2. Qu’est-ce qu’une figure de
style?
Procédé d’expression qui
s’écarte de l’usage ordinaire de
la langue et donne une
expressivité particulière au
propos.
4. Figures d’analogie/de la
ressemblance
Comparaison
Rapprocher deux éléments à l’aide d’un
outil de comparaison (comme, tel que, ainsi
que, pareil à, semblable, etc.).
Ex. Tes yeux sont bleus comme le ciel.
Semblable à une fleur, tu éclos au
printemps.
5. (suite) Figures d’analogie
Métaphore
Comparer ou fusionner des éléments issus
de réalités différentes et sans utiliser d'outil
de comparaison pour établir ce
rapprochement. Dans cette figure, le
comparé est souvent implicite: il faut le
déduire.
Ex. Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux
orage (Baudelaire)
6. (suite) Figures d’analogie
Personnification
Attribuer des qualités humaines à un objet
inanimé.
Ex. Les cloches chantent
7. Figures de la substitution
Ironie
Dire le contraire de ce qui est pensé.
Ex. Surtout ne te presse pas!
Métonymie
Remplacer un élément par un autre
élément appartenant au même ensemble
logique (contenu contenant; partie
tout)
Ex. Boire un verre
Manger son assiette
8. Figure de l’opposition
Antithèse
Deux termes de sens opposés dans une
même phrase.
Ex. Le navire était noir, mais la voile était
blanche
9. Figure de l’amplification
Hyperbole
Emploi de termes excessifs, qui exagèrent
l'expression de la réalité.
Ex. Un bruit à réveiller un mort
Il a tout vu, tout lu et tout vécu.
11. Nommez le procédé stylistique
utilisé dans chacun des extraits
suivants
1)[…]j’interprétais ta flamme! (ligne 36)
2)[…]ta voix
De ce soir-là, si tendre, et qui vous enveloppe!
(ligne 92 et 93)
3)[…]Chacun de ces petits feuillets
Était comme un pétale envolé de ton âme.
(ligne 103 et 104)
12. 4)On sent à chaque mot de ces lettres de flamme
[…] (ligne 105)
5)L’insulte de t’aimer pour ta seule beauté (ligne
22)
6)Ta beauté m’arrêtant, ton âme m’entraînant,
[…] (ligne 128)
7)Doit mettre un cœur avide et noble à la torture
(ligne 140)
8)Si toute ta beauté tout d’un coup
s’envolait…(ligne 171)
9)[…]et le bonheur est là. (ligne 244)