Project Semester II - FPT Greenwich (i10) - GC0602 - Group 2Vượng Vũ
This document provides information about an e-project to develop a Crime File Management System. It includes sections about the team members, defining the current problems with manual systems, requirements from customers including user groups, use case diagrams and context diagrams, a high-level architecture overview consisting of presentation and database tiers, and an entity relationship diagram of the key database tables.
The document describes two Android apps developed by VuVan PhuVuong. The first app, Quick Review App, allows users to enter a review and send it via SMS. It was implemented using Android App Inventor and allows reviews to be sent to a phone number. The second app, Fare Judge App, allows users to rate food establishments and submit reviews. It was developed in Android Codes and implements features like checking for empty fields and searching reviews. Some weaknesses include using text fields instead of choice fields for establishment types. Both apps include live demos.
Project Semester II - FPT Greenwich (i10) - GC0602 - Group 2Vượng Vũ
This document provides information about an e-project to develop a Crime File Management System. It includes sections about the team members, defining the current problems with manual systems, requirements from customers including user groups, use case diagrams and context diagrams, a high-level architecture overview consisting of presentation and database tiers, and an entity relationship diagram of the key database tables.
The document describes two Android apps developed by VuVan PhuVuong. The first app, Quick Review App, allows users to enter a review and send it via SMS. It was implemented using Android App Inventor and allows reviews to be sent to a phone number. The second app, Fare Judge App, allows users to rate food establishments and submit reviews. It was developed in Android Codes and implements features like checking for empty fields and searching reviews. Some weaknesses include using text fields instead of choice fields for establishment types. Both apps include live demos.
FMDH - Les lois peuvent-elles sauver des vies? par Yamina ChakkarFMDH
Présentation de Yamina Chakkar sur "Les lois peuvent-elles sauver des vies?" lors du Forum Mondial des Droits de l'Homme, Novembre 2014.
Pour plus d'informations :
- Site web : http://fmdh-2014.org/fr/
- Facebook : https://www.facebook.com/FMDH2014
- Twitter : https://twitter.com/FMDH2014
- Youtube : https://www.youtube.com/user/FMDH2014
Présentation de Michel T. Giroux.
Regard prospectif sur la mise en oeuvre d'une aide médicale à mourir
Directeur de l'Institut de consultation et de recherche en éthique et en droit (ICRED), chargé d'enseignement et responsable du volet éthique professionnel et juridique dans le programme de doctorat en médecine, Faculté de médecine, Université Laval.
Plan de la présentation :
1. Toile de fond légale et constitutionnelle
2. Principes directeurs de la commission spéciale
3. Contenu du rapport MOURIR DANS LA DIGNITÉ
4. Soin approprié en fin de vie
5. Balises de mise en œuvre
6. Demande anticipée
7. Poursuites criminelles et pénales
8. Déontologie professionnelle
9. Conclusion
Atelier : soins sans consentement, contrainte et droits des patients au regar...Réseau Pro Santé
Revue SPH n°12 - Décembre 2016
OBJECTIFS DE L’ATELIER SYNDICAL
- Mise en perspective SSC en France avec les règlementations européennes.
- Evaluer la situation actuelle de la France.
» Recenser les pratiques actuelles.
» Articuler avec la législation sur l’isolement et la contention.
- Proposer des pistes de travail.
- Rédiger la motion syndicale.
PREMIÈRE PARTIE - LE CONTEXTE EUROPÉEN
Diversité des législations européennes
- Tous les pays européens n’ont pas une législation.
- Pour ceux qui ont une législation :
» Concerne l’ensemble des personnes ne pouvant consentir (quel que soit le diagnostic) : Directives anticipées de l’Espagne.
» Personnes vulnérables, mineurs, sous tutelle (Espagne).
» Spécifique aux troubles mentaux.
Législations « psychiatriques »
- 12 pays dont la France et la Belgique ont une législation spécifique/ troubles mentaux.
- 3 pays n’ont pas de législation spécifique/TM (Espagne, Italie et Grèce).
- Possibilité de coexistence droit commun et droit pénal ou post-pénal (Italie, Royaume-Uni, Belgique).
- Totalité Etats européens : pouvoir judiciaire légitime pour décider SSC (France exception avant 2011).Critères SSC
- Dangerosité uniquement.
- Besoin de soins uniquement. W Dangerosité et besoins de soins.
- Précision diagnostique pour certains pays : psychose, démence, déficience mentale (Allemagne, Danemark, Irlande).
- Préciser absence d’alternative (Belgique).
- Préciser le protocole de soins ou de mesures « coercitives » ou d’une OS à domicile.(...)
http://www.reseauprosante.fr/
En juin 2011, le Conseil a adopté la résolution 17/19, qui est la première résolution
des Nations Unies sur les droits de l’homme, l’orientation sexuelle et l’identité
de genre. La résolution a été approuvée par une faible majorité, mais, ce qui est
significatif, elle a bénéficié de l’appui des membres du Conseil de toutes les régions.
Son adoption a ouvert la voie au premier rapport officiel des Nations Unies sur ce
sujet, préparé par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme1.
Le rapport de la Haut-Commissaire montre qu’il existe une tendance à la violence
et à la discrimination systématiques dans toutes les régions à l’égard de certaines
personnes en raison de leur orientation sexuelle et de leur identité de genre : de la
discrimination dans l’emploi, les soins de santé et l’éducation, à la criminalisation
et des attaques physiques ciblées, voire des assassinats. Dans le rapport figurait un
ensemble de recommandations adressées aux États en vue de renforcer la protection
des droits fondamentaux des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT 2).
Les conclusions du rapport ont constitué la base d’une table ronde qui a eu lieu au
Conseil le 7 mars 2012; c’était la première fois qu’un organe intergouvernemental
des Nations Unies avait un débat formel sur cette question.
Politique pénitentiaire: réconcilier éthique de conviction et éthique de resp...Institut pour la Justice
Par Alexandre Giuglaris, délégué général de l'Institut pour la Justice. L’actuel Gouvernement a décidé dans le domaine de la justice
pénale de mettre fin au projet de construction de 24 000 places de prison prévu dans la loi de programmation relative à l’exécution des peines votée début 2012. Cette décision, annoncée durant la campagne présidentielle, doit aujourd’hui être questionnée, en particulier sur le plan des principes et des valeurs.
Compte rendu à plusieur voix congrès national des internes en psychiatrie.Réseau Pro Santé
11e édition du CNIPsy, à Lille, 13 et 14 octobre 2011, CONGRÈS NATIONAL DES INTERNES EN PSYCHIATRIE Compte-rendu
Le CNIPsy (Congrès National des Internes de Psychiatrie) est né en 2000 à Lille, sous l’impulsion des internes lillois qui souhaitaient s’engager dans la création d’un projet pédagogique réalisé par les internes et à destination des internes. Les trois premières éditions ont lieu à Lille entre 2000 et 2005, puis le congrès entame un tour de France en devenant un rendez-vous annuel. Durant deux jours, un thème choisi par le comité scientifique est pris comme sujet d’étude et la diversité des sessions permet de dégager les multiples aspects d’une problématique différente chaque année : En 2007 à Montpellier, en 2008 à Lyon, en 2009 à Strasbourg (conceptions de l’homme en psychiatrie), et en 2010 à Marseille (intitulé « Mauvais Genres »), chacune des éditions démontre la vitalité et l’engagement des jeunes psychiatres et connaît un succès grandissant. En 2011, le CNIPsy reprend place dans la ville qui l’a vu naître, et la haute qualité scientique des intervenants conrme le besoin et le désir des internes de se situer dans la tradition de la psychiatrie française, tout en étant un moment de rencontres et d’échanges entre collègues.
reseauprosante.fr
FMDH - Les lois peuvent-elles sauver des vies? par Yamina ChakkarFMDH
Présentation de Yamina Chakkar sur "Les lois peuvent-elles sauver des vies?" lors du Forum Mondial des Droits de l'Homme, Novembre 2014.
Pour plus d'informations :
- Site web : http://fmdh-2014.org/fr/
- Facebook : https://www.facebook.com/FMDH2014
- Twitter : https://twitter.com/FMDH2014
- Youtube : https://www.youtube.com/user/FMDH2014
Présentation de Michel T. Giroux.
Regard prospectif sur la mise en oeuvre d'une aide médicale à mourir
Directeur de l'Institut de consultation et de recherche en éthique et en droit (ICRED), chargé d'enseignement et responsable du volet éthique professionnel et juridique dans le programme de doctorat en médecine, Faculté de médecine, Université Laval.
Plan de la présentation :
1. Toile de fond légale et constitutionnelle
2. Principes directeurs de la commission spéciale
3. Contenu du rapport MOURIR DANS LA DIGNITÉ
4. Soin approprié en fin de vie
5. Balises de mise en œuvre
6. Demande anticipée
7. Poursuites criminelles et pénales
8. Déontologie professionnelle
9. Conclusion
Atelier : soins sans consentement, contrainte et droits des patients au regar...Réseau Pro Santé
Revue SPH n°12 - Décembre 2016
OBJECTIFS DE L’ATELIER SYNDICAL
- Mise en perspective SSC en France avec les règlementations européennes.
- Evaluer la situation actuelle de la France.
» Recenser les pratiques actuelles.
» Articuler avec la législation sur l’isolement et la contention.
- Proposer des pistes de travail.
- Rédiger la motion syndicale.
PREMIÈRE PARTIE - LE CONTEXTE EUROPÉEN
Diversité des législations européennes
- Tous les pays européens n’ont pas une législation.
- Pour ceux qui ont une législation :
» Concerne l’ensemble des personnes ne pouvant consentir (quel que soit le diagnostic) : Directives anticipées de l’Espagne.
» Personnes vulnérables, mineurs, sous tutelle (Espagne).
» Spécifique aux troubles mentaux.
Législations « psychiatriques »
- 12 pays dont la France et la Belgique ont une législation spécifique/ troubles mentaux.
- 3 pays n’ont pas de législation spécifique/TM (Espagne, Italie et Grèce).
- Possibilité de coexistence droit commun et droit pénal ou post-pénal (Italie, Royaume-Uni, Belgique).
- Totalité Etats européens : pouvoir judiciaire légitime pour décider SSC (France exception avant 2011).Critères SSC
- Dangerosité uniquement.
- Besoin de soins uniquement. W Dangerosité et besoins de soins.
- Précision diagnostique pour certains pays : psychose, démence, déficience mentale (Allemagne, Danemark, Irlande).
- Préciser absence d’alternative (Belgique).
- Préciser le protocole de soins ou de mesures « coercitives » ou d’une OS à domicile.(...)
http://www.reseauprosante.fr/
En juin 2011, le Conseil a adopté la résolution 17/19, qui est la première résolution
des Nations Unies sur les droits de l’homme, l’orientation sexuelle et l’identité
de genre. La résolution a été approuvée par une faible majorité, mais, ce qui est
significatif, elle a bénéficié de l’appui des membres du Conseil de toutes les régions.
Son adoption a ouvert la voie au premier rapport officiel des Nations Unies sur ce
sujet, préparé par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme1.
Le rapport de la Haut-Commissaire montre qu’il existe une tendance à la violence
et à la discrimination systématiques dans toutes les régions à l’égard de certaines
personnes en raison de leur orientation sexuelle et de leur identité de genre : de la
discrimination dans l’emploi, les soins de santé et l’éducation, à la criminalisation
et des attaques physiques ciblées, voire des assassinats. Dans le rapport figurait un
ensemble de recommandations adressées aux États en vue de renforcer la protection
des droits fondamentaux des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT 2).
Les conclusions du rapport ont constitué la base d’une table ronde qui a eu lieu au
Conseil le 7 mars 2012; c’était la première fois qu’un organe intergouvernemental
des Nations Unies avait un débat formel sur cette question.
Politique pénitentiaire: réconcilier éthique de conviction et éthique de resp...Institut pour la Justice
Par Alexandre Giuglaris, délégué général de l'Institut pour la Justice. L’actuel Gouvernement a décidé dans le domaine de la justice
pénale de mettre fin au projet de construction de 24 000 places de prison prévu dans la loi de programmation relative à l’exécution des peines votée début 2012. Cette décision, annoncée durant la campagne présidentielle, doit aujourd’hui être questionnée, en particulier sur le plan des principes et des valeurs.
Compte rendu à plusieur voix congrès national des internes en psychiatrie.Réseau Pro Santé
11e édition du CNIPsy, à Lille, 13 et 14 octobre 2011, CONGRÈS NATIONAL DES INTERNES EN PSYCHIATRIE Compte-rendu
Le CNIPsy (Congrès National des Internes de Psychiatrie) est né en 2000 à Lille, sous l’impulsion des internes lillois qui souhaitaient s’engager dans la création d’un projet pédagogique réalisé par les internes et à destination des internes. Les trois premières éditions ont lieu à Lille entre 2000 et 2005, puis le congrès entame un tour de France en devenant un rendez-vous annuel. Durant deux jours, un thème choisi par le comité scientifique est pris comme sujet d’étude et la diversité des sessions permet de dégager les multiples aspects d’une problématique différente chaque année : En 2007 à Montpellier, en 2008 à Lyon, en 2009 à Strasbourg (conceptions de l’homme en psychiatrie), et en 2010 à Marseille (intitulé « Mauvais Genres »), chacune des éditions démontre la vitalité et l’engagement des jeunes psychiatres et connaît un succès grandissant. En 2011, le CNIPsy reprend place dans la ville qui l’a vu naître, et la haute qualité scientique des intervenants conrme le besoin et le désir des internes de se situer dans la tradition de la psychiatrie française, tout en étant un moment de rencontres et d’échanges entre collègues.
reseauprosante.fr
Similaire à Communiqué de l'ADMD sur procès Bonnemaison (20)
Refonte de l'intercommunalité et évolution de la gouvernance du Pays Basque
Phase d'approfondissement
Synthèse des Ateliers
Comité de Pilotage - 19 février 2016
This document contains a collection of Basque proverbs that were selected, standardized, translated, and commented on by Jon Aske with assistance from others. The proverbs were posted online from July to November 1994, with about two being added each day. The document notes that the proverbs can be reproduced for personal use but not for publication or profit without permission.
1. Communiqué du 11 juin 2014
Nicolas Bonnemaison est la victime de la loi Leonetti et de l’incapacité des
pouvoirs publics à réformer la législation française sur la fin de vie.
Ce procès n’est absolument pas celui de l’euthanasie mais bien celui de l’échec de
la loi Leonetti et de 10 ans d’incurie des pouvoirs publics sur la fin de vie !
Alors que le procès du docteur Nicolas Bonnemaison doit s’ouvrir devant la cour d’assises des Pyrénées-
Atlantiques le 11 juin prochain, Jean-Luc Romero-Michel, président de l’Association pour le Droit de Mourir
dans la Dignité, rappelle que ce procès n’est absolument pas celui de l’euthanasie mais devrait être celui
d’une loi, la loi du 22 avril 2005, mal faite et incapable de résoudre les problèmes de la fin de vie. C’est
cette loi qui laisse des patients dans la souffrance et des médecins, attentifs à leurs patients, dans
l’angoisse de ne rien faire pour les soulager.
Ces dernières années, de nombreux rapports ont indiqué combien la loi Leonetti est inadaptée. Un jury
citoyen a demandé la légalisation du suicide assisté et d’une euthanasie. Dans son rapport de décembre
2012, le professeur Sicard lui-même faisait le constat de la « surdité » aux souffrances d’une partie du corps
médical, dénoncée depuis si longtemps par l’ADMD, et laissait la porte ouverte au suicide assisté.
Le docteur Bonnemaison, sans doute par compassion, a agi. Mais il a agi contre la loi. Il est évidemment la
victime de l’absence d’une loi de liberté qui permettrait à chacun de décider pour lui-même des conditions
de sa propre fin de vie, avec l’aide de médecins compatissants à l’écoute de leurs patients. Dans un geste
humain.
Ce procès, comme celui à venir de Jean Mercier, comme l’avis qui sera rendu par le Conseil d’Etat
concernant le jeune Vincent Lambert, est le constat de l’échec de la législation française sur la fin de vie et
l’évidence de la nécessité d’une loi qui mette au cœur de toute décision médicale le patient et lui seul, dans
le cadre d’une véritable démocratie sanitaire.
Renseignements : Jean-Luc Romero-Michel ou Philippe Lohéac, au 01 48 00 04 16
Procès du docteur Nicolas
Bonnemaison