Étude de cas - communication : Benetton, histoire d'un scandale annoncé (SEMP...Elise Fauvel
Étude d'un texte d'Andrea Semprini, une analyse de la communication du groupe Benetton. Présentation réalisée dans le cadre d'un cours de la Théorie de l'information et de la communication, par Elise Fauvel.
La campagne Benetton, en réalité les diverses campagnes proposées par Oliviero Toscani, le photographe-créatif attitré, est d’une richesse rare parce qu’elle permet de comprendre le succès d’une entreprise, puis les voies plus tortueuses qui mènent à un certain désamour.
Ces slides ont été réalisés dans le cadre du projet IONIS Brand Culture.
Pour découvrir l'intégralité des cas étudiés, rendez-vous sur : www.ionisbrandculture.com.
HP, entreprise d’électronique et informatique, est un précurseur en proposant au public la première exposition internationale, populaire et démocratique. La marque offre ainsi la possibilité aux anonymes de se faire connaître du grand public mais également de mettre en avant la qualité d’impression de ces produits.
Afin de ne pas avoir recours au sponsoring classique ou a la publicité onéreuse, HP s’engage pour la culture et transforme le Palais de Tokyo en « showroom », après avoir fait une opération initiale identique à Londres. Il dévoile de nouveaux talents inconnus au grand public mais également redore son blason et image auprès de certains professionnels tout en faisant connaître ses nouvelles imprimantes et photocopieuses « pro ».
L’agence, née en 2005, porte le nom de Marcel Bleustein-Blanchet fondateur de Publicis en 1926. Ses fondateurs sont Maurice Levy et à l’époque Fréderic Raillard et Farid Mokart.
Aujourd’hui ses principaux clients sont Axa, Canderel, Contrex, Hepar, Intermarché, Fnac, Granola, Oasis, Orange, Pierre et vacances, Renault, Total, Ubisoft.
En 2010, lors d’une fusion, et à l’inverse des autres groupes de communication, c’est l’expertise digitale du Pure Player Publicis Net qui s’enrichit de l’expertise publicitaire du hot Shop Créatif Marcel République. L’agence Marcel est la première hotshop créative née du digital, comprenant aujourd’hui 250 collaborateurs bilingues off et online.
L’agence est présente à l’international dans 5 villes : Paris, New-York, Londres, Shanghai, Hong Kong.
Depuis 2010, elle a remporté plus de 30 prix au Cannes Lions festival, 5 D&AD, 8 prix au NY festival, 43Clio Awards, 11 Eurobest, 1 Grand Prix Stratégie.
Étude de cas - communication : Benetton, histoire d'un scandale annoncé (SEMP...Elise Fauvel
Étude d'un texte d'Andrea Semprini, une analyse de la communication du groupe Benetton. Présentation réalisée dans le cadre d'un cours de la Théorie de l'information et de la communication, par Elise Fauvel.
La campagne Benetton, en réalité les diverses campagnes proposées par Oliviero Toscani, le photographe-créatif attitré, est d’une richesse rare parce qu’elle permet de comprendre le succès d’une entreprise, puis les voies plus tortueuses qui mènent à un certain désamour.
Ces slides ont été réalisés dans le cadre du projet IONIS Brand Culture.
Pour découvrir l'intégralité des cas étudiés, rendez-vous sur : www.ionisbrandculture.com.
HP, entreprise d’électronique et informatique, est un précurseur en proposant au public la première exposition internationale, populaire et démocratique. La marque offre ainsi la possibilité aux anonymes de se faire connaître du grand public mais également de mettre en avant la qualité d’impression de ces produits.
Afin de ne pas avoir recours au sponsoring classique ou a la publicité onéreuse, HP s’engage pour la culture et transforme le Palais de Tokyo en « showroom », après avoir fait une opération initiale identique à Londres. Il dévoile de nouveaux talents inconnus au grand public mais également redore son blason et image auprès de certains professionnels tout en faisant connaître ses nouvelles imprimantes et photocopieuses « pro ».
L’agence, née en 2005, porte le nom de Marcel Bleustein-Blanchet fondateur de Publicis en 1926. Ses fondateurs sont Maurice Levy et à l’époque Fréderic Raillard et Farid Mokart.
Aujourd’hui ses principaux clients sont Axa, Canderel, Contrex, Hepar, Intermarché, Fnac, Granola, Oasis, Orange, Pierre et vacances, Renault, Total, Ubisoft.
En 2010, lors d’une fusion, et à l’inverse des autres groupes de communication, c’est l’expertise digitale du Pure Player Publicis Net qui s’enrichit de l’expertise publicitaire du hot Shop Créatif Marcel République. L’agence Marcel est la première hotshop créative née du digital, comprenant aujourd’hui 250 collaborateurs bilingues off et online.
L’agence est présente à l’international dans 5 villes : Paris, New-York, Londres, Shanghai, Hong Kong.
Depuis 2010, elle a remporté plus de 30 prix au Cannes Lions festival, 5 D&AD, 8 prix au NY festival, 43Clio Awards, 11 Eurobest, 1 Grand Prix Stratégie.
L'objectif de ce travail était d'analyser les différents moyens de communication de la marque, en analysant ses actions de communication, ses campagnes, ses différents procédés et médias dominants, etc.
En France, Dim est l’une des campagnes les plus populaires, connues et reconnues, l’une des marques qui disposent de la plus forte notoriété, quelques notes de musique qui signifient beaucoup et que l’on reconnait. Pourtant, ce cas présente d’autres intérêts : l’exemple d’une collaboration réussie de plusieurs décennies entre une marque et son agence, la capacité à « maintenir un cap », l’expression de la femme libre et moderne, quelle que soit la période ou le produit considéré, une puissante capacité de vision et de compréhension de la société et de ses mutations, qui lui a permis de réaliser d’audacieuses diversifications (en lançant, à titre d’exemple, Dim Hommes) et UNE VRAIE OBSESSION DE L’INNOVATION.
Ce parcours d’un demi-siècle a pu connaître quelques ratés ou déviations, mais Dim demeure toujours en tête, aussi longtemps après son lancement, ce qui est loin d’être fréquent.
Ces slides ont été réalisés dans le cadre du projet IONIS Brand Culture.
Pour découvrir l'intégralité des cas étudiés, rendez-vous sur : www.ionisbrandculture.com.
L’espace public est un lieu « collectif » où se déploient des flux complexes d’individus qui agissent au gré des temps, des espaces, des envies, des situations de mobilité ou encore des opportunités qui dirigent leurs vies.
Dans ce dialogue, qui s’est ouvert avec l’urbanisation, la démocratisation des transports et la mobilité des individus, est né un fantastique champ des possibles au sein duquel les marques ont commencé très tôt à inscrire leur propre histoire, à construire leur territoire et à partager leurs valeurs.
Ainsi est né un nouveau média – l’affichage désormais appelé communication extérieure – qui s’est très rapidement révélé d’une grande efficacité et d’une richesse inépuisable pour les marques.
La réussite de cette initiative assez exceptionnelle – sur une période courte mais si médiatique - porte en soi un questionnement essentiel (et pourtant fréquent) dans la pratique du marketing et de la communication : comment, avec peu de moyens, dans un univers pourtant si encombré (en nombre d’intervenants, de messages, de médias, de réseaux sociaux et de modes de communication…) « faire le trou » et donc disposer de suffisamment d’émergence, d’impact, de capacité pour intéresser, populariser, créer le débat et même impliquer?
Or ce qui fait la richesse de ce cas et son apport dans la compréhension des domaines évènementiels, c’est l’union de la pertinence stratégique, de la capacité à faire croire l’impossible, de la parfaite orchestration des discours, des moyens mis en œuvre, du timing, de la juste relation avec les diverses populations impliquées.Cette perfection unit la créativité, celle de l’idée de la « fin des blagues Carambar », à la justesse stratégique (car on touche à la force symbolique de la marque et son essence) et à la perfection dans la planification…Recette qu’on ne retrouve pas toujours dans des ambitionsde nature similaire.
Nike vs. Adidas, Apple vs. Microsoft, Avis vs. Hertz, l’histoire du marketing et de la communication ne compte plus les guerres que se livrent sur certains marchés le leader historique et l’outsider reconnu.
Aucune autre conflagration, durable et puissante, disposant de moyens considérables, mettant en œuvre des talents majeurs et des innovations exceptionnelles, ne peut se comparer au combat des Colas.. L’ouverture des hostilités au milieu des années 70, puis la « continuation de la bataille» pendant une décennie, le lancement de New Coke puis son retrait, des diversifications majeure…
la bataille continuera encore longtemps.
Au-delà des aspects médiatiques qui font de ce cas marketing une leçon d’économie, de psychologie, de conduite stratégique du conflit, celui ci est riche d’enseignements : - La conduite de la bataille chez l’outsider et chez le leader, - Les tentatives de déstabilisation, l’investissement dans la durée et sous une multitude de formes du « challenge », - Le courage de l’idée nouvelle chez l’outsider et la force de la réaction chez le leader…- La dynamique d’un marché résultant de la force des conflits pour les deux principaux acteurs.
“In 1929, D'Arcy introduced an important new campaign for Coca-Cola, "The Pause That Refreshes," the success of which led Advertising Age in 1999 to rank it No. 2 on its list of the top ad campaigns of the 20th century”.
(http://adage.com/article/adage-encyclopedia/coca-cola/98398/)
On s’étonnera qu’un enseignement actuel se réfère à un cas vieux de 90 ans. Et pourtant, c’est une révolution culturelle et sociologique que la marque d’Atlanta va installer, une double transformation. Il suffira de quelques années, de millions de $ et d’un brillant marketing pour que la “pause” soit un élément structurant de l’organisation du travail et que le rafraîchissement sort de son carcan estival.
Altoids est la représentation assez remarquable de ce que la communication pour un produit grand public peut créer comme différence, comme personnalisation, comme attractivité et donc comme essentialité. C’est la preuve dans la durée qu’une communication performante, et donc au départ pertinente, peut représenter plus et autrement que la seule définition de son offre.
Depuis une décennie, cette campagne évolue selon les pays et les nouvelles variétés de bonbons mentholés commercialisés. Pourtant, la marque transcende les politiques commerciales et les innovations mais demeure une sorte d’OVNI qui communique autrement sur un « goût étrange de menthe »… L’ingrédient matériel devient une forme d’état d’esprit, une philosophie de vie, construisant ainsi une légitimité très forte pour cette marque mais surtout une personnalité attractive de par cette différence.
Myriam, la campagne lancée en 1981 pour faire connaître le nouveau réseaux de l’afficheur Avenir, est célèbre par la médiatisation liée à la nudité. Pourtant, cette campagne s’adressait aux professionnels de la communication, une action « classique B2B ».
L’impact historique de la démarche tient à une conjonction rare : une idée créative exceptionnelle, car d’une grande justesse (la démonstration par le striptease des trois affichages en 7 jours), l’utilisation du média pour valoriser le produit lui-même, la période (le retour de vacances généralement morne et égayé par cette action), l’art du teasing, d’une qualité unique parce qu’il y a une escalade forte de l‘intérêt du public et enfin, l’exploitation d’un des univers qui mobilise le plus les populations, le sexe.
Cette conjonction crée un mouvement d’intérêt des médias, chaque jour plus important et qui, à leur manière, amplifient la campagne.
Ces slides ont été réalisés dans le cadre du projet IONIS Brand Culture. Pour découvrir l'intégralité des cas étudiés, rendez-vous sur : www.ionisbrandculture.com.
Depuis sa création, Leroy Merlin a eu pour objectif de se positionner comme le généraliste de la maison, du gros travaux aux accessoires. À travers ces larges campagne à 360°, Leroy Merlin créé des interactions et des synergies entre les canaux afin d’affirmer son ADN auprès du grand public : son expertise de l’habitat. Le distributeur a donc su se positionner comme le guide et l’accompagnateur de la décoration intérieure.Mais il est allé encore plus loin et a su ainsi trouver une place à part, fondée sur la proximité et la confiance avec ses publics.
Grâce au programme « Du côté de chez vous » (et d’autres actions) la marque propose du « brand content », ne délivrant pas seulement les messages habituels des distributeurs, mais un véritable contenu indépendant de l’achat et ne se résumant plus à la dimension produit.
Comme Teflon, Gore-Tex, Nutra Sweet, Intel a rencontré au cours de sa croissance la question stratégique vitale de la « mise sur orbite » de la marque, de sa valorisation comme « autre chose qu’un ingrédient masqué ».
Par une stratégie de marque brillamment déployée, en particulier par le recours à une multiplicité de « coop-advertising », Intel va réellement devenir un « ingrédient qui compte ». Le client final va enfin se poser la question qui légitime la marque, la valorise, la rend donc indispensable : est-ce qu’il y a « Intel inside » dedans ?
L’intérêt de ce cas tient moins à la créativité proprement dite des campagnes, encore que la fameuse petite musique Intel est d’une habileté remarquable et fait désormais partie du capital intangible de cette marque.
Ce qu’il faut surtout retenir, c’est la capacité à transformer un ingrédient, une « pièce technique anonyme » et donc sans personnalité, en véritable marque qui compte et qui pourra, ensuite, « booster » les développements d’Intel.
Eram est une marque qui propose, depuis plus de trente ans, une double continuité remarquable qui fait d’elle une exception dans un univers aussi banalisé que celui de la mode (textile, chaussures…).
D’une part, la philosophie de la marque demeure identique au gré des années, proposer des produits de qualité à des prix bas parce qu’il « faudrait être fou pour dépenser plus », parce que la mode ne mérite pas de tels sacrifices, parce qu’il y a plus important dans la vie, le tout affirmé avec humour et distance. D’autre part, l’expression de la marque symbolise un anticonformisme qui ne se cantonne pas aux critiques faciles. On choque en fonction de l’époque, en s’inscrivant parfois dans le « politiquement correct » ou en adoptant, dans d’autres occasions, une provocation à forte portée médiatique (cf. parodies des mondes de la photo et de la mode, de celui des « jeunes branchés »).
Eram a compris, depuis bien longtemps, que la recherche de neutralité n’est pas essentielle pour réussir à bien communiquer et que, au contraire, elle ne fait qu’appauvrir le capital d’une marque.
Ces slides ont été réalisés dans le cadre du projet IONIS Brand Culture. Pour découvrir l'intégralité des cas étudiés, rendez-vous sur : www.ionisbrandculture.com.
La « buzz strategy » est une démarche novatrice. Elle se construit sur les mêmes éléments qui ont fait le succès du bouche-à-oreille ou de la diffusion des rumeurs depuis des décennies. Ce mode de communication, souvent minimisé par les professionnels dans le passé, demeure depuis des décennies, l’un des outils les plus performants pour influencer. On ne peut cependant expliquer la progression des actions de buzz, sans oublier les transformations du paysage des médias et des outils. Ce qui était souhaitable est devenu opérationnel par les outils disponibles.
Ces slides ont été réalisés dans le cadre du projet IONIS Brand Culture. Pour découvrir l'intégralité des cas étudiés, rendez-vous sur : www.ionisbrandculture.com.
L'objectif de ce travail était d'analyser les différents moyens de communication de la marque, en analysant ses actions de communication, ses campagnes, ses différents procédés et médias dominants, etc.
En France, Dim est l’une des campagnes les plus populaires, connues et reconnues, l’une des marques qui disposent de la plus forte notoriété, quelques notes de musique qui signifient beaucoup et que l’on reconnait. Pourtant, ce cas présente d’autres intérêts : l’exemple d’une collaboration réussie de plusieurs décennies entre une marque et son agence, la capacité à « maintenir un cap », l’expression de la femme libre et moderne, quelle que soit la période ou le produit considéré, une puissante capacité de vision et de compréhension de la société et de ses mutations, qui lui a permis de réaliser d’audacieuses diversifications (en lançant, à titre d’exemple, Dim Hommes) et UNE VRAIE OBSESSION DE L’INNOVATION.
Ce parcours d’un demi-siècle a pu connaître quelques ratés ou déviations, mais Dim demeure toujours en tête, aussi longtemps après son lancement, ce qui est loin d’être fréquent.
Ces slides ont été réalisés dans le cadre du projet IONIS Brand Culture.
Pour découvrir l'intégralité des cas étudiés, rendez-vous sur : www.ionisbrandculture.com.
L’espace public est un lieu « collectif » où se déploient des flux complexes d’individus qui agissent au gré des temps, des espaces, des envies, des situations de mobilité ou encore des opportunités qui dirigent leurs vies.
Dans ce dialogue, qui s’est ouvert avec l’urbanisation, la démocratisation des transports et la mobilité des individus, est né un fantastique champ des possibles au sein duquel les marques ont commencé très tôt à inscrire leur propre histoire, à construire leur territoire et à partager leurs valeurs.
Ainsi est né un nouveau média – l’affichage désormais appelé communication extérieure – qui s’est très rapidement révélé d’une grande efficacité et d’une richesse inépuisable pour les marques.
La réussite de cette initiative assez exceptionnelle – sur une période courte mais si médiatique - porte en soi un questionnement essentiel (et pourtant fréquent) dans la pratique du marketing et de la communication : comment, avec peu de moyens, dans un univers pourtant si encombré (en nombre d’intervenants, de messages, de médias, de réseaux sociaux et de modes de communication…) « faire le trou » et donc disposer de suffisamment d’émergence, d’impact, de capacité pour intéresser, populariser, créer le débat et même impliquer?
Or ce qui fait la richesse de ce cas et son apport dans la compréhension des domaines évènementiels, c’est l’union de la pertinence stratégique, de la capacité à faire croire l’impossible, de la parfaite orchestration des discours, des moyens mis en œuvre, du timing, de la juste relation avec les diverses populations impliquées.Cette perfection unit la créativité, celle de l’idée de la « fin des blagues Carambar », à la justesse stratégique (car on touche à la force symbolique de la marque et son essence) et à la perfection dans la planification…Recette qu’on ne retrouve pas toujours dans des ambitionsde nature similaire.
Nike vs. Adidas, Apple vs. Microsoft, Avis vs. Hertz, l’histoire du marketing et de la communication ne compte plus les guerres que se livrent sur certains marchés le leader historique et l’outsider reconnu.
Aucune autre conflagration, durable et puissante, disposant de moyens considérables, mettant en œuvre des talents majeurs et des innovations exceptionnelles, ne peut se comparer au combat des Colas.. L’ouverture des hostilités au milieu des années 70, puis la « continuation de la bataille» pendant une décennie, le lancement de New Coke puis son retrait, des diversifications majeure…
la bataille continuera encore longtemps.
Au-delà des aspects médiatiques qui font de ce cas marketing une leçon d’économie, de psychologie, de conduite stratégique du conflit, celui ci est riche d’enseignements : - La conduite de la bataille chez l’outsider et chez le leader, - Les tentatives de déstabilisation, l’investissement dans la durée et sous une multitude de formes du « challenge », - Le courage de l’idée nouvelle chez l’outsider et la force de la réaction chez le leader…- La dynamique d’un marché résultant de la force des conflits pour les deux principaux acteurs.
“In 1929, D'Arcy introduced an important new campaign for Coca-Cola, "The Pause That Refreshes," the success of which led Advertising Age in 1999 to rank it No. 2 on its list of the top ad campaigns of the 20th century”.
(http://adage.com/article/adage-encyclopedia/coca-cola/98398/)
On s’étonnera qu’un enseignement actuel se réfère à un cas vieux de 90 ans. Et pourtant, c’est une révolution culturelle et sociologique que la marque d’Atlanta va installer, une double transformation. Il suffira de quelques années, de millions de $ et d’un brillant marketing pour que la “pause” soit un élément structurant de l’organisation du travail et que le rafraîchissement sort de son carcan estival.
Altoids est la représentation assez remarquable de ce que la communication pour un produit grand public peut créer comme différence, comme personnalisation, comme attractivité et donc comme essentialité. C’est la preuve dans la durée qu’une communication performante, et donc au départ pertinente, peut représenter plus et autrement que la seule définition de son offre.
Depuis une décennie, cette campagne évolue selon les pays et les nouvelles variétés de bonbons mentholés commercialisés. Pourtant, la marque transcende les politiques commerciales et les innovations mais demeure une sorte d’OVNI qui communique autrement sur un « goût étrange de menthe »… L’ingrédient matériel devient une forme d’état d’esprit, une philosophie de vie, construisant ainsi une légitimité très forte pour cette marque mais surtout une personnalité attractive de par cette différence.
Myriam, la campagne lancée en 1981 pour faire connaître le nouveau réseaux de l’afficheur Avenir, est célèbre par la médiatisation liée à la nudité. Pourtant, cette campagne s’adressait aux professionnels de la communication, une action « classique B2B ».
L’impact historique de la démarche tient à une conjonction rare : une idée créative exceptionnelle, car d’une grande justesse (la démonstration par le striptease des trois affichages en 7 jours), l’utilisation du média pour valoriser le produit lui-même, la période (le retour de vacances généralement morne et égayé par cette action), l’art du teasing, d’une qualité unique parce qu’il y a une escalade forte de l‘intérêt du public et enfin, l’exploitation d’un des univers qui mobilise le plus les populations, le sexe.
Cette conjonction crée un mouvement d’intérêt des médias, chaque jour plus important et qui, à leur manière, amplifient la campagne.
Ces slides ont été réalisés dans le cadre du projet IONIS Brand Culture. Pour découvrir l'intégralité des cas étudiés, rendez-vous sur : www.ionisbrandculture.com.
Depuis sa création, Leroy Merlin a eu pour objectif de se positionner comme le généraliste de la maison, du gros travaux aux accessoires. À travers ces larges campagne à 360°, Leroy Merlin créé des interactions et des synergies entre les canaux afin d’affirmer son ADN auprès du grand public : son expertise de l’habitat. Le distributeur a donc su se positionner comme le guide et l’accompagnateur de la décoration intérieure.Mais il est allé encore plus loin et a su ainsi trouver une place à part, fondée sur la proximité et la confiance avec ses publics.
Grâce au programme « Du côté de chez vous » (et d’autres actions) la marque propose du « brand content », ne délivrant pas seulement les messages habituels des distributeurs, mais un véritable contenu indépendant de l’achat et ne se résumant plus à la dimension produit.
Comme Teflon, Gore-Tex, Nutra Sweet, Intel a rencontré au cours de sa croissance la question stratégique vitale de la « mise sur orbite » de la marque, de sa valorisation comme « autre chose qu’un ingrédient masqué ».
Par une stratégie de marque brillamment déployée, en particulier par le recours à une multiplicité de « coop-advertising », Intel va réellement devenir un « ingrédient qui compte ». Le client final va enfin se poser la question qui légitime la marque, la valorise, la rend donc indispensable : est-ce qu’il y a « Intel inside » dedans ?
L’intérêt de ce cas tient moins à la créativité proprement dite des campagnes, encore que la fameuse petite musique Intel est d’une habileté remarquable et fait désormais partie du capital intangible de cette marque.
Ce qu’il faut surtout retenir, c’est la capacité à transformer un ingrédient, une « pièce technique anonyme » et donc sans personnalité, en véritable marque qui compte et qui pourra, ensuite, « booster » les développements d’Intel.
Eram est une marque qui propose, depuis plus de trente ans, une double continuité remarquable qui fait d’elle une exception dans un univers aussi banalisé que celui de la mode (textile, chaussures…).
D’une part, la philosophie de la marque demeure identique au gré des années, proposer des produits de qualité à des prix bas parce qu’il « faudrait être fou pour dépenser plus », parce que la mode ne mérite pas de tels sacrifices, parce qu’il y a plus important dans la vie, le tout affirmé avec humour et distance. D’autre part, l’expression de la marque symbolise un anticonformisme qui ne se cantonne pas aux critiques faciles. On choque en fonction de l’époque, en s’inscrivant parfois dans le « politiquement correct » ou en adoptant, dans d’autres occasions, une provocation à forte portée médiatique (cf. parodies des mondes de la photo et de la mode, de celui des « jeunes branchés »).
Eram a compris, depuis bien longtemps, que la recherche de neutralité n’est pas essentielle pour réussir à bien communiquer et que, au contraire, elle ne fait qu’appauvrir le capital d’une marque.
Ces slides ont été réalisés dans le cadre du projet IONIS Brand Culture. Pour découvrir l'intégralité des cas étudiés, rendez-vous sur : www.ionisbrandculture.com.
La « buzz strategy » est une démarche novatrice. Elle se construit sur les mêmes éléments qui ont fait le succès du bouche-à-oreille ou de la diffusion des rumeurs depuis des décennies. Ce mode de communication, souvent minimisé par les professionnels dans le passé, demeure depuis des décennies, l’un des outils les plus performants pour influencer. On ne peut cependant expliquer la progression des actions de buzz, sans oublier les transformations du paysage des médias et des outils. Ce qui était souhaitable est devenu opérationnel par les outils disponibles.
Ces slides ont été réalisés dans le cadre du projet IONIS Brand Culture. Pour découvrir l'intégralité des cas étudiés, rendez-vous sur : www.ionisbrandculture.com.
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E. Leclerc : communiquer pour faire bouger les choses, le score d'Impact de Total, les Français et la santé et la PQR de Natalie Rastoin, Directeur Général d'Ogilvy.
Les nouveaux barbares : ces nouveaux acteurs qui pénètrent le secteur de la ...nous sommes vivants
Congrès des agences de communication 2009 par Stratégies. Jérémy Dumont directeur du planning stratégique de pourquoi tu cours encadre la table ronde sur les nouveaux barbares du 24 mars 2009 a 9h.
Les nouveaux barbares : ces nouveaux acteurs qui pénètrent le secteur de la communication
- Quels sont ces nouveaux acteurs qui viennent aujourd’hui concurrencer les agences ?
- Qu’est-ce qui les différencient des agences de communication ? Qu’est-ce qui fait leur spécificité mais aussi leur succès ?
- Quels enseignements tirer de leur réussite ?
Animé par Jérémy Dumont, Directeur du planning stratégique, Pourquoi tu cours ?
- Christophe Sabot, Directeur délégué en charge des médias musicaux, du web et de l'entertainment, NRJ Group
- Antoine Ressaussière, Responsable marketing, Editions Kitsuné
- Nathalie grava, Responsable branded content, EMI / Virgin
- Stéphanie Jolivot, DG, Arthur Schlovsky
- Thomas Jamet, DGA, Relaod
- Anne Thery Roussel, Designer création de marque, Decathlon
C1. La licence de marque de la ville de Paris : un outil au service de la pro...Cap'Com
La Mairie de Paris est la première collectivité en France à s'être engagée dans une démarche de produits dérivés sous licence. Retour sur une stratégie qui permet à la ville d'exporter une image valorisante tout en contribuant à l'activité économique touristique.
Gildas Robert, responsable du département marketing et communication des marques de la Mairie de Paris
Introduction par Jean Maxence Granier, président de Think Out « Les medias producteurs de contenus pour les marques »
- Production de contenus pour les marques « comme si c'étaient leurs propres contenus »
- Publication des contenus de la marque dans des espaces co brandés media/marque et mise en avant via de nouveaux formats medias et des opérations spéciales multicanal
- Relais sur les réseaux sociaux par les audiences des medias
Paris 2.0 le matin du 7 mars animé par Jean Maxence Granier.
PARIS 2.0 : 60 campagnes de branded entertainment http://fr.amiando.com/brandedentertainment.htm. Organisé par jeremy dumont; planneur strategique http://pourquoitucours.fr
Plus d'informations : http://www.psst.fr
Brand content musical et digital : nouveau paradigme pour révéler la valeur "...TaliBoumandil
Ce mémoire de fin d'études s'interroge sur l'avenir d'un phénomène toujours en pleine expansion, le brand content musical, face aux méthodes de communication digitale. Nous nous attacherons à questionner l'apport, mais aussi les limites, des stratégies de communication digitale dans l'univers de la musique.
Introduction par Daniel Bo, président de QualiQuanti : « Brand culture et marques agents culturels »
- A quoi tient la force d'une marque ?
- Comment gérer sa cohérence et son renouvellement ?
- Comment maximiser sa valeur culturelle ?
- Comment la brand culture suscite l'engagement des consommateurs ?
Aujourd'hui, l'enjeu économique est de créer du sens car plus que des produits ou des services, c'est ce que les consommateurs recherchent. Le sens apporté par chaque marque est unique et pérenne. Conclusion sur les enjeux d'un brand content stratégique.
Introduction de l'apres midi de paris 2.0 du 5 mars animée par Daniel Bo, président de QualiQuanti
PARIS 2.0 : 60 campagnes de branded entertainment http://fr.amiando.com/brandedentertainment.htm. Organisé par jeremy dumont; planneur strategique http://pourquoitucours.fr
Plus d'informations : http://www.psst.fr
GW•NEWS #2, le magazine de GW international consultantgwatwork
Consultant conseil marketing & communication
GW• international consultant
• définition et mise en place des stratégies marketing & communication
• conception, création, réalisation et suivi de fabrication des budgets
• communication corporate, luxe, image, packaging, événementiel, bio, brand management, lancement de produit/marque, marketing direct, marketing opérationnel, marketing 360°, promotion des ventes, fidélisation, relations presse, marketing on-line/off-line, sites internet, visual merchandising...
exemples de prestations :
- prestations d'audit, de conseil et de mise en oeuvre de stratégies de marketing, de communication, de publicité, d'organisation, de management de projets, de solutions de communication interne et externe pour les entreprises, les institutions et les associations
- prise en charge de la réalisation complète de la documentation d'entreprise, qu'elle soit commerciale ou institutionnelle
- stratégie et création de marques, image de marque et communication visuelle
- le bilan et le choix d'image, les supports de communication et les outils plurimédia, le périmètre de communication, la création de site internet, le webdesign
- le management de projet
- lancement de marque/produit, ouverture de boutique
- programme de fidélisation
- la conception, création, rédaction, la gestion et la réalisation des outils marketing/communication...
Spécialisations : exemples de moyens/supports :
identité visuelle-logo-charte graphique-consommables-carte de visite-en-tête-plaquette-dépliant-catalogue produits-argumentaire vente-journal interne-rapport annuel-magazine-flyer-annonce presse-affiche-packaging-sticker-signalétique-carte de fidélité-marketing direct-mailing-emailing-sms-site internet-marketing viral-buzz-promotionnel-mécaniques promo-bons de réduction-dotation-jeux-concours-fidélisation-PLV-événementiel-relations publiques-relations presse...
2. Aujourd’hui encore, assez peu d’Entreprises se sont lancées dans
le Brand Generated Content, moins encore dans des projets allant
au-delà du “coup de communication” et très inspirés de la pub.
En 1990 le concept lui-même n’existait pas et les Entreprises
semblaient parfaitement satisfaites de la publicité classique.....sauf une
marque, en particulier “United Colors of Benetton”
Non seulement elle romp pratiquement tous les codes de la publicité et
de la communication d’Entreprise, mais elle se lance de plein-pied dans
le “Brand Generated media” avec Colors, un Magazine international
“sur le reste du Monde”
Après avoir été un des magazines les plus révolutionnaires des années
90, tant dans sa forme que son contenu, le magazine existe encore
aujourd’hui, dans un modèle commercial vertueux, et le concept Colors
s’est étendu à toute une plateforme multimédia et musicale.
Cette aventure est une inspiration et est porteuse d’une foule
d’enseignements pour tous ceux qui désirent développer des projets de
Brand Generated Content pertinents, impactants, économiquement
vertueux et pérennes.
3. ...on ne montre aucun produit ou bénéfices
on ne fashionise pas le produit ni le contexte
on ne donne pas envie...voire on repousse...
on s’adresse à l’individu intime non au méta-consommateur
Des campagnes globales sur thèmes de société globale: discriminations, sida, mort,
écologie, pauvreté, immigration, violence et guerres dont la dé-contextualisation et
le principe du “texte ouvert” vont nourrir des débats passionés tant Bto B que BtoC
4. Benetton réalise dans sa communication “institutionnelle” dès 1990
Une sorte de Brand Generated Content.
Un magazine sur le Reste du Monde:
Célébrer la diversité sans tabous
Colors consacre la démarche en 1991 avec un des projets BCG les plus
avancés tant au niveau de la production, de la distribution, que du produit.
5. Une liberté du pouvoir politique et économique, et un Entrepreneur
visionnaire et courageux garantissent une totale liberté éditoriale... de
fait plus grande que la liberté d’expression réelle des groupes médias
6. ...une équipe éditoriale exceptionnelle et atypique:
...des grandes pointures talentueuses et engagées:
... une liberté éditoriale totale pour un vrai grand projet éditorial
... Et + de 50 journalistes et
Oliviero Toscani Photographes dans le Monde
Tibor Kalman
“In the mid-1980s two names changed graphic design: Macintosh and Tibor.For a decade he was the design
profession’s moral compass and its most fervent provocateur. Tibor saw himself as a social activist for
whom graphic design was a means of achieving two ends: good design and social responsibility.
About clients, Tibor said: “We’re not here to give them what’s safe and expedient. We’re not here to help
eradicate everything of visual interest from the face of the earth. We’re here to make them think about
design that’s dangerous and unpredictable”
The American Institute of Graphic Arts
7. Cible jeunes adultes
curieux et ouverts-
Trimestriel 40 pays 3 éditions, 4 langues
Un thème par numéro
Multiples facettes
exploré dans nombreux pays
8. Distribution Payante + publicité
3 modes: 5.50€ ex. back issues env 14€
abonnés
Kiosques spécialisés
environ 6000 magasins
Pré-achat... Publicité
Entre 450 et 1200 000 copies distribuées +faibles coûts de transport
9. Même valeurs et avant-gardisme que les campagnes
la profondeur en plus
renforce et crédibilise le projet de communication et Entreprise.
10. nombre de produits d’extension de COLORS Magazine
Colors Music
Colors Livres
Colors games