1. ETUDE : LES FEMMES DANS LA SOCIETE FRANÇAISE DU MILIEU DU XIXe SIECLE AUX ANNEES 1960
Première initiation à la méthode de la partie B de l’épreuve du baccalauréat : analyse
d’un document au travers l’étude d’un ensemble documentaire
Document n°1 : Le combat pour le vote des femmes
a. Des militantes féministes, désignées sous le nom péjoratif de « suffragettes », organisent un bureau de
vote illégal pour les femmes lors des élections législatives de 1914 à Paris.
b. La chambre des députés adopte pour la première fois le 20 mai 1919 une proposition de loi instaurant le
vote des femmes. Elle est rejetée à six reprises, entre 1920 et 1936, par le Sénat.
a. « Pour la tranquillité de ce pays, il nous paraît inutile de susciter de nouveaux électeurs un peu trop
passionnés, ayant une trop grande tendance à se regrouper autour d’idées théoriques abstraites,
métaphysiques, confessionnelles […] ».
Intervention du député socialiste anticlérical Victor Augagneur, en mai 1919.
b. « Les mains des femmes sont-elles bien faites pour le pugilat de l’arène publique ? Plus que pour
manier le bulletin de vote, les mains des femmes sont faites pour être baisées, baisées dévotement
quand ce sont celles des mères, amoureusement quand ce sont elles des femmes et des fiancées.
Séduire et être mère, c’est pour cela qu’est faite la femme.
Rapport du sénateur Alexandre Bérard, en octobre 1919.
Document n°2 : Une lente émancipation des femmes françaises
1884 : Légalisation du divorce
1907 : La loi autorise les femmes mariées à disposer librement de leur salaire
1918 : Droit de vote accordé aux femmes en Grande-Bretagne, en Suède et en Allemagne
1944 : Droit de vote (et d’éligibilité) accordé aux femmes
1956 : Création du Mouvement français pour le planning familial
1965 : Le mari ne peut plus s’opposer à l’exercice de l’activité professionnelle de son épouse
1967 : Loi Neuwirth autorisant la contraception
1970 : Autorité parentale partagée
1972 : Loi posant le principe de l’égalité des salaires pour les travaux de valeur égale
1974 : Création du secrétariat d’Etat à la condition féminine
1975 : Loi Veil autorisant l’interruption volontaire de grossesse (IVG)
2. Document n°3 : Des lois pour les femmes
a. Extraits du Code civil (1804)
De la capacité des parties contractantes
Art 1 123. Toute personne peut contracter si elle n’en est pas déclarée incapable par la loi.
Art 1 124. Les incapables de contracter sont, les mineurs, les interdits, les femmes mariées, dans les cas exprimés
par la loi, et généralement tous ceux auxquels la loi a interdit certains contrats.
De l’administration de la communauté
Art 1 421. Le mari administre seul les biens de la communauté. Il peut les vendre, aliéner, hypothéquer sans le
concours de la femme.
b. Extraits du Code Pénal de 1810
Art 324. Le meurtre commis par l’époux sur l’épouse ou par celle-ci sur son époux n’est pas excusable
[…]. Néanmoins, dans le cas d’adultère, le meurtre commis par l’époux sur son épouse, ainsi que sur le complice,
à l’instant où il les surprend en flagrant délit dans la maison conjugale, est excusable.
Art 337. La femme convaincue d’adultère subira la peine de l’emprisonnement pendant trois mois au moins et
deux ans au plus.
Art 339. Le mari qui aura entretenu une concubine dans la maison conjugale […] sera puni d’une amende de cent
francs à deux mille francs.
c. Extraits de la loi Neuwirth (1967)
Art 2. La fabrication et l’importation des contraceptifs sont autorisées dans les conditions fixées par un règlement
d’administration publique.
Art 3. La vente des produits, médicaments et objets contraceptifs […] est exclusivement effectuée en pharmacie.
d. Extraits de la loi Veil (1975)
Art. L. 162-1 : La femme enceinte que son état place dans une situation de détresse peut demander à un médecin
l’interruption de grossesse. Cette interruption ne peut être pratiquée qu’avant la fin de la dixième semaine de
grossesse.
Art. L. 162-2 : L’interruption volontaire d’une grossesse ne peut être pratiquée que par un médecin. Elle ne peut
avoir lieu que dans un établissement d’hospitalisation public ou dans un établissement d’hospitalisation privé.
Document n°4 : Les femmes sur le marché du travail
Répondez à la consigne suivante, sous la forme d’une réponse organisée, à l’aide des documents à
votre disposition et de vos connaissances :
Montrez en quoi le mode de vie des femmes a fortement évolué en France du milieu du XIXe au milieu
du XXe siècle.
3. ETUDE : LES FEMMES DANS LA SOCIETE FRANÇAISE DU MILIEU DU XIXe SIECLE AUX ANNEES 1960
Première initiation à la méthode de la partie B de l’épreuve du baccalauréat : analyse
d’un document au travers l’étude d’un ensemble documentaire
Document n°1 : Le combat pour le vote des femmes
a. Des militantes féministes, désignées sous le nom péjoratif de « suffragettes », organisent un bureau de
vote illégal pour les femmes lors des élections législatives de 1914 à Paris.
b. La chambre des députés adopte pour la première fois le 20 mai 1919 une proposition de loi instaurant le
vote des femmes. Elle est rejetée à six reprises, entre 1920 et 1936, par le Sénat.
a. « Pour la tranquillité de ce pays, il nous paraît inutile de susciter de nouveaux électeurs un peu trop
passionnés, ayant une trop grande tendance à se regrouper autour d’idées théoriques abstraites,
métaphysiques, confessionnelles […] ».
Intervention du député socialiste anticlérical Victor Augagneur, en mai 1919.
b. « Les mains des femmes sont-elles bien faites pour le pugilat de l’arène publique ? Plus que pour
manier le bulletin de vote, les mains des femmes sont faites pour être baisées, baisées dévotement
quand ce sont celles des mères, amoureusement quand ce sont elles des femmes et des fiancées.
Séduire et être mère, c’est pour cela qu’est faite la femme.
Rapport du sénateur Alexandre Bérard, en octobre 1919.
Document n°2 : Une lente émancipation des femmes françaises
1884 : Légalisation du divorce
1907 : La loi autorise les femmes mariées à disposer librement de leur salaire
1918 : Droit de vote accordé aux femmes en Grande-Bretagne, en Suède et en Allemagne
1944 : Droit de vote (et d’éligibilité) accordé aux femmes
1956 : Création du Mouvement français pour le planning familial
1965 : Le mari ne peut plus s’opposer à l’exercice de l’activité professionnelle de son épouse
1967 : Loi Neuwirth autorisant la contraception
1970 : Autorité parentale partagée
1972 : Loi posant le principe de l’égalité des salaires pour les travaux de valeur égale
1974 : Création du secrétariat d’Etat à la condition féminine
1975 : Loi Veil autorisant l’interruption volontaire de grossesse (IVG)
4. Document n°3 : Des lois pour les femmes
a. Extraits du Code civil (1804)
De la capacité des parties contractantes
Art 1 123. Toute personne peut contracter si elle n’en est pas déclarée incapable par la loi.
Art 1 124. Les incapables de contracter sont, les mineurs, les interdits, les femmes mariées, dans les cas exprimés
par la loi, et généralement tous ceux auxquels la loi a interdit certains contrats.
De l’administration de la communauté
Art 1 421. Le mari administre seul les biens de la communauté. Il peut les vendre, aliéner, hypothéquer sans le
concours de la femme.
b. Extraits du Code Pénal de 1810
Art 324. Le meurtre commis par l’époux sur l’épouse ou par celle-ci sur son époux n’est pas excusable
[…]. Néanmoins, dans le cas d’adultère, le meurtre commis par l’époux sur son épouse, ainsi que sur le complice,
à l’instant où il les surprend en flagrant délit dans la maison conjugale, est excusable.
Art 337. La femme convaincue d’adultère subira la peine de l’emprisonnement pendant trois mois au moins et
deux ans au plus.
Art 339. Le mari qui aura entretenu une concubine dans la maison conjugale […] sera puni d’une amende de cent
francs à deux mille francs.
c. Extraits de la loi Neuwirth (1967)
Art 2. La fabrication et l’importation des contraceptifs sont autorisées dans les conditions fixées par un règlement
d’administration publique.
Art 3. La vente des produits, médicaments et objets contraceptifs […] est exclusivement effectuée en pharmacie.
d. Extraits de la loi Veil (1975)
Art. L. 162-1 : La femme enceinte que son état place dans une situation de détresse peut demander à un médecin
l’interruption de grossesse. Cette interruption ne peut être pratiquée qu’avant la fin de la dixième semaine de
grossesse.
Art. L. 162-2 : L’interruption volontaire d’une grossesse ne peut être pratiquée que par un médecin. Elle ne peut
avoir lieu que dans un établissement d’hospitalisation public ou dans un établissement d’hospitalisation privé.
Document n°4 : Les femmes sur le marché du travail
Répondez à la consigne suivante, sous la forme d’une réponse organisée, à l’aide des documents à
votre disposition et de vos connaissances :
Montrez en quoi le mode de vie des femmes a fortement évolué en France du milieu du XIXe au milieu
du XXe siècle.
Pour organiser logiquement ses idées : Après avoir présenté les nouveaux droits conquis par ces
dernières, vous préciserez à qui les femmes françaises le doivent et vous soulignerez que ce combat fut
long et difficile.
5. ETUDE : LES FEMMES DANS LA SOCIETE FRANÇAISE DU MILIEU DU XIXe SIECLE AUX ANNEES 1960
Première initiation à la méthode de la partie B de l’épreuve du baccalauréat : analyse
d’un document au travers l’étude d’un ensemble documentaire
Document n°1 : Le combat pour le vote des femmes
a. Des militantes féministes, désignées sous le nom péjoratif de « suffragettes », organisent un bureau de
vote illégal pour les femmes lors des élections législatives de 1914 à Paris.
b. La chambre des députés adopte pour la première fois le 20 mai 1919 une proposition de loi instaurant le
vote des femmes. Elle est rejetée à six reprises, entre 1920 et 1936, par le Sénat.
a. « Pour la tranquillité de ce pays, il nous paraît inutile de susciter de nouveaux électeurs un peu trop
passionnés, ayant une trop grande tendance à se regrouper autour d’idées théoriques abstraites,
métaphysiques, confessionnelles […] ».
Intervention du député socialiste anticlérical Victor Augagneur, en mai 1919.
b. « Les mains des femmes sont-elles bien faites pour le pugilat de l’arène publique ? Plus que pour
manier le bulletin de vote, les mains des femmes sont faites pour être baisées, baisées dévotement
quand ce sont celles des mères, amoureusement quand ce sont elles des femmes et des fiancées.
Séduire et être mère, c’est pour cela qu’est faite la femme.
Rapport du sénateur Alexandre Bérard, en octobre 1919.
Document n°2 : Une lente émancipation des femmes françaises
1884 : Légalisation du divorce
1907 : La loi autorise les femmes mariées à disposer librement de leur salaire
1918 : Droit de vote accordé aux femmes en Grande-Bretagne, en Suède et en Allemagne
1944 : Droit de vote (et d’éligibilité) accordé aux femmes
1956 : Création du Mouvement français pour le planning familial
1965 : Le mari ne peut plus s’opposer à l’exercice de l’activité professionnelle de son épouse
1967 : Loi Neuwirth autorisant la contraception
1970 : Autorité parentale partagée
1972 : Loi posant le principe de l’égalité des salaires pour les travaux de valeur égale
1974 : Création du secrétariat d’Etat à la condition féminine
1975 : Loi Veil autorisant l’interruption volontaire de grossesse (IVG)
6. Document n°3 : Des lois pour les femmes
a. Extraits du Code civil (1804)
De la capacité des parties contractantes
Art 1 123. Toute personne peut contracter si elle n’en est pas déclarée incapable par la loi.
Art 1 124. Les incapables de contracter sont, les mineurs, les interdits, les femmes mariées, dans les cas exprimés
par la loi, et généralement tous ceux auxquels la loi a interdit certains contrats.
De l’administration de la communauté
Art 1 421. Le mari administre seul les biens de la communauté. Il peut les vendre, aliéner, hypothéquer sans le
concours de la femme.
b. Extraits du Code Pénal de 1810
Art 324. Le meurtre commis par l’époux sur l’épouse ou par celle-ci sur son époux n’est pas excusable
[…]. Néanmoins, dans le cas d’adultère, le meurtre commis par l’époux sur son épouse, ainsi que sur le complice,
à l’instant où il les surprend en flagrant délit dans la maison conjugale, est excusable.
Art 337. La femme convaincue d’adultère subira la peine de l’emprisonnement pendant trois mois au moins et
deux ans au plus.
Art 339. Le mari qui aura entretenu une concubine dans la maison conjugale […] sera puni d’une amende de cent
francs à deux mille francs.
c. Extraits de la loi Neuwirth (1967)
Art 2. La fabrication et l’importation des contraceptifs sont autorisées dans les conditions fixées par un règlement
d’administration publique.
Art 3. La vente des produits, médicaments et objets contraceptifs […] est exclusivement effectuée en pharmacie.
d. Extraits de la loi Veil (1975)
Art. L. 162-1 : La femme enceinte que son état place dans une situation de détresse peut demander à un médecin
l’interruption de grossesse. Cette interruption ne peut être pratiquée qu’avant la fin de la dixième semaine de
grossesse.
Art. L. 162-2 : L’interruption volontaire d’une grossesse ne peut être pratiquée que par un médecin. Elle ne peut
avoir lieu que dans un établissement d’hospitalisation public ou dans un établissement d’hospitalisation privé.
Document n°4 : Les femmes sur le marché du travail
Montrez en quoi le mode de vie des femmes a fortement évolué en France du milieu du XIXe au
milieu du XXe siècle. Pour cela, répondez de manière rédigée et développée aux questions ci-dessous à
l’aide des documents:
1. Quels nouveaux droits les femmes ont-elles obtenu au cours du XXe siècle ?
2. Comparez-les avec les droits accordés aux hommes et avec ceux des femmes dans d’autres pays européens.
3. A qui les femmes françaises doivent-elles ces nouveaux droits ?
4. Quelles difficultés ont-elles rencontré pour leur obtention ? Présentez les arguments avancés pour leur
refuser.
5. D’après vous, l’égalité homme/femme est-elle acquise aujourd’hui dans notre pays ?
7. ETUDE : LES FEMMES DANS LA SOCIETE FRANÇAISE DU MILIEU DU XIXe SIECLE AUX ANNEES 1960
Première initiation à la méthode de la partie B de l’épreuve du baccalauréat : analyse
d’un document au travers l’étude d’un ensemble documentaire
Document n°1 : Le combat pour le vote des femmes
a. Des militantes féministes, désignées sous le nom péjoratif de « suffragettes », organisent un bureau de
vote illégal pour les femmes lors des élections législatives de 1914 à Paris.
b. La chambre des députés adopte pour la première fois le 20 mai 1919 une proposition de loi instaurant le
vote des femmes. Elle est rejetée à six reprises, entre 1920 et 1936, par le Sénat.
a. « Pour la tranquillité de ce pays, il nous paraît inutile de susciter de nouveaux électeurs un peu trop
passionnés, ayant une trop grande tendance à se regrouper autour d’idées théoriques abstraites,
métaphysiques, confessionnelles […] ».
Intervention du député socialiste anticlérical Victor Augagneur, en mai 1919.
b. « Les mains des femmes sont-elles bien faites pour le pugilat de l’arène publique ? Plus que pour
manier le bulletin de vote, les mains des femmes sont faites pour être baisées, baisées dévotement
quand ce sont celles des mères, amoureusement quand ce sont elles des femmes et des fiancées.
Séduire et être mère, c’est pour cela qu’est faite la femme.
Rapport du sénateur Alexandre Bérard, en octobre 1919.
Document n°2 : Une lente émancipation des femmes françaises
1884 : Légalisation du divorce
1907 : La loi autorise les femmes mariées à disposer librement de leur salaire
1918 : Droit de vote accordé aux femmes en Grande-Bretagne, en Suède et en Allemagne
1944 : Droit de vote (et d’éligibilité) accordé aux femmes
1956 : Création du Mouvement français pour le planning familial
1965 : Le mari ne peut plus s’opposer à l’exercice de l’activité professionnelle de son épouse
1967 : Loi Neuwirth autorisant la contraception
1970 : Autorité parentale partagée
1972 : Loi posant le principe de l’égalité des salaires pour les travaux de valeur égale
1974 : Création du secrétariat d’Etat à la condition féminine
1975 : Loi Veil autorisant l’interruption volontaire de grossesse (IVG)
8. Document n°3 : Des lois pour les femmes
a. Extraits du Code civil (1804)
De la capacité des parties contractantes
Art 1 123. Toute personne peut contracter si elle n’en est pas déclarée incapable par la loi.
Art 1 124. Les incapables de contracter sont, les mineurs, les interdits, les femmes mariées, dans les cas exprimés
par la loi, et généralement tous ceux auxquels la loi a interdit certains contrats.
De l’administration de la communauté
Art 1 421. Le mari administre seul les biens de la communauté. Il peut les vendre, aliéner, hypothéquer sans le
concours de la femme.
b. Extraits du Code Pénal de 1810
Art 324. Le meurtre commis par l’époux sur l’épouse ou par celle-ci sur son époux n’est pas excusable
[…]. Néanmoins, dans le cas d’adultère, le meurtre commis par l’époux sur son épouse, ainsi que sur le complice,
à l’instant où il les surprend en flagrant délit dans la maison conjugale, est excusable.
Art 337. La femme convaincue d’adultère subira la peine de l’emprisonnement pendant trois mois au moins et
deux ans au plus.
Art 339. Le mari qui aura entretenu une concubine dans la maison conjugale […] sera puni d’une amende de cent
francs à deux mille francs.
c. Extraits de la loi Neuwirth (1967)
Art 2. La fabrication et l’importation des contraceptifs sont autorisées dans les conditions fixées par un règlement
d’administration publique.
Art 3. La vente des produits, médicaments et objets contraceptifs […] est exclusivement effectuée en pharmacie.
d. Extraits de la loi Veil (1975)
Art. L. 162-1 : La femme enceinte que son état place dans une situation de détresse peut demander à un médecin
l’interruption de grossesse. Cette interruption ne peut être pratiquée qu’avant la fin de la dixième semaine de
grossesse.
Art. L. 162-2 : L’interruption volontaire d’une grossesse ne peut être pratiquée que par un médecin. Elle ne peut
avoir lieu que dans un établissement d’hospitalisation public ou dans un établissement d’hospitalisation privé.
Document n°4 : Les femmes sur le marché du travail
Répondez aux questions de manière précise afin de répondre à la consigne suivante : montrez en quoi
le mode de vie des femmes a fortement évolué en France du milieu du XIXe au milieu du XXe siècle.
1. Quels nouveaux droits les femmes ont-elles obtenu au cours du XXe siècle ? (documents 2 et 3)
Classez ces droits en fonction de leur nature (droits civils et politiques, professionnels, à disposer
librement de son corps). Vous pouvez les surligner par catégorie dans le document 2.
2. A l’aide de vos connaissances et du document 2, comparez-les avec les droits accordés aux hommes et
avec ceux des femmes dans d’autres pays européens.
3. Comment appelle-t-on les différents groupes de femmes qui se sont battus pour obtenir ces nouveaux
droits ? Quelles actions ont-elles menées ? (documents 1 et 2)
4. Quelles difficultés les femmes ont-elles rencontré pour obtenir ces droits ? Présentez les arguments
avancés pour leur refuser. (document 1)
5. D’après vous et le document 4, l’égalité homme/femme est-elle acquise aujourd’hui dans notre pays ?