Saint Georges, martyr, et la lègend du dragon.pptx
Lexique la consommation
1. Carolina García Mora- Le Baobab Bleu® lebaobabbleu.com
UNITÉ DIDACTIQUE 7 : LA CONSOMMATION
Regardez ces images et essayez de les décrire avec
précision. Qu’est-ce qu’elles évoquent d’après-vous ?
Que pensez-vous de la consommation ? Quel type de
consommateur/ -trice êtes-vous ?
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LES COMMERCES VENTE ET ACHAT
LEXIQUE- L’ARGENT ET LA CONSOMMATION
Un(e) commerçant(e)
Un(e) marchand(e)
Un caissier / une caissière
Un(e) client(e)
Les commerces de proximité
Le petit commerce
La grande distribution
Le marché
Le centre commercial
La grande surface
Le supermarché
L’hypermarché
L’e-commerce
Le télé-achat
Le téléshopping
Faire la queue à la caisse
Payer à la caisse
Demander le prix d'un article
Examiner un article
Demander le ticket / la facture
Le service après-vente
L’acheteur (-euse)
Le/la consommateur (-trice)
Le/la vendeur (-euse)
Coûter
Dépenser
Le paiement / le règlement
La livraison
Le prix
La promotion / la réduction
Les soldes
Un rabais
La TVA (taxe sur la valeur ajoutée)
Acheter à crédit, en espèces, par chèque,
par carte, avec un bon d'achat.
Le troc
Le billet
La pièce (de monnaie)
Les espèces/ le liquide
La carte bancaire/de crédit/bleue
Le chèque
Le distributeur automatique de billets (DAB)
Retirer du liquide
Rendre la monnaie
Cher/pas cher / économique / bon marché
Avoir des dettes
Emprunter, faire un emprunt
Rembourser
Gratuit ≠payant
Le fric / le pognon (fam)
L’ARGENT
Faire du lèche-vitrine
Faire une bonne affaire
Coûter les yeux de la tête
Être dans la dèche
Être fauché
Être friqué
Jeter l'argent par les fenêtres
Se serrer la ceinture
L'argent ne fait pas le bonheur
Les bons comptes font les bons amis
Ne pas arriver à joindre les deux bouts
Un sou est un sou
Dépenser l’argent ≠ économiser
l’argent
Épargner l’argent ≠ gaspiller l’argent
Faire des économies
Être économe ≠ être dépensier
EXPRESSIONS
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PARLER DE LA CONSOMMATION
J'adore dépenser, claquer (fam) de l'argent.
Je suis souvent tenté(e), je fais souvent des folies.
Je suis dépensier(ère)/panier percé (fam).
Je vis au-dessus de mes moyens.
J'ai du mal à joindre les deux bouts (fam)
Les fins de mois sont difficiles.
Je suis souvent dans le rouge (fam)/à découvert.
Je fais attention.
Je me serre la ceinture (fam)
J'ai acheté ce pantalon en solde.
Je n'aime pas jeter l'argent par les fenêtres.
Pour les gros achats, je compare les prix.
J'aime faire des affaires.
J'achète beaucoup d'occasion.
Je prends souvent les articles premier prix, en promotion.
On consomme trop, on gaspille, on achète des produits inutiles.
Il faut consommer autrement, de manière plus responsable.
Consommer, c'est acquérir plus de bien-être et plus de confort.
Consommer permet de se faire plaisir.
SOURCE: Alter égo 3 +, Hachette, p. 31
Trouvez dans votre groupe quelqu'un qui...
aime faire les magasins / faire du lèche-vitrine.
a plusieurs cartes de crédit.
attend les soldes pour acheter ses vêtements.
recherche les « bonnes affaires ».
achète des objets ou des vêtements d'occasion.
pense que nous vivons dans une société de « surconsommation ».
considère que la consommation est source de bonheur.
Fait régulièrement des achats en ligne.
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LES NOUVEAUX MODES DE CONSOMMATION
Avec la crise mais aussi grâce aux sites de partage et aux réseaux sociaux, les Français ont
réinventé leur façon de consommer. La consommation basée sur l’échange de services n’est
plus une tendance mais une réalité. On troque, on achète d’occasion, on loue entre
particuliers, on « covoiture », on « cotravaille », on « covoyage » ! Cette consommation
« collaborative” se développe grâce à des sites comme le boncoin.fr, pretachanger.fr,
ou blablacar.fr. Il s’agit de consommer avec astuce pour dépenser moins et de mettre en
avant l’usage plutôt que la propriété. Certains appellent cela la tendance du radin malin ! La
conscience environnementale joue aussi son rôle dans le changement d’habitudes.
Les locavores ou les décroissants privilégient la nourriture locale produite dans un rayon
allant de 100 à 250 kilomètres maximum autour du domicile, mangent bio, évitent les
intermédiaires et défendent le recyclage. Les réseaux comme Amap(Associations pour le
maintien d’une agriculture paysanne qui permettent aux agriculteurs d’entrer en rapport avec
des citadins pour vendre des paniers de fruits et légumes en direct) facilitent ce type de
consommation de proximité.
https://francaislangueetonnante.wordpress.com/2014/10/14/consommation-
collaborative/
COMPRÉHENSION ORALE
SOURCE : http://cours.ifmadrid.com/prof/archives/6007
Et vous ? Quelles sont vos habitudes de consommation ? Veillez-vous à respecter les
principes environnementaux ? Consultez-vous les avis des consommateurs sur les blogs
avant d’acheter ? Avez-vous des astuces pour consommer “malin” ?
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PARTAGE, UN NOUVEAU MODE DE CONSOMMATION
Covoiturage, colocation, coworking et échanges de services ne sont plus l'apanage des
pionniers militants.
LE MONDE | 17.10.2011 à 13h37 • Mis à jour le 17.10.2011 à 13h38 | Par Laure Belot
Difficile d'y échapper. Un million de voyages se sont organisés sur le
site Covoiturage.fr cet été, deux fois plus qu'en 2010 ; les lieux de travail partagés (coworking)
se multiplient ; la colocation, jadis réservée aux étudiants, séduit salariés et seniors ; les
échanges de services fleurissent sur Leboncoin.fr ; sans compter le succès des sites de troc,
l'essor du "couchsurfing" - hébergement sur un divan -, l'engouement pour la location entre
particuliers, que ce soit pour une perceuse ou une chambre chez l'habitant...
Cette consommation "collaborative", basée sur l'échange, le partage, la location plutôt
que la possession, n'est plus l'apanage de pionniers militants, de geeks ou de bobos. "Nous
faisons face à une tendance de fond, analyse le sociologue Erwan Lecoeur. Partager n'est pas
nouveau. Mais cet acte, longtemps le fait d'une minorité, est récupéré par des acteurs
intermédiaires : entreprises, grandes associations, institutions." Dans les départements se
multiplient les parkings-relais pour favoriser le covoiturage. "De telles initiatives légitiment ces
pratiques. Car le principal frein au changement reste le fait de devoir se justifier face aux
proches", poursuit le sociologue. Faut-il y voir un effet de la crise ? Non, répond cet
observateur, "elle vient juste conforter une nouvelle façon d'appréhender la consommation".
Le Monde a sondé ses lecteurs en leur demandant : "Pourquoi partagez-vous ?" Résultat : les
Français colouent, covoiturent, cotravaillent avec des objectifs distincts. Petite galerie
de portraits...
Les néoengagés. Pleinement intégrés dans la société, ces citoyens envisagent le partage
comme un nouveau mode de vie. Ainsi Delphine Thizy, 29 ans, se voit bien "changer le
monde par petites touches, à (son) échelle". Delphine habite Bruxelles et pratique le
covoiturage depuis cinq ans, "pour des raisons économiques, mais aussi pour ne pas faire le
trajet seule et rencontrer des gens partageant des valeurs communes". Le divan de Delphine
accueille volontiers les globe-trotters, adeptes du "couchsurfing". Consultante indépendante,
elle a choisi une plate-forme de travail collaboratif où existe une monnaie interne. "On
échange des heures de savoir-faire : je te fais ton site Web, tu me donnes un conseil juridique",
explique-t-elle. Cette économiste du développement, qui se considère comme aisée, allie,
avec son travail, convictions et nécessités économiques. Tout comme Bruno Fehrenbach,
architecte quinqua, qui conçoit, dans les Pyrénées, des maisons autosuffisantes en énergie.
Depuis un an, Bruno et ses collègues pratiquent le covoiturage à
chaque voyage d'affaires. "Notre entreprise réduit ses émissions de CO2, poursuit-il, encore
tout étonné d'avoir ainsi rencontré, un professeur californien, une avocate grecque, un
banquier suisse..."
Les conso-malins. Il s'agit de profiter de plus à moindre coût. Paul Mérieux, juriste de 27
ans, pratique le covoiturage depuis l'âge des 25 ans, limite de la carte de réduction
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jeune SNCF. "Il y a dix ans, le covoiturage était le fait de quelques militants écolos qui
désertaient le service devenu trop cher", analyse-t-il. Souvent, Paul panache un aller Nantes-
Paris en train et un retour en covoiturage. Il peut ainsi se décider au dernier moment et
s'offrir des extras "comme un week-end au ski près de Lyon". Olivier Dupuis, chef de chantier
dans le BTP est, lui, citadin depuis peu. Il a découvert la location entre particuliers alors qu'il
cherchait désespérément une décolleuse. Depuis, ce trentenaire adepte des bons plans utilise
le site e-loue tous azimuts : il loue des jeux vidéo pour ses deux fistons et propose même ses
outils à la location. "Je peux m'offrir plus en connaissant les bons sites", explique-t-il. Dans
cette catégorie se retrouvent également les salariés célibataires colouant pour jouir d'un plus
grand appartement.
Les chasseurs d'économies. Marie, 34 ans, partage par nécessité. Psychologue
de formation, elle travaille depuis peu à la chaîne dans une saumonerie. "Je n'arrive pas
à trouver de travail dans ma campagne bretonne", explique-t-elle. Marie est adepte du
covoiturage, "à cause des tarifs exorbitants de la SNCF". Elle voyage ainsi pour deux fois moins
cher et peut improviserdes week-ends "sans prévoir 90 jours à l'avance pour bénéficier de
bons prix". Si elle gagnait plus, Marie prendrait "volontiers le TGV".
Aude, 25 ans, est étudiante en psychologie. Boursière, elle s'autofinance par un petit
boulot de pionne et coloue son appartement avec trois autres étudiantes. Elle est
inconditionnelle du covoiturage depuis trois ans, "car même avec la carte 12-25, le train est
cher. J'économise 75 % du prix". Elle est aussi fan de Troctribu.com pour échanger des DVD,
CD et livres.
Les chercheurs de liens perdus. Pour certains, le partage rend notre société plus
vivable. "Une soupe de légumes préparée maison, c'est sympa. Mais aller au marché à
vélo, éplucherpour soi toute seule, ça n'encourage pas à adopter un mode alimentaire bio et
de proximité", reconnaît Claire, 29 ans, salariée dans la région parisienne. "A plusieurs, en
colocation, ce n'est plus un effort, c'est un mode de vie." Claire utilise également le
covoiturage. Par souci d'économie, mais aussi car "c'est un facteur de mixité sociale".
Camille, travaillant dans la banlieue toulousaine, est également fan du voyage en
commun. "Fini le temps où je m'enfermais dans une bulle de silence, seule dans ma voiture",
explique celle qui doit faire 50 minutes de route matin et soir. "Aujourd'hui, je ronchonne le
lundi, je remonte le moral à ceux qui ronchonnent le mardi, on rigole le mercredi, on chante le
jeudi", énumère-t-elle. Des liens que recherchent également les seniors, eux aussi de plus en
plus tentés par la colocation, à l'instar des héros du film Et si on vivait tous ensemble ?, de
Stéphane Robelin, qui sortira en janvier 2012. Pierre Richard, Jane Fonda, Claude Rich et Guy
Bedos y campent une bande de copains se frottant, sur le tard, à la vie en communauté.
SOURCE: http://www.lemonde.fr/vous/article/2011/10/17/le-partage-un-nouveau-mode-de-
consommation_1589044_3238.html#8XfwaUegiPO7klzQ.99
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NUTELLA
https://actu.orange.fr/france/video-intermarche-une-promotion-sur-le-nutella-
provoque-des-emeutes-magic-CNT000000WwHSI.html
http://www.leparisien.fr/faits-divers/intermarche-une-promotion-sur-le-nutella-vire-
presque-a-l-emeute-dans-plusieurs-magasins-25-01-2018-7522050.php
https://www.20minutes.fr/economie/2214287-20180204-video-ruee-nutella-
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