Question 1:
- Qu’est-ce que la maladie bipolaire ?
Question 2:
- Qu’est-ce que la psychoéducation ?
Question 3:
- Pourquoi un programme de psychoéducation pour la maladie bipolaire ?
Question 1:
- Qu’est-ce que la maladie bipolaire ?
Question 2:
- Qu’est-ce que la psychoéducation ?
Question 3:
- Pourquoi un programme de psychoéducation pour la maladie bipolaire ?
Classé parmi les 10 pathologies les plus invalidantes selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le trouble bipolaire débute généralement chez l’adolescent ou le jeune adulte et nécessite une prise en charge tout au long de la vie. Il s’agit d’un trouble complexe, difficile à diagnostiquer, et il s’écoule en moyenne 10 ans entre son apparition et la mise en place d’un traitement adapté.
Le trouble bipolaire est l’une des pathologies psychiatriques les plus graves, qui conduit à des tentatives de suicide : 1 malade sur 2 fera au moins une tentative de suicide dans sa vie et 15 % décèderont par suicide. En France, on estime qu’entre 1 et 2,5 % de la population est touchée par ce trouble, mais ce chiffre serait sous-évalué.
Psychoéducation 2/4 Troubles Bipolaires mars 2012Argos2savoies
Aggravation de la maladie:
l’évolution vers les cycles rapides (risque de suicide)
l’évolution vers les états mixtes (risque de suicide)
Les complications :
la majoration des symptômes
les symptômes résiduels entre les épisodes
l’évolution chronique avec handicap et mortalité
l’augmentation de la fréquence et de la durée des épisodes…
les conduites impulsives, l’abus d’alcool ou de drogues, les épisodes délirants aigus, les actes médico-légaux, les achats compulsifs
This document discusses representation and stereotypes across different identity groups. It addresses representation and stereotypes related to gender, age, ethnicity, sexuality, class, ability, region, and more. For each category, it provides examples of how different identities within that category may be represented in media or society. It also gives examples of common stereotypes associated with each group, noting that stereotypes tend to overgeneralize traits and can be misleading.
Avis présenté par Mme Gisèle Ballaloud, au nom de la section des affaires sociales et de la santé, présidée par M. François Fondard.
Pour le CESE, l'une des conditions de la réussite de la lutte contre les conduites addictives est la prise de conscience par la société sur la réalité de la consommation, de ses dangers et de la nécessité de s'impliquer auprès des personnes souffrant d'addictions.
Le médicament antipaludique comme outil de lutte - Présentation de la 1ère édition du Cours international « Atelier Paludisme » - RATOVONJATO Jocelyn, Médecin,
IP de Madagascar.
Diaporama présenter par Florence Parîs, Coordonnatrice du dispositif départemental EIP (Élève Intellectuellement Précoce) à la Direction des Services départementaux de l’éducation nationale - Evry.
GENZYME : Focus sur la maladie de Gaucher Type IRéseau Pro Santé
Revue "La lettre de l'AJP" n°13 Mai 2016
La maladie de Gaucher est une maladie métabolique grave et invalidante appartenant au groupe des maladies lysosomales, maladie génétique de transmission autosomique récessive. C’est la plus fréquente des maladies de surcharge lysosomale avec une prévalence d’environ 1/ 60 000.
Il s’agit d’un déficit enzymatique en glucocérébrosidase qui entraîne l'accumulation de dépôts de glucosylcéramide (ou glucocérébroside) dans les cellules du système réticulo-endothélial du foie, de la rate et de la moelle osseuse (cellules de Gaucher).
On distingue classiquement trois types de maladie de Gaucher : la maladie de Gaucher de type 1 (MG type 1) de loin la plus fréquente (90 % des cas), chronique, non neurologique. Le type 2, aigu neurologique, est caractérisé par une atteinte précoce du tronc cérébral, rapidement évolutive, et entraînant le décès des patients avant l'âge de 2 ans. Le type 3, subaigu neurologique, est caractérisé par une encéphalopathie progressive (apraxie oculomotrice, épilepsie, ataxie), s'associant aux manifestations systémiques du type 1. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Erving Goffman was a prominent Canadian-American sociologist born in 1922 in Alberta, Canada. He studied chemistry and sociology at the University of Manitoba and University of Toronto, collecting data for his doctoral dissertation on the Scottish island of Unst from 1949-1951. In 1958, he began teaching at the University of California, Berkeley where he published his influential books The Presentation of Self in Everyday Life in 1959 and Asylum in 1961. Goffman resigned from Berkeley in 1968 and took a position at the University of Pennsylvania, publishing Frame Analysis in 1974. Considered one of the most influential sociologists of the 20th century, Goffman examined how people manage impressions and adopt roles in social situations
A esquizofrenia é uma doença psiquiátrica caracterizada por comportamentos psicóticos recorrentes que causam degeneração das capacidades sociais e funcionais. Ela afeta homens e mulheres e geralmente começa na adolescência ou início da idade adulta, podendo ter vários tipos com diferentes sintomas. Não há uma causa única conhecida, mas fatores biológicos, genéticos e ambientais contribuem para seu desenvolvimento.
Psychoéducation 3/4 Troubles Bipolaires avril 2012Argos2savoies
Stratégie thérapeutiquePremière phase (étape la plus importante!)
prise de conscience ,
acceptation de la maladie,
renoncement et deuil des phases euphoriques!!!
Trois trajectoires
passage par les étapes de la colère, du déni et de l'ambivalence;
1. il n'est pas rare que les patients refusent pendant des années cette maladie, ainsi que l'idée de devoir se soumettre à un traitement à long terme;
2. certains, au contraire, semblent accepter la maladie et le traitement avec sérénité;
3. la plupart réagit entre ces deux extrêmes.
Classé parmi les 10 pathologies les plus invalidantes selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le trouble bipolaire débute généralement chez l’adolescent ou le jeune adulte et nécessite une prise en charge tout au long de la vie. Il s’agit d’un trouble complexe, difficile à diagnostiquer, et il s’écoule en moyenne 10 ans entre son apparition et la mise en place d’un traitement adapté.
Le trouble bipolaire est l’une des pathologies psychiatriques les plus graves, qui conduit à des tentatives de suicide : 1 malade sur 2 fera au moins une tentative de suicide dans sa vie et 15 % décèderont par suicide. En France, on estime qu’entre 1 et 2,5 % de la population est touchée par ce trouble, mais ce chiffre serait sous-évalué.
Psychoéducation 2/4 Troubles Bipolaires mars 2012Argos2savoies
Aggravation de la maladie:
l’évolution vers les cycles rapides (risque de suicide)
l’évolution vers les états mixtes (risque de suicide)
Les complications :
la majoration des symptômes
les symptômes résiduels entre les épisodes
l’évolution chronique avec handicap et mortalité
l’augmentation de la fréquence et de la durée des épisodes…
les conduites impulsives, l’abus d’alcool ou de drogues, les épisodes délirants aigus, les actes médico-légaux, les achats compulsifs
This document discusses representation and stereotypes across different identity groups. It addresses representation and stereotypes related to gender, age, ethnicity, sexuality, class, ability, region, and more. For each category, it provides examples of how different identities within that category may be represented in media or society. It also gives examples of common stereotypes associated with each group, noting that stereotypes tend to overgeneralize traits and can be misleading.
Avis présenté par Mme Gisèle Ballaloud, au nom de la section des affaires sociales et de la santé, présidée par M. François Fondard.
Pour le CESE, l'une des conditions de la réussite de la lutte contre les conduites addictives est la prise de conscience par la société sur la réalité de la consommation, de ses dangers et de la nécessité de s'impliquer auprès des personnes souffrant d'addictions.
Le médicament antipaludique comme outil de lutte - Présentation de la 1ère édition du Cours international « Atelier Paludisme » - RATOVONJATO Jocelyn, Médecin,
IP de Madagascar.
Diaporama présenter par Florence Parîs, Coordonnatrice du dispositif départemental EIP (Élève Intellectuellement Précoce) à la Direction des Services départementaux de l’éducation nationale - Evry.
GENZYME : Focus sur la maladie de Gaucher Type IRéseau Pro Santé
Revue "La lettre de l'AJP" n°13 Mai 2016
La maladie de Gaucher est une maladie métabolique grave et invalidante appartenant au groupe des maladies lysosomales, maladie génétique de transmission autosomique récessive. C’est la plus fréquente des maladies de surcharge lysosomale avec une prévalence d’environ 1/ 60 000.
Il s’agit d’un déficit enzymatique en glucocérébrosidase qui entraîne l'accumulation de dépôts de glucosylcéramide (ou glucocérébroside) dans les cellules du système réticulo-endothélial du foie, de la rate et de la moelle osseuse (cellules de Gaucher).
On distingue classiquement trois types de maladie de Gaucher : la maladie de Gaucher de type 1 (MG type 1) de loin la plus fréquente (90 % des cas), chronique, non neurologique. Le type 2, aigu neurologique, est caractérisé par une atteinte précoce du tronc cérébral, rapidement évolutive, et entraînant le décès des patients avant l'âge de 2 ans. Le type 3, subaigu neurologique, est caractérisé par une encéphalopathie progressive (apraxie oculomotrice, épilepsie, ataxie), s'associant aux manifestations systémiques du type 1. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Erving Goffman was a prominent Canadian-American sociologist born in 1922 in Alberta, Canada. He studied chemistry and sociology at the University of Manitoba and University of Toronto, collecting data for his doctoral dissertation on the Scottish island of Unst from 1949-1951. In 1958, he began teaching at the University of California, Berkeley where he published his influential books The Presentation of Self in Everyday Life in 1959 and Asylum in 1961. Goffman resigned from Berkeley in 1968 and took a position at the University of Pennsylvania, publishing Frame Analysis in 1974. Considered one of the most influential sociologists of the 20th century, Goffman examined how people manage impressions and adopt roles in social situations
A esquizofrenia é uma doença psiquiátrica caracterizada por comportamentos psicóticos recorrentes que causam degeneração das capacidades sociais e funcionais. Ela afeta homens e mulheres e geralmente começa na adolescência ou início da idade adulta, podendo ter vários tipos com diferentes sintomas. Não há uma causa única conhecida, mas fatores biológicos, genéticos e ambientais contribuem para seu desenvolvimento.
Psychoéducation 3/4 Troubles Bipolaires avril 2012Argos2savoies
Stratégie thérapeutiquePremière phase (étape la plus importante!)
prise de conscience ,
acceptation de la maladie,
renoncement et deuil des phases euphoriques!!!
Trois trajectoires
passage par les étapes de la colère, du déni et de l'ambivalence;
1. il n'est pas rare que les patients refusent pendant des années cette maladie, ainsi que l'idée de devoir se soumettre à un traitement à long terme;
2. certains, au contraire, semblent accepter la maladie et le traitement avec sérénité;
3. la plupart réagit entre ces deux extrêmes.
50 % à 70% des personnes qui consultent pour un problème de dépendance souffrent également d’un problème de santé mentale.
À l’inverse, entre 30 % et 50 % des personnes aux prises avec une maladie mentale développent un problème de surconsommation, que ce soit d’alcool ou de drogue. Quoi faire face à ce cocktail explosif ?
Conférencier : Marc-André Sirois, Infirmier bachelier clinique et de liaison à la clinique Cormier Lafontaine
Il arrive à tout le monde de se sentir anxieux. Le stress au travail, la planification d'un événement important ou le fait de subir un examen peuvent susciter un sentiment d'inquiétude ou de crainte. Ces situations déplaisantes peuvent s'aggraver chez les personnes souffrant de trouble anxieux.
Ces personnes connaissent de longues périodes de crainte ou de détresse intense démesurée par rapport aux événements réels. Leur cerveau interprète les événements réels ou imaginaires comme s'ils étaient plus risqués ou dangereux qu'ils le sont réellement. Leur vie est caractérisée par l'inquiétude et la crainte, ce qui nuit à leurs relations personnelles et professionnelles.
Les troubles anxieux touchent les enfants et les adultes. Trop souvent, les gens assimilent ces troubles à de la faiblesse ou de l'instabilité mentale. Le stigmate social associé à la maladie mentale empêche souvent ceux qui souffrent de troubles anxieux de demander de l'aide.
Les troubles anxieux affectent le comportement, la pensée, les émotions et la santé physique. On croit qu'un ensemble de facteurs biologiques, de fonctions intellectuelles, de circonstances personnelles combinées aux facteurs socio-économiques causent les troubles anxieux, tout comme les maladies cardiovasculaires ou le diabète qui résultent aussi d'une combinaison de facteurs.
Les personnes atteintes éprouvent souvent plus d'un trouble anxieux ; elles souffrent souvent de dépression, de troubles de l'alimentation ou abusent d'alcool et de drogues. La bonne nouvelle, c'est qu'on peut traiter avec succès les troubles anxieux diagnostiqués.
Les types de psychothérapies et de psychothérapeutesArgos2savoies
Les points de la présentation
Présentation brève des modèles de psychothérapies;
Les deux orientations des psychothérapies;
Le modèle contextuel (un modèle de synthèse et
d’efficacité);
Les bons et les mauvais psy;
La position du patient;
Exemple pratique pour la maladie bipolaire: la
thérapie bipolaire (par Dr Dan Niculescu);
Recommandation pour les patients bipolaires;
Recommandation pour les psy.Les psychothérapies dominantes
La psychothérapie psychanalytique (Freud, Adler,
Young, Karen Horney);
La psychothérapie comportementale (Pavlov, Skinner,
Wolpe, etc.) ;
La psychothérapie systémique;
La thérapie cognitive et comportementale (TCC,
Beck).Les psychothérapies min
Similaire à Psychoéducation 4/4 Troubles Bipolaires juin 2012 (20)
Les types de psychothérapies et de psychothérapeutes
Psychoéducation 4/4 Troubles Bipolaires juin 2012
1. Le kit pratique du bipolaire
Annecy, le 2 juin 2012
Dr Niculescu Dan
dr.niculescudan@gmail.com
2. Le kit pratique du bipolaire
TRAITEMENT
EVALUATION
quotidienne/
CONSCIENCE
DE SOI
CONDUITE
3. Objectifs de la présentation
Donner de l’espoir (témoignage des patients
psycho-éduqués);
Expliquer les étapes essentielles de l’intervention
thérapeutique;
Expliquer les outils spécifiques d’intervention ;
La conduite à tenir;
Sourire!
4. Qui devrait s’interroger sur la
bipolarité?
Les profiles des bipolaires (les personnes á risque)
A . Les formes bruyantes
- le type bruyant ou BP 1 (ancien repère clinique);
- le type addicte ou BP 3 ½ (alcoolique, jeune + cannabis = pseudo
schizo hospitalisé, etc);
- le type hédoniste (a organisé sa vie autour des états euphoriques);
- le type tempéramental (hyperthymique BP4, irritable, colérique);
B . Les formes silencieuses
- le type pseudo-dépressive chronique ou BP 2 (toujours sous
ANDTs);
- le tempérament dysthymique ;
- le type victime (a organisé la vie autour de la maladie);
- le type artiste (non-conventionnel ou cyclothymique);
C . Le type BP sain (qui veut s’en sortir)
5. Etre ou non bipolaire ?
Trois options pratiques :
1. le diagnostic médical;
2. l’autodiagnostic;
3. le diagnostic combinée (l’autodiagnostic + la validation
par le médecin).
6. L’essentiel du diagnostic de BP
En théorie
Diagnostic BP = Diag. dépression + Diag. (+ hypo/M)
En pratique
Le diagnostic de la dépression est plus dominant et
plus visible que le diagnostic de hypo/M.
Le geste essentiel á faire = chercher la survenue des
manifestations spécifiques de hypo/Manie, durant
toute la vie
7. Identifier le type de
dépression (unipolaire ou bipolaire?)
Unipolaire (réactionnelle)
pas de rupture avec les circonstances de la vie
Bipolaire
rupture avec les circonstances de la vie,
d’évolution fluctuante
Les outils d’évaluation du type de dépression:
SAD-P (Solomon et col., 2006)
KAYE (2005)
8. Le diagnostic du type de dépression
(unipolaire ou bipolaire?)
SAD-P (Solomon et col., 2006)
KAYE (2005)
9. Les caractéristiques des syndromes dépressifs,
probabilité de la dépression bipolaire
versus la dépression unipolaire (KAYE, 2005, p. 275)
11. Le dépistage des manifestations du
registre de l’hypo/manie
Seulement la survenues de ces manifestations (une ou
plusieurs fois dans la vie) = confirme le diagnostic BP;
Le dépistage se fait avec les questionnaires dites de
« screening »;
L’entretien clinique est nécessaire pour évaluer:
les circonstances,
l’intensité des manifestations et surtout
si elles sont survenues accompagnées par d’autres
manifestations du même registre.
12. Les 3 outils de dépistage diagnostique des
manifestations du registre de l’hypo/manie
Le questionnaire de screening pour le spectre bipolaire
(de Goldberg, MDQ de HIRSCHFELD);
HCL 32 (hypomanie check-list) ANGST 32, Goldberg ;
L`inventaire des manifestations du registre
hypo/maniaque (Dr Niculescu).
13. La vie après
la confirmation du diagnostic BP
Rappel: quand notre humeur évolue entre les limites
normales, nous sommes comme tout le monde (des
bipolaires normaux!)
Suivi et évaluation quotidienne des paramètres
essentiels, pour rester dans la zone de normalité (avec
les outils spécifiques) et
Bonne conduite.
14. L’évaluation quotidienne de l’humeur:
les outils pratiques
A. La fiche d’auto-observation quotidienne
1. l’évaluation subjective faite par soi-même
2. l’évaluation + objective (faite par l’entourage proche)
B. Les échelles générales
1. l’échelle de la manie de Young (mania rating scale) et (Goldberg)
2. l’échelle de la dépression Beck et Goldberg
C. Les échelles des manifestations ciblées
1. échelle propre de suivi (outil disponible prochainement sur Internet)
- sélectionner ses propres manifestations sur l’inventaire des
manifestations hypomaniaques et
- organiser sa propre échelle de suivi
2. échelle prodromique
- identifier les manifestation prodromique et subsyndromiques
- les ajouter sur l’échelle propre de suivi quotidien.
15. Inclure les facteurs précipitants
dans le suivi quotidien
Le sommeil
le nombre d’heures de sommeil/jour (fiche d’auto-
observation quotidienne)
le nombre d’heures de sommeil (perdues)
l’heure de coucher
perturbation du cycle nycthéméral
Les toxiques
l’alcool (oui/non?) et quelle quantité
les toxiques (oui/non?) : interdit en bipolarité! (grave!)
L’activité sexuelle masculine (éjaculation et fatigue)
16. La conduite idéale dans la bipolarité:
les geste essentiels à faire
1. Quantité minime de sommeil/j (7-8h) = la protection
contre les rechutes !!!!
2. Même heure de coucher (pour stabiliser les rythmes
biologiques (mesure prioritaire!!!);
3. Prise correcte du traitement;
4. Évaluer à toute moment les paramètres de son
humeur avec les outils spécifiques;
5. Les toxiques sont interdits;
6. Alcool permis occasionnellement et avec modération;
7. Travailler son projet de vie (avoir un objectif de vie).
18. Les traitements et les résultats
Faire confiance aux médecins;
Mesurer et enregistrer les résultats ;
Présenter les résultats aux médecins.
Si les résultats sont favorables (amélioration et stabilisation
de l’humeur) continuer !
Sinon, remettre TOUT en question(!!!) : le diagnostic, le
traitement, sa conduite, la psychothérapie, son médecin …
TOUT!
Le TB profite simplement de toute erreur, donc pas de droit
aux erreurs !
19. Le modèle d’intervention
dans la maladie bipolaire
Niveau des La vie
stratégies de vie
Psychothérapies
Niveau de la
personnalité Personnalité
Qui influence l’humeur ?
Niveau de la fondation Les toxiques
(biologique)
Humeur Les médicaments
Le sommeil
20. Point essentiel: les antidépresseurs
si un antidépresseur doit être prescrit, il doit l’être en
association avec un traitement thymorégulateur (HAS,
p. 18);
les ANTDs tricycliques (Anafranil, Tofranil, Laroxyl,
Amitriptyline) sont à éviter!!! (en raison de la
fréquence des virages maniaques, d’aggravation de la
maladie: les cycles rapides et les états mixtes).
22. Bibliographie
BECH dans AKISKAL Hagop, MAJ Mario et col., 2002, p. 89), MAS (Mania Rating Scale);
Beck AT (1961). An inventory for measuring depression. Archives of general psychiatry. 4: 561-571.
HAS (Haute Autorité de Santé de France), 2009, Guide du médecin dans le Trouble Bipolaire ;
HIRSCHFELD R. et col., 2000, Development and validation of a screening instrument for bipolar spectrum disorder: the
Mood Disorder Questionnaire, American Journal of Psychiatry; 157(11):1873-5;
KAYE N., 2005, Is Your Depressed Patient Bipolar?, The Journal of the American Board of Family Medicine, Stanford, July–
August, Vol. 18 No. 4;
SOLOMON D., LEON A., MASSER J. et col., 2006, Distinguishing bipolar major depression from unipolar major depression
with the screening assessment of depression-polarity (SAD-P), Journal of Clinical Psychiatry; 67(3):434-442;
THUILE J. et col, 2006, Traitement pharmacologique des dépressions bipolaires, L’Encéphale, 32, cahier 1;
GOLDBERG Ivan depression and mania scale