Cas clinique dysfonction erectile et troubles hormonaux vincent hupertan sém...Vincent H. Hupertan
Cas clinique du PROGRAMME MODULE 16, année universitaire 2014-2015, Faculté de Médecine, https://www.medecine.univ-paris-diderot.fr/
lundi 30 mars 2015 de 14h30 à 17h30
Séminaire Urologie 3 – UROGYNECOLOGIE / ANDROLOGIE
# 37 : Stérilité du couple (aspects urologiques)
# 38 : AMP (aspects urologiques)
# 120 : Ménopause et Andropause (HUPERTAN / SAINT LOUIS)
# 122 : Troubles de l’érection (HUPERTAN)
# 42 : Tuméfactions pelviennes chez la femme (prolapsus)
# 121 : Troubles de la miction et incontinence urinaire de l’adulte et du sujet âgé (chez la femme)
But: C’est d’affirmer une grossesse.
Principe: ce test est fondé sur la détection dans les urines de la femme d’hormones chorionique gonadotrophique (HCG)...
Cas clinique dysfonction erectile et troubles hormonaux vincent hupertan sém...Vincent H. Hupertan
Cas clinique du PROGRAMME MODULE 16, année universitaire 2014-2015, Faculté de Médecine, https://www.medecine.univ-paris-diderot.fr/
lundi 30 mars 2015 de 14h30 à 17h30
Séminaire Urologie 3 – UROGYNECOLOGIE / ANDROLOGIE
# 37 : Stérilité du couple (aspects urologiques)
# 38 : AMP (aspects urologiques)
# 120 : Ménopause et Andropause (HUPERTAN / SAINT LOUIS)
# 122 : Troubles de l’érection (HUPERTAN)
# 42 : Tuméfactions pelviennes chez la femme (prolapsus)
# 121 : Troubles de la miction et incontinence urinaire de l’adulte et du sujet âgé (chez la femme)
But: C’est d’affirmer une grossesse.
Principe: ce test est fondé sur la détection dans les urines de la femme d’hormones chorionique gonadotrophique (HCG)...
RPC sur la prise en charge du couple infertile
Information à donner au couple
Âge maternel
- Chute de la fertilité liée à l’âge : > 50% des femmes ne peuvent plus concevoir après 40 ans ; environs 100% après 45 ans
- Ne pas proposer d’AMP après 43 ans car chance de grossesse avec naissance vivante quasi nulle
- Augmentation des complications obstétricales et néonatales après 40 ans
Âge paternel
- Association à une diminution de la fertilité spontanée, à un allongement du délai de conception et à une augmentation des risques de fausses couches spontanées, des risques obstétricaux, néonataux et malformatifs, dont la trisomie 21
- Association à une diminution de l'efficacité des traitements de l’infertilité
- Discussion au cas par cas de la prise en charge de l’homme infécond à partir de l’âge de 60 ans
reseauprosante.fr
Antirétroviraux et traitements hormonaux chez les personnes transSanté des trans
Il s'agit d'un article de Nicolas Hacher, endocrinologue, paru dans la revue Transcriptases, éditée par l'association Pistes.
Ce texte a également été publié dans l'édition 2006 du rapport d'experts sur la prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH (rapport dit Yeni), afin de promouvoir la prise en compte des interactions possibles entre antirétroviraux et traitements hormonaux chez les personnes trans séropositives.
Risque de cancer du sein après l'arrêt d'un THMAgnès Fournier
Si certains traitements hormonaux de la ménopause (THM) sont associés à un sur-risque de cancer du sein, l’évolution du risque après arrêt du traitement est mal connue. Notre étude, menée à partir des données de la cohorte E3N, montre qu'un sur-risque de cancer du sein semble exister plusieurs années après l’arrêt de certains THM, lorsqu’ils sont utilisés longtemps. Des études complémentaires sont nécessaires pour préciser la durée de la persistance de ce sur-risque.
THM et risque de cancer du sein : rôle de la composante progestativeAgnès Fournier
Il est désormais établi que l’ajout d’un progestatif à la composante estrogénique d’un traitement hormonal de la ménopause (THM) constitue un facteur de risque central vis-à-vis du risque de cancer du sein. Si les THM estro-progestatifs ont été officiellement classés comme cancérogènes pour le sein, doit-on considérer qu’ils induisent tous une augmentation comparable du risque, ou que différents THM estro-progestatifs (différentes molécules ou doses, par exemple) comportent des risques différents de cancer du sein ?
Pour répondre à cette question, nous nous sommes basés sur les résultats d’études épidémiologiques évaluant l’impact de différents THM estro-progestatifs sur le risque de cancer du sein.
Chaque examen répond à une question
Existe-t-il un reflux pathologique ?
Le reflux est-il responsable des symptômes ?
Quelle est la sévérité de la maladie ?
RPC sur la prise en charge du couple infertile
Information à donner au couple
Âge maternel
- Chute de la fertilité liée à l’âge : > 50% des femmes ne peuvent plus concevoir après 40 ans ; environs 100% après 45 ans
- Ne pas proposer d’AMP après 43 ans car chance de grossesse avec naissance vivante quasi nulle
- Augmentation des complications obstétricales et néonatales après 40 ans
Âge paternel
- Association à une diminution de la fertilité spontanée, à un allongement du délai de conception et à une augmentation des risques de fausses couches spontanées, des risques obstétricaux, néonataux et malformatifs, dont la trisomie 21
- Association à une diminution de l'efficacité des traitements de l’infertilité
- Discussion au cas par cas de la prise en charge de l’homme infécond à partir de l’âge de 60 ans
reseauprosante.fr
Antirétroviraux et traitements hormonaux chez les personnes transSanté des trans
Il s'agit d'un article de Nicolas Hacher, endocrinologue, paru dans la revue Transcriptases, éditée par l'association Pistes.
Ce texte a également été publié dans l'édition 2006 du rapport d'experts sur la prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH (rapport dit Yeni), afin de promouvoir la prise en compte des interactions possibles entre antirétroviraux et traitements hormonaux chez les personnes trans séropositives.
Risque de cancer du sein après l'arrêt d'un THMAgnès Fournier
Si certains traitements hormonaux de la ménopause (THM) sont associés à un sur-risque de cancer du sein, l’évolution du risque après arrêt du traitement est mal connue. Notre étude, menée à partir des données de la cohorte E3N, montre qu'un sur-risque de cancer du sein semble exister plusieurs années après l’arrêt de certains THM, lorsqu’ils sont utilisés longtemps. Des études complémentaires sont nécessaires pour préciser la durée de la persistance de ce sur-risque.
THM et risque de cancer du sein : rôle de la composante progestativeAgnès Fournier
Il est désormais établi que l’ajout d’un progestatif à la composante estrogénique d’un traitement hormonal de la ménopause (THM) constitue un facteur de risque central vis-à-vis du risque de cancer du sein. Si les THM estro-progestatifs ont été officiellement classés comme cancérogènes pour le sein, doit-on considérer qu’ils induisent tous une augmentation comparable du risque, ou que différents THM estro-progestatifs (différentes molécules ou doses, par exemple) comportent des risques différents de cancer du sein ?
Pour répondre à cette question, nous nous sommes basés sur les résultats d’études épidémiologiques évaluant l’impact de différents THM estro-progestatifs sur le risque de cancer du sein.
Chaque examen répond à une question
Existe-t-il un reflux pathologique ?
Le reflux est-il responsable des symptômes ?
Quelle est la sévérité de la maladie ?
9. aucune différence significative n’a été
observée pour les taux de grossesse clinique
entre les gonadotrophines d’origine urinaire
FSH et HMG et les gonatrophines
recombinante FSH.
13. Stimulation commencée quand blocage hypophysaire complet
1. Blocage hypophysaire : injection decapeptyl 3 mg LP 1 fois en
phase lutéale ou decapeptyl 0,1mg SC/j
2. Stimulation quand E2 < 50 pg/ml par FSH ou HMG
3. Monitorage ( E2 / echographie )
4. Déclenchement par HCG quand :
1. >2 follicules > 18 mm
2. (E2 / follicules >15mm ) > 200 pg/ml
3. Endomètre mature
5. Recueil ovocytaire
14.
15. Debut analogue et gonadotrophines en
même temps à J 3
( profite de l’ effet flare- up)
Monitorage idem
16.
17. Arrêt brutal sécrétion endogène FSH /LH
Plusieurs protocoles :
- soit les débuter au 6e jour de la stimulation
- soit les débuter au jour 2, en même temps que les
gonadotrophines
- soit les débuter lorsqu’un follicule atteint 14mm
18.
19.
20. •Ensemble des cycles transmis par les centres a` l’Agence de la biomédecine sur le modèle
FIVNAT ( registre national de fécondation in vitro)
•18 601 cycles
•protocoles :quatre groupes :
•agonistes en protocole court
en protocole long
•antagonistes
•cycles sans agonistes.
•Les gonadotrophines :quatre classes :
•FSH recombinante
•FSH urinaire
•HMG
•association FSH (urinaire ou recombinante) et HMG.
21. protocole de base :analogues de la GnRH en protocole long
et FSH recombinante
impact des caractéristiques des patientes, ( âge, ovulation ,
l’existence d’échecs préalables )sur le choix d’autres
protocoles
protocoles courts : moins bons résultats
peu de différences entre protocoles longs et antagonistes et
selon le type de gonadotrophines.
22. •Les patientes en protocole court :en moyenne nettement plus
âgées que celles avec protocole long
•elles sont également plus âgées sous antagonistes et sans
analogue par rapport aux protocoles longs.
•Le choix des protocoles longs diminue avec l’âge
23.
24.
25.
26. le choix des protocoles agonistes courts
augmente avec l’âge
le rang de ponction
diminue dans les OPK
protocole des mauvais cas et des mauvaises répondeuses
Le choix des protocoles longs
diminue avec l’âge, le rang de ponction et les troubles de l’ovulation
le protocole de première intention
les bons cas.
Le choix du protocole antagoniste
augmente avec l’âge, les troubles de l’ovulation et le rang de ponction
traitement de deuxième intention
Le choix d’un protocole sans analogue
augmente avec l’âge ou le rang de ponction
traitement de recours dans les mauvais cas.
27.
28.
29. 629 patientes randomisée entre HMG et FSH-rec
• taux de grossesses identiques
26,3 % (HMG)
25,2 % (FSH-rec)
•Plus d’ovocytes en FSH-rec (n = 10,6) qu’avec l’HMG (n = 7,8) ( p < 0,01),
Mais
•aucune différence en taux de fécondation, de transfert ou d’implantation
30. •préférence pour les protocoles agonistes longs en première intention
•prescription des antagonistes progresse
•protocoles courts restent utilisés mais résultats décevants.
•FSH-rec :moins d’unité de dose, plus d’ovocytes et d’embryons
•HMG et la FSH-ur montre une progression de prescription
•cas d’échecs : opter progressivement pour l’utilisation des antagonistes, d’une
part, et les HMG, d’autre part, et ce d’autant plus que les femmes sont âgées et
mauvaises répondeuses.
•taux de succès sont très proches, quel que soit le type de gonadotrophines
utilisées,
•caractéristiques de la femme (âge, rang de tentative, grossesse FIV antérieure)
restent les facteurs pronostiques les plus importants.
31.
32. •Stérilité du couple , JR ZORN , M SAVALE Masson 2ième édition
•Vidal
•Ovarian stimulation for IVF in France: Choice and results according to protocols and
gonadotrophin B. Rossin a,*, J.-L. Pouly b, J. Belaisch-Allart c, J. de Mouzon d,groupe
FIVNAT Gyne´cologie Obste´trique & Fertilite´ 37 (2009) 864–872 .
•Hompes PG, Broekmans FJ, Hoozemans DA, Schats R, FIRM group.
Effectiveness of highly purified human menopausal gonadotropin vs.
recombinant follicle-stimulating hormone in first-cycle in vitro fertilization-
intracytoplasmic sperm injection patients. Fertil Steril 2008;89(6):
1685–93.