Il existe encore de nombreux réfractaires à utiliser les médias sociaux, avec, très souvent, les mêmes interrogations et excuses pour ne pas intégrer les réseaux sociaux.
Quelle est l’utilité de se créer des pages et des comptes sur des plateformes sociales ? Comment trouver le temps pour utiliser les réseaux sociaux ? Comment trouver des community managers pour gérer ses présences sociales ? Quel type de contenu peut-on mettre sur les médias sociaux ? Quels sont les dispositifs à privilégier pour une utilisation des réseaux sociaux ?
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10 excuses pour ne pas se lancer sur les médias sociaux (et comment y faire face !)
1. // Médias Sociaux :
Les 10 excuses pour ne pas se
lancer et comment y faire face ? //
Webinar / 5 avril
2012
2. ? ‣Organisme de formation dédié
aux métiers du Webmarketing
‣Associé à l'agence Kinoa
3. ‣ 10 excuses pour ne pas aller sur les médias sociaux
‣ Les habitudes de consommation ont changé
‣ 10 excuses et leurs contre-arguments
‣ Médias sociaux : les derniers chiffres !
‣ Nos offres autour des médias sociaux
‣ Bibliographie
6. ‣ 10 excuses pour ne pas aller sur les médias sociaux
‣ Les habitudes de consommation ont changé
‣ 10 excuses et leurs contre-arguments
‣ Médias sociaux : les derniers chiffres !
‣ Nos offres autour des médias sociaux
‣ Bibliographie
7. Excuse #1
Les médias sociaux, c’est
dangereux
OUI... MAIS...
‣ risque de bad buzz ‣ correctement utilisés, les
réseaux sociaux sont une
opportunité
8. Excuse #1
Les médias sociaux, c’est
dangereux
OUI... MAIS...
‣ risque de bad buzz ‣ correctement utilisés, les
réseaux sociaux sont une
opportunité
9. Excuse #1
Les médias sociaux, c’est
dangereux
OUI... MAIS...
‣ risque de bad buzz ‣ correctement utilisés, les
réseaux sociaux sont une
opportunité
10. Excuse #1
Les médias sociaux, c’est
dangereux
OUI... MAIS...
‣ risque de bad buzz ‣ correctement utilisés, les
réseaux sociaux sont une
opportunité
11. Excuse #1
Les médias sociaux, c’est
dangereux
OUI... MAIS...
‣ risque de bad buzz ‣ correctement utilisés, les
réseaux sociaux sont une
opportunité
12. Excuse #2
les médias sociaux, ça prend
trop de temps
OUI... MAIS...
‣ chronophage ‣ organisation
‣ multiplication des ‣ outils
plateformes
13. Excuse #3
Les relations virtuelles sont factices
OUI... MAIS...
‣ communauté en ligne ‣ réalité des rencontres
‣ organisation d’events
‣ complémentarité
14. Excuse #4
Où est passé mon ROI ?
OUI... MAIS...
‣ difficulté de mesure ‣ KPI
‣ fidélisation
15. Excuse #5
Les médias sociaux ne sont
pas faits pour le B2B
OUI... MAIS...
‣ quantité vs qualité ‣ les discussions existent
‣ pas d’affect ‣ communautés plus
homogènes et captives
16. Excuse #5
Les médias sociaux ne sont
pas faits pour le B2B
93% des acheteurs B2B pensent que les entreprises doivent être présentes sur les
médias sociaux
81% des sociétés dans la sphère BtoB disposeraient d’un compte ou d’un profil sur
les médias sociaux, tandis qu’ils ne seraient que 67% dans le BtoC
75% dans le BtoB participeraient à Twitter (ou autres microblog) contre seulement
49% des BtoC OUI... MAIS...
‣ quantité vs qualité ‣
85% d’entres eux pensent qu’il ne faut pas se contenter de publier des existent
les discussions informations
sur les médias sociaux mais interagir et engager une conversation avec sa cible.
‣ pas d’affect ‣ communautés plus
39 des 49 premières sociétés françaises tweetent selon TBWA
homogènes et captives
89% des journalistes spécialisés utilisent les médias sociaux dans leurs recherches
17. Excuse #5
Les médias sociaux ne sont
pas faits pour le B2B
OUI... MAIS...
‣ quantité vs qualité ‣ les discussions existent
‣ pas d’affect ‣ communautés plus
homogènes et captives
18. Excuse #6
Je vais perdre le contrôle de ma
communication
OUI... MAIS...
‣ prise de parole de ‣ charte d’utilisation
tout un chacun
‣ monitoring
19. Excuse #7
Pas de CA engrangé sur les médias
sociaux
OUI... MAIS...
‣ actions non ‣ modèle d’attribution du
quantifiables premier clic
20. Excuse #8
C’est un phénomène de mode, ça va
passer...
OUI... MAIS...
‣ on en parle partout ‣ ancré dans le quotidien
‣ 800 millions
d’utilisateurs Facebook
21. Excuse #9
Ma marque n'est pas connue et je n'ai pas de
communauté
OUI... ‣ une communauté ça se
crée !
‣ discussion inexistante
‣ absence de la marque ‣ concept pour la faire
vivre
‣ mise en avant de
22. Excuse #9
Ma marque n'est pas connue et je n'ai pas de
communauté
OUI... ‣ une communauté ça se
crée !
‣ discussion inexistante
‣ absence de la marque ‣ concept pour la faire
vivre
‣ mise en avant de
28. Excuse bonus
Ma marque n’est pas prête
OUI... MAIS...
‣ mentalité ‣ laisserez-vous votre
communauté converser
‣ incompréhension sans vous ?
29. ‣ 10 excuses pour ne pas aller sur les médias sociaux
‣ Les habitudes de consommation ont changé
‣ 10 excuses et leurs contre-arguments
‣ Médias sociaux : les derniers chiffres !
‣ Nos offres autour des médias sociaux
‣ Bibliographie
30. Médias sociaux : les derniers chiffres !
‣ Facebook compte 800 millions d'inscrits à travers le monde
‣ 80% des internautes français utilisent au moins un réseau
social
‣ 80% des consommateurs souhaitent dialoguer avec les
marques sur Internet
‣ 78% des internautes font confiance aux recommandations de
leur pairs sur les médias sociaux (contre 14% seulement pour
la publicité)
‣ 74% des internautes ont une image plus positive des marques
qui engagent la conversation sur les médias sociaux
31. Vous n’avez plus d’excuses :)
Il est l’heure de se lancer sur les réseaux
sociaux !
32. Notre offre de services autour des médias sociaux
‣ Community management sous-traité
‣ Accompagnement à l'élaboration d'une stratégie
"médias sociaux"
‣ Formation de vos équipes
‣ Mise en délégation de Community Management
pour des missions de courte, moyenne ou
longue durée
Sous vos yeux, le déroulement du webinar d’aujourd’hui.\n\n\n
Si vous êtes présents aujourd’hui à ce webinar, c’est que vous avez quelque part conscience que les choses changent... En effet, le Web 2.0 et les médias sociaux offrent aux internautes des outils très simples pour s'exprimer. \n\nLe consommateur a donc saisi cette opportunité pour discuter, critiquer, encenser les marques, leurs produits et leurs services. \n\nOn parle désormais d'un « consom’acteur » qui n’hésite plus à utiliser les médias sociaux pour faire entendre sa voix. Son jugement a de grandes répercussions sur les décisions d’achat de son cercle d’influence sociale - et ce, sans que l’entreprise puisse le contrôler.\n\nCe changement a bouleversé la donne du marketing. Nous sommes passés du marketing de l'intrusion au marketing de la permission.\n
Très schématiquement, le marketing de l’intrusion devait interrompre le consommateur pour attirer son attention. \nEX : J'écoute mon programme radio ou je regarde la TV, la publicité vient interrompre mon programme de manière intrusive.\n\nL'efficacité de ces techniques marketing est décroissante au profil des techniques du marketing de la permission. Ce dernier vise à obtenir l'engagement du consommateur en lui proposant des contenus à valeur ajoutée.\n\nVous cherchez des excuses pour ne pas vous jeter à l’eau ? Nous allons vous en donner... mais nous vous prouverons aussi que toutes ces idées reçues sont facilement contournables !\n
Alors, \n
Les médias sociaux, c’est dangereux !\n\nOUI\nc’est vrai, c’est vraiment dangereux, je n’y vais pas !\nOn a tous entendu parlé de bad buzz : que ce soit récemment pour la Redoute ou pour les attaques de Greenpeace auprès de Nestlé\n\nMAIS\nPrenons un peu de recul... avec ce bad buzz qui se met en place, que votre entreprise soit sur les MS ou pas... il aura quand même lieu !\n\nAlors si on part du postulat que je ne suis pas sur les MS et qu’on attaque mon entreprise... comment vais-je réagir ? surement dans la précipitation, avec une communication non adaptée qui va alimenter encore plus le bad buzz sous jacent...\n\nAlors que si on part de l’hypothèse que je suis sur les MS et qu’on m’attaque... je fais déjà partie d’une communauté, j’en connais les us et les coutumes, j’ai - comme toute entreprise qui se lance sur les MS - réfléchi en amont à la gestion d’une éventuelle crise et je vais donc réagir correctement : répondre aux attaques, me défendre et prendre la parole pour éteindre le feu qui s’embrase. Mon entreprise en sortira grandie\n\nAller sur les réseaux sociaux, c’est accepter la critique, c’est surtout entrer dans une démarche de dialogue avec la communauté en ligne; ce n’est certainement pas se positionner en tant que marque hémémonique qui ne doit rien à personne.\n\n\n
Les médias sociaux, c’est dangereux !\n\nOUI\nc’est vrai, c’est vraiment dangereux, je n’y vais pas !\nOn a tous entendu parlé de bad buzz : que ce soit récemment pour la Redoute ou pour les attaques de Greenpeace auprès de Nestlé\n\nMAIS\nPrenons un peu de recul... avec ce bad buzz qui se met en place, que votre entreprise soit sur les MS ou pas... il aura quand même lieu !\n\nAlors si on part du postulat que je ne suis pas sur les MS et qu’on attaque mon entreprise... comment vais-je réagir ? surement dans la précipitation, avec une communication non adaptée qui va alimenter encore plus le bad buzz sous jacent...\n\nAlors que si on part de l’hypothèse que je suis sur les MS et qu’on m’attaque... je fais déjà partie d’une communauté, j’en connais les us et les coutumes, j’ai - comme toute entreprise qui se lance sur les MS - réfléchi en amont à la gestion d’une éventuelle crise et je vais donc réagir correctement : répondre aux attaques, me défendre et prendre la parole pour éteindre le feu qui s’embrase. Mon entreprise en sortira grandie\n\nAller sur les réseaux sociaux, c’est accepter la critique, c’est surtout entrer dans une démarche de dialogue avec la communauté en ligne; ce n’est certainement pas se positionner en tant que marque hémémonique qui ne doit rien à personne.\n\n\n
Les médias sociaux, c’est dangereux !\n\nOUI\nc’est vrai, c’est vraiment dangereux, je n’y vais pas !\nOn a tous entendu parlé de bad buzz : que ce soit récemment pour la Redoute ou pour les attaques de Greenpeace auprès de Nestlé\n\nMAIS\nPrenons un peu de recul... avec ce bad buzz qui se met en place, que votre entreprise soit sur les MS ou pas... il aura quand même lieu !\n\nAlors si on part du postulat que je ne suis pas sur les MS et qu’on attaque mon entreprise... comment vais-je réagir ? surement dans la précipitation, avec une communication non adaptée qui va alimenter encore plus le bad buzz sous jacent...\n\nAlors que si on part de l’hypothèse que je suis sur les MS et qu’on m’attaque... je fais déjà partie d’une communauté, j’en connais les us et les coutumes, j’ai - comme toute entreprise qui se lance sur les MS - réfléchi en amont à la gestion d’une éventuelle crise et je vais donc réagir correctement : répondre aux attaques, me défendre et prendre la parole pour éteindre le feu qui s’embrase. Mon entreprise en sortira grandie\n\nAller sur les réseaux sociaux, c’est accepter la critique, c’est surtout entrer dans une démarche de dialogue avec la communauté en ligne; ce n’est certainement pas se positionner en tant que marque hémémonique qui ne doit rien à personne.\n\n\n
Les médias sociaux, c’est dangereux !\n\nOUI\nc’est vrai, c’est vraiment dangereux, je n’y vais pas !\nOn a tous entendu parlé de bad buzz : que ce soit récemment pour la Redoute ou pour les attaques de Greenpeace auprès de Nestlé\n\nMAIS\nPrenons un peu de recul... avec ce bad buzz qui se met en place, que votre entreprise soit sur les MS ou pas... il aura quand même lieu !\n\nAlors si on part du postulat que je ne suis pas sur les MS et qu’on attaque mon entreprise... comment vais-je réagir ? surement dans la précipitation, avec une communication non adaptée qui va alimenter encore plus le bad buzz sous jacent...\n\nAlors que si on part de l’hypothèse que je suis sur les MS et qu’on m’attaque... je fais déjà partie d’une communauté, j’en connais les us et les coutumes, j’ai - comme toute entreprise qui se lance sur les MS - réfléchi en amont à la gestion d’une éventuelle crise et je vais donc réagir correctement : répondre aux attaques, me défendre et prendre la parole pour éteindre le feu qui s’embrase. Mon entreprise en sortira grandie\n\nAller sur les réseaux sociaux, c’est accepter la critique, c’est surtout entrer dans une démarche de dialogue avec la communauté en ligne; ce n’est certainement pas se positionner en tant que marque hémémonique qui ne doit rien à personne.\n\n\n
OUI\nLes MS ca consume du temps, c’est horrible, je dois intervenir tous les jours... bref, je n’ai pas le temps de m’en occuper !\n\nil est nécessaire de consacrer du temps aux MS pour qu’ils soient efficaces dans votre stratégie de communication. Il est certes très rapide de créer un blog ou des profils professionnels, mais le plus important est de les animer régulièrement pour que votre communauté vive et se développe. Il faut de la patience pour bâtir votre présence online. C’est plus la constance et la régularité du rythme qui vous servira dans votre tache. \n\nex : si vous etes présents tous les jours non stop pendant 3 mois et puis plus rien... ca n’est pas la bonne tactique à adopter.\nce qu’il faut, c’est être présent sur le long terme et régulièrement; les résultats n’en seront que plus probants !\n\nMAIS\nFort heureusement, il existe de nombreuses astuces pour gagner du temps sur les réseaux sociaux : d’abord, avoir une équipe dédiée à ce canal et ensuite utiliser les bons outils qui permettent une gestion optimisée de ce temps précieux ! Il en existe une pléthore : de la centralisation de plusieurs comptes à la programmation de tweets en passant par les systèmes d’alerte.\n\nIl est vrai que pour instaurer une relation de confiance avec sa communauté les médias sociaux nécessitent un minimum d’investissement personnel, mais il faut aussi définir des objectifs et une certaine organisation pour parvenir à gérer vos médias sociaux.\n
OUI\nvous avez des contacts, des followers, des fans et vous discutez avec votre communauté via ces plateformes de réseaux sociaux. Ils sont ce que l’on appelle des relations virtuelles.\n\nMAIS\nRien ne vous empêche de passer du virtuel au réel ! Organisation d’événements, de twunch, participation aux conférences spécialisés \n\nex de Leweb - qui est une conférence centrée sur les blogs et les nouvelles technologies organisée en France - et qui a mis en place de nombreuses actions dont un site (whosattheweb.com) pour savoir qui de vos amis virtuels de twitter sont présents à la conférence mas aussi un site web (presdomatch) pour faire du networking pendant l’événement.\n\n Alors, certes le premier contact est virtuel mais il peut ensuite laisser la place à des relations réelles. Les 2 deviennent alors complémentaires et, je vais aller plus loin, elles doivent devenir complémentaires : trouvez un moyen de passer à l’action ! Après tout, lorsqu’une vente s’effectue, on ne parle plus de virtualité ou de réalité... juste de vente !\n
OUI\nc’est impossible de connaitre le ROI, c’est de l’investissement à perte !\n\nMAIS\nContrairement à de la publicité classique, où il suffit de comptabiliser les ventes après chaque publication presse, radio ou télé, le retour sur investissement d’une stratégie social media est effectivement plus diffuse et se fait dans la durée. Cela nécessite donc de bien prendre le temps de créer vos propres indicateurs de mesure en fonction de vos objectifs. \n\nMais que vous souhaitiez travailler sur votre e-réputation, augmenter vos ventes ou améliorer votre service après-vente, il existe des outils pour suivre vos résultats et des indicateurs à mettre en place pour mesurer votre progression ! A vous de définir les KPI (indicateurs clefs de performance) qui vous indiqueront le moral de votre stratégie : nb de visiteur ? nombre de RT ? de commentaires ? ou tout autre mesure à même de vous indiquer l’engagement de votre communauté sera les bienvenues !\n\nC’est la mise en avant de la notion de marque conversationnelle qui accepte le dialogue.\n\nL’investissement peut etre difficile à mesurer mais les conséquences, plus que chiffrées, seront surtout la fidélisation de votre communauté...\n\n
Il semblerait qu'il y ait une sorte de "complexe" des acteurs B2B vis-à-vis des médias sociaux ! Certes les communautés seront moins importantes en terme de membres que celles des acteurs B2C. Mais ce qu’ils perdent en quantité, ils le gagnent en qualité dans la mesure où les communautés seront plus homogènes et plus captives.\n\nLes quelques chiffres suivants (bien qu'ils soient essentiellement américains) montrent l'importance des médias sociaux auprès des acteurs du btob. \n\nL'utilisation des médias sociaux en B2B est moins "visible" qu'en B2C (les marques sont moins connues, moins exposées, il y a moins de bad buzz, etc), mais elle est tout aussi - voire plus - importante qu'en B2C.\n\n\n\n
Il semblerait qu'il y ait une sorte de "complexe" des acteurs B2B vis-à-vis des médias sociaux ! Certes les communautés seront moins importantes en terme de membres que celles des acteurs B2C. Mais ce qu’ils perdent en quantité, ils le gagnent en qualité dans la mesure où les communautés seront plus homogènes et plus captives.\n\nLes quelques chiffres suivants (bien qu'ils soient essentiellement américains) montrent l'importance des médias sociaux auprès des acteurs du btob. \n\nL'utilisation des médias sociaux en B2B est moins "visible" qu'en B2C (les marques sont moins connues, moins exposées, il y a moins de bad buzz, etc), mais elle est tout aussi - voire plus - importante qu'en B2C.\n\n\n\n
OUI\nJe perds le contrôle sur la communication de ma marque, tout et son contraire se retrouvent sur les MS.\nLes réseaux sociaux sont aussi un lieu d’échange pour toute personne, y compris, vos employés. On l’a souligné précédemment : chaque individu peut prendre la parole sur les MS, c’est l’essence même de ce canal.\n\nMAIS\nL’aire de la communication top down n’est plus d’actualité à la faveur d’une marketing de la permission (vs marketing de l’intrusion).\nVous pouvez vous prémunir de la divulgation d’informations confidentielles en instaurant une charte des bonnes pratiques d’utilisation des médias sociaux au sein de votre entreprise, et en monitorant l’activité autour de votre marque. C’est même fortement conseillé si vos employés interagissent avec des clients, utilisateurs ou partenaires.\nEt vous verrez qu’en homogénéisant les pratiques, votre communication se verra en fait renforcer !\n\n
OUI\ncette excuse rejoint celle du ROI, cad qu’on ne peut pas quantifier l’impact des réseaux sociaux sur le CA.\n\nMAIS\nAdobe affirme au travers d’une récente étude que la valeur des médias sociaux serait considérablement dévaluée dans le calcul de leur apport au processus d’achat. \n\nL’internaute peut avoir été intéressé par les produits d’un marque tout d’abord au travers des réseaux sociaux, puis s’être orienté quelques jours plus tard vers le site afin de finaliser son processus d’achat. L’étude relaye l’exemple d’un consommateur ayant pris connaissance d’une offre au travers d’une notification d’un de ses amis ayant « aimé » la publication d’une page Facebook. Le consommateur clique alors sur le lien, visite le site contenant le produit qui l’intéresse mais finalisera son achat une semaine plus tard en retournant sur le site via un moteur de recherche. Le marketeur devra-t-il attribuer un crédit d’attribution au moteur de recherche ou au réseau social ?\n\nEn conclusion Adobe souligne que “le recours renforcé au modèle d’attribution du premier clic pourrait changer le montant des budgets investis dans les réseaux sociaux au détriment des autres canaux de communication“.\n
OUI\nOn vous sert des MS à toutes les sauces...\n\nMAIS\nAujourd’hui les réseaux sociaux sont ancrés dans le quotidien. 800 millions d’utilisateurs pour Facebook, 380 millions pour Twitter, et 120 millions pour LinkedIn, c’est désormais impossible de faire abstraction des réseaux sociaux dans vos stratégies de communication. Et c’est une bonne chose, puisqu’ils ont permis de rééquilibrer les forces et de redonner la parole aux consommateurs ! \nDésormais la discussion n’est plus à sens unique, les marques ne peuvent plus simplement se permettre d’assener leurs messages publicitaires en masse. Via les réseaux sociaux,  les internautes ont la possibilité de réagir, poser des questions, émettre des opinions et attendent des entreprises qu’elles fassent l’effort d’ouvrir le dialogue et d’écouter leurs besoins. \n\nLes réseaux sociaux ne sont pas une tendance mais représentent belle et bien la nouvelle nature que prend progressivement le web. Le web tout entier devient social.\n
OUI\nMes produits - je prends un exemple flagrant, celui des batiments préfabriqués, tout le monde s’en fout !\nvotre produit / service n’est pas connu du grand public, il est peut etre très connu au sein de votre secteur mais pas en dehors ? Vous traitez d’un sujet qui selon vous n’est pas assez porteur pour batir une communauté ?\n\nMAIS\nil s’agira de mettre en place une communauté autour d’un savoir faire ou d’une expertise que vous détenez. \n\nexemple Kinoa : au commencement, il y a 10 ans, nous n’étions pas connu et pourtant nous avons su batir une communauté autour du savoir sur les médias sociaux, auj, nous avons environ 1500 fans sur facebook, plus de 3500 followers sur Twitter (avec l’ensemble des collaborateurs) et plus de 1500 abonnés à notre newsletter...\n\nPrenons aussi l’exemple de Steelmaster, une entreprise d’une 30taine d’employés qui construit des batiments préfabriqués qui serviront de garage, entrepot, hangar…\n\nLeur challenge sur les MSG consistait essentiellement à trouver des clients. La directrice marketing était bien évidemment sceptique quant à l’utilisation des médias sociaux, elle souligne d’ailleurs « c’est du préfabriqué que nous vendons, nous n’étions pas sûrs de ce que nous allions faire sur facebook ! »\n\nEt pourtant… la société a trouvé une piste qui fonctionne… Pour répondre à la problématique, Steel master a développé sa présence sur fb et twitter.\n\n- Sur fb, la marque de préfabriqué a personnalisé le menu : outre les habituelles inscriptions à la newsletter et accès aux vidéos sur youtube, steel master offre la possibilité de demander un devis directement à partir de sa page.\n\n- Mais surtout, l’ingéniosité de l’entreprise a été de mettre la photo au cœur de son dispositif. la marque a organisé un concours photo autour de ses produits et a ainsi engagé le dialogue avec ses clients. Auj, les clients postent régulièrement leurs créations et partagent donc les produits de la marque…\n\nLes résultats parlent d’eux-mêmes... Plus de 12 700 fans sur facebook pour cette TPE inconnue... !\n
OUI\nLes MS permettent aux internautes de s’exprimer facilement sur vos produits, vos services... Lorsque vous êtes une marque qui évolue dans un univers complexe (Veolia et les déchets, Total et le pétrole / pollution, marlboro / cigarette / santé), vous craignez les retours de flammes...\n\nMAIS\nSe lancer sur les MS, c’est au contraire, montrer un visage plus humain de votre entreprise et prendre cette opportunité pour mettre plus en avant un savoir-faire ou une expertise particulière, c’est aussi un moyen de s’exprimer qui peut dire «regardez nos efforts».\nPrenons l’exemple de Total qui est au coeur de l’actualité. De par son activité, la société ne jouit pas d’une grande notoriété, pollueur / Erika, prix du pétrole, bénéfices records. Hors, la marque vient de se lancer sur les médias sociaux. Cette prise de parole et l’acceptation du dialogue est le premier pas vers une stratégie de médias sociaux. \n\nAvec l’actualité, il sera intéressant d’observer de plus près la suite des événements...\n
OUI\nLes MS permettent aux internautes de s’exprimer facilement sur vos produits, vos services... Lorsque vous êtes une marque qui évolue dans un univers complexe (Veolia et les déchets, Total et le pétrole / pollution, marlboro / cigarette / santé), vous craignez les retours de flammes...\n\nMAIS\nSe lancer sur les MS, c’est au contraire, montrer un visage plus humain de votre entreprise et prendre cette opportunité pour mettre plus en avant un savoir-faire ou une expertise particulière, c’est aussi un moyen de s’exprimer qui peut dire «regardez nos efforts».\nPrenons l’exemple de Total qui est au coeur de l’actualité. De par son activité, la société ne jouit pas d’une grande notoriété, pollueur / Erika, prix du pétrole, bénéfices records. Hors, la marque vient de se lancer sur les médias sociaux. Cette prise de parole et l’acceptation du dialogue est le premier pas vers une stratégie de médias sociaux. \n\nAvec l’actualité, il sera intéressant d’observer de plus près la suite des événements...\n
OUI\nLes MS permettent aux internautes de s’exprimer facilement sur vos produits, vos services... Lorsque vous êtes une marque qui évolue dans un univers complexe (Veolia et les déchets, Total et le pétrole / pollution, marlboro / cigarette / santé), vous craignez les retours de flammes...\n\nMAIS\nSe lancer sur les MS, c’est au contraire, montrer un visage plus humain de votre entreprise et prendre cette opportunité pour mettre plus en avant un savoir-faire ou une expertise particulière, c’est aussi un moyen de s’exprimer qui peut dire «regardez nos efforts».\nPrenons l’exemple de Total qui est au coeur de l’actualité. De par son activité, la société ne jouit pas d’une grande notoriété, pollueur / Erika, prix du pétrole, bénéfices records. Hors, la marque vient de se lancer sur les médias sociaux. Cette prise de parole et l’acceptation du dialogue est le premier pas vers une stratégie de médias sociaux. \n\nAvec l’actualité, il sera intéressant d’observer de plus près la suite des événements...\n
OUI\nLes MS permettent aux internautes de s’exprimer facilement sur vos produits, vos services... Lorsque vous êtes une marque qui évolue dans un univers complexe (Veolia et les déchets, Total et le pétrole / pollution, marlboro / cigarette / santé), vous craignez les retours de flammes...\n\nMAIS\nSe lancer sur les MS, c’est au contraire, montrer un visage plus humain de votre entreprise et prendre cette opportunité pour mettre plus en avant un savoir-faire ou une expertise particulière, c’est aussi un moyen de s’exprimer qui peut dire «regardez nos efforts».\nPrenons l’exemple de Total qui est au coeur de l’actualité. De par son activité, la société ne jouit pas d’une grande notoriété, pollueur / Erika, prix du pétrole, bénéfices records. Hors, la marque vient de se lancer sur les médias sociaux. Cette prise de parole et l’acceptation du dialogue est le premier pas vers une stratégie de médias sociaux. \n\nAvec l’actualité, il sera intéressant d’observer de plus près la suite des événements...\n
OUI\nMa marque n’est pas prête / les mentalités sont longues à évoluer, certaines directions ne sont pas encore prêtes à prendre le virage social - très certainement car ils ne comprennent pas les enjeux...\n\nMAIS\nMême si, aujourd’hui, interagir avec autrui via les « fonctions sociales » de l’Internet est loin d’être évident pour tous, cette activité fera partie intégrante du web à l’avenir. \n\nDe nombreuses études montrent que les générations d’internautes nés avec un Iphone ou un ordinateur connectés entre les mains utiliseront autant le web pour interagir que pour s’informer. Par conséquent, la présence des moyens d’interaction deviendra prédominante au point d’être inévitable. Il s’agit d’un changement radical de perspective à long terme. Toutes les activités de l’entreprise sont concernées : RH, vente, com... \n\nAlors, allez-vous laisser les internautes discuter toutes seules de votre produit ?\n\n
voyons d’un peu plus près, les chiffres des médias sociaux\n
Nous pouvons poursuivre ce panorama en disant que la France compte 23 millions d’utilisateurs actifs par mois sur Facebook en France. La moitié se connecte tous les jours.\n\nQue 150 millions de tweets envoyés chaque jour dans le monde par 380 millions de twittos.\n\nQue 135 millions d’utilisateurs sur Linkedin dans le monde. 2 millions en France.\n\nQue 92 milliards de pages sont vues sur Youtube par mois dans le monde.\n
Nous avons relevé ici une grande partie des idées reçues qui animent les entreprises mais il en existe évidemment d’autres.\n\nL’essentiel est de comprendre le changement de paradigme dans la sphère marketing, nous passons du marketing de l’intrusion au marketing de la permission. La donne change, l’entreprise doit se repenser pour s’adapter aux nouveaux canaux de communication. \n\nIntégrer les MS c’est accepter la conversation, c’est montrer plus de transparence mais c’est aussi bâtir une stratégie solide - et non pas lancer des comptes twitter et fb sans savoir où l’on va. Il s’agit d’intégrer les MS et d’établir une réflexion aussi en aval de cette stratégie : la remontée des informations bénéficiera alors à tous les départements du CRM au R&D.\n\n\n
Nous pensons qu'il est très difficile de sous-traiter le community management auprès d'une agence externe. Le community manager doit parler au nom de l'entreprise et doit surtout créer du lien avec vos consommateurs. Réactivité, personnalisation, sincérité, transparence sont les atouts du bon community manager. Une agence externe aura nécessairement des difficultés à parler au nom de votre entreprise tout en respectant ces critères de sincérité, de personnalisation, de réactivité et de transparence.\n\nC'est pourquoi nous avons développé une gamme de prestations parfaitement adaptée à la mise en oeuvre d'actions sur les médias sociaux. Il s'agira par exemple de vous accompagner à élaborer une stratégie efficace sur les médias sociaux en prenant en compte vos objectifs, vos moyens financiers et surtout humains, votre secteurs d'activité et le niveau des compétences déjà acquises sur le sujet.\n\nNous croyons également beaucoup à la formation des équipes qui permet de transférer intelligemment auprès de vos collaborateurs les compétences nécessaires à leur intervention sur les médias sociaux et ainsi d'internaliser ces compétences qui seront dans les années futures de plus en plus nécessaires à votre entreprise. Ces formations sont prises en charge dans le cadre du DIF. Tous les thèmes du Web marketing sont couverts : référencement naturel, twitter, facebook, linkedin, médias sociaux...\n\nEnfin, si vous souhaitez démarrer rapidement sans prendre trop de risque, nous avons développé une offre de mise en délégation d'un community manager au sein de vos équipes. Nous recrutons et nous formons régulièrement des community manager que nous plaçons chez nos clients pour des missions qui vont de 3 mois à plus d'un an. Ceci vous permet sans prendre le risque d'un recrutement d'internaliser les compétences nécessaires au sein de votre entreprise tout en "testant" l'efficacité du community management dans votre secteur d'activité.\n\n\n