L'expérience française de contractualisation couvre à la fois la concession et la soustraitance
comme une approche plus originale propre au secteur public. Le développement qui suit
ne retiendra que ce dernier aspect dans la mesure où l’autre volet ne présente pas d’intérêt
particulier au regard de l’abondante littérature qui lui est déjà consacrée.
Exemple d’un plan d’action en matière de prévention et de lutte contre les i...Ibnelafif Samir
La lutte contre les infections nosocomiales dans un hôpital de 320 lits, nécessite un engagement continu de l’unité de supervision et d’évaluation des soins. La mise en œuvre d’un plan d’action structuré permet d’avoir une perspective globale et de garder bien en vue les activités à inscrire en priorité, à réaliser et à maintenir pour réduire le risque infectieux relié à la prestation des soins et services.
La lutte contre les infections nosocomiales doit être un projet commun. Administrateurs, gestionnaires, médecins, professionnels et intervenants, dont chacun doit participer efficacement de prés ou de loin fasse a ce problème néfaste, et contribuer à renforcer le lien de confiance entre la population a desservie et cette établissement de soins.
2- la chaîne de stérilisation, lavage des mains, port des gants.pptxBerhailMalak
La plupart des instruments utilisés au cabinet dentaire sont recyclés et stérilisée.
Pour les rendre stériles, il est indispensable de mettre en œuvre des techniques apportant toutes les garanties de sécurité pour le patient, en regard de tous risques infectieux.
Antiseptiques (ATS) :
Substances ou préparations qui permettent le traitement des tissus vivants en tuant ou en inhibant les bactéries, les champignons ou les spores et/ou en inactivant les virus .
Antibactérien :
Qualifie un produit ou un procédé dont on ne précise pas si son activité est bactéricide ou bactériostatique .
Antifongique :
Qualifie un produit ou un procédé dont on ne précise pas si son activité est fongicide ou fongistatique .
[AFNOR]
Germicide :
Terme désignant un produit ou un procédé capable de tuer certains micro-organismes ou d’ inactiver les virus .
Contamination, modes et Voies de Transmission :
- Sources de contamination :
Les mains: vecteur de contamination
La salive
Le sang
Les secrétions nasales et respiratoires
AES toute exposition percutanée (par piqûre ou coupure) ou tout contact sur de la peau lésée ou des muqueuses (bouche, yeux) avec du sang ou un liquide contenant du sang
Etudes épidémiologiques et des recensements ont montré des taux élevés de risque de séroconversion pour l’hépatite B, l’hépatite C et le VIH, chez le sujet exposé de façon percutanée
AES toute exposition percutanée (par piqûre ou coupure) ou tout contact sur de la peau lésée ou des muqueuses (bouche, yeux) avec du sang ou un liquide contenant du sang
Etudes épidémiologiques et des recensements ont montré des taux élevés de risque de séroconversion pour l’hépatite B, l’hépatite C et le VIH, chez le sujet exposé de façon percutanée
AES toute exposition percutanée (par piqûre ou coupure) ou tout contact sur de la peau lésée ou des muqueuses (bouche, yeux) avec du sang ou un liquide contenant du sang
Etudes épidémiologiques et des recensements ont montré des taux élevés de risque de séroconversion pour l’hépatite B, l’hépatite C et le VIH, chez le sujet exposé de façon percutanée
AES toute exposition percutanée (par piqûre ou coupure) ou tout contact sur de la peau lésée ou des muqueuses (bouche, yeux) avec du sang ou un liquide contenant du sang
Etudes épidémiologiques et des recensements ont montré des taux élevés de risque de séroconversion pour l’hépatite B, l’hépatite C et le VIH, chez le sujet exposé de façon percutanée
Exemple d’un plan d’action en matière de prévention et de lutte contre les i...Ibnelafif Samir
La lutte contre les infections nosocomiales dans un hôpital de 320 lits, nécessite un engagement continu de l’unité de supervision et d’évaluation des soins. La mise en œuvre d’un plan d’action structuré permet d’avoir une perspective globale et de garder bien en vue les activités à inscrire en priorité, à réaliser et à maintenir pour réduire le risque infectieux relié à la prestation des soins et services.
La lutte contre les infections nosocomiales doit être un projet commun. Administrateurs, gestionnaires, médecins, professionnels et intervenants, dont chacun doit participer efficacement de prés ou de loin fasse a ce problème néfaste, et contribuer à renforcer le lien de confiance entre la population a desservie et cette établissement de soins.
2- la chaîne de stérilisation, lavage des mains, port des gants.pptxBerhailMalak
La plupart des instruments utilisés au cabinet dentaire sont recyclés et stérilisée.
Pour les rendre stériles, il est indispensable de mettre en œuvre des techniques apportant toutes les garanties de sécurité pour le patient, en regard de tous risques infectieux.
Antiseptiques (ATS) :
Substances ou préparations qui permettent le traitement des tissus vivants en tuant ou en inhibant les bactéries, les champignons ou les spores et/ou en inactivant les virus .
Antibactérien :
Qualifie un produit ou un procédé dont on ne précise pas si son activité est bactéricide ou bactériostatique .
Antifongique :
Qualifie un produit ou un procédé dont on ne précise pas si son activité est fongicide ou fongistatique .
[AFNOR]
Germicide :
Terme désignant un produit ou un procédé capable de tuer certains micro-organismes ou d’ inactiver les virus .
Contamination, modes et Voies de Transmission :
- Sources de contamination :
Les mains: vecteur de contamination
La salive
Le sang
Les secrétions nasales et respiratoires
AES toute exposition percutanée (par piqûre ou coupure) ou tout contact sur de la peau lésée ou des muqueuses (bouche, yeux) avec du sang ou un liquide contenant du sang
Etudes épidémiologiques et des recensements ont montré des taux élevés de risque de séroconversion pour l’hépatite B, l’hépatite C et le VIH, chez le sujet exposé de façon percutanée
AES toute exposition percutanée (par piqûre ou coupure) ou tout contact sur de la peau lésée ou des muqueuses (bouche, yeux) avec du sang ou un liquide contenant du sang
Etudes épidémiologiques et des recensements ont montré des taux élevés de risque de séroconversion pour l’hépatite B, l’hépatite C et le VIH, chez le sujet exposé de façon percutanée
AES toute exposition percutanée (par piqûre ou coupure) ou tout contact sur de la peau lésée ou des muqueuses (bouche, yeux) avec du sang ou un liquide contenant du sang
Etudes épidémiologiques et des recensements ont montré des taux élevés de risque de séroconversion pour l’hépatite B, l’hépatite C et le VIH, chez le sujet exposé de façon percutanée
AES toute exposition percutanée (par piqûre ou coupure) ou tout contact sur de la peau lésée ou des muqueuses (bouche, yeux) avec du sang ou un liquide contenant du sang
Etudes épidémiologiques et des recensements ont montré des taux élevés de risque de séroconversion pour l’hépatite B, l’hépatite C et le VIH, chez le sujet exposé de façon percutanée
Système national de santé : L’ensemble des institutions, des organismes, des actions et des ressources y affectées intervenant dans le domaine de la protection de la santé aussi bien dans le secteur public que dans le secteur privé, aux niveaux national et régional et qui sont organisés pour la réalisation des objectifs.
Les objectifs du SNS :
Faciliter l’accès de la population aux prestations de santé et améliorer la qualité de ces prestations ;
Garantir une répartition équilibrée et équitable de l’offre de soins sur l'ensemble du territoire national ;
Asseoir la territorialisation de l’offre de soins dans le secteur public et améliorer sa gouvernance à travers la création de groupements sanitaires territoriaux ;
Garantir la souveraineté en matière de médicaments ainsi que la disponibilité, la sécurité et la qualité des médicaments et des produits de santé ;
Développer et perfectionner les moyens de détection et de prévention contre les risques menaçant Ia santé ;
Réorganiser le parcours de soins et digitaliser le système de santé ;
Renforcer l'encadrement sanitaire en vue d’atteindre les normes de l'Organisation mondiale de la Santé dans ce domaine ;
Valoriser et mettre à niveau les ressources humaines travaillant dans le domaine de la santé à travers la mise en place d'une fonction sanitaire qui prend en considération les spécificités des fonctions et des professions du secteur ;
Dès la (n des années 70, l’hôpital
change : dans l’hôpital « moderne
», du fait des progrès de la
médecine, la durée de séjour diminue,
le nombre de patients pris
en charge augmente, l’activité se
densi(e et devient plus technique
et dans un contexte économique
plus contraint, la maîtrise des dépenses
s’impose.
reseauprosante.fr
Votre parcours est intimement lié à celui du système hospitalier en France, vous avez notamment et entre autres piloté « le pacte de confiance » à la demande de madame la ministre de la Santé. Comment pourriez-vous vous définir et vous présenter à nos lecteurs ?
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
Système national de santé : L’ensemble des institutions, des organismes, des actions et des ressources y affectées intervenant dans le domaine de la protection de la santé aussi bien dans le secteur public que dans le secteur privé, aux niveaux national et régional et qui sont organisés pour la réalisation des objectifs.
Les objectifs du SNS :
Faciliter l’accès de la population aux prestations de santé et améliorer la qualité de ces prestations ;
Garantir une répartition équilibrée et équitable de l’offre de soins sur l'ensemble du territoire national ;
Asseoir la territorialisation de l’offre de soins dans le secteur public et améliorer sa gouvernance à travers la création de groupements sanitaires territoriaux ;
Garantir la souveraineté en matière de médicaments ainsi que la disponibilité, la sécurité et la qualité des médicaments et des produits de santé ;
Développer et perfectionner les moyens de détection et de prévention contre les risques menaçant Ia santé ;
Réorganiser le parcours de soins et digitaliser le système de santé ;
Renforcer l'encadrement sanitaire en vue d’atteindre les normes de l'Organisation mondiale de la Santé dans ce domaine ;
Valoriser et mettre à niveau les ressources humaines travaillant dans le domaine de la santé à travers la mise en place d'une fonction sanitaire qui prend en considération les spécificités des fonctions et des professions du secteur ;
Dès la (n des années 70, l’hôpital
change : dans l’hôpital « moderne
», du fait des progrès de la
médecine, la durée de séjour diminue,
le nombre de patients pris
en charge augmente, l’activité se
densi(e et devient plus technique
et dans un contexte économique
plus contraint, la maîtrise des dépenses
s’impose.
reseauprosante.fr
Votre parcours est intimement lié à celui du système hospitalier en France, vous avez notamment et entre autres piloté « le pacte de confiance » à la demande de madame la ministre de la Santé. Comment pourriez-vous vous définir et vous présenter à nos lecteurs ?
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
Rapport IGAS et IGF sur le développement de l'hospitalisation ambulatoireSociété Tripalio
Rapport commun de l'IGAS et de l'IGF sur le développement de la chirurgie ambulatoire en France. Rédaction en juillet 2014, publication en janvier 2015. Aucune préconisation particulière.
Introduit en 2008 par la loi « Hôpital Patients Santé et Territoire » (HPST), les contrats locaux de santé ont permis d’associer les acteurs autour des enjeux de santé d’un territoire. Ce dispositif associant à la fois les collectivités territoriales et les acteurs de la santé, du social et du médico-social a été conforté par la loi de modernisation de notre système de santé adopté en décembre 2015.
Cette confirmation des contrats locaux de santé et l’arrivée à échéance des premiers contrats ont invité Décision Publique à s’interroger sur les plus-values apportées par ce dispositif contractuel et sur les difficultés rencontrées dans l’élaboration et sa mise en œuvre.
Contrat local de santé : quel bilan pour les territoires Gwenael Boidin
Introduit en 2008 par la loi « Hôpital Patients Santé et Territoire » (HPST), les contrats locaux de santé ont permis d’associer les acteurs autour des enjeux de santé d’un territoire. Ce dispositif associant à la fois les collectivités territoriales et les acteurs de la santé, du social et du médico-social a été conforté par la loi de modernisation de notre système de santé adopté en décembre 2015.
Cette confirmation des contrats locaux de santé et l’arrivée à échéance des premiers contrats ont invité Décision Publique à s’interroger sur les plus-values apportées par ce dispositif contractuel et sur les difficultés rencontrées dans l’élaboration et sa mise en œuvre.
Revue SNPHARE 76, Octobre 2016
L’« acte I » de la constitution des Groupements hospitaliers de territoire (GHT) a pris fin cet été avec la définition du périmètre des 135 GHT. Tout reste à construire, en premier lieu le projet médical partagé. L’hétérogénéité du périmètre des GHT et les diversités de contextes locaux démontrent qu’il ne peut y avoir de modèle unique et hiérarchique déterminé nationalement. Seul peut être fixé nationalement un objectif de convergence pertinent et en accord avec le projet médical partagé proposé par les acteurs de terrain. Car c’est bien ce projet médical partagé qui est la pierre angulaire de tout le dispositif.
En lien direct avec celui-ci dans la mesure où il influence l’exercice des professionnels, le développement professionnel continu est l’un des domaines prévus dans le décret qui évoque la « coordination des plans de formation continue et de développement professionnel continu des personnels des établissements parties au groupement ». De facto l’ensemble des professionnels soumis à l’obligation de DPC, exerçant dans un établissement membre du GHT est bien concerné.
CE QUI NE CHANGE PAS AVEC LES GHT
Le DPC a un lourd passé et sa version 2.0. constitue moins une tentative de le rendre soluble dans les GHT que de le rendre simple et digeste pour ses utilisateurs. Ainsi l’émergence des GHT ne bouleverse en rien les fondamentaux du DPC – rénové cet été par décret.
La manière de remplir son obligation de DPC
Les objectifs du DPC demeurent l’amélioration de la qualité des soins et des pratiques professionnelles. La réalisation d’un parcours de DPC concerne tous les professionnels de santé. Chaque professionnel de santé dispose de trois années pour réaliser un parcours de DPC qui devra inclure a minima, deux des trois types d’actions :
• actions de formation,
• actions d’évaluation et d’amélioration des pratiques,
• actions de gestion des risques.
(...)
http://www.reseauprosante.fr/
Rapport IGAS sur la généralisation du tiers payantSociété Tripalio
Rapport de mars 2018 sur la généralisation du tiers payant, remis à la ministre par l'IGAS. Ce rapport plaide pour une mise en place du tiers-payant dès 2019.
Développement professionnel continu (dpc) l’usine à gaz.Réseau Pro Santé
Le DPC est une obligation réglementaire individuelle pour chacun d’entre nous, depuis le 1er janvier 2013, entraînant des sanctions s’il n’est pas réalisé, alors que son organistion n'est pas encore finalisée, et son financement de plus en plus flou. Un programme collectif de DPC se conçoit comme une démarche continue d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins qui permet de satisfaire à l'obligation individuelle de formation. Le programme associe des analyses de pratiques professionnelles, l'acquisition perfectionnement des connaissances compétences, activités articulées et planifiées dans l'indépendance et la confidentialité.
L’ORGANISME DE GESTION DU DPC (OGDPC)
1er juillet 2012 : l’OGDPC a fait son entrée sur scène officiellement. Cet organisme devra piloter le DPC dans sa globalité pour tous les professionnels de santé ainsi que s’assurer de la gestion financière du dispositif pour les libéraux (médecins, chirurgiens-dentistes, pharmaciens, sagesfemmes, orthophonistes, orthoptistes, pédicures, podologues, infirmiers et masseurs-kinésithérapeutes), les professionnels de santé exerçant en centres de santé et les médecins hospitaliers éligibles au versement de la contribution de l’industrie pharmaceutique. Pour cette mission, l’OGDPC bénéficie des ressources, des infra structures de l’OGC qui était l'organisme gestionnaire conventionnel des médecins libéraux jusqu’en juillet 2012.
21 novembre 2012 : l’OGDPC a installé son conseil de surveillance avec l’élection de son bureau :15 membres, soit 12 représentants des professionnels de santé (uniquement des représentants libéraux) et 3 représentants des employeurs.
Ce conseil a pour mission d’établir un bilan annuel global de la mise en oeuvre du DPC des professionnels de santé, de donner un avis au Ministre chargé de la Santé sur la qualité et l’efficacité du dispositif, de contrôler l’utilisation des sommes du DPC et de promouvoir le DPC dans les établissements de santé auprès des professionnels.
Un groupe de travail pour les personnels de santé salariés doit être constitué.
reseauprosante.fr
E-Santé : quels enjeux pour le professionnel de santé ?Driss AIT MANI
Présentation réalisée au Forum Derm@to Connecté du 2/02/2017 à Marseille, pour la Fédération Française de Formation Continue et d´Evaluation en Dermatologie-Vénéréologie (FFFCEDV)
Comme le mentionne Jean-Paul guillot dans son interview, à la suite du pacte de confiance, qui s’est déroulé à la fin de l'année 2012, les pouvoirs publics ont pris conscience de la nécessité de renforcer le dialogue social avec les personnels médicaux hospitaliers. Pour cette raison, la ministre des affaires sociales et de la santé a décidé de consolider et de renforcer les missions des commissions régionales paritaires.
Ces instances existaient depuis de nombreuses années mais n'avaient jamais été réellement activées dans les différentes agences régionales de santé. À notre connaissance une seule région, la région Paysde- Loire, avait une instance de ce type réellement fonctionnelle.
Après plusieurs mois de discussions avec la DGOS, les intersyndicales de praticiens hospitaliers ont obtenu la publication d'un décret, d'un arrêté et d'une instruction qui ouvrent de nouvelles perspectives aux Commissions régionales paritaires (CRP).
reseauprosante.fr
Protocole d’accord de méthode relatif à la deuxième phase de déclinaison des ...Réseau Pro Santé
Revue Les Cahiers du SYNGOF n°107 Décembre 2016
Le présent protocole d'accord de méthode a pour but de déterminer les thématiques à explorer, centrées sur l'organisation et la gestion du temps de travail,...
P. LE PORS-LEMOINE
Ministère des Affaires sociales et de la Santé Protocole d'accord de méthode relatif à la deuxième phase de déclinaison des mesures destinées à renforcer l'attractivité de l'exercice médical à l'hôpital.
Le plan d'action pour l'attractivité de l'exercice médical à l'hôpital, structuré en trois axes et comportant douze mesures, a été présenté le 2 novembre 2015 par la ministre des affaires sociales et de la santé.
Ce plan est global: il s'adresse à l'ensemble du corps médical, hospitalier et hospitalo- universitaire, pour attirer et fidéliser les médecins à l'hôpital. Ambitieux et équilibré, il a vocation à répondre aux principales problématiques actuelles, exprimées par l'ensemble des acteurs associés à sa préparation.
Le programme de travail du premier semestre 2016, identifiant les mesures du plan jugées prioritaires, a été arrêté dans le cadre du Comité de suivi du plan d'action en décembre 2015 puis décliné en textes qui ont tous été finalisés à la fin de l'été, après avoir été concertés avec l'ensemble des acteurs concernés.
Le 4 octobre 2016, la ministre des affaires sociales et de la santé a présenté le contenu de chaque mesure, dont les principales caractéristiques figurent en annexe du présent protocole, et a annoncé les thèmes pour une nouvelle séquence de travail destinée à déployer de nouvelles mesures également très attendues par les praticiens. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
_تقرير المناظرة حول تمويل النظام الصحي - Copie.pdf
La contractualisation externe dans le système hospitalier français
1. La contractualisation externe
dans le système hospitalier
français
PRÉSENTÉ PAR:
BADAOUI ADEL
ETUDIANT À L’ÉCOLE NATIONALE DE MANAGEMENT ET DE L’ADMINISTRATON DE LA SANTÉ
25 NOVEMBRE 2015
UNIVERSITE MOHAMED BOUDIAF - M’SILA
FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES, COMMERCIALES ET SCIENCES DE
GESTION
COLLOQUE INTERNATIONAL SUR : LES POLITIQUES DE MAÎTRISE DES DEPENSES
DE SANTE EN ALGERIE: ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES
24 ET 25 NOVEMBRE 2015
3. Un financement à dominante public face
à une croissance excessive des dépenses
de santé
Depuis le milieu des années soixante, la crise économique
conduisant à
Chômage
Nombre des
cotisants
Fortecroissance
Unebaisse
Source: Badaoui Adel
3
4. Un financement à dominante public face
à une croissance excessive des dépenses
de santé
Dépense de santé
PIB Source: Badaoui Adel
4
5. Une grande diversité d’acteurs publics et
privés dans un système très réglementé
Hôpitaux
publics
Hôpitaux
nationaux
Hôpitaux
universitaires
Hôpitaux
généraux
Hôpitaux
locaux
Hôpitaux
militaires
Hôpitaux
privés non
lucratifs
Centre lutte
contre le
cancer
Etablissements
associatifs
Etablissements
relevant de
congrégations
Etablissements
mutualistes
Etablissements
relevant de
fondations
Hôpitaux
commerciaux
Chaînes
appartenant à
un groupe
Cliniques en
propriété
individuelle
Cliniques en
société
anonymes
Cliniques en
société civile
immobilière
Source: Eric de Roodebeke, Jean Perrot, Les hôpitaux et la contractualisation, la documentation française, page 03,
5
6. Une régulation à dominante
bureaucratique
contingentement
du financement
planification
sanitaire
la régulation
de l’offre
hospitalière
fixation
des prix
Garantir le même prix
pour le même produit
établir les
tarifs de
responsabili
té
limiter la prise
en charge
Source: Badaoui Adel
6
7. Une régulation à dominante
bureaucratique
Source: Badaoui Adel
7
Le projet d’établissement
(obligatoire depuis les années 90)
élaboration et adoption un plan d’évolution
pour les 5 années à venir
(structurer et guider l’action de l’hôpital dans tous les domaines)
le projet médical positionne la
stratégie d’évolution de l’offre de
soins
8. Une volonté de décentralisation encore
à mi-chemin
Engagement dans un mouvement de
décentralisation
(les années 80)
La création d’agence régionale d’hospitalisation
(ARH) – 1996-
8
Source: Badaoui Adel
répartir les crédits entre les établissements à partir d’un budget annuel
l’élaboration d’un schéma d’organisation sanitaire
9. Une nécessité de prendre en
compte la performance des
hôpitaux
9
Diagnostic
Related Groups
• Les groupes
homogènes de
malades
La production globale d’un hôpital
rapportée à son budget annuel fournit la
valeur du point de l’indice ce qui sert de
base pour la répartition de l’enveloppe
budgétaire entre les régions (valeur
moyenne du point sur la région) et entre
les établissements.
10. Une pression pour améliorer la qualité
des soins
10
• Adoption de
standard
professionnels
• mise en place d’un
guide d’accréditationgénéraliser
l’accréditation
• des réserves sont
émises pour les
domaines
• des faiblesses sont
constatées
L’accréditation est
globale • apporter des
correctifs
• montrer sa
bonne volonté
L’hôpital
Source: Badaoui Adel
11. La nécessité d’une cohérence dans le
système hospitalier : l’approche
contractuelle
La planification sanitaire, les autorisations et la démarche contractuelle
La planification sanitaire et le projet d’établissement
L’accréditation et le contrat
11
12. 12
Contractualisation
Concerné les
établissements
de santé et ARH
donner plus de
responsabilité aux
acteurs pour en
augmenter
l’efficience globale.
entre les
différentes
institutions pour
favoriser la
coordination.
La contractualisation est souvent
représentée comme solution miracle face à
la nécessité de réformer le service public de
l’Etat car le procédé contractuel est une
nouvelle démarche de l’administration.
Par définition, le système des contrats
évoque la notion de liberté, car il est la
rencontre de volontés et non la soumission
à l’une des volontés.
Source: Badaoui Adel
13. La contractualisation externe
La démarche contractuelle s’inscrit comme la base
du dialogue entre l’agence régionale de
l’hospitalisation et les différents hôpitaux de la
région. Cette démarche contractuelle est
obligatoire car elle est prévue dans la
réglementation, cependant les modalités de la
contractualisation donnent des marges de
manœuvres.
13
14. 14
Selon la décision française n°2009-DC du 16 juillet 2009, le
contrat d’objectifs et de moyens conclus entre les centres
hospitaliers et les agences régionales de sante avaient bien une
nature contractuelle.
Cependant, le CPOM qui relève de la catégorie des contacts
administratifs, est un outil de planification constitue un contrat
particulier, et une forme moderne d’allocation des ressources
publiques.
Ensuite, ils ont créé les Agences régionales de l’hospitalisation
(ARH), celles-ci doivent conclure avec les ES des contrats
pluriannuels d’objectifs et de moyens, qui retracent les
engagements réciproques de l’agence et de l’hôpital.
15. Le contrat d’objectif et de
moyen
est une forme de la contractualisation
externe verticale, ou l’EPS se situe en
relation avec l’autorité de tutelle, qui va
négocier avec lui des objectifs qu’il
conviendra de définir.
15
16. Le CPOM : 16
détermine les orientations stratégiques. (carte sanitaire région sanitaire etc.
Définit les conditions de mise en œuvre de ces orientations (projet médical, projet d’établissement).
Décrit les transformations, activité, gestion, organisation, coopération;
Définit les objectifs de qualité, sécurité, la mise en œuvre de la procédure d’accréditation.
Favorise les réseaux, communautés d’établissements;
Précise la gestion des ressources humaines.
Fixe les éléments financiers.
17. En cours de leur mise en œuvre, les
ARH ont privilégié 2 approches des
contrats : individuelle, collective ou
les placer dans un contexte
d’ensemble. Ainsi que les objectifs
déterminés par le système de santé,
sont déclinés dans les CPOM des ES,
ces CPOM doivent être conclus dans
les ES.
17
18. Le contrat d’objectif et de moyen :
nouvelle génération
Le processus de contractualisation a été renforcé, et la loi HPST intègre :
Un programme régional de santé doit être rédiger, celui-ci va déterminer les
priorités régionales de santé et les actions à mettre en œuvre.
HPST: (Hôpital, patients, santé, territoires)
18
Tous les ES, tous les
établissements titulaires
d’autorisations d’activité de
soins ou d’équipement
matériel lourd.
Les autres services de santé
(réseaux, centres de santé,
maisons de santé) s’il existe
un financement de l’agences
régionales de santé.
Certains
établissements
médico-sociaux,
19. le processus de contractualisation et le
contenu du contrat
19
Phase de
lancement
durée entre 2 à 3 mois
Phase de diagnostic
durée de 3 à 6 mois
Phase de
propositions
contractuelles
durée de 2 à 4 mois
Phase d’échange
et négociation
durée 2 à 3 mois
Phase de
rédaction du
contrat
durée 1 mois
Phase de
consultation et
d’adoption
durée 1 mois
Phase de
signature
durée 1 mois
Mise en œuvre
du contrat
20. Les enjeux du CPOM :
Nouvelle génération
20
• La transformation de l'offre de soins territoriale :
Les contrats définiront le positionnement de chacun des
établissements dans la structuration de l'offre de soins ainsi
que les synergies avec les autres acteurs du territoire en
référence aux orientations du PRS.
• L'amélioration de la performance des établissements :
qualité du service rendu, efficience économique, optimisation
de la gestion des ressources humaines.
21. Les finalités du CPOM :
Nouvelle génération
Point central dans les relations
contractuelles entre l'ARH et les acteurs de
santé, il est attendu du CPOM qu'il
constitue le support principal du dialogue
entre l'établissement et l'ARH. A ce titre,
son élaboration doit viser à garantir une
visibilité pluriannuelle sur les axes
prioritaires et les objectifs cibles de
l'établissement.
21
22. 22
LeCPOMdoitpermettre:
La déclinaison des programmes :
La déclinaison des schémas :
Un appui au pilotage stratégique des
établissements :
Un support pour le pilotage des
activités :
La sécurisation juridique des
financements :
23. Un bilan réalisé 5 années après le lancement
de la démarche contractuelle dans le
système hospitalier français a montré (1):
que seulement plus de 30% des hôpitaux ont signé des contrats avec les
agences (40% des principaux établissements mais seulement 10% des
petits) ;
le taux de signature varie beaucoup selon les régions ;
alors que le projet d’établissement devrait précéder le contrat, 40 % des
hôpitaux ont signé des contrats avec l’agence sans que leur projet
d’établissement ne soit finalisé ou approuvé ;
75% des directions affichent une vision très positive de la démarche
contractuelle voyant en elle la possibilité d’obtenir, de l’agence, un
engagement à moyen terme ;
23
Gottsmann Julien, contrats d’objectifs et de moyens : où en sommes nous cinq ans après 1996 ? gestions hospitalières, août/septembre 2001, pp 575-578.
24. Un bilan réalisé 5 années après le
lancement de la démarche
contractuelle a montré
Les plus gros établissements ont souvent eu le leadership pour
l’élaboration des contrats alors que c’est l’agence qui l’a eu pour les
petits établissements ;
Les contrats n’ont pas bouleversé les activités hospitalières mais ils ont
largement participé au développement des coopérations et en
particulier à la création des réseaux ;
Plus 60% des directions privilégient la négociation avec l’agence si celle-
ci ne respecte pas les termes du contrat mais l’autre 1/3 affirme être
prêt à aller au bout de la logique contractuelle en engageant au besoin
un contentieux
24