La conjoncture des marchés des bovins à viande a fortement impacté les produits des exploitations. Les effets de la forte baisse des prix des jeunes bovins dès la fin février et du recul très marqué des prix des broutards à partir d’août n’ont pas été compensés par la bonne revalorisation du prix des vaches de réforme et des génisses depuis juin dernier. Ainsi les résultats courants/UMO exploitant seraient en baisse en 2020.
L’Observatoire de l’endettement et des trésoreries, instauré en 2015, permet d’avoir un suivi régulier des résultats des exploitations bovines depuis 2013. Le suivi est réalisé annuellement sur la base de deux échantillons, représentant chacun une période de clôture : les clôtures dites « d’hiver » (octobre - décembre) et celles « d’été » (mars - juin). Les élevages sont répartis sur 4 bassins : le « Grand-Ouest », le Cantal (zone « Montagne »), la Saône et Loire (en bovins viande, pour le bassin Charolais ‘’historique’’) et la Dordogne (en bovins lait). Le suivi des exploitations est réalisé grâce aux partenariats durables, entretenus avec 5 centres comptables : AS BFC, Cerfrance Alliance Massif Central, Cerfrance Dordogne, COGEDIS et GIE Entr’AS.
Conjoncture économique des viandes ovines et bovinesGermain MILET
Intervention sur l'économie des filières viandes ovines et bovines lors de l'AG de la FFCB. Focus particulier sur les animaux vivants et leurs marchés.
On observe en France un recul sur le long terme des effectifs d’ovins allaitants. Cependant, la
production de viande ovine est relativement stable depuis plusieurs années. La filière française
continue d’importer une grande partie de la viande ovine consommée et reste donc un pays
déficitaire. Du côté des brebis laitières, le cheptel se maintient. Il demeure très concentré dans les
bassins de production AOP dans lesquels il existe des collectes structurées mais tend aussi à se
développer en dehors de ces bassins sur des élevages le plus souvent en transformation fermière.
La conjoncture des marchés des bovins à viande a fortement impacté les produits des exploitations. Les effets de la forte baisse des prix des jeunes bovins dès la fin février et du recul très marqué des prix des broutards à partir d’août n’ont pas été compensés par la bonne revalorisation du prix des vaches de réforme et des génisses depuis juin dernier. Ainsi les résultats courants/UMO exploitant seraient en baisse en 2020.
L’Observatoire de l’endettement et des trésoreries, instauré en 2015, permet d’avoir un suivi régulier des résultats des exploitations bovines depuis 2013. Le suivi est réalisé annuellement sur la base de deux échantillons, représentant chacun une période de clôture : les clôtures dites « d’hiver » (octobre - décembre) et celles « d’été » (mars - juin). Les élevages sont répartis sur 4 bassins : le « Grand-Ouest », le Cantal (zone « Montagne »), la Saône et Loire (en bovins viande, pour le bassin Charolais ‘’historique’’) et la Dordogne (en bovins lait). Le suivi des exploitations est réalisé grâce aux partenariats durables, entretenus avec 5 centres comptables : AS BFC, Cerfrance Alliance Massif Central, Cerfrance Dordogne, COGEDIS et GIE Entr’AS.
Conjoncture économique des viandes ovines et bovinesGermain MILET
Intervention sur l'économie des filières viandes ovines et bovines lors de l'AG de la FFCB. Focus particulier sur les animaux vivants et leurs marchés.
On observe en France un recul sur le long terme des effectifs d’ovins allaitants. Cependant, la
production de viande ovine est relativement stable depuis plusieurs années. La filière française
continue d’importer une grande partie de la viande ovine consommée et reste donc un pays
déficitaire. Du côté des brebis laitières, le cheptel se maintient. Il demeure très concentré dans les
bassins de production AOP dans lesquels il existe des collectes structurées mais tend aussi à se
développer en dehors de ces bassins sur des élevages le plus souvent en transformation fermière.
En 2022, 83 551 exploitations ovines et caprines détenant 6,5 millions de reproducteurs ont déclaré un recensement (données BDNI, mai 2023). Parmi ces exploitations, on dénombre :
72 % de troupeaux ovins,
15 % de troupeaux caprins,
13 % d'exploitations qui détiennent à la fois des ovins et des caprins.
Les "petits détenteurs" (exploitation détenant moins de 10 reproducteurs et moins de 30 animaux sur l'année) représente 48 % des exploitations recensées pour seulement 2,5 % des animaux reproducteurs.
A l'inverse, les exploitations détenant plus de 50 animaux reproducteurs représente 28 % des exploitations recensées et 91 % des animaux reproducteurs.
Si le nombre d’exploitations produisant du lait de brebis décroit dans les 3 bassins traditionnels de production, ce n’est pas le cas dans le reste de la France où le nombre d’exploitations « hors bassins » progresse à contre-courant.
Dans un contexte de tensions sur le marché de la paille, cette communication propose une brève analyse macroéconomique de l’évolution du gisement national de paille et de ses destinations, suivie d’une analyse microéconomique plus détaillée de l’évolution du poste « paille » dans les exploitations d’élevage basée sur la mobilisation des données INOSYS Réseaux d’élevage 2001-2020.
Presentation by TRAORE Sy Martial Anasthase, CILSS/Agrhymet
Restricted meeting of the Food Crisis Prevention Network - RPCA/Réunion restreinte du Réseau de prévention des crisis alimentaires - RPCA
10-12 April 2017, Paris/10-12 avril 2017, Paris
« Le bilan, dressé par les notaires, [le 4 décembre], du marché immobilier en 2014 illustre les freins qui s'accumulent et entravent la reprise. L'indicateur le plus inquiétant est celui concernant les terrains à bâtir, dont les ventes en baisse ne profitent pas encore des incitations fiscales. »
En 2022, 83 551 exploitations ovines et caprines détenant 6,5 millions de reproducteurs ont déclaré un recensement (données BDNI, mai 2023). Parmi ces exploitations, on dénombre :
72 % de troupeaux ovins,
15 % de troupeaux caprins,
13 % d'exploitations qui détiennent à la fois des ovins et des caprins.
Les "petits détenteurs" (exploitation détenant moins de 10 reproducteurs et moins de 30 animaux sur l'année) représente 48 % des exploitations recensées pour seulement 2,5 % des animaux reproducteurs.
A l'inverse, les exploitations détenant plus de 50 animaux reproducteurs représente 28 % des exploitations recensées et 91 % des animaux reproducteurs.
Si le nombre d’exploitations produisant du lait de brebis décroit dans les 3 bassins traditionnels de production, ce n’est pas le cas dans le reste de la France où le nombre d’exploitations « hors bassins » progresse à contre-courant.
Dans un contexte de tensions sur le marché de la paille, cette communication propose une brève analyse macroéconomique de l’évolution du gisement national de paille et de ses destinations, suivie d’une analyse microéconomique plus détaillée de l’évolution du poste « paille » dans les exploitations d’élevage basée sur la mobilisation des données INOSYS Réseaux d’élevage 2001-2020.
Presentation by TRAORE Sy Martial Anasthase, CILSS/Agrhymet
Restricted meeting of the Food Crisis Prevention Network - RPCA/Réunion restreinte du Réseau de prévention des crisis alimentaires - RPCA
10-12 April 2017, Paris/10-12 avril 2017, Paris
« Le bilan, dressé par les notaires, [le 4 décembre], du marché immobilier en 2014 illustre les freins qui s'accumulent et entravent la reprise. L'indicateur le plus inquiétant est celui concernant les terrains à bâtir, dont les ventes en baisse ne profitent pas encore des incitations fiscales. »
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génétique, un levier majeur pour les enjeux à venir (Mathieu Foucault)
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génétique s’adapte à la demande de la filière ovine (Gilles Lagriffoul)
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génomique, un outil pour la sélection des ovins (Diane Buisson,Valérie Loywyck)
Provinlait 2024-Leviers fourrages - Madrid Aurélie Frayssinhes, Sandra (Cha...idelewebmestre
Les éleveurs ovins sont confrontés aux impacts du changement climatique sur leurs fermes et mettent en place des leviers d'adaptation dont certains ont été présentés lors du salon Provinlait : prairies multi-espèces, sursemis, méteils et dérobées estivales.
2024 03 27 JTC actualités C Perrot (idele).pdfidelewebmestre
Quelque que soit les secteurs de production, les pyramides des âges des agriculteurs français (chefs et coexploitants) présentent presque toujours un double déséquilibre : i) en faveur des classes d’âges à partir de 50-55 ans, ii) en défaveur des femmes, surtout de moins de 40 ans. Si le secteur caprin est une exception à cette règle, c’est principalement grâce aux producteurs qui transforment du lait à la ferme. Cette sous population présente le même équilibre, en classe d’âge et en sex ratio, que la population active française en emplois tous secteurs économiques confondus. C’est légèrement moins vrai pour les classes d’âge les plus jeunes (moins de 30 ans) : le métier d’éleveur.se est un métier d’indépendant alors que les jeunes actifs français sont salariés. Cet équilibre parfait du secteur caprin fermier s’explique par une forte attractivité. 40% des éleveur.se.s présents en 2020 s’étaient installés depuis 2010 ! Deux fois plus que dans les autres secteurs de l’élevage. Bien que pour l’instant stable (taux de remplacement des départs, entrées/sorties, proche de 100%), la sous population des éleveurs qui livrent du lait de chèvre est plus fragile. Compte tenu d’un très faible taux de renouvellement (nombre d’entrées/nombre de présents), elle vieillit et pourrait finir par diminuer. Néanmoins comme les besoins de recrutement sont bien moins élevés qu’en bovins lait par exemple, les marges de manoeuvre pour la filière semblent plus accessibles.
JTC_2024_TC Bâtiment et bien-être estival.pdfidelewebmestre
Le changement climatique s’exprime de plus en plus par la manifestation d’épisodes caniculaires et par la diminution de la ressource fourragère en été, ce qui contraint les éleveurs à rentrer leur troupeau plus fréquemment. Les animaux logés en bâtiment pendant la période estivale sont exposés à un stress thermique qui peut altérer leur bien-être et leurs performances à court et moyen terme. La conception du bâtiment ou certains équipements peuvent permettre de réduire ce stress pour assurer un meilleur confort aux animaux pendant les périodes de fortes chaleurs.
2. * Le recensement contient :
Par espèce et par production,
- l’effectif des animaux reproducteurs de plus de 6 mois et présents sur l’exploitation au 1er janvier de l’année N+1,
- le nombre d’animaux nés sur l’exploitation au cours de l’année de recensement N,
Par espèce,
- le nombre d’animaux introduits sur l’exploitation au cours de l’année N pour être engraissés.
Sommaire
Effectifs au 01/01/2021 pages 3 à 6
Les effectifs (exploitations et animaux) présentés ici ont été établis à partir des données de recensement* collectées en 2020.
Ils permettent de mettre en perspective les cartes d’utilisation des repères (pages 9 à 16).
Synthèse des commandes 2020 pages 7 à 11
Statistiques des matériels utilisés par espèce, par format, par type de commande, par fabricant…
Cartes des types de repères utilisés en 2020 pages 13 à 16
Formats de repère, tailles utilisées, fabricants, profils de commande…
2
Les données sont issues d’extractions de la BDNI (janvier et mai 2021).
Observatoire des repères d’identification – commandes 2020
4. 4
Exploitations
Reproducteurs
ovins
- de 10 repros 30 397 45 % 132 087 2 %
10 repros et + 36 893 55 % 5 241 908 98 %
- de 50 repros 48 020 71 % 466 114 9 %
50 repros et + 19 270 29 % 4 907 881 91 %
- de 200 repros 58 165 86 % 1 458 502 27 %
200 repros et + 9 125 14 % 3 915 493 73 %
Troupeaux ovins* 59 543 88 % 4 768 772 89 %
Troupeaux
mixtes** 7 747 12 % 605 223 11 %
TOTAL 67 290 100 % 5 373 995 100 %
67 290 exploitations détenant des ovins
5 373 995 reproducteurs ovins
* : ne détenant que des ovins
** : détenant des ovins et des caprins
Elevages ovins
ayant déclaré un recensement en 2021
(effectifs au 01/01/2021)
Source : BDNI – mai 2021
Observatoire des repères d’identification – commandes 2020
5. 5
Exploitations
Reproducteurs
caprins
- de 10 repros 13 593 62 % 44 420 4 %
10 repros et + 8 342 38 % 1 099 796 96 %
- de 50 repros 17 423 79 % 131 933 12 %
50 repros et + 4 512 21 % 1 012 283 88 %
- de 200 repros 20 137 92 % 406 347 36 %
200 repros et + 1 798 8 % 737 869 64 %
Troupeaux caprins * 14 188 65 % 963 275 85 %
Troupeaux mixtes** 7 747 35 % 180 941 15 %
TOTAL 21 935 100 % 1 144 216 100 %
21 935 exploitations détenant des caprins
1 144 216 reproducteurs caprins
Source : BDNI – mai 2021
Elevages caprins
ayant déclaré un recensement en 2021
(effectifs au 01/01/2021)
* : ne détenant que des caprins
** : détenant des ovins et des caprins
Observatoire des repères d’identification – commandes 2020
6. 6
Petits détenteurs
Exploitations ayant déclaré MOINS de 10 reproducteurs ovins et/ou caprins
(effectifs au 01/01/2021)
37 785 « petits détenteurs »
164 455 animaux reproducteurs
Au 01/01/2020,
les petits détenteurs représentaient au niveau national :
- 46 % des exploitations ovines et/ou caprines enregistrées,
- 2,5 % du total des reproducteurs recensés.
La moyenne nationale est de 45 % de petits détenteurs par département :
- Maximums = Bretagne (80 %), Calvados, Mayenne (72%)…
- Minimums = Alpes de Haute Provence (13 %), Lozère (12 %), Haute-Corse (4 %)
Source : BDNI – Mai 2021
Observatoire des repères d’identification – commandes 2020
7. Observatoire des repères d’identification – commandes 2020 7
Repères ovins et caprins
Commandés en 2020*
1,0 million de repères temporaires et 11,7 millions de repères définitifs
Repères CONVENTIONNELS Repères ÉLECTRONIQUES
DVC** Barrette Pendentif Bague Pat. Bague Pat. Barrette Bouton
I0 853
I1 950 602 15 118 40 138 880 628 5 593 310
I2 96 203 584 346 4 100 340 1 839 18 363 1 795 24 082
I3 803 34 807 800 118 783
I4 1 023 118 164 616 24 832 3 11 195
I5 140 1
Rebouclage 2 547 43 161 1 354 13 976 2 555 56 857
Total OC 1 046 805
603 837
12,2 %
4 336 750
87,7 %
3 810
0,1 %
57 171
0,8 %
885 781
13,1 %
5 805 080
86 %
4 944 397 (100 %) 6 748 032 (100 %)
11 692 429
(*) : par l’ensemble des
élevages ovins et/ou
caprins de France (ayant
envoyé ou non un
recensement), DOM
compris
(**) DVC = repères à
Durée de Vie Courte
(repères temporaires
pour chevreaux)
Source : BDNI – janvier 2021
9. 9
Observatoire des repères d’identification – commandes 2020
Estimation du double bouclage Nb Dept
40 à 50 % des agneaux 14
50 à 66 % des agneaux 25
66 à 85 % des agneaux 31
85 à 100 % des agneaux 30
Le double bouclage des agneaux n’est pas une obligation
réglementaire. Par simplicité, il est préconisé dans certaines zones.
La proportion de boucles I2 renseigne sur les modalités de bouclage
pratiquées.
Au-delà de 50 %, le taux de I2 indique que le double bouclage des
agneaux est majoritaire.
Proche de 100 %, la commande I1-I2 simultanée est la principale
(sinon l’unique) modalité de commande à l’échelle du département.
I1 = électronique I2 = conventionnelle
double
bouclage I1-I2
simple
bouclage I1
Repères ovins
Estimation du taux de double-bouclage des agneaux
NB : Estimation réalisée sur la population des élevages ovins « stricts » ayant déclaré un recensement en 2021,
soit 59 543 exploitations.
Source :
BDNI – janvier 2021
11. 11
Marques auriculaires
Commandées en 2020
Source : BDNI – janvier 2021
6,7 millions de repères électroniques
4,9 millions de repères conventionnels
hors repères à Durée de Vie Courte (chevreaux)
Quantités commandées
par zone EdE
Quantités commandées
par département
Observatoire des repères d’identification – commandes 2020
12. 12
Source : BDNI – janvier 2021
Marques auriculaires
Commandées en 2020 – Détail par fabricant (1/2)
Tous formats confondus hors repères à Durée de Vie Courte (chevreaux)
Type
Allflex-
Chevillot
Datamars France Tag
(Reyflex)
TOTAL
Conventionnelles 2 923 116 1 480 575 536 896 4 940 587
RFID 3 804 544 2 205 322 680 995 6 690 861
TOTAL 6 727 660 3 685 897 1 217 891 11 631 448
Observatoire des repères d’identification – commandes 2020
13. 13
Source : BDNI – janvier 2021
Marques auriculaires
Commandées en 2020 – Détail par fabricant (2/2)
Tous formats confondus hors repères à Durée de Vie Courte (chevreaux)
Type
Allflex-
Chevillot
Datamars France Tag
(Reyflex)
TOTAL
Conventionnelles 2 923 116 1 480 575 536 896 4 940 587
RFID 3 804 544 2 205 322 680 995 6 690 861
TOTAL 6 727 660 3 685 897 1 217 891 11 631 448
Observatoire des repères d’identification – commandes 2020
14. 14
Hauteur h Conv. RFID TOTAL
35 mm 28 306 35 223 63 529 0,6 %
40 mm 1 942 289 2 696 852 4 639 141 46,9 %
45 mm 2 315 608 3 070 637 5 386 245 52,0 %
> 59 mm 50 547 2 368 52 915 0,5 %
TOTAL 4 336 750 5 805 080 10 141 830
La carte ci-contre illustre la hauteur la plus utilisée dans le
département. La grande majorité des départements utilise une
seule hauteur de pendentif.
Le département 79 a utilisé 2 hauteurs en proportions
importantes en 2020 (40 mm en caprins et 45 mm en ovins).
> 59 mm : 88 % des très grands pendentifs sont utilisés en brebis
laitières par les départements (12, 48, 81). Ils constituent dans
ces départements une quantité très minoritaire (< 4 %) par
rapport aux repères de 45 mm principalement utilisés dans ces
zones.
Marques auriculaires
Hauteur des pendentifs utilisés
Commandés en 2020
Source : BDNI – janvier 2021
Observatoire des repères d’identification – commandes 2020
15. 15
Près de 50 % des barrettes (hors repères à durée de vie courte) sont utilisées dans le
département des Pyrénées Atlantiques, qui représente à lui seul près de 30 % des
utilisateurs du territoire national.
Fabricant
Modèles à
1 élément
Modèles à
2 éléments Total
Conv. RFID Conv. RFID
Allflex-Chevillot 20 282 26 978 20 359 6 384 74 003
Datamars 526 549 852 419 1 414 968
France Tag - Reyflex 647 647
TOTAL
582 831 879 397 21 006 6 384
1 489 618
1 462 228 98% 27 390 2%
Nb exploit. 4 364 4 788 551 165
Moy. / exploit. 134 184 38 39
Marques auriculaires
Format BARRETTE (hors repères à durée de vie courte)
Commandées en 2020
Source : BDNI – janvier 2021
Observatoire des repères d’identification – commandes 2020
9 868 élevages utilisateurs du format barrette
16. 16
Les Deux-Sèvres, 1er département utilisateur de bagues RFID,
représente 22 % du marché et 11 % des utilisateurs à l’échelle
nationale,
10 départements représentent 71 % du marché et 48 % des
utilisateurs (79, 12, 49, 36, 46, 07, 26, 53, 69, 44).
3 810 bagues conventionnelles ont été commandées en 2020 par
148 exploitations
Modèle (Fabricant) Nb Bagues
Capritag (Allflex-Chevillot) 3 499
Data bague (Datamars) 448
Patuflex (Reyflex) 57 034
TOTAL 60 981
Bagues de Paturon RFID
Commandées en 2020
Source : BDNI – janvier 2021
1 465 élevages utilisateurs de bagues RFID
Observatoire des repères d’identification – commandes 2020