2. Plan de la présentation Introduction générale Introduction à la seconde partie I- Vertus intellectuelles et morales II- La vertu et le plaisir III- Conditions de l’acte moral IV- La vertu est une habitude V- La vertu est une médiété VI- Définition complète de la vertu morale Conclusion de la seconde partie
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4. Le bonheur est l’activité qui permet à l’Homme de réaliser au mieux sa fonction propre. Elle est donc conforme à la vertu.
8. Nos plaisirs et nos peines déterminent nos actions et nos passions ; on devient ainsi vertueux en apprenant à agir de la meilleure façon au regard des plaisirs et des peines, c’est-à-dire ne poursuivre que les plaisirs qu’il faut rechercher et le faire au bon moment, de la bonne façon… Cette disposition n’est pas naturelle mais acquise lors d’une « saine éducation ».
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11. Les actions morales d’un individu peuvent varier au cours de sa vie. Or tout ce qui existe par nature ne peut être modifié par l’habitude. Donc la vertu morale ne s’acquiert pas par nature.
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13. Il existe deux sortes de moyens : un « moyen dans la chose », à égale distance des deux extrêmes et identique pour tous, et un « moyen par rapport à nous », qui n’est ni trop ni trop peu et relatif à chacun.
14. Tout art vise le moyen relatif à nous ; or la vertu est supérieure à tout art ; donc la vertu (morale) vise aussi le juste milieu (ou médiété) relatif à nous.Erreur Louange Perfection Blâme
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16. De plus, il est précisé que certaines actions ou affections sont mauvaises en elles-mêmes ; elles ne comportent alors pas de médiété, d’excès ou de défaut car « il n’existe ni médiété d’excès et de défaut, ni excès et défaut de médiété ». Notre liberté de choisir notre propre médiété est ainsi restreinte.La vertu morale est à la fois une médiété et un sommet (en terme de perfection et d’excellence).
17. Conclusion de la seconde partie Médiété Conditions Habitude Plaisir Enseignement Expérience Engendre, permet Dépend de