8. « WEB IS DEAD.
LONG LIVE THE INTERNET »
Le web social devient un web à part entière. On s’y informe, on crée du contenu, on
partage du contenu, on recherche du contenu, on interagit…
L’objectif pour les plateformes les plus populaires étant de créer un écosystème
suffisamment vertueux et exhaustif pour retenir définitivement l’utilisateur.
13. Un format user-friendly qui répond aux attentes
des internautes et qui améliore considérablement l’expérience de la lecture
CÔTÉ UTILISATEUR
« Sur mobile, le confort de lecture importe
autant que la qualité du contenu ».
Clément Courvoisier, Dir. Digital Les Echos
14. Facebook laisse les media gérer l’espace publicitaire
de chaque Instant Article sans obligation de partager les revenus avec Facebook
Seuls les espaces invendus seront dealés
par Facebook, qui gardera 30% de la transaction.
CÔTÉ MEDIA
Source : http://www.journaldunet.com/media/publishers/1173754-amp-de-google-les-premiers-retours-du-parisien-des-echos-et-de-rtl/
http://www.presse-citron.net/instant-articles-facebook-autorise-plus-de-publicites-pour-satisfaire-les-editeurs/
http://www.slate.fr/story/101663/facebook-instant-article-media
15. UN ACCORD VRAIMENT GÉNÉREUX ?
Source : http://www.journaldunet.com/media/publishers/1173754-amp-de-google-les-premiers-retours-du-parisien-des-echos-et-de-rtl/
http://www.presse-citron.net/instant-articles-facebook-autorise-plus-de-publicites-pour-satisfaire-les-editeurs/
http://www.slate.fr/story/101663/facebook-instant-article-media
«J’ai demandé à Justin Osofsky, vice-président des
partenariats avec les médias de Facebook, si les dispositions
concernant le partage des revenus étaient une offre limitée
dans le temps et pouvaient changer à l’avenir. “Nous nous
sommes engagés à travailler avec les médias de manière à
leur donner des outils pour qu’ils puissent renforcer leur
affaire”, m’a-t-il répondu. “Donc, en fin de compte, vous
prendrez quoi… 20%, 30%?” ai-je demandé. “Nous allons
travailler avec les médias de manière à leur donner des outils
pour qu’ils puissent renforcer leur business”, a-t-il répété sans
ciller.
Casey Newton, The Verge
19. UN FORMAT PLUS CRÉATIF ET ÉDITORIAL
QUI RÉPOND À UNE EXIGENCE UTILISATEUR
94%
des français portent un
avis négatif sur l’utilité
des bannières sur
mobile
Source : http://www.ladn.eu/actualites/bannieres-mobiles-severement-jugees-par-francais,article,30575.html#ixzz42VeyGmRb
20. 94%
des français portent un
avis négatif sur l’utilité
des bannières sur
mobile
32%
des français déclarent n’y
prêter aucune attention
et ne cliquent jamais
dessus, les jugeant
complètement inutiles
Source : http://www.ladn.eu/actualites/bannieres-mobiles-severement-jugees-par-francais,article,30575.html#ixzz42VeyGmRb
UN FORMAT PLUS CRÉATIF ET ÉDITORIAL
QUI RÉPOND À UNE EXIGENCE UTILISATEUR
22. Un format captif pour l’utilisateur : 53% des internautes exposés à un format
Canvas visionnent plus de la moitié du contenu (durée moyenne de 31 secondes)
ATTENTION, ATTENTION
23. Jusqu’ici, seulement des annonceurs prestigieux avec un fort
potentiel émotionnel et éditorial ont testé le format : Burberry, Gucci, Coca Cola…
ATTENTION, ATTENTION
26. MONTRE-MOI TA DATA…
« Dans un premier temps, cela n’aura pas d’importance.
Quelle que soit la réaction, nous en conclurons que
cette personne veut voir plus de contenu de ce type.
Au fil du temps, nous espérons déterminer comment les
différentes réactions pourront être prises en compte
différemment par le fil d’actualité, afin de proposer à
chacun les contenus qui l’intéressent le plus. »
Sammi Krug
CE QUE NOUS DIT FACEBOOK
27. « Dans un premier temps, cela n’aura pas d’importance.
Quelle que soit la réaction, nous en conclurons que
cette personne veut voir plus de contenu de ce type.
Au fil du temps, nous espérons déterminer comment les
différentes réactions pourront être prises en compte
différemment par le fil d’actualité, afin de proposer à
chacun les contenus qui l’intéressent le plus. »
Sammi Krug
Facebook pourra proposer une timeline sur mesure pour
chaque utilisateur et une meilleure contextualisation des
messages pour les annonceurs.
CE QUE NOUS DIT FACEBOOK CE QU’ON ENTEND
MONTRE-MOI TA DATA…
35. Google va rendre les grands médias encore plus dépendants,
et pourrait ainsi devenir la nouvelle norme de navigation mobile
FAIRE RENAÎTRE LE WEB MOBILE
« THERE’S NOTHING ABOUT THE AMP FORMAT THAT
DOESN’T ENABLE ITS USE FOR ALL KINDS OF THINGS.
YOU COULD BUILT AN ENTIRE WEBSITE OUT OF IT ».
Richard Gringas
Google senior’s director of news and social products
36. Avec une future « norme » AMP, l’internaute retrouve la fluidité et la rapidité
qu’il recherche, sans adblocker …
mais Google déplace la solution sans vraiment régler le problème.
COMBATTRE LES ADBLOCKERS
37.
38. DE 140 À
10 000 CARACTÈRES*
Source : www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2016/01/05/32001-20160105ARTFIG00275-twitter-va-augmenter-la-limite-des-tweets-a-10000-caracteres.php
*pas encore disponible
39. Paradoxalement, en allant « plus loin que 140 » caractères, Twitter pourrait devenir une
plateforme de contenus à part entière et plus seulement un simple curateur
S’ÉMANCIPER DES AUTRES PLATEFORMES
40. Retour du bon usage de la langue française
Recontextualiser les conversations
Faire plus de place pour rapprocher les gens
Twitter va devenir un éditeur très accessible avec une audience
FARANDOLE D’AVANTAGES
41. Manuel Valls a présenté lundi 14 mars aux partenaires sociaux la nouvelle version de l’avant-projet de loi sur la réforme du droit du travail, qui devrait être présentée en conseil des ministres le
24 mars. Le premier ministre a assuré avoir « entendu [les] interrogations sur certaines dispositions » et a appelé à « un nouveau départ ». Notre suivi en direct : Loi travail : les annonces de
Manuel Valls sont-elles un recul politique ? Nous listons ci-dessous les principales mesures évoquées par Manuel Valls dans son discours. Le texte complet n’a pas encore été dévoilé, ce qui ne
nous permet pas de détailler chacune des dispositions. Ce qui change par rapport au premier avant-projet de loi. Astreinte, durée de travail, temps partiel : retour à la situation actuelle ? Selon le
premier ministre, « le projet de loi ne changera pas les dispositions applicables aujourd’hui en matière d’astreintes, de durée du travail des apprentis, de durée hebdomadaire maximale de travail,
de temps d’habillage et de déshabillage, de réglementation du temps partiel ». Certaines de ces dispositions étaient critiquées, comme le délai de prévenance en cas d’astreinte et le décompte
du temps de repos ou la possibilité d’augmenter les horaires d’un apprenti de moins de 18 ans sans demander l’autorisation de l’inspection et de la médecine du travail. Le barème des
indemnités prud’homales devient indicatif. C’est cet aspect du projet de loi qui a sans doute le plus cristallisé les mécontentements. L’idée était de faciliter l’embauche en CDI en indiquant
aux entreprises combien elles risquaient au maximum de payer en cas de licenciement non justifié, grâce à un barème « plafond ». Finalement, ce sera toujours au juge de décider du montant
de l’indemnité, à partir d’un barème qu’il pourra ou non appliquer. Cette disposition n’est pas nouvelle, puisqu’elle était déjà prévue par la loi Macron votée à l’été 2015. La règle des 50 % de
syndicats représentatifs et du référendum d’entreprise sera mise en place progressivement. Dans le droit du travail actuel, il suffit de l’accord de syndicats représentant 30 % des salariés
pour conclure un accord d’entreprise. Ce seuil pourrait être porté à 50 %. Mais cette application ne concernera d’abord que les modifications de la durée du travail, avant d’être « étendu aux
autres chapitres du code du travail ». Un minimum garanti pour les congés pour événements familiaux. La première version du projet de loi permettait aux accords d’entreprise de fixer les durées
de congés en cas de mariage, décès d’un proche (etc.) sans en préciser les limites. La nouvelle version prévoit que ces accords ne pourront pas fixer de durée inférieure à la durée actuellement
fixée par le code du travail. Forfait jours dans les TPE et PME : possibilité de « mandater » un délégué. La première version de l’avant-projet de loi permettait aux entreprises de moins de
50 salariés d’imposer des forfaits jours sans accord collectif. La nouvelle version prévoit désormais la possibilité de désigner un salarié (« mandatement »), qui jouera le rôle de représentant du
personnel et pourra négocier avec l’entreprise, pour appliquer des accords types conclus au niveau de la branche. Davantage de droits à la formation pour les salariés « peu qualifiés ». Manuel
Valls a assuré que les salariés « peu qualifiés » (sans plus de précision) pourront voir leur compte personnel d’activité crédité jusqu’à quarante heures par an (contre vingt-quatre heures pour le
reste des travailleurs) et que le plafond sera porté de 150 heures à 400 heures. De meilleurs critères pour le licenciement économique. Un volet de la loi prévoyait l’extension du recours à des
licenciements économiques, non plus au niveau d’un groupe mais au niveau de l’entreprise seule, en cas de « difficultés économiques ou de mutations technologiques ». Manuel Valls a promis
une nouvelle rédaction destinée à éviter que les grands groupes puissent « provoquer artificiellement des difficultés économiques sur leur site français pour justifier un licenciement ». Modulation
du temps de travail : l’accord de branche prévaudra. Les entreprises ne pourront pas moduler le temps de travail (par exemple, augmenter la durée de travail sans compensation en raison de
difficultés économiques) au-delà d’une année, sauf « si cette possibilité est ouverte par un accord de branche ». Les points en débat qui ne changent pas : Là encore, nous ne nous appuyons
pour le moment que sur les déclarations de Manuel Valls et non sur le texte complet, que nous étudierons dès que nous l’aurons en notre possession, comme nous l’avons fait pour la version
précédente. Voir tout ce que prévoyait la première version de la réforme : Ce que contient le projet de « loi travail », dans le détail L’inversion de la hiérarchie des normes. Actuellement, dans la
plupart des domaines, un accord d’entreprise doit être « mieux-disant », c’est-à-dire qu’il ne peut pas être moins favorable qu’un accord de branche ou que le code du travail. L’avant-projet de
loi prévoit qu’en de nombreuses circonstances, l’accord d’entreprise puisse s’affranchir des dispositions de l’accord de branche ou du code du travail, sauf si ce dernier prévoit explicitement un
minimum. Cette disposition semble avoir été maintenue dans la nouvelle version hormis dans le cas d’une modulation du temps de travail au-delà d’un an (comme expliqué ci-dessus). Le
référendum d’entreprise. La nouvelle version prévoit toujours la possibilité d’une consultation des salariés pour valider un accord collectif si un ou plusieurs syndicats(s) (représentant entre 30 et
50 % des employés) le demandent. Les dispositions sur les heures supplémentaires. Le premier ministre n’ayant pas évoqué la question des heures supplémentaires, on peut supposer que les
mesures prévues par le premier avant-projet de loi ne changent pas. Ce dernier prévoyait qu’un accord d’entreprise ou, « à défaut », de branche, pouvait abaisser la majoration des heures
supplémentaires jusqu’à un plancher de 10 % minimum. Par ailleurs, les heures supplémentaires pourraient être décomptées (payées ou posées en récupérations) sur une période de trois ans
maximum en cas d’accord collectif (seize semaines en cas de « décision unilatérale »). La surtaxation des CDD abandonnée. Un temps envisagée par le gouvernement, la surtaxation des
contrats à durée déterminée (CDD) semble avoir été écartée. La question n’a pas été évoquée lundi par Manuel Valls, qui s’est contenté d’indiquer que « faire du CDI la norme, c’est
aussi poser la question d’un meilleur encadrement des CDD […] Il faut bien sûr être soucieux que cela ne se traduise pas par une hausse globale du coût du travail ». Toutefois, le sujet, évoqué
par le gouvernement afin de calmer la fronde, pourrait faire son retour dans le cadre des négociations entre syndicats et patronat autour de la convention Unedic.
42. Progression de la story
FAIRE LE TOUR D’UN
ÉVÉNEMENT AVEC
TWITTER MOMENTS*
*pas encore disponible en France
43. Progression de la story
FAIRE LE TOUR D’UN
ÉVÉNEMENT AVEC
TWITTER MOMENTS*
*pas encore disponible en France
Vidéo
44. Progression de la story
FAIRE LE TOUR D’UN
ÉVÉNEMENT AVEC
TWITTER MOMENTS*
*pas encore disponible en France
GIF
45. Progression de la story
FAIRE LE TOUR D’UN
ÉVÉNEMENT AVEC
TWITTER MOMENTS*
*pas encore disponible en France
46. Progression de la story
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TWITTER MOMENTS*
*pas encore disponible en France
47. Progression de la story
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ÉVÉNEMENT AVEC
TWITTER MOMENTS*
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48. Progression de la story
FAIRE LE TOUR D’UN
ÉVÉNEMENT AVEC
TWITTER MOMENTS*
*pas encore disponible en France
49. Progression de la story
FAIRE LE TOUR D’UN
ÉVÉNEMENT AVEC
TWITTER MOMENTS*
*pas encore disponible en France
50. Rendre Twitter accessible c’est aussi lever le dernier frein à son utilisation en soulageant
l’utilisateur d’une forme de pression paralysante :
« je n’ai rien à faire sur Twitter puisque je n’ai rien à dire »
LEVER TOUS LES FREINS À L’ADOPTION
51. Les Promoted Moments s’insèreront dans le flux des autres moments avec la mention
« Promoted » et seront vendus aux annonceurs le même prix que les Tweets sponsorisés
PROMOTED MOMENTS
52. MOMENTS, UN ESPACE À
INVESTIR POUR LES MARQUES
Source : http://www.journaldunet.com/media/publishers/1173754-amp-de-google-les-premiers-retours-du-parisien-des-echos-et-de-rtl/
Sommaire
des différents Moments
Exemple d’un Moments dédié à une marque
56. Snapchat a réinventé la temporalité dans notre manière de consommer les contenus
et continue de faire évoluer le real time : encore plus riche, encore plus personnalisable,
encore plus communautaire
LA BATAILLE DU LIVE
73. « LES MESSAGERIES SERONT PENSÉES
COMME LES PROCHAINS NAVIGATEURS,
LES BOTS SERONT LES NOUVEAUX SITES
INTERNET.
C’EST LE DÉBUT D’UN NOUVEL INTERNET »
Ted Livingston
Fondateur de l’application de messagerie Kik
74. D’ici la fin de l’année, nous aurons au moins une expérience d’échanges avec une
marque via Facebook Messenger (et autres messageries app)
et nous trouverons ça normal.
À plus long terme, nous parlerons probablement à un robot avec une intelligence
artificielle suffisamment élaborée pour répondre à n’importe quelle type de requêtes. Un
IA qui nous donnera l’impression de parler à un véritable humain.
L’ÈRE DU « CONVERSATIONAL COMMERCE »
Source : https://medium.com/chris-messina/2016-will-be-the-year-of-conversational-commerce-1586e85e3991#.j3w2z2gxf
75. « WEB IS DEAD.
LONG LIVE THE INTERNET »
Le web que l’on connait évolue et ce n’est pas pour nous déplaire.
Ce web s’adapte aux usages des utilisateurs en proposant une navigation plus fluide et
en redéfinissant notre manière de concevoir la relation entreprise et clients.
Nous serons probablement de plus en plus dépendants de ces plateformes qui
cherchent à tout prix à nous convertir, au risque de remettre en cause
certaines éthiques…