Parmi l’ensemble des sortants d’une formation prescrite par Pôle emploi en 2015, 57% accèdent à un emploi dans les six mois qui suivent. Ce taux progresse de 1,3 point par rapport à 2014.
Le taux d’accès à l’emploi après une formation est en moyenne plus élevé pour les formations préalables à l’embauche (AFPR, POEI), pour les demandeurs d’emploi les plus jeunes et plus faible pour les demandeurs d’emploi de longue durée. La hausse du taux d’accès à l’emploi entre 2014 et 2015 est plus marquée pour les populations les plus éloignées de l’emploi (seniors, demandeurs d’emploi de longue durée).
Selon l’enquête « Sortants de formation », parmi les demandeurs d’emploi ayant terminé une formation en mars 2015 et retrouvé un emploi six mois plus tard, l’emploi retrouvé correspond dans près de deux tiers des cas à l’emploi recherché. L’expérience professionnelle et en particulier la multiplication des expériences professionnelles semblent être des atouts pour le reclassement. Enfin, près de neuf demandeurs d’emploi sur dix affirment que leur formation a répondu à leurs attentes et environ 90 % des demandeurs d’emploi ayant retrouvé un emploi sont satisfaits de l’emploi retrouvé.
- La rémunération des cadres de l’administration des RH progresse
- Plus de la moitié des cadres en RH bénéficient d’une part variable
- Différents facteurs déterminent la rémunération
Une étude de l'Apec sur les circonstances du changement
d’entreprise, les changements observés entre les deux postes, l’opinion des cadres sur leur changement d’entreprise.
En 2013, 6 % des cadres ont connu une mobilité externe. Parmi ceux-ci, 59 % sont passés directement d’une entreprise à l’autre, tandis que 41 % ont connu une période de chômage entre les deux postes.
Qu’il s’agisse des circonstances du changement d’entreprise, des caractéristiques du nouveau poste et
de la nouvelle entreprise, ou de l’opinion des cadres sur cette mobilité, les écarts sont notables entre les cadres dont la mobilité a été directe et ceux pour lesquels elle s’est accompagnée d’une période de chômage. Ainsi, les premiers sont globalement plus jeunes que les seconds et voient plus souvent leur niveau de responsabilité s’accroître au sein de la nouvelle entreprise. De même, le changement favorise plus souvent l’augmentation de la rémunération des cadres qui ont changé directement d’entreprise, et leur opinion sur le nouveau poste occupé est très majoritairement positive.
Notre étude, réalisée pour la CFDT, recueille la perception des Français sur l'impact de la crise sur leur situation professionnelle et leur vison de l'avenir.
Parmi l’ensemble des sortants d’une formation prescrite par Pôle emploi en 2015, 57% accèdent à un emploi dans les six mois qui suivent. Ce taux progresse de 1,3 point par rapport à 2014.
Le taux d’accès à l’emploi après une formation est en moyenne plus élevé pour les formations préalables à l’embauche (AFPR, POEI), pour les demandeurs d’emploi les plus jeunes et plus faible pour les demandeurs d’emploi de longue durée. La hausse du taux d’accès à l’emploi entre 2014 et 2015 est plus marquée pour les populations les plus éloignées de l’emploi (seniors, demandeurs d’emploi de longue durée).
Selon l’enquête « Sortants de formation », parmi les demandeurs d’emploi ayant terminé une formation en mars 2015 et retrouvé un emploi six mois plus tard, l’emploi retrouvé correspond dans près de deux tiers des cas à l’emploi recherché. L’expérience professionnelle et en particulier la multiplication des expériences professionnelles semblent être des atouts pour le reclassement. Enfin, près de neuf demandeurs d’emploi sur dix affirment que leur formation a répondu à leurs attentes et environ 90 % des demandeurs d’emploi ayant retrouvé un emploi sont satisfaits de l’emploi retrouvé.
- La rémunération des cadres de l’administration des RH progresse
- Plus de la moitié des cadres en RH bénéficient d’une part variable
- Différents facteurs déterminent la rémunération
Une étude de l'Apec sur les circonstances du changement
d’entreprise, les changements observés entre les deux postes, l’opinion des cadres sur leur changement d’entreprise.
En 2013, 6 % des cadres ont connu une mobilité externe. Parmi ceux-ci, 59 % sont passés directement d’une entreprise à l’autre, tandis que 41 % ont connu une période de chômage entre les deux postes.
Qu’il s’agisse des circonstances du changement d’entreprise, des caractéristiques du nouveau poste et
de la nouvelle entreprise, ou de l’opinion des cadres sur cette mobilité, les écarts sont notables entre les cadres dont la mobilité a été directe et ceux pour lesquels elle s’est accompagnée d’une période de chômage. Ainsi, les premiers sont globalement plus jeunes que les seconds et voient plus souvent leur niveau de responsabilité s’accroître au sein de la nouvelle entreprise. De même, le changement favorise plus souvent l’augmentation de la rémunération des cadres qui ont changé directement d’entreprise, et leur opinion sur le nouveau poste occupé est très majoritairement positive.
Notre étude, réalisée pour la CFDT, recueille la perception des Français sur l'impact de la crise sur leur situation professionnelle et leur vison de l'avenir.
La population des « cadres », statut spécifiquement français qui renvoie à des fonctions d’encadrement et d’expertise, a longtemps été considérée comme étant épargnée par le chômage. Depuis les années 1990 cependant, ce n’est plus totalement le cas : le taux de chômage des cadres augmente lors des périodes de mauvaise conjoncture économique (même s’il reste très inférieur à celui d’autres catégories socioprofessionnelles), et une partie des cadres connaissent l’expérience du chômage de longue durée : parmi les 48 120 cadres inscrits sur les listes de demandeurs d’emploi au premier trimestre 2010, 36% ont cumulé au moins 12 mois sur les listes au cours des deux ans qui ont suivi leur inscription.
Les cadres débutant un épisode de chômage ont des représentations diverses de leur situation, qui renvoient à l’hétérogénéité de leur vécu du monde du travail et de leurs aspirations. Malgré cette diversité de représentation, on observe cependant des étapes communes dans l’évolution des représentations qu’ont les cadres de leur épisode de recherche d’emploi (temps du retour sur soi, période de doute et d’incompréhension, période des concessions).
Au total, quatre grands types de trajectoires donnant lieu à une inscription de longue durée à Pôle emploi apparaissent :
Plus d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée restent inscrits pendant près de deux ans, en effectuant peu d’activité réduite, avant de sortir durablement des listes de demandeurs d’emploi.
Un deuxième ensemble de trajectoires, qui concernent un peu plus souvent les femmes est marqué par l’exercice rapide d’une activité réduite (tout en restant inscrit à Pôle emploi), qui dans la grande majorité des cas, précède une sortie durable des listes.
Un peu moins d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée connaissent une réinsertion longue et difficile, pouvant dans certains cas prendre la forme d’une transition longue vers la retraite.
Enfin, une situation assez particulière et limitée quantitativement (3% des hommes) est le cas des cadres demandeurs d’emploi connaissant une réinsertion via la création d’entreprise.
Accompagner les demandeurs d'emploi et les entreprises pendant le confinementFrance Travail
Pendant la période de confinement, une part importante de l’activité économique a été interrompue ou fortement réduite, entraînant une très forte baisse des recrutements et des retours à l’emploi. Dans le même temps, les agences de Pôle emploi ont temporairement cessé d’accueillir du public afin de prévenir la contagion du coronavirus.
La mobilisation de Pôle emploi pendant cette période a permis d’assurer le maintien des services aux demandeurs d’emploi et aux entreprises : garantir le bon paiement de l’indemnisation du chômage, répondre aux sollicitations, assurer l’inscription, notamment au travers du premier entretien, proposer des prestations d’accompagnement, accompagner les employeurs dans leurs recrutements prioritaires. Les enquêtes réalisées au cours de cette période montrent que grâce à ces actions, Pôle emploi est resté accessible pendant la période de confinement.
La dématérialisation de l’inscription à Pôle emploiFrance Travail
La dématérialisation de l’inscription à Pôle emploi a des effets positifs sur la qualité de la prise en charge des demandeurs d’emploi.
La dématérialisation de l’inscription administrative et du traitement de la demande d’allocation, mise en place en 2016, a notamment pour objectif de libérer les conseillers de certaines tâches afin qu’ils puissent consacrer plus de temps à l’accompagnement des demandeurs d’emploi. L’entretien d’inscription réalisé par la suite avec un conseiller est désormais centré sur la situation professionnelle du demandeur d’emploi alors qu’auparavant, inscription administrative, traitement de la demande d’allocation et diagnostic de la situation professionnelle étaient effectués au cours d’un seul entretien.
Mieux anticiper les besoins du marché du travail, enjeux et perspectives pour...France Travail
- LES ÉVOLUTIONS ÉCONOMIQUES, DE L’EMPLOI ET DU CHÔMAGE : UN POSSIBLE REBOND MAIS UN CHÔMAGE QUI RESTERA À UN NIVEAU ÉLEVÉ
- LES DEMANDEURS D'EMPLOI : DIVERSITÉ DES PUBLICS ET DE LEURS BESOINS
- LES EMPLOYEURS : DES INTENTIONS DE RECRUTEMENT QUI PROGRESSENT LÉGÈREMENT
ET DES PRATIQUES D’EMBAUCHE EN ÉVOLUTION ?
- DISPARITÉS RÉGIONALES ET LOCALES
DE L’EMPLOI ET DU CHÔMAGE
Mieux anticiper les besoins du marché du travail - Enjeux et perspectives op...France Travail
Dans quel contexte Pôle emploi va-t-il devoir agir aujourd’hui et au cours des mois suivants ? Quels sont les enjeux et besoins essentiels auxquels il faut que l’établissement soit en capacité de répondre, en cohérence avec la convention tripartite signée avec l’État et l’Unédic pour les années 2015 à 2018 et le projet stratégique 2015-2020 ?
Un meilleur service pour les entreprises : 1er bilan de la nouvelle offre de ...France Travail
Depuis la fin juin 2013 Pôle emploi a mis en place une nouvelle offre de services aux entreprises visant d’une part à mieux personnaliser et graduer le service rendu en fonction des besoins des employeurs, et d’autre part à établir un lien plus étroit avec l’objectif du placement des demandeurs d’emploi.
Un an après le début de la mise en oeuvre, des changements significatifs se sont produits en termes d’amélioration de la qualité et de la pertinence des services aux entreprises.
Pourquoi les employeurs ont (parfois) des difficultés à recruterFrance Travail
Le sujet des difficultés de recrutement s’invite régulièrement dans le débat public. Dans un contexte de chômage massif et en progression, l’existence d’emplois difficiles à pourvoir et par conséquent durablement vacants paraît difficilement compréhensible. Nos explications.
La place du numérique dans la recherche de candidats par les employeursFrance Travail
La multiplication des outils numériques destinés à faciliter le rapprochement de l’offre et de la demande d’emploi n’a pas pour autant modifié en profondeur les pratiques de recrutement des entreprises.
Offres pourvues et abandons de recrutement en 2021 France Travail
A partir du printemps 2021, la levée des restrictions sanitaires s’est accompagnée d’une reprise nette du marché du travail, avec une forte hausse des offres d’emploi et une baisse du nombre de demandeurs d’emploi.
Parmi ces offres clôturées entre juin et septembre 2021, 85,9% ont été pourvues. Dans la plupart des cas, ces recrutements donnent satisfaction même s’ils se concrétisent globalement avec plus de difficultés qu’en 2018. Le délai médian est resté stable par rapport à 2018 (45 jours).
Parmi les offres n’ayant pas abouti à un recrutement, 3% ont été annulées suite à la disparition du besoin ou pour restriction budgétaire, 5% des offres faisaient l’objet d’un recrutement toujours en cours et 6% des offres ont été abandonnées faute de trouver un candidat (contre 4,9% en 2018).
Etude Apec - Ajuster le profil du candidat recherché pour recruterApec
Dans un contexte de tension sur le marché de l’emploi cadre, les difficultés de recrutement persistent et amènent les entreprises à s’ajuster.
Les ajustements diffèrent selon les fonctions mais profitent globalement aux jeunes diplômés et aux cadres expérimentés.
Parmi les fonctions les plus recruteuses et en tension, les ajustements sur le profil des candidats diffèrent.
Les ajustements facilitent les recrutements, qu’ils s’inscrivent ou non dans un contexte de tension.
Etude Apec - Le recrutement de cadres dans les PMEApec
- La moitié des petites et moyennes entreprises (PME) ont recruté au moins un cadre au cours des deux dernières années.
- La majorité des PME indique avoir eu des difficultés à recruter.
- Pour recruter, les PME misent tout, ou presque, sur l’offre d’emploi et leur réseau de relations.
- Le besoin d’accompagnement des PME est centré surtout sur l’optimisation des offres d’emploi.
Les demandeurs d'emploi bénéficiaires d'une reconnaissance de handicap en 2020France Travail
En 2020, 41% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance de handicap bénéficient d’un accompagnement spécialisé par Cap Emploi ou renforcé par Pôle emploi.
30% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance administrative de handicap accèdent à l’emploi au cours de l’année qui suit leur inscription.
Les cadres seniors demandeurs d'emploi : pratiques et difficultés de recherch...France Travail
Fin janvier 2021 un peu plus de 100 000 demandeurs d’emploi seniors (55 ans ou plus) recherchaient un emploi cadre. La perte d’emploi est une épreuve pour ces cadres seniors qui présentent des parcours professionnels variés et plutôt linéaires pour la moitié d’entre eux. Cette privation d’emploi souvent mal vécue ne favorise pas le deuil de l’emploi perdu nécessaire à un repositionnement professionnel sur le marché de l’emploi cadre. Mais ils sont surtout confrontés à une discrimination à l’embauche ayant trait à leur âge.
À leur entrée au chômage le poste recherché est souvent en miroir de l’emploi perdu. Or un nombre important de cadres seniors sont amenés à revoir à la baisse leurs critères de recherche d’emploi avec l’allongement du chômage. Leurs pratiques variées de recherche d’emploi montre une diversité de comportements face au chômage et à l’horizon de la retraite.
Leurs démarches de recherche d’emploi sont le plus souvent diversifiées et intenses. Ils sont aussi nombreux à avoir recours aux prestations d’accompagnement.
Pour favoriser le retour à l’emploi des cadres seniors différents leviers sont ainsi identifiés.
Pratiques et impact des activités réduitesFrance Travail
Ce document présente les résultats des travaux menés sur le thème de l’activité réduite, par cinq laboratoires sélectionnés dans le cadre d’un appel à propositions de recherches lancé par Pôle emploi avec le concours de son conseil scientifique.
Au-delà de la diversité des pratiques observables des activités réduites, plus souvent subies que choisies, leurs effets sont globalement positifs. En permettant de conserver un lien étroit au monde du travail, l’activité réduite évite le plus souvent de s’enfermer dans la précarité et de bénéficier d’un « effet tremplin » pour sortir du chômage et accéder à un emploi plus durable. De plus, dans un contexte où les formes particulières d’emploi se diffusent et deviennent de moins en moins atypiques, l’attitude des recruteurs peut bénéficier à ceux qui ont connu le temps partiel ou les emplois temporaires entrecoupés de périodes de chômage, dès lors que cette situation devient banale dans le métier considéré.
Par rapport à une population témoin comparable, les jeunes bénéficiaires de l’accompagnement intensif jeunes (AIJ) sont plus souvent en emploi 8 mois après leur entrée (+10 points), soit une hausse de 28%, et plus souvent en emploi durable (+5 points). Ils expriment également une satisfaction plus élevée de leur accompagnement.
Cette forme d’accompagnement leur permet d’être plus motivés (+27 points) et mieux outillés dans leur recherche d’emploi. Les jeunes sont plus mobilisés et utilisent de façon plus intensive les différents canaux de recrutement.
La population des « cadres », statut spécifiquement français qui renvoie à des fonctions d’encadrement et d’expertise, a longtemps été considérée comme étant épargnée par le chômage. Depuis les années 1990 cependant, ce n’est plus totalement le cas : le taux de chômage des cadres augmente lors des périodes de mauvaise conjoncture économique (même s’il reste très inférieur à celui d’autres catégories socioprofessionnelles), et une partie des cadres connaissent l’expérience du chômage de longue durée : parmi les 48 120 cadres inscrits sur les listes de demandeurs d’emploi au premier trimestre 2010, 36% ont cumulé au moins 12 mois sur les listes au cours des deux ans qui ont suivi leur inscription.
Les cadres débutant un épisode de chômage ont des représentations diverses de leur situation, qui renvoient à l’hétérogénéité de leur vécu du monde du travail et de leurs aspirations. Malgré cette diversité de représentation, on observe cependant des étapes communes dans l’évolution des représentations qu’ont les cadres de leur épisode de recherche d’emploi (temps du retour sur soi, période de doute et d’incompréhension, période des concessions).
Au total, quatre grands types de trajectoires donnant lieu à une inscription de longue durée à Pôle emploi apparaissent :
Plus d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée restent inscrits pendant près de deux ans, en effectuant peu d’activité réduite, avant de sortir durablement des listes de demandeurs d’emploi.
Un deuxième ensemble de trajectoires, qui concernent un peu plus souvent les femmes est marqué par l’exercice rapide d’une activité réduite (tout en restant inscrit à Pôle emploi), qui dans la grande majorité des cas, précède une sortie durable des listes.
Un peu moins d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée connaissent une réinsertion longue et difficile, pouvant dans certains cas prendre la forme d’une transition longue vers la retraite.
Enfin, une situation assez particulière et limitée quantitativement (3% des hommes) est le cas des cadres demandeurs d’emploi connaissant une réinsertion via la création d’entreprise.
Accompagner les demandeurs d'emploi et les entreprises pendant le confinementFrance Travail
Pendant la période de confinement, une part importante de l’activité économique a été interrompue ou fortement réduite, entraînant une très forte baisse des recrutements et des retours à l’emploi. Dans le même temps, les agences de Pôle emploi ont temporairement cessé d’accueillir du public afin de prévenir la contagion du coronavirus.
La mobilisation de Pôle emploi pendant cette période a permis d’assurer le maintien des services aux demandeurs d’emploi et aux entreprises : garantir le bon paiement de l’indemnisation du chômage, répondre aux sollicitations, assurer l’inscription, notamment au travers du premier entretien, proposer des prestations d’accompagnement, accompagner les employeurs dans leurs recrutements prioritaires. Les enquêtes réalisées au cours de cette période montrent que grâce à ces actions, Pôle emploi est resté accessible pendant la période de confinement.
La dématérialisation de l’inscription à Pôle emploiFrance Travail
La dématérialisation de l’inscription à Pôle emploi a des effets positifs sur la qualité de la prise en charge des demandeurs d’emploi.
La dématérialisation de l’inscription administrative et du traitement de la demande d’allocation, mise en place en 2016, a notamment pour objectif de libérer les conseillers de certaines tâches afin qu’ils puissent consacrer plus de temps à l’accompagnement des demandeurs d’emploi. L’entretien d’inscription réalisé par la suite avec un conseiller est désormais centré sur la situation professionnelle du demandeur d’emploi alors qu’auparavant, inscription administrative, traitement de la demande d’allocation et diagnostic de la situation professionnelle étaient effectués au cours d’un seul entretien.
Mieux anticiper les besoins du marché du travail, enjeux et perspectives pour...France Travail
- LES ÉVOLUTIONS ÉCONOMIQUES, DE L’EMPLOI ET DU CHÔMAGE : UN POSSIBLE REBOND MAIS UN CHÔMAGE QUI RESTERA À UN NIVEAU ÉLEVÉ
- LES DEMANDEURS D'EMPLOI : DIVERSITÉ DES PUBLICS ET DE LEURS BESOINS
- LES EMPLOYEURS : DES INTENTIONS DE RECRUTEMENT QUI PROGRESSENT LÉGÈREMENT
ET DES PRATIQUES D’EMBAUCHE EN ÉVOLUTION ?
- DISPARITÉS RÉGIONALES ET LOCALES
DE L’EMPLOI ET DU CHÔMAGE
Mieux anticiper les besoins du marché du travail - Enjeux et perspectives op...France Travail
Dans quel contexte Pôle emploi va-t-il devoir agir aujourd’hui et au cours des mois suivants ? Quels sont les enjeux et besoins essentiels auxquels il faut que l’établissement soit en capacité de répondre, en cohérence avec la convention tripartite signée avec l’État et l’Unédic pour les années 2015 à 2018 et le projet stratégique 2015-2020 ?
Un meilleur service pour les entreprises : 1er bilan de la nouvelle offre de ...France Travail
Depuis la fin juin 2013 Pôle emploi a mis en place une nouvelle offre de services aux entreprises visant d’une part à mieux personnaliser et graduer le service rendu en fonction des besoins des employeurs, et d’autre part à établir un lien plus étroit avec l’objectif du placement des demandeurs d’emploi.
Un an après le début de la mise en oeuvre, des changements significatifs se sont produits en termes d’amélioration de la qualité et de la pertinence des services aux entreprises.
Pourquoi les employeurs ont (parfois) des difficultés à recruterFrance Travail
Le sujet des difficultés de recrutement s’invite régulièrement dans le débat public. Dans un contexte de chômage massif et en progression, l’existence d’emplois difficiles à pourvoir et par conséquent durablement vacants paraît difficilement compréhensible. Nos explications.
La place du numérique dans la recherche de candidats par les employeursFrance Travail
La multiplication des outils numériques destinés à faciliter le rapprochement de l’offre et de la demande d’emploi n’a pas pour autant modifié en profondeur les pratiques de recrutement des entreprises.
Offres pourvues et abandons de recrutement en 2021 France Travail
A partir du printemps 2021, la levée des restrictions sanitaires s’est accompagnée d’une reprise nette du marché du travail, avec une forte hausse des offres d’emploi et une baisse du nombre de demandeurs d’emploi.
Parmi ces offres clôturées entre juin et septembre 2021, 85,9% ont été pourvues. Dans la plupart des cas, ces recrutements donnent satisfaction même s’ils se concrétisent globalement avec plus de difficultés qu’en 2018. Le délai médian est resté stable par rapport à 2018 (45 jours).
Parmi les offres n’ayant pas abouti à un recrutement, 3% ont été annulées suite à la disparition du besoin ou pour restriction budgétaire, 5% des offres faisaient l’objet d’un recrutement toujours en cours et 6% des offres ont été abandonnées faute de trouver un candidat (contre 4,9% en 2018).
Etude Apec - Ajuster le profil du candidat recherché pour recruterApec
Dans un contexte de tension sur le marché de l’emploi cadre, les difficultés de recrutement persistent et amènent les entreprises à s’ajuster.
Les ajustements diffèrent selon les fonctions mais profitent globalement aux jeunes diplômés et aux cadres expérimentés.
Parmi les fonctions les plus recruteuses et en tension, les ajustements sur le profil des candidats diffèrent.
Les ajustements facilitent les recrutements, qu’ils s’inscrivent ou non dans un contexte de tension.
Etude Apec - Le recrutement de cadres dans les PMEApec
- La moitié des petites et moyennes entreprises (PME) ont recruté au moins un cadre au cours des deux dernières années.
- La majorité des PME indique avoir eu des difficultés à recruter.
- Pour recruter, les PME misent tout, ou presque, sur l’offre d’emploi et leur réseau de relations.
- Le besoin d’accompagnement des PME est centré surtout sur l’optimisation des offres d’emploi.
Les demandeurs d'emploi bénéficiaires d'une reconnaissance de handicap en 2020France Travail
En 2020, 41% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance de handicap bénéficient d’un accompagnement spécialisé par Cap Emploi ou renforcé par Pôle emploi.
30% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance administrative de handicap accèdent à l’emploi au cours de l’année qui suit leur inscription.
Les cadres seniors demandeurs d'emploi : pratiques et difficultés de recherch...France Travail
Fin janvier 2021 un peu plus de 100 000 demandeurs d’emploi seniors (55 ans ou plus) recherchaient un emploi cadre. La perte d’emploi est une épreuve pour ces cadres seniors qui présentent des parcours professionnels variés et plutôt linéaires pour la moitié d’entre eux. Cette privation d’emploi souvent mal vécue ne favorise pas le deuil de l’emploi perdu nécessaire à un repositionnement professionnel sur le marché de l’emploi cadre. Mais ils sont surtout confrontés à une discrimination à l’embauche ayant trait à leur âge.
À leur entrée au chômage le poste recherché est souvent en miroir de l’emploi perdu. Or un nombre important de cadres seniors sont amenés à revoir à la baisse leurs critères de recherche d’emploi avec l’allongement du chômage. Leurs pratiques variées de recherche d’emploi montre une diversité de comportements face au chômage et à l’horizon de la retraite.
Leurs démarches de recherche d’emploi sont le plus souvent diversifiées et intenses. Ils sont aussi nombreux à avoir recours aux prestations d’accompagnement.
Pour favoriser le retour à l’emploi des cadres seniors différents leviers sont ainsi identifiés.
Pratiques et impact des activités réduitesFrance Travail
Ce document présente les résultats des travaux menés sur le thème de l’activité réduite, par cinq laboratoires sélectionnés dans le cadre d’un appel à propositions de recherches lancé par Pôle emploi avec le concours de son conseil scientifique.
Au-delà de la diversité des pratiques observables des activités réduites, plus souvent subies que choisies, leurs effets sont globalement positifs. En permettant de conserver un lien étroit au monde du travail, l’activité réduite évite le plus souvent de s’enfermer dans la précarité et de bénéficier d’un « effet tremplin » pour sortir du chômage et accéder à un emploi plus durable. De plus, dans un contexte où les formes particulières d’emploi se diffusent et deviennent de moins en moins atypiques, l’attitude des recruteurs peut bénéficier à ceux qui ont connu le temps partiel ou les emplois temporaires entrecoupés de périodes de chômage, dès lors que cette situation devient banale dans le métier considéré.
Par rapport à une population témoin comparable, les jeunes bénéficiaires de l’accompagnement intensif jeunes (AIJ) sont plus souvent en emploi 8 mois après leur entrée (+10 points), soit une hausse de 28%, et plus souvent en emploi durable (+5 points). Ils expriment également une satisfaction plus élevée de leur accompagnement.
Cette forme d’accompagnement leur permet d’être plus motivés (+27 points) et mieux outillés dans leur recherche d’emploi. Les jeunes sont plus mobilisés et utilisent de façon plus intensive les différents canaux de recrutement.
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Les présentations du conseil de quartier "Château d'Eau - Lancry" du 17 juin ...Grégory MACÉ
Les présentations du conseil de quartier "Château d'Eau - Lancry" du 17 juin 2015
* Organisation du conseil de quartier
* Plan propreté 2015
* Projets d’aménagement dans votre quartier
* Point sur le budget participatif
* La parole aux habitant-e-s !
Reciclar es un proceso simple que puede ayudar a resolver problemas ambientales al ahorrar recursos naturales no renovables mediante el uso de materiales reciclados en la producción. El hogar es el lugar ideal para iniciar el reciclo reduciendo, reutilizando y separando la basura de acuerdo con las guías de qué materiales son reciclables.
El documento presenta un resumen de tres bloques sobre la política de vivienda y administración pública. El primer bloque describe el marco de la política de vivienda, incluyendo la estructura del estado, vivienda protegida y urbanismo. El segundo bloque analiza la política de vivienda actual, como el planeamiento urbanístico y los planes estatales de vivienda. El tercer bloque cubre las empresas públicas gestoras de vivienda, urbanismo y servicios públicos, incluyendo su relación con la administración y estructura y funcionamiento.
El documento repite varias veces una línea de código que crea un nuevo objeto BarCamp para un evento en Granada, España el 10 de junio de 2010. También incluye información sobre la hora de la comida y etiquetas para el evento, así como agradecimientos a los patrocinadores.
Gestion documentaire pour les tribunaux genevoisLaurent Dami
Geneva courts of law rely more and more on Perl for all their information systems. This talk presents three facets of electronic document management : storing justice decisions, preparing projects of documents, and a project for building a paperless justice file, combining webdav and modperl.
Plaidoyer pour l'arrêt du SUPER-PLU & la FIN des MILLE-FEUILLES ADMINISTRATIFS à Saint-Witz.
Plea for an end to SUPER-PLU & GOVERNMENT RED TAPE in Saint-Witz (France).
Planon Site Alpha témoigne de son passage au SaaS, et témoigne sur les étapes-clé d'interrogation liées à la modification du modèle commercial et des rémunérations. Présentation assurée en binôme avec son partenaire Aspaway, hébergeur dont la particularité réside en une forte maîtrise du métier d'éditeur.
Je me souviens, témoignage d'un ancien élève salésien (P. 16) - Dossier spécial: Clôture des festivités marquant les 75 ans de présence des Salésiens en Haïti (P. 8) - J'épelle au soleil (P. 21).
Documento de derecho ambiental internacional, escrito por el Dr. Francisco Villagran Krammer.
Este manterial forma parte del libro Derecho de los Tratados del citado autor.
Este documento presenta diferentes técnicas de búsqueda avanzada en Google, incluyendo búsqueda de artículos y libros. Proporciona enlaces a varios artículos, libros y sitios web relacionados con temas como genética, gatos y navidad en Londres.
Chômage indemnisé ou non indemnisé - Situation au 30 septembre 2014France Travail
Fin septembre 2014, le nombre de chômeurs potentiellement indemnisables inscrits à Pôle emploi s’établit à 5 387 500, soit une augmentation de 5,1% en un an. Parmi ceux-ci, les effectifs non indemnisés progressent de +8,3% et les effectifs des indemnisés de +2,2%.
Les entrées en formation des demandeurs d'emploi au 3e trimestre 2020France Travail
Au 3e trimestre 2020, on compte environ 279 000 entrées en formation de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi. Le nombre d’entrées en formation augmente de 32,1% sur un an.
Entre juillet et septembre 2021, près de 27 000 demandeurs d'emploi, inscrits à Pôle Emploi, sont entrés en formation en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Le nombre d’entrées en formation a augmenté sur un an (+15%) et a plus que doublé par rapport au 3ème trimestre 2019.
La durée de chômage augmente au 4e trimestre 2019France Travail
Au 4e trimestre 2019, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) baisse et s’établit à 341 jours, en augmentation de 12 jours par rapport au trimestre précédent.
Les offres d'emploi diffusées par Pôle-emploi aux 1er et 2e trimestres 2020France Travail
Au cours des 1er et 2e trimestres 2020, respectivement 2,1 millions et 1,4 million d’offres d’emploi nouvelles ont été diffusées par Pôle emploi. Au 2e trimestre, cela représente une baisse de 25,6% par rapport au même trimestre en 2019. Cette diminution s’explique en grande partie par la baisse de l’activité économique pendant le confinement.
Cette note comporte un zoom spécifique sur les offres directement déposées à Pôle emploi au cours du premier semestre 2020. Elle pointe l’impact de la réduction de l’activité pendant le confinement sur les offres au niveau du type de contrat, de la dimension géographique et des métiers.
Les entrées en formation des demandeurs d'emploi au 2e trimestre 2020France Travail
Au 2e trimestre 2020, on compte environ 124 000 entrées en formation de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi. Dans un contexte de crise sanitaire et de confinement, le nombre d’entrées en formation diminue de 35,7% sur un an.
Es le retour_a_l_emploi_des_demandeurs_d_emploi_en_region_provence_alpes_cote...France Travail
Au cours du 1er trimestre 2021, plus de 82 900 demandeurs d’emploi inscrits en catégories 1,2,3 ont accédé à un emploi d’un mois ou plus, soit une hausse de +8.6% par rapport au 1er trimestre 2020 (+6 600 retours à l'emploi). Cette progression est toutefois inférieure à celle de la France (+16.2%). Sur 12 mois glissants, cela représente près de 359 400 retours à l'emploi (-1.9% par rapport à l'année précédente, soit 7 000 de moins).
Les offres d'emploi diffusées par Pôle-emploi aux 1er et 2e trimestres 2020France Travail
Au cours des 1er et 2e trimestres 2020, respectivement 2,1 millions et 1,4 million d’offres d’emploi nouvelles ont été diffusées par Pôle emploi. Au 2e trimestre, cela représente une baisse de 25,6% par rapport au même trimestre en 2019. Cette diminution s’explique en grande partie par la baisse de l’activité économique pendant le confinement.
Cette note comporte un zoom spécifique sur les offres directement déposées à Pôle emploi au cours du premier semestre 2020. Elle pointe l’impact de la réduction de l’activité pendant le confinement sur les offres au niveau du type de contrat, de la dimension géographique et des métiers.
Les entrées en formation des demandeurs d'emploi au 4e trimestre 2020France Travail
Au 4e trimestre 2020, on compte environ 350 000 entrées en formation de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi. Le nombre d’entrées en formation augmente de 43,9% sur un an. Sur l’ensemble de l’année 2020, on dénombre près de 947 000 entrées en formation de demandeurs d’emploi, en hausse de 13%.
ES_le_retour_a_l_emploi_des_demandeurs_d_emploi_en_region_PACA_T1_2022.pdfFrance Travail
En France, au cours du 1er trimestre 2022, 1 092 100 demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories 1,2,3 ont repris un emploi d’un mois ou plus, en augmentation de+7,8% par rapport au 1er trimestre 2021. Sur la même période, le nombre de demandeurs d’emploi en catégories 1,2,3 s'améliore de -12,5% (données brutes en moyennes trimestrielles).
La durée de chômage baisse au 4e trimestre 2018France Travail
Au 4e trimestre 2018, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) diminue et s’établit à 374 jours, en baisse de 12 jours par rapport au trimestre précédent.
Au 3e trimestre 2018, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) augmente légèrement et s’établit à 396 jours, en hausse de 4 jours par rapport au trimestre précédent.
La durée de chômage augmente au 1er trimestre 2019France Travail
Au premier trimestre 2019, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 376 jours.
La durée d'inscription à Pôle emploi au 1er trimestre 2018France Travail
Au premier trimestre 2018, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 391 jours, en hausse de 14 jours par rapport au trimestre précédent.
Au 3e trimestre 2019, la durée d’inscription à Pôle emploi, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) baisse et s’établit à 336 jours.
Au 3e trimestre 2021, plus de 205 560 offres d’emploi nouvelles ont été diffusées par Pôle emploi Provence-Alpes-Côte d’Azur, soit une hausse de+24,2% par rapport au 3e trimestre 2019 (+19,4% France entière)[cf. Graphique 1]. Si cette augmentation marque la reprise de l’activité, elle aussi liée au développement de nouveaux partenariats entre Pôle emploi et d’autres acteurs de l’emploi. 42% de ces offres ont été collectées par Pôle emploi et 58% ont été transmises par des sites partenaires.
Similaire à Les sortants des listes de Pôle emploi en juin 2014 (20)
La durée de chômage au 4e trimestre 2023.pdfFrance Travail
Au 4e trimestre 2023, la durée d’inscription à France Travail, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 350 jours.
Les retours à_l'emploi des DE au 4ème trimestre 2023France Travail
Au cours du 4e trimestre 2023, près de 81 800 demandeurs d’emploi inscrits en catégories A et B ont accédé à un emploi d’un mois ou plus, soit une baisse de 3,7% par rapport au 4e trimestre 2022. Sur la même période, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégories A et B diminue de 0,1%.
Part des demandeurs d'emploi indemnisables : situation au 30 septembre 2023France Travail
Fin septembre 2023, 70,3 % des personnes inscrites à France Travail en catégories A, B, C ont un droit ouvert à l’indemnisation. Parmi celles-ci, 70,3 % sont indemnisées.
Ainsi, 49,4% des personnes inscrites à France Travail en catégories A, B, C sont indemnisées.
Les employeurs des salariés intermittents du spectacle au 3e trimestre 2023France Travail
Au cours du 3e trimestre 2023, 62 200 employeurs (+1,3% par rapport au 3e trimestre 2022) ont employé au moins un salarié intermittent du spectacle relevant du champ d’application des annexes 8 et 10 de l’Assurance chômage. Le nombre de salariés est également en hausse sur la même période (+1,4%), alors que le nombre de contrats de travail, la masse salariale et le volume d’heures travaillées sont en baisse (respectivement -2,1%, -2,4% et -2,8%).
Le contrôle de la recherche d'emploi en 2023France Travail
Au cours de l’année 2023, 523 400 contrôles de la recherche d’emploi ont été effectués, en hausse de 4,4% par rapport à 2022. 60% des contrôles ont été déclenchés par des requêtes ciblées. Un quart des contrôles sont faits sur une base aléatoire et 15% proviennent de signalements du conseiller référent.
Tableau de la filière maritime et fluviale en FranceFrance Travail
A l’occasion de la semaine de l’emploi maritime, France Travail publie sa nouvelle édition du tableau de la filière maritime et fluviale. En 2023, France Travail a ainsi proposé 418 000 offres d’emploi dans ce secteur aux 168 000 demandeurs d’emploi liés aux métiers maritimes et fluviaux.
ES Economie Verte 2023 en Région Provence-Alpes-Côte d'AzurFrance Travail
Dans la région, 16% de l’offre d’emploi concerne l’économie verte avec une évolution annuelle de +6%. La filière du bâtiment, énergies renouvelables, maîtrise de l’énergie est la plus représentée. Chiffres clés et tendances du secteur.
Plus de 58 900 offres ont été déposées à France Travail en un an au 30 juin 2023 : 5% pour les métiers verts et 95 % pour les métiers verdissants.
Demandeurs d'emploi indemnisés au 4e trimestre 2023France Travail
Au 4e trimestre 2023, 2 894 600 demandeurs d’emploi étaient indemnisés, en augmentation de 0,7% sur un trimestre et de 4,1% sur un an. Les bénéficiaires de l’Assurance chômage représentent 88,1% des personnes indemnisées au 4e trimestre 2023.
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à France Travail en 2023.pdfFrance Travail
Fin 2023, 48,8% des demandeurs d’emploi inscrits à France Travail en catégorie A sont des femmes. Depuis 2009, la part des femmes au sein des personnes inscrites en catégorie A est proche de celle observée au sein des personnes en emploi.
L'accès à l'emploi des demandeurs d'emploi inscrits à France Travail mesuré e...France Travail
Au cours des 6 mois suivant leur inscription en mars 2023, 45% des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus. Vingt-quatre mois après leur inscription en septembre 2021, 75% des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus.
Les employeurs des salariés intermittents du spectacle au 2e trimestre 2023 .pdfFrance Travail
Au cours du 2e trimestre 2023, 61 000 employeurs (+4,6% par rapport au 2e trimestre 2022) ont employé au moins un salarié intermittent du spectacle relevant du champ d’application des annexes 8 et 10 de l’Assurance chômage. Le nombre de salariés et la masse salariale sont également en hausse sur la même période (+3,6% et +3,1%), alors que le nombre de contrats de travail et le volume d’heures travaillées sont en baisse (respectivement -1,8% et -0,1%).
La durée de chômage augmente au 3e trimestre 2023.pdfFrance Travail
Au 3e trimestre 2023, la durée d’inscription à France Travail, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 328 jours.
Part des demandeurs d'emploi indemnisables : situation au 30 juin 2023France Travail
En 2022, les dépenses d’indemnisation au titre des annexes 8 et 10 ont diminué de 13,8% du fait de la fin de l’année blanche et de la reprise d’activité.
Les sortants des listes de Pôle emploi en juin 2014
1. STATISTIQUES, ETUDES ET EVALUATIONS DE POLE EMPLOI
LES SORTANTS DES LISTES DE POLE EMPLOI
DE JUIN 2014
Caractéristiques de la reprise d’emploi
La part des sorties pour reprise d’emploi diminue de 2 points en un an
L’enquête trimestrielle auprès des sortants des listes de Pôle emploi permet de mieux cerner les motifs de
sortie des catégories ABC, difficilement identifiables à partir des fichiers administratifs pour plus de la
moitié d’entre elles. Par exemple, en juin 2014, 47 % des sorties comptabilisées sont dues à une
cessation d'inscription pour défaut d'actualisation, 10 % à une radiation administrative et 5 % à d’autres
cas (cf. tableau 5).
L’enquête révèle que la reprise d’emploi est le véritable motif de sortie des listes de Pôle emploi pour
44,4 % des demandeurs d’emploi. Si l’on exclut les sorties suivies d’une réinscription immédiate (motif
« défaut d’actualisation suivi d’une réinscription »), la part des reprises d’emploi atteint alors 49,2 %.(cf.
tableau 1)
Tableau 1 : Répartition des sorties selon les motifs (Données CVS)
juin-13 mars-14 juin-14
Reprise d’emploi 214 400 46,4% 210 400 43,3% 190 600 44,4%
Formation 49 500 10,2% 57 600 11,9% 62 600 11,9%
Arrêt de recherche d'emploi temporaire 29 300 6,8% 38 000 7,5% 35 200 8,1%
Non renouvellement motivé de la demande 12 300 2,7% 12 300 2,9% 15 300 2,5%
Non renouvellement accidentel de la demande 40 600 8,1% 41 600 8,2% 39 500 8,6%
Fin d'activité 8 500 0,9% 4 100 1,8% 10 000 0,4%
Radiation administrative 7 600 1,3% 9 200 1,7% 6 800 1,9%
Autre motif de sortie 24 600 5,5% 26 200 4,8% 27 200 4,1%
Défaut d'actualisation suivi d'une réinscription 83 600 18,0% 97 500 18,0% 83 100 18,0%
Total 470 400 100% 496 900 100% 470 400 100%
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
Graphique 1 : Evolution des sorties pour reprise d’emploi et formation (Données CVS)
212 127 214 343 212 231 212 534 204 246 209 013 214 829 207 698 214 393
195 191 207 571 210 414
190 572
46 585 48 259 53 054 52 379 55 235 52 182 47 214 49 289 49 523
53 638
55 448 57 565
62 632
0
50 000
100 000
150 000
200 000
250 000
300 000
juin-11 sept-11 déc-11 mars-12 juin-12 sept-12 déc-12 mars-13 juin-13 sept-13 déc-13 mars-14 juin-14
Reprise d'emploi Formation
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
Parmi les 470 400 demandeurs d’emploi sortis de catégories ABC en juin 2014, 190 600 ont repris un
emploi et 62 600 sont entrés en formation (cf. graphique 1). Sur un an, la part des sorties pour reprise
d’emploi a diminué de 2 points et celle des entrées en formation a augmenté de 1,7 point.
06 Janvier 2015 - N° 15.001
2. 3
STATISTIQUES ET INDICATEURS JANVIER 2015 – N° 15-0001
Les sorties se font plus fréquemment pour reprise d’emploi chez les
demandeurs d’emploi qualifiés et les indemnisables
Graphique 2 : Part des sorties pour reprise d’emploi en juin 2014
34,5%
53,5%
30,1%
45,8%
26,2%
43,0%
51,2%
44,5%
32,9%
46,9%
35,4%
45,3%
41,0%
30,9%
42,1%
44,4%
44,2%
43,0%
40,9%
42,0%
0% 10% 20% 30% 40% 50% 60%
Non indemnisable
Indemnisable*
Bénéficiaire du RMI ou RSA
Non bénéficiaire RMI/RSA
Bénéficiaire de l’obligation d’emploi des TH
Non bénéficiaire de l’obligation d’emploi
Agent de maîtrise, technicien et cadre
Employé qualifié
Employé non qualifié
Ouvrier qualifié
Ouvrier non qualifié
Ancienneté de 12 mois ou plus
Ancienneté <12 mois
50 ans ou plus
35-49 ans
25-34 ans
Moins de 25 ans
Homme
Femme
Ensemble
Indemnisable* : demandeur d’emploi indemnisable au titre de l’Assurance chômage ou de l’allocation de solidarité spécifique
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
Globalement, en données brutes, la part des sorties pour reprise d’emploi s’élève à 42,0% (cf.
graphique 2). Parmi l’ensemble des sorties, la part des sorties pour reprise d’emploi est plus élevée chez
les demandeurs d’emploi de longue durée, les catégories professionnelles et sociales qualifiées (en
particulier les agents de maîtrise, techniciens et cadres) et les demandeurs d’emploi indemnisables.
A l’inverse, la part des sorties pour reprise d’emploi est plus faible pour les demandeurs d’emploi les plus
âgés, les bénéficiaires de l’obligation d’emploi TH, les bénéficiaires du RSA.
Données brutes, en pourcentage
3. STATISTIQUES ET INDICATEURS JANVIER 2015 – N° 15-0001
4
Près de six reprises d’emploi sur dix s’effectuent sur des emplois durables
Tableau 2 : Caractéristiques des emplois occupés
Données brutes, en pourcentage
Données brutes JUIN 2014
Type d’employeur % Femme % Homme % Total
Lui-même (individu établi à son compte) 4,7% 7,3% 6,1%
Un particulier ou autre 8,0% 2,9% 5,2%
Une entreprise privée 69,3% 78,6% 74,3%
dont un artisan, un commerçant, une personne exerçant une
profession libérale, un exploitant agricole 11,2% 10,3% 10,8%
dont une entreprise de travail temporaire/d'intérim 9,0% 20,4% 15,1%
dont une association 10,0% 5,4% 7,5%
L'Etat, une collectivité locale, une entreprise publique ou
nationale 18,0% 11,2% 14,3%
Caractéristiques des postes occupés par les salariés*
Qualification du poste occupé % Femme % Homme % Total
Ouvrier non qualifié 8,4% 24,0% 16,7%
Ouvrier qualifié 9,7% 26,9% 18,9%
Employé 72,7% 36,4% 53,3%
Technicien - dessinateur - Agent de maîtrise 3,6% 6,0% 4,9%
Cadre 5,6% 6,7% 6,2%
Type de contrat de travail % Femme % Homme % Total
CDI 32,3% 29,0% 30,6%
CDD 41,8% 34,1% 37,7%
Contrat saisonnier 5,3% 5,6% 5,5%
Mission Intérim 8,4% 22,7% 16,0%
Contrats Aidés 8,8% 7,3% 8,0%
Vacation ou autre 3,3% 1,4% 2,3%
Durée du contrat de travail % Femme % Homme % Total
Contrat durable 62,0% 52,6% 57,0%
Contrat de moins de 6 mois 38,0% 47,4% 43,0%
Temps de travail % Femme % Homme % Total
20 heures max 21,7% 8,6% 14,7%
21 à 34 heures 15,8% 7,1% 11,2%
35 heures ou + 62,5% 84,3% 74,1%
*hors individus établis à leur compte
Pour les sortants de juin 2014 ayant retrouvé un emploi :
Près des trois quarts des emplois occupés se trouvent dans des entreprises privées (cf. tableau 2).
La reprise d’emploi se fait sur un poste d’employé pour sept femmes sur dix et sur un poste d’ouvriers
(qualifiés, non qualifiés) pour près de la moitié des hommes.
L’emploi durable (CDI et contrats de plus de 6 mois) concerne globalement 57% des reprises d’emploi
(62% pour les femmes et 53% pour les hommes).
Pour les trois quarts de la population ayant repris un emploi, celui-ci est à temps plein (35 heures ou
plus). 38% des femmes et 16% des hommes reprennent un emploi à temps partiel.
4. STATISTIQUES ET INDICATEURS JANVIER 2015 – N° 15-0001
5
Baisse des emplois saisonniers, hausse des CDI et des CDD
La structure des types de contrat des emplois retrouvés a sensiblement évolué entre juin 2013 et juin
2014 (cf. graphique 3).
En juin 2014, 29% des emplois retrouvés à la sortie des listes de Pôle emploi sont des contrats à durée
indéterminée. En un an, la part des missions d’intérim et des contrats saisonniers ont diminué
respectivement de 2,6 points et 1,9 point, au profit des contrats à durée indéterminée et déterminée qui
ont augmenté respectivement de 3,1 et 2,3 points.
Graphique 3 : Comparaison des types de contrats* des sortants de juin 2013 et juin 2014
29%
26%
35%
33%
5%
7%
15%
18%
6%
7%
8%
7%
2%
3%
0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100%
Juin 2014
Juin 2013
CDI CDD Contrat saisonnier Mission Intérim A son compte Contrats Aidés Vacation ou Autre
*y compris les mises à son compte
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
Un emploi sur deux est obtenu par candidature spontanée ou par les
réseaux de connaissances
Tableau 3 : Canal de recrutement
La question "Où avez-vous trouvé cet emploi ou cette mission d’intérim ?" posée aux demandeurs d’emploi sortant pour reprise d’emploi permet
d'évaluer les vecteurs de retour à l'emploi et donne la répartition suivante ventilée par type d’emploi :
Données brutes, en pourcentage
Données brutes Type d'emploi retrouvé
Canal de recrutement
CDI CDD* Intérim
Contrats
aidés
A son
compte ou
autre
% Total
Candidature spontanée 28,4% 30,2% 13,9% 23,4% 16,7% 25,7%
Relation personnelle 24,8% 29,4% 12,9% 15,7% 15,2% 23,5%
Pôle Emploi 14,0% 12,5% 5,4% 29,3% 5,9% 12,6%
Agence d'intérim 5,9% 4,4% 57,1% 2,6% 0,2% 12,3%
Petites annonces 10,1% 7,7% 3,7% 4,5% 4,5% 7,3%
Relation professionnelle 7,6% 8,8% 2,9% 4,4% 5,3% 7,0%
Autre (concours, création entreprise) 4,2% 3,3% 2,9% 3,8% 46,4% 6,7%
Autre intermédiaire 4,4% 3,6% 1,2% 16,2% 5,9% 4,6%
Cabinet de recrutement/reclassement 0,7% 0,2% 0,1% 0,1% 0,0% 0,3%
Total 100% 100% 100% 100% 100% 100%
CDD* : CDD, contrat saisonnier, vacation
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
La candidature spontanée et les relations personnelles sont les moyens les plus fréquents pour l’obtention
d’un emploi (25,7% et 23,5% respectivement). Dans près d’un tiers des cas, ce sont les réseaux de
connaissances (relations personnelles ou relations professionnelles) qui permettent d’accéder à l’emploi.
Arrive ensuite Pôle emploi qui est la voie d’accès pour 12,6% des demandeurs d’emploi.
Ces proportions varient fortement selon le type de contrat proposé.
Pôle emploi est le premier intermédiaire pour les contrats aidés (29,3%). Les relations personnelles et les
candidatures spontanées sont les plus cités pour décrocher un CDD ou un CDI.
Données brutes, en pourcentage
5. STATISTIQUES ET INDICATEURS JANVIER 2015 – N° 15-0001
6
Près de 8 personnes sur 10 sont toujours en emploi trois mois après leur
sortie des listes de Pôle emploi
Tableau 4 : Stabilité des emplois retrouvés
Les personnes ayant déclaré être sorties en juin 2014 pour reprendre un emploi ont été interrogées sur leur situation professionnelle en septembre
2014, soit environ trois mois après leur sortie du chômage :
Données brutes
Type d'emploi retrouvé en JUIN 2014
A son compte
Données brutes CDI CDD* Intérim ou autre Contrats aidés Total
Situation 3 mois
après la sortie Effectif % Total Effectif % Total Effectif % Total Effectif % Total Effectif % Total Effectif % Total
En emploi 42 204 74,3% 45 129 54,9% 11 035 37,1% 8 249 56,9% 5 348 36,0% 111 965 56,5%
En emploi et inscrit
au chômage 9 260 16,3% 14 493 17,6% 8 704 29,3% 4 615 31,9% 7 710 51,9% 44 782 22,6%
Inscrit au chômage 3 506 6,2% 15 089 18,4% 6 591 22,2% 1 093 7,5% 1 412 9,5% 27 691 14,0%
En formation 133 0,2% 1 000 1,2% 161 0,5% 83 0,6% 54 0,4% 1 431 0,7%
Autre situation
(recherche un
emploi sans être
inscrit ou ne
recherche plus) 1 714 3,0% 6 495 7,9% 3 246 10,9% 447 3,1% 342 2,3% 12 244 6,2%
Total 56 817 100,0% 82 206 100,0% 29 736 100,0% 14 487 100,0% 14 866 100,0% 198 113 100,0%
*CDD, contrat saisonnier, vacation
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
79% des personnes ayant repris un emploi en juin 2014 sont toujours en emploi en septembre 2014 (cf.
tableau 4). Cette proportion varie selon le contrat proposé : près de 91% des personnes embauchées en
CDI en juin 2014 sont toujours en emploi en juin 2014 alors qu’elles ne sont que 66% pour les personnes
engagées sur une mission d’intérim. Il est à noter que près d’un quart des personnes sorties des
catégories ABC pour reprise d’emploi en juin 2014 et encore en emploi trois mois plus tard sont à cette
date inscrites à Pôle emploi.
Christel POUJOULY
Département Marché du Travail
6. 7
POUR EN SAVOIR PLUS
contact-DSEE.00144@pole-emploi.fr
www.pole-emploi.org
Pôle emploi, 1 avenue du Docteur Gley, 75987 Paris cedex20
Directeur de publication
Jean BASSÈRES
Directeur de la rédaction
Stéphane DUCATEZ
Réalisation
Direction des Statistiques, des Études et de l’Évaluation
Objectif de l’enquête : Estimer les motifs réels de sortie et qualifier l’emploi
retrouvé par les demandeurs d’emploi sortis des listes de Pôle emploi
Constat : L’enregistrement mensuel des listes de Pôle emploi ne permet pas de qualifier précisément les
motifs de sortie et en particulier de déterminer les volumes de reprise d’emploi.
Issue de la gestion administrative de la liste des demandeurs d’emploi réalisée par Pôle Emploi, la statistique
mensuelle du marché du travail (STMT) sur les sorties de la liste donne un éclairage sur le volume total des flux
de sortie mais ne fournit pas une indication fiable sur les motifs de sortie. En effet, dans plus d’un cas sur
deux, le motif est indéterminé (cessation d'inscription pour défaut d'actualisation, autres cas, radiations : motifs en
grisé dans le tableau 1).
La part des sorties pour reprise d’emploi présenté dans la statistique mensuelle ne comprend que les reprises d’emploi
déclarées. Elle est donc sans rapport avec le volume réel des reprises effectives.
Tableau 5 : Demandeurs d’emploi sortis des listes de Pôle emploi en juin 2014 (données brutes)
Motif enregistré Effectif %
Reprise d'emploi 86 939 18,4%
Entrée en stage 30 794 6,5%
Arrêt de recherche, Maladie, Maternité 21 088 4,5%
Cessation d'inscription pour défaut d'actualisation 223 597 47,4%
Arrêt de recherche retraite – Dispense de recherche d’emploi 4 691 1,0%
Radiation administrative 49 470 10,5%
Autre arrêt de recherche 9 345 2,0%
Autre motif déclaré 17 449 3,7%
Autre cas 13 497 2,9%
Changement d'agence 14 911 3,2%
Total des Demandes d’emploi sorties en Septembre 2013 - France métropolitaine 471 781 100,0%
Part des motifs inconnus 295 909 62,7%
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine
Une enquête trimestrielle nationale pour estimer de façon fiable le volume de reprises d’emploi et leur
nature.
Le tableau 2 présente les résultats de la vague de juin 2014 : en colonne le motif enregistré dans la statistique du marché
du travail, en ligne le motif déclaré par la personne interrogée.
Seules 87% des sorties enregistrées comme reprises d’emploi le sont effectivement.
45 % des sorties enregistrées comme cessation d'inscription pour défaut d’actualisation sont en réalité des reprises d’emploi.
L’enquête révèle également que pour plus de 4 demandeurs d’emploi radiés administrativement sur 5, la sortie des listes
de Pôle emploi est en fait liée à d’autres motifs : dans plus d’un cas sur 4, ils déclarent avoir repris un emploi.
Tableau 6 : Sortants de juin 2014 : motifs réels de sortie en fonction du motif enregistré (données brutes)
Motif enregistré dans la STMT
Motif révélé par l’enquête Reprise d'emploi
Autre arrêt de
recherche ou autre cas
Cessation
d'inscription
pour défaut
d'actualisation
Radiation
Administrative
Reprise d’emploi 87,1% 34,6% 45,4% 26,2%
Formation 1,1% 5,3% 2,8% 2,0%
Arrêt de recherche d'emploi temporaire 0,8% 16,3% 5,7% 4,8%
Non renouvellement motivé de la demande 2,5% 4,7% 4,9% 3,5%
Non renouvellement accidentel de la demande 2,5% 10,3% 15,6% 10,4%
Fin d'activité 0,1% 1,8% 1,2% 0,2%
Radiation administrative 0,0% 0,0% 0,0% 16,4%
Autre motif de sortie 2,1% 2,4% 2,8% 2,1%
Défaut d'actualisation suivi d'une réinscription 3,9% 24,6% 21,5% 34,4%
Total 100,0% 100,0% 100,0% 100,0%
Source : Pôle emploi/Dares, (STMT et enquête sortants) - France métropolitaine