171227 ara territoire_touches_eloignement_emploiFrance Travail
Fin 2016, en Auvergne-Rhône-Alpes, un demandeur d’emploi sur cinq est considéré comme éloigné de l’emploi. Le nombre de ces personnes, restées au moins 12 mois sans aucune activité au cours des 15 derniers mois, est en forte augmentation depuis 2010.
Une étude de l'Apec sur les circonstances du changement
d’entreprise, les changements observés entre les deux postes, l’opinion des cadres sur leur changement d’entreprise.
En 2013, 6 % des cadres ont connu une mobilité externe. Parmi ceux-ci, 59 % sont passés directement d’une entreprise à l’autre, tandis que 41 % ont connu une période de chômage entre les deux postes.
Qu’il s’agisse des circonstances du changement d’entreprise, des caractéristiques du nouveau poste et
de la nouvelle entreprise, ou de l’opinion des cadres sur cette mobilité, les écarts sont notables entre les cadres dont la mobilité a été directe et ceux pour lesquels elle s’est accompagnée d’une période de chômage. Ainsi, les premiers sont globalement plus jeunes que les seconds et voient plus souvent leur niveau de responsabilité s’accroître au sein de la nouvelle entreprise. De même, le changement favorise plus souvent l’augmentation de la rémunération des cadres qui ont changé directement d’entreprise, et leur opinion sur le nouveau poste occupé est très majoritairement positive.
- La rémunération des cadres de l’administration des RH progresse
- Plus de la moitié des cadres en RH bénéficient d’une part variable
- Différents facteurs déterminent la rémunération
Notre étude, réalisée pour la CFDT, recueille la perception des Français sur l'impact de la crise sur leur situation professionnelle et leur vison de l'avenir.
Etude Apec - La mobilité externe comparée des cadres quittant une petite entr...Apec
Une étude de l'Apec sur la mobilité externe comparée des cadres selon la taille de l'entreprise qu'ils ont quitté.
La mobilité externe des cadres est étroitement liée à leur âge. Les circonstances et les conditions dans lesquelles le changement d’entreprise se déroule, agissent significativement sur la dimension du poste nouvellement occupé. Qu’en est-il de la taille de l’entreprise ? Si cette dernière ne détermine pas fondamentalement les contours et la dimension du nouveau poste, les cadres mobiles en externe présentent des profils différents selon qu’ils quittent ou arrivent dans une TPE, une PME ou dans un grand groupe. Ainsi, ceux ayant quitté une grande entreprise sont plus jeunes et bénéficient de circonstances de changement plus favorables notamment lorsqu’ils retrouvent un poste dans une structure de même taille. À l’inverse les cadres quittant une TPE pour une autre TPE sont moins bien lotis. Plus âgés, ils subissent plus souvent une période de chômage ce qui n’est pas sans conséquences sur leurs nouvelles conditions d’emploi.
La population des « cadres », statut spécifiquement français qui renvoie à des fonctions d’encadrement et d’expertise, a longtemps été considérée comme étant épargnée par le chômage. Depuis les années 1990 cependant, ce n’est plus totalement le cas : le taux de chômage des cadres augmente lors des périodes de mauvaise conjoncture économique (même s’il reste très inférieur à celui d’autres catégories socioprofessionnelles), et une partie des cadres connaissent l’expérience du chômage de longue durée : parmi les 48 120 cadres inscrits sur les listes de demandeurs d’emploi au premier trimestre 2010, 36% ont cumulé au moins 12 mois sur les listes au cours des deux ans qui ont suivi leur inscription.
Les cadres débutant un épisode de chômage ont des représentations diverses de leur situation, qui renvoient à l’hétérogénéité de leur vécu du monde du travail et de leurs aspirations. Malgré cette diversité de représentation, on observe cependant des étapes communes dans l’évolution des représentations qu’ont les cadres de leur épisode de recherche d’emploi (temps du retour sur soi, période de doute et d’incompréhension, période des concessions).
Au total, quatre grands types de trajectoires donnant lieu à une inscription de longue durée à Pôle emploi apparaissent :
Plus d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée restent inscrits pendant près de deux ans, en effectuant peu d’activité réduite, avant de sortir durablement des listes de demandeurs d’emploi.
Un deuxième ensemble de trajectoires, qui concernent un peu plus souvent les femmes est marqué par l’exercice rapide d’une activité réduite (tout en restant inscrit à Pôle emploi), qui dans la grande majorité des cas, précède une sortie durable des listes.
Un peu moins d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée connaissent une réinsertion longue et difficile, pouvant dans certains cas prendre la forme d’une transition longue vers la retraite.
Enfin, une situation assez particulière et limitée quantitativement (3% des hommes) est le cas des cadres demandeurs d’emploi connaissant une réinsertion via la création d’entreprise.
171227 ara territoire_touches_eloignement_emploiFrance Travail
Fin 2016, en Auvergne-Rhône-Alpes, un demandeur d’emploi sur cinq est considéré comme éloigné de l’emploi. Le nombre de ces personnes, restées au moins 12 mois sans aucune activité au cours des 15 derniers mois, est en forte augmentation depuis 2010.
Une étude de l'Apec sur les circonstances du changement
d’entreprise, les changements observés entre les deux postes, l’opinion des cadres sur leur changement d’entreprise.
En 2013, 6 % des cadres ont connu une mobilité externe. Parmi ceux-ci, 59 % sont passés directement d’une entreprise à l’autre, tandis que 41 % ont connu une période de chômage entre les deux postes.
Qu’il s’agisse des circonstances du changement d’entreprise, des caractéristiques du nouveau poste et
de la nouvelle entreprise, ou de l’opinion des cadres sur cette mobilité, les écarts sont notables entre les cadres dont la mobilité a été directe et ceux pour lesquels elle s’est accompagnée d’une période de chômage. Ainsi, les premiers sont globalement plus jeunes que les seconds et voient plus souvent leur niveau de responsabilité s’accroître au sein de la nouvelle entreprise. De même, le changement favorise plus souvent l’augmentation de la rémunération des cadres qui ont changé directement d’entreprise, et leur opinion sur le nouveau poste occupé est très majoritairement positive.
- La rémunération des cadres de l’administration des RH progresse
- Plus de la moitié des cadres en RH bénéficient d’une part variable
- Différents facteurs déterminent la rémunération
Notre étude, réalisée pour la CFDT, recueille la perception des Français sur l'impact de la crise sur leur situation professionnelle et leur vison de l'avenir.
Etude Apec - La mobilité externe comparée des cadres quittant une petite entr...Apec
Une étude de l'Apec sur la mobilité externe comparée des cadres selon la taille de l'entreprise qu'ils ont quitté.
La mobilité externe des cadres est étroitement liée à leur âge. Les circonstances et les conditions dans lesquelles le changement d’entreprise se déroule, agissent significativement sur la dimension du poste nouvellement occupé. Qu’en est-il de la taille de l’entreprise ? Si cette dernière ne détermine pas fondamentalement les contours et la dimension du nouveau poste, les cadres mobiles en externe présentent des profils différents selon qu’ils quittent ou arrivent dans une TPE, une PME ou dans un grand groupe. Ainsi, ceux ayant quitté une grande entreprise sont plus jeunes et bénéficient de circonstances de changement plus favorables notamment lorsqu’ils retrouvent un poste dans une structure de même taille. À l’inverse les cadres quittant une TPE pour une autre TPE sont moins bien lotis. Plus âgés, ils subissent plus souvent une période de chômage ce qui n’est pas sans conséquences sur leurs nouvelles conditions d’emploi.
La population des « cadres », statut spécifiquement français qui renvoie à des fonctions d’encadrement et d’expertise, a longtemps été considérée comme étant épargnée par le chômage. Depuis les années 1990 cependant, ce n’est plus totalement le cas : le taux de chômage des cadres augmente lors des périodes de mauvaise conjoncture économique (même s’il reste très inférieur à celui d’autres catégories socioprofessionnelles), et une partie des cadres connaissent l’expérience du chômage de longue durée : parmi les 48 120 cadres inscrits sur les listes de demandeurs d’emploi au premier trimestre 2010, 36% ont cumulé au moins 12 mois sur les listes au cours des deux ans qui ont suivi leur inscription.
Les cadres débutant un épisode de chômage ont des représentations diverses de leur situation, qui renvoient à l’hétérogénéité de leur vécu du monde du travail et de leurs aspirations. Malgré cette diversité de représentation, on observe cependant des étapes communes dans l’évolution des représentations qu’ont les cadres de leur épisode de recherche d’emploi (temps du retour sur soi, période de doute et d’incompréhension, période des concessions).
Au total, quatre grands types de trajectoires donnant lieu à une inscription de longue durée à Pôle emploi apparaissent :
Plus d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée restent inscrits pendant près de deux ans, en effectuant peu d’activité réduite, avant de sortir durablement des listes de demandeurs d’emploi.
Un deuxième ensemble de trajectoires, qui concernent un peu plus souvent les femmes est marqué par l’exercice rapide d’une activité réduite (tout en restant inscrit à Pôle emploi), qui dans la grande majorité des cas, précède une sortie durable des listes.
Un peu moins d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée connaissent une réinsertion longue et difficile, pouvant dans certains cas prendre la forme d’une transition longue vers la retraite.
Enfin, une situation assez particulière et limitée quantitativement (3% des hommes) est le cas des cadres demandeurs d’emploi connaissant une réinsertion via la création d’entreprise.
Pourquoi les employeurs ont (parfois) des difficultés à recruterFrance Travail
Le sujet des difficultés de recrutement s’invite régulièrement dans le débat public. Dans un contexte de chômage massif et en progression, l’existence d’emplois difficiles à pourvoir et par conséquent durablement vacants paraît difficilement compréhensible. Nos explications.
Parmi l’ensemble des sortants d’une formation prescrite par Pôle emploi en 2015, 57% accèdent à un emploi dans les six mois qui suivent. Ce taux progresse de 1,3 point par rapport à 2014.
Le taux d’accès à l’emploi après une formation est en moyenne plus élevé pour les formations préalables à l’embauche (AFPR, POEI), pour les demandeurs d’emploi les plus jeunes et plus faible pour les demandeurs d’emploi de longue durée. La hausse du taux d’accès à l’emploi entre 2014 et 2015 est plus marquée pour les populations les plus éloignées de l’emploi (seniors, demandeurs d’emploi de longue durée).
Selon l’enquête « Sortants de formation », parmi les demandeurs d’emploi ayant terminé une formation en mars 2015 et retrouvé un emploi six mois plus tard, l’emploi retrouvé correspond dans près de deux tiers des cas à l’emploi recherché. L’expérience professionnelle et en particulier la multiplication des expériences professionnelles semblent être des atouts pour le reclassement. Enfin, près de neuf demandeurs d’emploi sur dix affirment que leur formation a répondu à leurs attentes et environ 90 % des demandeurs d’emploi ayant retrouvé un emploi sont satisfaits de l’emploi retrouvé.
La place du numérique dans la recherche de candidats par les employeursFrance Travail
La multiplication des outils numériques destinés à faciliter le rapprochement de l’offre et de la demande d’emploi n’a pas pour autant modifié en profondeur les pratiques de recrutement des entreprises.
Accompagner les demandeurs d'emploi et les entreprises pendant le confinementFrance Travail
Pendant la période de confinement, une part importante de l’activité économique a été interrompue ou fortement réduite, entraînant une très forte baisse des recrutements et des retours à l’emploi. Dans le même temps, les agences de Pôle emploi ont temporairement cessé d’accueillir du public afin de prévenir la contagion du coronavirus.
La mobilisation de Pôle emploi pendant cette période a permis d’assurer le maintien des services aux demandeurs d’emploi et aux entreprises : garantir le bon paiement de l’indemnisation du chômage, répondre aux sollicitations, assurer l’inscription, notamment au travers du premier entretien, proposer des prestations d’accompagnement, accompagner les employeurs dans leurs recrutements prioritaires. Les enquêtes réalisées au cours de cette période montrent que grâce à ces actions, Pôle emploi est resté accessible pendant la période de confinement.
La dématérialisation de l’inscription à Pôle emploiFrance Travail
La dématérialisation de l’inscription à Pôle emploi a des effets positifs sur la qualité de la prise en charge des demandeurs d’emploi.
La dématérialisation de l’inscription administrative et du traitement de la demande d’allocation, mise en place en 2016, a notamment pour objectif de libérer les conseillers de certaines tâches afin qu’ils puissent consacrer plus de temps à l’accompagnement des demandeurs d’emploi. L’entretien d’inscription réalisé par la suite avec un conseiller est désormais centré sur la situation professionnelle du demandeur d’emploi alors qu’auparavant, inscription administrative, traitement de la demande d’allocation et diagnostic de la situation professionnelle étaient effectués au cours d’un seul entretien.
En février 2012, l’Unédic a mené une enquête téléphonique auprès de demandeurs d’emploi indemnisés par l’Assurance chômage ayant exercé une activité réduite au cours du 2ème trimestre 2011. Les individus ont été interrogés sur leur situation professionnelle au moment de l’enquête, sur les motifs les ayant conduits à occuper une activité réduite et sur leur perception du dispositif. L’enquête a également permis de recueillir des informations sur leur connaissance des règles du dispositif.
Etude Apec - De l'offre au recrutement - édition 2016Apec
Cette étude présente l’analyse approfondie de 4 vagues d’enquête de suivi des offres et de tension, complémentaire des résultats publiés chaque trimestre dans la Note de
conjoncture de l’Apec.
En 2015, le nombre moyen de candidatures reçues pour une offre est de 41, contre 44 en 2014. Le délai moyen d’un processus de recrutement est quant à lui de 9 semaines. En outre, près de 70 % des postes sont pourvus trois à six mois après la parution de l’offre correspondante. Par ailleurs, la moitié des procédures de recrutement sont liées à des créations de poste. La part des recruteurs qui rencontrent des difficultés pour trouver les profils qui correspondent à leurs besoins a progressé de 2 points pour s’établir à 63%.
Etude Apec - Recrutements et tension - édition 2015Apec
En 2014, près de 70 % des opportunités d’emploi ayant fait l’objet d’une diffusion d’offre sur apec.fr ont donné lieu à un recrutement dans les trois à six mois après leur parution.
Dans 10 % des cas, le recrutement est finalement abandonné, et dans près de 20 % des cas, le recrutement est toujours en cours.
Les entreprises recrutent majoritairement pour des remplacements, et le poids des créations de poste dans les motifs de recrutement a continué de baisser en 2014 (48 %). Dans un contexte économique dégradé, voire incertain, les entreprises sont en effet frileuses à l’idée de créer de nouveaux postes. De plus, les recrutements qui correspondent à de nouveaux postes sont moins souvent finalisés. Ils sont plus fréquemment abandonnés ou toujours en cours trois à six mois après la parution de l’offre.
Selon les recruteurs, un recrutement toujours en cours s’explique souvent par un manque de candidatures adéquates. Les principales raisons avancées pour expliquer un recrutement abandonné sont d’ordre économique ou budgétaire, suivies de la redéfinition du poste et du manque de candidatures.
Six recruteurs sur dix perçoivent la recherche de candidats comme difficile. Les fonctions qui attirent le moins de candidatures sont celles pour lesquelles les recruteurs expriment le plus de difficultés à trouver le profil adéquat : l’informatique, suivie de la production industrielle-travaux et chantier.
Pratiques et impact des activités réduitesFrance Travail
Ce document présente les résultats des travaux menés sur le thème de l’activité réduite, par cinq laboratoires sélectionnés dans le cadre d’un appel à propositions de recherches lancé par Pôle emploi avec le concours de son conseil scientifique.
Au-delà de la diversité des pratiques observables des activités réduites, plus souvent subies que choisies, leurs effets sont globalement positifs. En permettant de conserver un lien étroit au monde du travail, l’activité réduite évite le plus souvent de s’enfermer dans la précarité et de bénéficier d’un « effet tremplin » pour sortir du chômage et accéder à un emploi plus durable. De plus, dans un contexte où les formes particulières d’emploi se diffusent et deviennent de moins en moins atypiques, l’attitude des recruteurs peut bénéficier à ceux qui ont connu le temps partiel ou les emplois temporaires entrecoupés de périodes de chômage, dès lors que cette situation devient banale dans le métier considéré.
Etude Apec - Le recrutement de cadres dans les PMEApec
- La moitié des petites et moyennes entreprises (PME) ont recruté au moins un cadre au cours des deux dernières années.
- La majorité des PME indique avoir eu des difficultés à recruter.
- Pour recruter, les PME misent tout, ou presque, sur l’offre d’emploi et leur réseau de relations.
- Le besoin d’accompagnement des PME est centré surtout sur l’optimisation des offres d’emploi.
Par rapport à une population témoin comparable, les jeunes bénéficiaires de l’accompagnement intensif jeunes (AIJ) sont plus souvent en emploi 8 mois après leur entrée (+10 points), soit une hausse de 28%, et plus souvent en emploi durable (+5 points). Ils expriment également une satisfaction plus élevée de leur accompagnement.
Cette forme d’accompagnement leur permet d’être plus motivés (+27 points) et mieux outillés dans leur recherche d’emploi. Les jeunes sont plus mobilisés et utilisent de façon plus intensive les différents canaux de recrutement.
Mieux anticiper les besoins du marché du travail - Enjeux et perspectives op...France Travail
Dans quel contexte Pôle emploi va-t-il devoir agir aujourd’hui et au cours des mois suivants ? Quels sont les enjeux et besoins essentiels auxquels il faut que l’établissement soit en capacité de répondre, en cohérence avec la convention tripartite signée avec l’État et l’Unédic pour les années 2015 à 2018 et le projet stratégique 2015-2020 ?
Métier chargé de diffusion présentation commentéeDTournayre
Présentation du référentiel métier et d'une enquête de 2011 en Languedoc-Roussillon lors du séminaire métier Chargé de diffusion du projet DAV. 19 et 20 avril 2016
El documento proporciona una definición de ensayo y sus características. Explica que un ensayo es una pieza escrita corta que presenta una perspectiva sobre un tema de manera concisa y subjetiva. Además, detalla los elementos que debe contener un buen ensayo como coherencia, claridad, profundidad y argumentación. Finalmente, describe diferentes tipos de ensayos como el poético, argumentativo, expositivo y crítico.
Este documento discute la gran cantidad de datos e información digital disponible en la actualidad debido al crecimiento exponencial de Internet y las redes sociales. Menciona que el 97% de la información mundial ya está digitalizada y que el 90% de los datos en el mundo se han creado en los últimos dos años. También analiza cómo las personas interactúan con esta información a través de plataformas como Facebook, Twitter y Google, y resalta los desafíos de navegar y filtrar entre tanta información para encontrar conocimiento valioso.
Pourquoi les employeurs ont (parfois) des difficultés à recruterFrance Travail
Le sujet des difficultés de recrutement s’invite régulièrement dans le débat public. Dans un contexte de chômage massif et en progression, l’existence d’emplois difficiles à pourvoir et par conséquent durablement vacants paraît difficilement compréhensible. Nos explications.
Parmi l’ensemble des sortants d’une formation prescrite par Pôle emploi en 2015, 57% accèdent à un emploi dans les six mois qui suivent. Ce taux progresse de 1,3 point par rapport à 2014.
Le taux d’accès à l’emploi après une formation est en moyenne plus élevé pour les formations préalables à l’embauche (AFPR, POEI), pour les demandeurs d’emploi les plus jeunes et plus faible pour les demandeurs d’emploi de longue durée. La hausse du taux d’accès à l’emploi entre 2014 et 2015 est plus marquée pour les populations les plus éloignées de l’emploi (seniors, demandeurs d’emploi de longue durée).
Selon l’enquête « Sortants de formation », parmi les demandeurs d’emploi ayant terminé une formation en mars 2015 et retrouvé un emploi six mois plus tard, l’emploi retrouvé correspond dans près de deux tiers des cas à l’emploi recherché. L’expérience professionnelle et en particulier la multiplication des expériences professionnelles semblent être des atouts pour le reclassement. Enfin, près de neuf demandeurs d’emploi sur dix affirment que leur formation a répondu à leurs attentes et environ 90 % des demandeurs d’emploi ayant retrouvé un emploi sont satisfaits de l’emploi retrouvé.
La place du numérique dans la recherche de candidats par les employeursFrance Travail
La multiplication des outils numériques destinés à faciliter le rapprochement de l’offre et de la demande d’emploi n’a pas pour autant modifié en profondeur les pratiques de recrutement des entreprises.
Accompagner les demandeurs d'emploi et les entreprises pendant le confinementFrance Travail
Pendant la période de confinement, une part importante de l’activité économique a été interrompue ou fortement réduite, entraînant une très forte baisse des recrutements et des retours à l’emploi. Dans le même temps, les agences de Pôle emploi ont temporairement cessé d’accueillir du public afin de prévenir la contagion du coronavirus.
La mobilisation de Pôle emploi pendant cette période a permis d’assurer le maintien des services aux demandeurs d’emploi et aux entreprises : garantir le bon paiement de l’indemnisation du chômage, répondre aux sollicitations, assurer l’inscription, notamment au travers du premier entretien, proposer des prestations d’accompagnement, accompagner les employeurs dans leurs recrutements prioritaires. Les enquêtes réalisées au cours de cette période montrent que grâce à ces actions, Pôle emploi est resté accessible pendant la période de confinement.
La dématérialisation de l’inscription à Pôle emploiFrance Travail
La dématérialisation de l’inscription à Pôle emploi a des effets positifs sur la qualité de la prise en charge des demandeurs d’emploi.
La dématérialisation de l’inscription administrative et du traitement de la demande d’allocation, mise en place en 2016, a notamment pour objectif de libérer les conseillers de certaines tâches afin qu’ils puissent consacrer plus de temps à l’accompagnement des demandeurs d’emploi. L’entretien d’inscription réalisé par la suite avec un conseiller est désormais centré sur la situation professionnelle du demandeur d’emploi alors qu’auparavant, inscription administrative, traitement de la demande d’allocation et diagnostic de la situation professionnelle étaient effectués au cours d’un seul entretien.
En février 2012, l’Unédic a mené une enquête téléphonique auprès de demandeurs d’emploi indemnisés par l’Assurance chômage ayant exercé une activité réduite au cours du 2ème trimestre 2011. Les individus ont été interrogés sur leur situation professionnelle au moment de l’enquête, sur les motifs les ayant conduits à occuper une activité réduite et sur leur perception du dispositif. L’enquête a également permis de recueillir des informations sur leur connaissance des règles du dispositif.
Etude Apec - De l'offre au recrutement - édition 2016Apec
Cette étude présente l’analyse approfondie de 4 vagues d’enquête de suivi des offres et de tension, complémentaire des résultats publiés chaque trimestre dans la Note de
conjoncture de l’Apec.
En 2015, le nombre moyen de candidatures reçues pour une offre est de 41, contre 44 en 2014. Le délai moyen d’un processus de recrutement est quant à lui de 9 semaines. En outre, près de 70 % des postes sont pourvus trois à six mois après la parution de l’offre correspondante. Par ailleurs, la moitié des procédures de recrutement sont liées à des créations de poste. La part des recruteurs qui rencontrent des difficultés pour trouver les profils qui correspondent à leurs besoins a progressé de 2 points pour s’établir à 63%.
Etude Apec - Recrutements et tension - édition 2015Apec
En 2014, près de 70 % des opportunités d’emploi ayant fait l’objet d’une diffusion d’offre sur apec.fr ont donné lieu à un recrutement dans les trois à six mois après leur parution.
Dans 10 % des cas, le recrutement est finalement abandonné, et dans près de 20 % des cas, le recrutement est toujours en cours.
Les entreprises recrutent majoritairement pour des remplacements, et le poids des créations de poste dans les motifs de recrutement a continué de baisser en 2014 (48 %). Dans un contexte économique dégradé, voire incertain, les entreprises sont en effet frileuses à l’idée de créer de nouveaux postes. De plus, les recrutements qui correspondent à de nouveaux postes sont moins souvent finalisés. Ils sont plus fréquemment abandonnés ou toujours en cours trois à six mois après la parution de l’offre.
Selon les recruteurs, un recrutement toujours en cours s’explique souvent par un manque de candidatures adéquates. Les principales raisons avancées pour expliquer un recrutement abandonné sont d’ordre économique ou budgétaire, suivies de la redéfinition du poste et du manque de candidatures.
Six recruteurs sur dix perçoivent la recherche de candidats comme difficile. Les fonctions qui attirent le moins de candidatures sont celles pour lesquelles les recruteurs expriment le plus de difficultés à trouver le profil adéquat : l’informatique, suivie de la production industrielle-travaux et chantier.
Pratiques et impact des activités réduitesFrance Travail
Ce document présente les résultats des travaux menés sur le thème de l’activité réduite, par cinq laboratoires sélectionnés dans le cadre d’un appel à propositions de recherches lancé par Pôle emploi avec le concours de son conseil scientifique.
Au-delà de la diversité des pratiques observables des activités réduites, plus souvent subies que choisies, leurs effets sont globalement positifs. En permettant de conserver un lien étroit au monde du travail, l’activité réduite évite le plus souvent de s’enfermer dans la précarité et de bénéficier d’un « effet tremplin » pour sortir du chômage et accéder à un emploi plus durable. De plus, dans un contexte où les formes particulières d’emploi se diffusent et deviennent de moins en moins atypiques, l’attitude des recruteurs peut bénéficier à ceux qui ont connu le temps partiel ou les emplois temporaires entrecoupés de périodes de chômage, dès lors que cette situation devient banale dans le métier considéré.
Etude Apec - Le recrutement de cadres dans les PMEApec
- La moitié des petites et moyennes entreprises (PME) ont recruté au moins un cadre au cours des deux dernières années.
- La majorité des PME indique avoir eu des difficultés à recruter.
- Pour recruter, les PME misent tout, ou presque, sur l’offre d’emploi et leur réseau de relations.
- Le besoin d’accompagnement des PME est centré surtout sur l’optimisation des offres d’emploi.
Par rapport à une population témoin comparable, les jeunes bénéficiaires de l’accompagnement intensif jeunes (AIJ) sont plus souvent en emploi 8 mois après leur entrée (+10 points), soit une hausse de 28%, et plus souvent en emploi durable (+5 points). Ils expriment également une satisfaction plus élevée de leur accompagnement.
Cette forme d’accompagnement leur permet d’être plus motivés (+27 points) et mieux outillés dans leur recherche d’emploi. Les jeunes sont plus mobilisés et utilisent de façon plus intensive les différents canaux de recrutement.
Mieux anticiper les besoins du marché du travail - Enjeux et perspectives op...France Travail
Dans quel contexte Pôle emploi va-t-il devoir agir aujourd’hui et au cours des mois suivants ? Quels sont les enjeux et besoins essentiels auxquels il faut que l’établissement soit en capacité de répondre, en cohérence avec la convention tripartite signée avec l’État et l’Unédic pour les années 2015 à 2018 et le projet stratégique 2015-2020 ?
Métier chargé de diffusion présentation commentéeDTournayre
Présentation du référentiel métier et d'une enquête de 2011 en Languedoc-Roussillon lors du séminaire métier Chargé de diffusion du projet DAV. 19 et 20 avril 2016
El documento proporciona una definición de ensayo y sus características. Explica que un ensayo es una pieza escrita corta que presenta una perspectiva sobre un tema de manera concisa y subjetiva. Además, detalla los elementos que debe contener un buen ensayo como coherencia, claridad, profundidad y argumentación. Finalmente, describe diferentes tipos de ensayos como el poético, argumentativo, expositivo y crítico.
Este documento discute la gran cantidad de datos e información digital disponible en la actualidad debido al crecimiento exponencial de Internet y las redes sociales. Menciona que el 97% de la información mundial ya está digitalizada y que el 90% de los datos en el mundo se han creado en los últimos dos años. También analiza cómo las personas interactúan con esta información a través de plataformas como Facebook, Twitter y Google, y resalta los desafíos de navegar y filtrar entre tanta información para encontrar conocimiento valioso.
Este documento describe los conceptos fundamentales de la comunicación y el lenguaje. Explica que la comunicación implica el intercambio de mensajes entre un emisor y receptor a través de lenguajes verbales y no verbales. Define los diferentes tipos de signos como indicios, iconos y símbolos, y describe las funciones del lenguaje como la referencial, conativa, emotiva, poética, fática y metalingüística. También analiza el signo lingüístico y sus características de arbitraridad, carácter lineal, inmutabilidad
El documento describe las etapas del ciclo celular eucariota, incluyendo la interfase (G1, S, G2), la mitosis (profase, metafase, anafase, telofase) y la meiosis. La interfase permite el crecimiento celular y la replicación del ADN. La mitosis divide el material genético entre dos células hijas idénticas. La meiosis reduce la cantidad de cromosomas a la mitad para producir gametos con número haploide de cromosomas.
Este documento habla sobre las redes sociales y las relaciones entre personas y entidades. Explica conceptos clave como la cola larga, el coeficiente de agrupamiento, las estructuras de comunidad y los diferentes tipos de redes como las redes aleatorias, las redes de mundo pequeño y las redes libres de escala. También analiza modelos de redes y medidas para analizar las propiedades de las redes como la centralidad y la detección de comunidades.
Este documento lista varias faltas de ortografía comunes en español y sus correcciones, así como los lugares donde se encuentran dichas faltas, principalmente en pequeños comercios y pueblos de Sevilla.
Fin octobre 2014, le nombre d’intérimaires s’établit à 597.800 en valeur corrigée des variations saisonnières (donnée provisoire). Il connaît une baisse par rapport à fin septembre 2014 (-0,2%) et progresse de 2,0% sur un an.
Fundación Alamedillas Ficha formativa Trabajando habilidades sociales en un I...Fundación Alamedillas
Intervenir socioeducativamente para trabajar las habilidades sociales de adolescentes “señalados” por el Centro Educativo es posible. ¿Los resultados? En este caso, muy positivos, aunque fuera una intervención breve. Puede ser ejemplo para abordar situaciones de convivencia que se plantean dentro de los muros de los Centros Educativos.
Externatic recrutement pour startup 303tour 05022016Benjamin Casseron
Présentation réalisée dans le cadre du 303 tour sur le recrutement, le management en startup.
Externatic est un cabinet de recrutement basé à Nantes et spécialisé sur les métiers du web, de l'informatique, de l'électronique
Proposition de règlement du Parlement Europeen et du Conseil Europeen sur l'i...Market Engel SAS
EXPOSÉ DES MOTIFS
1. CONTEXTE DE LA PROPOSITION
Le présent exposé décrit le cadre juridique qui est proposé pour susciter une confiance accrue dans les transactions électroniques au sein du marché intérieur.
Instaurer un climat de confiance dans l'environnement en ligne est essentiel au développement économique. En effet, si les consommateurs, les entreprises et les administrations n'ont pas confiance, ils hésiteront à effectuer des transactions par voie électronique et à adopter de nouveaux services.
La stratégie numérique pour l'Europe recense les obstacles qui s'opposent actuellement au développement numérique de l'Europe et propose une législation sur les signatures électroniques (action clé 3) et la reconnaissance mutuelle de l'identification et de l'authentification électroniques (action clé 16), en établissant un cadre juridique clair afin de remédier au cloisonnement et au manque d'interopérabilité, de développer la citoyenneté numérique et de prévenir la cybercriminalité. Une législation garantissant la reconnaissance mutuelle de l'identification et de l'authentification électroniques dans l'UE et le réexamen de la directive sur les signatures électroniques constituent aussi, dans l'Acte pour le marché unique , une action clé pour la réalisation du marché unique du numérique. Enfin, la feuille de route pour la stabilité et la croissance souligne la fonction essentielle que le futur cadre juridique commun concernant la reconnaissance et l'acceptation mutuelles de l'identification et de l'authentification électroniques au niveau transnational aura pour le développement de l'économie numérique.
Le cadre juridique proposé, consistant en un règlement du Parlement européen et du Conseil sur l'identification électronique et les services de confiance pour les transactions électroniques au sein du marché intérieur, vise à permettre des interactions électroniques sûres et sans discontinuité entre les entreprises, les particuliers et les pouvoirs publics et à accroître ainsi l'efficacité des services en ligne publics et privés et du commerce électronique dans l'UE.
La législation de l'UE existant en la matière, à savoir la directive 1999/93/CE sur un cadre communautaire pour les signatures électroniques , ne couvre, comme son nom l'indique, que les signatures électroniques. L'UE ne dispose encore d'aucun cadre transnational et intersectoriel complet pour des transactions électroniques sûres, fiables et aisées, qui recouvre l'identification, l'authentification et les signatures électroniques. Le but est donc d'étoffer la législation actuelle et de l'étendre à la reconnaissance et à l'acceptation mutuelles, au niveau de l'UE, des systèmes d'identification électronique notifiés et des principaux autres services de confiance électroniques qui y sont associés.
11-15 mars 2014 Paris Une semaine, 16 pays, 16 films autour de l'amour en temps de guerre
La première édition de la Semaine des cinémas étrangers se déroulera du 11 au 15 mars dans les centres et instituts culturels étrangers de Paris et au cinéma Etoile Pagode.
Ce premier festival international de cinéma des centres étrangers porte sur la thématique de « l’amour en temps de guerre ». La sélection des films choisis prend cependant en compte la diversité des conflits, des territoires, des époques et montre combien les enjeux humains et interpersonnels qui préoccupent les différents réalisateurs sont proches.
Films anciens (le plus vieux est de 1930) ou plus récents et en provenance de différents continents, sont comme autant de témoignages se répondant les uns aux autres pour aborder la question de l’amour et plus largement de notre part d’humanité en temps de guerre.
La durée de chômage augmente au 4e trimestre 2019France Travail
Au 4e trimestre 2019, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) baisse et s’établit à 341 jours, en augmentation de 12 jours par rapport au trimestre précédent.
Tableau de bord national Agefiph 2015 (mars 2016)Handirect 05
Une année 2015 marquée par une reprise économique encore insuffisante pour inverser la courbe du chômage
L'activité économique a redémarré en France en 2015 avec une hausse du Produit intérieur brut (PIB) de 1,1%, soit une légère reprise après quatre années de croissance atone.
Tableau de bord nationa Agefiph (mars 2016) - Bilan 2015AVIE
Une année 2015 marquée par une reprise économique encore insuffisante pour inverser la courbe du chômage
L'activité économique a redémarré en France en 2015 avec une hausse du Produit intérieur brut (PIB) de 1,1%, soit une légère reprise après quatre années de croissance atone.
Après trois années de destructions, l'économie française a recommencé à créer des emplois marchands en 2015, avec selon l’Insee plus de 80 000 nouveaux postes nets. Sur le trimestre, comme sur l'année, des embellies observées dans les services et dans l'intérim ont plus que compensé de nouvelles baisses dans l'industrie et la construction.
Le taux de chômage au sens du BIT est resté quasiment stable en 2015, les créations d’emplois demeurant insuffisantes pour absorber l’augmentation de la population active. Au quatrième trimestre 2015, il s'est établi à 10,0% de la population active pour la France métropolitaine (10,3% en incluant les DOM), soit une diminution de 0,1 point en un an.
Un chômage persistant pour les travailleurs handicapés avec une forte ancienneté d’inscription au chômage
A fin décembre 2015, le nombre de demandeurs d'emploi handicapés (DEBOE) s'élève à 486 546, soit une augmentation de 7,5% en un an (+4,7% pour le tout public). En trois ans, le nombre de demandeurs d'emploi a augmenté de 31% pour les travailleurs handicapés et de 18% pour l'ensemble des publics.
Les personnes handicapées, dont le taux de chômage est de 18% soit près de deux fois plus que pour le tout public, présentent toujours des difficultés particulières d’insertion (âge élevé, plus faible niveau de formation...) qui se matérialisent par une forte ancienneté d'inscription au chômage : 788 jours en moyenne, soit plus de 200 jours de plus que pour l’ensemble des publics.
Des résultats en hausse avec près de 80 000 insertions et 20 000 maintiens dans l'emploi en 2015
Au sein des contrats aidés, la part des personnes handicapées a progressé en 2015, davantage dans le secteur non marchand (+2,1 points pour les CUI-CAE) que dans le secteur marchand (+0,3 point pour les CUI-CIE).
Le nombre d'insertions a progressé de 6% en 2015, les Cap emploi ayant contribué à près de 80 000 recrutements de travailleurs handicapés dont 60% de CDI ou de CDD supérieurs à 6 mois.
La croissance des maintiens dans l'emploi s'est poursuivie (+6% en un an), les Sameth ayant réalisé près de 20 000 maintiens en 2015 avec, comme pour les recrutements, un pourcentage de femmes égal à 50%.
Chômage indemnisé ou non indemnisé - Situation au 30 septembre 2014France Travail
Fin septembre 2014, le nombre de chômeurs potentiellement indemnisables inscrits à Pôle emploi s’établit à 5 387 500, soit une augmentation de 5,1% en un an. Parmi ceux-ci, les effectifs non indemnisés progressent de +8,3% et les effectifs des indemnisés de +2,2%.
La durée de chômage baisse au 4e trimestre 2018France Travail
Au 4e trimestre 2018, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) diminue et s’établit à 374 jours, en baisse de 12 jours par rapport au trimestre précédent.
Les entrées en formation des demandeurs d'emploi au 3e trimestre 2020France Travail
Au 3e trimestre 2020, on compte environ 279 000 entrées en formation de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi. Le nombre d’entrées en formation augmente de 32,1% sur un an.
ES_le_retour_a_l_emploi_des_demandeurs_d_emploi_en_region_PACA_T1_2022.pdfFrance Travail
En France, au cours du 1er trimestre 2022, 1 092 100 demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories 1,2,3 ont repris un emploi d’un mois ou plus, en augmentation de+7,8% par rapport au 1er trimestre 2021. Sur la même période, le nombre de demandeurs d’emploi en catégories 1,2,3 s'améliore de -12,5% (données brutes en moyennes trimestrielles).
Es le retour_a_l_emploi_des_demandeurs_d_emploi_en_region_provence_alpes_cote...France Travail
Au cours du 1er trimestre 2021, plus de 82 900 demandeurs d’emploi inscrits en catégories 1,2,3 ont accédé à un emploi d’un mois ou plus, soit une hausse de +8.6% par rapport au 1er trimestre 2020 (+6 600 retours à l'emploi). Cette progression est toutefois inférieure à celle de la France (+16.2%). Sur 12 mois glissants, cela représente près de 359 400 retours à l'emploi (-1.9% par rapport à l'année précédente, soit 7 000 de moins).
Le sujet des difficultés de recrutement s’invite régulièrement dans le débat public y compris dans les périodes de conjoncture économique dégradée. Dans un contexte de chômage massif et en progression, l’existence d’emplois difficiles à pourvoir et par conséquent durablement vacants paraît difficilement compréhensible.
E s-le-retour-a-lemploi-des-demandeurs-demploi-en-region-provence-alpes-cote-...France Travail
En France, au cours du 3e trimestre 2020, 1278800 demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories 1,2,3 ont repris un emploi d’un mois ou plus, en augmentation de +7,3% par rapport au 3e trimestre 2019.Sur la même période, le nombre de demandeurs d’emploi en catégories 1,2,3 se détériore de +6,7% (données brutes en moyennes trimestrielles).
Panel entrants : les demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en décembre 2016France Travail
Parmi les demandeurs d’emploi qui se sont inscrits sur les listes de Pôle emploi en décembre 2016, plus de quatre sur dix (43%) sont en emploi en juin 2017,six mois après leur inscription : 38% ont repris une activité salariée et 5% ont créé leur entreprise.
47% sont en recherche d’emploi, 5% sont en formation et 5% dans une autre situation (maladie, retraite, arrêt de recherche d’emploi…).
Au total, 59% des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en décembre 2016 ont accédé à l’emploi au cours des six mois qui ont suivi leur inscription.
Les demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en décembre 2016France Travail
Parmi les demandeurs d’emploi qui se sont inscrits sur les listes de Pôle emploi en décembre 2016, plus de quatre sur dix (43%) sont en emploi en juin 2017,six mois après leur inscription : 38% ont repris une activité salariée et 5% ont créé leur entreprise.
47% sont en recherche d’emploi, 5% sont en formation et 5% dans une autre situation (maladie, retraite, arrêt de recherche d’emploi…).
Au total, 59% des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en décembre 2016 ont accédé à l’emploi au cours des six mois qui ont suivi leur inscription.
Entre juillet et septembre 2021, près de 27 000 demandeurs d'emploi, inscrits à Pôle Emploi, sont entrés en formation en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Le nombre d’entrées en formation a augmenté sur un an (+15%) et a plus que doublé par rapport au 3ème trimestre 2019.
Le nombre de retours à l'emploi des demandeurs d'emploi au 2 t 2021France Travail
En France, au cours du 2e trimestre 2021, 1162400 demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories1, 2, 3 ont repris un emploi d’un mois ou plus, en augmentation de +9,9% par rapport au 2e trimestre 2019. Sur la même période, le nombre de demandeurs d’emploi en catégories 1, 2, 3 se détériore de +2,4% (données brutes en moyennes trimestrielles).
Suivi sur 18 mois des demandeurs d'emploi inscrits en décembre 2014France Travail
Plus d’un demandeur d’emploi sur deux (58%) inscrit au mois de décembre 2014 est en activité (salariée ou non) dix-huit mois après son inscription et plus de huit sur dix (81,6%) ont eu accès à l’emploi au cours de ces dix-huit mois. La part des emplois durables croît de manière continue représentant 68,7% des emplois retrouvés six mois après l’inscription pour s’élever à 79,9% au bout de dix-huit mois.
Les chiffres de l'emploi et du chômage des personnes handicapées 2015 - Table...AVIE
Une reprise de l'intérim mais un chômage qui
continue de croître
Au 3ème trimestre 2015, l'emploi s'est stabilisé dans le
secteur marchand. Si l'emploi continue de baisser dans
l'industrie et la construction, il progresse dans le tertiaire du
fait notamment de la croissance de l'intérim (+50 000
emplois en un an, soit +9,5%).
Le taux de chômage est quant à lui en augmentation (+0,2
point en 3 mois). En moyenne sur le 3ème trimestre 2015, le
taux de chômage France entière s'établit à 10,6% de la
population active (10,2% en France métropolitaine). La
hausse concerne l'ensemble des tranches d'âge, mais plus
particulièrement les jeunes.
Pour les personnes handicapées, des difficultés
d'insertion qui persistent
Les personnes handicapées, dont le taux de chômage est de
18% soit près de deux fois plus que pour le tout public,
présentent toujours des difficultés particulières d’insertion
(âge élevé, plus faible niveau de formation...) qui se
matérialisent par une forte ancienneté d'inscription au
chômage : 785 jours en moyenne, soit plus de 200 jours de
plus que pour l’ensemble des publics.
Des résultats, en termes d'insertions et de
maintiens dans l'emploi, à nouveau en hausse en
2015
De janvier à septembre 2015, le nombre d'insertions est en
hausse de 6%, les Cap emploi ayant contribué à près de
54 000 recrutements de travailleurs handicapés, une
personne sur trois étant accompagnée depuis plus de deux
ans.
Par ailleurs, la croissance des maintiens dans l'emploi s'est
poursuivie (+10% en un an et +23% en deux ans), les Sameth
ayant réalisé plus de 14 000 maintiens sur les neuf premiers
mois de l'année, dont 71% dans des établissements de 20 salariés et plus.
Chiffres de l'emploi et du chômage des personnes handicapées 2015Handirect 05
Une reprise de l'intérim mais un chômage qui continue de croître
Au 3ème trimestre 2015, l'emploi s'est stabilisé dans le secteur marchand. Si l'emploi continue de baisser dans l'industrie et la construction, il progresse dans le tertiaire du fait notamment de la croissance de l'intérim (+50 000 emplois en un an, soit +9,5%).
Le taux de chômage est quant à lui en augmentation (+0,2 point en 3 mois). En moyenne sur le 3ème trimestre 2015, le taux de chômage France entière s'établit à 10,6% de la population active (10,2% en France métropolitaine). La hausse concerne l'ensemble des tranches d'âge, mais plus particulièrement les jeunes.
Pour les personnes handicapées, des difficultés d'insertion qui persistent
Les personnes handicapées, dont le taux de chômage est de 18% soit près de deux fois plus que pour le tout public, présentent toujours des difficultés particulières d’insertion (âge élevé, plus faible niveau de formation...) qui se matérialisent par une forte ancienneté d'inscription au
chômage : 785 jours en moyenne, soit plus de 200 jours de plus que pour l’ensemble des publics.
La durée de chômage au 4e trimestre 2023.pdfFrance Travail
Au 4e trimestre 2023, la durée d’inscription à France Travail, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 350 jours.
Les retours à_l'emploi des DE au 4ème trimestre 2023France Travail
Au cours du 4e trimestre 2023, près de 81 800 demandeurs d’emploi inscrits en catégories A et B ont accédé à un emploi d’un mois ou plus, soit une baisse de 3,7% par rapport au 4e trimestre 2022. Sur la même période, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégories A et B diminue de 0,1%.
Part des demandeurs d'emploi indemnisables : situation au 30 septembre 2023France Travail
Fin septembre 2023, 70,3 % des personnes inscrites à France Travail en catégories A, B, C ont un droit ouvert à l’indemnisation. Parmi celles-ci, 70,3 % sont indemnisées.
Ainsi, 49,4% des personnes inscrites à France Travail en catégories A, B, C sont indemnisées.
Les employeurs des salariés intermittents du spectacle au 3e trimestre 2023France Travail
Au cours du 3e trimestre 2023, 62 200 employeurs (+1,3% par rapport au 3e trimestre 2022) ont employé au moins un salarié intermittent du spectacle relevant du champ d’application des annexes 8 et 10 de l’Assurance chômage. Le nombre de salariés est également en hausse sur la même période (+1,4%), alors que le nombre de contrats de travail, la masse salariale et le volume d’heures travaillées sont en baisse (respectivement -2,1%, -2,4% et -2,8%).
Le contrôle de la recherche d'emploi en 2023France Travail
Au cours de l’année 2023, 523 400 contrôles de la recherche d’emploi ont été effectués, en hausse de 4,4% par rapport à 2022. 60% des contrôles ont été déclenchés par des requêtes ciblées. Un quart des contrôles sont faits sur une base aléatoire et 15% proviennent de signalements du conseiller référent.
Tableau de la filière maritime et fluviale en FranceFrance Travail
A l’occasion de la semaine de l’emploi maritime, France Travail publie sa nouvelle édition du tableau de la filière maritime et fluviale. En 2023, France Travail a ainsi proposé 418 000 offres d’emploi dans ce secteur aux 168 000 demandeurs d’emploi liés aux métiers maritimes et fluviaux.
ES Economie Verte 2023 en Région Provence-Alpes-Côte d'AzurFrance Travail
Dans la région, 16% de l’offre d’emploi concerne l’économie verte avec une évolution annuelle de +6%. La filière du bâtiment, énergies renouvelables, maîtrise de l’énergie est la plus représentée. Chiffres clés et tendances du secteur.
Plus de 58 900 offres ont été déposées à France Travail en un an au 30 juin 2023 : 5% pour les métiers verts et 95 % pour les métiers verdissants.
Demandeurs d'emploi indemnisés au 4e trimestre 2023France Travail
Au 4e trimestre 2023, 2 894 600 demandeurs d’emploi étaient indemnisés, en augmentation de 0,7% sur un trimestre et de 4,1% sur un an. Les bénéficiaires de l’Assurance chômage représentent 88,1% des personnes indemnisées au 4e trimestre 2023.
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à France Travail en 2023.pdfFrance Travail
Fin 2023, 48,8% des demandeurs d’emploi inscrits à France Travail en catégorie A sont des femmes. Depuis 2009, la part des femmes au sein des personnes inscrites en catégorie A est proche de celle observée au sein des personnes en emploi.
L'accès à l'emploi des demandeurs d'emploi inscrits à France Travail mesuré e...France Travail
Au cours des 6 mois suivant leur inscription en mars 2023, 45% des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus. Vingt-quatre mois après leur inscription en septembre 2021, 75% des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus.
Les employeurs des salariés intermittents du spectacle au 2e trimestre 2023 .pdfFrance Travail
Au cours du 2e trimestre 2023, 61 000 employeurs (+4,6% par rapport au 2e trimestre 2022) ont employé au moins un salarié intermittent du spectacle relevant du champ d’application des annexes 8 et 10 de l’Assurance chômage. Le nombre de salariés et la masse salariale sont également en hausse sur la même période (+3,6% et +3,1%), alors que le nombre de contrats de travail et le volume d’heures travaillées sont en baisse (respectivement -1,8% et -0,1%).
La durée de chômage augmente au 3e trimestre 2023.pdfFrance Travail
Au 3e trimestre 2023, la durée d’inscription à France Travail, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 328 jours.
Part des demandeurs d'emploi indemnisables : situation au 30 juin 2023France Travail
En 2022, les dépenses d’indemnisation au titre des annexes 8 et 10 ont diminué de 13,8% du fait de la fin de l’année blanche et de la reprise d’activité.
Part des demandeurs d'emploi indemnisables : situation au 30 juin 2023
Si enquete sortants_2014decembre
1. STATISTIQUES, ETUDES ET EVALUATIONS DE POLE EMPLOI
LES SORTANTS DES LISTES DE POLE EMPLOI
DE DECEMBRE 2014
Caractéristiques de la reprise d’emploi
La part des sorties pour reprise d’emploi diminue de 3 points en un an
L’enquête trimestrielle auprès des sortants des listes de Pôle emploi permet de mieux cerner les motifs de
sortie des catégories ABC, difficilement identifiables à partir des fichiers administratifs pour plus de la
moitié d’entre elles. Par exemple, en décembre 2014, 42 % des sorties comptabilisées sont dues à une
cessation d'inscription pour défaut d'actualisation, 11 % à une radiation administrative et 5 % à d’autres
cas (cf. tableau 5).
L’enquête révèle que la reprise d’emploi est le véritable motif de sortie des listes de Pôle emploi pour
41,2 % des demandeurs d’emploi. Si l’on exclut les sorties suivies d’une réinscription immédiate (motif
« défaut d’actualisation suivi d’une réinscription »), la part des reprises d’emploi atteint alors 50,5 %.(cf.
tableau 1)
Tableau 1 : Répartition des sorties selon les motifs (Données CVS)
décembre-13 septembre-14 décembre-14
Reprise d’emploi 209 400 44,2% 190 700 41,4% 194 400 41,2%
Formation 55 600 11,7% 57 600 12,5% 60 500 12,8%
Arrêt de recherche d'emploi temporaire 37 700 8,0% 35 700 7,7% 37 900 8,0%
Non renouvellement motivé de la demande 12 200 2,6% 13 800 3,0% 11 900 2,5%
Non renouvellement accidentel de la demande 40 800 8,6% 39 600 8,6% 39 600 8,4%
Fin d'activité 2 200 0,5% 9 000 2,0% 6 500 1,4%
Radiation administrative 8 900 1,9% 8 600 1,9% 10 400 2,2%
Autre motif de sortie 20 700 4,4% 23 200 5,0% 24 000 5,1%
Défaut d'actualisation suivi d'une réinscription 86 000 18,2% 82 900 18,0% 86 400 18,3%
Total 473 500 100% 461 100 100% 471 500 100%
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
Graphique 1 : Evolution des sorties pour reprise d’emploi et formation (Données CVS)
212 231 212 534 204 246 209 013 214 829 207 698 214 393
196 821 209 413 206 377 193 514 190 686 194 365
53 054 52 379 55 235 52 182 47 214 49 289 49 523
54 723
55 634 57 330
60 559 57 643 60 453
0
50 000
100 000
150 000
200 000
250 000
300 000
déc-11 mars-12 juin-12 sept-12 déc-12 mars-13 juin-13 sept-13 déc-13 mars-14 juin-14 sept-14 déc-14
Reprise d'emploi Formation
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
Parmi les 471 500 demandeurs d’emploi sortis de catégories ABC en décembre 2014, 194 400 ont repris
un emploi et 60 500 sont entrés en formation (cf. graphique 1). Sur un an, la part des sorties pour reprise
d’emploi a diminué de 3,0 points et celle des entrées en formation a augmenté de 1,1 point.
01 juillet 2015 - N° 15.024
2. 3
STATISTIQUES ET INDICATEURS JUILLET 2015 – N° 15-024
Les sorties se font plus fréquemment pour reprise d’emploi chez les
demandeurs d’emploi qualifiés et les indemnisables
Graphique 2 : Part des sorties pour reprise d’emploi en décembre 2014
32,6%
49,5%
25,3%
43,5%
22,4%
40,4%
47,8%
43,9%
29,5%
39,1%
31,7%
42,2%
38,6%
29,7%
41,3%
39,9%
41,4%
38,9%
40,0%
39,4%
0% 10% 20% 30% 40% 50% 60%
Non indemnisable
Indemnisable*
Bénéficiaire du RSA
Non bénéficiaire RSA
Bénéficiaire de l’obligation d’emploi des TH
Non bénéficiaire de l’obligation d’emploi
Agent de maîtrise, technicien et cadre
Employé qualifié
Employé non qualifié
Ouvrier qualifié
Ouvrier non qualifié
Ancienneté de 12 mois ou plus
Ancienneté <12 mois
50 ans ou plus
35-49 ans
25-34 ans
Moins de 25 ans
Homme
Femme
Ensemble
Indemnisable* : demandeur d’emploi indemnisable au titre de l’Assurance chômage ou de l’allocation de solidarité spécifique
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
Globalement, en données brutes, la part des sorties pour reprise d’emploi s’élève à 39,4% (cf.
graphique 2). Parmi l’ensemble des sorties, la part des sorties pour reprise d’emploi est plus élevée chez
les demandeurs d’emploi de longue durée, les catégories professionnelles et sociales qualifiées (en
particulier les agents de maîtrise, techniciens et cadres) et les demandeurs d’emploi indemnisables.
A l’inverse, la part des sorties pour reprise d’emploi est plus faible pour les demandeurs d’emploi les plus
âgés, les bénéficiaires de l’obligation d’emploi TH, les bénéficiaires du RSA.
Données brutes, en pourcentage
3. STATISTIQUES ET INDICATEURS AVRIL 2015 – N° 15-__
4
Près de six reprises d’emploi sur dix s’effectuent sur des emplois durables
Tableau 2 : Caractéristiques des emplois occupés
Données brutes, en pourcentage
Données brutes DÉCEMBRE 2014
Type d’employeur % Femme % Homme % Total
Lui-même (individu établi à son compte) 4,5% 7,8% 6,2%
Un particulier ou autre 8,8% 2,4% 5,6%
Une entreprise privée 67,5% 77,9% 72,7%
dont un artisan, un commerçant, une personne exerçant une
profession libérale, un exploitant agricole 10,9% 12,5% 11,7%
dont une entreprise de travail temporaire/d'intérim 7,2% 13,9% 10,6%
dont une association 9,9% 3,9% 6,8%
L'Etat, une collectivité locale, une entreprise publique ou
nationale 19,2% 11,9% 15,5%
Caractéristiques des postes occupés par les salariés*
Qualification du poste occupé % Femme % Homme % Total
Ouvrier non qualifié 7,1% 19,3% 13,2%
Ouvrier qualifié 8,1% 22,5% 15,3%
Employé 73,8% 42,6% 58,2%
Technicien - dessinateur - Agent de maîtrise 5,0% 8,0% 6,5%
Cadre 6,0% 7,6% 6,8%
Type de contrat de travail % Femme % Homme % Total
CDI 36,9% 35,9% 36,4%
CDD 37,7% 34,0% 35,9%
Contrat saisonnier 3,6% 4,4% 4,0%
Mission Intérim 8,2% 17,0% 12,6%
Contrats Aidés 11,3% 7,1% 9,2%
Vacation ou autre 2,3% 1,6% 1,9%
Durée du contrat de travail % Femme % Homme % Total
Contrat durable 68,6% 63,9% 66,3%
Contrat de moins de 6 mois 31,4% 36,1% 33,7%
Temps de travail % Femme % Homme % Total
20 heures max 22,3% 9,0% 15,7%
21 à 34 heures 15,3% 6,4% 10,9%
35 heures ou + 62,4% 84,6% 73,5%
*hors individus établis à leur compte
Pour les sortants de décembre 2014 ayant retrouvé un emploi :
Plus de 70% des emplois occupés se trouvent dans des entreprises privées (cf. tableau 2).
La reprise d’emploi se fait sur un poste d’employé pour près des trois quarts des femmes et sur un poste
d’ouvrier (qualifié ou non qualifié) pour quatre hommes sur dix.
L’emploi durable (CDI et contrats de plus de 6 mois) concerne globalement deux tiers des reprises
d’emploi (69% pour les femmes et 64% pour les hommes).
Pour sept personnes sur dix ayant repris un emploi, celui-ci est à temps plein (35 heures ou plus) ; 38%
des femmes et 15% des hommes reprennent un emploi à temps partiel.
4. STATISTIQUES ET INDICATEURS AVRIL 2015 – N° 15-__
5
Baisse des contrats aidés, hausse des CDI
En décembre 2014, 34% des emplois retrouvés à la sortie des listes de Pôle emploi sont des contrats à
durée indéterminée. La structure des types de contrat des emplois retrouvés a évolué entre décembre
2013 et décembre 2014 (cf. graphique 3) pour les contrats aidés, en baisse de 1,3 point, au profit des
contrats à durée indéterminée qui ont augmenté de 2,1 points.
Graphique 3 : Comparaison des types de contrats* des sortants de décembre 2013 et décembre 2014
34%
32%
34%
34%
4%
4%
12%
12%
6%
6%
9%
10%
2%
2%
0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100%
Déc. 2014
Déc. 2013
CDI CDD Contrat saisonnier Mission Intérim A son compte Contrats Aidés Vacation ou Autre
*y compris les mises à son compte
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
Un emploi sur deux est obtenu par candidature spontanée ou par les
réseaux de connaissances
Tableau 3 : Canal de recrutement
La question "Où avez-vous trouvé cet emploi ou cette mission d’intérim ?" posée aux demandeurs d’emploi sortant pour reprise d’emploi permet
d'évaluer les vecteurs de retour à l'emploi et donne la répartition suivante ventilée par type d’emploi :
Données brutes, en pourcentage
Données brutes Type d'emploi retrouvé
Canal de recrutement
CDI CDD* Intérim
Contrats
aidés
A son
compte ou
autre
% Total
Candidature spontanée 32,4% 34,1% 15,6% 25,2% 18,9% 29,5%
Relation personnelle 22,8% 25,5% 16,6% 16,1% 11,6% 21,7%
Pôle Emploi 14,2% 11,9% 5,4% 32,7% 4,5% 13,2%
Agence d'intérim 5,4% 4,0% 49,1% 1,3% 0,4% 9,3%
Petites annonces 11,3% 8,4% 7,1% 3,9% 5,3% 8,6%
Relation professionnelle 7,2% 10,3% 3,2% 4,3% 8,0% 7,7%
Autre (concours, création entreprise) 2,4% 2,4% 1,9% 2,9% 43,0% 5,3%
Autre intermédiaire 3,2% 3,0% 0,8% 13,6% 8,2% 4,1%
Cabinet de recrutement/reclassement 1,2% 0,4% 0,4% 0,0% 0,2% 0,6%
Total 100% 100% 100% 100% 100% 100%
CDD* : CDD, contrat saisonnier, vacation
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
La candidature spontanée et les relations personnelles sont les moyens les plus fréquents pour l’obtention
d’un emploi (29,5% et 21,7% respectivement). Dans près de trois cas sur dix, ce sont les réseaux de
connaissances (relations personnelles ou relations professionnelles) qui permettent d’accéder à l’emploi.
Arrive ensuite Pôle emploi qui est la voie d’accès pour 13,2% des demandeurs d’emploi.
Ces proportions varient fortement selon le type de contrat proposé.
Pôle emploi est le premier intermédiaire pour les contrats aidés (32,7%). Les relations personnelles et les
candidatures spontanées sont les plus cités pour décrocher un CDD ou un CDI.
Données brutes, en pourcentage
5. STATISTIQUES ET INDICATEURS AVRIL 2015 – N° 15-__
6
Plus de 8 personnes sur 10 sont toujours en emploi trois mois après leur
sortie des listes de Pôle emploi
Tableau 4 : Stabilité des emplois retrouvés
Les personnes ayant déclaré être sorties en décembre 2014 pour reprendre un emploi ont été interrogées sur leur situation professionnelle en mars
2015, soit environ trois mois après leur sortie du chômage :
Données brutes
Type d'emploi retrouvé en DÉCEMBRE 2014
A son compte
Données brutes CDI CDD* Intérim ou autre Contrats aidés Total
Situation 3 mois
après la sortie Effectif % Total Effectif % Total Effectif % Total Effectif % Total Effectif % Total Effectif % Total
En emploi et non
inscrit au chômage 46 115 77,1% 41 658 62,0% 7 736 37,4% 6 851 55,0% 5 051 33,4% 107 411 61,3%
En emploi et inscrit
au chômage 8 837 14,8% 12 454 18,5% 4 760 23,0% 4 123 33,1% 8 078 53,3% 38 252 21,8%
Inscrit au chômage 3 360 5,6% 9 082 13,5% 5 562 26,9% 1 001 8,0% 1 620 10,7% 20 625 11,8%
En formation - 0,0% 283 0,4% 44 0,2% 0 0,0% 0 0,0% 327 0,2%
Autre situation
(recherche un emploi
sans être inscrit ou ne
recherche plus) 1 518 2,5% 3 718 5,5% 2 602 12,6% 480 3,9% 393 2,6% 8 711 5,0%
Total 59 828 100,0% 67 196 100,0% 20 704 100,0% 12 456 100,0% 15 143 100,0% 175 326 100,0%
*CDD, contrat saisonnier, vacation
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
83% des personnes ayant repris un emploi en décembre 2014 sont toujours en emploi en décembre 2014
(cf. tableau 4). Cette proportion varie selon le contrat proposé : près de 92% des personnes embauchées
en CDI en décembre 2014 sont toujours en emploi en décembre 2014 alors qu’elles ne sont que 60%
pour les personnes engagées sur une mission d’intérim. Il est à noter qu’un quart des personnes sorties
des catégories ABC pour reprise d’emploi en décembre 2014 et encore en emploi trois mois plus tard sont
à cette date inscrites à Pôle emploi.
Christel POUJOULY
Département Marché du Travail
6. 7
POUR EN SAVOIR PLUS
contact-DSEE@pole-emploi.fr
www.pole-emploi.org
Pôle emploi, 1 avenue du Docteur Gley, 75987 Paris cedex20
Directeur de publication
Jean BASSÈRES
Directeur de la rédaction
Stéphane DUCATEZ
Réalisation
Direction des Statistiques, des Études et de l’Évaluation
STATISTIQUES, ETUDES ET EVALUATIONS DE POLE EMPLOI
Objectif de l’enquête : Estimer les motifs réels de sortie et qualifier l’emploi
retrouvé par les demandeurs d’emploi sortis des listes de Pôle emploi
Constat : L’enregistrement mensuel des listes de Pôle emploi ne permet pas de qualifier précisément les
motifs de sortie et en particulier de déterminer les volumes de reprise d’emploi.
Issue de la gestion administrative de la liste des demandeurs d’emploi réalisée par Pôle Emploi, la statistique
mensuelle du marché du travail (STMT) sur les sorties de la liste donne un éclairage sur le volume total des flux
de sortie mais ne fournit pas une indication fiable sur les motifs de sortie. En effet, dans plus d’un cas sur
deux, le motif est indéterminé (cessation d'inscription pour défaut d'actualisation, autres cas, radiations : motifs en
grisé dans le tableau 1).
La part des sorties pour reprise d’emploi présenté dans la statistique mensuelle ne comprend que les reprises d’emploi
déclarées. Elle est donc sans rapport avec le volume réel des reprises effectives.
Tableau 5 : Demandeurs d’emploi sortis des listes de Pôle emploi en décembre 2014 (données brutes)
Motif enregistré Effectif %
Reprise d'emploi 80 651 18,1%
Entrée en stage 43 859 9,9%
Arrêt de recherche, Maladie, Maternité 20 154 4,5%
Cessation d'inscription pour défaut d'actualisation 188 275 42,3%
Arrêt de recherche retraite – Dispense de recherche d’emploi 4 945 1,1%
Radiation administrative 49 919 11,2%
Autre arrêt de recherche 9 546 2,1%
Autre motif déclaré 18 714 4,2%
Autre cas 13 421 3,0%
Changement d'agence 15 456 3,5%
Total des Demandes d’emploi sorties en Décembre 2013 - France métropolitaine 444 940 100,0%
Part des motifs inconnus 261 161 58,7%
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
Une enquête trimestrielle nationale pour estimer de façon fiable le volume de reprises d’emploi et leur
nature.
Le tableau 2 présente les résultats de la vague de décembre 2014 : en colonne le motif enregistré dans la statistique du
marché du travail, en ligne le motif déclaré par la personne interrogée.
Seules 91% des sorties enregistrées comme reprises d’emploi le sont effectivement.
A l’inverse, 43% des sorties enregistrées comme cessation d'inscription pour défaut d’actualisation sont en réalité des
reprises d’emploi.
L’enquête révèle également que pour 4 demandeurs d’emploi radiés administrativement sur 5, la sortie des listes de Pôle
emploi est en fait liée à d’autres motifs : dans près d’un cas sur 4, ils déclarent avoir repris un emploi.
Tableau 6 : Sortants de décembre 2014 : motifs réels de sortie en fonction du motif enregistré (données brutes)
Motif enregistré dans la STMT
Motif révélé par l’enquête Reprise d'emploi
Autre arrêt de
recherche ou
autre cas
Cessation
d'inscription pour
défaut d'actualisation
Radiation
Administrative
Reprise d’emploi 90,7% 35,7% 43,5% 24,3%
Formation 1,0% 5,1% 3,0% 2,3%
Arrêt de recherche d'emploi temporaire 0,4% 12,8% 5,3% 5,0%
Non renouvellement motivé de la demande 0,9% 2,6% 4,7% 2,9%
Non renouvellement accidentel de la demande 2,4% 9,9% 17,0% 7,1%
Fin d'activité 0,0% 1,6% 1,9% 0,4%
Radiation administrative 0,0% 0,0% 0,0% 22,9%
Autre motif de sortie 0,7% 2,0% 1,7% 1,3%
Défaut d'actualisation suivi d'une réinscription 3,8% 30,2% 22,9% 33,7%
Total 100,0% 100,0% 100,0% 100,0%
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine