Support formation vidéo : Rédiger sans fautes d'orthographe / Niveau expert

Rédiger sans fautes d’orthographe - Niveau expert
Agnès Spaëth
ACOATAXA
Présentation générale

➢ Intitulé de la formation : Rédiger sans fautes d’orthographe – Niveau expert -
Cette formation en ligne s’adresse à toutes celles et ceux qui souhaitent approfondir leurs compétences en
orthographe (écriture des mots, conjugaison, accords, etc.).
Elle est le troisième et dernier module d’une formation qui comprend également un niveau débutant et un
niveau avancé.
Elle est là pour vous permettre d’acquérir des connaissances poussées grâce auxquelles vous pourrez rédiger des
écrits professionnels ou personnels sans erreurs d’orthographe.
Bienvenue dans cette formation !

Présentation formatrice
➢ Encadrement pédagogique : Agnès Spaëth - ACOATAXA
Titulaire du DEA de Lettres modernes, j’ai enseigné le latin et le français dans le secondaire en début de
carrière. Formatrice pour adultes depuis une quinzaine d’années, j’ai accompagné des publics très variés,
dans le cadre de missions allant de l’alphabétisation en entreprise à la préparation de concours de catégorie
A.
Jeunes en phobie scolaire, travailleurs en contrat de qualification, salariés en réorientation professionnelles et
cadres en reconversion constituent autant de publics que j’apprécie de former avec bienveillance et
exigence.
Je suis également formatrice e-learning depuis 2014.

Le plan de la formation
➢ Déroulé :
Le mot
• je ne confonds pas les différentes natures de « que »
• je sais écrire au pluriel les adjectifs de couleur
• je sais écrire les nombres : L’écriture des nombres
La phrase
• je sais conjuguer au subjonctif et j’en connais les emplois dans
les circonstancielles :
o Le subjonctif passé et imparfait
o Le subjonctif dans les subordonnées circonstancielles
• je connais les emplois du conditionnel : Les emplois du
conditionnel modal et temporel
• je connais le mode de construction du verbe : Le mode de
construction du verbe

Prérequis
➢ Prérequis : savoir lire et écrire en français / avoir suivi les modules « Débutant » et
« Avancé » est un plus

Public concerné
➢ Public concerné : toute personne souhaitant approfondir ses compétences en orthographe
(écriture des mots, conjugaison, accords, etc.).

Objectifs visés
➢ Objectifs visés : à l’issue de la formation, l’apprenant sera capable de :
▪ Ne pas confondre les différentes natures de « que »
▪ Ecrire au pluriel des adjectifs de couleur
▪ Ecrire les nombres
▪ Savoir conjuguer au subjonctif à tous les temps
▪ Connaître les emplois du conditionnel
▪ Connaître le mode de construction du verbe.

Agnès Spaëth
ACOATAXA
Le mot
Les différentes natures de « que »

1) « que » n’est pas un mot subordonnant, c’est-à-dire qu’il ne va pas servir à relier une
principale et une subordonnée.
 adverbe exclamatif : Que tu es belle !
 adverbe de négation restrictive : Il ne fait que râler, c’est pénible…
 pronom interrogatif : Que dis-tu ? Je n’ai pas entendu.
 béquille du subjonctif, pour les indépendantes exprimant un souhait ou une
volonté : Qu’il vienne, ça me fera plaisir de le revoir.
 adverbe interrogatif (usage rare et ancien) : Que (= pourquoi ?) ne le disais-tu plus
tôt ?

2) « que » est un mot subordonnant, il va permettre d’établir un lien entre une proposition principale et
une proposition subordonnée.
 pronom relatif : La race de chien que je préfère est peu connue en France.
 conjonction de subordination : Je préfère que tu m’attendes ici. Viens là, que je vérifie ton cartable.
 pronom interrogatif indirect (précédé de « ce ») : Dis-moi ce que tu veux pour Noël.

Agnès Spaëth
ACOATAXA
Le mot
L’écriture des adjectifs de couleur et des nombres

L’écriture des adjectifs de couleur
Le cas des adjectifs de couleur qui ne désignent pas une chose à
l’origine
Règle générale; les adjectifs de couleur s’accordent :
 en genre : « La maison bleue est plus grande que le chalet blanc. »
 en nombre : « Les maisons bleues me plaisent davantage que les chalets blancs. »
Valable seulement quand l’adjectif de couleur est seul : un cheval gris / des chevaux gris.

Le cas des adjectifs de couleur qui désignent une chose à l’origine
Ces adjectifs proviennent à l’origine de noms, et leur usage se rapproche de la métaphore : « Des
cheveux miel. » <- des cheveux qui ont la couleur du miel.
Dans ce cas-là, l’adjectif reste invariable.
Voici la liste des adjectifs les plus courants : abricot, acajou, aigue-marine, albâtre, ambre,
anthracite, ardoise, argent, auburn, azur, banane, bistre, bourgogne, brique, bronze, cachou, café
au lait, canari, carmin, carotte, cerise, chamois, châtaigne, chocolat, citron, corail, cuivre,
émeraude, fraise, framboise, grenat, groseille, indigo, ivoire, jade, jonquille, kaki, lavande, lilas,
melon, moutarde, nacre, noisette, pêche, pervenche, pivoine, prune, rubis, sable, saphir, saumon,
sépia, tabac, taupe, thé, tomate, topaze, turquoise, violette.
Il y a quelques exceptions avec ces adjectifs qui eux s’accordent : écarlate, mauve, pourpre, rose,
fauve.
On écrira donc : « Charlotte porte des socquettes roses et des baskets cerise. »

Le cas des adjectifs composés de deux adjectifs
Là non plus l’accord ne se fait pas. On écrit : « des jupes vert foncé et des pulls jaune pâle. »
Quand les deux adjectifs sont séparés par « et », tout va dépendre du sens que l’on veut donner :
- des chiens noir et blanc :
- des chiens noirs et blancs :

L’écriture des nombres
Le cas des mots simples
Certains nombres s’écrivent avec un seul mot :
➢ les nombres jusqu’à 16 : un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize,
quatorze, quinze, seize
➢ les dizaines jusqu’à 60 : vingt, trente, quarante, cinquante, soixante
➢ 100 et 1000 : cent, mille

Le cas des mots composés
Au-delà de seize, on a besoin d’écrire les nombres avec plusieurs mots. Il faut alors connaître
l’emploi du trait d’union.
➢ de 16 à 100, tous les nombres ne se terminant pas par un (sauf 81 et 91) prennent un trait
d’union entre chaque mot : vingt-six, trente-quatre, cinquante-neuf, quatre-vingt-un, quatre-
vingt-onze, quatre-vingt-dix-sept…
➢ pour les nombres se terminant par un, on utilise « et », mais on ne met pas de trait d’union :
vingt et un, quarante et un, soixante et un…
➢ au-delà de 100, on ne met pas de trait d’union (sauf pour les parties du nombre qui vont de 16
à 100) : trois cents deux, mille quatre-vingt-seize…

Le cas de 1
Il reste invariable en nombre mais pas en genre : cinquante et un ans, cinquante et une pages.
Le cas de 20 et 100
Ils s’accordent quand ils sont multipliés par un nombre sans être suivis d’un autre nombre : deux
cents euros, quatre-vingts bouteilles, mille six cents hectares, quatre cents litres.
Quand ils sont suivis d’un autre nombre en revanche ils restent invariables : quatre cent trente
euros, quatre-vingt-dix-huit bouteilles, mille six cent trois hectares, quatre cent vingt et un litres.
Le cas de 1000
Il est toujours invariable : Mille ou dix mille embauches, ce n’est pas la même chose !

Agnès Spaëth
ACOATAXA
La phrase
Le subjonctif passé et imparfait

Rappel
De quoi s’agit-il ?
Si une action est considérée comme pouvant ou non se réaliser, désirée ou doutée, on
utilise le subjonctif : Je doute qu’il vienne avant le déjeuner, c’est un lève-tard.
D’une manière générale, le subjonctif apparaît après des verbes exprimant un Doute, un
Ordre, une Volonté ou une Emotion (souvenez-vous des initiales DOVE) : Il doute que tu
dises la vérité. J’ordonne que la séance soit levée. Je veux que tu viennes avec moi. Tu es
furieuse qu’elle ne fasse pas plus d’efforts.
Il comporte quatre temps : le présent, l’imparfait, le passé et le plus-que-parfait.

Le subjonctif passé
Le subjonctif passé se forme avec l’auxiliaire être ou avoir conjugué au présent du subjonctif +
participe passé.
être
que je sois, que tu sois, qu’il soit, que nous soyons, que
vous soyez, qu’ils soient
+ participe passé
avoir
que j’aie, que tu aies, qu’il ait, que nous ayons, que vous
ayez, qu’ils aient
• on utilise l’auxiliaire « avoir » après les verbes transitifs (ceux qui admettent un complément) : Crois-tu
qu’ils aient acheté une voiture ?
• on utilise « être » après les verbes intransitifs (ceux qui n’admettent pas de complément) : Je doute qu’elle
soit partie après son travail, après les verbes pronominaux : Pour sortir comme ça, je doute qu’ils se soient
regardés dans le miroir, et dans les tournures passives (où le sujet subit l’action) : Les gendarmes ne
croient pas que la maison ait été incendiée volontairement.
Subjonctif passé = temps composé ; il s’emploie dans une subordonnée dont la principale contient un verbe au
présent : Je ne pense pas qu’il ait perdu ses clés dans la rue.
= antériorité par rapport au moment de la principale (Je ne pense pas [aujourd’hui] qu’il ait perdu ses clefs
[hier] dans la rue.).

Le subjonctif imparfait
type de verbe terminaisons exemple
1er groupe asse, asses, ât, assions, assiez, assent
que j’aimasse, que tu aimasses, qu’il aimât, que nous
aimassions, que vous aimassiez, qu’ils aimassent
2ème groupe isse, isses, ît, issions, issiez, issent
que je finisse, que tu finisses, qu’il finît, que nous finissions,
que vous finissiez, qu’ils finissent
3ème groupe
1er modèle : isse, isses, ît, issions, issiez, issent
que je prisse, que tu prisses, qu’il prît, que nous prissions,
que vous prissiez, qu’ils prissent
2ème modèle : usse, usses, ût, ussions, ussiez, ussent
que je courusse, que tu courusses, qu’il courût, que nous
courussions, que vous courussiez, qu’ils courussent
être que je fusses, que tu fusses, qu’il fût, que nous fussions, que vous fussiez, qu’ils fussent
avoir que j’eusse, que tu eusses, qu’il eût, que nous eussions, que vous eussiez, qu’ils eussent

Le subjonctif imparfait
Si l’on ignore quel modèle de conjugaison choisir au 3ème groupe, on peut essayer de retrouver quelle voyelle
on trouve à la 3ème personne du singulier au passé simple, c’est très souvent la même.
L’imparfait du subjonctif n’est plus du tout utilisé de nos jours ; on le trouve uniquement à l’écrit, dans le
cadre du respect strict de la concordance des temps. Quand le verbe de la principale est à un temps du
passé et que celui de la subordonnée se situe dans la même période de temps, l’usage voulait qu’on utilise
le subjonctif imparfait :
Il voulait qu’on prît le temps de s’expliquer. Aujourd’hui on écrit : Il voulait qu’on prenne le temps de
s’expliquer.

Agnès Spaëth
ACOATAXA
La phrase
Le subjonctif dans les subordonnées
circonstancielles

Rappel
Au sein de la phrase complexe, la subordination = une relation qui unit, à l’intérieur de la
phrase, des propositions qui ne sont pas de même niveau et dont l’une (la subordonnée)
dépend de l’autre (la principale).
Les propositions subordonnées circonstancielles jouent le rôle d’un complément
circonstanciel et apportent des précisions quant à la façon dont l’action se déroule
(temps, cause, but, moyen, manière, concession, comparaison, etc.)

Dans quels cas rencontre-t-on le subjonctif dans des circonstancielles ?
proposition subordonnée circonstancielle de temps : quand on souhaite exprimer l’antériorité : avant que (+
subjonctif, parce que l’action n’a pas encore eu lieu et qu’elle pourrait ne pas advenir), jusqu’à ce que, en
attendant que (+ subjonctif)
Avant que tu partes ton père souhaiterait te parler.
proposition subordonnée circonstancielle de but : elle est introduite par un certain nombre de conjonctions de
subordination qui sont toutes suivies du subjonctif (pour une raison logique : c’est le mode des actions
considérées comme incertaines). Quand l’action de la subordonnée est souhaitée, on utilise afin que, pour que,
que.
J’ai porté la voiture au garage afin que le mécanicien inspecte le carburateur.
Il a acheté le pain pour que tu n’aies pas à ressortir.
Approche, que j’arrange ta cravate.
Quand l’action de la subordonnée n’est pas souhaitée, ou que l’on veut l’éviter, on utilise de peur que, de
crainte que.
Ferme la fenêtre, de peur qu’il ne pleuve à l’intérieur.
Il est parti du travail plus tôt, de crainte que l’autoroute ne soit fermée à cause de la neige.

proposition subordonnée circonstancielle de conséquence : quand elle est introduite par une conjonction de
subordination suivie d’un verbe au subjonctif : de façon que, sans que, en sorte que, de manière que, trop
(assez)… pour que
Elle est trop impliquée dans cette histoire pour que je puisse lui faire confiance.
Lorsque la principale est négative, la proposition subordonnée de conséquence est au subjonctif : Il n’est pas si
gentil qu’il ne puisse pas parfois dire des méchancetés.
proposition subordonnée circonstancielle de condition : quand elle est introduite par une conjonction de
subordination suivie d’un verbe au subjonctif : à supposer que, pourvu que, à condition que, en admettant que,
soit que… soit que, à moins que, pour peu que, que
Ne revenez pas, à moins que cette fois votre dossier soit complet.

proposition subordonnée circonstancielle de concession, introduite par :
- des conjonctions de subordination suivies du subjonctif : quoique, bien que, loin que, encore que, malgré le fait
que (« malgré que » est considéré comme incorrect)
Bien qu’il soit de petite taille, il a une force remarquable.
Il a une force remarquable, malgré le fait qu’il soit de petite taille.
- les conjonctions de subordination quelque… que, si… que employées avec un adjectif ou un adverbe, également
suivies du subjonctif
Quelque timide qu’il soit, il doit trouver le courage d’aller vers les autres.
- la conjonction de subordination quelque… que employée avec un nom, également suivie du subjonctif
Quelque maladresse qu’il ait commise, il peut encore présenter ses excuses.
Remarque : seule la proposition subordonnée circonstancielle de cause introduite par non que est au subjonctif :
Il est en retard, non qu’il soit négligent, mais il a été bloqué par une manifestation d’agriculteurs.

Agnès Spaëth
ACOATAXA
La phrase
Les emplois du conditionnel (modal et temporel)

Rappel
Le conditionnel est un temps très facile à conjuguer : on utilise le radical du futur de l’indicatif
auquel on ajoute les terminaisons de l’imparfait (ais, ais, ait, ions, iez, aient) : je prendrais, tu
prendrais, il prendrait, nous prendrions, vous prendriez, ils prendraient.
Le conditionnel comporte un temps simple (présent) et deux temps composés (passé première
forme et passé deuxième forme).

Quel est l’emploi modal du conditionnel ?
Le mode est une façon de conjuguer le verbe, étroitement liée au regard que l’on porte sur l’événement. Par
exemple l’indicatif est utilisé pour une action qui prend objectivement place dans la réalité ; en revanche si
l’action est considérée comme éventuelle, imaginaire, ou soumise à l’existence d’un autre fait, on utilise le
conditionnel : Il serait vraiment agréable à vivre s’il n’était pas si susceptible. La voiture n’aurait pas respecté la
priorité.
C’est notamment le cas dans le système hypothétique :
conditionnel présent = fait possible
dans l’avenir
indicatif imparfait
Si tu venais demain, je serais très
heureuse.
conditionnel présent = fait
impossible présentement
indicatif imparfait Si je le savais, je vous le dirais.
conditionnel passé = fait qui n’a pas
pu avoir lieu dans le passé
indicatif plus-que-parfait
Si tu avais pu venir, j’aurais été très
heureuse.

Quel est l’emploi modal du conditionnel ?
C’est cette même valeur que l’on trouve quand le conditionnel est utilisé par politesse, pour atténuer une
demande : Je voudrais savoir si je peux m’asseoir ici.
Ce mode sert également à exprimer une supposition : Ce sont les fortes pluies de la semaine dernière qui
auraient entraîné un glissement de terrain.

Quel est l’emploi temporel du conditionnel ?
C’est un emploi qui n’est dû qu’à la concordance des temps : c’est un futur vu à partir d’un moment situé dans
le passé. Quand le verbe de la principale est au passé, et que la proposition subordonnée complétive exprime
un fait qui prend place à un moment ultérieur, la concordance des temps va entraîner un passage au
conditionnel.
Il pense qu’elle viendra. -> Il pensait qu’elle viendrait.

Agnès Spaëth
ACOATAXA
La phrase
Le mode de construction du verbe

Rappel
La construction d’un verbe est la manière dont le complément du verbe se rattache à celui-ci.
Parfois le verbe ne peut avoir aucun complément, parfois il peut en recevoir un, deux ou trois,
dans le cadre d’une construction directe ou indirecte.

Quelles sont les différentes possibilités ?
verbe intransitif : il n’admet pas de complément, il exprime une action limitée au sujet, et qui ne passe sur aucun
objet : aboyer, apparaître, bâiller, baver, caracoler, cohabiter, défiler, dérailler sont des verbes intransitifs. Les seuls
compléments qu’ils admettent sont des compléments circonstanciels.
Jules part la semaine prochaine.
Un même verbe peut avoir une construction intransitive (Il court vite) et une construction transitive (Il court le
marathon).
verbe transitif : il admet un complément d’objet.
* quand il n’est pas suivi d’une préposition, on dit que c’est un transitif direct, et il a pour complément un COD
(complément d’objet direct) :
Mathilde brosse son chat.
* quand il est suivi d’une préposition (à, de, pour, contre), on dit que c’est un transitif indirect, et il a pour
complément un COI (complément d’objet indirect) :
Mon père parle à la voisine.

Quelles sont les différentes possibilités ?
verbe transitif suivi de deux compléments :
COD + COI = le COI est appelé COS, complément d’objet second (parce qu’il vient après un premier complément
d’objet, le COD).
Il offre des fleurs à son épouse.
COI + COI = le deuxième COI est également un COS
Elle a parlé de son copain à ses parents.
verbe transitif suivi de trois compléments : COD + COI + COI (les COI sont des COS)
J’ai acheté une voiture à ton cousin pour ma fille.
Il y a très peu de verbes qui admettent trois compléments : acheter quelque chose à quelqu’un, traduire quelque
chose en une langue, échanger quelque chose à quelqu’un contre autre chose.

Agnès Spaëth
ACOATAXA
Rédiger sans fautes d’orthographe
Niveau expert

Quels étaient les objectifs de la formation ?
▪ Ne pas confondre les différentes natures de « que »
▪ Ecrire au pluriel des adjectifs de couleur
▪ Ecrire les nombres
▪ Savoir conjuguer au subjonctif au passé et à l’imparfait
▪ Connaître les emplois du conditionnel
▪ Connaître le mode de construction du verbe.

Comment utiliser cette formation ?
La partie théorique vous a permis de revoir vos bases.
Des exercices d’application vous ont permis de mettre en pratique les règles revues lors des
modules théoriques.
Revenez à ces règles aussi souvent que vous en éprouvez le besoin, de manière à les intégrer de
manière naturelle, et écrivez dès que vous en avez l’occasion pour mettre en œuvre vos
nouvelles connaissances.

Et ensuite ?
Il vous appartient désormais de continuer à mettre en œuvre au quotidien les
connaissances que vous avez acquises.
Pour ce faire, lisez, écrivez, exprimez-vous dans cette belle langue…
J’ai été très heureuse de vous accompagner sur ce chemin !
Agnès Spaëth
ACOATAXA

Support formation vidéo : Rédiger sans fautes d'orthographe / Niveau expert

Recommandé

Recommandé

Contenu connexe

Tendances

Tendances (8)

Similaire à Support formation vidéo : Rédiger sans fautes d'orthographe / Niveau expert

Similaire à Support formation vidéo : Rédiger sans fautes d'orthographe / Niveau expert (16)

Plus de SmartnSkilled

Plus de SmartnSkilled (20)

Dernier

Dernier (20)

Support formation vidéo : Rédiger sans fautes d'orthographe / Niveau expert