1. SCORM
Travail réalisé par:
UNIVERSITE DE TUNIS
Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de Tunis
KAABI Intissar TARHOUNI Souhaieb
ARIDHI Chaima REZGUI Ines
YAZIDI Douaa ZAMMALI Ahmed
1
6. 6
Le contenu peut être partagé entre les systèmes
ou entre les apprenants.
Les leçons dans un cours SCORM
sont appelées « objects».
Un cours peut contenir plusieurs
leçons qui peuvent être liées à des
conditions.
Les inventeurs de SCORM se sont
basés sur des anciennes références
pour définir les instructions.
Définition de SCORM
7. Sharable Content Object Reference Model (SCORM) est une
spécification de codage permettant de créer des
objets pédagogiques structurés.
Cette spécification vise à répondre à des exigences d'accessibilité,
d'adaptabilité, de durabilité, d'interopérabilité et de réutilisabilité.
les normes du modèle informatique SCORM cherchent à faciliter les
échanges entre plates-formes de formation en ligne en maîtrisant
l'agrégation de contenu, l'environnement d'exécution et la navigation
Internet.
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Définition de SCORM
8. L’utilisation du langage XML .
Les parcours de formation se constituent de plusieurs grains pédagogiques
autonomes appelés « SCO » (Sharable Content Object).
Des métadonnées informatives décrivent les contenus e-learning et
permettent de les classer pour les retrouver ensuite plus facilement.
8
Caractéristiques de SCORM
9. 9
SCORM
Version
1.0
SCORM
Version
1.1
SCORM
Version
1.2
SCORM
2004
(1ére
Edition)
SCORM
2004
(2ème
Edition)
SCORM
2004
(3ème
Edition)
SCORM
2004
(4ème
Edition)
2000 2001 2001 2004 2004 2006 2009
La version originale: Définition de la notion d'objet de contenu
partageables SCO (Sharable Content Object) et l'API.
La première version de production: Introduction d'un format
pour définir la structure d'un cours .Rapidement abandonné
pour la version 1.2.
La version référence de SCORM: Offre la possibilité de récupérer les
métadonnées et de rassembler le contenu pédagogique en un seul matériel
à travers le « IMS Content Packaging Specification ».
La première version avec une suite de test pour vérifier la conformité.
N'est plus soutenue par ADL.
Cette version améliore l'indépendance et la maintenance des livres.
Améliorations concernant le modèle d’agrégation de contenu et
l’environnement d’exécution.
Clarification des exigences de conformité et de l’interaction entre les objets
de contenu et l’environnement d’exécution.
La dernière version et la plus complète.
Résolution de certaines ambiguïtés de la version précédente.
Cette version apporte deux nouveaux concepts(la navigation et le
séquencement).
Disposition d’une suite de test plus robuste permettant de vérifier la
conformité et d'assurer une bonne interopérabilité.
Versions de SCORM
11. L’usage typique de SCORM est de gérer les interactions entre un
entrepôt de cours et de ressources pédagogiques et un LMS.
C’est-à-dire une plate-forme pédagogique chargée de
diffuser ces ressources auprès des apprenants et des
enseignants.
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Structure de SCORM
12. Modèle vise à décrire, identifier et organiser des éléments de formation,
au sein d’un entrepôt de documents pédagogiques. Il se divise en modèle
de contenu et assemblage de contenu.
Le modèle de contenu décrit comment composer un contenu de
formation à partir d’un ensemble de ressources. Il utilise ces concepts :
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Assets
SCOs
Activité
Organisation
Agrégation
13. 13
Représentation
électronique de médias:
Textes,
Images,
Séquences sonores,
Pages web,
Objets d’évaluation ,
Autres éléments
pouvant être envoyés à
un navigateur web
Un Asset peut être
décrit avec des
métadonnées pour
l’indexer dans des
dépôts de données
1. Les Assets
14. SCO : Sharable Content Object = Objet de contenu partageable
C’est un ensemble comprenant:
• Un ou plusieurs Assets.
• Un actif lançable qui utilise l’environnement du SCORM pour communiquer
avec le LMS.
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Exemple de SCO:
Api= getAPI();
Var result=api.LMSInitilize(‘’ ‘’);
Var val=
Api.LMSGetValue(‘’exemple.doc’’);
Api.LMSFinish(‘’ ‘’);
Le SCO est le niveau de
granularité le plus fin des
ressources d’apprentissage
pouvant être suivi par un LMS.
2. Les SCOs
15. 3. Activité
Elément pédagogique, une interface entre l’apprenant et le LMS.
L’apprenant lance les ressources à travers les activités.
Pour un étudiant un parcours pédagogique est un ensemble d’activités.
4. Organisation
Ensemble d’arbre d’activités. C’est au niveau d’organisation qu’on associe les
règles de séquencement.
5. Agrégation
Réassemblage entre l’organisation
et les ressources:
Regrouper les grains en cours,
chapitre, module, etc.
Y associer des parcours.
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16. Assemblage de contenu
SCORM utilise le format d’export/import définis par les spécifications de IMS
contents package (CP).
Le CP est un fichier compressé au format zip contenant principalement deux
éléments essentiels :
Le fichier XML nommé imsmanifest.xml décrivant la structure du contenu
et l’association du contenu aux ressources.
Les ressources, ensemble des fichiers physiques constituant le contenu
pédagogiques.
Le fichier imsmanifest.xml comprend quatre zones principales:
Zone de déclaration : elle est représentée par la balise <manifest>.
Zone des métadonnées : elle est représenté par la balise <metadata>,
elle décrit l’objet pédagogique.
Zone d’organisation : elle est représentée par la balise <organizations>,
elle définit l’organisation du contenu.
Zone des ressources : elle est représentée par la balise <resources>,elle
décrit les ressources physiques. 16
17. Ensemble de recommandation que SCORM offre aux
développeurs pour intégrer et exploiter les objets pédagogiques
au sein de LMS.
Fonctionnement de SCORM au moment de l’exécution
Lancement des ressources d’apprentissage (SCOs) par la plate-
forme (LMS).
Communication et suivi des activités à travers l’interface de
programme d’application (API).
Transmission de l’état de la ressource (initialisée, en cours,
terminée) au LMS.
Métadonnées d’environnement concernant l’apprenant.
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18. 18
Le LMS met l’objet pédagogique à l’apprenant à travers un navigateur
classique.
Composant de
contrôle :API
Contenu
pédagogique
19. Le Composant API du contrôle retourne au LMS l’état d’avancement de la
ressource: Passé, complète, échoué, incomplète.
L’état de la ressource retourné au LMS lui permet de déterminer
l’avancement de l’apprenant selon l’enchainement de SCO décrit au sein
d’agrégation du contenu.
L’environnement d’exécution est basé sur 3 catégories de fonctions :
État d’exécution : LMSInitialize(), LMSFinish().
Gestion de l’état (erreurs) : LMSGetErrorString().
Transfert des données de l’apprenant : LMSGetValue(), LMSSetValue().
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20. Permet un parcours d’apprentissage individualisé selon:
La façon dont le professeur a construit la progression.
La progression de l’apprenant.
Permet de décrire la progression des activités d’apprentissage
sous forme d’une arborescence d’activités.
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21. 21
L’apprenant est libre de choisir ses
activités dans n’importe quel ordre
sans aucune restriction
Le LMS doit fournir une interface
utilisateur avec des contrôles pour
permettre de naviguer d’une
activité a l’autre.
L’apprenant doit progresser dans un
regroupement d’activité dans un ordre
prédéterminé
L’apprenant lance l’introduction puis
tous les autres modules dans un
ordre linéaire défini par le LMS.
La navigation de leçon à leçon est géré par le module. La
navigation de module à module est géré par le LMS Les
leçon individuelles ne sont pas directement accessibles,
elles sont encapsulées dans les modules comme des
activités autonomes (SCO)
Les leçons individuelles sont encapsulées dans les
modules comme des activités autonomes (SCO)
L’apprenant commence une test qui
évalue le niveau de l’apprenant pour
chaque module du cours.
L’apprenant poursuit sa formation
uniquement avec les modules dont les
objectifs n’ont pas été satisfaits.
25. 25
1. Structuration
Structuration fondée sur le contenu (cours, chapitre , module) et non
pas sur l’activité de l’apprenant.
2. Obligation d’une connexion WEB
Une connexion Web doit être active durant toute la consultation du
contenu SCORM.
Cela restreint les modes de déploiement, notamment pour les
populations nomades qui ne disposent pas toujours d’une connexion
Web active. Notons que de nombreux LMS proposent un mode
déconnecté basé sur SCORM pour palier à ce problème.
3. Absence de travail collaboratif
SCORM se concentre sur le suivi d’activités individuelles et ne permet
pas de rendre compte d’activités collectives. On pourrait par exemple
imaginer vouloir suivre une mission en binôme dans un Serious
Game.
4. Fautes de Frappe
Difficulté d'éditer et de corriger les fautes de frappe.
4. Traçage
SCORM manque quelques guides de bonnes pratiques en ce qui
concerne la manière d'exploiter les données de traçage.
Inconvénients
26. 1. Méthodes pédagogiques
En considérant que les parcours pédagogiques ne sont qu’une
succession de contenus, on oublie les autres types d’activités,
notamment collaboratives.
2. Évolutions technologiques
10 ans est une longue période. Depuis SCORM 2004 a été introduit
de nouvelles technologies font naissance comme les smartphone, le
cloud computing mais le monde SCORM est encore isolé sur un
navigateur basique.
3. Sécurité
La sécurité de l'API SCORM ne peut être garanti que de façon très
limitée, car il doit être accessible à partir de JavaScript et par
conséquent peut également être manipulé de l'extérieur.
Problèmes
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28. 28
SCORM est donc une réponse pour simplifier le travail des concepteurs
de contenu e-learning :
Standardiser la technique;
Se concentrer sur le contenu et l'expérience de formation.
Si SCORM est complexe à cause de ses trois niveaux, et
orienté contenu plus qu’activité, ce standard présente
néanmoins un certain nombre d’avantages :
il intègre et complète très bien le LOM (ce qui a été
reprécisé dans SCORM 2004) ;
il n’a pas de concurrents;
il est de mieux en mieux supporté par les plates-
formes.
SCORM constitue donc le choix pragmatique d’une
interopérabilité fonctionnelle. réellement opératoire dès
aujourd’hui..²
Résumé
29. Références
Bertin, Gilles. Sharable Content Object Reference Metadata(SCORM). Babel -
edit-_, l’indexation des ressources pédagogique numériques -ENSSIB- janvier
2006.
URL: http://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/documents/1232-l-indexation-
des-ressources-pedagogiques-numeriques-un-partenariat-a-creer-entre-les-scd-et-
les-services-tice-au-sein-des-universites.pdf
Sébastien Fraysse. tandardisation (SCORM, xAPI)
URL: http://www.elearning-standard.com/fr/scorm-en-10-questions/
Les avantages de la compatibilité SCORM (Sharable Content Object Reference
Model)
URL: http://cursus.edu/article/9095/les-avantages-compatibilite-scorm-sharable-
content/#.VmN7oXYvfIV
Glossaire
API : Application Programming Interface - une interface de programmation (classe,
méthode, fonction).
LMS: Learning Management System: ou LSS est un système logiciel web
développé pour la gestion de parcours pédagogiques. 29
Au début de son apparition, l’apprentissage sur ordinateur était un bon moyen pour l’éducation et pour faciliter l’accès aux informations, mais le grand nombre de cours ainsi que leur manque de standardisation à cause de l’impossibilité de partage d’information posait problème ce qui à poussé les spécialistes à créer une référence pour le E-Learning, il s’agit du SCORM.
SCORM est un ensemble d’instructions qui permet la communication entre les cours et les lms
SCORM est l’acronyme de «Sharabed Content Object Reference Model».
Objects : les leçons dans un cours SCORM sont appelées ‘objects’ un cours peut contenir plusieurs leçons qui peuvent être liées à des conditions (par exemple la condition d’apprentissage d’une leçon pour pouvoir passer à la leçon suivante)
La définition du SCORM: …
La définition du SCORM: …
L’apparition du standard SCORM est passé par plusieurs versions et éditions
SCORM définit un modèle d’agrégation du contenu
Passant maintenant à visualiser la partie environnement d’exécution de SCORM
La question se pose : comment cela fonctionne ?
SCORM définit un modèle de séquencement et navigation
Citant les caractéristiques de SCORM. et commençant par l’adaptabilité …