Interview dans le Figaro du 3 juin 2010. L'idée est venu lors d'une discussion avec la journaliste sur ma fatigue des notifications. En pleine essor les réseaux n'étaient pas "ajustés" dans le filtrage des infos et une réel fatigue s'était installé à l'époque. Le phenomene a d'ailleurs donner des livres et des essais sortis dans les 18 mois suivant cette interview, à l'instar de "J'ai débranché: Comment revivre sans internet après une overdose" de
Thierry Crouzet sorti en 2012.
PO-ST : Le web 2.0, une révolution de la communication des ONG ?St John's
Le web en général et les réseaux sociaux en particulier permettent en effet aujourd’hui aux ONG de toucher des publics de plus en plus larges. Cette ressource s’impose d’abord dans une logique économique en alternative aux médias traditionnels, que cela soit pour informer ou pour mobiliser. Cela ne les empêche pas de développer des moyens d’un très grand niveau de réalisation, adaptés à la diffusion virale. Dès lors, les innovations sont nombreuses dans le domaine pour assurer l’implication des publics dans la durée. Les ONG sont aussi très actives en termes d’actions « coup de poing », exploitant toutes les ressources de la diffusion sur le web, la parodie étant souvent au cœur d’une véritable « guerilla digitale ». Le dossier présente des cas remarquables mais aussi les limites de ces stratégies.
Auteurs : Flora JORDI – Alizé LIESA – Jakob RÖDL
A lire en intégralité ou télécharger sur po-st.fr
PO-ST est le fruit du partenariat entre Sciences Po Bordeaux et STJOHN'S, avec une ambition commune : porter un regard pointu, et singulier sur des sujets émergents liés aux nouveaux métiers de la communication, en prenant le temps de l’analyse en profondeur sur la portée de la révolution 2.0.
Les étudiants de 4ème année de Sciences Po Bordeaux (parcours Culture, Métiers du politique et Lobbying) ont ainsi été invités à conduire avec l’agence une réflexion de fond sur des sujets bouleversant les métiers de la communication et à analyser les initiatives ou événements fondateurs de ces bouleversements. Cette réflexion a été conduite sous la supervision de Jean-Marc Dupouy, Directeur des Stratégies digitales de STJOHN’S et intervenant à Sciences Po Bordeaux.
État des lieux, opinion des français, relation marques et consommateurs, Focus Facebook, Social TV, et études de cas. Une vision des réseaux sociaux, depuis la Presse française.
PO-ST : Le web 2.0, une révolution de la communication des ONG ?St John's
Le web en général et les réseaux sociaux en particulier permettent en effet aujourd’hui aux ONG de toucher des publics de plus en plus larges. Cette ressource s’impose d’abord dans une logique économique en alternative aux médias traditionnels, que cela soit pour informer ou pour mobiliser. Cela ne les empêche pas de développer des moyens d’un très grand niveau de réalisation, adaptés à la diffusion virale. Dès lors, les innovations sont nombreuses dans le domaine pour assurer l’implication des publics dans la durée. Les ONG sont aussi très actives en termes d’actions « coup de poing », exploitant toutes les ressources de la diffusion sur le web, la parodie étant souvent au cœur d’une véritable « guerilla digitale ». Le dossier présente des cas remarquables mais aussi les limites de ces stratégies.
Auteurs : Flora JORDI – Alizé LIESA – Jakob RÖDL
A lire en intégralité ou télécharger sur po-st.fr
PO-ST est le fruit du partenariat entre Sciences Po Bordeaux et STJOHN'S, avec une ambition commune : porter un regard pointu, et singulier sur des sujets émergents liés aux nouveaux métiers de la communication, en prenant le temps de l’analyse en profondeur sur la portée de la révolution 2.0.
Les étudiants de 4ème année de Sciences Po Bordeaux (parcours Culture, Métiers du politique et Lobbying) ont ainsi été invités à conduire avec l’agence une réflexion de fond sur des sujets bouleversant les métiers de la communication et à analyser les initiatives ou événements fondateurs de ces bouleversements. Cette réflexion a été conduite sous la supervision de Jean-Marc Dupouy, Directeur des Stratégies digitales de STJOHN’S et intervenant à Sciences Po Bordeaux.
État des lieux, opinion des français, relation marques et consommateurs, Focus Facebook, Social TV, et études de cas. Une vision des réseaux sociaux, depuis la Presse française.
NFT, Metaverse, DOA…
Quelles perspectives pour les marques, quels usages au sein de la Gen Z ? Emmanuel Berne, directeur des études de heaven et Frédéric Cavazza, cofondateur et directeur général de SYSK reviennent sur les origines du Web3, ses perspectives et sur la réalité de ses usages au sein de la Gen Z en France.
Introduction à Facebook ou YouTube pour les ONG et les associations. Les enjeux de la gamification. Raisons d'y aller. Précautions à prendre. Meilleures pratiques des ONG anglo-saxonnes.
La veille de Né Kid du 04.08.2011 : les people actuels du webNé Kid
Hey bonjour à tous !
La veille de Né Kid arrive un peu tard ce matin, elle rentre tout juste de boite de nuit.
Au programme de cette première semaine d’août :
L‘actu mise à nu :
• Multitasking et multiusages
• Les médias et les jeux en ligne
• Les 11 tendances du marketing en 2011
Point de vue : Dossier people, chapitre 2 = les people actuels du web
Innovations et tendances :
• La BBC lance son iPlayer
• La fin du déo
• What’s your favorite number ?
La veille de Red Guy du 12.03.14 - Le web éphémèreRed Guy
Cette semaine, au menu de la veille :
L’actu mise à nu :
Kickstarter passe un cap
Des drones Facebook… aux intentions pacifiques
Des réseaux asociaux ?
Point de vue : Le web éphémère
Innovations et tendances :
Avec Ara, Google ne se répète pas
Testez votre aptitude au ménage à 3
Masterchef, prends garde à toi !
« ONG et réseaux sociaux » Rapport Harris Interactive / Communication sans Fr...yann le gigan
>>"Associations et réseaux sociaux : quelles sont les attentes et comportements des internautes français ? "
[communicationsansfrontieres.org 18.02.15]
L’observatoire de la communication Solidaire de Communication sans Frontières et Harris Interactive viennent de publier une étude sur les attitudes, perceptions et attentes des internautes français vis-à-vis des associations et ONG sur les réseaux sociaux. Dans le contexte inédit d’usage des réseaux sociaux en particulier suite au drame de Charlie Hebdo et où la confiance envers les ONG reste tiède, la question de la transparence et de la finalité de leur usage interroge les Français. Cette étude, réalisée en décembre dernier auprès de 1000 internautes, montre que les socionautes restent encore assez passifs et se disent gênés de relayer des informations qui pourraient heurter leurs contacts
http://www.communicationsansfrontieres.org/espace-presse/associations-reseaux-sociaux-quelles-sont-les-attentes-et-comportements-des-internautes-franc%CC%A7ais/
[Etude] « ONG et réseaux sociaux » 13.01.2015
Télécharger le rapport Harris Interactive / Communication sans Frontières :
http://www.communicationsansfrontieres.org/wp-content/uploads/2015/01/rapport_harris-CSF-ong-reseaux-sociaux.pdf
NFT, Metaverse, DOA…
Quelles perspectives pour les marques, quels usages au sein de la Gen Z ? Emmanuel Berne, directeur des études de heaven et Frédéric Cavazza, cofondateur et directeur général de SYSK reviennent sur les origines du Web3, ses perspectives et sur la réalité de ses usages au sein de la Gen Z en France.
Introduction à Facebook ou YouTube pour les ONG et les associations. Les enjeux de la gamification. Raisons d'y aller. Précautions à prendre. Meilleures pratiques des ONG anglo-saxonnes.
La veille de Né Kid du 04.08.2011 : les people actuels du webNé Kid
Hey bonjour à tous !
La veille de Né Kid arrive un peu tard ce matin, elle rentre tout juste de boite de nuit.
Au programme de cette première semaine d’août :
L‘actu mise à nu :
• Multitasking et multiusages
• Les médias et les jeux en ligne
• Les 11 tendances du marketing en 2011
Point de vue : Dossier people, chapitre 2 = les people actuels du web
Innovations et tendances :
• La BBC lance son iPlayer
• La fin du déo
• What’s your favorite number ?
La veille de Red Guy du 12.03.14 - Le web éphémèreRed Guy
Cette semaine, au menu de la veille :
L’actu mise à nu :
Kickstarter passe un cap
Des drones Facebook… aux intentions pacifiques
Des réseaux asociaux ?
Point de vue : Le web éphémère
Innovations et tendances :
Avec Ara, Google ne se répète pas
Testez votre aptitude au ménage à 3
Masterchef, prends garde à toi !
« ONG et réseaux sociaux » Rapport Harris Interactive / Communication sans Fr...yann le gigan
>>"Associations et réseaux sociaux : quelles sont les attentes et comportements des internautes français ? "
[communicationsansfrontieres.org 18.02.15]
L’observatoire de la communication Solidaire de Communication sans Frontières et Harris Interactive viennent de publier une étude sur les attitudes, perceptions et attentes des internautes français vis-à-vis des associations et ONG sur les réseaux sociaux. Dans le contexte inédit d’usage des réseaux sociaux en particulier suite au drame de Charlie Hebdo et où la confiance envers les ONG reste tiède, la question de la transparence et de la finalité de leur usage interroge les Français. Cette étude, réalisée en décembre dernier auprès de 1000 internautes, montre que les socionautes restent encore assez passifs et se disent gênés de relayer des informations qui pourraient heurter leurs contacts
http://www.communicationsansfrontieres.org/espace-presse/associations-reseaux-sociaux-quelles-sont-les-attentes-et-comportements-des-internautes-franc%CC%A7ais/
[Etude] « ONG et réseaux sociaux » 13.01.2015
Télécharger le rapport Harris Interactive / Communication sans Frontières :
http://www.communicationsansfrontieres.org/wp-content/uploads/2015/01/rapport_harris-CSF-ong-reseaux-sociaux.pdf
Quel avenir pour le media for equity en franceRaphael Labbé
Le media for equity consiste à offrir aux start-up des opérations de publicité et de communication en échange d’une prise de participation dans le capital de la société. Cette pratique, très développée en Europe du Nord et en Allemagne depuis les années 2000, a fait son apparition en France il y a quelques années. Les investissements peuvent se faire soit en direct, comme avec M6, TF1 et L’Express - qui a créé sa propre structure L’Express Ventures - soit indirectement, comme pour 20 Minutes et Clear Channel, qui se sont associés au fonds d’investissement spécialisé 5M Ventures. Au total,
une dizaine d’opérations ont déjà été conclues dans l’Hexagone.
Glasscamp : le 1er hackhaton européen pour les Google GlassRaphael Labbé
Le Hackathon vient de se terminer, nous sommes épuisé mais heureux ! Les équipes ont été aux rendez-vous, cinq applications en seulement 36 Heures. Une Newsroom constituée de 10 personnes a recensé sur un site (live.glasscamp.org), toute notre activitée pendant les 36 heures du Hackathon, n’hésitez pas à le consulter.
Ballad@radio de la semaine : du 8 au 14 juillet 2019Sarah A.
Podcasts audio : RTL, Radio village innovation, France info, BFM, WSJ, INC, Radio RAI, Le Gratin, Radio Globo, RMC, Radio 24, RTVE, BBC, France inter, Dixo, CBN, NPR, RFI, El Pais, Segurança legal, The economist, Usbek et Rica, Radio classique, Scientifique American, Mon carnet
Social Media News Week Omnicom Media Social Club* Semaine 22.04.2014OmnicomMediaGroup
Vous trouverez ci-joint la 3ème édition de la Social Media News Week de l’Omnicom Media Social Club* avec au programme cette semaine toutes les news du web social qui ont fait l’actualité :
Du Social Media avec :
- Twitter et la Big Data
- Le point sur ce qui fait twitter les fans
- Un nouvel algorithme pour prédire le big buzz
- LinkedIn et ses 300 millions de membres dans le monde
- Les pubs d’installation d’applications mises en place par Twitter
- Le point sur la publicité sur Facebook
- La nouvelle campagne Snapshat de la Fondation Médéric Alzheimer
- Les profils fantômes de Twitter
- Facebook et son milliard d’utilisateurs actifs mensuels sur mobile
- Le nombre de fans atteint et les célébrations qui en découlent
- Les dix mythes liés aux utilisateurs YouTube
De la Social TV avec :
- Les 7 startups françaises qui révolutionnent la télévision et les usages
- Un focus sur l’engagement des groupes TV anglais sur le social
- Le nouveau partenariat de Twitter avec Médiamétrie
- L’usage de LinkedIn par les marques médias
- Les interactions entre programmes TV et YouTube
- Un futur GRP vidéo Internet mis en place d’ici la fin de l’année
- Linkfluence et son nouvel outil de mesure de l’audience sociale
- L’influence de la Social TV sur le monde des médias
- Le point sur les concentrations et partenariats mis en place dans le domaine de la Social TV
- Le changement de paradigme annoncé par le MIPTV 2014
Et un peu de digital au global avec :
- Le point sur les meilleurs formats display
Bonne lecture à tous !
"Le monde des reseaux sociaux de A à #" pour la Nouvelle Revue de Geopolitiqu...Alban Jarry
Cet article est paru dans la revue "la Nouvelle Revue de Geopolitique", rubrique "Le monde selon Twitter" en juillet 2013 (n° 122).
Son titre est : "Le monde des reseaux sociaux de A à #" et vous propose un abécédaire autour des réseaux sociaux.
Cette revue est éditée par Jérémy Ghez
Baromètre 2013 des directeurs de l'innovation par Actone & Hec Raphael Labbé
Cette étude, réalisée par le cabinet en innovation Act One et HEC sur les directeurs Innovation, menée auprès de 64 directeurs innovation basés dans 20 pays,
vise à décrypter cette fonction à la fois clé et nouvelle au sein de l'entreprise.
Parmi les principaux enseignements :
- La fonction innovation se développe non seulement de manière massive mais aussi se détache du marketing et de la R&D.
- Les directeurs Innovation arrivent dans les Comités de Direction : 19% en 2013 contre 10% en 2010. En complément : 56% sont rattachés à la Direction (DG ou Président) contre 41% en 2010.
- Leur principale mission devient la compétitivité de l'entreprise (84%). En complément : leur périmètre inclut la Direction de la Stratégie dans 71% des cas contre 56% en 2010.
Merci de trouver ci-joint le communiqué de presse et l'infographie.
Brice Challamel, fondateur d'Act One, peut commenter l'étude et apporter son analyse sur ce que représente la véritable innovation en entreprise. Depuis sa création, Act One a mené plus de 600 missions. Parmi ses clients, le cabinet compte notamment Aventis, L'Oréal, LVMH, Deloitte, BCG, La Poste, Monoprix, BNP Paribas, SNCF, Microsoft, Google, Danone, Total, Thales, Essilor, La Croix Rouge ou encore Apple.
Au programme, la découverte des différents usages et moments les plus propices à l’utilisation de drones comme l’utilisation journalistique, en intérieur, en extérieur, le drone au service du patrimoine et les difficultés rencontrées : le drone apporte des réponses, mais il faut savoir l’appréhender.
Nous aurons également l’occasion de vous présenter les vidéos de différentes captations : les succès, mais aussi les échecs, avec les explications et le bilan des expérimentateurs.
Présentation SMX Paris 2013 : Comment développer une vraie stratégie de conte...Raphael Labbé
Comment développer une vraie stratégie de contenu ?
Une conférence du cycle marketing SEO animé par
Sylvain Richard, Fondateur, AxeNet
Raphaël Labbé, Directeur de l'innovation, Groupe Express Roularta
Virtual Identity is on the path of being real.
Virtual identity has impact on real identity.
his presentation has been made @ Barcamp Paris 11 in Yahoo premises on the 12 May 2007
MongoDB in a scale-up: how to get away from a monolithic hell — MongoDB Paris...Horgix
This is the slide deck of a talk by Alexis "Horgix" Chotard and Laurentiu Capatina presented at the MongoDB Paris User Group in June 2024 about the feedback on how PayFit move away from a monolithic hell of a self-hosted MongoDB cluster to managed alternatives. Pitch below.
March 15, 2023, 6:59 AM: a MongoDB cluster collapses. Tough luck, this cluster contains 95% of user data and is absolutely vital for even minimal operation of our application. To worsen matters, this cluster is 7 years behind on versions, is not scalable, and barely observable. Furthermore, even the data model would quickly raise eyebrows: applications communicating with each other by reading/writing in the same MongoDB documents, documents reaching the maximum limit of 16MiB with hundreds of levels of nesting, and so forth. The incident will last several days and result in the loss of many users. We've seen better scenarios.
Let's explore how PayFit found itself in this hellish situation and, more importantly, how we managed to overcome it!
On the agenda: technical stabilization, untangling data models, breaking apart a Single Point of Failure (SPOF) into several elements with a more restricted blast radius, transitioning to managed services, improving internal accesses, regaining control over risky operations, and ultimately, approaching a technical migration when it impacts all development teams.
Ouvrez la porte ou prenez un mur (Agile Tour Genève 2024)Laurent Speyser
(Conférence dessinée)
Vous êtes certainement à l’origine, ou impliqué, dans un changement au sein de votre organisation. Et peut être que cela ne se passe pas aussi bien qu’attendu…
Depuis plusieurs années, je fais régulièrement le constat de l’échec de l’adoption de l’Agilité, et plus globalement de grands changements, dans les organisations. Je vais tenter de vous expliquer pourquoi ils suscitent peu d'adhésion, peu d’engagement, et ils ne tiennent pas dans le temps.
Heureusement, il existe un autre chemin. Pour l'emprunter il s'agira de cultiver l'invitation, l'intelligence collective , la mécanique des jeux, les rites de passages, .... afin que l'agilité prenne racine.
Vous repartirez de cette conférence en ayant pris du recul sur le changement tel qu‘il est généralement opéré aujourd’hui, et en ayant découvert (ou redécouvert) le seul guide valable à suivre, à mon sens, pour un changement authentique, durable, et respectueux des individus! Et en bonus, 2 ou 3 trucs pratiques!
Le Comptoir OCTO - Qu’apporte l’analyse de cycle de vie lors d’un audit d’éco...OCTO Technology
Par Nicolas Bordier (Consultant numérique responsable @OCTO Technology) et Alaric Rougnon-Glasson (Sustainable Tech Consultant @OCTO Technology)
Sur un exemple très concret d’audit d’éco-conception de l’outil de bilan carbone C’Bilan développé par ICDC (Caisse des dépôts et consignations) nous allons expliquer en quoi l’ACV (analyse de cycle de vie) a été déterminante pour identifier les pistes d’actions pour réduire jusqu'à 82% de l’empreinte environnementale du service.
Vidéo Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=7R8oL2P_DkU
Compte-rendu :
L'IA connaît une croissance rapide et son intégration dans le domaine éducatif soulève de nombreuses questions. Aujourd'hui, nous explorerons comment les étudiants utilisent l'IA, les perceptions des enseignants à ce sujet, et les mesures possibles pour encadrer ces usages.
Constat Actuel
L'IA est de plus en plus présente dans notre quotidien, y compris dans l'éducation. Certaines universités, comme Science Po en janvier 2023, ont interdit l'utilisation de l'IA, tandis que d'autres, comme l'Université de Prague, la considèrent comme du plagiat. Cette diversité de positions souligne la nécessité urgente d'une réponse institutionnelle pour encadrer ces usages et prévenir les risques de triche et de plagiat.
Enquête Nationale
Pour mieux comprendre ces dynamiques, une enquête nationale intitulée "L'IA dans l'enseignement" a été réalisée. Les auteurs de cette enquête sont Le Sphynx (sondage) et Compilatio (fraude académique). Elle a été diffusée dans les universités de Lyon et d'Aix-Marseille entre le 21 juin et le 15 août 2023, touchant 1242 enseignants et 4443 étudiants. Les questionnaires, conçus pour étudier les usages de l'IA et les représentations de ces usages, abordaient des thèmes comme les craintes, les opportunités et l'acceptabilité.
Résultats de l'Enquête
Les résultats montrent que 55 % des étudiants utilisent l'IA de manière occasionnelle ou fréquente, contre 34 % des enseignants. Cependant, 88 % des enseignants pensent que leurs étudiants utilisent l'IA, ce qui pourrait indiquer une surestimation des usages. Les usages identifiés incluent la recherche d'informations et la rédaction de textes, bien que ces réponses ne puissent pas être cumulées dans les choix proposés.
Analyse Critique
Une analyse plus approfondie révèle que les enseignants peinent à percevoir les bénéfices de l'IA pour l'apprentissage, contrairement aux étudiants. La question de savoir si l'IA améliore les notes sans développer les compétences reste débattue. Est-ce un dopage académique ou une opportunité pour un apprentissage plus efficace ?
Acceptabilité et Éthique
L'enquête révèle que beaucoup d'étudiants jugent acceptable d'utiliser l'IA pour rédiger leurs devoirs, et même un quart des enseignants partagent cet avis. Cela pose des questions éthiques cruciales : copier-coller est-il tricher ? Utiliser l'IA sous supervision ou pour des traductions est-il acceptable ? La réponse n'est pas simple et nécessite un débat ouvert.
Propositions et Solutions
Pour encadrer ces usages, plusieurs solutions sont proposées. Plutôt que d'interdire l'IA, il est suggéré de fixer des règles pour une utilisation responsable. Des innovations pédagogiques peuvent également être explorées, comme la création de situations de concurrence professionnelle ou l'utilisation de détecteurs d'IA.
Conclusion
En conclusion, bien que l'étude présente des limites, elle souligne un besoin urgent de régulation. Une charte institutionnelle pourrait fournir un cadre pour une utilisation éthique.
Le Comptoir OCTO - Équipes infra et prod, ne ratez pas l'embarquement pour l'...OCTO Technology
par Claude Camus (Coach agile d'organisation @OCTO Technology) et Gilles Masy (Organizational Coach @OCTO Technology)
Les équipes infrastructure, sécurité, production, ou cloud, doivent consacrer du temps à la modernisation de leurs outils (automatisation, cloud, etc) et de leurs pratiques (DevOps, SRE, etc). Dans le même temps, elles doivent répondre à une avalanche croissante de demandes, tout en maintenant un niveau de qualité de service optimal.
Habitué des environnements développeurs, les transformations agiles négligent les particularités des équipes OPS. Lors de ce comptoir, nous vous partagerons notre proposition de valeur de l'agilité@OPS, qui embarquera vos équipes OPS en Classe Business (Agility), et leur fera dire : "nous ne reviendrons pas en arrière".
Le Comptoir OCTO - Équipes infra et prod, ne ratez pas l'embarquement pour l'...
"Les geeks se débranchent" Interviews Figaro
1. jeudi 3 juin 2010 LE FIGARO
A
8 franceSOCIÉTÉ
CÉCILIA GABIZON
INTERNET À mesure qu’Internet vampi-
rise le monde, les inquiétudes se généra-
lisent. Et les demandes de règles claires
se font plus pressantes. Sans pour
autant, entamer l’attrait du Net. C’est le
paradoxe Facebook, succès planétaire
avec 450 millions de membres malgré
les polémiques récurrentes, ou de Goo-
gle sans cesse montré du doigt pour son
hégémonie, mais porte d’entrée princi-
pale du Web. Car l’utilisateur n’entend
pas renoncer aux immenses possibilités
de la Toile, à cette proximité inédite avec
le monde entier, au nom de risques qu’il
perçoit, mais dont les conséquences pa-
raissent rarement dramatiques.
Si les internautes n’envisagent ni
l’abstention ni les solutions techniques
qu’ils jugent compliquées pour mieux
£
++
================================================
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::
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:::::::::::::::::::::::::::
...........
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ctrl
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79 %
20 %
77979797 %
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75%25%
61%39%
53%46%
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cc
35%63%
2%
aaaaaalt85% 15%
Trèsinquietou
assezinquiet
Peuoupasdu
toutinquiet
Sansopinion
EnquêteTNSSofresréalisée
du26au30avril2010selonla
méthodedesquotasauprèsd'un
échantillonde1200personnes
représentatifdelapopulation
françaiseâgéede15ansetplus.
PhotoFigaro
...les pouvoirs
publics
...n'importe
qui
...des collègues
ou collaborateurs
...des membres
de votre
famille
...des
entreprises
commerciales
...des pirates
informatiques%%%%%%%%%%%%%%%%%
ùùùùùùùùù
6161%%399%%
...%%%%%%%%%%%ntrepriseen es
mmercialcom les
Êtes-vous inquiet que vos données
sur Internet puissent être vues et utilisées par...
P
gérer leurs données… Ils réclament de
plus en plus « le droit à l’oubli », la possi-
bilité de supprimer, définitivement,
leurs profils sur les réseaux sociaux
comme Facebook.
Et cette clameur monte, aux États-
Unis comme en France, où vient de
s’achever la consultation lancée par Na-
thalie Kosciusko-Morizet, la secrétaire
d’État au Numérique : quelque 74 % des
votants demandent un véritable droit de
vie et de mort sur leurs profils mais aussi
leurs traces, celles qui les désignent
comme amateurs de foot, de chaussures
ou de voyages et que Google ou Face-
book vendent aux publicitaires. Beau-
coup aimeraient même pouvoir récupé-
rer leurs données, qui sont pour l’instant
presque impossibles à « déménager »
d’un site à un autre. Lorsqu’on ferme
son profil, on perd ses souvenirs.
Globalement, les internautes vou-
draient mieux contrôler leur image nu-
mérique, mais sans trop d’effort, semble
indiquer la consultation. Ils rechignent à
régler « les paramètres de confidentiali-
té », devenus, il est vrai, aussi opaques
et enchevêtrés que la forêt amazonien-
ne. En l’espace de quelques années, le
nombre de ces critères sur Facebook a
bondi, laissant les membres nonchalants
ou débutants à la merci du regard public.
Sans réglage, on peut retrouver le profil
Facebook d’une personne par un moteur
de recherche, lire son nom, sa date de
naissance, son diplôme et voir quelques-
uns de ses amis et de ses pages préfé-
rées… Seuls les messages restent cachés.
Par son ampleur, Facebook, concen-
tre les critiques. Ses tentatives commer-
ciales agressives et son manque de
transparence dans la gestion des don-
nées ont parfois alimenté, chez ses
membres, le sentiment d’être floués.
Quelque 30 000 personnes se seraient
désinscrites lundi dernier au cours d’un
« Quit Facebook Day » organisé par
deux Canadiens… Une goutte d’eau dans
l’océan des « amis ». Mais 60 % des
Le Net veut s’acheter une bonne conduite
Les internautes comme les responsables politiques souhaitent à présent mieux préserver leur vie privée.
IL A TENU un blog dans la préhistoire de
l’Internet, s’est déployé sur Facebook à
peine le réseau social lancé, a twitté quand
personne n’en avait entendu parler, et
vientdedevenir« lemaireduThéâtredela
ville » dans le monde virtuel de Foursqua-
re, un site de géolocalisation lancé récem-
ment en France, où chacun signale ses dé-
placements, pour retrouver des membres
et de devenir… maire en cas de fréquenta-
tion assidue ! « Et maintenant, je vais dé-
crocher, parce que l’hyperconnexion est un
peu vaine, que je n’ai pas envie d’aller saluer
des inconnus juste parce qu’ils pointent à
Foursquare », assure Raphaël Labbé, en-
trepreneur du Web, créateur d’ulike.net.
Comme lui, des centaines de « geeks », ces
jeunes amateurs de nouvelles technologies
quiontlancélesnouvellesmodesduNeten
France, commencent à saturer, annonçant
peut-être une évolution plus massive.
«Prime à la présence»
« Mon téléphone bipe à chaque seconde
pour m’annoncer la localisation de person-
nes que je connais à peine, ou encore que
l’on m’a poké (c’est-à-dire gratifié d’une
petite salutation virtuelle, NDLR) ou
qu’une alerte google a retenti, signalant
qu’à un bout de la toile on a parlé de moi,
tandis qu’une pluie de messages Twitter
tambourine… Je n’en peux plus », confesse
Stéphanie, pourtant animatrice de com-
munauté sur le Net. Après des hésita-
tions, elle vient de retirer le « push » de
son iPhone, cette fonction qui lui signale
la moindre activité de son réseau.
Facebook et ses masses d’amis qu’on
n’identifie même plus est « devenu un tor-
rentdeconfessionsinutiles,unesortedemé-
téo des humeurs, qui peut vous occuper pen-
dant des heures, avant de se retrouver bien
seul pour déménager », raille Fabien, qui
lève le pied après deux années d’addiction.
Noyés sous les messages, ces geeks en-
tament une mue. Ils ne désertent pas le ré-
seau. Mais condamnent certains outils.
« On ralentit les connexions », dit ce res-
ponsable de communication d’une fonda-
tion. À contre-courant de ceux qui se font
un nom sur le Net aujourd’hui, « en twit-
tant en permanence, en occupant le terrain.
Car il règne encore une prime à la présence
sur la Toile, selon Raphaël Labbé, mais, dé-
sormais, on peine à identifier qui parle de
quoi. » D’autant que chacun « pollénise »,
diffusant sur tous les supports, en moult
exemplaires, donc, sa prose et celle des
autres, que l’on re-twitte sans fin. Pour
parfois tourner en rond.
Les pionniers du Net peinent à recon-
naître le Twitter des débuts, « véritable fo-
rum de geeks », selon Maëlis Jamin-Bizet,
de l’agence de veille Internet Human to
Human. Il est ensuite « devenu un outil
pour partager des liens vraiment intéres-
sants. On pouvait suivre de vrais leaders
d’opinion sur des sujets pointus. Mais, à
partir de la massification, à l’été 2009, la
conversation a pris le dessus, comme le
buzz, au détriment des informations », esti-
me cette spécialiste.
Les geeks qui utilisaient justement leur
compte twitter, leur profil ou leur blog
comme une vitrine, pour faire de leur
nom une marque, pâtissent de cette mas-
sification. « Avant, lorsque j’envoyais un
message, j’avais énormément de retour.
Aujourd’hui, j’ai plein de followers (per-
sonnes qui suivent votre production
twitter, NDLR), mais très peu de répon-
ses », poursuit Florence, qui s’était in-
vestie sur le Net pour faire connaître son
groupe de musique. Maintenant, pour
faire venir des spectateurs, « il vaut
mieux téléphoner », assure-t-elle. Ce que
Maëlis Jamin-Bizet, spécialiste de la
communication sur le Net, appelle pro-
longer l’amorce faite sur les réseaux par
un échange en IRL… In real life ! I C. G.
Les «geeks» se débranchent
Les internautes rechignent
à régler « les paramètres
de confidentialité »,
devenus, il est vrai, aussi
opaques et enchevêtrés
que la forêt amazonienne
LE WEB n’est pas sans loi. Il est au
contraire régi par moult codes civils :
sur Google et Facebook, qu’on les
consulte en France ou aux États-Unis,
c’est la loi californienne qui règne. Le lé-
gislateur français peine donc à réguler
ces opérateurs, qui se montrent plus
sensibles aux protestations des inter-
nautes. Car « la gratuité n’est qu’appa-
rente. En réalité, le consommateur
“échange” ses données personnelles
contre le droit d’utiliser le service »,
rappellent les députés UMP dans un
rapport sur l’éthique du numérique.
C’est pourquoi Nathalie Kosciusko-
Morizet, secrétaire d’État au Numéri-
que, espère clarifier les relations entre
les utilisateurs et les sites par une
charte. Le texte définitif devrait être
prêt d’ici à la fin du mois. Les signataires
vont probablement accepter un « pa-
ramétrage par défaut protecteur »,
« clarifier les catégories de personnes
qui ont accès à chaque type de conte-
nus publiés » et permettre aux « utili-
sateurs de résilier facilement leur ad-
hésion ou de supprimer leur compte ».
La charte devrait aussi encourager,
lorsque c’est possible, les utilisateurs à
prendre un pseudonyme et le recom-
mander fortement aux mineurs. Enfin
certains internautes ont suggéré
d’instaurer une date de péremption
des données publiées ou encore la
possibilité pour l’internaute de désin-
dexer son nom des moteurs de re-
cherche. C. G.
Une future charte
membres seraient prêts à quitter le ré-
seau, selon une étude menée par la so-
ciété de sécurité informatique Sophos.
Possibilités commerciales
La direction de Facebook a senti le dan-
ger et vient d’annoncer une simplifica-
tion de ces critères de confidentialité. Ils
passent de 50 à 15. Mais Marc Zucker-
berg, le fondateur, n’a pas cédé à l’appel
des hommes politiques ou des Cnil euro-
péennes qui réclamaient un réglage par
défaut totalement protecteur, réservant
les données aux seules personnes admi-
ses comme « amies ». Car la visibilité
participe du rayonnement du site et de
ses possibilités commerciales.
Difficiles à réglementer par la loi, les
pratiques sur le Net interpellent de plus
en plus les politiques. Les députés UMP
Hervé Mariton, Lionel Tardy et Patrice
Martin-Lalande recommandent que
leur groupe privilégie, après la contestée
loi Hadopi, de la pédagogie et les propo-
sitions concertées avec les acteurs du
Net. Tandis que Nathalie Kosciusko-
Morizet devrait finaliser dans les semai-
nes qui viennent une charte de bonnes
pratiques (voir encadré).
Mais il ne faut pas attendre la salvation
des acteurs du Net, si les comportements
des utilisateurs n’évoluent pas, insiste-
t-on chez NKM. Les pionniers du Net,
ces geeks férus de nouvelles technolo-
gies, commencent d’ailleurs à saturer
(voir ci-dessous) d’une vie entièrement
connectée, ce qui annonce, peut-être,
une évolution de fond. D’autant que la
moitié des internautes ont cette année
tapé leur propre nom dans un moteur de
recherche. Découvrant parfois, à leurs
dépens, que le Net a bonne mémoire. I
«Facebook
est devenu
un torrent
de confessions
inutiles qui peut
vous occuper
pendant
des heures
»FABIEN, DÉÇU DU RÉSEAU
SOCIAL
Les Français redoutent
surtout les pirates du Net
TENTACULAIRE, globalisé,
mené par des acteurs privés,
l’Internet fait peur. Les Fran-
çais redoutent surtout d’y croi-
ser un pirate informatique. Se-
lon une récente étude menée
par TNS pour Microsoft, 79 %
des utilisateurs craignent
d’être dépouillés par des ma-
fieux du clavier. Ils sont encore
75 % à s’inquiéter d’une mau-
vaise rencontre avec un « in-
connu » prêt à utiliser à mau-
vais escient des informations
laissées sur le Web ou, plus gra-
ve, à détourner un enfant. Les
parents multiplient les invita-
tions à la prudence. L’utilisa-
tion commerciale de tout ce
que les moteurs de recherche
savent de nous effraie, elle,
65 % des personnes, mais af-
fecte peu les comportements.
Tandis que 53 % craignent les
pouvoirs publics, perçus com-
me un Big Brother.
Mesures sécuritaires
Beaucoup d’utilisateurs du Net
piratant, à l’occasion, des mor-
ceaux de musique ou des films,
le vote d’Hadopi ou encore
l’adoption de mesures sécuri-
taires dans la Loppsi, au nom de
la lutte contre la cyberpédo-
philie, ont donné le sentiment
d’une reprise en main du Web
par l’État. Et alimenté, chez
certains, la crainte d’une sur-
veillance, qu’elle soit policière
ou fiscale.
Ces peurs relèvent parfois du
fantasme. Moins on fréquente
l’Internet, plus on le diabolise,
d’ailleurs. Les plus de 65 ans
prônent souvent l’abstinence
technologique ou l’expression
minimale, pour limiter les ris-
ques. À l’inverse, plus on est fa-
milier du Web, moins on craint
ses traquenards. « 70 % des jeu-
nes de 15 à 24 ans pensent qu’ils
maîtrisent ce qu’ils disent d’eux
sur la Toile », souligne le socio-
logue Jean-Claude Kaufmann,
auteur de Sex@amour. Si ces
jeunes urbains se dévoilent à
dessein, ils réservent cependant
leur numéro de téléphone ou
leur adresse aux vrais amis, et
non à leurs fréquentations vir-
tuelles. Comme une dernière
barrière entre l’univers du nu-
mérique, où, de pseudo en pro-
fil, ils se mettent en scène, et la
vraie vie, dont ils aimeraient te-
nir à distance les êtres juste croi-
sés sur la toile, « sans toujours
comprendre, regrette le sociolo-
gue, que ces deux mondes ne sont
plus vraiment séparés ». I C. G.
«À partir de
la massification
de Twitter,
à l’été 2009,
la conversation
a pris le dessus,
comme le buzz,
au détriment des
informations
»RAPHAËL LABBÉ,
ENTREPRENEUR DU WEB
ALDOSPERBER/PICTURETANK