Ces dernières années ont vu se multiplier des plateformes d’échanges et de gestion d’information géolocalisées, prenant des formes diverses, qu’il s’agisse de catalogues de données géoréferencées ou de plateformes web SIG, souvent enrichies d’applications métiers. Beaucoup d’inventivité, d’innovation et donc d’énergie ont été mises au service de développements.
Ce séminaire se propose à partir de différentes expériences de revenir sur les usages de ces plateformes, en mettant en perspective l’ensemble du dispositif (les caractéristiques de la solution et les besoins initialement affichés, les usagers ciblés), et les utilisations effectives a posteriori, mais aussi en revenant sur les éventuelles conséquences de ces plateformes sur les pratiques professionnelles, sur les évolutions envisagées et à envisager tant pour les usages de type « consultation » que pour les usages de type « contribution ».
Laurent COSTA : Plateformes géo-collaboratives et programmes de recherches hi...kmichel69
Ces dernières années ont vu se multiplier des plateformes d’échanges et de gestion d’information géolocalisées, prenant des formes diverses, qu’il s’agisse de catalogues de données géoréferencées ou de plateformes web SIG, souvent enrichies d’applications métiers. Beaucoup d’inventivité, d’innovation et donc d’énergie ont été mises au service de développements.
Ce séminaire se propose à partir de différentes expériences de revenir sur les usages de ces plateformes, en mettant en perspective l’ensemble du dispositif (les caractéristiques de la solution et les besoins initialement affichés, les usagers ciblés), et les utilisations effectives a posteriori, mais aussi en revenant sur les éventuelles conséquences de ces plateformes sur les pratiques professionnelles, sur les évolutions envisagées et à envisager tant pour les usages de type « consultation » que pour les usages de type « contribution ».
Laurent COSTA : Plateformes géo-collaboratives et programmes de recherches hi...kmichel69
Ces dernières années ont vu se multiplier des plateformes d’échanges et de gestion d’information géolocalisées, prenant des formes diverses, qu’il s’agisse de catalogues de données géoréferencées ou de plateformes web SIG, souvent enrichies d’applications métiers. Beaucoup d’inventivité, d’innovation et donc d’énergie ont été mises au service de développements.
Ce séminaire se propose à partir de différentes expériences de revenir sur les usages de ces plateformes, en mettant en perspective l’ensemble du dispositif (les caractéristiques de la solution et les besoins initialement affichés, les usagers ciblés), et les utilisations effectives a posteriori, mais aussi en revenant sur les éventuelles conséquences de ces plateformes sur les pratiques professionnelles, sur les évolutions envisagées et à envisager tant pour les usages de type « consultation » que pour les usages de type « contribution ».
Travailler avec des archives audiovisuels numériques. Deuxième partie : Digit...Peter Stockinger
Les sujets traités dans cette conférence :
1) Les « digital humanities » et la question des archives numériques.
2) Evolution des archives numériques vers des plateformes de travail.
3) Les deux étapes centrales lorsqu'on travail avec des archives numériques: 3.1) L’étape de l’archivage numérique à proprement parler. 3.2) L’étape du « repurposing » des données archivées.
4) Le Studio ASA – une plateforme de travail pour archives audiovisuelles.
5) Le cœur du « Studio ASA » - un métalangage de description des données audiovisuelles.
Gérer et diffuser ses données: principes et bonnes pratiquesMathieu Saby
2e partie de la formation "Open Science et données de la recherche" proposée les 28 avril et 12 mai 2016 aux écoles doctorales LASH et DESPEG (Université de Nice Sophia-Antipolis)
Réalisée et assurée par Mathieu Saby, SCD de Nice Sophia-Antipolis
Plan:
- Les données de la recherche et leur gestion
- Produire ou réutiliser des données
- Stocker ses données en sécurité
- Organiser ses données
- Documenter ses données
- Enjeux juridiques et éthiques
- Partager et diffuser ses données
- Stocker et archiver après le projet
- Contacts sur la gestion des données
Le projet du SCD de Nice: une approche globale des données de la rechercheMathieu Saby
Présentation du projet du SCD de Nice concernant les données de la recherche, lors de la JE "Données de la recherche: enjeux, pratiques et services" organisée le 23 juin 2016 à Nice
Du papier au numérique : coexistence, enjeux et perspectives Journée de la section des archivistes des établissements de santé Archives départementales de la Gironde Bordeaux, 5 octobre 2018
DÉCALCQ : archives scientifiques et environnement de recherche en SHSRené Audet
Présentation de René Audet, Dave Dumontier et Dave Létourneau, dans le cadre du Symposium de l'Association des archivistes du Québec (section Montréal) et le CRIM / Centre de recherche informatique de Montréal. http://www.archivistes.qc.ca/spip.php?page=article-15&id_article=61
L'ouverture des données de la recherche en 2015 : définitions, enjeux, dynami...Lesticetlart Invisu
Intervention de Rémi Gaillard, responsable du pôle « Politique documentaire et valorisation des collections » de la bibliothèque de l'Université Pierre-et-Marie-Curie, aux Lundis numériques de l'INHA (14 septembre 2015).
Jabes 2021 - 26 ans après la création de l'AbesABES
Présentation de David Aymonin, directeur de l'Abes
Intervention qui brosse un tableau synthétique de ce que fait l’Abes aujourd’hui : à quoi sert-elle ? dans quel contexte ? pour qui travaille-t-elle ? de quelle manière et avec qui ?
JABES 2017 - GIS CollEX-Persée : point d'étapeABES
GIS CollEX-Persée : point d'étape
Sophie Mazens, cheffe du département de l'information scientifique net technique et réseau documentaire (DGESIP-DGRI - MENESR)
Journées ABES 2017
#AAFSaintÉ19 : Archives et protection des données : outils et résultats de la...AssociationAF
Par Florence BERNIGAUD, Archives municipales de Lyon et François PALLIN, Délégué à la protection des données, ville de Lyon
Session : Archives et protection des données à caractère personnel
Étude comparative sur la valorisation du big data pour les contenus audiovisuelsThomas Malice
Étude comparative sur la valorisation du big data
pour les contenus audiovisuels des sociétés suivantes : Netflix, Youtube et Spotify.
Études réalisée avec El Ouardi Dounia, Marie Dewitte, Nashita Essa Lalhani, Romane Henkinbrant, Thomas Malice
Du papier au numérique : coexistence, enjeux et perspectives
Journée de la section des archivistes des établissements de santé
Archives départementales de la Gironde
Bordeaux, 5 octobre 2018
Humanités numériques, numérisations, portails... Les usages numériques se multiplient et se diversifient dans le
domaine patrimonial.
Dans un paysage en évolution (futur schéma EAD3, accroissement des usages de la TEI et développements menés par l’Equipex Biblissima, refonte de BnF
Archives et Manuscrits), des réflexions concomitantes ont été engagées à la fois par la BnF et l’Enseignement supérieur sur l’avenir de leurs outils de signalements
d’archives et de manuscrits, et se sont prolongées dans le cadre d’un groupe de travail interministériel en vue d’un dispositif national de production de données en EAD.
Cette session reviendra sur les différentes facettes des réflexions en cours : périmètres documentaires et institutionnels, base d’autorités nationale, insertion des outils de production et de publication dans des chaînes de traitement documentaires plus globales, interopérabilité des données EAD.
Mettre en pratique les recommandations sur les archives ouvertes de nouvelle ...pascal aventurier
un récent rapport de COAR (Confederation of Open Access
Repositories) sur les archives ouvertes de nouvelle génération explique que celles-ci n’ont pas développé pleinement leur potentiel et ne sont pas assez connectées. Ce travail
analyse comment les principales recommandations du rapport COAR pourraient être appliquées à l’archive ouverte institutionnelle Horizon Plein textes de l’IRD.
Travailler avec des archives audiovisuels numériques. Deuxième partie : Digit...Peter Stockinger
Les sujets traités dans cette conférence :
1) Les « digital humanities » et la question des archives numériques.
2) Evolution des archives numériques vers des plateformes de travail.
3) Les deux étapes centrales lorsqu'on travail avec des archives numériques: 3.1) L’étape de l’archivage numérique à proprement parler. 3.2) L’étape du « repurposing » des données archivées.
4) Le Studio ASA – une plateforme de travail pour archives audiovisuelles.
5) Le cœur du « Studio ASA » - un métalangage de description des données audiovisuelles.
Gérer et diffuser ses données: principes et bonnes pratiquesMathieu Saby
2e partie de la formation "Open Science et données de la recherche" proposée les 28 avril et 12 mai 2016 aux écoles doctorales LASH et DESPEG (Université de Nice Sophia-Antipolis)
Réalisée et assurée par Mathieu Saby, SCD de Nice Sophia-Antipolis
Plan:
- Les données de la recherche et leur gestion
- Produire ou réutiliser des données
- Stocker ses données en sécurité
- Organiser ses données
- Documenter ses données
- Enjeux juridiques et éthiques
- Partager et diffuser ses données
- Stocker et archiver après le projet
- Contacts sur la gestion des données
Le projet du SCD de Nice: une approche globale des données de la rechercheMathieu Saby
Présentation du projet du SCD de Nice concernant les données de la recherche, lors de la JE "Données de la recherche: enjeux, pratiques et services" organisée le 23 juin 2016 à Nice
Du papier au numérique : coexistence, enjeux et perspectives Journée de la section des archivistes des établissements de santé Archives départementales de la Gironde Bordeaux, 5 octobre 2018
DÉCALCQ : archives scientifiques et environnement de recherche en SHSRené Audet
Présentation de René Audet, Dave Dumontier et Dave Létourneau, dans le cadre du Symposium de l'Association des archivistes du Québec (section Montréal) et le CRIM / Centre de recherche informatique de Montréal. http://www.archivistes.qc.ca/spip.php?page=article-15&id_article=61
L'ouverture des données de la recherche en 2015 : définitions, enjeux, dynami...Lesticetlart Invisu
Intervention de Rémi Gaillard, responsable du pôle « Politique documentaire et valorisation des collections » de la bibliothèque de l'Université Pierre-et-Marie-Curie, aux Lundis numériques de l'INHA (14 septembre 2015).
Jabes 2021 - 26 ans après la création de l'AbesABES
Présentation de David Aymonin, directeur de l'Abes
Intervention qui brosse un tableau synthétique de ce que fait l’Abes aujourd’hui : à quoi sert-elle ? dans quel contexte ? pour qui travaille-t-elle ? de quelle manière et avec qui ?
JABES 2017 - GIS CollEX-Persée : point d'étapeABES
GIS CollEX-Persée : point d'étape
Sophie Mazens, cheffe du département de l'information scientifique net technique et réseau documentaire (DGESIP-DGRI - MENESR)
Journées ABES 2017
#AAFSaintÉ19 : Archives et protection des données : outils et résultats de la...AssociationAF
Par Florence BERNIGAUD, Archives municipales de Lyon et François PALLIN, Délégué à la protection des données, ville de Lyon
Session : Archives et protection des données à caractère personnel
Étude comparative sur la valorisation du big data pour les contenus audiovisuelsThomas Malice
Étude comparative sur la valorisation du big data
pour les contenus audiovisuels des sociétés suivantes : Netflix, Youtube et Spotify.
Études réalisée avec El Ouardi Dounia, Marie Dewitte, Nashita Essa Lalhani, Romane Henkinbrant, Thomas Malice
Du papier au numérique : coexistence, enjeux et perspectives
Journée de la section des archivistes des établissements de santé
Archives départementales de la Gironde
Bordeaux, 5 octobre 2018
Humanités numériques, numérisations, portails... Les usages numériques se multiplient et se diversifient dans le
domaine patrimonial.
Dans un paysage en évolution (futur schéma EAD3, accroissement des usages de la TEI et développements menés par l’Equipex Biblissima, refonte de BnF
Archives et Manuscrits), des réflexions concomitantes ont été engagées à la fois par la BnF et l’Enseignement supérieur sur l’avenir de leurs outils de signalements
d’archives et de manuscrits, et se sont prolongées dans le cadre d’un groupe de travail interministériel en vue d’un dispositif national de production de données en EAD.
Cette session reviendra sur les différentes facettes des réflexions en cours : périmètres documentaires et institutionnels, base d’autorités nationale, insertion des outils de production et de publication dans des chaînes de traitement documentaires plus globales, interopérabilité des données EAD.
Mettre en pratique les recommandations sur les archives ouvertes de nouvelle ...pascal aventurier
un récent rapport de COAR (Confederation of Open Access
Repositories) sur les archives ouvertes de nouvelle génération explique que celles-ci n’ont pas développé pleinement leur potentiel et ne sont pas assez connectées. Ce travail
analyse comment les principales recommandations du rapport COAR pourraient être appliquées à l’archive ouverte institutionnelle Horizon Plein textes de l’IRD.
Présentation de Stéphane Pouyllau (TGE Adonis, CNRS) lors du colloque infoclio.ch 2011 à Berne le 30 septembre 2011.
Ecouter la conférence:
http://soundcloud.com/infoclio-ch/isidore
ISIDORE : plateforme d’accès unifié aux données de la recherche en sciences humaines et sociales
ISIDORE est un plate-forme informatique d'accès unifié, de valorisation et d'enrichissement des données numériques de la recherche en sciences humaines et sociales. Créé et animée par le très grand équipement ADONIS du Centre national de la recherche scientifique (Paris, France), ISIDORE est accessible à tous depuis décembre 2010 sur le site web http://rechercheisidore.fr. Ce nouvel outil s'appuie sur des principales méthodes d'interopérabilité des données en vigueur depuis plus de 10 ans tout en ouvrant sur les méthodes du web de données, aussi nommé web 3.0, actuellement en plein développement (RDF, etc.).
ISIDORE collecte les métadonnées et les données, les enrichies en les reliant aux termes issus de référentiels scientifiques (thesaurus, vocabulaires, etc.), les places dans le web de données et les rend accessibles au travers d'un triple accès (moteur de recherche sur le web, api et "sparql endpoint" pour pour construire des applications d'aide à la recherche). ISIDORE est le plus gros projet d'open data scientifique opérationnel en France.
L'intervention proposée permettra de découvrir la rapidement la plate-forme et ces spécificités, d'en comprendre le fonctionnement et d'en présenter les premiers retours.
Indigeo, une infrastructure de données spatiales dédiée à la recherche et l’o...Lesticetlart Invisu
Indigeo, une infrastructure de données spatiales dédiée à la recherche et l’observation scientifique de ’environnement dans l’ouest
Mathias ROUAN
- Ingénieur de Recherche CNRS -
UMR 6554 LETG CNRS
Datalift, une plateforme Linked Data, Retour d'expériencesSemWebPro
La production, la consommation et l'échange de données s'intensifient et le besoin d'interopérabilité n'a jamais été aussi prégnant. Mais a-t-on encore le temps de développer des interfaces ou de mettre au point une langue commune entre acteurs ? A-t-on encore besoin de telles interfaces qui ne serviront peut-être qu’une fois ? Ou bien la solution n’est pas plutôt dans une data interopérable ? Le linked data n'est plus un Eldorado incertain, il est devenu une réalité aux dimensions vastes et en expansion mais encore méconnue.
Datalift est une plateforme tout-en-un productrice de linked data qui apporte une solution concrète et aisée. Les données à traiter sont captées dans leurs structures d'origine (fichiers, bases de données, requêtes, données géographiques, etc.). A l'aide de vocabulaires (thesaurus, ontologies), elles sont transformées pour faciliter leurs liaisons. Les fusions obtenues enrichissent mutuellement les sources en même temps qu’elles forment un ensemble de données liées (linked data) exploitables de multiples façons : requêtes, data visualisation, extractions, exports dans de nombreux formats. Ces opérations peuvent être réalisées sans programmation sur un socle open source de façon interactive, elles peuvent aussi être automatisées. La richesse fonctionnelle et technologique de Datalift fait que ses utilisateurs vont des simples utilisateurs aux datascientistes, mais aussi au dialogue machine to machine.
Le développement de la plateforme et son utilisation permettent aujourd'hui de dresser un premier regard rétrospectif que nous nous proposons de présenter en trois temps. Nous commencerons notre exposé par la démonstration d’une interconnexion de jeux de données hétérogènes rendue possible par un alignement d’ontologies. Cette démo visibilisera le caractère « tout-en-un » d’une plateforme qui s’installe en un clic. Nous poursuivrons par un survol de l’architecture de la plateforme. Nous terminerons par un triple retour d’expérience : méthodologique, architectural et usages.
Présentation au Pôle Science de l’IRD , le 13 septembre 2018 du projet d'entrepôt de données ouvertes de l'IRD, du contexte de l'Open Science en France et en Europe et des avantages à disposer d'un entrepôt de données pour l'IRD et ses partenaires.
De la recherche d'information aux pratiques scientifiques : vers de nouveaux ...olivier
L'émergence du phénomène du web 2.0, des nouveaux outils d'accès à l'information qu'il propose, des nouveaux types de contenus qu'il met en ligne, et des nouveaux protocoles de filtrage et de validation qu'il abolit ou transcende, interroge les pratiques actuelles de formation à l'IST. Parmi d'autres, le phénomène des blogs d'experts gagne le domaine de l'enseignement en général et de l'université en particulier. Des institutions, des composantes, des formations, des services, des communautés scientifiques, mais aussi des enseignants-chercheurs ouvrent de nouveaux espaces de paroles, mettant en œuvre de nouvelles dynamique de collaboration. Ces nouveaux collaboratoires, sous l'angle des rapports entre science et société, permettent d'articuler différemment un grand nombre de pratiques scientifiques en terme de diffusion, de collecte, de recherche, de publication et d'enseignement. Le domaine de la culture informationnelle et de la maîtrise de l'information en particulier, et celui des sciences de l'information et de la communication en général est à la fois un terrain et un révélateur particulièrement pertinent pour analyser les problématiques sous-jacentes de ces nouveaux collaboratoires, au rang desquelles la construction d'une culture du préprint, la mise à disposition d'indicateurs adaptés, la facilitation du déploiement rapide d'expertises dispersées et la reconfiguration des champs.
Les actualités de l'information géographiqueValabre
Ce diaporama est un extrait du cours donné à l'ENSOSP depuis le 1er janvier 2014. Le cours a pour objectif de présenter l'environnement SIG en Sécurité Civile. La partie présentée ici a vocation à donner un aperçu de l'actualité géomatique afin d'accompagner les SIS dans l'optimisation de leur système. Le sommaire complet est présenté ici : https://prezi.com/z7p6ejpsfiwy/le-systeme-dinformation-geographique-un-outil-daide-a-la-decision-majeur-pour-les-sdis/
Il est important de noter que ce cours est accompagné d'un discours et que les images ont vocation à ouvrir le débat.
Open Mining Infratsructure for TExt & Data : une infrastructure text-mining a...Le_GFII
Intervention de Patricia Geretto, ingénierie de l'information - TAL à la DVIST INRA. Forum du GFII les 8 & 9 dec 2015.
OpenMinTeD, projet Horizon 2020, a pour objectif de créer une infrastructure facilitant l'usage des ressources et des outils de text-mining pour les communautés scientifiques. Cette plateforme ouverte et pérenne permettra aux chercheurs de découvrir, créer, partager et ré-utiliser la connaissance extraite d’un vaste éventail de sources de la littérature scientifique. Des cas d'usage sont identifiés et développés par des experts de différents domaines. L'Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) participe pour sa part aux cas d'usage en agronomie.
Gestion des données scientifiques en imagerie in vivo – Journée scientifique organisée par PIV le 7 décembre 2017 au PARCC-HEGP
Marie-Christine Jacquemot
OPIDOR
Les données tridimensionnelles en géomorphologie fluviale: K.Michelkmichel69
Dans le domaine de la géomorphologie fluviale, la donnée tridimensionnelle est nécessaire pour comprendre les changements qui s’opèrent, en lien généralement avec les aménagements humains, afin de mieux anticiper les changements à venir.
VilO3D: Scénariser la fabrique urbaine en 3D. H.Mathian, S.Servigne, A-S Clém...kmichel69
Understanding the processes of the urban fabric is essential to anticipating and forecasting its future development. This article presents the ongoing VilO3D project that addresses this subject. This project explores the construction of knowledge on the basis of a 3D storytelling process.
The thematic perspective is that of an “ordinary city” that entails processes with embedded temporality and granularity. We illustrate how the articulation of qualitative land-based approaches with symbolic and numerical approaches can be used to abstract and model knowledge using the example of the left bank of the Rhone in Lyon between 1755 and the present day and the co-design of a three-dimensional and temporal recreative environment. The goal is to address the thematic questions again, while also raising innovative questions on digital representation, especially about the notion of documented spatiotemporal processes.
RêVeRIES: retour sur les protocoles participatif pour compter les arbres, Ol...kmichel69
Les outils numériques et le web sont devenus des outils de collecte et d'observation que nous intégrons dans nos pratiques de recherche. Les participants, qu’ils soient leurs propres observateurs ou instruments de relevés d’un inventaire, sont devenus les éléments majeurs de ces enquêtes. Sur la base du projet RêVeRIES, nous échangerons avec Thierry Joliveau (EVS/IJM) et Olivier Leroy (EVS/UJM) sur les questions que cela pose, comme les biais que cela implique, la prise en compte des variabilités de participation, les bonnes pratiques pour éviter ces écueils lors de la construction du projet...
Véléval : retours d'expériences sur les protocoles d'enquêtes. Matthieu Adam ...kmichel69
Les outils numériques et le web sont devenus des outils de collecte et d’observation que nous intégrons dans nos pratiques de recherche. Les participants, qu’ils soient leurs propres observateurs ou instruments de relevés d’un inventaire, sont devenus les éléments majeurs de ces enquêtes. Sur la base des projets VéléVal et RêVeRIES, nous échangerons avec Matthieu Adam ( LAET / ENTPE), Luc Merchez (EVS/ENS) , sur les questions que cela pose, comme les biais que cela implique, la prise en compte des variabilités de participation, les bonnes pratiques pour éviter ces écueils lors de la construction du protocole…
The document discusses landscape graphs and ecological networks. It begins with an overview of the evolution of landscape protection from isolated nature reserves to interconnected ecological networks. It then provides details on constructing landscape graphs by identifying habitat patches and links from landscape maps, including defining minimum patch areas, connectivity thresholds, and cost distances. Metrics for analyzing connectivity are also discussed. The goal is to model ecological networks through landscape graphs to understand habitat connectivity.
Pauline DUSSEUX : Exploitation de séries temporelles d'images satellites à ha...kmichel69
This document summarizes research using time series of high spatial resolution satellite images to monitor land use and grassland management practices. The study area is a 61.5 km2 watershed in Brittany, France dominated by grasslands and crops. Optical and SAR image time series from 2006-2011 were classified using support vector machines to identify grassland and discriminate between grazing, mowing, and mixed grassland management. Classification accuracy was highest when combining optical and SAR data for grassland identification but lower for management identification. The results indicate that remote sensing time series have potential for grassland monitoring but further research is needed, especially combining optical and SAR data.
Florent RENARD : Influence de la topographie et de l’occupation du sol sur la...kmichel69
This document summarizes a case study analyzing the impacts of local climatology on heavy rain cells in southeast France. It found that intense rainfall cells have a clustered, non-random spatial distribution. Cell density was higher over artificial land covers like urban areas. However, elevation, slope, and aspect had no significant effects on cell density, intensity, or area. Future work could focus on higher intensity thresholds, continuous time periods, and better resolution data.
Xavier BRIOTTET : Activités sur l'ensemble du domaine optique (0.4-12 µm)kmichel69
Xavier Briottet de l'<a>ONERA</a> propose de venir nous présenter ses activités sur l'ensemble du domaine optique (0.4-12 µm) en imagerie active et passive et une description des moyens disponibles au sein de son équipe en vue de la mise en place de collaborations avec notre collectif. Il prévoit un exposé d'1 heure. Ensuite, une discussion pourra s'engager.
Plusieurs points pourraient faire l'objet de collaborations :
* physique de la mesure en hyperspectral ou dans le thermique à haute résolution spatiale (en particulier nos travaux dans les ombres)
* fusion lidar hyper, pan/hyper
* démélangeage
* applications : milieu urbain, discrimination des espèces d'arbres (en milieu montagneux et en ville), texture des sols...
* un tour sur nos moyens de mesures en labo (construction de base de données), en aéroporté (lidar, hyper, thermique...)
* réponse à EE9 pour un capteur hyperspectral 0.4-2.5 µm à 8 m de résolution spatiale couplé à un voie panchro (2m), mais champ réduit (autour de 8km) avec une accessibilité également faible => c'estpourquoi la mission (plutôt un démonstrateur) se focaliserait sur des paysages de faible extension (au moins dans une dimension)...
Olivier BARGE : Cerf-volant et photogrammétrie pour l'archéologiekmichel69
Les données à très haute résolution spatiale sont d'un grand intérêt pour aborder les problématiques concernant les sociétés du passé mais elles étaient, jusqu'à il y a peu, coûteuses ou difficiles à obtenir. Aujourd'hui, de nouvelles techniques d'acquisition (drones, photogrammétrie, Laser-scanner, Lidar) les rendent davantage accessibles et on constate un engouement certain de la communauté des archéologues et géo-archéologues pour ces données. Elles ne dispensent toutefois pas d'une expertise de terrain.
Nous présenterons, dans le cadre de travaux archéologiques à l'étranger, notre expérience d'acquisition et de traitement de clichés réalisés à l'aide d'un cerf-volant. Nous aborderons ensuite la question de l'usage des documents obtenus et tenterons de faire la part de l'intérêt, des contraintes et des limites qu'ils présentent : quelle donnée pour quel usage ? La tyrannie de la précision. Le mythe du terrain à l'écran.
Adrien MICHEZ : Gestion des 12 000 km de bandes riveraines en Walloniekmichel69
En Belgique, les cours d’eau ayant un bassin versant d’une superficie supérieure à 1km² sont considérés comme appartenant au domaine public. En plus du lit mineur de ces cours d'eau, le domaine publique s’étire jusqu’à la « crête de berge ». Les différentes administrations en charge de ces 12 000 km de cours d’eau et bandes riveraines associées se sont engagées dans un processus de planification systématique des actes de gestion. Cette planification devant se faire base d’informations objectives, le projet de recherche présenté s’insère dans une volonté de caractérisation de près de 6000 secteurs de gestions (< 2km). Dans ce cadre, 2 principales sources de données couvrant l’ensemble de la Wallonie ont été explorées, l’imagerie LiDAR (MNT) et aérienne THRS (MNS photogrammétrique).
Cette présentation aura pour thématique générale le protocole d’acquisition de données aéroportées à grande échelle avec l’exploitation de différents vecteurs et capteurs. Elle appréhendera l’analyse du besoin en termes de données et de résolution attendue. Cette analyse s’appuiera sur la méthode de caractérisation d’un site de travail (topographie, météorologie, obstacles) qui est le pré-requis indispensable pour choisir le bon vecteur d’acquisition de données. Puis sera abordé la question de ce qu’est une bonne photo pour permettre une reconstruction photogrammétrique et par quels moyens on parvient à un résultat optimal. Enfin un temps sera pris pour décrire le processus photogrammétrique dans son ensemble, ses applications dans les études hydro-environnementales et de génie civil de l’ingénierie ferroviaire, ses limites et ses perspectives.
Kristell MICHEL : Une IDG au service des Observatoires sur l’eau: retour d'expérience sur 8 années de co-construction
1. Une IDG au service
des Observatoires
sur l’eau :
Retour d’expérience sur
8 années de co-construction
Jeudi 21 Janvier 2016 - ENS de Lyon
Kristell MICHEL
UMR 5600 Environnement Ville Société
Plateforme ISIG (Imagerie et Systèmes d’information Géographique)
Contributeurs : Aurélie Antonio, Anne Clémens, Guillaume Fantino, Didier Graillot et son équipe, Hervé Piégay, Christine
Mouquet-Noppe, Guillaume Roussel, Dad Roux, le collectif OGIIS, le collectif ISIG…
Séminaire « Plateformes d’échanges d’information géographique scientifique : retours d’expériences »
2. LES ENTRÉES
- Le réseau des « Observatoires
sur l’eau »
- IDG et Observatoires
LES PLATS
- Géocatalogue(s)
- Visualiseur(s)
LE DESSERT DU MOMENT
- La farandole de sucrés-salés
4. Vous avez dit « Observatoires » ??
DU GÉNÉRAL…
• Les entités considérées dans le cas présent sont des Observatoires scientifiques : ils nécessitent la
mise en place d’une équipe pluridisciplinaire se devant d’apporter une vision globale des
problématiques, d’être force de propositions et pouvant apporter une expertise sur des sujets à la
fois sectoriels et transversaux.
• Un observatoire est un dispositif pour suivre l’évolution d’un phénomène ou d’une portion de
territoire dans le temps et dans l’espace.
• Les Observatoires sont adossés par leur déploiement technologique à une IDG ; ils ambitionnent en
effet de rassembler des lots d’informations utiles à l’analyse du fonctionnement et de l’évolution à
long terme.
AU PARTICULIER
• Les Observatoires sur l’eau (Zabr, OSR, OHM VR…) cherchent à valoriser les informations existantes
sur le bassin du Rhône, le fleuve et sur ses affluents ; ceux-ci abordent des aspects
environnementaux, sociaux, économiques…
• Pour le moment, ce réseau n’a pas d’existence reconnu. Ce sont plutôt des entités qui échangent ±
moins.
• 3 missions principales pour chacun de ces « observatoires » :
un lieu de synthèse
un lieu d’échanges d’expériences entre les différents acteurs
un lieu d’innovation et d’expertise
5. UMR
5600
InterZA
(13 ZA)
LabEX DRIIHM
(10 OHM)
ZABR
OHM LM
ZAL
OHM BMPOHM VR OHM…
ZAS ZAM…ZAA
Drôme OSROTHUOLAZH
OBSERVATOIRESSITES ATELIERS
Arc
Isère
…Ardière RhonEco
TGIR Huma-
Num
UMS BBEES
RBDD
DIPEE
CC
IN2P3
Niveau
National
Niveau
Régional
Niveau
Local
Des Dispositifs
interconnectés
7. Quelques enjeux identifiés
• Mettre en valeur une masse de données scientifiques sous-
valorisée
• Aider à la production de nouvelles connaissances:
– en favorisant l’interdisciplinarité et la « fécondation croisée
des sciences »,
– en offrant un lieu où la mise en relation des données est
facilitée, où les usages de la donnée peuvent être différents
de ceux pour quoi ils ont été créés,
– en proposant des outils, services et/ou méthodes
contribuant à toujours plus d’échange et favorables à une
co-production de données.
9. « l’ensemble des informations, des
systèmes informatiques, des
normes et standards, des accords
organisationnels, des ressources
humaines et communautés
nécessaires pour faciliter et
coordonner l’accès et le partage
des informations géographiques »
(Rajabifard et al., 2002)
Qu’est-ce qu’une IDG (infrastructure
de données géospatiales) ?
10. Principal objectif d’une IDG :
permettre à toutes les informations de circuler librement entre les producteurs et les
utilisateurs, tout en garantissant leur qualité, pour une prise de décision plus efficace, pour une plus grande
productivité ou tout simplement pour les aider à accomplir leur mission dans les meilleures conditions, en
particulier en termes de coût, et avec une qualité de service accrue.
Ses missions :
Mettre en œuvre une politique de soutien au développement de l’IDG et des services associés.
Mettre en place des « cadres » pour l’accueil des données en vue d’une bonne interopérabilité des
systèmes [normes et spécifications communes].
Disposer d’applications, de données et de services cohérents.
Proposer des services pour un accès simple, partout, en tout temps et avantageux aux données, pour
faciliter leur utilisation et leur enrichissement.
Atténuer les problèmes d’intégration [traiter les problèmes de formats] et proposer des contenus
homogénéisés.
Accroitre l’utilisation des données et le nombre de lots de données accessibles.
Simplifier les modalités et les conditions d’accès et d’utilisation [des données et des outils].
Promouvoir les développements, notamment technologiques.
Favoriser les partenariats.
L’IDG pourrait être la réponse au défi majeur du réseau des Observatoires sur l’eau en
coordonnant les actions, les investissements et les initiatives des différents échelons
territoriaux : local, départemental, régional, national et aussi européen.
Quels sont ses objectifs et missions
associées ?
11. Géocatalogue
WEB-SIG
-------------------
Visualiseur
cartographique
Site Web
Photothèque
Gestion de la
bibliographie
(référencée + grise)
Téléchargement
et/ou extraction
de données
Moteur
de
recherche
Administration
de L’IDG
(Installation /
Maintenance / Suivi
d’exploitation)
Monitoring
système +
Statistiques
Web
Stockage +
Archivage
Gestion des
droits d’accès
Traitement de
la donnée
VISUALISER,
PARTAGER,
ANIMER
GÉRER,
ADMINISTRER
IDG :
SYNTHÈSE DES FONCTIONNALITÉS
ATTENDUES
Poste client,
Tablette,
Smartphone…
IDG externe
WEB
Moissonnage,
WebSIG
L’IDG idéale dans ce contexte
12. Etat actuel
Fonctionnement selon un
modèle pyramidal,
avec un circuit d’information de type bottom up
Etat transitoire recherché
Etat final
Mise en place d’un modèle
coopératif
IDG et
Gouvernance
13. IDG et Organisation générale
14
Groupe utilisateurs
Administrateur(s) de
données Métier
Animateur(s) de la
communauté
Groupe
informaticiens
Réseau(x) Métier
14. Les applications au sein de l’IDG
A) Un géocatalogue : GeoNetwork
B) Un visualiseur : MapMint
15. Se concentrer sur les « fonctionnalités de base » en laissant la
possibilité à des développements ultérieurs :
Fonctionnalité de base proposées :
1) Catalogue de métadonnées
2) Visualisation de la donnée (sans téléchargement
possible)
Fonctionnalité à développer dans une seconde phase :
3) Stockage/Archivage
4) Accès aux données (téléchargement)
Les choix du collectif
16. • Géocatalogue : organisation d’un ensemble de
métadonnées sous la forme d’un recueil (BDD ou
autre) facilitant leur consultation et leur diffusion.
• Métadonnées : ensemble d’informations décrivant une
donnée, série de données ou plus globalement une
ressource.
Métadonnées et géocatalogue sont des outils
complémentaires qui contribuent à améliorer la gestion
et l’administration des données au sein d’un collectif.
Qu’est-ce qu’un géocatalogue ?
17. - 2001 : élaboration d’un prototype de GN, à l’initiative de la FAO
- 2002 : création d’un 1er géocatalogue au sein de la Zabr
MétaZabr
- 2006 : UNEP et FAO développent la 1ère version Open Source de GN
- 2007 : élaboration d’un géocatalogue au sein de l’UMR 5600
MétaEVS, un clone de MétaZabr
- 2009 : changement de géocatalogue au profit de GN
ElVIS
- 2010 :
- intégration des métadonnées de l’OSR et de l’OHM VR au sein
d’ElVIS
- la Zabr s’ouvre à GN
MétaZabr2
- 2013 : création d’un nouveau service central de géocatalogage au niveau
de l’Inter-ZA + un formulaire de saisie (Cigal / Alsace)
- 2015 :
création d’un service de géocatalogage au niveau du ROHM
mise en place d’une fiche de saisie de métadonnée simplifiée au
niveau de l’UMR 5600 EVS
A) GeoNetwork : un géocatalogue
Open Source
18. BDD
POSTGRESQL
SERVEUR LINUX DEBIAN
SERVEUR WEB WINDOWS APACHE
SERVEUR D’APPLICATION WEB TOMCAT
APPLICATION JAVA
Template
XSL Indexation
Lucene
Jeeves
(BDD
XML)
GeoNetwork : une architecture
http://elvis.ens-lyon.fr/geonetwork/srv/fr/main.home
19. GeoNetwork 3 : un fonctionnement
RECHERCHE
CONSULTATION
SAISIE
Formulaire d’édition
Interface de création
D’un nouvel enregistrement
VISUALISATION
20. D’UN POINT DE VUE TECHNIQUE
• Outil fonctionnel, version stabilisée : 10 ans d’existence
• Importante communauté d’utilisateurs/développeurs (GN + Géosource)
• Possibilité de gérer des groupes d’utilisateurs avec les droits associés (accès, consultation, saisie,
téléchargement…)
• Conforme aux normes et standards en vigueur (notamment INSPIRE, ISO 19115, Dublin Core) =>
interopérabilité des systèmes, moissonnage possible
• Possibilité d’intégrer des mots-clés (thesaurus / ontologie) => thésaurus commun au réseau à initier pour
plus de lisibilité
• GN v3 intègre un visualiseur (GeoServer), permet la création de formulaire adapté aux besoins, autorise
une meilleure lisibilité sur les producteurs/financeurs de données (logos pouvant être introduits)…
• Possibilité d’intégrer des données non géographiques (bibliographie)
D’UN POINT DE VUE HUMAIN
• Permet de dépasser la peur de certains chercheurs vis-à-vis de la diffusion de leurs données (peur du
prédateur + des chercheurs propriétaires(?))
• Afficher une vitrine représentative du foisonnement scientifique s’exerçant au sein du réseau
• Offre un meilleur partage de la donnée et donc plus de cohésion au sein du réseau
• Facilite l’accès à une information plus homogène, donc plus claire pour les utilisateurs
• Permet une prise en main plus aisée par les nouveaux arrivants du fait de l’existence de ces métadonnées
Les avantages de GN
21. • En l’état, multiples champs dont le signifié/signifiant n’est pas toujours
facile à comprendre par tous. GN reste difficile d’accès aux non-initiés.
• Nécessité de disposer d’une panoplie de spécialistes pour gérer
l’installation, la migration, la saisie (géomaticien, responsable BDD,
administrateur système réseau, architecte de système d’information…)
• Automatisation des montées de version ne fonctionne pas toujours : il
faut mettre les mains dans la base de données pour réaliser des
opérations manuellement (documentation et bugs)
Changements de projection, de formats ou plus largement connections à
différents outils (ou serveur) de géotraitement.
• Codé en Java : manque de réactivité
• Création de mots clés de recherche pas possible
- Déficit chronique de financements et de temps dévolu à la mise en forme et
au stockage des données
Les limites de GN
22. 2009 : Installation d’ArcGis Server (Université de
Saint-Etienne).
2012 : constitution d’un cahier des charges pour
la mise en place d’une solution plus aboutie avec
le soutien de l’OSR et de l’OHM VR.
2013 : choix du prestataire, Cartogenic et sa
solution Open Source MapMint, repris depuis
par GeoLabs.
2015 : installation d’une VM Portal for ArcGIS
ainsi que d’ArcGIS Webadaptor (ENSL).
B) MapMint : un visualiseur Open
Source
23. MapMint : une architecture
http://mapmint.univ-st-etienne.fr/ui/public/GeoOSR
25. Un bilan mitigé pour MapMint
SES FORCES
- Des utilisateurs finaux qui apprécient l’outil (intégration graphique
agréable, navigation fluide, ergonomie et simplicité de l'interface)
- Des fonctionnalités avancées (calcul de profil, slider temps, création de
rapports automatisée…)
SES LIMITES
- L'interface privée est encore à perfectionner (manque de contrôle sur les
champs, manque de critères de tri)
- L’outil réalisé résulte de l’assemblage de différentes briques logicielles +
installations non automatisées, ni documentées prestation
d'installation quasi obligatoire et maintenance lourde !!
- La communauté d'utilisateurs est trop réduite pour pouvoir s'entraider,
on ne peut donc compter que sur le support de l'éditeur qui n’est pas
« opérationnel »
- l'éditeur est une société unipersonnelle : risque quant à la pérennité du
projet
27. Les Opportunités du Réseau
- Des collaborations, des moyens, des échanges au service de l’émergence d’outils
adaptés à la gestion de la donnée scientifique à référence spatiale
28. - Des échanges permettant de discuter du modèle et de l’opportunité des IDG dans
le monde de la recherche
Les Opportunités du Réseau
29. Des Perspectives
PEU D’ACTEURS. LES 1ERS ACTEURS SE CONNAISSENT, ILS SONT
ISSUS DE LA MÊME COMMUNAUTÉ
LE NOMBRE DE CONTRIBUTIONS AUGMENTE.
CELA ATTIRE DE NOUVEAUX UTILISATEURS.
Effet
IDG
Temps
LES COMMUNAUTÉS D’USAGERS SONT
MULTIPLES. ILS INFLUENT SUR LE SYSTÈME
DEPUIS LONGTEMPS. LE POTENTIEL DE MISE
EN RELATION EST ÉLEVÉ. L’EFFET DE L’IDG EST
MAXIMAL !
COMMENT PASSER DE L’ETAPE DE COLLABORATION (B)
A L’ETAPE D’INTELLIGENCE COLLECTIVE (D) ?
- Un réseau apte à supporter / accompagner / contribuer à l’évolution des pratiques
autour de ces nouveaux outils.