de
nouveaux donateurs et non pas une simple plateforme de transfert des donateurs
classiques. La queston de la fdélisaton de ces donateurs en ligne, réputés plus volatles,
est l'autre enjeu des associatons, ONG et fondatons.
•Une étude récente de France Générosités, réalisée sur la base des chifres de ses
organisatons membres, constate que celles-ci n’ont enregistré que 1,9% de leurs dons par
Internet. C'est en-deçà de la moyenne de 3% de e-dons en 2009 que l'Agence LIMITE (pour
ses clients Fondaton Abbé Pierre, Insttut Curie, Fondaton de France...) et ses confrères
constatent -chifres confrmés par l'enquête IFOP et les déclaratons d'associatons qui
semblent enregistrer entre 3 et 7 % de leurs dons via le web-, et certaines bien au-delà5
. Y a-
t-il une contradicton entre le déclaratf des « e-donateurs » et leur passage à l’acte de don,
comme semble l’indiquer l’étude menée par Mediaprism Group sur la base de 2180
répondants de sa communauté d’internautes « Email&Vous »6
? Ou un décalage entre les
atentes et les pratques des « e-donateurs » et ce que leur propose la moyenne des
organisatons collectrices ?
•Enfn, si les associatons déclarent toutes vouloir investr sur Internet, elles devront faire face
à une concurrence forte entre elles, mais également à une concurrence, au-delà du secteur
des associatons caritatves, dont certains sont intrinsèquement performants sur Internet et
vis-à-vis des internautes : Wikipédia, la Quadrature du Net, Wikileaks, Rue89, etc.
Agence LIMITE
LIMITE est un pur player entèrement dédié à la communicaton responsable des
organisatons qui font le choix de metre l’engagement et l’éthique au cœur de leur
stratégie. Fondée par Laurent Terrisse, pionnier de la communicaton sur les sujets
d’intérêt général en France et co-créateur de TBWA/NON PROFIT ainsi que du Collectf des
Publicitaires Eco-Socio-Innovants, et par Frédéric Bardeau, créateur de Trilogicom, hotshop
internet reconnu dans les secteurs corporate et grandes causes, l’Agence LIMITE s’est dotée
d’un cahier des charges exigeant en matère de communicaton responsable, pour
répondre aux besoins d’impact et d’efcacité des annonceurs engagés et soucieux de leur
réputaton. Plus d'informatons sur www.agence-limite.fr
Contact presse Agence LIMITE
Xavière Bourbonnaud
09 77 05 41 06 - 06 67 05 75 79
bxaviere@wanadoo.fr
4
France Générosités / Cerphi : htp://www.francegenerosites.org/ewb_pages/a/actualites-1673.php
5
Selon les questonnaires reçus par l'IFOP (7% en moyenne), les déclaratons publiques de certaines
associatons (Secours Islamique de France), les publicatons ofcielles (AFM-Téléthon) et les associatons dont
plus de 90% des dons proviennent d'Internet (exemple : Fondaton Nicolas Hulot).
6
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Étude e-donateurs 2010 - Ifop / LIMITE

  • 1. Paris, mardi 14 décembre 2010 A l'initatve de l'Agence LIMITE, une étude IFOP sur les donateurs en ligne 23 % des Français se déclarent « e-donateurs » dont 7 % donnent régulièrement La 1ère étude réalisée en France auprès d'un échantllon représentatf de la populaton française et sur 25 associatons françaises concernant le don par Internet et les donateurs en ligne, complétée par une analyse systématque de 100 organisatons françaises faisant appel à la générosité du public via Internet et sur la place actuelle et à venir d'Internet dans les stratégies de collecte des responsables d'associatons Les associatons et ONG sont à la croisée des chemins car le nombre des bénéfciaires et les causes se multplient, mais on constate une diminuton du nombre de donateurs, et ce malgré la progression de la collecte de fonds globale, rendue possible grâce à la hausse du montant global des dons (France Générosités / CerPhi) et aux aides fscales (Recherches&Solidarités)1 . 7% de « e-donateurs » confrmés •23 % des Français, soit près d'un quart, déclarent donner en ligne à une associaton caritatve ou une ONG, dont 7 % régulièrement et 16 % de temps en temps ; 26 % rarement et 51 % jamais. •Contrairement à une idée reçue largement répandue, 34% des personnes déclarant donner par Internet ont plus de 65 ans. Les moins de 35 ans sont les moins représentés parmi ces répondants : on compte, parmi les 7 % de e-donateurs réguliers, 11 % de personnes âgées de plus de 65 ans (23 % sur les e-donateurs occasionnels) alors que c'est chez les moins de 35 ans que le don par Internet est le plus faible (27 % rarement et 58 % jamais) ! 1 Ces études sont disponibles ici : htp://www.francegenerosites.org/ewb_pages/a/actualites-1673.php et htp://www.recherches-solidarites.org/media/library/generositedesfrancais_2010_.pdf
  • 2. Les logiques des 23 % de e-donateurs réguliers ou occasionnels •L'étude malmène quelques autres idées reçues... Le donateur en ligne ne donne pas en majorité dans des situatons d'urgence, puisque 87% des « e-donateurs » font un don pour soutenir une associaton ou une cause, hors situaton d'urgence. 97% des « e- donateurs » faisant des dons en ligne régulièrement sont dans cete situaton. Concernant l'accusaton d'infdélité des donateurs en ligne, 84 % d'entre eux, soit plus d'1 Français sur 5, ont l'intenton de redonner de l'argent sur Internet dans les 12 prochains mois, dont 23 % certainement (davantage les plus 50 ans et les donateurs réguliers). •Une faible substtuton du don en ligne au don classique : suite à leur don en ligne, 20 % seulement donnent signifcatvement moins sous une autre forme de collecte (chèque, prélèvement automatque, espèces), notamment les moins de 35 ans, les personnes ayant un revenu mensuel de 1500/3000 € et les Franciliens. 32 % donnent un peu moins, et pour 48 % leurs dons en ligne ne créent pas de substtuton. •Les « e-donateurs » sont des donateurs satsfaits 84 % sont satsfaits des informatons reçues en retour de leur e-don, dont 22 % très satsfaits, et sont une majorité (52 %) à souhaiter recevoir les informatons uniquement par voie électronique, principalement les hommes, les moins de 35 ans, les CSP+ et les revenus inférieurs à 1500 €.Une très nete majorité (89 %) a le sentment que l'argent qu'elle a donné est bien dépensé. Il n'y a pas de « e-donofatgue » : 54 % des e-donateurs déclarent ne pas avoir le sentment d'être sur-sollicités. •Peu de bruit fait autour des ONG sur Internet, mais un potentel de difusion virale : 83 % des e-donateurs ne recommandent jamais ou rarement de donner à une associaton au travers des réseaux sociaux. Ce qui ne veut pas dire qu'il faille négliger la minorité (17% des e-donateurs et jusqu'à 22% chez les jeunes) qui recommandent des causes et des associatons sur les réseaux sociaux dans une optque de don, étant donné le pouvoir démultplicateur de ce type de prescripton. Le palmarès des associatons préférées des e-donateurs La comparaison systématque réalisée mi novembre par l'Agence LIMITE a permis d'identfer les 25 associatons et ONG qui ont une stratégie Internet exhaustve (accessibilité, référencement naturel et payant, transparence fnancière, interactons non fnancières, interactons fnancières, richesse et pertnence des contenus) et elle a été suggérée aux « e- donateurs ». Ceux-ci ont noté chacune de ces organisatons afn de déterminer lesquelles, par leurs actons sur Internet, leur donnent envie ou les incitent à faire un e-don ou pas. Deux grandes catégories apparaissent : − Celles dont la notaton par les « e-donateurs » correspond à leur notoriété globale et qui arrivent en tête du classement : les Restos du Cœur, la Fondaton Abbé Pierre et la Croix-Rouge Française.
  • 3. − Celles dont la notaton par les « e-donateurs » est supérieure à leur notoriété, ce qui semble être le résultat de leur stratégie pro-actve et de leur présence sur Internet : SOS Village d'Enfants, Insttut Pasteur, Petts Frères des Pauvres. Enfn, certaines associatons de faible notoriété ont une notaton également faible de la part des « e-donateurs » et, à l'inverse, certaines associatons très connues ne remplissant pas tous les critères d'une stratégie Internet exhaustve -ou dont la période d'étude ne correspondait pas à leur actualité- n'ont pas fait l'objet d'une notaton par les « e- donateurs » alors que leur stratégie Internet peut être considérée comme exhaustve. Les responsables de la collecte de fonds des associatons2 Sur la base de questonnaires envoyés par l'IFOP aux responsables de la collecte de plus de 100 associatons françaises, les réponses reçues font apparaître que : •Quanttatvement, Internet représente chez les associatons : Entre 3 et 7 % de la collecte en valeur et en nombre de donateurs Un don en ligne moyen de plus de 100 euros (133 sur 13 réponses) Environ 1% du budget marketng global. •Une très large majorité des associatons qui ont répondu : Constatent une augmentaton de la part d'Internet dans leur collecte par rapport à 2008 (à 80%) et atendent une poursuite de cete augmentaton en 2011 (100% des répondants) ; Déclarent qu'elles vont intensifer leurs investssements en 2011 : − pour celles qui possèdent des profls et des stratégies dédiés à la collecte online (à 80%), et des campagnes déjà en place sur Google Adwords (la moité), − pour les autres, notamment en recrutant des personnes dédiées à la collecte sur Internet dans leurs équipes et en investssant sur Google Adwords (50%) ; Quasiment toutes les associatons qui ont répondu déclarent qu'Internet sera principalement utlisé pour prospecter et recruter de nouveaux donateurs en 2011. Commentaires Les nouveaux enjeux du secteur associatf, aujourd'hui, sont le renouvellement des troupes et la fdélisaton : le montant global des dons augmente, mais le nombre de donateurs diminue. Permetant de convaincre de nouveaux donateurs, Internet est déjà un enjeu crucial pour les associatons caritatves et ONG. •Tout d'abord, le coût d'acquisiton d'un donateur sur Internet est 4 à 5 fois inférieur3 à celui engendré par les méthodes de collecte classiques (marketng direct, téléphone, street 2 Les associatons ayant répondu à l'enquête par questonnaire : Amnesty Internatonal, Acton Contre la Faim, ARC, Care, Fondaton de France, Fonds ADIE, Médecins du Monde, Petts Frères des Pauvres, Plan France, Restos du Cœur, Secours Catholique, Sidacton, WWF. 3 D'après les observatons de l'Agence LIMITE. Cependant, ce coût moins élevé du e-donateur est à nuancer car il est plus étalé dans le temps et il s'appuie souvent sur un plus grand nombre de campagnes pour acquérir un nombre équivalent de donateurs.
  • 4. marketng, courrier postal, avec prélèvement automatque ou pas). Le don en ligne moyen est trois fois plus élevé que le don classique moyen4 et le nombre de e-donateurs va croissant et ne se substtue que partellement au don par courrier : l'étude montre que seuls 20 % des donateurs en ligne ont signifcatvement diminué les autres formes de dons au proft d'Internet. Internet est donc un vivier pour les organisatons qui cherchent de nouveaux donateurs et non pas une simple plateforme de transfert des donateurs classiques. La queston de la fdélisaton de ces donateurs en ligne, réputés plus volatles, est l'autre enjeu des associatons, ONG et fondatons. •Une étude récente de France Générosités, réalisée sur la base des chifres de ses organisatons membres, constate que celles-ci n’ont enregistré que 1,9% de leurs dons par Internet. C'est en-deçà de la moyenne de 3% de e-dons en 2009 que l'Agence LIMITE (pour ses clients Fondaton Abbé Pierre, Insttut Curie, Fondaton de France...) et ses confrères constatent -chifres confrmés par l'enquête IFOP et les déclaratons d'associatons qui semblent enregistrer entre 3 et 7 % de leurs dons via le web-, et certaines bien au-delà5 . Y a- t-il une contradicton entre le déclaratf des « e-donateurs » et leur passage à l’acte de don, comme semble l’indiquer l’étude menée par Mediaprism Group sur la base de 2180 répondants de sa communauté d’internautes « Email&Vous »6 ? Ou un décalage entre les atentes et les pratques des « e-donateurs » et ce que leur propose la moyenne des organisatons collectrices ? •Enfn, si les associatons déclarent toutes vouloir investr sur Internet, elles devront faire face à une concurrence forte entre elles, mais également à une concurrence, au-delà du secteur des associatons caritatves, dont certains sont intrinsèquement performants sur Internet et vis-à-vis des internautes : Wikipédia, la Quadrature du Net, Wikileaks, Rue89, etc. Agence LIMITE LIMITE est un pur player entèrement dédié à la communicaton responsable des organisatons qui font le choix de metre l’engagement et l’éthique au cœur de leur stratégie. Fondée par Laurent Terrisse, pionnier de la communicaton sur les sujets d’intérêt général en France et co-créateur de TBWA/NON PROFIT ainsi que du Collectf des Publicitaires Eco-Socio-Innovants, et par Frédéric Bardeau, créateur de Trilogicom, hotshop internet reconnu dans les secteurs corporate et grandes causes, l’Agence LIMITE s’est dotée d’un cahier des charges exigeant en matère de communicaton responsable, pour répondre aux besoins d’impact et d’efcacité des annonceurs engagés et soucieux de leur réputaton. Plus d'informatons sur www.agence-limite.fr Contact presse Agence LIMITE Xavière Bourbonnaud 09 77 05 41 06 - 06 67 05 75 79 bxaviere@wanadoo.fr 4 France Générosités / Cerphi : htp://www.francegenerosites.org/ewb_pages/a/actualites-1673.php 5 Selon les questonnaires reçus par l'IFOP (7% en moyenne), les déclaratons publiques de certaines associatons (Secours Islamique de France), les publicatons ofcielles (AFM-Téléthon) et les associatons dont plus de 90% des dons proviennent d'Internet (exemple : Fondaton Nicolas Hulot). 6 htp://www.francegenerosites.org/ewb_pages/a/actualites-1673.php