Psychoéducation 2/4 Troubles Bipolaires mars 2012Argos2savoies
Aggravation de la maladie:
l’évolution vers les cycles rapides (risque de suicide)
l’évolution vers les états mixtes (risque de suicide)
Les complications :
la majoration des symptômes
les symptômes résiduels entre les épisodes
l’évolution chronique avec handicap et mortalité
l’augmentation de la fréquence et de la durée des épisodes…
les conduites impulsives, l’abus d’alcool ou de drogues, les épisodes délirants aigus, les actes médico-légaux, les achats compulsifs
Question 1:
- Qu’est-ce que la maladie bipolaire ?
Question 2:
- Qu’est-ce que la psychoéducation ?
Question 3:
- Pourquoi un programme de psychoéducation pour la maladie bipolaire ?
Les types de psychothérapies et de psychothérapeutesArgos2savoies
Les points de la présentation
Présentation brève des modèles de psychothérapies;
Les deux orientations des psychothérapies;
Le modèle contextuel (un modèle de synthèse et
d’efficacité);
Les bons et les mauvais psy;
La position du patient;
Exemple pratique pour la maladie bipolaire: la
thérapie bipolaire (par Dr Dan Niculescu);
Recommandation pour les patients bipolaires;
Recommandation pour les psy.Les psychothérapies dominantes
La psychothérapie psychanalytique (Freud, Adler,
Young, Karen Horney);
La psychothérapie comportementale (Pavlov, Skinner,
Wolpe, etc.) ;
La psychothérapie systémique;
La thérapie cognitive et comportementale (TCC,
Beck).Les psychothérapies min
Voici mon cours sur la toxicomanie que j'ai proposé à mes étudiants en soins infirmiers psychiatriques. Je ne suis pas un expert en toxicomanie mais ce cours repose sur des données probantes. Bon visionnement...
Psychoéducation 2/4 Troubles Bipolaires mars 2012Argos2savoies
Aggravation de la maladie:
l’évolution vers les cycles rapides (risque de suicide)
l’évolution vers les états mixtes (risque de suicide)
Les complications :
la majoration des symptômes
les symptômes résiduels entre les épisodes
l’évolution chronique avec handicap et mortalité
l’augmentation de la fréquence et de la durée des épisodes…
les conduites impulsives, l’abus d’alcool ou de drogues, les épisodes délirants aigus, les actes médico-légaux, les achats compulsifs
Question 1:
- Qu’est-ce que la maladie bipolaire ?
Question 2:
- Qu’est-ce que la psychoéducation ?
Question 3:
- Pourquoi un programme de psychoéducation pour la maladie bipolaire ?
Les types de psychothérapies et de psychothérapeutesArgos2savoies
Les points de la présentation
Présentation brève des modèles de psychothérapies;
Les deux orientations des psychothérapies;
Le modèle contextuel (un modèle de synthèse et
d’efficacité);
Les bons et les mauvais psy;
La position du patient;
Exemple pratique pour la maladie bipolaire: la
thérapie bipolaire (par Dr Dan Niculescu);
Recommandation pour les patients bipolaires;
Recommandation pour les psy.Les psychothérapies dominantes
La psychothérapie psychanalytique (Freud, Adler,
Young, Karen Horney);
La psychothérapie comportementale (Pavlov, Skinner,
Wolpe, etc.) ;
La psychothérapie systémique;
La thérapie cognitive et comportementale (TCC,
Beck).Les psychothérapies min
Voici mon cours sur la toxicomanie que j'ai proposé à mes étudiants en soins infirmiers psychiatriques. Je ne suis pas un expert en toxicomanie mais ce cours repose sur des données probantes. Bon visionnement...
Il arrive à tout le monde de se sentir anxieux. Le stress au travail, la planification d'un événement important ou le fait de subir un examen peuvent susciter un sentiment d'inquiétude ou de crainte. Ces situations déplaisantes peuvent s'aggraver chez les personnes souffrant de trouble anxieux.
Ces personnes connaissent de longues périodes de crainte ou de détresse intense démesurée par rapport aux événements réels. Leur cerveau interprète les événements réels ou imaginaires comme s'ils étaient plus risqués ou dangereux qu'ils le sont réellement. Leur vie est caractérisée par l'inquiétude et la crainte, ce qui nuit à leurs relations personnelles et professionnelles.
Les troubles anxieux touchent les enfants et les adultes. Trop souvent, les gens assimilent ces troubles à de la faiblesse ou de l'instabilité mentale. Le stigmate social associé à la maladie mentale empêche souvent ceux qui souffrent de troubles anxieux de demander de l'aide.
Les troubles anxieux affectent le comportement, la pensée, les émotions et la santé physique. On croit qu'un ensemble de facteurs biologiques, de fonctions intellectuelles, de circonstances personnelles combinées aux facteurs socio-économiques causent les troubles anxieux, tout comme les maladies cardiovasculaires ou le diabète qui résultent aussi d'une combinaison de facteurs.
Les personnes atteintes éprouvent souvent plus d'un trouble anxieux ; elles souffrent souvent de dépression, de troubles de l'alimentation ou abusent d'alcool et de drogues. La bonne nouvelle, c'est qu'on peut traiter avec succès les troubles anxieux diagnostiqués.
50 % à 70% des personnes qui consultent pour un problème de dépendance souffrent également d’un problème de santé mentale.
À l’inverse, entre 30 % et 50 % des personnes aux prises avec une maladie mentale développent un problème de surconsommation, que ce soit d’alcool ou de drogue. Quoi faire face à ce cocktail explosif ?
Conférencier : Marc-André Sirois, Infirmier bachelier clinique et de liaison à la clinique Cormier Lafontaine
Il arrive à tout le monde de se sentir anxieux. Le stress au travail, la planification d'un événement important ou le fait de subir un examen peuvent susciter un sentiment d'inquiétude ou de crainte. Ces situations déplaisantes peuvent s'aggraver chez les personnes souffrant de trouble anxieux.
Ces personnes connaissent de longues périodes de crainte ou de détresse intense démesurée par rapport aux événements réels. Leur cerveau interprète les événements réels ou imaginaires comme s'ils étaient plus risqués ou dangereux qu'ils le sont réellement. Leur vie est caractérisée par l'inquiétude et la crainte, ce qui nuit à leurs relations personnelles et professionnelles.
Les troubles anxieux touchent les enfants et les adultes. Trop souvent, les gens assimilent ces troubles à de la faiblesse ou de l'instabilité mentale. Le stigmate social associé à la maladie mentale empêche souvent ceux qui souffrent de troubles anxieux de demander de l'aide.
Les troubles anxieux affectent le comportement, la pensée, les émotions et la santé physique. On croit qu'un ensemble de facteurs biologiques, de fonctions intellectuelles, de circonstances personnelles combinées aux facteurs socio-économiques causent les troubles anxieux, tout comme les maladies cardiovasculaires ou le diabète qui résultent aussi d'une combinaison de facteurs.
Les personnes atteintes éprouvent souvent plus d'un trouble anxieux ; elles souffrent souvent de dépression, de troubles de l'alimentation ou abusent d'alcool et de drogues. La bonne nouvelle, c'est qu'on peut traiter avec succès les troubles anxieux diagnostiqués.
50 % à 70% des personnes qui consultent pour un problème de dépendance souffrent également d’un problème de santé mentale.
À l’inverse, entre 30 % et 50 % des personnes aux prises avec une maladie mentale développent un problème de surconsommation, que ce soit d’alcool ou de drogue. Quoi faire face à ce cocktail explosif ?
Conférencier : Marc-André Sirois, Infirmier bachelier clinique et de liaison à la clinique Cormier Lafontaine
Joignez-vous aux lauréates 2024 des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNMO) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
Hannah Bayne, Université de l’Alberta – Supporting tomorrow’s stewards: A knowledge mobilization project for climate-health literacy in Alberta elementary schools [Soutenir les intendants et intendantes de demain : un projet de mobilisation des connaissances en faveur de la littératie climat-santé dans les écoles primaires de l’Alberta]
Miranda Field, Université de Regina – Decolonized theory of place [La théorie du lieu décolonisée]
Jordan Chin, Université McMaster – The art of creation: An arts-based knowledge translation method to promote and advocate for a healthy start to life [L’art de la création : une méthode d’application des connaissances fondée sur les arts pour promouvoir et défendre un bon départ en santé]
1. Dr Juan Coullaut- Valera GarcíaDr Juan Coullaut- Valera García
Mount Sinai Medical Hospital New YorkMount Sinai Medical Hospital New York
Hospital Clínico Universitario de ValladolidHospital Clínico Universitario de Valladolid
Instituto Rafael Coullaut de Psiquiatría MadridInstituto Rafael Coullaut de Psiquiatría Madrid
Etude Observacional de l’influence duEtude Observacional de l’influence du
Typus Melancholicus de TellenbachTypus Melancholicus de Tellenbach
sur la Genese des Tableaux Depressifssur la Genese des Tableaux Depressifs
Resistants , a travers de la validation dResistants , a travers de la validation d
´une prope echelle´une prope echelle .
2.
3.
4. • Ecole école D'Hippocrate : des maladies du corps non
rattachées aux esprits magiques ou surnaturels.
• .
• Le cerveau est-il l'interprète de la conscience un bain,
exercice, des massages et du vin
• Un Moyen Âge : le Commencement de la tradition clinique - empirique ? une
description dans une médecine(médicament).
• Un changement(échange) décisif : S.XIX. La psychiatrie clinique française. Jean
Falret. 1854.
• Le XXe siècle : Emil Kraepelin ? Nosología / Karl Jaspers ? Fenomenología
• Des Etats-Unis. ? Meyer ? Des caractéristiques Biologiques / Sociales /
Psychologiques.
l'Europe ? Bleuler / Binswager
5. • . Des pensées diffuses.
Ce qui dans la vie psychique n'est pas objetivable.
• Max Scheler. Des États de l'être
6. Max Scheler. : classification du monde des Sentiments :
1. . Des sentiments sensoriels rapportés aux dépêches(parties) du corps.
2. . Des sentiments vitaux rapportés au corps dans sa totalité
• . Les sentiments animiques qui se nomment aussi sentiments de Moi,
rapportés au monde dans lequel il est vécu
• Des sentiments spirituels.
• Des sentiments Océaniques.
7. CLASIFICACIÓN DE LOS TRASTORNOS DEL ESTADO DE ÁNIMO EN EL DSM
- IV
-Trastornos depresivos
•F32.x Trastorno depresivo mayor, episodio único.
•F33.x Trastorno depresivo mayor, recidivante.
•F34.x Trastorno distímico
-Trastornos bipolares
•F31.3 Trastorno bipolar I, episodio más reciente
depresivo leve o moderado.
•F31.4 Trastorno bipolar I, episodio más reciente
depresivo grave sin síntomas psicóticos.
•F31.5 Trastorno bipolar I, episodio más reciente
depresivo grave con síntomas psicóticos.
•F31.5 Trastorno bipolar I, episodio más reciente
depresivo, en remisión.
•F31.9 Trastorno bipolar I, episodio más reciente no
especificado.
•F31.8 Trastorno bipolar II, episodio más reciente
depresivo.
•F34.0 Trastorno ciclotímico
Especificar para el episodio depresivo actual (o más reciente) la
presencia de:
Cronicidad
Síntomas catatónicos
Síntomas melancólicos
Síntomas atípicos
Inicio posparto
Especificar para el trastorno afectivo recurrente la presencia de:
Recuperación interepisódica total
Patrón estacional
Ciclos rápidos
-F06 Trastorno del estado del ánimo debido a… (indicar
enfermedad médica):
•F06.32 Con síntomas depresivos
•F06.32 Con síntomas de depresión mayor
•F06.33 Con síntomas mixtos
- Trastorno del estado del ánimo inducido por sustancias
(especificar).
-F43.20 Trastorno adaptativo con estado de ánimo depresivo
-F43.22 Trastorno adaptativo mixto con ansiedad y estado de
ánimo depresivo.
8. TRASTORNOS DEPRESIVOS EN LA CIE - 10
F06.3 Trastornos del humor (afectivos) orgánicos
F30-39 Trastornos del humor (afectivos)
F31 Trastorno bipolar
F31.3 Trastorno bipolar, episodio actual depresivo leve o
moderado.
F31.4 Trastorno bipolar, episodio actual depresivo grave
sin síntomas psicóticos.
F31.5 Trastorno bipolar, episodio actual depresivo grave
con síntomas psicóticos.
F31.6 Trastorno bipolar, episodio actual mixto.
F31.7 Trastorno bipolar, actualmente en remisión.
F31.8 Otros trastornos bipolares.
F31.9 Trastorno bipolar sin especificación.
F32 Episodios depresivos
F32.0 Episodio depresivo leve
F32.1 Episodio depresivo moderado
F32.2 Episodio depresivo grave sin síntomas psicóticos.
F32.3 Episodio depresivo grave con síntomas psicóticos.
F32.8 Otros episodios depresivos.
F32.9 Episodio depresivo sin especificación.
F33 Trastorno depresivo recurrente
F33.0 Trastorno depresivo recurrente, episodio actual
leve.
F33.1 Trastorno depresivo recurrente, episodio actual
moderado.
F33.2 Trastorno depresivo recurrente, episodio actual
grave sin síntomas psicóticos.
F33.3 Trastorno depresivo recurrente, episodio actual
grave con síntomas psicóticos.
F33.4 Trastorno depresivo recurrente, actualmente en
remisión
F33.8 Otros trastornos depresivos recurrentes.
F33.9 Trastorno depresivo recurrente sin especificación.
F34 Trastornos del humor (afectivos) persistentes
F34.0 Ciclotimia
F34.1 Distimia
F34.8 Otros trastornos del humor (afectivos) persistentes.
F34.9 Trastorno del humor (afectivo) persistente sin
especificación.
F38 Otros trastornos del humor (afectivos)
F38.0 Otros trastornos del humor (afectivos) aislados.
F38.1 Otros trastornos del humor (afectivos) recurrentes.
Trastorno depresivo recurrente breve.
F38F38.10 .8 Otros trastornos del humor (afectivos)
F39 Trastorno del humor (afectivo) sin especificación.
F43.2 Trastornos de adaptación
F43.20 Reacción depresiva breve.
F43.21 Reacción depresiva prolongada.
F43.22 Reacción mixta de ansiedad y depresión.
9. • On estime le coût médical de la dépression en France à 1,3 milliard d'euros par an (10
milliards aux Etats-Unis ; 600 millions au Royaume-Uni).
• .
• 53.5 % des prix sont directs : je manie et tto : 84.7 % antidépresseurs et 15.3 % aux
anxiolytiques.
• 46.5 % des prix indirects appartiennent à la perte de productivité.
• Dans les Urgences Psychiatriques les dépressions supposent 31 % du total.
• En 2009 le prix du tto pharmacologique antidépresseur 604 a supposé à l'État des millions
d'Euros en face des 100 de 1994
• Dans l'Union Européenne le prix de ceux-ci ttos suppose entre les 3 et 4 % du PIB.
10. Les EU la dépense annuelle associée aux carrés(tableaux) dépressifs(déprimants) est des uns
30.000millones des Dollars
En Finlande 50 % des travailleurs subissent un type d'anxieux carré(tableau) dépressif(déprimant).
En Allemagne les dépressions supposent 7 % des causes de préretraites.
En Angleterre 1 de chaque 20 personnes dans un âge de travailler subit un carré(tableau)
dépressif(déprimant).
11. • Un genre
• Un âge
• Un niveau Socio-économique
• Des événements traumatiques dans l'enfance
• Un environnement social et familial(familier) Des événements vitaux
• Une personnalité
• Des facteurs génétiques
12. Depresión Mayor
episódica
Depresión Mayor
crónica
Distimia
Des symptômes Atypiques (un %) 24,3 26,5 36,5
Des symptômes Mélancoliques
(un %)
31,2 29,5 -----------
Un patron saisonnier (un %) 11,4 4,5 -----------
Des tentatives de suicide (un %) 14 12,5 13,3
Un chômage (un %) 13,9 13,5 11,1
13. El Typus Melancholicus:El Typus Melancholicus:conceptconcept
• n concept Introduit par le Dr Tellenbagh synthétisé dans son livre une
"Mélancolie" 1960.
Caractérisé par une étude analytique fenomenológico qui décrit la
personnalité des patients avec les Carrés(Tableaux)
Dépressifs(Déprimants) Endogènes.
Amplement accepté au Japon et en Europe je n'ai pas pris racine les EU.
Quatre dimensions principales :
• Une dépendance.
• Une intolérance à l'ambiguïté.
• Une obéissance à la norme.
• Perfeccionismo.
14. CURRICULUM VITAE DEL PROFESORCURRICULUM VITAE DEL PROFESOR
H.TELLENBACHH.TELLENBACH
Il(Elle) naît le 15 mars 1914 à
Cologne.
Il(Elle) étudie la
Médecine(Médicament) dans
Friburgo, Kiel et Munich.
1935 obtenue le grade de licencié
en Friburgo.
1938 un Docteur en Philosophie
dans Kiel.
1938 un docteur dans la
Médecine(Médicament) à
Munich.
1946 médicale un
assistant(assistante) de la
Clinique des maladies nerveuses
de l'Université de Munich.
• 952 une habilitation pour
neurologie et psychiatrie.
1957 premier Oberartz de la
Clinique de Heidelberg.
1958 un professeur Universitaire
de Psiquaitría.
Un directeur de la Clinique
Universitaire de Heidelberg.
1960 publie Que son livre le
Typus Mellancholicus 1994
Décède.
15. Les motifs qui génèrent notre ÉtudeLes motifs qui génèrent notre Étude
• Une inscription prevalencia. Autour
de 50 % des patients avec les
Carrés(Tableaux)
Dépressifs(Déprimants) ils(elles) le
souffrent selon le Pr Tellenbach.
Une haute(grande) souffrance de le
même.
Il n'avait jamais été réalisé dans des
carrés(tableaux)
dépressifs(déprimants) plus grands.
Il n'y a pas d'échelle Espagnole.
Dans l'époque du neuroimagen, une
importance de la Psychopathologie
Classique, d'études cliniques.
• ne pleine vigueur du concept
actuellement.
Une haute(grande) acceptation du
concept dans d'autres pays de
l'importance du Japon et de l'Allemagne.
Une existence d'autres échelles (Zerssen
et Kasahara)
Aider le patient.
16. MÉTHODOLOGIEMÉTHODOLOGIE
• En nous basant sur la Théorie du Dr Tellanbach des 4 facteurs
principaux nous avons réalisé un questionnaire de 70
questions. Il s'agit d'une étude observacional rétrospectif, en
explorant les statisticiens de consistance interne au moyen
d'une analyse factorial, ainsi que la validité discriminante de
le même.
Le questionnaire s'est appliqué à un échantillon de 100
patients diagnostiqués de plus grande dépression, de
signature(firme) préalable du consentement informé.
Les patients accomplissaient les critères d'inclusion /
d'exclusion.
La population de patients(patientes) appartenait à l'Hôpital
Clinique Universitaire de Valladolid, de l'institut
17. DES CRITÈRES D'INCLUSION.DES CRITÈRES D'INCLUSION.
• Un âge> de 18 ans, un sexe masculin ou féminin
Un dérangement Dépressif(Déprimant) Plus grand, un
épisode unique (F32.x) ou recidivante (F33.x) ou un
dérangement distímico (F34.1).
Une non réponse (une remise symptomatique partielle -
persistance de symptômes résiduels - ou peu abondante ou
une remise nulle de la symptomatologie
dépressive(déprimante)) à aucun traitement correctement
instauré durant une limite de 6 à 8 semaines de traitement
sans obtenir de réponse satisfaisante.
Trois échecs répétés au traitement adéquat.
Le temps minimal de traitement de 6 mois.
Un suivi pas moindre de 12 mois.
Une sélection de l'échantillon aléatoire (randomisé).
18. CRITRERIOS d'EXCLUSIONCRITRERIOS d'EXCLUSION
• La pathologie qui empêche de se rallier au protocole ou de
convenablement compléter le formulaire.
La pathologie systémique sévère qui peut retarder la réponse
thérapeutique.
Un commencement ou une fin de psychothérapie à l'intérieur des 6
semaines du recrutement, ou un commencement de psychothérapie
durant le commencement de l'étude.
Un historique de consommation des substances d'abus ou de dépendance
à l'intérieur de 1 an du commencement de l'étude.
Une pathologie différente d'EDM, comme premier diagnostic, une
présence de comorbilidad psychique ou psychiatrique.
Un traitement inadéquat.
Une intolérance aux médicaments utilisés.
Le temps d'administration et de dose inadéquat.
Une influence de facteurs sociaux sur la résistance.
Des patients(patientes) avec soupçon de manque d'attachement.
19. • Les théologiens utilisent la limite(terme) acidia pour décrire le péché dont il(elle)
ne fait pas avec sa vie cela qui sait qu'il(elle) pourrait réaliser.
20. • Los teólogos usan el término acidia para describir el pecado de
quien no hace con su vida aquello que sabe que podría realizar.
21. • Los teólogos usan el término acidia para describir el pecado de
quien no hace con su vida aquello que sabe que podría realizar.
22. • Los teólogos usan el término acidia para describir el pecado de
quien no hace con su vida aquello que sabe que podría realizar.
23.
24. APPOVAL OF RESEARCH ( IRB) MOUNT SINAIAPPOVAL OF RESEARCH ( IRB) MOUNT SINAI
MEDICAL CENTER NEW YORKMEDICAL CENTER NEW YORK
25. • Les Dépressions sont maladies de plus en plus communes dans notre
société.
Les Dépressions sont maladies avec traitement où dans son etiopatogenia il
y a plusieurs variables impliquées : biologiques / sociaux / psychologiques.
Le risque maximal de toute grave dépression non traitée est le suicide. Il
faut essayer de réaliser une évaluation précoce et un traitement en
n'assumant pas de risque superflu.