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E. IO. I‘0p6aqeBa. —— 4-e 1/1311. —— M. : IIPOCBGIJIBHI/I6, 2011.— 240 c. : 1»1.r1.——
ISBN 978-5-09-026195—1 .
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ISBN 978'5'09‘026195'1 © I/I3,E[&'l‘8JII:»CTBO <<HpocBen.1eH1»1e», 2004, 2007
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1. Ecoutez les dia|oguesv’I;éa”§h$ regarder le livre et dites: o se
passent-t-its? Quand? Queisilerysont les personnages? De quoi par-
A lent-ils? en f if A
--*‘__ 2. Apres une secondeepécoufelparlezsdess personnages. Comment les
3. Lisezliesiildiallogues fhfaifté voix.“JoueZ¥iIes. lmitez les intonations.
'“"‘,’*:-“‘>-2%.- .~ ~ V7 --Y -» »- V ,
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Anne: Qu’est-ce qu’0n fait? On sort? On va 011?
Mireille: Non, moi, je Je fais mes devoirs
tout de suitepllvlrgyfhui.
Anne: Tu fais tes dide suite? Mais
pourquoi? TuEt puis c’es
la premiere il n’y a
pas beaucoup de E§I>§{Vc§§‘é%lné1 faire!
Mireille: Non, je n’ai pas le temps. Léa ren-
tre aussi 51 la maison.
Léa arnve.
§;;Sa1ut, Léa. Tu ne sors pas aujour-
je rentre £1 la maison,
c’est Panniversaire
I1 y aura une petite
famille.
Anne: V%i3§l‘nVpOUrrait au moins faire un petit
tour dans 1e parc. Ca ne prendra pas beaucoup de temps.
Léa: Non, non, merci, j’ai promis A maman de renter plus 1:61; possible.
Anne: Zut! Alors, 51 demain. Et souhaite bon anniversaire 5 ta mere.
Léa: Merci. Salut.
Mireille: Chaol Chao!
quatre >
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, .., AK,’ '4, ,~ @~~~~<<“'*““"'_“" 5.» ‘I.’ .“ T'_.'., AA-;~z ,.¢,;,,_&;s=,_,,._~‘—’?'~’* —=A " fl»--
B W ::'.:;zw»~ ~ ~ ~ . - ~ ~~»~-~1-»~,, ~~ as ,;,:v‘&;»-i-vs: &~, a .» ; _ ~ .‘ ~§. _
. _W___',__._v .ii‘,.1§:~ “‘Y¥“QJ~_?¥;*:' Y. vi‘ <__A_ J
. >5#<< , ~ ~»~~~»'
Léa, sa grande soeur Lucie, papa et maman sont
a table. Tous chantent.
Tous: Joyeux anniversaire! Joyeux anniver-
saire! Joyeux anniversaire, chere
maman, joyeux anniversaire!
Maman: Merci, merci mes chéris, servez-vous!
(Pause.) Ca va!
Papa: plglfes, trés bon... Mais Léa,
a? Tu es malade?
suis triste parce que
1Zi'ée.’ Le temps passe, et
la meme chose:
histoire-géographie
lffnglais, histoire-géographie. . .
Lucie: Tu asieneiife oublié quelque chose.
Léa: Oui, EPS,*¢allj’aime beaucoup!
Lucie: I1 y a aussi la technologie, les SVT, l’art...
Lea interrompt Lucie.
Léa: Oui, il n’y en a que 2 heures d’art. Mais 4 heures de maths. Toi,
tu en as beaucoup plus!
Maman: Mais, mon petit chou, Lucie est au lycée. Dans quelques années
tu vas étre comme elle.
Lucie: Tu sais, Léa, moi, j’aimerais bien ne faire que de l’art, mais il y
a tellement d’autres matiéres a étudier! L’histoire, par exemple,
on étudie l’histoire ancienne, l’histoire de France, 1e Moyen Age,
les Temps Modernes, 1’Epoque dontemporaine, l’histoire des pays
étrangers; ea n’en finit pas! Sans compter la géographiel Qa ne
laisse pas beaucoup de temps pour l’histoire de 1’art.
Papa: Oui, oui, toutes les matiéres sont obligatoires, jusqu’en premiere
on n’a pas beaucoup de choj,x.
Lucie: Avec toutes ces matiéresqafi sait jamais rien a
Lea: Tu vo1s! Elle parle ;i;l
Maman reveuse ;
Maman: Mais, Léa, la rentrée ses amis,
ses professeurs... J’ai ma mére
m’accompagne, elle me retentit,
et a ce moment-la on se filles, petits
gareons, et puis, on entre dansllalléslasse et on s’éparpi11e un peu
sur les bancs... et puis la je revois le maitre d’école qui gentiment
nous fait signe de nous asseoir et a ce moment-la, i1 nous a parlé
< cinq
tres gentiment et on a été rassuré, parce qu’il nous a pris sous
sa protection, et ca a été un moment agréable, surtout quand il
nous a dit <<bon, eh bien, maintenant, vous allez dessiner et puis
ensuite, eh bien, vous me montrerez vos dessins et puis, on va
chanter et on parlera les uns aprés les autres...»
Léa: Mais il n’a pas dit: <<Bon, eh bien, maintenant on va avoir une
toute petite composition de maths pendant deux heures». Et toi,
papa, quels sont tes souvenirs?
Papa: Un peu moins joyeux, a l’école tout allait bien quoi que la
maitresse fut plus sévére que le maitre de maman. Mais au col-
lege je n’étais pas un bon éleve, j’étais plutot turbulent, je
n’aimais en fait que la récréation et dés que j’entendais la son-
nerie pour la récréation, je me disais: <<Ouf, ca y est, on ne m’a
pas interrogé», et la j’étais tres content parce que j’allais
m’amuser avec mes copains car je me suis fait de tres bons copains
au college.
Lucie: M. Dupont, par exemple.
Léa: M. Barbier.
Papa: Oui, oui. D’ail1eurs, eux, c’étaient de bons éléves et ils m’ont
beaucoup aidé a passer mon bac. L’amitié c’est sacré!
A. Répondez aux questions ci-dessous.
B.13.11
2
A quel moment de l’année scolaire se passe le dialogue?
Quelle heure est-il d’apres vous? Pourquoi?
Comment s’appellent les copines de Léa?
Pourquoi Léa est-elle pressée de rentrer chez elle?
Pourquoi Léa est-elle un peu triste? Et vous, étes-vous triste
moment de la rentrée?
Oil Léa fait—elle ses études?
Quelles matieres étudie-t-elle?
En quelle classe est-elle d’apres vous?
Et vous, quelles matieres étudierez-vous en huitiéme?
O11 Lucie fait—elle ses études?
Quel age a—t-elle d’aprés vous?
De quel établissement scolaire maman parle-t-elle?
Est-ce que papa a gardé de bons souvenirs de son enfance?
10. Etes—vous d’accord avec la derniére phrase du dialogue?
Expliquez pourquoi.
six >
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,}i Enoum le etexteckii§3<Les tepmmenades *-rue ?M.4RézPard»e etméponaeze es
ji '~1"oréalementeeauxqueéstionsr.> * » ,' P A j - P P w
Réfléchissez et répondez.
Qui est M. Rézard?
Qu’est-ce qu’i1 a dans ses poches?
Qu’est-ce qu’i1 demande :31 Patrick?
Qu’est-ce que Patrick lui répond?
Comment M. Rézard récompense-t-il
Patrick?
""":’,'“_;..r.,;';.v1'¢;,t;.;:» . I
-,_,. , , '
,_ ~¢- "w5‘V7E>4T ‘ “~;-rt » ~ _
~»'"'- ""“‘”" ' “ ’*" ”‘"‘L'*' "5°"""‘“ ¢-~vwm:nq--»»¢_.:,_.f‘,___,_m "‘*"“""~'>-»~‘.“!2M
Etudiez les documents ci-dessous.
'7l~ , YA A '5 d颰""¢"'° d" ¢°||é9°
L’école maternelle est facultative £1 partir de 1’:?1ge de deux ans.
Des 6 ans, l’éco1e primaire est obligatoire. Aprés celle-ci tous les enfants sont
accueillis dans les colleges pour quatre années d’études, avant 1’entrée dans le
second cycle de Penseignement secondaire.
Les locaux du college sont variés: bureaux, salles de cours, gym-
nase, salles spécialisées (laboratoires, informatique)...
( sept
.lX’ 1/5/Pi Le princlpal dirige 1e col-
lege aide par une equipe administrative
L’équipe pédagogique est composée du pro-
fesseur principal, qui coordonne le travail
de l’équipe, et des autres professeurs, qui PQUR CQMPRENDRE LE5
enseignent chacun une matiére. Le con- DOCUMENTS
seiller d’orientation aide les éléves dans le Cp_ Cows préparatoire
choix pour leurs etudes a venir. Le con (3E_(:0urS élémgntaire
seiller principal d’éducati0n et les surveil- CM —— COWS move"
lants assurent l’animation de la vie sc0- BT—B'e"et teohmcie"
laire et la discipline. L’intendant (ou ges- CAP_Ce'JF[)i:ic:ztS;§1l)ntiet:lJE(:je
tionnaire) et son équipe s’occupent des EPS_EduCatiOn physique et Sportive
finances et de 1’entretien de 1’étab1isse- 3V1-_ Sciences de |a vie et de |a -|-em;
ment. Le college est une communauté oil CDl—Centre de documentation et
chacun joue un role. d'i"f°'ma’[i°"
UNSS — Union nationale du sport scolaire
w‘§,£w
Wparcours scolalre
:?:’I*./ Quelles sont les deux écoles que peut fréquenter l’enfant avant
d’entrer au college?
2. A quel age 1’école est-elle obligatoire?
3. Quel examen a lieu a la n de la derniére année de college?
Quelles sont les différentes orientations proposées aprés le college?
huit
z
%_W;
,_ _ -»@-1;»-1'
“')°”"”' ‘*i$'4>R:» .A*' V
des locaux d'un collége
”*“*;£3$x@%WMWGhaque collége a son nom. L’0rganisation des locaux change d’un
établissement 51 l’autre, mais on retrouve partout un certain nombre de lieux pro-
pres au collége.
r6le de chacun
neuf
1. Quellea sont les personnos qui travaillent au college?
2. Quels sont les membres de l’équipe administrative? Qui la dirige?
3. Quel est le r61e du conseiller d’éducation?
~semalne d'u colléglen E
9 ' ‘ 6
yam," ll
M Vozcz lemploz du temps hebdomadazre de Max, eleve de 6 .
1. Combien de temps Max passe-t-i1 au college chaque semaine?
2. Combien a—t—i1 d’heures de cours au total? A-t-il des heures de
permanence? A quel moment peut-il aller au CDI?
3. Calculez 1e temps consacré a chaque matiére par semaine.
Comparez avec votre emploi du temps.
4. Que signifie: remise a niveau? D’aprés 1’emploi du temps, quel
est 1e point faible de Max?
5. Selon vous, comment Max devrait-il s’organiser durant la
semaine? A quel moment devrait-il se consacrer a ses devoirs et
leoons, aux jeux, a autre chose? t
1
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entiratiqug
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V 1. Recormaitre Torigine des ncms.
Les noms de college
- Voici une liste des noms de colleges: l
Georges Brassens, Paul Cézanne,
Blaise Pascal, Emile Zola,
Pablo Picasso, de la Vache-Corne,
Jacques Brel,
Jean de La Fontaine, Richelieu,
Marcel Pagnol, des Prairies,
du Bois-Joli, Claude Debussy.
- Retrouvez Vorigineldes noms de colleges: noms de ces personnalités, noms des
Iieux, ou autres? i L
- Si vous pouviez donner un nom a votre école, quel nom proposeriez-vous? '
Pourquoi?
2. Faire un schémo. 6. partir d’un texte.
Les horalres d'un colléglen au début du XX‘ slécle
L’écrivain Marcel Pagnol raconte ses journées de collégien: il a onze ans
en 1906.
Nos journées débutent a huit heures moins le quart par une
<<étude>> d’un quart d’heure suivie de deux classes d’une heure. A dix heures,
apres un quart d’heure de récréation, encore une heure de classe, et trois quart
d’heure d’étude avant de descendre au réfectoire.
Aprés le repas de midi, une récréation d’une heure entiére précédait une demi-
heure d’étude, qui était suivie de deux heures de classe. A quatre heures, seconde
récréation, puis de cinq a sept la longue et paisible étude du soir.
En somme nous restions au 1ycée* onze heures par jour.
*Ce lycée comptait des classes de la 6*’ a la terminale.
Marcel Pagnol,
Le temps des secrets
4 01128
“i
- Sur Ie modele d’une journée de Marcel Pagnol faites le schéma d’une journée
de /’empI0i du temps d’un collégien contemporain.
- Que! nombre d’heures est consacré aux cours, au travail personnel, aux repas
et aux recreations?
- Comparez avec I’horaire d'une de vos journées.
mi 3. Retrouver 1e vocqbulaire.
Le fonctlonnement du college
Recopiez ces phrases et complétez-Ies en plagant au bon endroit Ies mots suivants:
réglement intérieur, c
- - - - WM595 ‘ mar» dunierlu wltagu an class: do: N“, 3: Q; 31‘
professeur principal, principal ad Dams Rh
joint, gestionnaire, conseil d’admi- "W "°"""" "°""l7'1' =¥Z93'°"“° 1“ ‘-“"*3”-“——~
nistration, principal. Mm" -= " l“'M55T"5 °‘-*5“
Z1: 2 § "A Miluonadu mluscun
Le dirige le college. I1 est par- e a _“:‘l€::f;“';"':,":“::‘:;""" _
fois assisté du . Il préside le °""°°"""' ‘° ° '€s-~‘=: Krma-ivr
d’... qui vote le budget du college et Gnmmsivo 05  x-J .j<_'<.vu$~
adopte le . Le s’occupe de >*~'W~~.~"~*~*-*>*-r~'-H“?Com90$.Fvam l 05 -
..-~.». m».- §_u~ _<_~.-.:.1~r
l’entret1en des locaux. Le co0r— I
', s.:¥e‘s f'ms'*donne pédag-0gique_ Mauwmaiquas ’,l -. 1:14 R.-AK.-u .02 1
'4 ,_,,,¢,,y_¢_,c,_ , . ~ ‘:2 4 ‘Wt l
~>:;;: 4. Le ‘bulletin ““°""-’*"$‘a“~l l‘ ll‘ ‘G.-Qllw.
_ . ‘ qudlau Q ,7 h ,,,
~ trzmestriel en- ““‘°"°""°' WK‘! s-- 4; '-»-l&,z W
all .
voyé aux .pq_ sumumm 03 44 ‘Z2: '_““7“./ {"0 u.
rents Sc. Physique:
, . Dusin
Document precieux V,
pour progresser, le bulletin contient E°"'““““"ct 55*»-- (5-=*’l"~'*'~‘"'-~'"~-
un certain nombre d’indications qu’il em.
faut comprendre et connaitre: la note E_,_5_ _t-/:-1‘;
est l’évaluation chiffrée des résultats W“
de chaque discipline; la rnoyenne i
D
, , _ , ‘ -- . i mm lrlui
generale permet de situer l’eleve au °“;‘u‘°“‘ ‘“"“"‘°"’ *""“"'“‘“‘i»w~w>-i:~
sein de la classe pour chacune des Conuil MM W am Ehwmnwiv
,  “Cum """' D pout umaum
matleres. 1 ~
Cl In amntnomwwoquts
1. Combien de fois dans l’année if 1 _ . . / '
scolaire le bulletin est-il établi? Qui Q“
le recoit? A quoi sert-il‘? Appréciatians (ls//lwjvl/‘»lA» +40
2. Observez ce bulletin: sur quel mi’:‘:'mm /‘J00 A7trimestre portent les résultats? Com— W
bien y a—t—il d’éléves dans cette classe?
douze )
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§gi,i humaines deviennenl Trop difficiles. Par le passe, on a con-
W slruil Trop de colleges dans l‘urgence, pour accueillir ’rous
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les éléves qui se présenlaienl. Ils son’r souvem‘ laids, e’r
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meme pas fonchonnels. Mon college ld€(1l compor’re des ueux
de Travail, des lieux de culture (une grande salle pour falre
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» 2» '19¢'*‘~,~<~;:~‘2w>~,~
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salles de classe son’r modernes e’r décorées par les éleves
eux—m€mes. Elles son’r équipées de casiers afin que les
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as ’rr'o d'éléves' au-dela d'une cerlame Tculle, les relahons
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Fran<;°l15 Pmss ,. nt sur Interne - . is
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1e fr;rf:: 1:I';‘i'' ' =1 A exerrécde -pnmoure . er sans cesse Naus
. llege. contmu beaux textes.11 faut, Q“ °° , . ~ q rendre de ll , an- - ‘ ecnre, <1 PP us save-ns. Ie ¢
tudes a 1115* Q  ' dre Ce que “° , ~ ‘,4: , ' pre ‘ , 0 ecvnt; G‘
ct?-‘é We G reap - 1; q ecrzreo enspassons n . re en lzsom . L » l ue an. ~ ndre on
“trise so. 10.113 'tmue <1 “PP” Qucmd on .m°-1
. ’ lo am-dmloguer en dm g
“tes <5-E 1°‘ vie’ Mireille
Peut affronter tcutes les tempe
I1 donne Q. cha.cun, selon sa. sensibilité, une chance dc
s’épa.nouir.
Le college de mes réves fait place é, la diversité des intell-1
gences. Les éleves sont tous différents, et chaque intelligence a
sa nobl ' ' 'esse. Certalns ont une lntelhgence plus littéraire, d’autres
plus expérimentale, ou plus théorique, ou plus artistique. Chacune
mérite d’etre reconnue. Je ne réve pas d’un college sans noteS,
sans effort ni rigueur. Plus simplement je voudrais un college ou
1’on do ‘ ' ‘nne une seconde chance a. celul qul s’est trornpé!
Anne
C'esf un ‘ ~
Dans mon coinage fhacun es? respecfa¢°e9e'é<J,chau " - - ,.men? Pourquoi il est Id II f0UTVVA(€§lCg‘“lT?>|1?s,er‘:‘u
ense1|*9Tam’ saw preclsén» ' V e rouven es raisons d Ipresence ensemble sous urrmé - e eur. ' I me Ton‘! Pour cela il f 'regles du jeu soiem‘ connues ' Gut cuss‘ que ‘es_
, compmses ef res ec’rées II fsanchong quand enes Sam né . P . auf que les_ ' cesscures soaenf 'us*r - - ,Mals si les enséil c - - ' J es 6" me" eXP|'qU¢¢$gncmts doavenf €X|g€|" de Ieur-s él‘ '" '
Us do“/em vplmey/_es quals progressenfmslalssep , ‘ cw , '|eU,. capacifé dlini1_ia1-ive§" L1r‘ I-“Q68 a |eur" creahvrre, developper
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1es éleves puissent utiliser Pinformatique et Internet
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muzru-mzzi nux mn-
1_ Le co//éje £v/e'a/
a) Résumez en une ou deux phrases chacun des compositions.
Ecrivez-les sur une feuille de papier.
b) Lisez ce que vous avez obtenu a vos camarades. Discutez sur
les conceptions du college ideal.
c) Créez collectivement |'image d’un college ideal vu par les éleves
francais.
2,_ /mans avec /as mots
a) Trouvez dans les dialogues et dans les rédactions des éleves
frangais tous les mots en rapport avec le sujet <<Ecole>>. Remplissez
la grille ci-dessous.
Noms Adjectifs Verbes
b) Complétez la grille avec les mots du cahier d’exercice.
c) Ajoutez-y les mots que vous considerez indispensables pour
décrire votre école.
5_ Liéao/e 0/2 mes réves
a) lmaginez une école oil vous iriez avec plaisir. Décrivez-la en imi-
tant le modele des rédactions des éléves francais, employez le
lexique de l’exercice 2. Lisez votre composition a vos camarades
de classe.
b) Ecoutez attentivement ce que lisent vos camarades. Prenez des
notes: résumez en une ou deux phrases ce que vous entendrez et
inscrivez ces phrases sur une feuille de papier.
c) Créez collectivement |’image d'une école idéale.
d) Ecrivez une lettre collective a Okapi en exposant votre vision de
|’école idéale.
( dix-sept
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§~.;¢:z1',§"'I::" .5;E»11mz‘-V:
,5’ f§,Zi[éI'Z'j.1L'I, ~'i&*:&¢z:!s'~Z*11' Y-r ylsxmfi ~
LE SUBIQNCTIF PRESENT
Je souhaite que tous les jeunes Franqais puissent naviguer :31 1'in-
’ ' 7 ' térieur de leur langue avec autant d’aisance qu’i1s surfent sur
Internet. i
4%;
. ,
I1 faut que tous retrouvent les ra1sons de leur presence, ensem-
“L M ble, sous un méme toit! 2;;
- .  . . . gig?»
Il faut auss1 que les regles du Jeu sozent connues, compr1ses et
A ,
respectees.
23,
‘?§3**“
Il faut que les sanctions soient justes et bien expliquées.
Les enseignants doivent exiger que leurs éléves progressent.
'/ Alors, 35 heures, c’est bien, mais il faudrait que ce soit pour
tout le monde.
=7“ ii»
‘Y? * V a=:-r'.. . 1
‘Z "
Les verbes en italique sant au subjonctif -présent.
Comment peux-tu les reccnnaitre?
Est-ce qu’i1s expriment des faits qui ont déjé eu lieu?
Est-ce que tous les jeunes Franeais ont appris 5 naviguer A 1’in-
térieur de leur langue avec autant d’aisance qu’ils surfent sur
Internet?
Est-ce que tous ont retrouvé les raisons de leur présence, ensem-
ble, sous un méme toit?
Est-ce que les régles du jeu sont connues, comprises et respectées?
Est-ce que les sanctions sont justes et bien expliquées?
Est—ce que les enseignants sont exigeants?
Est-ce que tout le monde travaille 35 heures par semaine?
dix-huit )
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I
LA CQNIUGAISQN SUBINQTIF
Verbes du F’ groupe
lndlcatif présent Subjqnictifa ,pI'é$8l1t, ll
je chante V que je chante
tu chantes que tu chantes
il chaute qu’i| chante
elle chante qu'el|e chante
nous chantons que nous chantions
vous chantez que vous chantiez
ils chantent qu‘ils chantent
elles chantent qu’e||es chantent
5 La deuxiéme colonne de ce tableau donne la conjugaison du subjonctif présent
F
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"M¢;..4.F=.-W--W
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I
is
3
des verbes du I“ groupe. Vous constatez que le radical est le méme 51 toutes les
personnes. Observez les terminaisons et comparez-les a celles de Pindicatif
présent.
* 1
Verbes du IF groupe
lndicatif aprésent ' Subjonqtif présent
je nis que je finisse
tu nis que tu finisses
il finit qu‘il finisse
elle finit qu’e||e finisse
nous finissons que nous finissions
vous finissez que vous finissiez
ils finissent qu’i|s finissent
elles nissent qu elles finissent
Observez le radical: vous constatez qu’au subjonctif présent, le5
A  
radical est le meme a toutes les personnes. Si vous comparez a
Pindicatif présent, que remarquez-vous?
( dix-neuf
Le subjonctif présent des verbes du II° grcupe
se conjugue sur 1e radical des trcis perscnnes
du pluriel de 1’ind.icatif présent.
Observez maintenant les terminaisons. Comparez-les 51 celles des
verbes du I" groupe: que remarquez-vous?
@
ptéscnt, les termimisons bes verbes
sour les mémes: ~e, -es, -e, -iohs,’ 5
% a€z‘z‘em‘2'0n./
V Les terminaisons de 1'9 et de 2° personne du pluriel =
sont les mémes que celles de l’imparfait.
‘ '
, ,, /,,@,.,'“,,,
~a j& Q W
Verbes du IIF groupe
faire ~ pouvoir L dire V
que je fasse que je puisse que je dise
que tu fasses que tu puisses que tu dises
qu’i| fasse qu’i| puisse qu’i| dise
qu’el|e fasse qu‘e||e puisse qu’e||e dise
qu’on fasse qu’on puisse qu’on dise
que nous fassions que nous puissions que nous disions
que vous fassiez que vous puissiez que vous disiez
qu’ils fassent qu’ils puissent qu’ils disent
qu’e||es fassent qu’el|es puissent qu‘el|e disent
Ce tableau dcrme Ia conjugaiscn du subjcnctif
présent des verbes faire, -pauvair et dire.
Observez les terminaisonsz ce sont les mémes que celles des
verbes du I" et du II° groupe. Observez 1e radical: que remar-
quez-vous?
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prendre vfenir ] voir . V
que je prenne que je vienne que je voie
que tu prennes que tu viennes que tu voies
qu’i| prenne qu’i| vienne qu’el|e voie
que nous prenions que nous venions que nous voyions
que vous preniez que vous veniez que vous voyiez
qu’ils prennent qu’ils viennent qu'e||es voient
Ce tableau dorme Ia conjugaison du subjcmctif
5 I
present des verbes -prendre, venir et vcir.
Observez les terminaisons: ce sont les mémes que celles des verbes
du I" et du II“ groupe.
Observez le radical: que remarquez-vouz?
a¥z‘z‘em‘z'0n./ oh
‘ u
e 9 ' Q
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N Ouelle est la 3 personne du pluriel du present
Pindicatif de prendre et de venir? V Vs
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a¥z‘z‘em‘z'0n encarel.:»3’£:>¢,»,_ ' . 1;:
/- m»,,<§,A;§%K , I ‘ii
~~s 1
T“Vo|r: 1'9 personne du pluriel du présent de l’indicatif:oV L
nous voy-ons; nmparfantz nous voy-|ons; sub1onct|fossoM%Ҥ%
L so presem que "°“$ "°Y '°"s;Autres verbes
V aller avoir étre
que j’ai||e que j’aie que je sois
que tu ailles que tu aies que tu sois
qu‘i| aille qu’i| ait qu’i| soit
que nous allions que nous ayons que nous soyons
que vous alliez que vous ayez que vous soyez
qu’ils aillent qu’ils aient qu’ils soient
( vingt et un
On emplcie 1e subjonctif:
1'1’/I 1) Dans des propositions indépendcmtes excla-
matives.
($16. Qu’il vienne immédiatement! (exprime un ordre)
Que tous les enfants soient bien compris par leurs parents!
(exprime un souhait)
2) Dans des propositions subcrdcnnées:
complétives derriére des verbes:
e de volonté,
e de sentiment,
s de doute,
s pour exprimer un souhait, une hypothése.
§J(. Je veux qu’i1 aille se promener avec moi. Je suis heureux
que mon école soit la meilleure dans mon quartier. I1 semble qu’i1 e,
entende mal. Je réve qu’on se comprenne bien dans mon college. _@
i relatives: lorsqu’il y a un doute sur l’existence de Pantécédent.
($16. Je cherche une librairie ou on vende ce livre. Je réve d’un
college dont tout le monde puisse étre fier. Je voudrais un col- 7
lége ou 1’on donne seconde chance 51 celui qui s’est trompé.
§ circonstancielles:
s de temps: (apres) avant que, jusqu’E1 ce que;
s de but: (aprés) pour que, afin que;
s de condition: (aprés) 51 condition que, pourvu que, :31 moins que;
s d’opposition: (aprés) bien que, quoique.
£26. Nous chercherons jusqu’é1 ce que nous trouvions la
solution. Je viendrai te voir avant que tu (ne) partes. Je
te le dis pour que (afin que) tu le saches. Je vous le dirai
E1 condition que vous ne le racontiez £1 d’autres. Le temps
est magnifique pourvu que la température ne monte plus.
Nous viendrons £1 moins qu’il ne pleuve. Quoiqu’i1 fasse
tout son possible, il recoit de mauvaises notes. Bien qu’e11e I
travaille beaucoup, elle ne réussit pas.
vingt eux >
i 1.
, Un 1
- :<§~
Mettez les verbes entre parentheses au sub-
jonctif présent.
7
. I1 faut que je (faire) attention en traversant la rue.
. Je suis content que tu (venir) visiter ce musée avec moi.
. Nous aimerions que Jean (étre) un peu plus calme.
Je doute que tu (finir) tes devoirs avant le diner.
Il semble que tu (avoir) assez de temps.
J’aimerais que nous (prendre) du pain avant de rentrer.
. J’accepte de me promener avec Elisa a condition qu’elle (mettre)
un manteau.
8. I1 n’est jamais pressé quoiqu’il (venir) toujours en avance.
9 . C’est la seule amie que nous (avoir).
10. I1 faut 1’aider afin qu’elle (faire) plus vite son exercice.
B. Relisez les phrases ci-dessus et justifiez Temploi
du subjcnctif présent.
2. Ecrivez cet itinéraire en ccmmengant par i1 faut.
Pour arriver jusqu’a notre village, prenez autoroute A13 jusqu’a
Caen. Empruntez ensuite le périphérique et sortez dans la direction de Vire.
Traversez Vire, passez par les Vaux de Vire et la, suivez les indications qui vous
méneront jusqu’a Champ-du—Boult on nous vous attendons.
5. Complétez les phrases par un verbe au sub-
jonctif présent cu ci Yindicatif présent.
1
7
. Je désire que tu (venir) avec moi au cinéma.
. I1 faut que vous (étre) tres attentifs.
. Je sais que tu (avoir) énormément de courage.
. Je voudrais que vous (passer) par Argences.
. C’est le meilleur dentiste que tu (pouvoir) trouver.
. Je t’assure que tu (pouvoir) y aller.
. Je crois que ses parents (vouloir) qu’elle (aller) au college
César-Franck.
8. Je cherche un boulanger qui (faire) du pain complet.
9. J’ai trouvé un boulanger qui (faire) du pain complet.
10. I1 est préférable que tu (faire) du sport tous les jours.
4:. Subjenctif cu indicatif? Ccmplétez les phrases
suivantes.
1. I1 est utile qu’i1 ses erreurs. 2. Si le soleil de nouveau,
je changerai de robe. 3. I1 faut que tu . 4. J’aimerais qu’il . 5. Je veux
que mon college . 6. Papa dit qu’il . 7. I1 est heureux que Lucie .
8. Maman est triste qu’el1e . 9. Elle raconte que sa mere . 10. Léa réve
que ses copines .
II5. Reeerivez chacune de ces phrases en rem-
plaeant 1e premier verbe par eelui qui est
6.
indiqué entre parentheses.
1.
9.
Je veux que tu sois en pantalon pour jouer dans 1e bois. (savoir)
J’aime que tu viennes :21 la piscine avec moi. (croire)
Nous savons que vous étes en vacances. (attendre)
Vous voulez qu’i1s puissent se reposer ici. (penser)
Je sais que nous avons beaucoup de chance. (souhaiter)
Je pense qu’i1s sont trop fatigués pour venir. (douter)
Ils veulent que leur éleve réussisse. (espérer)
Je suis sr qu’e11e prend 1e train de 12h 50. (étre étonné)
Je souhaite qu’il fasse assez beau pour faire une marche en
montagne. (croire)
10. I1 faut que tu fasses du sport tous les jours. (étre sr)
Créatien. Rédigez une charte des éléves en dix
points, dix propositions qui deivent déterminer
leur compertement a 1’éco1e.
Que 1’éléve
Qu’i1
En cas de retard, qu’i1
En cas d’absence, qu’i1
S’i1 ne comprend pas un cours qu’il
S’il veut réussir qu’i1
Si un ami a des difficultés, qu’i1
Si un voisin est trop bavard, qu’i1
S’il veut prendre la parole, qu’i1
S’i1 veut qu’on le comprenne, qu’i1
-‘FED
Unité I
7. Lisez Ia suite de Phistoire de M. Rézard, trouvez les verbes au sub-
jonctif présent et expliquez l’emp|oi du subjonctif dans ces phrases.
,f V l In _ i‘(sulte)~:~up~ ~~
Patrick revient bientot en criant:
— Maman veut bien! Maman veut
bien!
Mais i1 n’est pas seul. Bruno, son jeune
frére, le suit comme son ombre. Arrivé
pres de M. Rézard, Bruno demande:
— Vous voulez bien que j’ai11e avec
vous?
— Oui, mais a condition que vous ne
vous chamailliez pas!
M. Rézard prend son baton, des
paniers et les voila partis. Arrivés a la
hauteur de 1’église, ils rencontrent Marie-
Hélénez
-— on allez-vous? demande—t—e11e.
— Aux champignons.
— Vous voulez bien que je vous accom-
pagne?
1<1szARD
MOTS EXPLIQUES
Comme son ombrez Bruno suit son
frére de trés pres et ne le quitte pas.
Se chamailler: le vieil instituteur ne
veut pas que les enfants se disputent,
qu’ils se chamaillent.
Presbytére: la maison dans laquelle
loge le curé s’appelle 1e presbytére.
. . .. . A . ,'Oui, mais a condition que tu ne te plaignes pas d’etre fatiguee.
Pres de 1’ancien presbytére, les trois fils du macon demandent:
— O11 vous allez? On peut venir?
— Oui, mais a condition que vous soyez raisonnables et qu’une fois arrivés
dans 1e bois vous ne vous éloigniez pas!
Ils rencontrérent encore Véronique, Pascal et Juan, le petit Portugais. Tous
posérent la méme question, tous recurent la réponse souhaitée. Ils cueillirent beau-
coup de champignons et furent sans doute trés sages puisque M. Rézard promit:
— La prochaine fois nous irons aux noisettes!
R. Millot
Quelles questions posent les fils du macon‘? Si ces questions ne sont pas cor-
rectes, écrivez—1es en bon francais.
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[CS l’édt8t|O|lS petite boite de metal. I1 punissait le
Les éléves apprenaient par coeur. mallvais éléve en 1,911‘/'0Y31115 all Piquet,
maitre fajgait I-épéter et I-éciter dans un coin de la classe ou de la cour.
indéfiniment les tables de mu1tiplica- Et Surtouta 11 19 gardait 911 Petellue
tion ou la liste des départements 19 $011‘!
newIQ’!-myr~
l‘ &§'fr;w*g‘»~'+,1,,w‘
F‘
(‘D
ll
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Qzijjfrancais. Les éléves apprenaient aussi
iibeaucoup de p0éSieS_ Le métler d'lnstltuteur
L’instituteur était l’un des hommes
[GS d|C|ié8S Qt l8 Ciltlll les plus instruits du village. En plus
La grammaire et 1’()1'1;hQgI‘aphe de sa classe, il avait de nombreuses
avaient une grande place dans l’en— responsabilités. I1 travaillait pour
seignement, I1 y avait au mgins 4 di¢- la mairie, donnait souvent des cours
itées par semaine! Les éléves faisaient auX adultes 18 S011" 615 rendait Service
W
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ll“' .,,__¢
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€P?§
>*-in
aussi des problémes de calcul et de &uX gens-
géométrie. Ils apprenaient aussi l’his—
toire de France et des sciences appelées I-e cerucat d études
,,- »1=.:'*
*1 ¢1eQQn de (;h0SeS,>_ C’est le dipl6me que révaient
d’avoir les écoliers a la fin de leurs
I-es |'颰mPeIIS8$ 81 |8S études primaires. L’instituteur pré-
DIIIIIUOIIS parait ses meilleurs éléves a cet exa-
Le maitre donnait des bons points me11- Lem‘ Slmcés était 19 $18119 q11’i1
que l’éleve collectionnait dans une exercait bien son métier-
~ , e . ~ ~> V ’““>-~a.~..>,,,,.“J-</> u~ — _‘ PW“ _., _~ > *1. :. »~---uu._- _. a ‘*" - ,
~ ....:¢-W‘;-~ -~-1 p "-'”‘ "t‘A I T1: ‘ "1, ' if " = In "rm-‘-?:“£?r::_~2w~
i<~ ~‘:.=‘*§~@@g_. =-,0-=>-=w=,.-.~_.__-m..,_:::_.,._
W En 1897, le cartable de l’écolier ne Pas d‘¢ffa¢e|||'_ mals |||'|g gqmme
contenait pas le méme Inatériel qu’au- 3 en¢|»e|
J°urd,hui' C’était difficile d’effacer les taches
d’encre car la gomme dure trouait
Pas de trousse, mals un plumler souvent 1e papier.
Dans cette boite, l’écolier rangeait pas de Runes’ mais des
Wl¥”’****‘#
1'§., .
Y‘

M‘! Q
,,
.' X.
en b0lSl

un crayon, une regle en bois, un p0rte— crayons de couleu
p1ume_ Peu d’enfants avaient des crayons
de couleur. C’était un matériel couteux
P35 dg sub Q b|||Q' mgls un offert parfois comme cadeau de Noél.
porte-plume!
L’éc0lier écrivait a l’encre violet- pas de came’ de broumom mais
~% te avec un porte-plume. Dans une "tie mrdolsei
petite boite, H rangeait ses plumes L ardoise servait ppur des exerclces
en acier_ collectifs. Le cahier etait reserve aux
R.
1 irmy
>
.-9.“,
3
devoirs.
L ii” i § 5if ‘$7 2 i
Y?’ 1 i‘ *3 (1%: vmgt-sept
ii??? § '1? £ - 5; ,1 F '5 "X: 31 :9
§5p$’ , 5 . ‘£1 § ii 1 5 _,§
251$ 2 ‘if“1 L Z {ii xi‘-¥~ 5
Unlte 1
P35 d¢ ma||||¢|5 (0|Q|'é$, mals des parfois un gros taille-crayon 5 ma-
livres sévéres! nive11e-
Les manuels scolaires étaient peu
illustrés. Le livre de lecture le plus pas dc calculate» mals un banner!
s’appe1ait <<Le tour de France de Le boulier permettait de faire des
enfants». opérations en déplacant des boules sur
des tiges de métal. I1 y avait une tige
pas de ta|"e"Q'ay9n- mals ll" Can"! pour les unités, une pour les dizaines,
Les crayons étaient taillés avec une pour leg een1;aineS,_,
canif par le maitre. Il utilisait
~' ~ ~ ~ ' ' ‘ ' ‘ ~~-~-~?- "*f¢~*»*W*""“‘“****’*1“*‘*=<‘<~'**'~**’1‘"‘*=1**1“’*‘"!1sP‘*‘t*14?’?‘@s2ws*=~¢>¢:~s»»wm=m<:=~-,%s.-m.m.~,W...s !~> ..
~ P‘-v '»--»~ r*i~*) e .»‘<»-<-¢.~~e M» -~» -1. mm- >4‘
Sur cette miniature du XV‘* siécle, un moine L’instituteur a toujours une grands place
apprend a l|re Ie |at|n a ses eleves. aupres des enfants comme le montre le
téléfilm L’instit.
All MOWII A98. les écoles Au XVII‘ slécle, les petites écoles
monastlques Pendant le régne de Louis XIV, des
Au Moyen Age, les enfants nobles écoles s’0uvrirent dans les campagnes.
étaient souvent instruits par un pré- La classe était faite dans un local mal
cepteur. Certains enfants étaient c0n- Chauffé, (18118 16 loge-ment du maitre
fles a des monasteres. Les m01nes 0L1 meme Clans une grange. Le maltre
étaient chargés de les instruire. Les était, avec 19 Curé du Village, 1,1111 des
livres étaient rares et précieux, Le seuls é savoir lire. Les écoliers appre-
livre de lecture des éeeliers était un naient 51 lire le latin dans des livres de
llvre rel1g1eux, eerlt en latm, 1e prleres. Ils sabsentalent souvent pour
psautier. travailler aux champs.
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Le photographe Robert Doisneau a
avec tendresse la vie des écoliers vers
Au XIX‘ slécle. l’école pour
Apres la Révolution francaise
struction progressa. La missi1
l’école était immense: en effet, en
un tiers des femmes et un qua:
hommes ne savaient méme pas 
de leur nom! En 1882, le minis"
1’instructi0n publique, Jules 1
rendit l’école, gratuite, laique e‘
gatoire pour les enfants de 6 a 1
Auj0urd’hui, tous les enfant
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a l’ecole jusqu’a 16 ans. Les
sont mixtes et ne dépassent p
éléves. A l’ecole maternelle e"
maire, 1e mobilier est a la tai1I
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l’école prlmalre au]ourd’hul
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enfants. Les tables ne sont pas to
alignees face au bureau du mait
En 1897, les écoliers portaient tous une écoliers apprennent a utiliser des
blouse. Celle-ci était souvent de couleur som- nateurs, 115 étudient aussi les 1
bre pour cacher les taches d’encre. étrangér-es, Sm-tout yang-1ais_
5
Presentez la journee d un ecolier frangais d il y a 100 ans.
Comparez le contenu du cartable de |’écoIier en 1890 avec le
Quelles sont les grandes étapes de l’hist0ire de |’éducati1
France?
Comparez les systémes éducatifs de France et de Russie.
sont leurs points communs?
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Le papa de Nicolas a rendu un service person-
nel a son patron, M. Moucheboume. Ce|ui-
ci envoie un jeu de i’oie a Nicolas, qui en
a deja un. Nicolas se contenterait bien de tele-
phoner a M. Moucheboume pour ie remer-
cier, mais ses parents exigent qu’i| lui écrive
une lettre.
— Ecoute, Nicolas, m’a dit maman. Si
tu es sage et si tu écris cette lettre
sans faire d’hist0ires, tu pourras
prendre deux fois du dessert.
6. "6" Moi, j’ai dit que bon (c’était de la
tarte aux abricots!) et maman a dit
qu’e11e allait préparer 1e diner et elle
est partie dans la cuisine.
N a — Bon, a dit papa. Nous allons faire un brouillon.
10. I1 a pris un papier dans le tiroir de son bureau, un crayon, il m’a
regardé, il a mordu le crayon et il m’a demandé:
—— Voyons, qu’est—ce que tu vas lui dire, a ce vieux
Moucheboume?
~ ~ ~ M —~ — Ben, j’ai dit, je sais pas. Je pourrais lui dire que meme si j’ai
15. déja un jeu de 1’oie, je suis tres content parce que le sien je vais
1’échanger a 1’éc0le avec les copains; i1 y a Clotaire qui a une
voiture bleue terrible, et...
— Oui, bon, ca va, a dit papa. Je vois ce que c’est. Voyons...
a
Comment allons-nous commencer?.. Cher monsieur... Non... Cher
2Q. monsieur Moucheboume... Non, trop familier... Mon cher mon-
sieur... Hmm... Non... prends 1e crayon et écris.
Je me suis assis au bureau et papa a commencé la dictée:
— Cher monsieur, virgule, a la ligne... C’est avec joie... Non,
efface... Attends... C’est avec plaisir... Oui, c’est ca... C’est avec
25, plaisir que j’ai eu la grande surprise... Non... Mets 1’immense sur-
prise... Ou non, tiens, il ne faut rien exagérer... Laisse la grande
surprise... La grande surprise... La grande surprise... La grande
surprise de recevoir votre beau cadeau... Non... La, tu peux met-
tre votre merveilleux cadeau... Votre merveilleux cadeau qui m’a
50. fait tant plaisir...
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Ah! non... On a déja mis plaisir... Tu effaces plaisir... Et puis, tu
mets: <<Respectueusement...» Ou plutot, <<Mes salutations
respectueuses. . . >> Attends. . .
Et papa est allé dans la cuisine, j’ai entendu crier, et puis, il est
revenu tout rouge.
— Bon, il m’a dit, mets: <<Avec mes salutations respectueuses»,
et puis, tu signes. Voila.
Et papa a pris mon papier pour le lire, il a ouvert des grands
yeux, il a regardé le papier de nouveau, il a fait un gros
soupir et il a pris un autre papier pour écrire un nouveau
brouillon.
— Tu as un papier a lettre, je crois? a dit papa. Un papier avec
des petits oiseaux dessus, que t’a donné tante Dorothée pour ton
anniversaire?
—— C’étaient des lapins, j’ai dit.
— C’est ca, a dit papa. Va le chercher.
— Je ne sais pas ou il est, j’ai dit.
Alors, papa est monté avec moi dans ma chambre et nous nous
sommes mis a chercher, et tout est tombé de l’armoire, et maman
est arrivée en courant et elle a demandé ce que nous étions en
train de faire.
— Nous cherchions le papier a lettre de Nicolas, figure-toi, a crié
papa, mais il y a un désordre terrible dans cette maison.
C’est incroyable!
Maman a dit que le papier a lettre était dans le tiroir de la petite
table du salon, qu’e1le commencait a en avoir assez et que son
diner était prét.
J’ai recopié la lettre de papa et j’ai d recommencer plusieurs
fois, a cause des fautes, et puis aussi a cause de la tache d’en-
cre. Maman est venue nous dire que tant pis, le diner serait
brlé, et puis, j’ai fait 1’enveloppe trois fois, et papa a dit qu’on
pouvait aller diner, et moi, j’ai demandé un timbre a papa,
et papa a dit <<Ah! oui», et il a donné un timbre, et j’ai eu deux
fois du dessert. Mais maman ne nous a pas parlé pendant
le diner.65.
Et c’est 1e lendemain soir que j’ai été drolement inquiet pour
papa parce que 1e téléphone a sonné, papa est allé répondre et
i1 a dit:
— All6?... Oui... Ah! Monsieur Moucheboumel... Bonsoir, mon-
sieur Moucheboume... Oui... Comment?
Alors, papa a fait une téte tout étonnée et i1 a dit:
—— Une lettre?... Ah! c’est donc pour ca que ce petit cachottier de
Nicolas m’a demandé un timbre, hier soir!
Sempé et Goscinny,
Les aventures du petit Nicolas
( trente et un
“gs,
1;‘>ifar‘;ri l ".4; Nkcolasi”
a‘) Q e*"pro et-ell‘e a Nicolas? Selon vous, est-ce par faiblesse?
b) Quelle est la cause de sa mauvaise humeur?
2. Le papa de Nicolas.
a) Pour quelle raison aide-t-il son fils a ecrire cette lettre?
b) A quoi voit-on que ca l'ennuie?
c) Comment s’explique son mensonge final?
d) Montrez qu’il a agi selon Ies convenances (la politesse en usage
dans notre societe).
3. Nicolas.
a) C’est un enfant sincere: a quels moments?
b) Peut-il comprendre le mensonge de son pere? Pourquoi?
Comment reagit-il?
c) Sur quel ton raconte-t-il son aventure? Donnez des exemples de
sa facon de s’exprimer.
4. La lettre.
a) Ecrire cette lettre n’amuse ni Nicolas, ni son pere. Pourquoi?
b) A la place de M. Moucheboume, auriez-vous prefere le coup de
telephone de Nicolas, la lettre de Nicolas ou celle de son pere?
Justifiez votre reponse.
5. Dans la vie sociale (en famille, entre amis, avec Ies
autres...) peut-on tout dire? Développez votre réponse.
Quele est lon n < errible» Quel est |c| le sens de <<terr|
ble>>? A-t-il le meme sens que dans: un desordre terrible (l.53), une
mort terrible; une terrible inquietude; un vent terrible; un chef ter-
rible; un enfant terrible? Dans chacune de ces expressions, rem-
placez <<terrib|e» par un synonyme.
2. Maman a dit...
Maman cuisine. (l.7)
Maman est... faire. (l.49)
Maman a dit... pret. (l.55)
Maman est venue... brule. (l.60)
Ecrivez en style direct ce qu’a dit la maman de Nicolas.
3. Ecrire une lettre:
a) Ecrivez la lettre dictee par Ie pere de Nicolas.
b) Ecrivez la lettre que vous auriez ecrite a la place de Nicolas.
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A 4. Quels sont les mots qui évoquent le sommeil? Trouvez-en six.
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Compréhension orqle (CO)
»._,;J-' ‘ Ecoutezrtsle texte~<§Olivierrsets1es ibilles», rrépodez aux questi,o,nsi.* V:
Vrai/faux
. Les billes étaient dans une chaussette de laine.
Olivier 1’avait glissée dans son cartable.
Les billes avait roulé sur le plancher.
Les écoliers les avaient ramassées.
Le maitre avait fait un lapsus.
I1 dictait un texte d’A1exandre Dumas.
Com-préhension écrite (CE)
Lisez la premiere question et parcourez le texte pour trouver la
réponse. Notez—la. Faites de méme pour les autres questions.
1. Quelles sont les personnes mentionnées dans le passage (méme
si elles ne parlent pas)?
2. Différents achats sont faits dans le but d’équiper Tistou pour
l’éc01e, lesquels?
3. Quel est le premier mot du paragraphe dans lequel on apprend que:
5 a) Tistou va aller a l’éc01e?
b) Tistou ne va pas réussir a 1’école?
c) Tistou ne va pas rester a 1’éco1e?
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Jusqu’a Page de huit ans, Tistou ignora l’éco1e. Madame Mere, en
effet, avait préféré commencer elle-méme 1’instruction de son fils
et lui enseigner les rudiments de la lecture, de 1’écriture et du cal-
cul. Les résultats, il faut en convenir, n’étaient pas mauvais. Grace
a de trés jolies images achetées spécialement, la lettre A s’était
installée dans la téte de Tistou sous 1’apparence d’un ane, puis
d’une alouette, puis d’un aigle; la lettre B sous la forme d’une bille,
d’une boule, d’un ballon, et caetera. Pour 1e calcul, on se servait
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d’hironde1les posées sur des fils électriques. Tistou avait appris non
seulement E1 additionner ou a soustraire, mais il parvenait méme a
diviser, par exemple, sept hirondelles par deux fils... ce qui pro-
duit trois hirondelles et demie par fil. Comment une demi—hiron—
delle pourrait—elle se tenir sur un fil électrique, cela c’est une autre
affaire que tous les calculs du monde n’ont jamais pu expliquer!
Lorsque Tistou atteignit son huitieme anniversaire, Madame Mere
considéra que sa ‘cache était terminée et qu’il fallait confier Tistou
a un véritable professeur.
On acheta donc a Tistou un trés joli tablier a carreaux, des bot-
tines neuves qui lui serraient les pieds, un cartable, un plumier
noir décoré de personnages japonais, un cahier £1 grandes lignes,
un cahier :31 petites lignes, et on le fit conduire par le valet Carolus
a l’école de Mirepoil qui avait tres bonne réputation.
Tout le monde s’attendait a ce qu’un petit garcon si bien vétu qui
avait des parents si beaux et si riches, et qui savait déja diviser
les hirondelles par moitiés et par quarts, tout le monde s’attendait
l a ce que ce petit garcon-la fit des merveilles en classe.
l Hélas, hélas! L’école eut sur Tistou un effet imprévisible et désas-
treux.
Lorsque s’ouvrait le lent délé des lettres qui marchent au pas
sur le tableau noir, lorsque commencait 51 se dérouler la longue
chaine des trois-fois—trois, des cinq-fois-cinq, des sept-fois—sept,
Tistou éprouvait un picotement dans l’oeil gauche et tombait bien-
tot profondément endormi.
I1 n’était pourtant ni sot, ni paresseux, ni fatigué non plus. Il
était plein de bonne volonté.
Le premier jour d’école, Tistou rentra chez lui les poches pleines
de zéros.
Le second jour, il recut en punition deux heures de retenue, c’est—
a-dire qu’il resta deux heures de plus a dormir dans la classe.
Au soir du troisiéme jour, le maitre remit a Tistou une lettre pour
son pére.
Dans cette lettre, Monsieur Pére eut la douleur de lire ces mots:
<<Monsieur, votre enfant n’est pas comme tout le monde. Il nous
l est impossible de le garder».
L’éc0le renvoyait Tistou 51 ses parents.
Maurice Druon, Tistou les p0u_ces verts
Calculez votre score en comptant un point par réponse exacte;
inscrivez-le.
Expression écrite (BE)
Répondez aux questions.
1. Quel est ton nom?
2. Quel est ton prénom?
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Quelle est ta date de naissance?
Est-ce que tu as des fréres et des soeurs?
Quelle est la profession des parents? .
Quel est ton repas favori?
Quel est ton sport préféré? .
Que1(s) sport(s) pratiques-tu?
Qu’est-ce que tu aimes regarder £1 la télé?
10. Qu’est-ce que tu aimes lire?
11. Quelles sont les matiéres que tu aimes 51 l’éc01e?
12. Quelles sont les matiéres que tu n’aimes pas 51 1’éc0le?
Expression orale (E0)
Expliquez en 15 phrases ce que vous avez fait pendant Ia sema|ne
qui précéde.
Ieu de r61es.
A. Un collégien francais explique aux visiteurs la direction
demandée.
B. Un visiteur demande sa direction.
a) Pardon, je cherche le bureau de Monsieur 1e Principal, s’il vous
plait.
b) on est la cantine, s’i1 vous plait?
c) Pour aller au CDI, s’il vous plait?
d) La salle de sciences humaines, vous savez ou c’est?
e) Pourriez-vous m’indiquer la salle des professeurs, s’i1 vous
plait?
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. 1. Ecoutez. les dialogues sans regarder Ie livre et dites: ou se
passent-iis? Quand? Quels en sont ies personnages? De quoi
parlent-ils‘P L
‘-9*‘; 2. Apres une seconde écoute pariez des personnages. Comment
ales voyez-svous? L
V
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3. Lisez les dialogues a haute voix. Jouez-Ies. lmitez Ies intona-
tions.
‘“""""—‘""'"""“““‘" ~.e
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Q __,?.,s,.,q_»~'1i"~':§3ff5§§" l l " i V ' _;.i.,.,
. ~ ’ *1 i1eYae --a.==»»....~-.-i,-_~__J.. ;, ‘” ‘““’?""*‘Y“
Jeudi soir maman et Léa vont en voiture faire des courses.
Maman: Qu’est-ce qu’on a a acheter? Tu as pris la
liste des courses a faire?
Léa: Attends, je la cherche...
Lea la cherche.
Lea. Mais ou donc est cette llste? Je ne
la trouve pas. Elle est peut-étre
restée dans la cuisine?
Maman: Tu es sure? S1 tu n as pas la 11ste,
on risque d acheter n importe quoi!
Léa: Je sais ce qu’il faut acheter. Ecoutez un
pull Lacoste...
Maman remarque.
Maman: Ce n’est pas le plus important.
Léa continue.
Léa: Si. Encore, du fromage, des biscottes, du beurre, de 1’eau
minérale, des fruits, des steaks...
Maman: J’espére que tu n’as rien oublié. Commeneons par la boucherie.
Attends—m0i dans la voiture.
trente-huit >
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-~”‘*"~'=»=I<rm~;~~,~»,>~+~.:..,»‘
boucher: Bonjour, madame. Vous désirez?
Maman: Je voudrais quatre steaks, s’i1 vous plait.
boucher: Je vous donne quatre tranches de filet?
Maman: S’i1 vous plait. Au fait, 1e r6ti que vous m’avez donné dimanche,
i1 n’était pas bon. I1 était dur. J’avais honte de donner ea a mes
invités.
boucher: Oh, je suis désolé, madame, mais... c’est mon apprenti qui vous a
servie. Je lui en parlerai. Je vous garantis que ea n’arrivera plus.
Maman: Faites voir 1e filet. Oh la la! Je ne veux pas de ea! C’est trop gras!
boucher: Mais je vous enléve 1e gras, madame, bien entendu!
Maman: Non, non, non. Je n’en veux pas.
Le boucher montre un autre morceau.
boucher: Euh... ce1ui—1a, alors?
Maman: Ah oui! C’est beaucoup mieux.
boucher: Alors, euh... quatre tranches...
comme ea?
Maman: Non, c’est trop épais.
boucher: Mm... comme ea alors?
Maman: Oui, d’accord.
Le boucher coupe et pese la viande.
boucher: Qa vous fait... 25 euros, madame.
Maman: Voila.
boucher: Merci, madame. Bonne soirée.
Maman revient.
Léa: Enfin! La prochaine fois j’irai avec toi.
“ *~'—*""~'""*“" """"W ‘ .1;,,,:-,:»»’,_¢~:,;-..“~mV_ .M___>_,N_
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~ ~“’~-@@~.»¢m..;.,
L’épicier: Bonjour, madame. Bonjour, mademoiselle. Comment ea va?
Léa: Bof! Qa pourrait aller mieux. Je suis crevée.
L’épicier: E1; moi done? On ouvre a 7 heures ici. Bon, qu’est-ce qu’il vous faut?
Maman: Une seconde, nous avons laissé la liste a la maison...
Léa se dépeche de dire.
Léa: Un paquet de biscottes, du beurre, de 1’eau minérale, du fro-
mage...
L’épicier: Hé! Attends, attends! Tiens 1e beurre et les biscottes. L’eau
minérale est derriére toi... Le gruyére, i1 vous en faut combien‘?
Maman: 500 grammes. Hé, vous savez, 1e camem-
bert que vous m avez vendu h1er, 11 n est
pas bon. On d1ra1t du platre.
L’épicier: Vous auriez du m’écouter, ma-
damel Je vous avais bien conseillé
1e brle, hein? Ou1 ou non?
Maman: Oui, oui. Vous m’avez conseillé
le brle. Ma1s ma grande f1l1e prefere
le camembert. Et le gruyere. Vous me
le conse1l1ez?
L €plCl6I". B1en sur! Faltes-m01 c0nf1ance. Tenez
L'épicier lui donne un morceau de gruyere.
L’épicier: Et avec ca?
Maman: (Qa sera tout. Je vous dois combien?
L’épicier: 15 euros. Merci. Dites bonjour de ma part a votre mari et a
votre grande. Au revoir, madame. Salut, la petite.
Maman
et Léa: Au revoir, monsieur.
<.~=.~__...._....~.¢..-.."M.,_...-...,..-,...m-M4;,“ -_.-- -' _ We »— ~ -4- >N
7,);-~,-<,.~-'@=~‘--=~@_~,»-..-=_ Y,~..~_a..-~- -"”‘ - __,,._‘__
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3 6 ,,,..-~.¢..-.;=.-—;:%:;:1';. _ ,,_.V,,m_____W ” ' ‘
' ‘ ‘*1 l‘*’;’3'<e:;§:»!q_ .,%,,“
Léa: On y va enfin, a la boutique Lacoste?! Je suis fatiguée de ces
courses!
Maman: Mais tu savais que ca serait un peu long. Oui, on y va.
Léa: Je suis contente! J’aurai un pull comme celui d’Anne!
Maman: Tu crois que c’est vraiment utile d’acheter ce pull? I1 est un peu
trop cher quand méme!
Léa: Mais c’est une bonne marque! C’est normal!
Maman: Tu sais, a ton age on grandit si vite et puis la mode, ca change.
Léa: Puisque toutes les filles du college
portent les vétements de bonnes mar-
ques!
Maman: C’est toi qui décides. C’est ton
argent. Qa ne me concerne pas. Je
pourrais te donner un conseil. Au
fait, tu ne veux pas l’utiliser a
autre chose?
Lea: Q1101 par exemple?
Maman. Je ne sa1s pas, eh b1en t abonner a
1 Okapl...
T 1nscr1re a un cours de danse..
Aller en un voyage organlse avec ta
classe...
ate )
B.
G
D.
Unité 7.
4
O11
Répondez aux questions.
Qu’est—ce que c’est que la liste des courses?
Est-ce que Léa l’a prise?
Est—ce qu’el1e sait ce qu’il faut acheter?
Pourquoi est—ce que Léa est allée faire des courses avec maman‘?
Par quoi est—ce qu’elles ont décidé de commencer?
Qu’est—ce qu’on peut acheter dans une boucherie?
Qu’est-ce que maman veut d’ab0rd acheter?
Pourquoi est—ce qu’e1le n’est pas tout 51 fait contente?
Qu’est—ce qu’el1e a acheté finalement? Pourquoi?
Et Léa, 011 est-elle lorsque maman fait les achats?
. Qu’est—ce qu’on peut acheter dans une épicerie‘?
Qu’en pensez-vous, est—ce que Léa connait bien l’épicier?
Qu’est—ce que maman achéte chez l’épicier?
Quelles autres sortes de fromage connaissez—v0us?
on maman et Léa vont-elles finalement‘?
Quelle marque Léa a-t-elle choisie?
Quelles autres grandes marques connaissez—v0us?
Avec qui étes-vous d’acc0rd dans cette discussion, avec maman
avec Léa? Argumentez.
5. Qu’est-ce que vous feriez 51 la place de Léa?
Ieu o".e r6Ies.
Inventez votre dialogue: une mére et sa fille
sont dans un magasin, e11es choisissent un pull.
La
La
La
La
La
La
La
La
mere voit un pull et le conseille :21 sa fille.
fille exprime une autre préférence.
mére demande des précisions.
fille répond.
mére n’est pas d’accord.
fille insiste en comparant avec le pull de sa copine.
mere critique la copine.
fille dit que la mere ne comprend rien et ne connait pas la
mode des jeunes.
La mere refuse de payer le pull.
La fille choisit quand meme son pull et le paie avec son argent
de poche.
( quarante et un
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§ § “MN was Q g% Q w Q nnwwrv g‘: 1;”; ., yr ~, ~» 9,
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. - '
A.12
3
Mettez une croixtdansilassbcnne colonne.
Lucie va chez un boucher.
Elle y va avec maman.
Devant l’entrée, elle demande a
la dame la monnaie de 50 centimes.
Elle prend un chariot
Elle va au rayon de fromages.
Elle demande du brie et un camem-
bert
7. Elle régle dans le rayon.
8. Apres, elle Va au rayon <<P0is-
sonnerie».
9. La elle achéte du cabillaud.
10. Elle paie a la caisse pour moins
de cinq articles.
11. Son chariot est presque vide.
Lucie entre dans une boutique.
Elle veut acheter un pull.
La vendeuse lui demande sa taille.
Lucie fait du 36.
Elle ch01s1t le modele qui est dans
la vitrine.
6. Elle passe dans la cabine d essayage
et l’essaie.
Elle demande une tallle plus petite.
8. Maintenant ea lui va bien.
9 Elle paie a la caisse 21€ avec la carte
bleue.
10. La vendeuse lui donne un petit sac.
quarante-deux )
Vrai/Faux
Vrai/Faux
2
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O. Rqcontez 6. votre mcmiére comment Lucie ca fait
Ies courses. (Oi: est-e11e allée? Qu’est-ce qu’e11e
ca acheté? Combien a-t-elle payé? Etc.) Dormez
1e plus de détails pcssibles.
5
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w...»».,,W..,,% ,
...,,. 414*! pa-um»
Etudiez Ies documents ci-dessous et faites
Timage 6. sq description.
Catalogue Clmarron
Le But de Cimarron. Forme trompette, en 97% coton, 3%
élasthanne Lycra. Kaki.
Mastic. Vert nil.
Rouge. Imprimé.
Le T-shirt Kimbal de Cimarron. Cotes 97% coton, 3% élasthanne Lycra. Liens
capuche et broderie base. Blanc. Vert nil.
{ [8 CElIdl'|||O|l d8 Clmarron. Liens 51 nouer a la taille et aux bas
des jambes c’est ca le look 2004! En toile 55% coton, 45% lin.
Mastic. Vert nil.
Lot de 3 pochettes. En 100% coton. Miroirs en incrustation. Fermé par glis-
siére. Dim: 22,5><16 cm.
Noir+orange+bleu.
L8 BQIU d8 ql‘ll8l‘l'OlI. Court, col pointe, empiecement dos... i1 fera
des envieuses! Pressions devant, poches, poignets et cotés. Denim léger 100% coton.
[8 Surab d8 (IIIIGITOII. 5 poches, rehausse dos et broderie... il
est trop! Denim 100% coton.
[35 t8IIlI|S U $h0€S. En cuir. Doublure en textile sur mousse.
Semelle intérieure amovible et préformée en éponge sur mousse. Semelle
extérieure translucide en synthétique.
Noir/blanc.
Beige/blanc.
La livraison en moins de deux, c’est chez moi en 24 h.
< quarante-trois
2 Etudiez Ies documents
c1-dessous.
5 pantalons-short Trespass. Plus question de
mariner par 40° dans son fut puisqu’en un tour de zip, celui—
ci se Inue en bermuda.
Modéle Garda, ligne Adventure—wear, de Trespass.
5 D8|l‘8S d€ DBSKEIS ECKO. Plus question de se cantonner au
mobilier urbain quand 1e concept méme de pompe de ville se fait tout—terrain.
Modéle Web Spinner, d’Eck0.
quarante-quatre )
E
1»
Unité 2
1° SECS UITIDIO. I1 est rond comme un ballon mais reste trés
pratique en ville avec sa bandouliére scratchée.
20 coffrets Cool Water woman et 20 porte-documents Cool Water.
Pour les garcons, ce porte-document comprend une eau de toilette qui fleure bon
les embruns.
Pour les filles, ce mignon coffret renferme une eau de toilette, une poudre li-
quide tonifiante et un galet pour 1e bain.
2° |(|tS étlquettes D|'IOtO d'|d€Itlté AVGIY. Imprimez vous-meme
vos photos d’identité autocollantes a partir d’un fichier numérisé sur votre PC.
Grandes surfaces et magasins spécialisés.
1° $Cl‘8bb|8 Slll‘ CD-ROM. C’est la cyberversion du Scrabble, best-
seller mondial. Un moteur de recherche facilite le jeu et il est possible d’affron-
ter l’ordinateur.
Mattel Interactive. Boutiques d’informatique et de jeux et grands magasins.
4 palres dc rollers Rosslgnol. Le concept Ground Effect de ce
patin réduit les vibrations et la fatigue musculaire.
5. Compare: les documents '1 et 2.
qu’i1 y on de commun? Quelle diffé-
vcyez-vcus? Pouvez-vcus expliquer cette
différence?
Misc ¢nP1‘ati11¢
» '1.Reconstituez 1e texte du
catalogue. Employez les
mots: coton, 1’été, capuche,
agréable, courtes, piquée.
A. Le T—shirt capuche. Pour ..., il
adopte des manches et une maille 100% tres
a porter. Détails de saison: sa et sa base coulissées.
Blanc/Gris.
Bleu/Marine.
Mode, polyamide, confortable, poches, liens,
stoppers.
quarante-cinq I
B. Le corsaire. 100% . Tres ..., i1 débar-
que en force dans la Taille et bas de jambes
coulissés avec et . 2 grandes plaquées.
Gris ardoise. Kaki clair.
Transforme, capuche, un clin d’oei1, poche,
stoppers, 100%.
C. Le coupe-vent. polyamide imper-
méable. L’astuce? Sa devant se transforme
en en pochette de rangement! Lien coulissé
avec 5 la et 51 la base.
Gris.
2. Reconstituez Ies textes de Io. publicité.
Employez Ies mats:
trons, cahiers, crayons, trousse, bouquins, tirelire, rouge, bleu,
vert, doigts, petit, £1 1’infini, pull, jupe, capuche, écharpe, gant, entonnoir, poches.
quarante-six )
Vold Ella
Elia porte un en laine Benetton et par—dessus
un petit Promod. Sa cételée Benetton com-
pléte la panoplie acidulée. Enfin Elia a cassé sa
pour des baskets Mosquitos. Depuis 1e temps qu’elle
en révait!
Hon. un trou!
Cette <<Perfo 1 trou» te permet de faire des
dans tous tes d’une seule main. Existe en et
jaune, et jaune, Maped, en papeteries et grandes
magasins.
T’es vemle?
Pour des de toutes les couleurs. Un prix tout
et un choix de teintes . Chez Sephora.
E
I
4
i
I

s
1 I
‘ i
3
Tout en un
Pas béte, ce I1 fait a la fois ..., ..., et gilet
(Firetrap). Mais i1 ne fait pas tes devoirs. Dommage. Tu
peux le porter avec un tee—shirt a col (La Redoute)
et un pantalon 51 (IKKS).
l.’attiraIl
Dans ta marguerite tu peux glisser tes
magiques (enfin, des couleurs qui se gommentl) et ton
taille-crayon Galactic. Avec lui, fini les mines coincées
a 1’intérieur.
Monoprix-Prisunic.
Cool. le sac
Porté en bandouliére, il est parfait pour le college a
condition de ne pas y mettre ensemble tous tes
lourds!
Sac Kanabeach.
3. Reconstituez les textes de Io. publicité
Employez les mots:
bottines, manches, pantalon, surligneurs,
vert, jaune, rose, gomment, couleurs, un foulard, tee—shirt,
lacets, agenda.
Des uos pas comme les autres
A la fois pratique et originale, voici une nouvelle facon de
souligner les phrases. Fini les gros marqueurs de toutes les
couleurs, place aux mini ...!
Existe en vert, jaune, rose. Office Dépét.
quarante-sept
a
quarante-huit
Et vollé Céleste
Céleste a enlé un pull Monoprix-Prisunic,
puis la doudoune sans Active Wear com-
mandée 51 La Redoute, comme ses style
bcheron. Son vient de chez Agnes.
C’est cher, mais c’est son cadeau!
l.'oblet le plus tarte dc la qulnzalne
agenda pelouse
Voici le seul en gazon. Synthétique mais
tout de meme tendance écolo, il ne risque pas
de fleurir dans ton sac. Hélas, tu n’as pas
besoin non plus d’aj0uter d’engrais pour que
les devoirs se mettent 51 pousser tout seuls 51
l’intérieur... Chez Why?
Une gomme. une vralel
Trois formes, cinq ..., et en plus elles
vraiment bien!
Faber Castel, en papeteries et grands ma-
gasins.
Coups de pompes
La plus sportive, en jaune fluo (Ecko). La
plus indémodable, en violet (la célébre
Kickers). La plus fun, sans ..., en kaki et
orange (Ecko).
Y
E
xl
F
Pour le lour J
Le matin de la rentrée, Elia a noué sur sa téte (carré Christian Lacroix, les
3 Suisses, 6,86 €) assorti a son orange 5. manches (Kookai, 16,62 €). Pour noter
ses devoirs, elle s’est fait offrir le plus jojo des stylos-plumes.
Stylo Pélikan a double niveau d’encre, 3 plumes au choix, existe en vert, bleu,
rouge ou jaune, 14,64 €), dans les papeteries et les grands magasins.
u=,wrw-"»~w»am.wmua#am:»s.a:¢m@a
-4
' "" ,—'~‘»‘“M’~ l 0 0 0 A
4. Inventez un vetement original qua vous plait.
‘Dessinez-le. Ecrivez an petit texte publicitaire
pour le bazar c1’Okapi.
Pense-béte
a) décris ce que tu as dessiné;
b) précise la matiére, la couleur de l’article;
c) écris dans quelle situation on peut 1e porter;
d) invente un titre criant originale pour le texte;
e) n’oublie pas d’ajouter le prix et le nom du magasin oil on peut
l’acheter.
5. Faites un petit texte présentant 1e méme
article pour le catalogue 5 Suisses.
Pense-béte
a) décris ce que tu as dessiné;
b) précises-en la matiére;
c) décris les détails ou les particularités du modéle;
d) invente la ou les couleurs;
e) ajoute un prix pour chaque taille.
quarante-neuf
A
lettre de Léa 3 OIGDI
Trés char 0k<1Pi, . - '
. . - - ' m“. J or
Pour mon annnversalre P°P' ma d°"ne de W198. décidé 5“;
, ~ - T cee somme Jl
casse mon ’r|r'el|re e.’r avec foQ e ,
» I er,
d'ache’rer' un pull Lacosfe. Je sans qua 585* uf‘ peu “OP C ; "
. ue e con
4' 8 d5», mqman mcus presque ‘routes les fulles q J
comm I ' b‘ n cool e’r bon 967""? 565* P°"*e'"
A nais Pensenf q-Ie fcure I6 , Eteswous
des habits de mcu"qu§, ref: en P pun moms
d'accord avec elles? J hesure enTr'€ C6 PU C
» ~ ' ‘ 5 e,Z—VOUS .
( ' amen? a Ok '- Q" en Pen ,chef‘ plus labonn P
Amicalemenf, Lea
7}1A
.== »~;.+>».,@~=au»»‘ ~._ _,@»i £1-,§=»;..,‘,.§ >‘,$-¢-<».;»~,»,-»—.~»_$_w.,
,
Léa a regu beaucoup de Iettres des lecteurs d’Okapi. Lisez-les
attentivement et dites quelle opinion vous paraTt la plus juste et
aveo laquelle vous n’étes pas du tout d’Laccord. ~
‘,u _ ‘
ieunes out Pas an L]
Chére Léa, personnelrzegf 11:1: ne Vqig
¢¢m:;.e Ies cuftres
qua certains Vje“ne91;i55i‘fent des véténents its me mal Q Cecar souvent Ies Qeun O
Q-rque.
’ 9 e ‘ " A
patent deg etlc.) d: grgtleettizt fde: vetements (cu qui
Ieurs qmis scuvent an pour étre ccmme
_ - , ces Jeunes ne scnt as - , V
11s ont e d - P sun °1¢==,~et
Mai ?eu;en:e mug“? etre. comme leg °'utres' V V
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est c1’é‘tre différen? ales q::~:;eu;e sfaiont §€q1ist1nguer>>’ ur Q1-1 ’§tre sdi-~1ném,e_
l’/iolaine, Pa;-is
cinquante >
Unité
"Je pense que Ies mqrquéé crhqbit
chile. Chevignon ¢ima;f*@*l%l
S» ¢Omme Lacaste,
 ’ 6
;.’; tres belles’ trésé, éaéres sent des marques a Ia fqis
Les marques sent uh genre de cad d
pcur Ies veu , e, 8 HT-Qt de passe
J neg’ ‘me f°9°11»de reconnaitre
Q. l’a.ise quand J6 m6 tI'°uVe
-
I ; §%Z'§;35:VV
Mar1'ot'2,V 16 ems, (D
1
7
Q
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belle
g:>mp3:1~,Si]:a.a Ta. question II1’a W-femem’ intléressiéiinjgl
6
‘ 3 ' “nous es J6 - 1i>§;;ll
effet, elle nous _concerne bpgzgcogiler Seuie at
Personnellement, _]€ do1s me P0 TS de px §
des affaires cle marqllei 1116» 11161°6 165 tmuve 0 '
’ n ossecle tres pell; ma-1S J6 T16
Ge qui exp1iql16 (1116 J6 P
m’en plains 1385- _
~
de marque Veu .
‘J6 pense que ceux qul Ont des affaajlres UX GUX
lent se faire remarquer, prendre <16 1 1mP°"a’n°e 8“ y
d a.utres Moi je me sens 3 1’aiS6 qllalld T1165 habits me
trouve belle
plaisem’ quand je me Claire, 14 ans, Paris
Targent a un sens
Ta qeistient lm’a intéressée. j’ai Vpu
voir Ia paavreté, et pour moi, Targent a
V lA1ors, pcur mei, Ies marques, qu’est-ce que c’est? Payer plus
tiquette marquee Chevignon,_
Chipie, Laceste... Non, gmei, ce n’estl pas men style. On peut
tout a fait trouver des Yeheses de qualité sans étiquettes.
cher pcur avoir une petite
‘J 6 “ w l “’ ’ ” ‘W"'
Y - - K
““
~
¢~an :.,- .1  " ;:,
Béatz-ice, 13 ans, Montesson
( cinquante et un
~L|_|
. L’ ' hubillee!.» urs ble" ur'-Quel ipfuisir d‘*“‘ "°“’°~ -6 m'h0bi"e <1v@‘= des "‘t
I Mo; Tous les JOUF5, J
.. dash v€+emer*5
,»aaaa5uIuj,»,sLe¢_t afa Poison en disum qqul Y. 3+ 1G lmémé,
Tums tau chars P0ur'+an1' li quame

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' s ' - ' ea.Semhlabiegi
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lea! tout tres cherés;Ide gens,
que c’est pourisétre
par les autr¢§?73?35 e:iiP°L1F aJ°ut¢1’iiiirii%3i§1il1 <<P1u$>> 51 I V
q e eéia fait un eu 'f
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at P uniremar-i
ton *“‘e0llege,e beauctiup
leg memess7qttbi0us(§I*i$ ,[j:,j;ies
mémes pulls... faut varier, c’est-a-dire iaiibir desvetements de marque et cpigfsleavetements sans marque.I’esPere que ’ 'e '
Pour moi, cela ne vcut rien dire
ma repqggse te sattf
Pour moi, porter des habits de marque, ea ne veut rien dire.C’est histoire dc se rendre intéressant. Ie porte des habits quiressemblent beaucoup a ceux de marque et pourtant, ils n’ontpas de marque. D’ailleurs, tout le monde me demande ou je lesai trouvés. De plus, les habits de marque peuvent attirer desennuis, on te prend pour quelqu’un cle riche et on te rackette.Et puis, ce n’est pas si important de porter des habits de mar-que, car ils sont V
cinquante-deux )
comme les autres.
1* ~;,,~, Vjliiijlji i i iii m‘:‘~3y,;;,,
Marion, 13 ans, Oyonnaux
3.
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considérés comme , | was 1»»;;
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ue mconnue, ’rous es au
s '“e""S '“°'ns chm-' ‘~91 dimarq m fhabilles a la mode,
1* us ua ce que
se moquenf de °' J ‘I
s vé’remen’rs de mQI"<|U¢- ,_ .
Mei’ c:;enTie| c'esT pour'Tan’r d'é‘re £1 l'ai5¢, meme 5' '36 que
COHHUB.
">;>;=;§>,“r
|on p0r“'€ nest pas dune marque
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- -Selc e
Mar/e—LaUf‘6, 13 “"51 Var" surw
WK M e V ~r-»r1*§P*;?J‘"x‘1*"’¢~?‘?9°¢1*7‘7?5%¥W§¥5<@%§:l?VE%§>§
néi. W11‘ ‘~¢‘—:~*’; Y? ~‘€“?h;%¢%€'*»?#» ~1‘§*‘3‘15£»a‘1,‘”£.$~5.
___-§i¢~ 4 . as W w» W» '»a**:,“*f3I. y~;=;*s»:w :,~»%¢,. =1! ,~P~r~:‘;~=‘~¢"»@.~r-:‘z/ @m£>¢i»; »w§§<n1r;F.»e@,~»::»;;<'*i: ,1 > , ,
,7 4/ 4;? , MM, 4. . K ‘I m v;1w*%‘@1}*‘~:<~2 5, gs?’
1”¢=“~'~‘3' " *
V ~ M, Q 4. »¢ 5. »  ~ A» . 4‘ @.;.‘, /lg/¢,1~'qv>‘ . P,’ H M1,‘ i~ _ Q; Id‘Y°‘;‘):Y1j<%€Pv"*5(B$""u3}“‘J§~£7§:*’,‘1£¢(Ji'YLv4!>W
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~* f',11,,"“""~‘~"’~'~.‘ ,Qn est tous pqrgs
Salut. Léa! Dang classe, i1 y q beauaou de f.H
$’11abi11ent en Chevi P 1 es '
, €n°1'l, Chi ' ' , qul
qu elles cmt de bonnes relatioile
Q;-;€:GIiS ce nest pas pour celq,
elles Ies méprisent. es mares‘ A“ °°n*1‘°li1‘e,
. 0
9 0
Continengpgq;-_ en 1;::1;:sSh:1b111e plutot a. Carrefuur ou 6,
Que 1’on ur ‘me, ¢est mains cher.
P rte un vétement de mar
face. on est tcus pares! que °“ ;eee§1%!e§,?ande 8111'-
Sarah, 14 ans at demf, Sainte-Fay-Iés-Lyan
Ne be laisse pas marcher sur les piedsl
Moi, j’aime étre origlnale Inais ce n’est pas dens 1e
but de me faire remarquer! J’a.ip déjé. porté un beret rouge
ou des collants de toutes les "eouleurs. Eta taut de suite,
j’a.i vu qui étaient mes vraies samies! Je suiss sre que
si _j’étais comme tout 1e monde, toutes les personnes de
1’éco1e me parleraient.
C’est dur mais je persiste, i1 ne faut pa.s se laisser
mamcher sur les pieds. J’espere qu’en grandissant, les gens
verront que 1’ha.bit ne fait pas 1e moine. J’espere que jMn:.a.
lettre fera. rééehir sseertains d’entre vous pour qu’i1s ,
regardent pa.s les gens qui ne s’habil1ent. pas oomme eux
de haut en bas.
Oriana, 14 ' ans, Saingln-¢n+Mé1aI1?9i€,p
( cinquante-trois
< r
r ';‘$@3;;r
-
Cyr1]’ P°re3"d¢-Lescar
T“ Peua=1=@‘ra:re 1
ihi- In 3:; es habits simles
r »» q O11, Je me
‘J; e
suns Jete sur *z;'‘H11_yr
~ ,,
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(D
La marque, c’est ce qm compte le plus
Bien sur 11 faut porter des habits de marque! Gela nous permet
d’ad0pter un style, de montrer notre personnalité et de nous affirmer. Les
habits sans marque sont communs, et ceux qui les portent prouvent leur
manque de gout. Mais chacun pense ce qu’i1 veut, et je peux tres bien
avoir des amies qui s’habi11ent sans marques.
Marie-Cecile, Besangon
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en avoir~~ .n pour sc farrc plaisir
V Vonqavrs de marque ¢St
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Porter des vetements dc nmarque, C’¢Stf11111
Ie trouve que porter des vétementsq de marque, c’est nul, arCh1
nul. Ce n’est pas parce qu’on porte des trucs de marque qu’On
se fait plus d’arnis ou qu’0n a un bon genre. Ie n’ai men cle mar-
que mais en revanche j’ai plein d.’amis. Tous ceux qu1 me con»
naissent me trouvent sympa et cool. Ce qui les intéresse, c’est mon
earactere et ce qui est en moi, et non mes habits, ils s’en chent
conipletement. Ie te conseille un truczqesois naturelle et sympa avec
tout le monde, c’est ea le secret pour étre bien! V
V
Charlotte, 14 ans, Perpignan
-quatre )
Q
1_ /mans avec /es mots
nnizriemrz mix gmrnrr
Unité 2
a) Trouvez dans les dialogues, le dossier et dans les lettres des
éléves frangais tous les mots en rapport avec le sujet <<Le vétement
et les chaussures>>. Remplissez-en la grille ci-dessous.
Noms Mjectifs Verbes
b) Complétez la grille avec les mots du cahier d’exercices.
0) Ajoutez les mots que vous considérez indispensables pour
décrire une personne :51 la mode.
2, Faiies v/as /0/zmscs
Faites le plus de phrases possibles avec les mots de l’exercice 1.
5, Ce que /2: /rcnse dc /a mow/e
Répondez éi votre maniére 21 Léa en donnant votre point de vue
sur les habits de mode.
( cinquante-cinq
%wm ,~
aMMaRE
LES vrmrs no prscoogs
INDIRECT OU RAPPORTE
Dire que (pour rapporter une affirmation):
it 7 —— Je peux vous aider.
— I1 m’a dit qu’il pouvait m’aider.
5 Dire de (pour rapporter un ordre, une demande, une instruction)
i — Faites-moi une proposition par écrit!
-—— I1 m’a dit de lui faire une proposition par écrit.
Proposer de (pour rapporter une proposition, une suggestion):
L — Si vous voulez, nous pouvons voyager ensemble.
—— I1 m’a proposé de voyager avec lui.
L Répondre que (pour rapporter une réponse ii une question):
— Vous pouvez m’aider?
— Ce n’est pas possible.
—— Je lui ai répondu que ce n’était pas possible.
Demander si (pour rapporter une simple question):
— Vous parlez anglais couramment?
— I1 m’a demandé si je parlais anglais couramment.
we
gr Demander de (pour rapporter une demande, un ordre, une
’ it it instruction formulés sous forme de question):
— Vous pourriez contacter Monsieur Girard?
— I1 m’a demandé de contacter Monsieur Girard.
’ ‘ Demander+ mot interrogatif (quand, pourquoi, oii, etc.):
7
— Quand désirez-vous commencer?
— I1 m’a demandé quand je désirais commencer.
— Oil voulez-vous qu’on se rencontre?
— I1 m’a demandé oil je voulais qu’on se rencontre.
— Pourquoi est-ce que vous ne m’avez pas prévenu?
— I1 m’a demandé pourquoi je ne l’avais pas prévenu.
K /,* i
a
cinquante-six )
EU nité
UINTERROGATION INDIRECTE
La construction est simple si 1’0n part de Pinterrogation directe.
— Quand pars—tu? — Elle demande quand tu pars.
— on allez-vous? -— I1 veut savoir ou vous allez.
— Combien est-ce que ca coute? —-— Il demande combien ca coute.
—~ Qu’est-ce que tu fais? — Elle lui demande ce qu’elle fait.
1
, ,~ — Qu’est-ce qui s’est passé? — Ils veulent savoir ce qui s’est
passé.
— Quelle veste tu porteras? — Il veut savoir quelle veste tu
porteras.
Si Pinterrogation concerne toute la phrase, on utilise si:
— Est—ce que tu seras prét a 6 heures? — Il demande si tu seras
1' $1 :5 11> A ‘
pret a 6 heures.
/0*
.1
~ it it " — Est—ce que ca vient d’Amérique? — Elle veut savoir si ca vient
d’Amérique.
LE DISCOURS INDIRECT
/gs“ " Il se caractérise par l’emploi d’une phrase introductrice comme
‘W5
~:-(“W
I1 transforme l’impératif du discours direct en une phrase infinitive.
il dit que, elle dit de:
Il dit qu’il reviendra dans l’heure.—— Elle dit de l’appeler plus tard.
Parlez moins fort.—— Il a dit de parler moins fort.
Il entraine des changements de pronoms personnels ou possessifs,
d’adjectifs possessifs:
— Vous viendrez avec vos amis? — Il veut savoir si nous vien-
drons avec nos amis.
Les formules introductrices peuvent entrainer des transforma-
l tions au niveau des modes.
C’est possible si les sujets de la principale et de la subordonnée
ne sont pas les memes.
;;r¢f~:~1~ .;~.» : 1' ‘ s “» ”/ / >*— ,2 :~.~,_ _~ Y’: 7* ' >111/1:7 _
( cinquante-segt
Comparez:
Je promets que je le ferai.— Je promets de le faire.
C’est moi qui promets et c’est moi qui vais le faire.
Il ordonne de le faire.— Il ordonne que tu le fasses. *3“
C’est lui qui ordonne, mais c’est toi qui vas le faire. J?
,: ~, *5,» .» @
;s~31:f, ,~€;:* w~§‘;$1_‘»£=,B;¢%~‘~ . 
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“,9 gt. 4 K?‘ K: >"_' f* . w4Y>~ 6, Jwuia A A
Je recois beaucoup qu’il recevait beaucoup de lettres.
de lettres.
J’ai recu beaucoup qu’il avait recu beaucoup de lettres.
de lettres.
Je vais recevoir qu’il allait recevoir beaucoup de lettres.
beaucoup de lettres.
Je viens de recevoir I1 a dit qu’il venait de recevoir beaucoup de lettres.
beaucoup de lettres. I1 disait
Je
de lettres.
Je
de
Je
beaucoup de lettres.
recevrai beaucoup qu’il recevrait beaucoup de lettres.
recevais beaucoup Il dit qu’il recevait beaucoup de lettres.
lettres. Il avait dit
n’avais pas recu qu’il n’avait pas recu beaucoup de lettres.
J’aimerais recevoir qu’il aimerait recevoir beaucoup de lettres
beaucoup de lettres.
Quand le verbe qui introduit le discours indirect est au présent
' ou au futur il n’y a pas de changement de temps dans 1e pas-
sage du discours direct au discours indirect:
— Je n’ai pas pris le journal qui était sur la table.
— I1 affirme qu’il n’a pas pris le journal qui était sur la table.i“5§§
— Si tu lui demandes, il te dira qu’il n’a pas pris le journal qui
etait sur la table.
A
Fa,
‘V,
A
Quand le verbe qui introduit le discours indirect est 51 un temps
it i it du passé, le changement de temps dans le passage du discours~
direct au discours indirect se fait selon les régles de la concor—i@;%
dance des temgsz
cinquante-huit )
1.
2.
r~
present imparfait (simultanéité)
passe compose plus-que-parfait (antériorité)
futur immédiat al/er é l’imparfait+innitif (postériorité)
passé immédiat venir é l’imparfait+infinitif (antériorité)
futur conditionnel (posteriorité)
imparfait imparfait (simultanéité)
plus-que-parfait plus-que-parfait (simultanéité)
conditionnel conditionnel (simultanéité)
Transfcrmez Ies interrogations directes en
interrogations indirectes en essayant de varier
Ies verbes intrcducteurs co-mme dams Texemple.
Quel cadeau allez-vous lui offrir? — Elle veut savoir quel cadeau
on
1.
2.
va lui offrir.
Quand est-ce que vous irez 5 Paris?
Pourquoi vous vous disputez?
Comment iras-tu 51 l’aéroport?
Qu’est-ce qui la rend triste?
Qu’est-ce qu’on fait ce soir?
O est-ce qu’il est parti? —...
Avec qui partez-vous en vacances?
Est~ce que tu as compris?
Laquelle préféres—tu?
Quel cadeau lui ferait plaisir?
Etes—vous préts?
Transfcrmez Ies impératifs au disccurs indirect
en utlsant 1e mode qui convient.
5.
Répondez avant jeudi! I1 demande de I1 demande que
Parle plus fort! I1 lui dit de Il veut que
Allons-y ensemble! I1 nous propose de I1 propose que
Arrétez de crier! Elle nous dit de Elle demande que
Rangez vos affaires! Elle nous demande de Elle
veut que . . .
6. Dépéchez—vous! I1 lui dit de ...—— I1 veut que
cinquante-neuf
5. Transforinez ces phrases au discours indirect
en cheisissant les pronoms et les adjectifs qui
conviennent.
Est—ce que tu peux me préter ton livre? — Elle demande
Quand est—ce que vous viendrez me voir? — Il veut savoir
Ou est—ce que j’ai pu oublier mes lunettes? —— Elle se demande
J’ai rencontré ta soeur devant chez moi? — I1 dit
Est—ce que vous pourrez m’accompagner? — Elle ne sait pas
Pourrais-tu me préter ton manuel? — Elle demande
on avez-vous rangé ma veste? -— Il veut savoir
4:. Remplacez 1e verbe dire par un verbe -plus
précis, choisissez clans Ia Iiste suivante: -
crier protester avouer conclure
expliquer proposer consoler répéter
1. <<Et si nous passions a table?» a dit la maitresse de maison.
2. <<C’est moi qui ai cassé le vélo de mon frére», a dit le petit
garoon.
3. Il a dit: <<Ah non! Ce n’est pas juste. Ce n’est pas moi qui fais
la vaisselle aujourd’hui!>>
4. Il a dit: <<A'1'e! Arréte! Tu me fais mal».
5. Elle a dit encore une fois: <<Ceux qui ne souhaitent pas rester
peuvent partir tout de suite».
6. L’orateur a dit: <<J’espere que mon exposé a été suffisamment
clair. Je suis prét a répondre a toutes vos questions».
7. Le vendeur s’est tourné vers moi et m’a dit: <<Eh bien, regardez
c’est tres simple, pour faire fonctionner cet appareil, il suffit
d’appuyer sur ce bouton».
8. La mere a pris sa petite fille dans ses bras et lui a dit: <<Ce
n’est pas grave, ma chérie, je vais la réparer, ta poupée.»
5. Transposez les phrases cbtenues au disccurs
indirect. I-‘aites 1e compte-rendu de cette cem-
munication téléphenique 61 un ami en -pcrtant
attention an lien avec 1e présent:
A116, Frédéric -— J’arriverai demain matin a Charles—de—Gau1le —
Je passerai la matinée 51 la Bibliothéque nationale —— En fin de matinée, je déjeu-
nerai avec le professeur Godant — En début d’aprés-midi, j’irai voir mon édi-
teur — En fin d’aprés-midi, j’aurai encore quelques rendez—vous, mais nous pour-
rions nous voir aprés cela vers 19 h 30 — Aprés, en fin de soirée, je reprendrai
mon avion pour Madrid.
Pierre m’a téléphoné ce matin pour...
soixante )
I
. . . 1
Trdnspcsez an disceurs indirect ces phrases du
disceurs direct.
(5%. Il me répéta: <<Je t’aime beaucoup.» —
I1 me répéta qu’i1 m’aimait beaucoup.
We 1:
1. Je t’ai déjé dit: <<Je ferai le marché demain de bonne heure».
2. Tu m’affir1nes: <<Je n’ai pas encore rencontré tes parents.»
3. I1 t’a crié: <<Tu ne connais pas mes copains!» 4. Ils m’ont dit:
<<Nous t’avons attendu devant chez toi jusqu’§1 huit heures.»
5. Je vous répéte: <<Vous étes trés en retard, votre repas
va brler.» 6. Elles nous disent: <<Vous avez mal aux pieds, vous
boitez.»
Trdnspcsez ces phrases du discours indirect.
1. I1 ajouta: <<J’ai chez moi une vieille horloge qui sonne toutes
les heures.» 2. <<J’aimerais que tu viennes pour mon anniver-
saire», murmura—t—e1le. 3. <<Nous organiserons ce pique—nique
la semaine prochaine, répéta-t-elle, et nous inviterons tous vos
camarades». 4. Elles s’exclamérent: <<Nous avons fait une
merveilleuse promenade avec vos cousines!»
Trans-pcsez ces phrases an disceurs direct.
Envisdgez -plusieurs solutions cheque feis que
celd est pcssible.
1. Ils prétendaient qu’ils vivaient dans des conditions misérables.
2. Ils assuraient qu’ils voudraient bien aller 51 la campagne avec
les enfants. 3. Je répete qu’ils seraient fous de 1e faire. 4. On lui
a ordonné de venir 51 neuf heures. 5. I1 a répondu 51 Jean qu’il
l’avait déjé. vue. 6. I1 leur a dit que nous partirions.
Trdnspesez ces interrogations directes du dis-
cours indirect. Le verbe intrcducteur serd se
demander d Timpdrfait, 6. Id persenne de vctre
choix.
1. Oil as-tu rangé les cuillers? 2. Qu’avez-vous trouvé dans 1e
grenier? 3. L’avait-il rencontrée avant la réception? 4. Qu’est—
ce qui t’e1npéche d’écrire? 5. Est-ce qu’e11e sera chez vous
aprés—demain? 6. Qu’est—ce que nous faisons ici? 7. Que
devenez-vous?
soixante et un
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En 1852, Aristide Boucicaut, négociant et philanthrope, achéte, entre la rue
‘ 'de Sevres et la rue de Babylone, une boutique de nouveautés dont il fera le pre-
mier grand magasin parisien. Le batiment principal actuel est construit entre 1869
et 1887. Boucicaut a provoqué une véritable révolution dans la vente au détail
grace I1 de nouvelles méthodes: tous les prix sont indiqués par des étiquettes, on
peut toucher les marchandises habituellement empaquetées ou pliées sur des
rayons inaccessibles, échanger les articles, se faire rembourser si l’objet est
défectueux; enfin, la marge bénéficiaire n’est que de 20% au lieu de 50% et l’on
fait de la publicité pour vendre davantage... Aujourd’hui, un square situé pres du
- ,
Bon Marché porte le nom du fondateur. Son epouse le seconda énergiquement, fit
construire dans le XV“ arrondissement l’h6pital Boucicaut et subventionna l’in-
stitut Pasteur.
Le magasin les Galeries Lafayette
est cree par Théophile Bader en 1895. Aux
deux magasins du boulevard Haus-
smann ont ete raJoutes ceux de Maine
Montparnasse, de Lyon-la-Part-Dieu, de
Nice...
L’ancien chef de comptoir du Bon
Marche Jules Jaluzot fonde en 1865 le
Printemps. Le bétiment, situé entre la rue
du Havre et le boulevard Haussmann,
est construit de 1881 £1 1883 par Paul
Sedille pUlS sureleve en 1961. I1 comprend
aujourd’hui trois magasins: le Printemps
de la maison, le Printemps de la mode,
Brummel. Malgré leur succés auprés du
public, l1nfluence des grands magaslns
comme le Printemps est pourtant restreinte
» , I I
' I
dans la seconde moitie du XIX slecle, les
commercants se contentent de petites
echoppes ou 1ls travalllent sans salaries,
puisqu’en 1866 la ¢population active» du
commerce se compose de 700000 apatronsv
pour 244000 employés.
"~1 /,/,,)1f,'11”J,_ .) *
. * T in ‘-f<‘=. - 1.
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  • 3. ‘“' in ~-.. 5" Y “ E7 * w?‘ ' ‘Y "’Y%*'*,.x;n:-aéis!~.&8§»‘21=i3¢é§ZuiWd&‘ai ‘ill? v~¥3s‘3¢A~£nD‘ J La rentree ~. z>”"‘ 0 IU n I te I ~ -__ _ -
  • 4. ;_/ 1 r , l Y‘ _ 1 > ts: - i 525-. 1. Ecoutez les dia|oguesv’I;éa”§h$ regarder le livre et dites: o se passent-t-its? Quand? Queisilerysont les personnages? De quoi par- A lent-ils? en f if A --*‘__ 2. Apres une secondeepécoufelparlezsdess personnages. Comment les 3. Lisezliesiildiallogues fhfaifté voix.“JoueZ¥iIes. lmitez les intonations. '“"‘,’*:-“‘>-2%.- .~ ~ V7 --Y -» »- V , >3“ ->1‘ Anne: Qu’est-ce qu’0n fait? On sort? On va 011? Mireille: Non, moi, je Je fais mes devoirs tout de suitepllvlrgyfhui. Anne: Tu fais tes dide suite? Mais pourquoi? TuEt puis c’es la premiere il n’y a pas beaucoup de E§I>§{Vc§§‘é%lné1 faire! Mireille: Non, je n’ai pas le temps. Léa ren- tre aussi 51 la maison. Léa arnve. §;;Sa1ut, Léa. Tu ne sors pas aujour- je rentre £1 la maison, c’est Panniversaire I1 y aura une petite famille. Anne: V%i3§l‘nVpOUrrait au moins faire un petit tour dans 1e parc. Ca ne prendra pas beaucoup de temps. Léa: Non, non, merci, j’ai promis A maman de renter plus 1:61; possible. Anne: Zut! Alors, 51 demain. Et souhaite bon anniversaire 5 ta mere. Léa: Merci. Salut. Mireille: Chaol Chao! quatre > ii ¢;_,,_n_,. »-,,‘ » "''75-m»....,__ *9 W
  • 5. "‘“".I‘*':"‘%‘=»--<>~,%<l~ ~(7‘f"1'1;ww', ,.., Y ,.. . _ -- , ,, _1T1qannc<.:'1;*.;_;—;.~ ~» 1‘. . ~~ > ~ , x;; ,1 ~~~._W»;=».,¢a.-_ “ W" " ' , .., AK,’ '4, ,~ @~~~~<<“'*““"'_“" 5.» ‘I.’ .“ T'_.'., AA-;~z ,.¢,;,,_&;s=,_,,._~‘—’?'~’* —=A " fl»-- B W ::'.:;zw»~ ~ ~ ~ . - ~ ~~»~-~1-»~,, ~~ as ,;,:v‘&;»-i-vs: &~, a .» ; _ ~ .‘ ~§. _ . _W___',__._v .ii‘,.1§:~ “‘Y¥“QJ~_?¥;*:' Y. vi‘ <__A_ J . >5#<< , ~ ~»~~~»' Léa, sa grande soeur Lucie, papa et maman sont a table. Tous chantent. Tous: Joyeux anniversaire! Joyeux anniver- saire! Joyeux anniversaire, chere maman, joyeux anniversaire! Maman: Merci, merci mes chéris, servez-vous! (Pause.) Ca va! Papa: plglfes, trés bon... Mais Léa, a? Tu es malade? suis triste parce que 1Zi'ée.’ Le temps passe, et la meme chose: histoire-géographie lffnglais, histoire-géographie. . . Lucie: Tu asieneiife oublié quelque chose. Léa: Oui, EPS,*¢allj’aime beaucoup! Lucie: I1 y a aussi la technologie, les SVT, l’art... Lea interrompt Lucie. Léa: Oui, il n’y en a que 2 heures d’art. Mais 4 heures de maths. Toi, tu en as beaucoup plus! Maman: Mais, mon petit chou, Lucie est au lycée. Dans quelques années tu vas étre comme elle. Lucie: Tu sais, Léa, moi, j’aimerais bien ne faire que de l’art, mais il y a tellement d’autres matiéres a étudier! L’histoire, par exemple, on étudie l’histoire ancienne, l’histoire de France, 1e Moyen Age, les Temps Modernes, 1’Epoque dontemporaine, l’histoire des pays étrangers; ea n’en finit pas! Sans compter la géographiel Qa ne laisse pas beaucoup de temps pour l’histoire de 1’art. Papa: Oui, oui, toutes les matiéres sont obligatoires, jusqu’en premiere on n’a pas beaucoup de choj,x. Lucie: Avec toutes ces matiéresqafi sait jamais rien a Lea: Tu vo1s! Elle parle ;i;l Maman reveuse ; Maman: Mais, Léa, la rentrée ses amis, ses professeurs... J’ai ma mére m’accompagne, elle me retentit, et a ce moment-la on se filles, petits gareons, et puis, on entre dansllalléslasse et on s’éparpi11e un peu sur les bancs... et puis la je revois le maitre d’école qui gentiment nous fait signe de nous asseoir et a ce moment-la, i1 nous a parlé < cinq
  • 6. tres gentiment et on a été rassuré, parce qu’il nous a pris sous sa protection, et ca a été un moment agréable, surtout quand il nous a dit <<bon, eh bien, maintenant, vous allez dessiner et puis ensuite, eh bien, vous me montrerez vos dessins et puis, on va chanter et on parlera les uns aprés les autres...» Léa: Mais il n’a pas dit: <<Bon, eh bien, maintenant on va avoir une toute petite composition de maths pendant deux heures». Et toi, papa, quels sont tes souvenirs? Papa: Un peu moins joyeux, a l’école tout allait bien quoi que la maitresse fut plus sévére que le maitre de maman. Mais au col- lege je n’étais pas un bon éleve, j’étais plutot turbulent, je n’aimais en fait que la récréation et dés que j’entendais la son- nerie pour la récréation, je me disais: <<Ouf, ca y est, on ne m’a pas interrogé», et la j’étais tres content parce que j’allais m’amuser avec mes copains car je me suis fait de tres bons copains au college. Lucie: M. Dupont, par exemple. Léa: M. Barbier. Papa: Oui, oui. D’ail1eurs, eux, c’étaient de bons éléves et ils m’ont beaucoup aidé a passer mon bac. L’amitié c’est sacré! A. Répondez aux questions ci-dessous. B.13.11 2 A quel moment de l’année scolaire se passe le dialogue? Quelle heure est-il d’apres vous? Pourquoi? Comment s’appellent les copines de Léa? Pourquoi Léa est-elle pressée de rentrer chez elle? Pourquoi Léa est-elle un peu triste? Et vous, étes-vous triste moment de la rentrée? Oil Léa fait—elle ses études? Quelles matieres étudie-t-elle? En quelle classe est-elle d’apres vous? Et vous, quelles matieres étudierez-vous en huitiéme? O11 Lucie fait—elle ses études? Quel age a—t-elle d’aprés vous? De quel établissement scolaire maman parle-t-elle? Est-ce que papa a gardé de bons souvenirs de son enfance? 10. Etes—vous d’accord avec la derniére phrase du dialogue? Expliquez pourquoi. six >
  • 7. {U 1: $5“ F‘ ~ %m%- M i H *~~¢-~ -wm-£vez3’vmw—5:en camprw‘? - ,}i Enoum le etexteckii§3<Les tepmmenades *-rue ?M.4RézPard»e etméponaeze es ji '~1"oréalementeeauxqueéstionsr.> * » ,' P A j - P P w Réfléchissez et répondez. Qui est M. Rézard? Qu’est-ce qu’i1 a dans ses poches? Qu’est-ce qu’i1 demande :31 Patrick? Qu’est-ce que Patrick lui répond? Comment M. Rézard récompense-t-il Patrick? """:’,'“_;..r.,;';.v1'¢;,t;.;:» . I -,_,. , , ' ,_ ~¢- "w5‘V7E>4T ‘ “~;-rt » ~ _ ~»'"'- ""“‘”" ' “ ’*" ”‘"‘L'*' "5°"""‘“ ¢-~vwm:nq--»»¢_.:,_.f‘,___,_m "‘*"“""~'>-»~‘.“!2M Etudiez les documents ci-dessous. '7l~ , YA A '5 d颰""¢"'° d" ¢°||é9° L’école maternelle est facultative £1 partir de 1’:?1ge de deux ans. Des 6 ans, l’éco1e primaire est obligatoire. Aprés celle-ci tous les enfants sont accueillis dans les colleges pour quatre années d’études, avant 1’entrée dans le second cycle de Penseignement secondaire. Les locaux du college sont variés: bureaux, salles de cours, gym- nase, salles spécialisées (laboratoires, informatique)... ( sept
  • 8. .lX’ 1/5/Pi Le princlpal dirige 1e col- lege aide par une equipe administrative L’équipe pédagogique est composée du pro- fesseur principal, qui coordonne le travail de l’équipe, et des autres professeurs, qui PQUR CQMPRENDRE LE5 enseignent chacun une matiére. Le con- DOCUMENTS seiller d’orientation aide les éléves dans le Cp_ Cows préparatoire choix pour leurs etudes a venir. Le con (3E_(:0urS élémgntaire seiller principal d’éducati0n et les surveil- CM —— COWS move" lants assurent l’animation de la vie sc0- BT—B'e"et teohmcie" laire et la discipline. L’intendant (ou ges- CAP_Ce'JF[)i:ic:ztS;§1l)ntiet:lJE(:je tionnaire) et son équipe s’occupent des EPS_EduCatiOn physique et Sportive finances et de 1’entretien de 1’étab1isse- 3V1-_ Sciences de |a vie et de |a -|-em; ment. Le college est une communauté oil CDl—Centre de documentation et chacun joue un role. d'i"f°'ma’[i°" UNSS — Union nationale du sport scolaire w‘§,£w Wparcours scolalre :?:’I*./ Quelles sont les deux écoles que peut fréquenter l’enfant avant d’entrer au college? 2. A quel age 1’école est-elle obligatoire? 3. Quel examen a lieu a la n de la derniére année de college? Quelles sont les différentes orientations proposées aprés le college? huit
  • 9. z %_W; ,_ _ -»@-1;»-1' “')°”"”' ‘*i$'4>R:» .A*' V des locaux d'un collége ”*“*;£3$x@%WMWGhaque collége a son nom. L’0rganisation des locaux change d’un établissement 51 l’autre, mais on retrouve partout un certain nombre de lieux pro- pres au collége. r6le de chacun neuf
  • 10. 1. Quellea sont les personnos qui travaillent au college? 2. Quels sont les membres de l’équipe administrative? Qui la dirige? 3. Quel est le r61e du conseiller d’éducation? ~semalne d'u colléglen E 9 ' ‘ 6 yam," ll M Vozcz lemploz du temps hebdomadazre de Max, eleve de 6 . 1. Combien de temps Max passe-t-i1 au college chaque semaine? 2. Combien a—t—i1 d’heures de cours au total? A-t-il des heures de permanence? A quel moment peut-il aller au CDI? 3. Calculez 1e temps consacré a chaque matiére par semaine. Comparez avec votre emploi du temps. 4. Que signifie: remise a niveau? D’aprés 1’emploi du temps, quel est 1e point faible de Max? 5. Selon vous, comment Max devrait-il s’organiser durant la semaine? A quel moment devrait-il se consacrer a ses devoirs et leoons, aux jeux, a autre chose? t 1 1 2 3
  • 11. l unite I entiratiqug l V 1. Recormaitre Torigine des ncms. Les noms de college - Voici une liste des noms de colleges: l Georges Brassens, Paul Cézanne, Blaise Pascal, Emile Zola, Pablo Picasso, de la Vache-Corne, Jacques Brel, Jean de La Fontaine, Richelieu, Marcel Pagnol, des Prairies, du Bois-Joli, Claude Debussy. - Retrouvez Vorigineldes noms de colleges: noms de ces personnalités, noms des Iieux, ou autres? i L - Si vous pouviez donner un nom a votre école, quel nom proposeriez-vous? ' Pourquoi? 2. Faire un schémo. 6. partir d’un texte. Les horalres d'un colléglen au début du XX‘ slécle L’écrivain Marcel Pagnol raconte ses journées de collégien: il a onze ans en 1906. Nos journées débutent a huit heures moins le quart par une <<étude>> d’un quart d’heure suivie de deux classes d’une heure. A dix heures, apres un quart d’heure de récréation, encore une heure de classe, et trois quart d’heure d’étude avant de descendre au réfectoire. Aprés le repas de midi, une récréation d’une heure entiére précédait une demi- heure d’étude, qui était suivie de deux heures de classe. A quatre heures, seconde récréation, puis de cinq a sept la longue et paisible étude du soir. En somme nous restions au 1ycée* onze heures par jour. *Ce lycée comptait des classes de la 6*’ a la terminale. Marcel Pagnol, Le temps des secrets 4 01128
  • 12. “i - Sur Ie modele d’une journée de Marcel Pagnol faites le schéma d’une journée de /’empI0i du temps d’un collégien contemporain. - Que! nombre d’heures est consacré aux cours, au travail personnel, aux repas et aux recreations? - Comparez avec I’horaire d'une de vos journées. mi 3. Retrouver 1e vocqbulaire. Le fonctlonnement du college Recopiez ces phrases et complétez-Ies en plagant au bon endroit Ies mots suivants: réglement intérieur, c - - - - WM595 ‘ mar» dunierlu wltagu an class: do: N“, 3: Q; 31‘ professeur principal, principal ad Dams Rh joint, gestionnaire, conseil d’admi- "W "°"""" "°""l7'1' =¥Z93'°"“° 1“ ‘-“"*3”-“——~ nistration, principal. Mm" -= " l“'M55T"5 °‘-*5“ Z1: 2 § "A Miluonadu mluscun Le dirige le college. I1 est par- e a _“:‘l€::f;“';"':,":“::‘:;""" _ fois assisté du . Il préside le °""°°"""' ‘° ° '€s-~‘=: Krma-ivr d’... qui vote le budget du college et Gnmmsivo 05 x-J .j<_'<.vu$~ adopte le . Le s’occupe de >*~'W~~.~"~*~*-*>*-r~'-H“?Com90$.Fvam l 05 - ..-~.». m».- §_u~ _<_~.-.:.1~r l’entret1en des locaux. Le co0r— I ', s.:¥e‘s f'ms'*donne pédag-0gique_ Mauwmaiquas ’,l -. 1:14 R.-AK.-u .02 1 '4 ,_,,,¢,,y_¢_,c,_ , . ~ ‘:2 4 ‘Wt l ~>:;;: 4. Le ‘bulletin ““°""-’*"$‘a“~l l‘ ll‘ ‘G.-Qllw. _ . ‘ qudlau Q ,7 h ,,, ~ trzmestriel en- ““‘°"°""°' WK‘! s-- 4; '-»-l&,z W all . voyé aux .pq_ sumumm 03 44 ‘Z2: '_““7“./ {"0 u. rents Sc. Physique: , . Dusin Document precieux V, pour progresser, le bulletin contient E°"'““““"ct 55*»-- (5-=*’l"~'*'~‘"'-~'"~- un certain nombre d’indications qu’il em. faut comprendre et connaitre: la note E_,_5_ _t-/:-1‘; est l’évaluation chiffrée des résultats W“ de chaque discipline; la rnoyenne i D , , _ , ‘ -- . i mm lrlui generale permet de situer l’eleve au °“;‘u‘°“‘ ‘“"“"‘°"’ *""“"'“‘“‘i»w~w>-i:~ sein de la classe pour chacune des Conuil MM W am Ehwmnwiv , “Cum """' D pout umaum matleres. 1 ~ Cl In amntnomwwoquts 1. Combien de fois dans l’année if 1 _ . . / ' scolaire le bulletin est-il établi? Qui Q“ le recoit? A quoi sert-il‘? Appréciatians (ls//lwjvl/‘»lA» +40 2. Observez ce bulletin: sur quel mi’:‘:'mm /‘J00 A7trimestre portent les résultats? Com— W bien y a—t—il d’éléves dans cette classe? douze )
  • 13. ?...,._',_,a,_m *~¢¢sas -Q“ "*-"'-II-:_q,,‘,,Q’ ‘*‘"=’*' " *§‘a _,_ et ' . 91‘ étu ' I faltes les exerclces du 11' , » d1e_Z les SChemas et les documents ci d- essus x A Le college de mes reves es1' beau. . . , - - I f“ h’r T re a la qual|’re des A . A , , _ ’d;,¢2___¥ bahmenfs. Je reve dun college don? chacun pulsse elre fser, ---Wif §gi,i humaines deviennenl Trop difficiles. Par le passe, on a con- W slruil Trop de colleges dans l‘urgence, pour accueillir ’rous Pg“ les éléves qui se présenlaienl. Ils son’r souvem‘ laids, e’r ’ ‘. I u u I meme pas fonchonnels. Mon college ld€(1l compor’re des ueux de Travail, des lieux de culture (une grande salle pour falre my >3;~1 “ma '-‘<.~:§3}§€l‘i‘_‘4{1*' » 2» '19¢'*‘~,~<~;:~‘2w>~,~ ~ 1‘ .~, l _ 51%‘ I ».:v<1.<2~:,rr~ wdzriill ~* »¢»~"%§»@1< J . »'~~>»' ~~~ mm we» »,~ Q , ,, l 4 * ' PW/?1><::~,* E44» q1<‘§‘l§El~_ ~‘ ~>.,~~~lw@'~ ~ :~ r£@:—~; .~, / /7'<~*»~‘12K‘“-“ 2.» ~:~=v»~. . »< »~*~:<>.: "av: we r ,. ~ Eg:»‘:'lll Llu »/»*3’;m 4,¢:~>»w:l¢~‘1,~’;/;¢,~2f~»~,e.. W ~ ;;»,».J;,<‘..¢4~ awims K l D c ~ .w » ¢ 4,: 1.»: ~ r . 1 l 4 W" “*5 * """*‘ ‘L‘»~‘l~ ~'?" “"~’1 L ‘ 1 >¥~"~""$~"Z“iI¢$l€léW“Y’* lg P? 1%?‘ 1: ' s _“— #3“"*@'£€%Wlaé§w§a;w>Q :3<l,¢=' ,;'..1>;i=3;?“ ‘ I " ‘ 1; du +hea’rre, de la musique) e e . salles de classe son’r modernes e’r décorées par les éleves eux—m€mes. Elles son’r équipées de casiers afin que les éleves n'aien*l pas <‘1 porter des carmbles Trop lourds. i€;13a4‘ oil l'on se senle l6l'. , ~ - Parlez d u 3ySteme de 1’ . ‘ G113 dazre en France. elgnement seam- Pour vous aid Ca 1er d exerclce. 1 sfwg ¢;5;;_K ‘ " E COLLEGE DE MES REVES Ce jour-la Léa et S93 °°l3ains 9 la le90" (1 f position sur le sujet <<Le collége d er rangais ont écrit la com tions des collé ' 9 mes réves» 1; ' . glens francais ' - I892 les c0mp()3i- ust . 6’! dltes la U . Q Elle vous trouvez la I J 9 9'1 D0urquoi. Quel A Droblecme vous touche le plus? D us ggwar Je sues ’rres sensuble a larc | ec u , M; A §§§;§"“4 b' Son envuronnemenl esT sougne grace des jardms qul apalsem‘ le coeur e’r les yeux. Il naccuel e as ’rr'o d'éléves' au-dela d'une cerlame Tculle, les relahons 1 $5), ”‘ 1 d s heux de detenfe Les * “ W "M e , #~ s , > Q’ ~ r@>W=*‘~ av,» 7 17J‘l‘l1‘91‘-5‘;£§v('*:€%22 » 1 , 1 my ‘E " Mia §*l'€»~~ §€‘&¢¢~n M A I“ "W ' ' K‘ 122;“, ,3 I r, l Q, ‘ x ~ H / wt,/.,' > ,»5'»';w ~_ ~.¢“,f$,Tl_¢ », *3 » ,7‘ . treize
  • 14. ‘gm I- I- < II] ~LlJ O GRANDS , 1¢ vie.1° mavens d'afffQ‘Ilt5'I 1 donne a ms 1” ém” 5 d‘ e V . - ‘ mitrise “nmcrdzale 0. la ' ortcmce ‘P _ , ‘ mus. 5i Tattachg 1:“; 1'::é¢l8e minimum’ =“°“sPensa1:1: ge la con-o ’ e franeous. es ' 1e toutes 16$ 'P°r -. ue natzono. , - 1e vqudrql, is °°““°“s ma lung tes Ie P°“"°“’ °1“°‘“d ‘F - la. ' ance me sent ouvel-' ' ique les mathematxques,I-G135 Ia mug , - “neg I ' les sciences, . ue tous les 1°decouvru: je souhcute q avec - '19, 11tter0.ture- , . at de ‘leur lung"-e Pemture’ ° uer a lmterle , ' sr on- ‘ ent 11°-V15 1; Cest 191$"-1 Fran<;°l15 Pmss ,. nt sur Interne - . is automt °1’°‘isance jlseiuiiisé <5-'¢lPP”endre 1e fr;rf:: 1:I';‘i'' ' =1 A exerrécde -pnmoure . er sans cesse Naus . llege. contmu beaux textes.11 faut, Q“ °° , . ~ q rendre de ll , an- - ‘ ecnre, <1 PP us save-ns. Ie ¢ tudes a 1115* Q ' dre Ce que “° , ~ ‘,4: , ' pre ‘ , 0 ecvnt; G‘ ct?-‘é We G reap - 1; q ecrzreo enspassons n . re en lzsom . L » l ue an. ~ ndre on “trise so. 10.113 'tmue <1 “PP” Qucmd on .m°-1 . ’ lo am-dmloguer en dm g “tes <5-E 1°‘ vie’ Mireille Peut affronter tcutes les tempe I1 donne Q. cha.cun, selon sa. sensibilité, une chance dc s’épa.nouir. Le college de mes réves fait place é, la diversité des intell-1 gences. Les éleves sont tous différents, et chaque intelligence a sa nobl ' ' 'esse. Certalns ont une lntelhgence plus littéraire, d’autres plus expérimentale, ou plus théorique, ou plus artistique. Chacune mérite d’etre reconnue. Je ne réve pas d’un college sans noteS, sans effort ni rigueur. Plus simplement je voudrais un college ou 1’on do ‘ ' ‘nne une seconde chance a. celul qul s’est trornpé! Anne C'esf un ‘ ~ Dans mon coinage fhacun es? respecfa¢°e9e'é<J,chau " - - ,.men? Pourquoi il est Id II f0UTVVA(€§lCg‘“lT?>|1?s,er‘:‘u ense1|*9Tam’ saw preclsén» ' V e rouven es raisons d Ipresence ensemble sous urrmé - e eur. ' I me Ton‘! Pour cela il f 'regles du jeu soiem‘ connues ' Gut cuss‘ que ‘es_ , compmses ef res ec’rées II fsanchong quand enes Sam né . P . auf que les_ ' cesscures soaenf 'us*r - - ,Mals si les enséil c - - ' J es 6" me" eXP|'qU¢¢$gncmts doavenf €X|g€|" de Ieur-s él‘ '" ' Us do“/em vplmey/_es quals progressenfmslalssep , ‘ cw , '|eU,. capacifé dlini1_ia1-ive§" L1r‘ I-“Q68 a |eur" creahvrre, developper , lmagmahon collechve. . ><;. ~ iii;L ‘i?‘i21i£.1e quatorze )
  • 15. ~ ,un".é Par Ies troisiém sunemes aisent rer. N es‘ I1 ne L 1 Qqu 11$ so ous aussi Qn qu d *1? Marty;-isés * "r _. an V an Peur d 7, eme e ' Dans ’ on Q de $8 tr ' - x°-ge- c Ven ‘ Q3316 zai haque collége . u <1 notre gar" mes et puis ne de grands ' 11 Y o. qu des troisiémes, ‘Hui embgte 1 mdxzmum ‘L111 . ' V es petits... VeV %qu1n_ '-K W, - 5»; ~ _,;.;§_, ~,i:%~=v;_:¢:-:,- - U ," 5%: .. _, Mathi “ 1, ., = ell , q ‘ " “ , - ax’-; /‘Y'~;t)»@~~ , ~ “' ' " V ET les 35 heures cu collége? L M ~ Javbudruis pousser un ;vgueuleLVca£r;;(pe les emploisi cjutemps ' ‘chargés. Moi, je suis 30' nu-moins A ' ‘ Mji¥§§‘5L;Viinaison par heures, ' " W mais ii faudrmf ce sou? pour ‘rout e mo pour nousl... ~ Ph1/: e Q» , 'r 7' w, .; - I Wu L * “ ) mam an P“ élévéff alkgcr 16$ Pmg’ . ' ’§*3VO1f d€8 “S1 » farm , . I ' gravalllcr duf» '3' At e de zincr cni classc PP - unc sculc... an Vtiillt 7 Frc M01’ 16 pm C a a rcndrc 611 "’°g”"m V '?u¢§w5w MS m Adeline trois scmams <16‘ ‘h??P? 4_.4,yV;_:_,%.~
  • 16. CD Q Z <11 CE Enn c’est un college ouvert A Ia ‘fois sut Ie monde Ct S11!’ 7 1’avenir. travailler dans un monde sans frontieres, étre un h aines... Voyager, ' I variété des cultures um ' en européen, découvnr a ’ Ie réve dans ce crtoy ‘ L 1 college doit preparer. , c’est a tout cela Vque e ’ beau laboratoire de Iangues, de nombreux séjours d cours en college, d un V " des 'eunes Européens, e £1 Pétranger, d echanges avec 1 Iangues étrangéres. Ie réve aussi que, guidés et épaulés par les 1es éleves puissent utiliser Pinformatique et Internet naissance, professeurs, V. comme des moyens”d’assouv1'r leurs envies dc con ' 1 XX? siecle comme un gulde dans e . Léa ...Racourcisscns 1e V N $7. vacances, ea permettrait de souffl ' er pendant Iarmee et de raster zen... t loin des journées de travail Emmi de d’heures de cours‘? On es t les cours ...Trop . nos parents et on apprend tam de choses! Non seulemen mais aussi la. vie e ( Wk asP se le peu dg mm n soclete, 1e dialogue... Chloé dc ' - , . ' L P5 re “ ~ . 6 . qm I116 rest 3 falre H168 VO1I'S, J6 n 211 dg nc Plus d v1e! ..- ‘ "“‘3§% is? Jessz€a§@%.. s’r as si que go es isystéme We P ' ‘ I S C0¢U|*‘S.$ C'eS1' on peuf les .f1a1F€ (1p[‘Z$ e ' , 1.O nne vrai qu'on a du boulpé“ mans pas unz seize
  • 17. >: ~ Q Q / ‘W § muzru-mzzi nux mn- 1_ Le co//éje £v/e'a/ a) Résumez en une ou deux phrases chacun des compositions. Ecrivez-les sur une feuille de papier. b) Lisez ce que vous avez obtenu a vos camarades. Discutez sur les conceptions du college ideal. c) Créez collectivement |'image d’un college ideal vu par les éleves francais. 2,_ /mans avec /as mots a) Trouvez dans les dialogues et dans les rédactions des éleves frangais tous les mots en rapport avec le sujet <<Ecole>>. Remplissez la grille ci-dessous. Noms Adjectifs Verbes b) Complétez la grille avec les mots du cahier d’exercice. c) Ajoutez-y les mots que vous considerez indispensables pour décrire votre école. 5_ Liéao/e 0/2 mes réves a) lmaginez une école oil vous iriez avec plaisir. Décrivez-la en imi- tant le modele des rédactions des éléves francais, employez le lexique de l’exercice 2. Lisez votre composition a vos camarades de classe. b) Ecoutez attentivement ce que lisent vos camarades. Prenez des notes: résumez en une ou deux phrases ce que vous entendrez et inscrivez ces phrases sur une feuille de papier. c) Créez collectivement |’image d'une école idéale. d) Ecrivez une lettre collective a Okapi en exposant votre vision de |’école idéale. ( dix-sept
  • 18. ,s;,,w §~.;¢:z1',§"'I::" .5;E»11mz‘-V: ,5’ f§,Zi[éI'Z'j.1L'I, ~'i&*:&¢z:!s'~Z*11' Y-r ylsxmfi ~ LE SUBIQNCTIF PRESENT Je souhaite que tous les jeunes Franqais puissent naviguer :31 1'in- ’ ' 7 ' térieur de leur langue avec autant d’aisance qu’i1s surfent sur Internet. i 4%; . , I1 faut que tous retrouvent les ra1sons de leur presence, ensem- “L M ble, sous un méme toit! 2;; - . . . . gig?» Il faut auss1 que les regles du Jeu sozent connues, compr1ses et A , respectees. 23, ‘?§3**“ Il faut que les sanctions soient justes et bien expliquées. Les enseignants doivent exiger que leurs éléves progressent. '/ Alors, 35 heures, c’est bien, mais il faudrait que ce soit pour tout le monde. =7“ ii» ‘Y? * V a=:-r'.. . 1 ‘Z " Les verbes en italique sant au subjonctif -présent. Comment peux-tu les reccnnaitre? Est-ce qu’i1s expriment des faits qui ont déjé eu lieu? Est-ce que tous les jeunes Franeais ont appris 5 naviguer A 1’in- térieur de leur langue avec autant d’aisance qu’ils surfent sur Internet? Est-ce que tous ont retrouvé les raisons de leur présence, ensem- ble, sous un méme toit? Est-ce que les régles du jeu sont connues, comprises et respectées? Est-ce que les sanctions sont justes et bien expliquées? Est—ce que les enseignants sont exigeants? Est-ce que tout le monde travaille 35 heures par semaine? dix-huit )
  • 19. 4 ¢ , , a Q % . V — , I < ',' , .» '» - ‘ » ~~: ' ,5 *.J¥‘, "‘“»i‘!'>;»>r,w‘;»~= - . _ .V 4», ¥‘JtL,I';i,‘ ,, 1 ' A V £1’ ,§ > a-> Q‘ 11 ,_= 3? L a V1% ‘ ummmhmn’a as¢n1i¢a,q§W. » J. . i‘ E sl-1;» .-11, ="' _,%',a1,' . . ,2‘ _.. ; »~ _ ‘ _,; I <.= ~ *;¢;;—;;::"g;x2=~2<>¢, =' - 1» ~:, 1 *./$’q23g&;;; 1; I I I -~<;;:,<,;;j; ;‘- T§/;<’°~ 1~,r»»> 4,-. < » / *< ~ ~>" ~ l > T 9“ mo ' ~ =11» ‘ I LA CQNIUGAISQN SUBINQTIF Verbes du F’ groupe lndlcatif présent Subjqnictifa ,pI'é$8l1t, ll je chante V que je chante tu chantes que tu chantes il chaute qu’i| chante elle chante qu'el|e chante nous chantons que nous chantions vous chantez que vous chantiez ils chantent qu‘ils chantent elles chantent qu’e||es chantent 5 La deuxiéme colonne de ce tableau donne la conjugaison du subjonctif présent F ? "M¢;..4.F=.-W--W 0 s .‘is-1» 3 @ E , I is 3 des verbes du I“ groupe. Vous constatez que le radical est le méme 51 toutes les personnes. Observez les terminaisons et comparez-les a celles de Pindicatif présent. * 1 Verbes du IF groupe lndicatif aprésent ' Subjonqtif présent je nis que je finisse tu nis que tu finisses il finit qu‘il finisse elle finit qu’e||e finisse nous finissons que nous finissions vous finissez que vous finissiez ils finissent qu’i|s finissent elles nissent qu elles finissent Observez le radical: vous constatez qu’au subjonctif présent, le5 A radical est le meme a toutes les personnes. Si vous comparez a Pindicatif présent, que remarquez-vous? ( dix-neuf
  • 20. Le subjonctif présent des verbes du II° grcupe se conjugue sur 1e radical des trcis perscnnes du pluriel de 1’ind.icatif présent. Observez maintenant les terminaisons. Comparez-les 51 celles des verbes du I" groupe: que remarquez-vous? @ ptéscnt, les termimisons bes verbes sour les mémes: ~e, -es, -e, -iohs,’ 5 % a€z‘z‘em‘2'0n./ V Les terminaisons de 1'9 et de 2° personne du pluriel = sont les mémes que celles de l’imparfait. ‘ ' , ,, /,,@,.,'“,,, ~a j& Q W Verbes du IIF groupe faire ~ pouvoir L dire V que je fasse que je puisse que je dise que tu fasses que tu puisses que tu dises qu’i| fasse qu’i| puisse qu’i| dise qu’el|e fasse qu‘e||e puisse qu’e||e dise qu’on fasse qu’on puisse qu’on dise que nous fassions que nous puissions que nous disions que vous fassiez que vous puissiez que vous disiez qu’ils fassent qu’ils puissent qu’ils disent qu’e||es fassent qu’el|es puissent qu‘el|e disent Ce tableau dcrme Ia conjugaiscn du subjcnctif présent des verbes faire, -pauvair et dire. Observez les terminaisonsz ce sont les mémes que celles des verbes du I" et du II° groupe. Observez 1e radical: que remar- quez-vous? vingt >
  • 21. 4 5 § 8 Q 1; -F"-""~ x i2 prendre vfenir ] voir . V que je prenne que je vienne que je voie que tu prennes que tu viennes que tu voies qu’i| prenne qu’i| vienne qu’el|e voie que nous prenions que nous venions que nous voyions que vous preniez que vous veniez que vous voyiez qu’ils prennent qu’ils viennent qu'e||es voient Ce tableau dorme Ia conjugaison du subjcmctif 5 I present des verbes -prendre, venir et vcir. Observez les terminaisons: ce sont les mémes que celles des verbes du I" et du II“ groupe. Observez le radical: que remarquez-vouz? a¥z‘z‘em‘z'0n./ oh ‘ u e 9 ' Q . N Ouelle est la 3 personne du pluriel du present Pindicatif de prendre et de venir? V Vs » ~ ' w<x<;»~;'é" "*>J§@~”? .§Te»~x ,.w/1; /»~ » V _. ‘ .. _ _ , /~ :g"t~;mx m1%,,‘ia~‘{%5»i, M. V @»<;>~@.‘,k 1~ M “1‘2’?3§°“~5‘@ mu =; 4“ 4.. - . ‘¢ ,~»» M ~w>4»c:‘ W. Q. 1.» K » w;"'*r: ::1‘~7&'{as¢‘I~s@~1"3‘“~~*“‘”" ' ‘ '1?" m:_—;~'j ran $.;,;@1_c§, 1:. a¥z‘z‘em‘z'0n encarel.:»3’£:>¢,»,_ ' . 1;: /- m»,,<§,A;§%K , I ‘ii ~~s 1 T“Vo|r: 1'9 personne du pluriel du présent de l’indicatif:oV L nous voy-ons; nmparfantz nous voy-|ons; sub1onct|fossoM%“§% L so presem que "°“$ "°Y '°"s;Autres verbes V aller avoir étre que j’ai||e que j’aie que je sois que tu ailles que tu aies que tu sois qu‘i| aille qu’i| ait qu’i| soit que nous allions que nous ayons que nous soyons que vous alliez que vous ayez que vous soyez qu’ils aillent qu’ils aient qu’ils soient ( vingt et un
  • 22. On emplcie 1e subjonctif: 1'1’/I 1) Dans des propositions indépendcmtes excla- matives. ($16. Qu’il vienne immédiatement! (exprime un ordre) Que tous les enfants soient bien compris par leurs parents! (exprime un souhait) 2) Dans des propositions subcrdcnnées: complétives derriére des verbes: e de volonté, e de sentiment, s de doute, s pour exprimer un souhait, une hypothése. §J(. Je veux qu’i1 aille se promener avec moi. Je suis heureux que mon école soit la meilleure dans mon quartier. I1 semble qu’i1 e, entende mal. Je réve qu’on se comprenne bien dans mon college. _@ i relatives: lorsqu’il y a un doute sur l’existence de Pantécédent. ($16. Je cherche une librairie ou on vende ce livre. Je réve d’un college dont tout le monde puisse étre fier. Je voudrais un col- 7 lége ou 1’on donne seconde chance 51 celui qui s’est trompé. § circonstancielles: s de temps: (apres) avant que, jusqu’E1 ce que; s de but: (aprés) pour que, afin que; s de condition: (aprés) 51 condition que, pourvu que, :31 moins que; s d’opposition: (aprés) bien que, quoique. £26. Nous chercherons jusqu’é1 ce que nous trouvions la solution. Je viendrai te voir avant que tu (ne) partes. Je te le dis pour que (afin que) tu le saches. Je vous le dirai E1 condition que vous ne le racontiez £1 d’autres. Le temps est magnifique pourvu que la température ne monte plus. Nous viendrons £1 moins qu’il ne pleuve. Quoiqu’i1 fasse tout son possible, il recoit de mauvaises notes. Bien qu’e11e I travaille beaucoup, elle ne réussit pas. vingt eux >
  • 23. i 1. , Un 1 - :<§~ Mettez les verbes entre parentheses au sub- jonctif présent. 7 . I1 faut que je (faire) attention en traversant la rue. . Je suis content que tu (venir) visiter ce musée avec moi. . Nous aimerions que Jean (étre) un peu plus calme. Je doute que tu (finir) tes devoirs avant le diner. Il semble que tu (avoir) assez de temps. J’aimerais que nous (prendre) du pain avant de rentrer. . J’accepte de me promener avec Elisa a condition qu’elle (mettre) un manteau. 8. I1 n’est jamais pressé quoiqu’il (venir) toujours en avance. 9 . C’est la seule amie que nous (avoir). 10. I1 faut 1’aider afin qu’elle (faire) plus vite son exercice. B. Relisez les phrases ci-dessus et justifiez Temploi du subjcnctif présent. 2. Ecrivez cet itinéraire en ccmmengant par i1 faut. Pour arriver jusqu’a notre village, prenez autoroute A13 jusqu’a Caen. Empruntez ensuite le périphérique et sortez dans la direction de Vire. Traversez Vire, passez par les Vaux de Vire et la, suivez les indications qui vous méneront jusqu’a Champ-du—Boult on nous vous attendons. 5. Complétez les phrases par un verbe au sub- jonctif présent cu ci Yindicatif présent. 1 7 . Je désire que tu (venir) avec moi au cinéma. . I1 faut que vous (étre) tres attentifs. . Je sais que tu (avoir) énormément de courage. . Je voudrais que vous (passer) par Argences. . C’est le meilleur dentiste que tu (pouvoir) trouver. . Je t’assure que tu (pouvoir) y aller. . Je crois que ses parents (vouloir) qu’elle (aller) au college César-Franck.
  • 24. 8. Je cherche un boulanger qui (faire) du pain complet. 9. J’ai trouvé un boulanger qui (faire) du pain complet. 10. I1 est préférable que tu (faire) du sport tous les jours. 4:. Subjenctif cu indicatif? Ccmplétez les phrases suivantes. 1. I1 est utile qu’i1 ses erreurs. 2. Si le soleil de nouveau, je changerai de robe. 3. I1 faut que tu . 4. J’aimerais qu’il . 5. Je veux que mon college . 6. Papa dit qu’il . 7. I1 est heureux que Lucie . 8. Maman est triste qu’el1e . 9. Elle raconte que sa mere . 10. Léa réve que ses copines . II5. Reeerivez chacune de ces phrases en rem- plaeant 1e premier verbe par eelui qui est 6. indiqué entre parentheses. 1. 9. Je veux que tu sois en pantalon pour jouer dans 1e bois. (savoir) J’aime que tu viennes :21 la piscine avec moi. (croire) Nous savons que vous étes en vacances. (attendre) Vous voulez qu’i1s puissent se reposer ici. (penser) Je sais que nous avons beaucoup de chance. (souhaiter) Je pense qu’i1s sont trop fatigués pour venir. (douter) Ils veulent que leur éleve réussisse. (espérer) Je suis sr qu’e11e prend 1e train de 12h 50. (étre étonné) Je souhaite qu’il fasse assez beau pour faire une marche en montagne. (croire) 10. I1 faut que tu fasses du sport tous les jours. (étre sr) Créatien. Rédigez une charte des éléves en dix points, dix propositions qui deivent déterminer leur compertement a 1’éco1e. Que 1’éléve Qu’i1 En cas de retard, qu’i1 En cas d’absence, qu’i1 S’i1 ne comprend pas un cours qu’il S’il veut réussir qu’i1 Si un ami a des difficultés, qu’i1 Si un voisin est trop bavard, qu’i1 S’il veut prendre la parole, qu’i1 S’i1 veut qu’on le comprenne, qu’i1 -‘FED
  • 25. Unité I 7. Lisez Ia suite de Phistoire de M. Rézard, trouvez les verbes au sub- jonctif présent et expliquez l’emp|oi du subjonctif dans ces phrases. ,f V l In _ i‘(sulte)~:~up~ ~~ Patrick revient bientot en criant: — Maman veut bien! Maman veut bien! Mais i1 n’est pas seul. Bruno, son jeune frére, le suit comme son ombre. Arrivé pres de M. Rézard, Bruno demande: — Vous voulez bien que j’ai11e avec vous? — Oui, mais a condition que vous ne vous chamailliez pas! M. Rézard prend son baton, des paniers et les voila partis. Arrivés a la hauteur de 1’église, ils rencontrent Marie- Hélénez -— on allez-vous? demande—t—e11e. — Aux champignons. — Vous voulez bien que je vous accom- pagne? 1<1szARD MOTS EXPLIQUES Comme son ombrez Bruno suit son frére de trés pres et ne le quitte pas. Se chamailler: le vieil instituteur ne veut pas que les enfants se disputent, qu’ils se chamaillent. Presbytére: la maison dans laquelle loge le curé s’appelle 1e presbytére. . . .. . A . ,'Oui, mais a condition que tu ne te plaignes pas d’etre fatiguee. Pres de 1’ancien presbytére, les trois fils du macon demandent: — O11 vous allez? On peut venir? — Oui, mais a condition que vous soyez raisonnables et qu’une fois arrivés dans 1e bois vous ne vous éloigniez pas! Ils rencontrérent encore Véronique, Pascal et Juan, le petit Portugais. Tous posérent la méme question, tous recurent la réponse souhaitée. Ils cueillirent beau- coup de champignons et furent sans doute trés sages puisque M. Rézard promit: — La prochaine fois nous irons aux noisettes! R. Millot Quelles questions posent les fils du macon‘? Si ces questions ne sont pas cor- rectes, écrivez—1es en bon francais.
  • 26.
  • 27. WY4. af /n.-J Iv»: 7 *1 @ is 4 "*~. W *1‘ *“=f:;; 1. / A ' W" " 1 ‘ 1‘ * 3.», i 2 *3? “ a X wk 5; ‘ » ‘ £5: " ’ “ i*~~»*, §’¥1»1V , *w'1z 7:741’ i»= 3; ' " ' ; '§ E "E -'¢ Mgr ), 3» r t g E Z ?’ § 3 §% , . H,“ M1 ,-* é .‘ 5 x -ix“ “ V‘ <> S I J M.» 7 ,_ €}‘h_<$,_ way i ‘Y: X ‘ _A_ ._‘; -<.».;.¢~»‘~W- ~ ’ 2 M “ " * ' ,;_3;‘ e M3 A,» A :5 << 3 >*>=m4¢Qi*u< 1». l’ kégl .-. tn 1» K‘~ £31?“ § * ;_ A r [CS l’édt8t|O|lS petite boite de metal. I1 punissait le Les éléves apprenaient par coeur. mallvais éléve en 1,911‘/'0Y31115 all Piquet, maitre fajgait I-épéter et I-éciter dans un coin de la classe ou de la cour. indéfiniment les tables de mu1tiplica- Et Surtouta 11 19 gardait 911 Petellue tion ou la liste des départements 19 $011‘! newIQ’!-myr~ l‘ &§'fr;w*g‘»~'+,1,,w‘ F‘ (‘D ll ?'§ Qzijjfrancais. Les éléves apprenaient aussi iibeaucoup de p0éSieS_ Le métler d'lnstltuteur L’instituteur était l’un des hommes [GS d|C|ié8S Qt l8 Ciltlll les plus instruits du village. En plus La grammaire et 1’()1'1;hQgI‘aphe de sa classe, il avait de nombreuses avaient une grande place dans l’en— responsabilités. I1 travaillait pour seignement, I1 y avait au mgins 4 di¢- la mairie, donnait souvent des cours itées par semaine! Les éléves faisaient auX adultes 18 S011" 615 rendait Service W 4 I ll“' .,,__¢ . n €P?§ >*-in aussi des problémes de calcul et de &uX gens- géométrie. Ils apprenaient aussi l’his— toire de France et des sciences appelées I-e cerucat d études ,,- »1=.:'* *1 ¢1eQQn de (;h0SeS,>_ C’est le dipl6me que révaient d’avoir les écoliers a la fin de leurs I-es |'颰mPeIIS8$ 81 |8S études primaires. L’instituteur pré- DIIIIIUOIIS parait ses meilleurs éléves a cet exa- Le maitre donnait des bons points me11- Lem‘ Slmcés était 19 $18119 q11’i1 que l’éleve collectionnait dans une exercait bien son métier- ~ , e . ~ ~> V ’““>-~a.~..>,,,,.“J-</> u~ — _‘ PW“ _., _~ > *1. :. »~---uu._- _. a ‘*" - , ~ ....:¢-W‘;-~ -~-1 p "-'”‘ "t‘A I T1: ‘ "1, ' if " = In "rm-‘-?:“£?r::_~2w~ i<~ ~‘:.=‘*§~@@g_. =-,0-=>-=w=,.-.~_.__-m..,_:::_.,._ W En 1897, le cartable de l’écolier ne Pas d‘¢ffa¢e|||'_ mals |||'|g gqmme contenait pas le méme Inatériel qu’au- 3 en¢|»e| J°urd,hui' C’était difficile d’effacer les taches d’encre car la gomme dure trouait Pas de trousse, mals un plumler souvent 1e papier. Dans cette boite, l’écolier rangeait pas de Runes’ mais des Wl¥”’****‘# 1'§., . Y‘ M‘! Q ,, .' X. en b0lSl un crayon, une regle en bois, un p0rte— crayons de couleu p1ume_ Peu d’enfants avaient des crayons de couleur. C’était un matériel couteux P35 dg sub Q b|||Q' mgls un offert parfois comme cadeau de Noél. porte-plume! L’éc0lier écrivait a l’encre violet- pas de came’ de broumom mais ~% te avec un porte-plume. Dans une "tie mrdolsei petite boite, H rangeait ses plumes L ardoise servait ppur des exerclces en acier_ collectifs. Le cahier etait reserve aux R. 1 irmy > .-9.“, 3 devoirs. L ii” i § 5if ‘$7 2 i Y?’ 1 i‘ *3 (1%: vmgt-sept ii??? § '1? £ - 5; ,1 F '5 "X: 31 :9 §5p$’ , 5 . ‘£1 § ii 1 5 _,§ 251$ 2 ‘if“1 L Z {ii xi‘-¥~ 5 Unlte 1
  • 28. P35 d¢ ma||||¢|5 (0|Q|'é$, mals des parfois un gros taille-crayon 5 ma- livres sévéres! nive11e- Les manuels scolaires étaient peu illustrés. Le livre de lecture le plus pas dc calculate» mals un banner! s’appe1ait <<Le tour de France de Le boulier permettait de faire des enfants». opérations en déplacant des boules sur des tiges de métal. I1 y avait une tige pas de ta|"e"Q'ay9n- mals ll" Can"! pour les unités, une pour les dizaines, Les crayons étaient taillés avec une pour leg een1;aineS,_, canif par le maitre. Il utilisait ~' ~ ~ ~ ' ' ‘ ' ‘ ~~-~-~?- "*f¢~*»*W*""“‘“****’*1“*‘*=<‘<~'**'~**’1‘"‘*=1**1“’*‘"!1sP‘*‘t*14?’?‘@s2ws*=~¢>¢:~s»»wm=m<:=~-,%s.-m.m.~,W...s !~> .. ~ P‘-v '»--»~ r*i~*) e .»‘<»-<-¢.~~e M» -~» -1. mm- >4‘ Sur cette miniature du XV‘* siécle, un moine L’instituteur a toujours une grands place apprend a l|re Ie |at|n a ses eleves. aupres des enfants comme le montre le téléfilm L’instit. All MOWII A98. les écoles Au XVII‘ slécle, les petites écoles monastlques Pendant le régne de Louis XIV, des Au Moyen Age, les enfants nobles écoles s’0uvrirent dans les campagnes. étaient souvent instruits par un pré- La classe était faite dans un local mal cepteur. Certains enfants étaient c0n- Chauffé, (18118 16 loge-ment du maitre fles a des monasteres. Les m01nes 0L1 meme Clans une grange. Le maltre étaient chargés de les instruire. Les était, avec 19 Curé du Village, 1,1111 des livres étaient rares et précieux, Le seuls é savoir lire. Les écoliers appre- livre de lecture des éeeliers était un naient 51 lire le latin dans des livres de llvre rel1g1eux, eerlt en latm, 1e prleres. Ils sabsentalent souvent pour psautier. travailler aux champs. vmgt-hunt 1 1, § E E1»,-1.:..; v z; * s /' »,~.;w> : 2? L ,i 2 ;:~. 1 2 ac:
  • 29. 5 7 ,1=' A. ~"‘§n ‘ ' ‘ ‘_~“ s . "‘”""* “ ’ , . ,:‘ I“ ’*'*"1f!Z ‘ ‘ ‘:1 ;~ x 3% '/.f¢»w.€».eu’§:; )4 ' as an 1“ ' ‘K rig’ y 5» if s.,~*’“ K K ;§ %; 4:; M " ,1‘ z "X" ‘.»<“;» x ,1 E »¢ -'» I ‘ a ‘Y ,5 1) {"7 » 1 is R ~ .,‘ % v K , r * W 'ffT:~.. , S» *1‘; , * ‘f ‘"' 7.;/Y" § 1 ;~,»"‘ ,' '~ w é a/x 1 A‘ , 3%’ K I), ‘ #._‘)‘¢ V‘ E R3,‘ Fm-_.,._.‘,,.‘.E ' 5 11 . 3 .- - Y ~ K 51% 2;‘ L M“ 'M§M'" N¢w V f‘ V ‘ "’ ‘V ° 7 ‘ 5, :1 “ I v sa ;* —‘ ; > =;= 1 ' W ' e‘ sf? e~ A55 ‘ L} W?“ é',»fS:?,; (‘A ‘ Y 4 I —w t 3, 1 ‘ 1%‘ >“ E; 3 .1’ Q s i 5 i @ § §» K ¢ y ‘ Z @ , . * » ' § * i r 1 * . is. ~ : J ; ¢ ,z,.,,, 1 > “f 1, JYW.» ‘z W/' 4“ “M Mg p ii" ~£¢<»6 ll ‘ *‘; H‘ K w Le photographe Robert Doisneau a avec tendresse la vie des écoliers vers Au XIX‘ slécle. l’école pour Apres la Révolution francaise struction progressa. La missi1 l’école était immense: en effet, en un tiers des femmes et un qua: hommes ne savaient méme pas de leur nom! En 1882, le minis" 1’instructi0n publique, Jules 1 rendit l’école, gratuite, laique e‘ gatoire pour les enfants de 6 a 1 Auj0urd’hui, tous les enfant r a l’ecole jusqu’a 16 ans. Les sont mixtes et ne dépassent p éléves. A l’ecole maternelle e" maire, 1e mobilier est a la tai1I 1 ' r a l’école prlmalre au]ourd’hul C enfants. Les tables ne sont pas to alignees face au bureau du mait En 1897, les écoliers portaient tous une écoliers apprennent a utiliser des blouse. Celle-ci était souvent de couleur som- nateurs, 115 étudient aussi les 1 bre pour cacher les taches d’encre. étrangér-es, Sm-tout yang-1ais_ 5 Presentez la journee d un ecolier frangais d il y a 100 ans. Comparez le contenu du cartable de |’écoIier en 1890 avec le Quelles sont les grandes étapes de l’hist0ire de |’éducati1 France? Comparez les systémes éducatifs de France et de Russie. sont leurs points communs? »* =‘ = ‘ an if .* ¢ ~‘ ~ , , , 3 <' v 3 £1 x%,€“‘i%~,; 1*, k x 1 a y’ @.*';‘»#~»,§‘;¢ ,; 512$”, cw. '1}!/~ , , = ;,xy f s ;, *-1: ~' ¢ 1% 2% M ,—' <*/x“ ; 1 "*3? Q“, » 5 5" “ ‘F » Q‘ »~~,:‘ » 2 "‘* ~ ?<>..~‘ as » 1. J 3 K ’ gr "‘ ‘ 2; ¢ I xv ‘5 Xaa Y ~$ Q‘ 5 ‘A v 1 uirr J K lé £3 Y‘ 5’ MY51 39 ‘* '~§“if .14--31?; 5 ‘5 1 5 .~1u<§Q“”’§>§§~’i 3“ 3 ' 'i kg”; W’ ’ ‘Y “$5 4‘‘ ‘—» I -7., '1: I ‘r E'~»' w»~~>‘.». vw. ~> g. , 5 ,3“ g $5,; ,§ wt 5 x 1 » " { 3 ,> X ,z<»< g Q; xv egé E Q » 3* g * ea 4 é i ~ vmgt-nUs ‘,4 x 51 iv“ L. ,,_1§,,‘ ,, >1,’ ,. , W» ‘ g k ;, a ax ,7./' 1" , in <. §g§**»;~> ~s I.‘ W‘~»_ J,§f§,qv ; ,5 ,‘ w‘ V; —,r V r _;3 §;;»{§ j;~4g* }& I 3; > 3;‘ 4; as J £14,‘ “"’» = "u;»¢>;,5 é .'€?,§‘ . ‘§ 525 E? 2,§§%§§‘ I * f '*§24§~ :W *“"‘k 3 3‘l‘¢' 1‘ 't ‘ 7f fr’ 5 arr‘ ’ 5, ’ 715 m""‘;§ g”"': ‘ €¢ ‘£3 fs ‘ ".2 /:’11;§ mi? “1 * ‘ 2 ‘E; we 2 ‘-*1‘? Q ; ’ 1 5 s yk xi" E
  • 30. Le papa de Nicolas a rendu un service person- nel a son patron, M. Moucheboume. Ce|ui- ci envoie un jeu de i’oie a Nicolas, qui en a deja un. Nicolas se contenterait bien de tele- phoner a M. Moucheboume pour ie remer- cier, mais ses parents exigent qu’i| lui écrive une lettre. — Ecoute, Nicolas, m’a dit maman. Si tu es sage et si tu écris cette lettre sans faire d’hist0ires, tu pourras prendre deux fois du dessert. 6. "6" Moi, j’ai dit que bon (c’était de la tarte aux abricots!) et maman a dit qu’e11e allait préparer 1e diner et elle est partie dans la cuisine. N a — Bon, a dit papa. Nous allons faire un brouillon. 10. I1 a pris un papier dans le tiroir de son bureau, un crayon, il m’a regardé, il a mordu le crayon et il m’a demandé: —— Voyons, qu’est—ce que tu vas lui dire, a ce vieux Moucheboume? ~ ~ ~ M —~ — Ben, j’ai dit, je sais pas. Je pourrais lui dire que meme si j’ai 15. déja un jeu de 1’oie, je suis tres content parce que le sien je vais 1’échanger a 1’éc0le avec les copains; i1 y a Clotaire qui a une voiture bleue terrible, et... — Oui, bon, ca va, a dit papa. Je vois ce que c’est. Voyons... a Comment allons-nous commencer?.. Cher monsieur... Non... Cher 2Q. monsieur Moucheboume... Non, trop familier... Mon cher mon- sieur... Hmm... Non... prends 1e crayon et écris. Je me suis assis au bureau et papa a commencé la dictée: — Cher monsieur, virgule, a la ligne... C’est avec joie... Non, efface... Attends... C’est avec plaisir... Oui, c’est ca... C’est avec 25, plaisir que j’ai eu la grande surprise... Non... Mets 1’immense sur- prise... Ou non, tiens, il ne faut rien exagérer... Laisse la grande surprise... La grande surprise... La grande surprise... La grande surprise de recevoir votre beau cadeau... Non... La, tu peux met- tre votre merveilleux cadeau... Votre merveilleux cadeau qui m’a 50. fait tant plaisir... trente >
  • 31. 5 so. I s: 3 ,-.W,.. ¥ 3 1 l 0 h rt1 Ah! non... On a déja mis plaisir... Tu effaces plaisir... Et puis, tu mets: <<Respectueusement...» Ou plutot, <<Mes salutations respectueuses. . . >> Attends. . . Et papa est allé dans la cuisine, j’ai entendu crier, et puis, il est revenu tout rouge. — Bon, il m’a dit, mets: <<Avec mes salutations respectueuses», et puis, tu signes. Voila. Et papa a pris mon papier pour le lire, il a ouvert des grands yeux, il a regardé le papier de nouveau, il a fait un gros soupir et il a pris un autre papier pour écrire un nouveau brouillon. — Tu as un papier a lettre, je crois? a dit papa. Un papier avec des petits oiseaux dessus, que t’a donné tante Dorothée pour ton anniversaire? —— C’étaient des lapins, j’ai dit. — C’est ca, a dit papa. Va le chercher. — Je ne sais pas ou il est, j’ai dit. Alors, papa est monté avec moi dans ma chambre et nous nous sommes mis a chercher, et tout est tombé de l’armoire, et maman est arrivée en courant et elle a demandé ce que nous étions en train de faire. — Nous cherchions le papier a lettre de Nicolas, figure-toi, a crié papa, mais il y a un désordre terrible dans cette maison. C’est incroyable! Maman a dit que le papier a lettre était dans le tiroir de la petite table du salon, qu’e1le commencait a en avoir assez et que son diner était prét. J’ai recopié la lettre de papa et j’ai d recommencer plusieurs fois, a cause des fautes, et puis aussi a cause de la tache d’en- cre. Maman est venue nous dire que tant pis, le diner serait brlé, et puis, j’ai fait 1’enveloppe trois fois, et papa a dit qu’on pouvait aller diner, et moi, j’ai demandé un timbre a papa, et papa a dit <<Ah! oui», et il a donné un timbre, et j’ai eu deux fois du dessert. Mais maman ne nous a pas parlé pendant le diner.65. Et c’est 1e lendemain soir que j’ai été drolement inquiet pour papa parce que 1e téléphone a sonné, papa est allé répondre et i1 a dit: — All6?... Oui... Ah! Monsieur Moucheboumel... Bonsoir, mon- sieur Moucheboume... Oui... Comment? Alors, papa a fait une téte tout étonnée et i1 a dit: —— Une lettre?... Ah! c’est donc pour ca que ce petit cachottier de Nicolas m’a demandé un timbre, hier soir! Sempé et Goscinny, Les aventures du petit Nicolas ( trente et un
  • 32. “gs, 1;‘>ifar‘;ri l ".4; Nkcolasi” a‘) Q e*"pro et-ell‘e a Nicolas? Selon vous, est-ce par faiblesse? b) Quelle est la cause de sa mauvaise humeur? 2. Le papa de Nicolas. a) Pour quelle raison aide-t-il son fils a ecrire cette lettre? b) A quoi voit-on que ca l'ennuie? c) Comment s’explique son mensonge final? d) Montrez qu’il a agi selon Ies convenances (la politesse en usage dans notre societe). 3. Nicolas. a) C’est un enfant sincere: a quels moments? b) Peut-il comprendre le mensonge de son pere? Pourquoi? Comment reagit-il? c) Sur quel ton raconte-t-il son aventure? Donnez des exemples de sa facon de s’exprimer. 4. La lettre. a) Ecrire cette lettre n’amuse ni Nicolas, ni son pere. Pourquoi? b) A la place de M. Moucheboume, auriez-vous prefere le coup de telephone de Nicolas, la lettre de Nicolas ou celle de son pere? Justifiez votre reponse. 5. Dans la vie sociale (en famille, entre amis, avec Ies autres...) peut-on tout dire? Développez votre réponse. Quele est lon n < errible» Quel est |c| le sens de <<terr| ble>>? A-t-il le meme sens que dans: un desordre terrible (l.53), une mort terrible; une terrible inquietude; un vent terrible; un chef ter- rible; un enfant terrible? Dans chacune de ces expressions, rem- placez <<terrib|e» par un synonyme. 2. Maman a dit... Maman cuisine. (l.7) Maman est... faire. (l.49) Maman a dit... pret. (l.55) Maman est venue... brule. (l.60) Ecrivez en style direct ce qu’a dit la maman de Nicolas. 3. Ecrire une lettre: a) Ecrivez la lettre dictee par Ie pere de Nicolas. b) Ecrivez la lettre que vous auriez ecrite a la place de Nicolas. aux ’
  • 33. A 4. Quels sont les mots qui évoquent le sommeil? Trouvez-en six. Q X i E v i wnul-:#,~‘M.-/-,_ 1 3 ii. 9°P‘t‘“.°°!""‘ ; V. - . ; J J»>,.‘,< » ,5w.,23;, I .>3§§,:,- ~‘€2;§: 11+»-é ,;;;3,~;;; “ ‘ ~ ' » K _. ,, ,,, , K. , -I I Y . ~’ .. . ' ‘ L J L" " 3 1. . u 1 X L Compréhension orqle (CO) »._,;J-' ‘ Ecoutezrtsle texte~<§Olivierrsets1es ibilles», rrépodez aux questi,o,nsi.* V: Vrai/faux . Les billes étaient dans une chaussette de laine. Olivier 1’avait glissée dans son cartable. Les billes avait roulé sur le plancher. Les écoliers les avaient ramassées. Le maitre avait fait un lapsus. I1 dictait un texte d’A1exandre Dumas. Com-préhension écrite (CE) Lisez la premiere question et parcourez le texte pour trouver la réponse. Notez—la. Faites de méme pour les autres questions. 1. Quelles sont les personnes mentionnées dans le passage (méme si elles ne parlent pas)? 2. Différents achats sont faits dans le but d’équiper Tistou pour l’éc01e, lesquels? 3. Quel est le premier mot du paragraphe dans lequel on apprend que: 5 a) Tistou va aller a l’éc01e? b) Tistou ne va pas réussir a 1’école? c) Tistou ne va pas rester a 1’éco1e? . ,'f‘*‘3'V.."‘.,"'”';_.""",-,‘ , , V. A .14 g __ ,,,~,,-¢-~~»,,w“»~ ff‘ E ,> “;~., » v J ., - " " ' """ <"T"; i ~¢..§._,~...-;»n»s~4=+,»’ M’ ¢’“‘ Q ~ ~ . , -* ,,, ., -‘” M. » ~¢—., ~> r I . . _ - 4;, if I _. , . . ’, ._ A I’‘- 5 ~~l.,;;_,;; . 4- .1 ..W.,+¢~»»!~ - --~19‘;~3‘¢€i’¢2i§;|i»fe?>§;‘~2?§§"l1%‘l$ii‘5--**§~>r'-:~i> <_i,:__.,.j _____w W’ “"""“ »-_.s___~_ . Jusqu’a Page de huit ans, Tistou ignora l’éco1e. Madame Mere, en effet, avait préféré commencer elle-méme 1’instruction de son fils et lui enseigner les rudiments de la lecture, de 1’écriture et du cal- cul. Les résultats, il faut en convenir, n’étaient pas mauvais. Grace a de trés jolies images achetées spécialement, la lettre A s’était installée dans la téte de Tistou sous 1’apparence d’un ane, puis d’une alouette, puis d’un aigle; la lettre B sous la forme d’une bille, d’une boule, d’un ballon, et caetera. Pour 1e calcul, on se servait ( trente-trois
  • 34. L 4: 2 2 Q Z I s» lE‘ is 31 1 I H i r.~ fmw" 4 5*, Y, a "5 , We - )"'Y~*“zL‘>*-2' 5 g, i k 5 § i 3 é ? i 4 ii‘, ; i 5 R § i d’hironde1les posées sur des fils électriques. Tistou avait appris non seulement E1 additionner ou a soustraire, mais il parvenait méme a diviser, par exemple, sept hirondelles par deux fils... ce qui pro- duit trois hirondelles et demie par fil. Comment une demi—hiron— delle pourrait—elle se tenir sur un fil électrique, cela c’est une autre affaire que tous les calculs du monde n’ont jamais pu expliquer! Lorsque Tistou atteignit son huitieme anniversaire, Madame Mere considéra que sa ‘cache était terminée et qu’il fallait confier Tistou a un véritable professeur. On acheta donc a Tistou un trés joli tablier a carreaux, des bot- tines neuves qui lui serraient les pieds, un cartable, un plumier noir décoré de personnages japonais, un cahier £1 grandes lignes, un cahier :31 petites lignes, et on le fit conduire par le valet Carolus a l’école de Mirepoil qui avait tres bonne réputation. Tout le monde s’attendait a ce qu’un petit garcon si bien vétu qui avait des parents si beaux et si riches, et qui savait déja diviser les hirondelles par moitiés et par quarts, tout le monde s’attendait l a ce que ce petit garcon-la fit des merveilles en classe. l Hélas, hélas! L’école eut sur Tistou un effet imprévisible et désas- treux. Lorsque s’ouvrait le lent délé des lettres qui marchent au pas sur le tableau noir, lorsque commencait 51 se dérouler la longue chaine des trois-fois—trois, des cinq-fois-cinq, des sept-fois—sept, Tistou éprouvait un picotement dans l’oeil gauche et tombait bien- tot profondément endormi. I1 n’était pourtant ni sot, ni paresseux, ni fatigué non plus. Il était plein de bonne volonté. Le premier jour d’école, Tistou rentra chez lui les poches pleines de zéros. Le second jour, il recut en punition deux heures de retenue, c’est— a-dire qu’il resta deux heures de plus a dormir dans la classe. Au soir du troisiéme jour, le maitre remit a Tistou une lettre pour son pére. Dans cette lettre, Monsieur Pére eut la douleur de lire ces mots: <<Monsieur, votre enfant n’est pas comme tout le monde. Il nous l est impossible de le garder». L’éc0le renvoyait Tistou 51 ses parents. Maurice Druon, Tistou les p0u_ces verts Calculez votre score en comptant un point par réponse exacte; inscrivez-le. Expression écrite (BE) Répondez aux questions. 1. Quel est ton nom? 2. Quel est ton prénom? trente-quatre >
  • 35. we F‘W3 9 Quelle est ta date de naissance? Est-ce que tu as des fréres et des soeurs? Quelle est la profession des parents? . Quel est ton repas favori? Quel est ton sport préféré? . Que1(s) sport(s) pratiques-tu? Qu’est-ce que tu aimes regarder £1 la télé? 10. Qu’est-ce que tu aimes lire? 11. Quelles sont les matiéres que tu aimes 51 l’éc01e? 12. Quelles sont les matiéres que tu n’aimes pas 51 1’éc0le? Expression orale (E0) Expliquez en 15 phrases ce que vous avez fait pendant Ia sema|ne qui précéde. Ieu de r61es. A. Un collégien francais explique aux visiteurs la direction demandée. B. Un visiteur demande sa direction. a) Pardon, je cherche le bureau de Monsieur 1e Principal, s’il vous plait. b) on est la cantine, s’i1 vous plait? c) Pour aller au CDI, s’il vous plait? d) La salle de sciences humaines, vous savez ou c’est? e) Pourriez-vous m’indiquer la salle des professeurs, s’i1 vous plait? ~ ~‘ W *" W 2. APPRE W »’#~».-;~»2r-a: :1 r’ =~,1 ‘W,< ,; ~ _ @,~;,, ‘c<.~» '4 11 1.1 ~.~ 1», ~»~¢ ,~, »» , 2 /f< » ENDRE , V G; _ ~< * * * » * > c ~" :»//41’ A: 1 L '1 5 ' 2*‘ ul. ‘wk. /' V ’ “ ""551?-Lmq r ~ >- ~ ——-;$'~¢~< <_ 1;’ 1 :5 - >= "‘ .» ‘ ,. g 5 / » 2:“ m ~:§»;,4~,~§% ,, ”;&""-3&1?‘ 1 2 * v»? .‘§ 1 :1 ‘ 141% W 1 1 1 >v 5; ;;-* Z 1:» Q.
  • 38. 1 a ; - . ‘ ~1*'*"¥iiIé“i:¢.-=21.-S*""" .. .:*,~'.~ 111+ 1. am»-<~.=;-;.~i-w-v ii»: -‘ 1' ' .1".' ' ..1*'¥;».n.-,1 ‘ a.',, 1.. . .1: * - " , . .= .> .. W,.~;;*:*‘; i ' " "" “ '* " ' “’.'=¥‘-1 ‘~ .1‘.‘£‘-1*"-"' 'A'_.'.'Z—-22". 3’ 31*? ~ ‘ ~ ;.~; - , , ' < ~~ < I» kw; ¢<-is . ' ~ - ~ - - ». ~>t~=*>E-M 1 .7. . " » v ' §$";§~‘~.2 . 1. Ecoutez. les dialogues sans regarder Ie livre et dites: ou se passent-iis? Quand? Quels en sont ies personnages? De quoi parlent-ils‘P L ‘-9*‘; 2. Apres une seconde écoute pariez des personnages. Comment ales voyez-svous? L V ~ 3. Lisez les dialogues a haute voix. Jouez-Ies. lmitez Ies intona- tions. ‘“""""—‘""'"""“““‘" ~.e p .... Q __,?.,s,.,q_»~'1i"~':§3ff5§§" l l " i V ' _;.i.,., . ~ ’ *1 i1eYae --a.==»»....~-.-i,-_~__J.. ;, ‘” ‘““’?""*‘Y“ Jeudi soir maman et Léa vont en voiture faire des courses. Maman: Qu’est-ce qu’on a a acheter? Tu as pris la liste des courses a faire? Léa: Attends, je la cherche... Lea la cherche. Lea. Mais ou donc est cette llste? Je ne la trouve pas. Elle est peut-étre restée dans la cuisine? Maman: Tu es sure? S1 tu n as pas la 11ste, on risque d acheter n importe quoi! Léa: Je sais ce qu’il faut acheter. Ecoutez un pull Lacoste... Maman remarque. Maman: Ce n’est pas le plus important. Léa continue. Léa: Si. Encore, du fromage, des biscottes, du beurre, de 1’eau minérale, des fruits, des steaks... Maman: J’espére que tu n’as rien oublié. Commeneons par la boucherie. Attends—m0i dans la voiture. trente-huit >
  • 39. 31 U“*1 '“@1m~mm»mmm _. V. ~ ana|ue=~.— 43ggyr;;;~_~.‘., -,-:,=»;~_, 5;_.¢;, ,, I '“ " ’ 4 ,~; ' . "" ' . -. '"* *»= y "'-~ ':,..~=.=..~»=-' ~ /'“~"-<-I ~»~“"'-“Q-w,~_'w , - ' ‘ .~.~.~l» ’“°'fT;" ;_ 3-‘ , ‘ »' ,1‘ . . , V7 , . ~47 . ..,-W. ..~_..,*,_»-.¢.e.»;,'#v%y5%"V 5. ,., -~”‘*"~'=»=I<rm~;~~,~»,>~+~.:..,»‘ boucher: Bonjour, madame. Vous désirez? Maman: Je voudrais quatre steaks, s’i1 vous plait. boucher: Je vous donne quatre tranches de filet? Maman: S’i1 vous plait. Au fait, 1e r6ti que vous m’avez donné dimanche, i1 n’était pas bon. I1 était dur. J’avais honte de donner ea a mes invités. boucher: Oh, je suis désolé, madame, mais... c’est mon apprenti qui vous a servie. Je lui en parlerai. Je vous garantis que ea n’arrivera plus. Maman: Faites voir 1e filet. Oh la la! Je ne veux pas de ea! C’est trop gras! boucher: Mais je vous enléve 1e gras, madame, bien entendu! Maman: Non, non, non. Je n’en veux pas. Le boucher montre un autre morceau. boucher: Euh... ce1ui—1a, alors? Maman: Ah oui! C’est beaucoup mieux. boucher: Alors, euh... quatre tranches... comme ea? Maman: Non, c’est trop épais. boucher: Mm... comme ea alors? Maman: Oui, d’accord. Le boucher coupe et pese la viande. boucher: Qa vous fait... 25 euros, madame. Maman: Voila. boucher: Merci, madame. Bonne soirée. Maman revient. Léa: Enfin! La prochaine fois j’irai avec toi. “ *~'—*""~'""*“" """"W ‘ .1;,,,:-,:»»’,_¢~:,;-..“~mV_ .M___>_,N_ A“ ,,,.;.1Q»~:~::%: . " ' _' ' " < ‘ ‘ - "“-"F?" sag!‘ Q h. , .. _. _,_, %wm‘_W)%_ ~ ~“’~-@@~.»¢m..;., L’épicier: Bonjour, madame. Bonjour, mademoiselle. Comment ea va? Léa: Bof! Qa pourrait aller mieux. Je suis crevée. L’épicier: E1; moi done? On ouvre a 7 heures ici. Bon, qu’est-ce qu’il vous faut? Maman: Une seconde, nous avons laissé la liste a la maison... Léa se dépeche de dire. Léa: Un paquet de biscottes, du beurre, de 1’eau minérale, du fro- mage... L’épicier: Hé! Attends, attends! Tiens 1e beurre et les biscottes. L’eau minérale est derriére toi... Le gruyére, i1 vous en faut combien‘?
  • 40. Maman: 500 grammes. Hé, vous savez, 1e camem- bert que vous m avez vendu h1er, 11 n est pas bon. On d1ra1t du platre. L’épicier: Vous auriez du m’écouter, ma- damel Je vous avais bien conseillé 1e brle, hein? Ou1 ou non? Maman: Oui, oui. Vous m’avez conseillé le brle. Ma1s ma grande f1l1e prefere le camembert. Et le gruyere. Vous me le conse1l1ez? L €plCl6I". B1en sur! Faltes-m01 c0nf1ance. Tenez L'épicier lui donne un morceau de gruyere. L’épicier: Et avec ca? Maman: (Qa sera tout. Je vous dois combien? L’épicier: 15 euros. Merci. Dites bonjour de ma part a votre mari et a votre grande. Au revoir, madame. Salut, la petite. Maman et Léa: Au revoir, monsieur. <.~=.~__...._....~.¢..-.."M.,_...-...,..-,...m-M4;,“ -_.-- -' _ We »— ~ -4- >N 7,);-~,-<,.~-'@=~‘--=~@_~,»-..-=_ Y,~..~_a..-~- -"”‘ - __,,._‘__ -~ ~ . , ,_ .,. ~, ::<,-iiJ"7,'Y"‘”“7‘;k:~¢<_‘>.~>.,»<“‘:V,‘Q _“"'.v '_;,>,,,,..§§.Y~"i"f“"'v J Y .. . ~ Rm D _,._.~...»-».,........ ~<f 5 p ~ ». _W_p_~__MJ ' ll »~ W" =*»““~ , 1‘ ’ .¢ 2'». ‘ ‘ *'“ '91 ' " f “*‘>‘*‘*“*,*“-:"§>'**¢“-=~**=»-_1a.,'... ' -c..¢-w»-,, . .> I. ~w(» »»~=»~»».- .-~ g. :",;.. J 4_ ,= . -- '>~1..¢—~ 3 6 ,,,..-~.¢..-.;=.-—;:%:;:1';. _ ,,_.V,,m_____W ” ' ‘ ' ‘ ‘*1 l‘*’;’3'<e:;§:»!q_ .,%,,“ Léa: On y va enfin, a la boutique Lacoste?! Je suis fatiguée de ces courses! Maman: Mais tu savais que ca serait un peu long. Oui, on y va. Léa: Je suis contente! J’aurai un pull comme celui d’Anne! Maman: Tu crois que c’est vraiment utile d’acheter ce pull? I1 est un peu trop cher quand méme! Léa: Mais c’est une bonne marque! C’est normal! Maman: Tu sais, a ton age on grandit si vite et puis la mode, ca change. Léa: Puisque toutes les filles du college portent les vétements de bonnes mar- ques! Maman: C’est toi qui décides. C’est ton argent. Qa ne me concerne pas. Je pourrais te donner un conseil. Au fait, tu ne veux pas l’utiliser a autre chose? Lea: Q1101 par exemple? Maman. Je ne sa1s pas, eh b1en t abonner a 1 Okapl... T 1nscr1re a un cours de danse.. Aller en un voyage organlse avec ta classe... ate )
  • 41. B. G D. Unité 7. 4 O11 Répondez aux questions. Qu’est—ce que c’est que la liste des courses? Est-ce que Léa l’a prise? Est—ce qu’el1e sait ce qu’il faut acheter? Pourquoi est—ce que Léa est allée faire des courses avec maman‘? Par quoi est—ce qu’elles ont décidé de commencer? Qu’est—ce qu’on peut acheter dans une boucherie? Qu’est-ce que maman veut d’ab0rd acheter? Pourquoi est—ce qu’e1le n’est pas tout 51 fait contente? Qu’est—ce qu’el1e a acheté finalement? Pourquoi? Et Léa, 011 est-elle lorsque maman fait les achats? . Qu’est—ce qu’on peut acheter dans une épicerie‘? Qu’en pensez-vous, est—ce que Léa connait bien l’épicier? Qu’est—ce que maman achéte chez l’épicier? Quelles autres sortes de fromage connaissez—v0us? on maman et Léa vont-elles finalement‘? Quelle marque Léa a-t-elle choisie? Quelles autres grandes marques connaissez—v0us? Avec qui étes-vous d’acc0rd dans cette discussion, avec maman avec Léa? Argumentez. 5. Qu’est-ce que vous feriez 51 la place de Léa? Ieu o".e r6Ies. Inventez votre dialogue: une mére et sa fille sont dans un magasin, e11es choisissent un pull. La La La La La La La La mere voit un pull et le conseille :21 sa fille. fille exprime une autre préférence. mére demande des précisions. fille répond. mére n’est pas d’accord. fille insiste en comparant avec le pull de sa copine. mere critique la copine. fille dit que la mere ne comprend rien et ne connait pas la mode des jeunes. La mere refuse de payer le pull. La fille choisit quand meme son pull et le paie avec son argent de poche. ( quarante et un
  • 42. E 1 a ,1 Q w~.W..~.—.<. ZHi"'T" Ma, § § “MN was Q g% Q w Q nnwwrv g‘: 1;”; ., yr ~, ~» 9, '4". - . - ' A.12 3 Mettez une croixtdansilassbcnne colonne. Lucie va chez un boucher. Elle y va avec maman. Devant l’entrée, elle demande a la dame la monnaie de 50 centimes. Elle prend un chariot Elle va au rayon de fromages. Elle demande du brie et un camem- bert 7. Elle régle dans le rayon. 8. Apres, elle Va au rayon <<P0is- sonnerie». 9. La elle achéte du cabillaud. 10. Elle paie a la caisse pour moins de cinq articles. 11. Son chariot est presque vide. Lucie entre dans une boutique. Elle veut acheter un pull. La vendeuse lui demande sa taille. Lucie fait du 36. Elle ch01s1t le modele qui est dans la vitrine. 6. Elle passe dans la cabine d essayage et l’essaie. Elle demande une tallle plus petite. 8. Maintenant ea lui va bien. 9 Elle paie a la caisse 21€ avec la carte bleue. 10. La vendeuse lui donne un petit sac. quarante-deux ) Vrai/Faux Vrai/Faux
  • 43. 2 § -.»>=-.¢-a~.'=.-»,.,<-.»“.,»@~..<.~¢m>»» W» F 3 Q 1 *3 <.wm<sw-'=> §~ ~».,-1-.=1--m¢-V.-= . i *3 4mm-1»;-5vF@=s>1a*-wry-'»<~-~= 1' ¥' ~ 4 § 3‘ K #- O. Rqcontez 6. votre mcmiére comment Lucie ca fait Ies courses. (Oi: est-e11e allée? Qu’est-ce qu’e11e ca acheté? Combien a-t-elle payé? Etc.) Dormez 1e plus de détails pcssibles. 5 2 ‘Q-7 1%“ .- .. »»»». “Y €1*‘£?1'*Tf@ -;' /i iwm‘ """”'““”'““”"‘“”‘"“'”" 7"" 3f;fv5 ~ j.>.; ~< ,.,,_;..,¢;;.; ,;:,.v.,_,:.; _ ~ ~ 1' ‘ -»,¢-»,, ;.;,;. ~.1.:;::.-,.».._. ..- .. *:r;m, ;~">*~;;, '”' ’» , ' -. - ~ ‘ . . J'@'>"F§‘~’§* ‘ _,. ,, ~ ., » ~<,»@_..¢».<....».<. w...»».,,W..,,% , ...,,. 414*! pa-um» Etudiez Ies documents ci-dessous et faites Timage 6. sq description. Catalogue Clmarron Le But de Cimarron. Forme trompette, en 97% coton, 3% élasthanne Lycra. Kaki. Mastic. Vert nil. Rouge. Imprimé. Le T-shirt Kimbal de Cimarron. Cotes 97% coton, 3% élasthanne Lycra. Liens capuche et broderie base. Blanc. Vert nil. { [8 CElIdl'|||O|l d8 Clmarron. Liens 51 nouer a la taille et aux bas des jambes c’est ca le look 2004! En toile 55% coton, 45% lin. Mastic. Vert nil. Lot de 3 pochettes. En 100% coton. Miroirs en incrustation. Fermé par glis- siére. Dim: 22,5><16 cm. Noir+orange+bleu. L8 BQIU d8 ql‘ll8l‘l'OlI. Court, col pointe, empiecement dos... i1 fera des envieuses! Pressions devant, poches, poignets et cotés. Denim léger 100% coton. [8 Surab d8 (IIIIGITOII. 5 poches, rehausse dos et broderie... il est trop! Denim 100% coton. [35 t8IIlI|S U $h0€S. En cuir. Doublure en textile sur mousse. Semelle intérieure amovible et préformée en éponge sur mousse. Semelle extérieure translucide en synthétique. Noir/blanc. Beige/blanc. La livraison en moins de deux, c’est chez moi en 24 h. < quarante-trois
  • 44. 2 Etudiez Ies documents c1-dessous. 5 pantalons-short Trespass. Plus question de mariner par 40° dans son fut puisqu’en un tour de zip, celui— ci se Inue en bermuda. Modéle Garda, ligne Adventure—wear, de Trespass. 5 D8|l‘8S d€ DBSKEIS ECKO. Plus question de se cantonner au mobilier urbain quand 1e concept méme de pompe de ville se fait tout—terrain. Modéle Web Spinner, d’Eck0. quarante-quatre )
  • 45. E 1» Unité 2 1° SECS UITIDIO. I1 est rond comme un ballon mais reste trés pratique en ville avec sa bandouliére scratchée. 20 coffrets Cool Water woman et 20 porte-documents Cool Water. Pour les garcons, ce porte-document comprend une eau de toilette qui fleure bon les embruns. Pour les filles, ce mignon coffret renferme une eau de toilette, une poudre li- quide tonifiante et un galet pour 1e bain. 2° |(|tS étlquettes D|'IOtO d'|d€Itlté AVGIY. Imprimez vous-meme vos photos d’identité autocollantes a partir d’un fichier numérisé sur votre PC. Grandes surfaces et magasins spécialisés. 1° $Cl‘8bb|8 Slll‘ CD-ROM. C’est la cyberversion du Scrabble, best- seller mondial. Un moteur de recherche facilite le jeu et il est possible d’affron- ter l’ordinateur. Mattel Interactive. Boutiques d’informatique et de jeux et grands magasins. 4 palres dc rollers Rosslgnol. Le concept Ground Effect de ce patin réduit les vibrations et la fatigue musculaire. 5. Compare: les documents '1 et 2. qu’i1 y on de commun? Quelle diffé- vcyez-vcus? Pouvez-vcus expliquer cette différence? Misc ¢nP1‘ati11¢ » '1.Reconstituez 1e texte du catalogue. Employez les mots: coton, 1’été, capuche, agréable, courtes, piquée. A. Le T—shirt capuche. Pour ..., il adopte des manches et une maille 100% tres a porter. Détails de saison: sa et sa base coulissées. Blanc/Gris. Bleu/Marine. Mode, polyamide, confortable, poches, liens, stoppers. quarante-cinq I
  • 46. B. Le corsaire. 100% . Tres ..., i1 débar- que en force dans la Taille et bas de jambes coulissés avec et . 2 grandes plaquées. Gris ardoise. Kaki clair. Transforme, capuche, un clin d’oei1, poche, stoppers, 100%. C. Le coupe-vent. polyamide imper- méable. L’astuce? Sa devant se transforme en en pochette de rangement! Lien coulissé avec 5 la et 51 la base. Gris. 2. Reconstituez Ies textes de Io. publicité. Employez Ies mats: trons, cahiers, crayons, trousse, bouquins, tirelire, rouge, bleu, vert, doigts, petit, £1 1’infini, pull, jupe, capuche, écharpe, gant, entonnoir, poches. quarante-six ) Vold Ella Elia porte un en laine Benetton et par—dessus un petit Promod. Sa cételée Benetton com- pléte la panoplie acidulée. Enfin Elia a cassé sa pour des baskets Mosquitos. Depuis 1e temps qu’elle en révait! Hon. un trou! Cette <<Perfo 1 trou» te permet de faire des dans tous tes d’une seule main. Existe en et jaune, et jaune, Maped, en papeteries et grandes magasins. T’es vemle? Pour des de toutes les couleurs. Un prix tout et un choix de teintes . Chez Sephora.
  • 47. E I 4 i I s 1 I ‘ i 3 Tout en un Pas béte, ce I1 fait a la fois ..., ..., et gilet (Firetrap). Mais i1 ne fait pas tes devoirs. Dommage. Tu peux le porter avec un tee—shirt a col (La Redoute) et un pantalon 51 (IKKS). l.’attiraIl Dans ta marguerite tu peux glisser tes magiques (enfin, des couleurs qui se gommentl) et ton taille-crayon Galactic. Avec lui, fini les mines coincées a 1’intérieur. Monoprix-Prisunic. Cool. le sac Porté en bandouliére, il est parfait pour le college a condition de ne pas y mettre ensemble tous tes lourds! Sac Kanabeach. 3. Reconstituez les textes de Io. publicité Employez les mots: bottines, manches, pantalon, surligneurs, vert, jaune, rose, gomment, couleurs, un foulard, tee—shirt, lacets, agenda. Des uos pas comme les autres A la fois pratique et originale, voici une nouvelle facon de souligner les phrases. Fini les gros marqueurs de toutes les couleurs, place aux mini ...! Existe en vert, jaune, rose. Office Dépét. quarante-sept
  • 48. a quarante-huit Et vollé Céleste Céleste a enlé un pull Monoprix-Prisunic, puis la doudoune sans Active Wear com- mandée 51 La Redoute, comme ses style bcheron. Son vient de chez Agnes. C’est cher, mais c’est son cadeau! l.'oblet le plus tarte dc la qulnzalne agenda pelouse Voici le seul en gazon. Synthétique mais tout de meme tendance écolo, il ne risque pas de fleurir dans ton sac. Hélas, tu n’as pas besoin non plus d’aj0uter d’engrais pour que les devoirs se mettent 51 pousser tout seuls 51 l’intérieur... Chez Why? Une gomme. une vralel Trois formes, cinq ..., et en plus elles vraiment bien! Faber Castel, en papeteries et grands ma- gasins. Coups de pompes La plus sportive, en jaune fluo (Ecko). La plus indémodable, en violet (la célébre Kickers). La plus fun, sans ..., en kaki et orange (Ecko).
  • 49. Y E xl F Pour le lour J Le matin de la rentrée, Elia a noué sur sa téte (carré Christian Lacroix, les 3 Suisses, 6,86 €) assorti a son orange 5. manches (Kookai, 16,62 €). Pour noter ses devoirs, elle s’est fait offrir le plus jojo des stylos-plumes. Stylo Pélikan a double niveau d’encre, 3 plumes au choix, existe en vert, bleu, rouge ou jaune, 14,64 €), dans les papeteries et les grands magasins. u=,wrw-"»~w»am.wmua#am:»s.a:¢m@a -4 ' "" ,—'~‘»‘“M’~ l 0 0 0 A 4. Inventez un vetement original qua vous plait. ‘Dessinez-le. Ecrivez an petit texte publicitaire pour le bazar c1’Okapi. Pense-béte a) décris ce que tu as dessiné; b) précise la matiére, la couleur de l’article; c) écris dans quelle situation on peut 1e porter; d) invente un titre criant originale pour le texte; e) n’oublie pas d’ajouter le prix et le nom du magasin oil on peut l’acheter. 5. Faites un petit texte présentant 1e méme article pour le catalogue 5 Suisses. Pense-béte a) décris ce que tu as dessiné; b) précises-en la matiére; c) décris les détails ou les particularités du modéle; d) invente la ou les couleurs; e) ajoute un prix pour chaque taille. quarante-neuf
  • 50. A lettre de Léa 3 OIGDI Trés char 0k<1Pi, . - ' . . - - ' m“. J or Pour mon annnversalre P°P' ma d°"ne de W198. décidé 5“; , ~ - T cee somme Jl casse mon ’r|r'el|re e.’r avec foQ e , » I er, d'ache’rer' un pull Lacosfe. Je sans qua 585* uf‘ peu “OP C ; " . ue e con 4' 8 d5», mqman mcus presque ‘routes les fulles q J comm I ' b‘ n cool e’r bon 967""? 565* P°"*e'" A nais Pensenf q-Ie fcure I6 , Eteswous des habits de mcu"qu§, ref: en P pun moms d'accord avec elles? J hesure enTr'€ C6 PU C » ~ ' ‘ 5 e,Z—VOUS . ( ' amen? a Ok '- Q" en Pen ,chef‘ plus labonn P Amicalemenf, Lea 7}1A .== »~;.+>».,@~=au»»‘ ~._ _,@»i £1-,§=»;..,‘,.§ >‘,$-¢-<».;»~,»,-»—.~»_$_w., , Léa a regu beaucoup de Iettres des lecteurs d’Okapi. Lisez-les attentivement et dites quelle opinion vous paraTt la plus juste et aveo laquelle vous n’étes pas du tout d’Laccord. ~ ‘,u _ ‘ ieunes out Pas an L] Chére Léa, personnelrzegf 11:1: ne Vqig ¢¢m:;.e Ies cuftres qua certains Vje“ne91;i55i‘fent des véténents its me mal Q Cecar souvent Ies Qeun O Q-rque. ’ 9 e ‘ " A patent deg etlc.) d: grgtleettizt fde: vetements (cu qui Ieurs qmis scuvent an pour étre ccmme _ - , ces Jeunes ne scnt as - , V 11s ont e d - P sun °1¢==,~et Mai ?eu;en:e mug“? etre. comme leg °'utres' V V 9 q est c1’é‘tre différen? ales q::~:;eu;e sfaiont §€q1ist1nguer>>’ ur Q1-1 ’§tre sdi-~1ném,e_ l’/iolaine, Pa;-is cinquante >
  • 51. Unité "Je pense que Ies mqrquéé crhqbit chile. Chevignon ¢ima;f*@*l%l S» ¢Omme Lacaste, ’ 6 ;.’; tres belles’ trésé, éaéres sent des marques a Ia fqis Les marques sent uh genre de cad d pcur Ies veu , e, 8 HT-Qt de passe J neg’ ‘me f°9°11»de reconnaitre Q. l’a.ise quand J6 m6 tI'°uVe - I ; §%Z'§;35:VV Mar1'ot'2,V 16 ems, (D 1 7 Q V belle g:>mp3:1~,Si]:a.a Ta. question II1’a W-femem’ intléressiéiinjgl 6 ‘ 3 ' “nous es J6 - 1i>§;;ll effet, elle nous _concerne bpgzgcogiler Seuie at Personnellement, _]€ do1s me P0 TS de px § des affaires cle marqllei 1116» 11161°6 165 tmuve 0 ' ’ n ossecle tres pell; ma-1S J6 T16 Ge qui exp1iql16 (1116 J6 P m’en plains 1385- _ ~ de marque Veu . ‘J6 pense que ceux qul Ont des affaajlres UX GUX lent se faire remarquer, prendre <16 1 1mP°"a’n°e 8“ y d a.utres Moi je me sens 3 1’aiS6 qllalld T1165 habits me trouve belle plaisem’ quand je me Claire, 14 ans, Paris Targent a un sens Ta qeistient lm’a intéressée. j’ai Vpu voir Ia paavreté, et pour moi, Targent a V lA1ors, pcur mei, Ies marques, qu’est-ce que c’est? Payer plus tiquette marquee Chevignon,_ Chipie, Laceste... Non, gmei, ce n’estl pas men style. On peut tout a fait trouver des Yeheses de qualité sans étiquettes. cher pcur avoir une petite ‘J 6 “ w l “’ ’ ” ‘W"' Y - - K ““ ~ ¢~an :.,- .1 " ;:, Béatz-ice, 13 ans, Montesson ( cinquante et un ~L|_|
  • 52. . L’ ' hubillee!.» urs ble" ur'-Quel ipfuisir d‘*“‘ "°“’°~ -6 m'h0bi"e <1v@‘= des "‘t I Mo; Tous les JOUF5, J .. dash v€+emer*5 ,»aaaa5uIuj,»,sLe¢_t afa Poison en disum qqul Y. 3+ 1G lmémé, Tums tau chars P0ur'+an1' li quame a r i ' s ' - ' ea.Semhlabiegi d'é1“r'e touj°‘-""5 men haziawe biien dcms maE1 P"‘5' qua we une ImP'"@55‘° , -i e * ,: t , , T@I~,%’»4"" ‘ Moi’ kl marqueiiii§“@u¥?€ne imPl"ession, 665* une reah Peuu e’r C6 "est pa q v 1 Wg" - L‘ ““ €€:§§§”%?‘"“’*~—~» 1-: my s .4 §» <,ie*1W;‘:,*,»,:¢..;»;*:; »~ "§ir»*‘"“~a§%'&E"‘%:% gaéé J if jt=;§a; s :3“ 3 mi? 5*» ,,,,, D , f ,/J1 ‘ mm $1 6‘ 5:: »§ t» ‘Z *_@a wegygg 3'5 *1» 2 »+ M at _, 1. aw - =,,=%,,» “’ 4, W ~ y M ‘km ~= *9» 8" 4,49 ans, LavaAnne-5°Ph'e' 15 -, ~ @';1;~:A I » * “ .,, ,, 1x;~1- ~ -» , i':V'.:~l": ‘ i M ’ lea! tout tres cherés;Ide gens, que c’est pourisétre par les autr¢§?73?35 e:iiP°L1F aJ°ut¢1’iiiirii%3i§1il1 <<P1u$>> 51 I V q e eéia fait un eu 'f eur person- at P uniremar-i ton *“‘e0llege,e beauctiup leg memess7qttbi0us(§I*i$ ,[j:,j;ies mémes pulls... faut varier, c’est-a-dire iaiibir desvetements de marque et cpigfsleavetements sans marque.I’esPere que ’ 'e ' Pour moi, cela ne vcut rien dire ma repqggse te sattf Pour moi, porter des habits de marque, ea ne veut rien dire.C’est histoire dc se rendre intéressant. Ie porte des habits quiressemblent beaucoup a ceux de marque et pourtant, ils n’ontpas de marque. D’ailleurs, tout le monde me demande ou je lesai trouvés. De plus, les habits de marque peuvent attirer desennuis, on te prend pour quelqu’un cle riche et on te rackette.Et puis, ce n’est pas si important de porter des habits de mar-que, car ils sont V cinquante-deux ) comme les autres. 1* ~;,,~, Vjliiijlji i i iii m‘:‘~3y,;;,, Marion, 13 ans, Oyonnaux
  • 53. 3. ¥ z E 4» a *;~=,“~; 5; ‘°§1*s:’a~ '5» wk v , I i: 7 5 ~_,m»w-.--.»».».~ .2 R “ 1! ;, U n ifé 7. | . *3”: *:,3<§ " ' ' l c'es1' d'e’rre a ause Les "ewes qui "*2 P°'""@"" P“ dz "‘°'""““ "i 5°“ AP ~ , - T65 |e5 memes ve’re- <<br'anche5». Sn TU POT‘ considérés comme , | was 1»»;; _....&p% - ue mconnue, ’rous es au s '“e""S '“°'ns chm-' ‘~91 dimarq m fhabilles a la mode, 1* us ua ce que se moquenf de °' J ‘I s vé’remen’rs de mQI"<|U¢- ,_ . Mei’ c:;enTie| c'esT pour'Tan’r d'é‘re £1 l'ai5¢, meme 5' '36 que COHHUB. ">;>;=;§>,“r |on p0r“'€ nest pas dune marque - - -Selc e Mar/e—LaUf‘6, 13 “"51 Var" surw WK M e V ~r-»r1*§P*;?J‘"x‘1*"’¢~?‘?9°¢1*7‘7?5%¥W§¥5<@%§:l?VE%§>§ néi. W11‘ ‘~¢‘—:~*’; Y? ~‘€“?h;%¢%€'*»?#» ~1‘§*‘3‘15£»a‘1,‘”£.$~5. ___-§i¢~ 4 . as W w» W» '»a**:,“*f3I. y~;=;*s»:w :,~»%¢,. =1! ,~P~r~:‘;~=‘~¢"»@.~r-:‘z/ @m£>¢i»; »w§§<n1r;F.»e@,~»::»;;<'*i: ,1 > , , ,7 4/ 4;? , MM, 4. . K ‘I m v;1w*%‘@1}*‘~:<~2 5, gs?’ 1”¢=“~'~‘3' " * V ~ M, Q 4. »¢ 5. » ~ A» . 4‘ @.;.‘, /lg/¢,1~'qv>‘ . P,’ H M1,‘ i~ _ Q; Id‘Y°‘;‘):Y1j<%€Pv"*5(B$""u3}“‘J§~£7§:*’,‘1£¢(Ji'YLv4!>W p ~ a A. . 15%;.» ~.@§»¢4.k ;.,,.11~.‘.~., 1, ‘1»17§‘ <~ ;§?;»;:~¢»¥~¢;~QM-;:~~<4%» Y ~* f',11,,"“""~‘~"’~'~.‘ ,Qn est tous pqrgs Salut. Léa! Dang classe, i1 y q beauaou de f.H $’11abi11ent en Chevi P 1 es ' , €n°1'l, Chi ' ' , qul qu elles cmt de bonnes relatioile Q;-;€:GIiS ce nest pas pour celq, elles Ies méprisent. es mares‘ A“ °°n*1‘°li1‘e, . 0 9 0 Continengpgq;-_ en 1;::1;:sSh:1b111e plutot a. Carrefuur ou 6, Que 1’on ur ‘me, ¢est mains cher. P rte un vétement de mar face. on est tcus pares! que °“ ;eee§1%!e§,?ande 8111'- Sarah, 14 ans at demf, Sainte-Fay-Iés-Lyan Ne be laisse pas marcher sur les piedsl Moi, j’aime étre origlnale Inais ce n’est pas dens 1e but de me faire remarquer! J’a.ip déjé. porté un beret rouge ou des collants de toutes les "eouleurs. Eta taut de suite, j’a.i vu qui étaient mes vraies samies! Je suiss sre que si _j’étais comme tout 1e monde, toutes les personnes de 1’éco1e me parleraient. C’est dur mais je persiste, i1 ne faut pa.s se laisser mamcher sur les pieds. J’espere qu’en grandissant, les gens verront que 1’ha.bit ne fait pas 1e moine. J’espere que jMn:.a. lettre fera. rééehir sseertains d’entre vous pour qu’i1s , regardent pa.s les gens qui ne s’habil1ent. pas oomme eux de haut en bas. Oriana, 14 ' ans, Saingln-¢n+Mé1aI1?9i€,p ( cinquante-trois
  • 54. < r r ';‘$@3;;r - Cyr1]’ P°re3"d¢-Lescar T“ Peua=1=@‘ra:re 1 ihi- In 3:; es habits simles r »» q O11, Je me ‘J; e suns Jete sur *z;'‘H11_yr ~ ,, . . 1 bl‘ "°“’, 9”‘ mm °lussi~*“i’ai cles1 " ' ‘ Q ‘I ,4P7-'9 emes qvec Ga. Mes cgpqms me daseni: qua dest Inleux de Qrt K A ' ~, I er °‘ - .P es vetements ole marque, mq1s Jetrouve que lorsque 1:1-1 ach‘ V etes des hcrifs d,e ce genre, *‘~1 Pqies réaL uette moms confortable que a "re:-‘dhutres tru 'C8 ordxnqires De an - toute f »r§§m1;>;~;>~ coal Otveg - ‘#9011, u eux fq'ales habxts tout szmples. P we xiv:/-q, ‘@;f»g,.,q » .. . ipa1» a 7 7 WW < ; (D La marque, c’est ce qm compte le plus Bien sur 11 faut porter des habits de marque! Gela nous permet d’ad0pter un style, de montrer notre personnalité et de nous affirmer. Les habits sans marque sont communs, et ceux qui les portent prouvent leur manque de gout. Mais chacun pense ce qu’i1 veut, et je peux tres bien avoir des amies qui s’habi11ent sans marques. Marie-Cecile, Besangon ; ,,WE '§f:»:—V- en avoir~~ .n pour sc farrc plaisir V Vonqavrs de marque ¢St V que C lde ca V L V P Y Gigqachete cher la marque Qt - ~ atggre coté '1-» . . , > 1 5 $®nt beaux et bren teulles.En conclusion ' r , ]e_ penses‘qu’il van; - . - . ‘. 7 pour Se falre Plalslr. ’ rs L can avolr un OH deux T " Porter des vetements dc nmarque, C’¢Stf11111 Ie trouve que porter des vétementsq de marque, c’est nul, arCh1 nul. Ce n’est pas parce qu’on porte des trucs de marque qu’On se fait plus d’arnis ou qu’0n a un bon genre. Ie n’ai men cle mar- que mais en revanche j’ai plein d.’amis. Tous ceux qu1 me con» naissent me trouvent sympa et cool. Ce qui les intéresse, c’est mon earactere et ce qui est en moi, et non mes habits, ils s’en chent conipletement. Ie te conseille un truczqesois naturelle et sympa avec tout le monde, c’est ea le secret pour étre bien! V V Charlotte, 14 ans, Perpignan -quatre )
  • 55. Q 1_ /mans avec /es mots nnizriemrz mix gmrnrr Unité 2 a) Trouvez dans les dialogues, le dossier et dans les lettres des éléves frangais tous les mots en rapport avec le sujet <<Le vétement et les chaussures>>. Remplissez-en la grille ci-dessous. Noms Mjectifs Verbes b) Complétez la grille avec les mots du cahier d’exercices. 0) Ajoutez les mots que vous considérez indispensables pour décrire une personne :51 la mode. 2, Faiies v/as /0/zmscs Faites le plus de phrases possibles avec les mots de l’exercice 1. 5, Ce que /2: /rcnse dc /a mow/e Répondez éi votre maniére 21 Léa en donnant votre point de vue sur les habits de mode. ( cinquante-cinq
  • 56. %wm ,~ aMMaRE LES vrmrs no prscoogs INDIRECT OU RAPPORTE Dire que (pour rapporter une affirmation): it 7 —— Je peux vous aider. — I1 m’a dit qu’il pouvait m’aider. 5 Dire de (pour rapporter un ordre, une demande, une instruction) i — Faites-moi une proposition par écrit! -—— I1 m’a dit de lui faire une proposition par écrit. Proposer de (pour rapporter une proposition, une suggestion): L — Si vous voulez, nous pouvons voyager ensemble. —— I1 m’a proposé de voyager avec lui. L Répondre que (pour rapporter une réponse ii une question): — Vous pouvez m’aider? — Ce n’est pas possible. —— Je lui ai répondu que ce n’était pas possible. Demander si (pour rapporter une simple question): — Vous parlez anglais couramment? — I1 m’a demandé si je parlais anglais couramment. we gr Demander de (pour rapporter une demande, un ordre, une ’ it it instruction formulés sous forme de question): — Vous pourriez contacter Monsieur Girard? — I1 m’a demandé de contacter Monsieur Girard. ’ ‘ Demander+ mot interrogatif (quand, pourquoi, oii, etc.): 7 — Quand désirez-vous commencer? — I1 m’a demandé quand je désirais commencer. — Oil voulez-vous qu’on se rencontre? — I1 m’a demandé oil je voulais qu’on se rencontre. — Pourquoi est-ce que vous ne m’avez pas prévenu? — I1 m’a demandé pourquoi je ne l’avais pas prévenu. K /,* i a cinquante-six )
  • 57. EU nité UINTERROGATION INDIRECTE La construction est simple si 1’0n part de Pinterrogation directe. — Quand pars—tu? — Elle demande quand tu pars. — on allez-vous? -— I1 veut savoir ou vous allez. — Combien est-ce que ca coute? —-— Il demande combien ca coute. —~ Qu’est-ce que tu fais? — Elle lui demande ce qu’elle fait. 1 , ,~ — Qu’est-ce qui s’est passé? — Ils veulent savoir ce qui s’est passé. — Quelle veste tu porteras? — Il veut savoir quelle veste tu porteras. Si Pinterrogation concerne toute la phrase, on utilise si: — Est—ce que tu seras prét a 6 heures? — Il demande si tu seras 1' $1 :5 11> A ‘ pret a 6 heures. /0* .1 ~ it it " — Est—ce que ca vient d’Amérique? — Elle veut savoir si ca vient d’Amérique. LE DISCOURS INDIRECT /gs“ " Il se caractérise par l’emploi d’une phrase introductrice comme ‘W5 ~:-(“W I1 transforme l’impératif du discours direct en une phrase infinitive. il dit que, elle dit de: Il dit qu’il reviendra dans l’heure.—— Elle dit de l’appeler plus tard. Parlez moins fort.—— Il a dit de parler moins fort. Il entraine des changements de pronoms personnels ou possessifs, d’adjectifs possessifs: — Vous viendrez avec vos amis? — Il veut savoir si nous vien- drons avec nos amis. Les formules introductrices peuvent entrainer des transforma- l tions au niveau des modes. C’est possible si les sujets de la principale et de la subordonnée ne sont pas les memes. ;;r¢f~:~1~ .;~.» : 1' ‘ s “» ”/ / >*— ,2 :~.~,_ _~ Y’: 7* ' >111/1:7 _ ( cinquante-segt
  • 58. Comparez: Je promets que je le ferai.— Je promets de le faire. C’est moi qui promets et c’est moi qui vais le faire. Il ordonne de le faire.— Il ordonne que tu le fasses. *3“ C’est lui qui ordonne, mais c’est toi qui vas le faire. J? ,: ~, *5,» .» @ ;s~31:f, ,~€;:* w~§‘;$1_‘»£=,B;¢%~‘~ . :l‘*" ~>' i,"= e. ~“:;~‘~ ~ »~9.u-1', '‘A1 Y W ~ .4 £13.‘, 1 m * ‘ 1*‘ J5:§?:¢‘ 1%». ;:~ 4;‘, ~»¢q~., ;,":r*_ - -Ah» ~~@~»»z~_1.,;:¢a;¢<_: - ';'(4‘»%l‘/»; $£~<‘;', =@1,u~W,H av < ‘r ~s~ f7‘ — (we ~.<~v< ~ '1" ~ ~~~/K ~ . ;;~<~ >1. D; 4:»; »:~» ~ ;;;,H,, K: “,9 gt. 4 K?‘ K: >"_' f* . w4Y>~ 6, Jwuia A A Je recois beaucoup qu’il recevait beaucoup de lettres. de lettres. J’ai recu beaucoup qu’il avait recu beaucoup de lettres. de lettres. Je vais recevoir qu’il allait recevoir beaucoup de lettres. beaucoup de lettres. Je viens de recevoir I1 a dit qu’il venait de recevoir beaucoup de lettres. beaucoup de lettres. I1 disait Je de lettres. Je de Je beaucoup de lettres. recevrai beaucoup qu’il recevrait beaucoup de lettres. recevais beaucoup Il dit qu’il recevait beaucoup de lettres. lettres. Il avait dit n’avais pas recu qu’il n’avait pas recu beaucoup de lettres. J’aimerais recevoir qu’il aimerait recevoir beaucoup de lettres beaucoup de lettres. Quand le verbe qui introduit le discours indirect est au présent ' ou au futur il n’y a pas de changement de temps dans 1e pas- sage du discours direct au discours indirect: — Je n’ai pas pris le journal qui était sur la table. — I1 affirme qu’il n’a pas pris le journal qui était sur la table.i“5§§ — Si tu lui demandes, il te dira qu’il n’a pas pris le journal qui etait sur la table. A Fa, ‘V, A Quand le verbe qui introduit le discours indirect est 51 un temps it i it du passé, le changement de temps dans le passage du discours~ direct au discours indirect se fait selon les régles de la concor—i@;% dance des temgsz cinquante-huit )
  • 59. 1. 2. r~ present imparfait (simultanéité) passe compose plus-que-parfait (antériorité) futur immédiat al/er é l’imparfait+innitif (postériorité) passé immédiat venir é l’imparfait+infinitif (antériorité) futur conditionnel (posteriorité) imparfait imparfait (simultanéité) plus-que-parfait plus-que-parfait (simultanéité) conditionnel conditionnel (simultanéité) Transfcrmez Ies interrogations directes en interrogations indirectes en essayant de varier Ies verbes intrcducteurs co-mme dams Texemple. Quel cadeau allez-vous lui offrir? — Elle veut savoir quel cadeau on 1. 2. va lui offrir. Quand est-ce que vous irez 5 Paris? Pourquoi vous vous disputez? Comment iras-tu 51 l’aéroport? Qu’est-ce qui la rend triste? Qu’est-ce qu’on fait ce soir? O est-ce qu’il est parti? —... Avec qui partez-vous en vacances? Est~ce que tu as compris? Laquelle préféres—tu? Quel cadeau lui ferait plaisir? Etes—vous préts? Transfcrmez Ies impératifs au disccurs indirect en utlsant 1e mode qui convient. 5. Répondez avant jeudi! I1 demande de I1 demande que Parle plus fort! I1 lui dit de Il veut que Allons-y ensemble! I1 nous propose de I1 propose que Arrétez de crier! Elle nous dit de Elle demande que Rangez vos affaires! Elle nous demande de Elle veut que . . . 6. Dépéchez—vous! I1 lui dit de ...—— I1 veut que cinquante-neuf
  • 60. 5. Transforinez ces phrases au discours indirect en cheisissant les pronoms et les adjectifs qui conviennent. Est—ce que tu peux me préter ton livre? — Elle demande Quand est—ce que vous viendrez me voir? — Il veut savoir Ou est—ce que j’ai pu oublier mes lunettes? —— Elle se demande J’ai rencontré ta soeur devant chez moi? — I1 dit Est—ce que vous pourrez m’accompagner? — Elle ne sait pas Pourrais-tu me préter ton manuel? — Elle demande on avez-vous rangé ma veste? -— Il veut savoir 4:. Remplacez 1e verbe dire par un verbe -plus précis, choisissez clans Ia Iiste suivante: - crier protester avouer conclure expliquer proposer consoler répéter 1. <<Et si nous passions a table?» a dit la maitresse de maison. 2. <<C’est moi qui ai cassé le vélo de mon frére», a dit le petit garoon. 3. Il a dit: <<Ah non! Ce n’est pas juste. Ce n’est pas moi qui fais la vaisselle aujourd’hui!>> 4. Il a dit: <<A'1'e! Arréte! Tu me fais mal». 5. Elle a dit encore une fois: <<Ceux qui ne souhaitent pas rester peuvent partir tout de suite». 6. L’orateur a dit: <<J’espere que mon exposé a été suffisamment clair. Je suis prét a répondre a toutes vos questions». 7. Le vendeur s’est tourné vers moi et m’a dit: <<Eh bien, regardez c’est tres simple, pour faire fonctionner cet appareil, il suffit d’appuyer sur ce bouton». 8. La mere a pris sa petite fille dans ses bras et lui a dit: <<Ce n’est pas grave, ma chérie, je vais la réparer, ta poupée.» 5. Transposez les phrases cbtenues au disccurs indirect. I-‘aites 1e compte-rendu de cette cem- munication téléphenique 61 un ami en -pcrtant attention an lien avec 1e présent: A116, Frédéric -— J’arriverai demain matin a Charles—de—Gau1le — Je passerai la matinée 51 la Bibliothéque nationale —— En fin de matinée, je déjeu- nerai avec le professeur Godant — En début d’aprés-midi, j’irai voir mon édi- teur — En fin d’aprés-midi, j’aurai encore quelques rendez—vous, mais nous pour- rions nous voir aprés cela vers 19 h 30 — Aprés, en fin de soirée, je reprendrai mon avion pour Madrid. Pierre m’a téléphoné ce matin pour... soixante )
  • 61. I . . . 1 Trdnspcsez an disceurs indirect ces phrases du disceurs direct. (5%. Il me répéta: <<Je t’aime beaucoup.» — I1 me répéta qu’i1 m’aimait beaucoup. We 1: 1. Je t’ai déjé dit: <<Je ferai le marché demain de bonne heure». 2. Tu m’affir1nes: <<Je n’ai pas encore rencontré tes parents.» 3. I1 t’a crié: <<Tu ne connais pas mes copains!» 4. Ils m’ont dit: <<Nous t’avons attendu devant chez toi jusqu’§1 huit heures.» 5. Je vous répéte: <<Vous étes trés en retard, votre repas va brler.» 6. Elles nous disent: <<Vous avez mal aux pieds, vous boitez.» Trdnspcsez ces phrases du discours indirect. 1. I1 ajouta: <<J’ai chez moi une vieille horloge qui sonne toutes les heures.» 2. <<J’aimerais que tu viennes pour mon anniver- saire», murmura—t—e1le. 3. <<Nous organiserons ce pique—nique la semaine prochaine, répéta-t-elle, et nous inviterons tous vos camarades». 4. Elles s’exclamérent: <<Nous avons fait une merveilleuse promenade avec vos cousines!» Trans-pcsez ces phrases an disceurs direct. Envisdgez -plusieurs solutions cheque feis que celd est pcssible. 1. Ils prétendaient qu’ils vivaient dans des conditions misérables. 2. Ils assuraient qu’ils voudraient bien aller 51 la campagne avec les enfants. 3. Je répete qu’ils seraient fous de 1e faire. 4. On lui a ordonné de venir 51 neuf heures. 5. I1 a répondu 51 Jean qu’il l’avait déjé. vue. 6. I1 leur a dit que nous partirions. Trdnspesez ces interrogations directes du dis- cours indirect. Le verbe intrcducteur serd se demander d Timpdrfait, 6. Id persenne de vctre choix. 1. Oil as-tu rangé les cuillers? 2. Qu’avez-vous trouvé dans 1e grenier? 3. L’avait-il rencontrée avant la réception? 4. Qu’est— ce qui t’e1npéche d’écrire? 5. Est-ce qu’e11e sera chez vous aprés—demain? 6. Qu’est—ce que nous faisons ici? 7. Que devenez-vous? soixante et un
  • 62. 1 ..v . _ .’-,' > "_ 4_§ ~- :’: L. ‘-K - 1 ~ V I . ¢ ‘I $3 V;~1';"_'_ jIt/1/‘Jlv-', -1 -_ Q“ -»_ ' ,4-v l’ r /’ 1 Ix ‘, __ k ~ .f':-Q.‘ 1S."‘- .;?" 41 1 1;» . rr; Q. .1. 'v<~ ;.‘+;= * 1» 1-. 1 » ' . * s~ "+~ >"/vi ;;-1 '., __ - r , I. _.__.._..-..____._._. y, . . -_~ 1,,-. e, . . _ -» ., .a- . I ‘ ._ '~-_......-..._...--k_%________, n. [H l,» ’,~l< ‘ :-1 . .' . y I . - ‘ * ‘ w . n _| En 1852, Aristide Boucicaut, négociant et philanthrope, achéte, entre la rue ‘ 'de Sevres et la rue de Babylone, une boutique de nouveautés dont il fera le pre- mier grand magasin parisien. Le batiment principal actuel est construit entre 1869 et 1887. Boucicaut a provoqué une véritable révolution dans la vente au détail grace I1 de nouvelles méthodes: tous les prix sont indiqués par des étiquettes, on peut toucher les marchandises habituellement empaquetées ou pliées sur des rayons inaccessibles, échanger les articles, se faire rembourser si l’objet est défectueux; enfin, la marge bénéficiaire n’est que de 20% au lieu de 50% et l’on fait de la publicité pour vendre davantage... Aujourd’hui, un square situé pres du - , Bon Marché porte le nom du fondateur. Son epouse le seconda énergiquement, fit construire dans le XV“ arrondissement l’h6pital Boucicaut et subventionna l’in- stitut Pasteur. Le magasin les Galeries Lafayette est cree par Théophile Bader en 1895. Aux deux magasins du boulevard Haus- smann ont ete raJoutes ceux de Maine Montparnasse, de Lyon-la-Part-Dieu, de Nice... L’ancien chef de comptoir du Bon Marche Jules Jaluzot fonde en 1865 le Printemps. Le bétiment, situé entre la rue du Havre et le boulevard Haussmann, est construit de 1881 £1 1883 par Paul Sedille pUlS sureleve en 1961. I1 comprend aujourd’hui trois magasins: le Printemps de la maison, le Printemps de la mode, Brummel. Malgré leur succés auprés du public, l1nfluence des grands magaslns comme le Printemps est pourtant restreinte » , I I ' I dans la seconde moitie du XIX slecle, les commercants se contentent de petites echoppes ou 1ls travalllent sans salaries, puisqu’en 1866 la ¢population active» du commerce se compose de 700000 apatronsv pour 244000 employés. "~1 /,/,,)1f,'11”J,_ .) * . * T in ‘-f<‘=. - 1. .. __. /' 1/ , j,%j < ' ' Ll .>" Pl /‘l_/’ i*§»-‘J.- .: .