L’étude menée par l’université d’Anvers et l’université catholique de Louvain (KUL), à la demande du secrétaire d’État à l’Intégration sociale et à la Lutte contre la pauvreté, révèle que ¾ des 17.052 étudiants bénéficiant d’un revenu d’intégration sont issus d’une famille pauvre. Le revenu d’intégration permet donc de briser le cercle de la pauvreté. Le nombre d’étudiants bénéficiant du revenu d’intégration a doublé depuis 2002 et 1 revenu d’intégration belge sur 10 est actuellement accordé à un étudiant. 39% des étudiants inscrits au CPAS suivent l’enseignement secondaire, ce qui est révélateur d’un certain retard scolaire.
Durant les vingt dernières années, les fondations de l’Etat social ont été de plus en plus soumises à de fortes pressions suite aux changements économiques, sociaux, démographiques et culturels dans notre pays.
Dans ce contexte, c’est au cours des années nonante que des voix se sont élevées, notamment sous l’impulsion de l’OCDE et de la Communauté européenne, pour une protection sociale plus favorable à l’emploi ayant pour but d’activer les personnes plutôt que de les faire bénéficier d’un revenu d’assistance.
Quoique plusieurs mesures d’activation aient été prises en Belgique, la dynamique ne fut vraiment initiée qu’en 1999, suite à l’arrivée du nouveau gouvernement qui avait la volonté ferme de transformer la Belgique en Etat social actif.
Un des groupes cibles pour ces politiques d’activation sont les personnes ayant droit à une aide sous forme d’une allocation financière. Les moyens des CPAS – en tant qu’exécutant de la loi sur le minimum de moyens d’existence – d’activer des bénéficiaires sans emploi se sont développés grâce à la nouvelle mesure.
Lors des travaux législatifs préparatoires, il été convenu d’analyser et d’évaluer les effets de la loi concernant le droit à l’intégration sociale de mai 2002.
La présente étude a pour objet cette évaluation et s’intéresse à la loi concernant le droit à l’intégration sociale un an après son entrée en vigueur, plus précisément sur la période qui s’étend de septembre 2002 à septembre 2003.
De opdracht die door de POD Maatschappelijke Integratie werd toevertrouwd aan Kunst en Democratie/Culture et Démocratie bestond erin om de subsidie –die aan de OCMW’s werd toegekend via het Koninklijk Besluit van 2004, 2005, 2006, voor het stimuleren van de sociale, culturele en sportieve participatie en ontplooiing van hun gebruikers- te evalueren. Deze evaluatiestudie bouwt verder op het eerste rapport dat in 2004, kort na de aanvang van deze subsidie, werd opgemaakt: ‘Rapport betreffende de onderzoeksopdracht inzake toelage aan de OCMW’s om de sociale en de culturele participatie en ontplooiing van hun cliënten te bevorderen’.
Gedurende de laatste twintig jaar kwamen de fundamenten van de welvaartsstaat meer en meer onder druk te staan ten gevolge van economische, sociale, demografische en culturele veranderingen. Onder impuls van de OESO en van de Europese Unie werd derhalve in de jaren negentig gepleit om de sociale bescherming werkgelegenheidsvriendelijker te maken door mensen te activeren in plaats van te voorzien in uitkeringen. Alhoewel daarvoor al heel wat activeringsmaatregelen getroffen waren in België, brak het discours pas door in 1999 met de komst van de nieuwe regering die België wilde ombouwen tot een actieve welvaartsstaat. Eén van de doelgroepen voor dit activeringsbeleid vormen de bestaansminimumgerechtigden. De mogelijkheden voor de OCMW’s – als uitvoerder van de wet op het bestaansminimum – om cliënten te activeren en tewerk te stellen werden door de nieuwe regeling daarom ook in toenemende mate uitgebreid. Bij de voorbereidende werkzaamheden voor de wet inzake het recht op maatschappelijke integratie van mei 2002 (ook wel RMI-wet of leefloonwet genoemd) werd afgesproken de effecten van de wet te onderzoeken en te evalueren. Deze studie evalueert de RMI-wet één jaar na toepassing ervan, dit wil zeggen gedurende de periode september 2002 tot en met september 2003.
L’étude menée par l’université d’Anvers et l’université catholique de Louvain (KUL), à la demande du secrétaire d’État à l’Intégration sociale et à la Lutte contre la pauvreté, révèle que ¾ des 17.052 étudiants bénéficiant d’un revenu d’intégration sont issus d’une famille pauvre. Le revenu d’intégration permet donc de briser le cercle de la pauvreté. Le nombre d’étudiants bénéficiant du revenu d’intégration a doublé depuis 2002 et 1 revenu d’intégration belge sur 10 est actuellement accordé à un étudiant. 39% des étudiants inscrits au CPAS suivent l’enseignement secondaire, ce qui est révélateur d’un certain retard scolaire.
Durant les vingt dernières années, les fondations de l’Etat social ont été de plus en plus soumises à de fortes pressions suite aux changements économiques, sociaux, démographiques et culturels dans notre pays.
Dans ce contexte, c’est au cours des années nonante que des voix se sont élevées, notamment sous l’impulsion de l’OCDE et de la Communauté européenne, pour une protection sociale plus favorable à l’emploi ayant pour but d’activer les personnes plutôt que de les faire bénéficier d’un revenu d’assistance.
Quoique plusieurs mesures d’activation aient été prises en Belgique, la dynamique ne fut vraiment initiée qu’en 1999, suite à l’arrivée du nouveau gouvernement qui avait la volonté ferme de transformer la Belgique en Etat social actif.
Un des groupes cibles pour ces politiques d’activation sont les personnes ayant droit à une aide sous forme d’une allocation financière. Les moyens des CPAS – en tant qu’exécutant de la loi sur le minimum de moyens d’existence – d’activer des bénéficiaires sans emploi se sont développés grâce à la nouvelle mesure.
Lors des travaux législatifs préparatoires, il été convenu d’analyser et d’évaluer les effets de la loi concernant le droit à l’intégration sociale de mai 2002.
La présente étude a pour objet cette évaluation et s’intéresse à la loi concernant le droit à l’intégration sociale un an après son entrée en vigueur, plus précisément sur la période qui s’étend de septembre 2002 à septembre 2003.
De opdracht die door de POD Maatschappelijke Integratie werd toevertrouwd aan Kunst en Democratie/Culture et Démocratie bestond erin om de subsidie –die aan de OCMW’s werd toegekend via het Koninklijk Besluit van 2004, 2005, 2006, voor het stimuleren van de sociale, culturele en sportieve participatie en ontplooiing van hun gebruikers- te evalueren. Deze evaluatiestudie bouwt verder op het eerste rapport dat in 2004, kort na de aanvang van deze subsidie, werd opgemaakt: ‘Rapport betreffende de onderzoeksopdracht inzake toelage aan de OCMW’s om de sociale en de culturele participatie en ontplooiing van hun cliënten te bevorderen’.
Gedurende de laatste twintig jaar kwamen de fundamenten van de welvaartsstaat meer en meer onder druk te staan ten gevolge van economische, sociale, demografische en culturele veranderingen. Onder impuls van de OESO en van de Europese Unie werd derhalve in de jaren negentig gepleit om de sociale bescherming werkgelegenheidsvriendelijker te maken door mensen te activeren in plaats van te voorzien in uitkeringen. Alhoewel daarvoor al heel wat activeringsmaatregelen getroffen waren in België, brak het discours pas door in 1999 met de komst van de nieuwe regering die België wilde ombouwen tot een actieve welvaartsstaat. Eén van de doelgroepen voor dit activeringsbeleid vormen de bestaansminimumgerechtigden. De mogelijkheden voor de OCMW’s – als uitvoerder van de wet op het bestaansminimum – om cliënten te activeren en tewerk te stellen werden door de nieuwe regeling daarom ook in toenemende mate uitgebreid. Bij de voorbereidende werkzaamheden voor de wet inzake het recht op maatschappelijke integratie van mei 2002 (ook wel RMI-wet of leefloonwet genoemd) werd afgesproken de effecten van de wet te onderzoeken en te evalueren. Deze studie evalueert de RMI-wet één jaar na toepassing ervan, dit wil zeggen gedurende de periode september 2002 tot en met september 2003.
Baromètre Prévoyance Dépendance - janvier 2015Kantar
Attentive aux préoccupations et attentes de ses assurés, La Banque Postale Prévoyance parraine, depuis 2007, le « Baromètre Dépendance », réalisé par la Business Team Finance & Services de TNS Sofres, sur la perception et les attitudes des Français âgés de 45 à 75 ans vis-à-vis de la dépendance des personnes âgées.
Notre priorité est d’aider tous les Drômois à vieillir dignement
dans un environnement sûr et adapté, selon leur choix,
que ce soit à domicile ou dans un établissement spécialisé.
Compte rendu du Colloque sur le Cinquième risque - Rodez - 25 Nov 2010Carsat Midi-Pyrénées
« Vieillir aujourd’hui, autonomie et dépendance : quelles solidarités autour du cinquième risque ? »
- Les quatre plans précédents
A – Intervention d’un médecin coordonnateur de deux EHPAD
B – Intervention d’un représentant de l’UNCCAS
C – Fédération Nationale des Associations de Personnes âgées et de leurs familles
D – Anne-Marie Escoffier – Sénatrice
E – Directeur d’un service d’aide à domicile
F – Interventions de la salle
G – Table ronde sur le financement
Guide Trouver un logement 2018 - edition Ile-de-FranceCIDJ
Des conseils pour trouver des annonces, pour choisir la formule qui convient le mieux, des astuces pour évaluer son budget, les droits et devoirs des locataires et propriétaires... un guide pratique pour trouver le logement adapté à sa situation.
Le Département de la Drôme veut encourager le développement des moyens qui répondent le mieux aux attentes et besoins des personnes agèes.
Priorité au maintien à domicile, à l'aide aux aidants, à l'accueil familial et à la professionnalisation des métiers d'aide à la personne.
De strijd tegen armoede kan niet vernauwd zijn tot het beschikken over een inkomen. Het garanderen van de menselijke waardigheid gaat breder. Ook op het vlak van energie, mobiliteit, onderwijs, … moet er een armoedebeleid zijn.
Het artikel 23 van de Grondwet voorziet dat iedereen kan deelnemen aan het culturele en sociale leven. Echter wordt vastgesteld dat dit bij mensen in armoede niet het geval is, vandaar dat de OCMW’s middelen ter beschikking krijgen die de mensen in armoede een steuntje in de rug moet geven zodat ze kunnen participeren aan het sociale en culturele leven.
In het kader van de strijd tegen de kinderarmoede, hetgeen een prioriteit was in het Europees Jaar tegen armoede en sociale uitsluiting, wordt sinds 2010 een subsidie voorzien met specifieke aandacht voor kinderen die niet ten volle kunnen deelnemen aan het maatschappelijk leven. Het is van belang in hen te investeren zodat de cirkel van de armoede doorbroken wordt.
Proeven van participatie is het eindresultaat van het onderzoekswerk uitgevoerd door ULB en KUL in opdracht van de Staatssecretaris voor Maatschappelijke Integratie en Armoedebestrijding. Het stelt onder meer een aantal goede praktijken van de OCMW inzake kinderarmoede in de picture.
Baromètre Prévoyance Dépendance - janvier 2015Kantar
Attentive aux préoccupations et attentes de ses assurés, La Banque Postale Prévoyance parraine, depuis 2007, le « Baromètre Dépendance », réalisé par la Business Team Finance & Services de TNS Sofres, sur la perception et les attitudes des Français âgés de 45 à 75 ans vis-à-vis de la dépendance des personnes âgées.
Notre priorité est d’aider tous les Drômois à vieillir dignement
dans un environnement sûr et adapté, selon leur choix,
que ce soit à domicile ou dans un établissement spécialisé.
Compte rendu du Colloque sur le Cinquième risque - Rodez - 25 Nov 2010Carsat Midi-Pyrénées
« Vieillir aujourd’hui, autonomie et dépendance : quelles solidarités autour du cinquième risque ? »
- Les quatre plans précédents
A – Intervention d’un médecin coordonnateur de deux EHPAD
B – Intervention d’un représentant de l’UNCCAS
C – Fédération Nationale des Associations de Personnes âgées et de leurs familles
D – Anne-Marie Escoffier – Sénatrice
E – Directeur d’un service d’aide à domicile
F – Interventions de la salle
G – Table ronde sur le financement
Guide Trouver un logement 2018 - edition Ile-de-FranceCIDJ
Des conseils pour trouver des annonces, pour choisir la formule qui convient le mieux, des astuces pour évaluer son budget, les droits et devoirs des locataires et propriétaires... un guide pratique pour trouver le logement adapté à sa situation.
Le Département de la Drôme veut encourager le développement des moyens qui répondent le mieux aux attentes et besoins des personnes agèes.
Priorité au maintien à domicile, à l'aide aux aidants, à l'accueil familial et à la professionnalisation des métiers d'aide à la personne.
De strijd tegen armoede kan niet vernauwd zijn tot het beschikken over een inkomen. Het garanderen van de menselijke waardigheid gaat breder. Ook op het vlak van energie, mobiliteit, onderwijs, … moet er een armoedebeleid zijn.
Het artikel 23 van de Grondwet voorziet dat iedereen kan deelnemen aan het culturele en sociale leven. Echter wordt vastgesteld dat dit bij mensen in armoede niet het geval is, vandaar dat de OCMW’s middelen ter beschikking krijgen die de mensen in armoede een steuntje in de rug moet geven zodat ze kunnen participeren aan het sociale en culturele leven.
In het kader van de strijd tegen de kinderarmoede, hetgeen een prioriteit was in het Europees Jaar tegen armoede en sociale uitsluiting, wordt sinds 2010 een subsidie voorzien met specifieke aandacht voor kinderen die niet ten volle kunnen deelnemen aan het maatschappelijk leven. Het is van belang in hen te investeren zodat de cirkel van de armoede doorbroken wordt.
Proeven van participatie is het eindresultaat van het onderzoekswerk uitgevoerd door ULB en KUL in opdracht van de Staatssecretaris voor Maatschappelijke Integratie en Armoedebestrijding. Het stelt onder meer een aantal goede praktijken van de OCMW inzake kinderarmoede in de picture.
Vanaf juli 2004 gaat ‘het plan Vandenbroucke’ van start. Deze nieuwe maatregel vervangt de schorsingsprocedure wegens langdurige werkloosheid door de nieuwe opvolgingsprocedure van het zoekgedrag naar werk. Deze opvolgingsprocedure wordt geleidelijk ingevoerd. In een eerste fase (juli 2004-juni 2005) worden enkel de werklozen jonger dan 30 opgevolgd. Vanaf juli 2005 wordt de procedure dan uitgebreid naar de werklozen jonger dan 40 en vanaf juli 2006 naar de werklozen jonger dan 50. De procedure tot schorsing wegens langdurige werkloosheid wordt dan opgeschort naargelang de nieuwe opvolgingsprocedure in werking treedt. De sancties met betrekking tot de zogenaamde administratieve redenen (foute verklaring, vals stempelmerk of zwart werk) blijven dezelfde als voorheen.Verwacht wordt dat meer werklozen zo geschorst zullen worden. Met de invoering van deze regel wordt dan ook de vraag naar de invloed van de sanctie op het verdere traject van de werkloze gesteld. Gaan geschorste werklozen actiever op zoek naar werk? Zorgt een verscherpt schorsingsbeleid voor een verhoogd aantal aanvragen bij de OCMW’s?
Het verlenen van uitkeringssteun wordt sinds de jaren ’90 onder de noemer van de ‘actieve welvaartsstaat’ gekleurd door een toenemende tendens tot activering. De louter passieve uitkeringsfunctie van het sociaal beleid bleek niet te volstaan om sociale uitsluiting, een multi-dimensioneel verschijnsel, tegen te gaan. Het stimuleren van actieve participatie aan de reguliere arbeidsmarkt of andere vormen van gesubsidieerde arbeid drong door als het middel bij uitstek in de strijd tegen armoede en sociale uitsluiting (Jørgensen, 2004; Raeymaeckers et al., 2009). Vandaag is deze opvatting stevig ingeburgerd, ook bij de OCMW’s. Maar in de praktijk blijft de activering van leefloners en equivalent leefloners weerspanniger. Vanuit het werkveld klinken soms geluiden dat voor bepaalde groepen van steuntrekkers bij het OCMW de activering op haar grenzen stoot. Vandaar dat nieuwe vormen van activering opduiken, één daarvan is wat gevat kan worden onder de noemer van ‘sociale activering’.
Op vraag van de POD Maatschappelijke Integratie hebben de Universiteiten van Luik en Antwerpen een onderzoek uitgevoerd dat "de gevolgen van het invoeren van een eenheidsbarema voor tussenkomsten van onderhoudsplichtigen van bejaarden in een rusthuis" wil evalueren.
Het onderzoek omvat twee luiken. Ten eerste is er een kwantitatieve enquête waarbij een beroep werd gedaan op de medewerking van alle Belgische OCMW’s. Ten tweede is er het kwalitatieve luik waarbij een steekproef van representatieve OCMW’s (60) in België werd geselecteerd, opdat de onderzoekers de kans zouden krijgen in contact te komen met personen die te maken hebben met de problematiek van de onderhoudsplicht: de voorzitters van de OCMW’s, de maatschappelijk werkers, een aantal ontvangers en de onderhoudsplichtigen zelf.
In april 2006 werd een eerste tussentijds rapport overhandigd aan de begeleidingscommissie. Daarin werden de vorderingen beschreven van het kwantitatieve luik. Het rapport dat nu voorligt, bevat de resultaten van het volledige onderzoek. Voor het kwantitatieve deel werd rekening gehouden met later binnengekomen vragenlijsten.
Tenslotte wordt ook het verband tussen het kwantitatieve en kwalitatieve deel van het onderzoek belicht. In het eerste deel schetsten we de achtergrond van het onderzoek. Met behulp van enkele theoretische begrippen trachten we meer klaarheid te brengen in de problematiek. Daarna wordt de methodologie uiteengezet. De kwantitatieve gegevens worden gepresenteerd aan de hand van verklarende tabellen en grafieken. Bij de voorstelling van de resultaten van het kwalitatieve onderzoek wordt de structuur van de ‘vragenlijst’ zo goed mogelijk, maar niet helemaal gevolgd: sommige vragen worden onder één titel geïntegreerd. Ten slotte worden besluiten en de toekomstperspectieven gegeven.
De aandacht voor het bestrijden van sociale fraude, waaronder het onrechtmatig opnemen van het leefloon, lijkt in menig OCMW een vaste waarde in het discours omtrent financiële hulpverlening. De mogelijkheden die zich aandienen via de integratie van de OCMW’s in de Kruispuntbank voor de Sociale Zekerheid (KSZ) versterkt in eerste instantie deze tendens. De bestrijding van financiële onderbescherming is een tot nog toe minder ontwikkeld spoor in het beleid omtrent financiële hulpverlening van de OCMW’s. Door dit onevenwicht in beleidsvoering blijft een belangrijke groep van rechthebbenden in de kou staan, de zogenaamd ‘onderbeschermden’. Dit zijn personen die hun recht op een leefloon of aanvullende financiële steun niet realiseren.
Uit onderzoek uitgevoerd door de Universiteit Antwerpen en de Katholieke Universiteit Leuven, in opdracht van de Staatssecretaris voor Maatschappelijke Integratie en Armoedebestrijding, blijkt dat ¾ van de 17.052 studenten met een leefloon uit een arm gezin afkomstig zijn. Dankzij het leefloon kan de cirkel van de armoede doorbroken worden. Sinds 2002 is het aantal studenten in het leefloon verdubbeld en van alle leeflonen uitbetaald in België gaat 1 op 10 naar een student. 39% van de OCMW studenten volgt secundair onderwijs wat wijst op een schoolachterstand.
Het recht op energie kan beschouwd worden als zijnde deel uitmakend van het recht op een degelijke woning, één van de steunpilaren van het sociaal recht van de Belgische Grondwet. In de werkelijkheid blijkt echter dat een steeds grotere groep mensen moeilijkheden ondervindt met het betalen van de energiefacturen en dat een aantal mensen nog steeds geen toegang heeft tot energie.
In de huidige context van steeds hogere energieprijzen, wordt het aandeel van het budget dat besteed wordt aan verwarming, koken, warm water en transport minder en minder draaglijk, in het bijzonder voor de huishoudens met de laagste inkomens. Om deze pijnlijke situatie te verzachten werden verscheidene sociale maatregelen getroffen zoals: het verwarmingsfonds, het fonds voor een sociaal energiebeleid of de toekenning van sociale tarieven die, voor de beheerders van de elektriciteits- en gasverdeelnetwerken, deel uitmaken van de openbare dienst verplichtingen.
Dit rapport heeft als doel de maatregelen te onderzoeken die door OCMW's worden genomen om het energieverbruik van de doelgroep te verminderen. De studie werd uitgevoerd door een consortium van energiedeskundigen bestaande uit : ibam, Pascal Ons en Cenergie.
Energiearmoede verwijst naar een toestand waarbij een persoon of huishou-den bijzondere moeilijkheden ondervindt in zijn/haar woonst om zich te voor-zien van de energie die nodig is om zijn/haar elementaire noden te bevredigen.
We hebben daarmee wel een definitie van energiearmoede, maar dat betekent niet dat we ook de omvang of het belang ervan kennen, of de groepen die een hoger risico lopen om in energiearmoede terecht te komen. Daarvoor bestaan er verschillende re-denen, die in het vervolg van deze studie duidelijker worden. Ten eerste hangt elke schatting af van de definitie die we hanteren; de onze is slechts één van de vele. Daarmee hangt samen dat energiearmoede een grote verscheidenheid aan toestanden omvat. Ook bevat de problematiek een belangrijke subjectieve component – de eigen inschatting van mensen – en is energiearmoede relatief in ruimte en tijd. Dit alles laat ruimte voor interpretaties.
beleidsnota van de staatssecretaris voor maatschappelijke integratie en armoedebestrijding, Maggie De Block, tijdens de provinciale lenteontmoetingen 2012 met de OCMWs.beleidsnota van de staatssecretaris voor maatschappelijke integratie en armoedebestrijding, Maggie De Block, tijdens de provinciale herfstontmoetingen 2012 met de OCMWs.
1. UNE INFORMATION POUR LES PERSONNES QUI N’ONT
PLUS DE LOGEMENT, QUI N’ONT QU’UN LOGEMENT
PRECAIRE OU QUI CRAIGNENT DE PERDRE LEUR
LOGEMENT
Madame, Monsieur,
Ce guide pratique et concis a été rédigé à l’attention
des personnes qui n’ont plus de toit ou qui craignent
de ne plus en avoir bientôt. Si vous vous trouvez dans
cette situation, vous devez savoir quels droits vous
pouvez faire valoir pour envisager un avenir meilleur.
Ce guide est une version mise à jour qui comprend les
informations les plus récentes concernant les choses
auxquelles vous avez droit et les services auxquels
vous pouvez vous adresser.
Le service public SPP Intégration sociale a élaboré ce
guide en collaboration avec le Front commun des SDF.
Les bénévoles actifs dans ce front connaissent très
bien les difficultés que rencontrent les sans-abris.
Forts de leur expérience et de discussions menées
avec les sans-logis, ils savent quelles informations sont
capitales pour celui qui veut s’en sortir et retrouver sa
dignité.
- |1
3247-POD-daklozengids-FR.indd 1 07/08/12 14:4
2. Dans le cadre du Plan européen contre la pauvreté,
la Belgique entend sortir 380.000 personnes de la
précarité d’ici 2020. Notre pays se concentre sur les
sans-abris et sur la lutte contre la discrimination dans
le domaine du logement. Les groupes les plus fragiles
comme les mères isolées et les mineurs doivent faire
l’objet d’une attention toute particulière.
Ce guide est le fruit d’une collaboration entre le service
public Intégration sociale et le Front commun des SDF.
Au cours des prochaines années, tous les services et as-
sociations qui peuvent contribuer au développement
d’une solution vont devoir se battre ensemble pour le
projet 2020. Car ce n’est qu’en unissant nos forces que
nous pourrons trouver des solutions capables d’aider
véritablement les personnes pauvres à se construire
un nouvel avenir.
Maggie De Block
Secrétaire d’État à l’Intégration sociale et à la Lutte
contre la pauvreté
2|3
3247-POD-daklozengids-FR.indd 2 07/08/12 14:4
3. Ce Guide contient des mesures qui sont d’application à
partir du 1er septembre 2012.
Ce Guide peut être obtenu gratuitement dans tous les
CPAS, les bureaux de police et diverses associations
et institutions du secteur social. On peut également
le commander au SPP Intégration sociale (envoyez un
e-mail au Front Desk via question@mi-is.be ou appelez
le 02/508 85 86).
! Remarque
La législation considère comme sans-abri « toute
personne qui ne dispose pas de son logement, qui
n’est pas en mesure de l’obtenir par ses propres
moyens et qui n’a dès lors pas de lieu de résidence
(hébergé temporairement chez des connaissances
par exemple), ou qui réside temporairement dans
une maison d’accueil en attendant qu’un logement
soit mis à sa disposition ».
Etre sans-abri ne donne pas d’office droit au revenu
d’intégration : il faut respecter toutes les conditions
reprises dans ce guide (e.a. ne pas avoir de ressources
suffisantes et séjourner légalement en Belgique). Mais
le CPAS est de toute façon un lieu où trouver aide et
conseils.
2|3
3247-POD-daklozengids-FR.indd 3 07/08/12 14:4
5. TABLE DES MATIERES
1. Aide médicale urgente p. 8
2. Mutuelle p. 9
3. Aide matérielle et/ou financière p. 11
Qui peut en bénéficier
Aide sociale ou R.I. ?
Prime d’installation
Quel CPAS et comment ?
4. En cas de refus de la part du CPAS p. 26
5. Adresse de référence p. 29
chez un particulier
à l’adresse du CPAS compétent
6. Organisations de sans abri p. 37
4|5
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6. SELON LA LOI, CHACUN A DROIT A UNE ALIMENTATION
SAINE, A DES SOINS ET A UN TOIT.
VOUS VOUS TROUVEZ DANS UNE DES SITUATI-
ONS SUIVANTES ?
• Vous n’avez pas votre propre logement
• Vous vivez temporairement chez des amis
• Vous quittez une institution ou la prison et vous
n’avez nulle part où aller
• Vous logez dans une maison d’accueil ou commu-
nautaire
• Vous squattez des immeubles inhabités pour y
dormir
• Vous passez la nuit à la gare
• Vous vivez et dormez dans la rue
• Vous ne disposez pas de ressources suffisantes pour
trouver une solution par vous-même
• Votre partenaire ne vous laisse plus rentrer chez
vous
Vous venez d’être expulsé de votre logement d’une
manière illégale.
LES DROITS D’UN SANS-ABRI
Pas de toit au dessus de la tête. Tôt ou tard, cela
peut arriver à tout le monde, même à des gens qui
travaillent. Le Centre Public d’Action Sociale (CPAS) a
l’obligation d’aider les personnes qui sont dans votre
situation.
6|7
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7. CE N’EST PAS UNE AUMONE, C’EST UN DROIT
C’EST POURQUOI IL Y A UN CPAS DANS CHAQUE
COMMUNE DE BELGIQUE
Vous pouvez vous y rendre pour:
• une aide médicale urgente (visite du docteur, exa-
men, soins, médicaments, ...)
• une aide sociale, financière ou autre
• un soutien, un conseil, un encouragement
• une adresse de référence, même si vous n’êtes
pas encore radié de l’ancienne commune. Le CPAS
fera le nécessaire pour vous radier du registre de
l’ancienne commune et puis vous inscrira dans la
commune actuelle. Cette adresse vaut également si
vous êtes demandeur d’emploi.
! Remarque
le revenu d’intégration en taux isolé, même si vous
êtes à la rue, à condition de signer un contrat négocié
d’intégration sociale
• une prime d’installation pour votre logement
• vous aider à gérer vos dettes
Lors de toute demande, vous avez droit d’être accom-
pagné et à recevoir un accusé de réception. Et en cas
de refus de cette aide, la décision doit être communi-
qué par écrit et avec la motivation détaillée.
6|7
3247-POD-daklozengids-FR.indd 7 07/08/12 14:4
8. Règle 1
LE DROIT A L’AIDE MEDICALE URGENTE
Si vous avez besoin de soins médicaux et si vous
souhaitez l’aide du CPAS, vous devez d’abord prendre
contact avec le CPAS. Ce dernier va faire une enquête
sociale et décider quelle est la meilleure aide qui peut
vous convenir.
Si dans des circonstances exceptionnelles vous avez
besoin de soins médicaux qui ne peuvent être reportés
vu l’urgence, vous pouvez alors vous rendre directe-
ment à l’hôpital ou chez un médecin pour vous faire
soigner. Vous devrez par la suite et de toute façon
prendre contact avec le CPAS en vue de permettre à ce
dernier de mener une enquête sociale pour constituer
le dossier.
En Belgique, dans certaines situations et pour autant
que vous remplissiez les conditions liées au droit à
l’aide sociale, vous avez droit à l’aide médicale urgente.
ce droit est valable, même si:
• vous n’avez pas de résidence officielle,
• vous n’êtes pas en ordre avec la mutualité ou avec
l’administration,
• vous êtes un candidat réfugié ayant reçu un ordre
définitif de quitter le territoire.
• vous vivez à la rue
8|9
3247-POD-daklozengids-FR.indd 8 07/08/12 14:4
9. Le droit à l’aide médicale urgente ne s’ouvre pas tant
pour les ressortissants de l’Union européenne que
pour les non-européens qui se trouvent sur le territoire
belge dans le cadre d’un séjour touristique.
Règle 2
IL EST IMPORTANT D’ETRE EN ORDRE DE
MUTUELLE
COMMENT VOUS METTRE EN ORDRE ?
Pour obtenir le remboursement de vos frais médicaux,
vous devez être affilié à une mutualité ou à la CAAMI
(Caisse Auxiliaire d’Assurance Maladie-Invalidité :
02/229.35.62 www.caami.fgov.be). Si vous n’avez
jamais payé de cotisations ou si vous n’êtes plus en or-
dre, vous devez d’abord mettre votre situation en ordre.
Vous pouvez vous faire aider par le CPAS. Si vous vivez
d’un revenu égal ou inférieur au revenu d’intégration,
vous ne devez plus payer d’arriérés de cotisations :
la mutualité vous affilie gratuitement, et vous avez
immédiatement droit au remboursement de vos frais
médicaux.
! Attention:
Pour devenir membre d’une mutualité, vous avez
besoin d’une adresse. Une adresse de référence suffit
(voir plus loin).
8|9
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10. COMMENT FAIRE VALOIR VOTRE DROIT A UNE
INTERVENTION MAJOREE ?
Si vous avez déjà droit depuis un certain temps au
revenu d’intégration ou à une aide sociale financière
équivalente1, vous avez droit à une intervention ma-
jorée dans les frais de santé. Pour cela, il faut deman-
der un formulaire à la mutualité. Vous devez compléter
ce formulaire, et y joindre une attestation qui prouve
que vous êtes bien dans les conditions pour bénéficier
d’une intervention majorée. Vous pouvez obtenir cette
attestation auprès du CPAS.
N’hésitez pas à demander des renseignements com-
plémentaires au CPAS, et à demander de l’aide pour
compléter les documents.
1 Au cours des 12 derniers mois, vous devez avoir reçu le
revenu d’intégration pendant 3 mois de suite, ou pendant
un total de 6 mois avec des interruptions.
10 | 11
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11. Règle 3
VOUS AVEZ DROIT A UNE AIDE MATERIELLE
ET/OU FINANCIERE
QU’EST-CE QUE LE CPAS PEUT FAIRE POUR VOUS ?
Le CPAS peut vous aider de plusieurs manières.
Si vous répondez à toutes les conditions, vous avez
droit au revenu d’intégration. Mais même si vous
n’avez pas droit au revenu d’intégration, le CPAS doit
toujours voir s’il peut vous aider et comment il peut
vous aider. Le CPAS va faire une enquête sociale. C’est
ce qu’on appelle alors l’aide sociale. Chaque CPAS peut
décider lui-même du type d’aide qu’il estime le plus
adéquat parmi les possibilités dont il dispose.
Exemples
• Vous n’avez pas droit au revenu d’intégration parce
que vous ne remplissez pas toutes les conditions. Le
CPAS peut vous donner une autre aide financière.
• Vous n’avez pas suffisamment d’argent pour ache-
ter à manger, mais pourtant vous n’avez pas droit
au revenu d’intégration. Le CPAS décidera peut-être
de vous donner des bons d’alimentation.
• Vous êtes expulsé de votre logement, et vous n’en
trouvez pas d’autre. Le CPAS peut essayer de vous
procurer un abri temporaire.
Le CPAS ne peut pas vous aider si vous êtes en Belgique
dans le cadre d’un séjour touristique en vertu du droit
européen.
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12. AVEZ-VOUS DROIT AU REVENU D’INTEGRATION ?
Oui, si vous respectez toutes les conditions ci-dessous :
Condition de résidence
Vous résidez en Belgique de manière habituelle et
effective. Le CPAS ne peut pas exiger que vous ayez un
bail ou une adresse.
Condition d’âge
Vous avez:
• au moins 18 ans,
• moins de 18 ans mais:
• vous êtes émancipé(e) par le mariage,
• vous êtes enceinte,
• vous avez des enfants à charge.
Condition de nationalité
Vous êtes:
• Belge,
• apatride,
• réfugié reconnu,
• étranger inscrit au registre de la population.
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13. Condition de revenus
Vous n’avez aucun revenu ou un revenu inférieur au
revenu d’intégration. Dans ce dernier cas, le CPAS vous
donnera la différence.
! Exemple:
Certains mois, les revenus qu’un isolé gagne avec un
travail intérimaire sont inférieurs au montant du
revenu d’intégration. Pour ces mois-là, le CPAS donne
la différence.
Vous conservez le droit au revenu d’intégration même
si vous êtes aidé par des amis ou si vous êtes hébergé
en maison d’accueil. Cette dernière peut toutefois
demander une intervention dans les frais de séjour.
Vous devez être prêt à travailler
Cette condition est valable sauf si votre état de santé
ou votre situation spécifique ne le permet pas.
Vous devez faire valoir vos droits à des
allocations dont vous pourriez bénéficier sur
base de la législation belge ou étrangère.
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14. Condition supplémentaire pour ceux qui ont
moins de 25 ans
Vous devez signer le contrat qui vous engage à collabo-
rer à un projet d’intégration sociale fait spécialement
pour vous.
• Ce contrat est un projet sur mesure, qui est élaboré
en négociant avec vous, dans le but de réaliser votre
droit à l’intégration sociale.
• Si votre santé ou votre situation ne le permet pas,
vous pouvez en être dispensé.
• Un tel contrat peut également être proposé à une
personne à partir de 25 ans, soit à la demande du
CPAS, soit à la demande de la personne elle-même.
• Avant de signer votre contrat, vous pouvez deman-
der un délai de réflexion de 5 jours.
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15. DETENUS ET EX-DETENUS
• Le payement du revenu d’intégration est interrom-
pu pendant qu’on est en prison.
• Les situations suivantes sont assimilées à un séjour
en prison :
• Sêtre en permission de sortie ou en congé péni-
tentiaire
• être en semi-liberté ou en détention limitée
• être sous surveillance électronique (bracelet)
• A la sortie de prison, si vous êtes dans le besoin,
vous pouvez vous adresser au CPAS de la com-
mune où vous étiez inscrit à titre de résidence
principale au moment de votre admission dans
l’établissement pénitentiaire. OU, dans le cas où
vous n’aviez pas d’inscription à titre de résidence
principale dans une commune avant votre incar-
cération, vous pouvez vous adresser au CPAS de la
commune où vous vous trouvez.
• Après le séjour en prison, le revenu d’intégration est
à nouveau payé si on est dans les conditions légales.
C’est également le cas lors d’une libération provi-
soire ou conditionnelle.
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16. • On peut demander le revenu d’intégration pour la
période de détention préventive, mais uniquement si
• on a été définitivement acquitté par le juge et
qu’il n’y a plus de recours possible
• on n’a pas droit à un dédommagement du SPF
Justice
DIFFERENCE ENTRE LE REVENU D’INTEGRATION ...
... ET L’AIDE SOCIALE
REVENU D’INTEGRATION AIDE SOCIALE
C’est toujours une aide Il peut s’agir:
financière • d’un soutien financier
(avances sur des al-
locations de chômage,
des allocations familia-
les, des pensions, etc...)
• d’une aide en nature
(alimentation, loge-
ment, chauffage, etc...)
• d’une demande
d’adresse de référence
(voir page …)
• d’une autre forme
d’aide (caution loca-
tive, aide médicale,
guidance budgé-
taire ou psychologique,
etc...).
Même un bénéficiaire
du revenu d’intégration
peut demander une aide
sociale.
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17. REVENU D’INTEGRATION AIDE SOCIALE
La loi détermine combien Le CPAS décide lui-même
vous pouvez recevoir du type d’aide (alimen-
chaque mois: tation, logement, etc…).
1. Si vous vivez en « coha- L’aide se limite au strict
bitation », le montant nécessaire.
maximum est de 523,74
€. On parle de cohabi- Exemples : Vous recevez
tous les mois un montant
tation si vous vivez sous légèrement supérieur
le même toit qu’une au revenu d’intégration,
ou plusieur(s) autre(s) mais vous avez des frais
personne(s), et que vous médicaux élevés que vous
réglez principalement ne savez pas payer.
en commun vos questi- Le CPAS peut éventuelle-
ons ménagères. ment suppléer.
2. Si vous vivez seul,
Si le revenu d’intégration
même à la rue, le mon- ou la pension que vous
tant maximum est de recevez ne suffit pas à
785,61 € mener une vie conforme
3. même à la rue, le à la dignité, vous pouvez
montant maximum éventuellement obtenir
est de avec au moins un soutien complémen-
un enfant mineur taire.
célibataire, le mon-
tant maximum est de
1.047,48 € par mois
Ces montants sont indexés
et peuvent donc changer. Il
s’agit ici des montants au
1er février 2012.
Vous avez: Votre âge ne joue aucun
• au moins 18 ans, rôle.
• moins de 18 ans mais:
– vous êtes
émancipé(e) par le
mariage,
– vous êtes enceinte,
– vous avez des en-
fants à charge.
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18. REVENU D’INTEGRATION AIDE SOCIALE
Le CPAS fait une enquête Le CPAS peut faire une
sociale. enquête sociale.
Il vérifie que vous avez Il vérifie que vous avez
bien besoin de l’argent. bien besoin de l’aide.
Vous devez fournir tous Vous devez fournir tous
les renseignements né- les renseignements né-
cessaires. cessaires.
Le revenu d’intégration L’aide sociale peut être
est en principe accordé accordée pour une durée
pour une durée illimitée. limitée (aide spécifique,
Le CPAS vérifie au moins financière ou autre) ou il-
une fois par an si votre limitée (par exemple sou-
situation n’a pas changé tien financier équivalent
(revenus supplémentai- au revenu d’intégration).
res, mise en ménage,…). Le CPAS peut à tout
Si votre situation change, moment vérifier que votre
il faut immédiatement le état de besoin n’a pas
faire savoir au CPAS. changé et que vous avez
toujours bien besoin de
l’aide.
Le CPAS peut parfois L’aide sociale est parfois
récupérer le revenu remboursable. Le CPAS
d’intégration, par exem- peut vous donner plus
ple si vous avez fait des de renseignements à ce
fausses déclarations pour sujet.
l’obtenir, ou si il apparaît
après coup que vous aviez
droit à d’autres revenus.
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19. DROIT A UNE PRIME D’INSTALLATION EN CAS DE
RELOGEMENT
Vous avez droit à une prime d’installation de 987,09 €
si vous répondez aux trois conditions suivantes :
1ère condition:
Vous recevez un (complément de) revenu d’intégration
ou un autre revenu de remplacement de la sécu-
rité sociale, comme une allocation de chômage ou
d’invalidité. Si vous travaillez, votre revenu doit être
inférieur au revenu d’intégration majoré de 10 %.
2ème condition:
vous avez trouvé un logement (vous n’êtes donc plus
sans-abri).
• être sans-abri = vous vivez dans la rue, dans un
squat, dans une maison d’accueil, chez quelqu’un
qui vous héberge provisoirement, en prison, dans
une communauté pour sans-abri;
• trouver un logement = louer ou pouvoir utiliser une
chambre ou un appartement comme résidence
principale, où vous vivez soit seul, soit avec des
personnes librement choisies.
3ème condition:
vous n’avez encore jamais reçu de prime d’installation.
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20. Pour les habitants de camping, seuls les bénéficiai-
res d’un revenu d’intégration ont droit à une prime
d’installation.
• être habitant de camping = vous résidez de façon
permanente sur un terrain de camping ou dans un
parc résidentiel en principe réservé au tourisme. Il
peut s’agir d’un terrain privé ou d’un terrain com-
munal, d’un terrain que vous louez ou d’un terrain
que vous possédez, d’une caravane ou bien d’un
chalet, dans laquelle ou lequel vous habitez gratui-
tement ou que vous possédez;
! Remarque
Vous pouvez demander une prime d’installation au
CPAS, même si vous avez déjà reçu une avance sur
la caution locative. Ce sont deux choses tout à fait
différentes.
Le CPAS ne peut pas vous obliger d’utiliser la prime
d’installation comme garantie locative
La prime d’installation doit être demandée auprès du
CPAS de la commune où se situe le logement. On ne
peut recevoir la prime que si on habite effectivement
dans le logement.
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21. A QUEL CPAS DOIT-ON S’ADRESSER ?
Il y a un CPAS dans chaque commune belge. Vous
devez faire votre demande auprès du CPAS de la com-
mune dans laquelle vous résidez en pratique, même si
vous n’avez pas de logement personnel. La plupart du
temps, on pourra vous y aider.
• Si vous demandez une adresse de référence et si
vous n’êtes pas encore radié du registre de la popu-
lation de la dernière commune où vous avez habité,
vous pouvez demander au CPAS de votre nouvelle
commune de le faire pour vous. En attendant, le
CPAS de la commune où vous avez introduit votre
demande doit vous aider.
• Si ce CPAS se déclare non compétent, il doit envoyer
votre demande dans les 5 jours au CPAS qui est
compétent. Il doit vous le faire savoir par écrit et
vous donner les raisons pour lesquelles il pense ne
pas être compétent. Tant que votre demande n’a
pas été transmise et qu’on ne vous en a pas com-
muniqué les raisons, le premier CPAS reste obligé de
vous aider.
• Si le second CPAS se déclare également non compé-
tent, il doit le signaler d’urgence à l’administration
fédérale. Elle détermine dans les 5 jours quel CPAS
est compétent et doit vous aider.
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22. COMMENT FAIRE VOTRE DEMANDE AU CPAS ?
• Le mieux est d’aller vous-même au CPAS. Si vous le
souhaitez, vous pouvez vous faire accompagner par
une personne de votre choix.
• Vous expliquez votre situation au travailleur social.
Celui-ci doit vous renseigner au sujet de tous vos
droits.
! Exemple
Vous demandez un colis alimentaire, mais en réalité
vous avez droit au revenu d’intégration car vous
remplissez toutes les conditions. Dans ce cas, le
revenu d’intégration doit vous être accordé, même si
vous ne l’avez pas demandé.
• Si vous avez besoin d’une aide matérielle urgente,
seul le président du CPAS peut vous aider de ma-
nière immédiate. Dans ce cas, le travailleur social
prendra contact pour vous avec le président, ou bien
vous expliquera où, quand et comment le joindre.
En principe il faut prendre un rendez-vous mais,
pour gagner du temps, vous pouvez aussi deman-
der à rencontrer un délégué du président.
! Remarque
Il est important de ne pas quitter le CPAS sans un
“accusé de réception” de votre demande.
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23. Avec ce document, vous pourrez par la suite prouver
à quelle date vous avez fait votre demande. Conser-
vez ce document, même si on vous prétend que vous
n’avez pas droit à une aide. Ce n’est pas à l’assistant
social de décider. Il/elle doit TOUJOURS faire passer
votre demande au conseil.
• Si vous ne recevez pas d’accusé de réception,
envoyez alors vous même une lettre au CPAS, sans
oublier de la signer :
“Par la présente, je confirme que je me suis rendu
à la permanence du . . / . . / . . pour y demander
…………….... (le revenu d’intégration, une autre sorte
d’aide).”
Vous pouvez aussi présenter la lettre au CPAS et
demander qu’on vous la signe pour réception en
indiquant la date.
• Pourquoi un accusé de réception daté est-il tel-
lement important ?
Parce que l’aide éventuelle vous sera accordée à
compter de la date de la demande. Y compris si
l’aide vous est dans un premier temps refusée, puis
que vous l’obteniez suite à un recours en justice
(voir pages 23 à 25)
• Vous avez aussi le droit d’être entendu par le
Conseil de l’aide sociale. Pour ce faire vous devez
introduire la demande de préférence par écrit et
attendre la convocation du CPAS qui vous informera
de la date, l’heure et l’endroit de la rencontre.
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24. QUE SE PASSE T-IL APRES VOTRE DEMANDE AU CPAS ?
• Un travailleur social du CPAS fera une enquête
sociale pour voir si vous avez droit au revenu
d’intégration ou à une autre aide.
• Le travailleur social constitue un dossier. Le Conseil
de l’Aide sociale prendra une décision sur la base de
ce dossier
• Tant pour le revenu d’intégration que pour l’aide so-
ciale, vous pouvez demander à consulter le dossier
relatif à votre demande.
• Pour une demande de revenu d’intégration, vous
avez le droit d’être entendu par le Conseil de l’Aide
sociale avant que la décision sur votre demande ne
soit prise.
• Vous pouvez vous y faire assister ou vous y faire
représenter, à condition d’en avoir fait la demande
par écrit. Ce droit n’est pas prévu pour une de-
mande d’aide sociale, mais vous pouvez toujours le
demander.
• Le Conseil de l’Aide sociale doit prendre sa décision
dans les 30 jours calendrier à compter du jour où la
demande a été faite.
• Une fois la décision prise, le CPAS doit vous en faire
part dans les 8 jours. Cela se fait par une lettre, qui
soit vous est envoyée par recommandé, soit vous
est remise en mains propres. Dans les deux cas,
vous devez signer l’accusé de réception.
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25. • Le CPAS peut accepter votre demande, mais il peut
aussi la refuser ou vous accorder une aide qu’il
estime plus appropriée à votre situation. En cas de
refus, les raisons pour lesquelles vous n’avez pas
droit au revenu d’intégration ou à l’aide sociale
doivent vous êtes clairement expliquées, par écrit.
• Si vous n’êtes pas d’accord avec les raisons du refus,
ou si aucune raison ne vous a été communiquée,
vous pouvez aller en recours contre la décision
devant le tribunal du travail. Votre demande y sera à
nouveau complètement examinée (voir plus loin).
• Même si une demande a été refusée, vous pouvez
toujours en faire une nouvelle, en apportant des
éléments nouveaux.
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26. Règle 4
SI LE CPAS REFUSE VOTRE DEMANDE, VOUS
POUVEZ ALLER GRATUITEMENT EN RECOURS.
VOUS POUVEZ ALLER GRATUITEMENT EN RECOURS
QUAND LE CPAS :
• prend une décision avec laquelle vous n’êtes pas d’accord,
• ou ne prend aucune décision.
LE RECOURS DOIT ETRE INTRODUIT AUPRES DU
TRIBUNAL DU TRAVAIL.
• l’adresse du tribunal du travail est mentionnée sur
la décision du CPAS
• la procédure est totalement gratuite
• vous ne risquez rien
• vous pouvez vous faire assister par un représentant
d’une organisation sociale
• vous pouvez aussi vous faire représenter
• soit par un avocat;
• Dans ce cas, vous pouvez vous adresser au Bureau
de Consultation et de Défense de votre arrondis-
sement (ou à la Maison de Justice s’il en existe
une) pour obtenir un avocat “pro deo”. Un avocat
“pro deo” travaille gratuitement pour les person-
nes qui n’ont que peu ou pas de ressources. Vous
pouvez demander un avocat qui soit spécialisé
dans le droit social et la réglementation CPAS ;
26 | 27
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27. • soit par un délégué d’une organisation sociale
spécialisé en la matière, telle que prévue par la loi.
COMMENT ALLER EN RECOURS ?
Vous envoyez une lettre au greffe du tribunal du travail
à l’adresse mentionnée sur la décision du CPAS ou vous
vous rendez sur place. Dans la plupart des cas, vous
y trouverez des formulaires préimprimés destinés à
introduire un recours.
! Remarque
Si vous souhaitez que le jugement soit
immédiatement applicable, vous pouvez demander
au juge qu’il rende son jugement “exécutoire par
provision”. (Il vaut mieux le demander au début de la
procédure). Dans ce cas, la décision du juge annule et
remplace immédiatement la décision du CPAS. Mais
vous courez alors le risque de devoir rembourser le
CPAS au cas où ce dernier irait en recours et ferait
annuler la décision du tribunal.
26 | 27
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28. COMBIEN DE TEMPS AVEZ-VOUS POUR ALLER EN
RECOURS CONTRE LA DECISION DU CONSEIL ?
- Si vous avez reçu une décision avec laquelle vous
n’êtes pas d’accord, vous devez introduire le recours
dans les trois mois qui suivent cette décision.
- Si vous n’avez pas reçu de décision, le délai de 3 mois
débute 38 jours après l’introduction de votre demande,
ce qui correspond à la date limite à laquelle vous au-
riez du recevoir une décision (étant donné que le CPAS
dispose d’un délai de 30 jours pour prendre sa décision
+ 8 jours pour vous la communiquer).
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29. Règle 5
VOUS AVEZ TOUT INTERET A AVOIR UNE
ADRESSE OFFICIELLE : LIEU DE RESIDENCE
PRINCIPALE OU ADRESSE DE REFERENCE
• Si vous avez droit au revenu d’intégration, même
si vous n’avez pas d’adresse officielle. PAR CONTRE,
pour d’autres droits (chômage, mutuelle, allocations
familiales …) il est OBLIGATOIRE d’être inscrit dans
un registre de population SOIT avec une adresse de
résidence, SOIT avec une adresse de référence.
• si vous devez signaler votre nouvelle adresse dans
les huit jours qui suivent votre installation. L’agent
de quartier viendra vérifier que vous y êtes réelle-
ment installé.
A QUELLE ADRESSE POUVEZ-VOUS HABITER ?
La commune ne peut pas refuser de vous inscrire sous
prétexte que le lieu où vous habitez n’est pas sur ou
n’est pas sain, ou qu’il ne peut pas être utilisé comme
logement fixe pour une autre raison (par exemple un
chalet de week-end ou un camping). Dans ce cas, vous
n’obtiendrez alors qu’une inscription provisoire, mais
vous pouvez faire recours au Ministre de l’Intérieur.
Si vous n’habitez plus depuis un certain temps à
l’adresse à laquelle vous êtes inscrit(e), vous pouvez
être rayé(e) du registre.
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30. L’ADRESSE DE REFERENCE
Si vous n’avez pas d’adresse personnelle, vous pouvez
être inscrit dans le registre d’une commune en don-
nant une adresse de référence. Votre courrier et tous
vos documents administratifs seront alors envoyés à
cette adresse. Cela vous permet d’avoir votre inscripti-
on obligatoire au registre, et de recevoir les allocations
auxquelles vous avez droit.
a) Chez un particulier :
L’inscription chez une personne qui est inscrite à la
commune et qui est d’accord de recevoir votre courrier
et de vous le transmettre. Une boîte postale ne suffit
pas.
• Vous devez d’abord demander un formulaire au
service population de la commune.
• Certaines personnes hésitent à offrir une adresse
de référence à un sans-abri. Elles ont peur d’être
alors considérées comme cohabitantes, ce qui
pourrait faire diminuer leur revenu d’intégration
ou leurs allocations de chômage, faire augmenter
leur loyer ou que leurs meubles soient saisis à cause
des dettes éventuelles du sans-abri. Tout cela est
pourtant légalement impossible. Mais il est quand
même conseillé de conclure un accord écrit avec la
personne qui habite à l’adresse de référence. Ce con-
trat doit préciser qu’il s’agit bien d’une adresse de
référence, et que vous ne vivez pas là. Cela rassurera
30 | 31
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31. l’occupant. On peut également écrire dans l’accord
que cet occupant s’engage à vous transmettre
votre courrier. On peut aussi mentionner la date à
laquelle l’accord prendra fin.
b) Au CPAS :
Inscription à l’adresse du CPAS de la commune dans
laquelle vous séjournez habituellement. Conditions:
• Vos revenus sont trop faibles pour vous permet-
tre de louer un logement, et c’est la raison pour
laquelle vous demandez l’aide du CPAS.
• Il n’est pas nécessaire de demander le revenu
d’intégration ou une aide financière : le fait même
de demander une adresse de référence constitue
une demande d’aide sociale2.
• Vous pouvez par exemple avoir besoin d’une adres-
se pour pouvoir bénéficier ou continuer à bénéficier
des allocations de chômage, d’une allocation de
handicapé ou d’une pension.
2 Donc, en cas de litige, c’est le tribunal du travail qui est
compétent (voir pages pour les possibilités de recours).
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32. • Vous devez être radié de votre domicile précédent,
sans quoi la commune ne pourra pas vous inscrire.
Le CPAS utilise le formulaire adapté (Modèle 10)
pour demander votre radiation de l’ancienne com-
mune. S’il n’a pas de réponse dans un délai de 15
jours, le CPAS se voit dans l’obligation de solliciter
l’intervention du Ministre de l’Intérieur (art 8 de la
loi du 19/07/1991). Le CPAS doit s’assurer au moins
une fois par trimestre que vous vous trouvez tou-
jours bien sur le territoire de la commune.
! Attention :
Les personnes qui ne disposent pas d’un droit de
séjour valable dans le pays, n’ont pas le droit d’avoir
une adresse de référence.
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34. LISTE DE RÉFÉRENCE
Accusé de réception................................................................. p. 7
Adresse de référence...................................... p. 7,9,16,21,29,30
Adresse officielle......................................................................p. 29
Aide médicale.....................................................................p. 7,8,16
Aide médicale urgente..................................................... p. 7,8,9
Aide psychologique................................................................ p. 16
Aide sociale........................................................ p. 7,10,11,16,23,24
Apatride.........................................................................................p. 9
Arriérés de cotisations de mutuelle..................................p. 9
.
Avocat..........................................................................................p. 26
.
Bracelet de surveillance.........................................................p. 15
Bureau de consultation et de défense...........................p. 26 .
CAAMI............................................................................................p. 9
Camping.............................................................................. p. 20,29
.
Candidat réfugié........................................................................p. 8
Caution locative.................................................................p. 16,20
Chalet.................................................................................... p. 20,29
Cohabitant, Cohabitation...............................................p. 17,30
Communauté de personnes sans-abri........................... p. 19
Communication de la décision du CPAS..................p. 26,27
Compétence territoriale du CPAS..................................... p. 32
Congé pénitentiaire................................................................p. 15
Conseil de l’aide sociale.................................................. p. 23,24
Consultation du dossier de demande d’aide........... p. 8,24
Contrat d’intégration sociale.................................... p. 7,14,30
.
CPAS compétent..................................................................p. 21,31
Décision du conseil de l’aide sociale.....p. 7,24,25,26,27,28 .
Délai d’introduction du recours... p. 16,23,25,26,27,28,29,31
.
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35. Délai de réflexion.................................................................... p. 14
Détention limitée . ..................................................................p. 15
Détenus........................................................................................p. 15
Dettes........................................................................................p. 7,30
Domicile...................................................................................... p. 32
Enquête sociale................................................................p. 8,11,24
Ex détenus...................................................................................p. 15
Fausses déclarations.............................................................. p. 18
Guidance budgétaire............................................................. p. 16
Hôpital...........................................................................................p. 8
Inscription au registre de la population....................p. 12,21
Intervention majorée dans les frais de santé.............. p. 10
Jugement exécutable par provision................................ p. 27
Liberté conditionnelle, liberté provisoire........................p. 15
Maison communautaire, maison d’accueil........... p. 3,6,19
Maison de justice....................................................................p. 26
Montant du revenu d’intégration.....................................p. 17
Mutualité.............................................................................p. 8,9,10
Nationalité..................................................................................p. 12
Nouvelle adresse.....................................................................p. 29
Ordre définitif de quitter le territoire...............................p. 8
Prime d’installation....................................................... p. 7,19,20
Prison....................................................................................p. 6,15,19
Pro deo.........................................................................................p. 26
Projet d’intégration sociale................................................. p. 14
Radiation du registre communal...................................... p. 14
Recours contre la décision
du CPAS.................................................p. 16,23,25,26,27,28,29,31
Réfugié reconnu........................................................................p. 12
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36. Refus d’inscription par l’administration
communale................................................................................p. 29
Registre de la population.................................................p. 12,21
Relogement............................................................................... p. 19
Remboursement des frais médicaux........................... p. 9,17
Résidence, résidence principale.................. p. 3,8,12,15,19,29
Semi liberté................................................................................p. 15
.
Squat........................................................................................ p. 6,19
Surveillance électronique (bracelet)................................p. 15
.
Tribunal du travail...................................................p. 25,26,27,31
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37. ADRESSES
Bruxelles :
Front commun Sans-abri
Gemeenschappelijke Daklozenfront (N/F)
Tél. 0479/686.020 - Web www.frontsdf.be ,
Solidarités nouvelles (N/F)
rue de la Porte Rouge, 4 1000 Bruxelles
Tél. 02/512.02.90
Mail snbru.aidesociale@numericable.be
Chez Nous/ Bij ons (N/F)
rue des Chartreux 68, 1000 Bruxelles cheznous.
Mail bijons@skynet.be - Tél. 02/513.35.96
Syndicat des Locataires
square Albert 1er 32, 1070 Bruxelles,
Tél. 02/522.98.69
Mail syndicatdeslocataires@swing.be
Brabant :
LST Tubize
Tél. 067/64 89 65
Droits Quotidiens à Jodoigne, Nivelles et Wavre
Tél. 010/22.53.55
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38. Liège :
Ligue des Droits de l’Homme Liège (LDH-Liège) :
Tél. 04/221 47 59
Collectif Droits des Pauvres et des Etrangers
Bd de la Sauvenière 32 (15 à 17h)
Tél. 04/222.10.12
Droit au Logement (DAL)
Tél. 0492/67.60.09
Hainaut :
Solidarités Nouvelles
Rue Léopold, 36a
Tél. 071/30 36 77
Le Rebond
rue Léopold 36, 6000 Charleroi
Tél. 071/30.23.69
Groupe Prévention La Louvière
Tél. 0497/32 11 44
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39. Droit au Logement (DAL) Mons
Tél. 065/32.38.52 - Tél. 0475/55.91.12
Tournai : Droit au Logement
Tél. 069/222.837
Namur :
Lutte Solidarités Travail (LST)
rue du Pépin, 64 - 5000 Namur
Tél. 081/22 15 12
Mail namur@mouvement-LST.org
Lutte Solidarités Travail (LST)
rue d’Horseilles 26, 5300 Andenne
Tél. 084/84.48.22
Mail andenne@mouvement-LST.org
Lutte Solidarités Travail (LST)
rue de Monon 96, 5362 Ciney,
Tél. 083/61.10.85
Mail ciney-marche@mouvement-LST.org
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