2. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Plan de la session
L’observatoire du e-management
Vers l’entreprise numérique ? (H. Isaac)
e-management et stratégie. (M. Kalika)
TIC et organisation.(E. Josserand)
Le cas IBM (J. Delplancq)
Discussion
3. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
L’observatoire du e-management.
Créé avec la Cegos en 2001.
Programme de recherche sur 5 ans.
Objectifs:
Degré de numérisation des entreprises.
Modifications managériales.
Modifications des compétences individuelles des salariés et des
managers.
Méthodologie:
2 enquêtes annuelles par questionnaires.
Entreprises n=500.
Salariés n = 2000 à 3000.
Monographies + études de cas.
4. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
La recherche et l’observatoire.
Limites méthodologiques.
La difficulté des comparaisons
temporelles.
Des données sur les perceptions.
Politique de recherche.
L’utilisation pour des publications
académiques.
La dynamique de recherche autour de
l’observatoire.
Diffusion de la recherche.
www.observatoireemanagement.com
Ouvrage Paru en Janvier 2002.
6. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Du management au e-management
Système
d’information
Processus de finalisation
Processus d’organisation
Processus d’animation
Processus de contrôle
Le e-management
Processus clients
Processus partenaires
Processus fournisseurs
7. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Une représentation de l’entreprise numérique.
Office
Automation
System
Transactionnal
Processing
System
Decision
Support
System
Executive
Information
System
SCM CRM
E-commerce
Intranet
Datawarehouse
ERP
Fournisseurs Clients
Groupware
KM
8. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Eléments du BV Salariés Entreprises
Ordinateur de bureau 99,1 % n.a.
Ordinateur portable 31,4 % n.a.
Assistant personnel numérique 15,9 % n.a.
Accès Internet 87,3 % 90,3 %
Courrier électronique 92,4 % 91, 3 %
Intranet 80,5 % 43 %
Agenda Partagé 62,6 % 48,8 %
Travail collaboratif à distance 55,6 % 51,8 %
Les éléments du bureau virtuel.
9. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Un taux d’équipement en ERP de 48 %.
Un taux d’utilisation de l’EDI de 43% pour la facturation, de 35% pour paiement
des fournisseurs, 25% pour le réassortiment automatique des stocks.
Equipement d’une application de CRM 25%.
Approvisionnement en ligne: 26 %.
Site de commerce électronique 25 %;
Interconnexion de ce site avec le reste du système d’information : 18%.
37% utilise les informations pour personnaliser la relation avec le client.
Des transactions électroniques.
10. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
E-management ?
La présence des outils ne suffit pas à définir l’entreprise
numérique.
e-management :l’intégration des opportunités et des
contraintes offertes par les outils dans le management.
e traduit le caractère stratégique de ces outils.
12. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Le caractère stratégique des NTIC
Les TIC, enjeu stratégique?
*n=3216 salariés **n=514 entreprises *** n=505
Enquête salariés*
2001
Enquête
entreprises** 2001
Enquête
entreprises*** 2002
D’accord 78% 54% 55%
Moyennement
d’accord
14% 22% 25%
Pas d’accord 8% 24% 20%
13. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Le caractère stratégique des NTIC
14. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Le caractère stratégique des NTIC
15. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Partage d’information facilité et TIC stratégiques
16. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Les réunions sont moins fréquentes & TIC stratégiques
17. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Amélioration de la circulation de l’information inter-services et TIC
stratégiques.
18. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
L’introduction des TIC a-t-elle engendré des changements de
stratégie?
0
5
10
15
20
25
30
35
40
d'accord
moyennement d'accord
pas d'accord
19. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
L’introduction des TIC a-t-elle engendré des changements profonds
dans votre organisation?
27
28
29
30
31
32
33
34
35
d'accord
moyennement d'accord
pas d'accord
20. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Les outils informatiques sont-ils en adéquation avec la
stratégie?
0
10
20
30
40
50
60
70
d'accord
moyennement d'accord
pas d'accord
21. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Les TIC constituent-elles un avantage concurrentiel?
0
5
10
15
20
25
30
35
40
45
50
d'accord
moyennement d'accord
pas d'accord
22. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Les TIC, permettent-elles le passage d’une relation de confrontation
avec les fournisseurs à une logique collaborative?
0
10
20
30
40
50
60
d'accord
moyennement d'accord
pas d'accord
24. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
TIC et organisation
Big brother…
… ou la cité
Quelle utilisation des TIC ?
25. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
TIC et organisation
Plus de pression ?
L’évolution du contrôle hiérarchique
Des exigences accrues
Plus de partage ?
Quelle utilisation horizontale des TIC ?
Circulation de l’information et gestion des connaissances
26. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
L’application des décisions
L’agenda partagé ne permet pas d’imposer une réunion
à un collaborateur (72% E)
Les étapes d’un processus ne font généralement pas
l’objet d’une validation en ligne (66% E)
Les orientations stratégiques ne sont pas
communiquées sous format électronique (72% E)
27. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Les échanges entre niveaux hiérarchiques
Le manager obtient une meilleure visibilité du
planning de ses collaborateurs (35% S)
Le salarié doit être davantage capable d’appliquer
des procédures (47% S)
La circulation de l’information avec la hiérarchie
s’est améliorée (52% S)
28. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Le contrôle de l’activité
Seulement 14% (E) d’utilisation du système
d’information pour le suivi individuel
Seulement 17% (E) d’utilisation des données du poste
de travail sont utilisées pour contrôler l’activité effective
Les mails ne font l’objet d’un contrôle systématique que
dans 13% (E) des entreprises.
29. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Des exigences accrues pour les salariés
Diffuser de l’information : 76%
Savoir trouver de l’information : 71%
Prendre en compte les données à court terme : 68%
Contrôler la fiabilité de l’information : 66%
Etre à l’écoute de l’environnement : 64%
Modifier la façon d’exercer mon métier : 62%
Prendre en compte des données issues d’autres
services : 62%
30. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Plus de partage ?
Quelle utilisation horizontale des TIC ?
Circulation de l’information et gestion des
connaissances
31. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Vers un travail plus transversal
40% (S) des salariés interrogés considèrent disposer de
davantage de liberté dans l’organisation de leur travail.
Cet aspect est significativement relié avec un
accroissement du travail en groupe ou en équipe (29% S).
32. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Une meilleure coordination
Une meilleure coordination entre les services (37% E).
Des réunions moins fréquentes pour seulement 14%
(S) des salariés interrogés.
Une communication facilitée dans les groupes de projet
(52% S).
33. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Une information mieux partagée
Pour 65% (S) des salariés, la circulation de
l’information en interne s’est améliorée
76% (S) des salariés interrogés indiquent partager
davantage leur information
Pour 70% (S) des salariés interrogés les autres
partagent davantage avec eux
34. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Gestion des connaissances
Une faible utilisation des TIC pour la gestion des
connaissances:
Meilleures pratiques : 19% (E)
Solution à un problème mis en ligne : 18% (E)
Mise en ligne des travaux de groupes : 16% (E)
Une utilisation pour contacter la personne la plus
experte sur un sujet : 37%.
35. AIMS, PARIS 6 juin 2002.
Conclusion
Le choix du modèle souple est dominant.
Un choix différent pour plus d’une entreprise sur dix.
Les salariés doivent développer des compétences liées au
traitement de l’information.
L’utilisation des outils de gestion des connaissance est
encore marginale.
Un effet majeur dans les secteurs informatique et
télécommunication et dans les entreprises organisées par
projet.