L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre dans le région Centre.
L’emploi cadre dans le Centre apparaît fortement polarisé sur 2 des 21 zones d’emploi qui la composent.
Les zones d’emploi d’Orléans et de Tours concentrent en effet plus de la moitié des cadres du privé. Ce taux atteint 80 % en ajoutant les zones de Chartres, Blois, Bourges et Châteauroux. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité : les activités informatiques dans la zone d’emploi d’Orléans, la fabrication de produits électroniques dans celle de Tours, l’industrie chimique pour Chartres...
La réforme territoriale en cours pourrait influer sur le positionnement de la région. Le Centre, qui conserverait son périmètre, deviendrait ainsi l’avant-dernière région métropolitaine pour le nombre d’habitants et le nombre de
salariés. Sur le 13 futures régions de l’Hexagone, elle occuperait le 11e rang pour le nombre de cadres du privé, continuant de réunir 3,2 % des effectifs de cadres.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en LorraineApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Lorraine.
L’emploi cadre en Lorraine apparaît polarisé sur 2 des 15 zones d’emploi qui la composent : Nancy et Metz concentrent plus de 58 % des cadres du privé. L’ancrage industriel fort de la région se retrouve dans la quasi-totalité des zones d’emploi, en dehors de Nancy qui se singularise par une spécificité marquée en R&D. Il n’en demeure pas moins que les zones d’emploi régionales avec des spécificités sectorielles industrielles prononcées dans la métallurgie ou encore l’automobile doivent poursuivre leur mutation pour accroître leur attractivité. La réforme territoriale confortera le caractère industriel de la région lors du regroupement avec l’Alsace et la Champagne-Ardenne.
Le redécoupage territorial placera la future région au 6e rang des 13 nouveaux espaces régionaux en termes de population et d’emplois cadres. La future région réunira 6,7 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Cartographie et analyse territoriale des offres d'emploi par sec...Apec
Les opportunités d’emploi pour les cadres sont très concentrées sur le territoire. Sur les 322 bassins d’emploi de France métropolitaine, 20 regroupent 70 % des offres d’emploi cadres diffusées sur apec.fr en 2016 ; à lui seul le bassin d’emploi de Paris concentre un tiers des offres. La concentration globale des offres d’emploi cadre est liée aux poids des secteurs activités informatiques, conseil-gestion des entreprises et ingénierie-R&D. Ces secteurs représentent 40 % des offres publiées par l’Apec en 2016 et ces opportunités sont concentrées majoritairement dans les métropoles.
Dans d’autres secteurs, en particulier dans l’industrie, des bassins d’emploi de taille plus modeste tirent leur épingle du jeu et proposent de réelles opportunités pour les cadres. Ainsi, l’analyse permet de dégager 4 groupes de secteurs.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Franche-ComtéApec
L'édition 2015 de l'étude de lApec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Franche-Comté.
L’emploi cadre en Franche-Comté apparaît fortement polarisé sur 2 des 9 zones d’emploi qui la composent.
La zone d’emploi de Belfort - Montbéliard - Héricourt réunit à elle seule 41 % de l’emploi cadre, celle de Besançon en concentre 30 %. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité. Les activités liées aux transports (notamment l’industrie automobile) et à l’énergie y sont bien implantées. Leur importance pourrait se voir renforcée avec la réforme territoriale et le regroupement de la Franche-Comté et de la Bourgogne, également positionnée sur ces secteurs. Le redécoupage territorial placera la future région Bourgogne / Franche-Comté au 11e rang des 13 nouveaux espaces régionaux en termes de population et d’emplois salariés, au 12e rang pour les emplois cadres. La future région rassemblera en tout 3 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Basse-NormandieApec
Edition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Basse-Normandie.
L’emploi cadre en Basse-Normandie apparaît fortement
polarisé sur 2 des 15 zones d’emploi qui la composent. La zone d’emploi de Caen concentre à elle seule près de la moitié des cadres du privé.
Celle de Cherbourg-Octeville en mobilise, de son côté, 15 %. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité : les transports dans la zone d’emploi de Caen, la construction navale et l’énergie dans celle de Cherbourg-Octeville. Le poids de ces filières pourrait d’ailleurs se voir renforcé avec la réforme territoriale et le rapprochement de la Basse-Normandie avec la Haute-Normandie, également bien positionnée sur
ces thématiques. La Normandie réunie se placera au 9e rang des 13 nouvelles régions, que ce soit pour la population, le volume d’emplois salariés ou le nombre de cadres. Elle regroupera 3,8 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres dans les Hauts-de...Apec
Si l’économie des Hauts-de-France n’a pas été épargnée par la crise, elle peut s’appuyer sur de nombreux atouts
Les entreprises de la région sont confrontées à des difficultés de différentes natures.
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en LimousinApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Limousin.
L’emploi cadre du privé en région Limousin apparaît polarisé sur une seule de ses cinq zones d’emploi. En effet, six cadres du Limousin sur dix se concentrent sur la zone d’emploi de Limoges. Brive-la-Gaillarde regroupe, de son côté, plus de 20 % des cadres régionaux. Région très rurale, le Limousin peut compter sur quelques filières
emblématiques, comme la fabrication d’équipements
électriques, garantes de son attractivité.
Ses spécificités sectorielles pourraient d’ailleurs se voir renforcées avec la réforme territoriale. Regroupée avec l’Aquitaine et Poitou-Charentes, la région Limousin intègre un vaste ensemble qui figure parmi les plus importants des 13 nouveaux espaces régionaux. La future région Aquitaine / Limousin / Poitou-Charentes se placera en effet
au 4e rang en termes de population et d’emplois salariés, au 7e pour les emplois cadres. Elle réunira 6,4 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Poitou-CharentesApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Poitou-Charentes.
L’emploi cadre en Poitou-Charentes apparaît polarisé sur 4 des 13 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi de Poitiers, Niort, La Rochelle et Angoulême concentrent en effet près des trois quarts des cadres du privé. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces territoires renforcent leur attractivité, que ce soit l’assurance à Niort, la fabrication de matériels de transport à La Rochelle ou encore les équipements électriques à Angoulême.
Les filières stratégiques régionales pourraient se voir renforcées avec la réforme territoriale et le regroupement de Poitou-Charentes avec l’Aquitaine et le Limousin. La future région figurera parmi les plus importants des 13 nouveaux espaces régionaux, prenant la 4e place pour le nombre d’habitants et le volume d’emplois salariés. Elle occupera le 7e rang pour les emplois cadres, réunissant 6,4 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en AquitaineApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Aquitaine.
L’emploi cadre en Aquitaine apparaît fortement polarisé sur 3 des 15 zones d’emploi qui la composent.
Les zones d’emploi de Bordeaux, Pau et Bayonne concentrent en effet les trois quarts des cadres du privé. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité. Bien implantées dans ces trois zones, la chimie durable, l’optique ou l’aéronautique figurent parmi les domaines stratégiques d’innovation de la région. Leur dynamisme pourrait se renforcer avec la réforme territoriale et le rapprochement entre l’Aquitaine, le Limousin et Poitou-Charentes, également positionnées sur certaines de ces filières. Le
redécoupage territorial placera d’ailleurs la future région au 4e rang des 13 futurs espaces régionaux en termes de population et d’emplois salariés, au 7e pour les emplois cadres. La future région réunira 6,4 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en LorraineApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Lorraine.
L’emploi cadre en Lorraine apparaît polarisé sur 2 des 15 zones d’emploi qui la composent : Nancy et Metz concentrent plus de 58 % des cadres du privé. L’ancrage industriel fort de la région se retrouve dans la quasi-totalité des zones d’emploi, en dehors de Nancy qui se singularise par une spécificité marquée en R&D. Il n’en demeure pas moins que les zones d’emploi régionales avec des spécificités sectorielles industrielles prononcées dans la métallurgie ou encore l’automobile doivent poursuivre leur mutation pour accroître leur attractivité. La réforme territoriale confortera le caractère industriel de la région lors du regroupement avec l’Alsace et la Champagne-Ardenne.
Le redécoupage territorial placera la future région au 6e rang des 13 nouveaux espaces régionaux en termes de population et d’emplois cadres. La future région réunira 6,7 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Cartographie et analyse territoriale des offres d'emploi par sec...Apec
Les opportunités d’emploi pour les cadres sont très concentrées sur le territoire. Sur les 322 bassins d’emploi de France métropolitaine, 20 regroupent 70 % des offres d’emploi cadres diffusées sur apec.fr en 2016 ; à lui seul le bassin d’emploi de Paris concentre un tiers des offres. La concentration globale des offres d’emploi cadre est liée aux poids des secteurs activités informatiques, conseil-gestion des entreprises et ingénierie-R&D. Ces secteurs représentent 40 % des offres publiées par l’Apec en 2016 et ces opportunités sont concentrées majoritairement dans les métropoles.
Dans d’autres secteurs, en particulier dans l’industrie, des bassins d’emploi de taille plus modeste tirent leur épingle du jeu et proposent de réelles opportunités pour les cadres. Ainsi, l’analyse permet de dégager 4 groupes de secteurs.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Franche-ComtéApec
L'édition 2015 de l'étude de lApec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Franche-Comté.
L’emploi cadre en Franche-Comté apparaît fortement polarisé sur 2 des 9 zones d’emploi qui la composent.
La zone d’emploi de Belfort - Montbéliard - Héricourt réunit à elle seule 41 % de l’emploi cadre, celle de Besançon en concentre 30 %. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité. Les activités liées aux transports (notamment l’industrie automobile) et à l’énergie y sont bien implantées. Leur importance pourrait se voir renforcée avec la réforme territoriale et le regroupement de la Franche-Comté et de la Bourgogne, également positionnée sur ces secteurs. Le redécoupage territorial placera la future région Bourgogne / Franche-Comté au 11e rang des 13 nouveaux espaces régionaux en termes de population et d’emplois salariés, au 12e rang pour les emplois cadres. La future région rassemblera en tout 3 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Basse-NormandieApec
Edition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Basse-Normandie.
L’emploi cadre en Basse-Normandie apparaît fortement
polarisé sur 2 des 15 zones d’emploi qui la composent. La zone d’emploi de Caen concentre à elle seule près de la moitié des cadres du privé.
Celle de Cherbourg-Octeville en mobilise, de son côté, 15 %. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité : les transports dans la zone d’emploi de Caen, la construction navale et l’énergie dans celle de Cherbourg-Octeville. Le poids de ces filières pourrait d’ailleurs se voir renforcé avec la réforme territoriale et le rapprochement de la Basse-Normandie avec la Haute-Normandie, également bien positionnée sur
ces thématiques. La Normandie réunie se placera au 9e rang des 13 nouvelles régions, que ce soit pour la population, le volume d’emplois salariés ou le nombre de cadres. Elle regroupera 3,8 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres dans les Hauts-de...Apec
Si l’économie des Hauts-de-France n’a pas été épargnée par la crise, elle peut s’appuyer sur de nombreux atouts
Les entreprises de la région sont confrontées à des difficultés de différentes natures.
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en LimousinApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Limousin.
L’emploi cadre du privé en région Limousin apparaît polarisé sur une seule de ses cinq zones d’emploi. En effet, six cadres du Limousin sur dix se concentrent sur la zone d’emploi de Limoges. Brive-la-Gaillarde regroupe, de son côté, plus de 20 % des cadres régionaux. Région très rurale, le Limousin peut compter sur quelques filières
emblématiques, comme la fabrication d’équipements
électriques, garantes de son attractivité.
Ses spécificités sectorielles pourraient d’ailleurs se voir renforcées avec la réforme territoriale. Regroupée avec l’Aquitaine et Poitou-Charentes, la région Limousin intègre un vaste ensemble qui figure parmi les plus importants des 13 nouveaux espaces régionaux. La future région Aquitaine / Limousin / Poitou-Charentes se placera en effet
au 4e rang en termes de population et d’emplois salariés, au 7e pour les emplois cadres. Elle réunira 6,4 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Poitou-CharentesApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Poitou-Charentes.
L’emploi cadre en Poitou-Charentes apparaît polarisé sur 4 des 13 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi de Poitiers, Niort, La Rochelle et Angoulême concentrent en effet près des trois quarts des cadres du privé. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces territoires renforcent leur attractivité, que ce soit l’assurance à Niort, la fabrication de matériels de transport à La Rochelle ou encore les équipements électriques à Angoulême.
Les filières stratégiques régionales pourraient se voir renforcées avec la réforme territoriale et le regroupement de Poitou-Charentes avec l’Aquitaine et le Limousin. La future région figurera parmi les plus importants des 13 nouveaux espaces régionaux, prenant la 4e place pour le nombre d’habitants et le volume d’emplois salariés. Elle occupera le 7e rang pour les emplois cadres, réunissant 6,4 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en AquitaineApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Aquitaine.
L’emploi cadre en Aquitaine apparaît fortement polarisé sur 3 des 15 zones d’emploi qui la composent.
Les zones d’emploi de Bordeaux, Pau et Bayonne concentrent en effet les trois quarts des cadres du privé. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité. Bien implantées dans ces trois zones, la chimie durable, l’optique ou l’aéronautique figurent parmi les domaines stratégiques d’innovation de la région. Leur dynamisme pourrait se renforcer avec la réforme territoriale et le rapprochement entre l’Aquitaine, le Limousin et Poitou-Charentes, également positionnées sur certaines de ces filières. Le
redécoupage territorial placera d’ailleurs la future région au 4e rang des 13 futurs espaces régionaux en termes de population et d’emplois salariés, au 7e pour les emplois cadres. La future région réunira 6,4 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Centre-Val de ...Apec
En 2020, l’économie en Centre-Val de Loire n’a pas été épargnée par la crise mais retrouve progressivement des couleurs
Les entreprises de Centre-Val de Loire sont confrontées à des difficultés de recrutement de différentes natures
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Languedoc-RoussillonApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Languedoc-Roussillon.
L’emploi cadre en Languedoc-Roussillon apparaît fortement polarisé sur 1 seule des 18 zones d’emploi qui la composent. En effet, la zone d’emploi de Montpellier concentre 44 % des cadres du privé de la région. En ajoutant les zones d’emploi de Nîmes et de Perpignan, ce taux atteint presque 70 %. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité. Montpellier, en particulier, se caractérise par une forte spécificité dans les activités informatiques et la R&D. Leur dynamisme pourrait se renforcer avec le rapprochement de Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées. Le redécoupage territorial placera d’ailleurs la nouvelle région parmi les plus importants des 13 futurs
espaces régionaux. Le futur ensemble constitué se situera au 5e rang des 13 nouvelles régions en termes de nombre de cadres du privé. Il regroupera 7 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Midi-PyrénéesApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Midi-Pyrénées.
L’emploi cadre en Midi-Pyrénées apparaît fortement polarisé sur 1 seule des 16 zones d’emploi qui la composent. En effet, la zone d’emploi de Toulouse concentre à elle seule plus de 75 % des cadres du privé de la région. Avec près de 100 000 cadres, Toulouse est la 4e zone d’emploi la plus importante de France pour les effectifs cadres. De surcroît, le territoire toulousain possède des spécificités sectorielles fortes qui contribuent à son attractivité : R&D, aéronautique, industries de la santé... L’attractivité de Midi-Pyrénées pourrait s’intensifier avec la réforme territoriale et le rapprochement prévu avec
le Languedoc-Roussillon. Le futur ensemble constitué se situera au 5e rang des 13 nouvelles régions en termes de population et de nombre de cadres du privé. La future région regroupera 7 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Ile-de-FranceApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Ile-de-France.
L’emploi cadre en Île-de-France apparaît fortement polarisé sur la zone d’emploi de Paris qui concentre, à elle seule, près des trois quarts des cadres du privé. Ce taux dépasse les 85 % en ajoutant les zones de Saclay et de Roissy - Sud Picardie. La richesse et la diversité du tissu économique de ces territoires les rendent très attractifs. Cette attractivité est renforcée, de surcroît, par certaines spécificités sectorielles : les services qualifiés pour Paris,
la fabrication de produits électroniques ou l’automobile à Saclay, les transports aériens pour Roissy -Sud Picardie… La réforme territoriale ne modifiera pas le positionnement de la région. L’Île-de-France sera toujours largement en tête des classements régionaux tant sur le plan démographique qu’économique.
Avec 35 % des effectifs de cadres du privé, elle devancera très largement les 12 autres nouvelles régions de l’Hexagone.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Pays de la LoireApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Pays de la Loire.
L’emploi cadre du privé dans les Pays de la Loire apparaît
fortement polarisé sur 3 des 20 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi de Nantes, Angers et Le Mans concentrent en effet plus des deux tiers des cadres du privé. Ce taux dépasse les 80 % en ajoutant les zones de Saint-Nazaire, Laval et La-Roche-sur-Yon.
Les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité : les activités informatiques à
Nantes, l’assurance au Mans, l’aéronautique-construction
navale à Saint-Nazaire...
La réforme territoriale influera sur le positionnement de la région. Ainsi, les Pays de la Loire, qui conserveront leur périmètre, se classeront au 8e rang des 13 nouvelles régions métropolitaines que ce soit pour le nombre d’habitants, le volume de salariés ou pour le nombre de cadres du privé. La région continuera de réunir 4,5 % des cadres du privé de l’Hexagone.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en BourgogneApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Bourgogne.
Les effectifs cadres du privé en Bourgogne apparaissent
fortement polarisés sur 3 des 16 zones d’emploi qui la
composent. La zone d’emploi de Dijon réunit 40 % de
l’emploi cadre régional et celles de Chalon-sur-Saône et
d’Auxerre plus de 20 % à elles deux.
Implantées de part et d’autre du territoire, les activités liées à la métallurgie de pointe, à la mécanique ou aux
équipements électriques figurent parmi les principaux domaines de spécificité de l’économie bourguignonne.
Leur importance, associée à celle des transports, pourrait
se voir renforcée avec la réforme territoriale et le regroupement de la Bourgogne et de la Franche-Comté.
Le redécoupage territorial placera la future région Bourgogne / Franche-Comté au 11e rang des 13 nouveaux
espaces régionaux en termes de population et d’emplois
salariés, et au 12e rang pour les emplois cadres. La future région rassemblera au global 3 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en AuvergneApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Auvergne.
L’emploi cadre en Auvergne est fortement polarisé sur la seule zone d’emploi de Clermont-Ferrand. Elle regroupe six cadres auvergnats sur dix. Parmi les 12 autres zones d’emploi d’Auvergne, seules celles de Vichy et de Montluçon regroupent plus de 5 % des cadres régionaux (respectivement 7 % et 6 %).
De surcroît, les spécificités sectorielles de Clermont-Ferrand renforcent son attractivité. Les activités liées à la R&D et à l’ingénierie y sont notamment bien implantées. Leur importance pourrait se renforcer avec la réforme territoriale et le rattachement de l’Auvergne à Rhône-Alpes, également bien positionnée sur ces secteurs.
Le redécoupage territorial placera d’ailleurs la région
Auvergne / Rhône-Alpes au 2e rang des 13 nouveaux
espaces régionaux en termes de population, d’emplois
salariés ou d’emplois cadres. La future région rassemblera en tout 12 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en PicardieApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Picardie.
L’emploi cadre en Picardie apparaît fortement polarisé sur 2 des 13 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi d’Amiens et de Roissy - Sud Picardie concentrent en effet 45 % des cadres du privé dans la région. Cette proportion atteint 75 % en rajoutant Compiègne et Beauvais, deux autres zones d’emploi d’importance pour la Picardie. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces
zones d’emploi renforcent leur attractivité : l’aéronautique
à Amiens, l’industrie automobile à Beauvais ou encore l’industrie chimique à Compiègne…
Avec la réforme territoriale et le regroupement de la Picardie et du Nord-Pas-de-Calais, la nouvelle région se placera parmi les plus importants des 13 futurs espaces régionaux : au 3e rang en termes de population comme pour le volume d’emplois salariés et les effectifs cadres. Elle réunira 7,4 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Nord-Pas-de-CalaisApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur attractivité et l'emploi cadre en région Nord-Pas-de-Calais.
L’emploi cadre en Nord-Pas-de-Calais apparaît fortement
polarisé sur 2 des 15 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi de Lille et de Roubaix - Tourcoing concentrent plus de la moitié des cadres du privé de la région. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité. L’informatique et les objets connectés à Lille ou la conception de matériaux nouveaux à Roubaix en sont des exemples.
Le dynamisme de la région pourrait se renforcer avec la
réforme territoriale et le regroupement de la Picardie et du Nord-Pas-de-Calais. Le redécoupage territorial placera
d’ailleurs la future région parmi les plus vastes et les plus importants des 13 nouveaux espaces régionaux. Elle occupera ainsi le 3e rang des régions françaises en termes de population, d’emplois salariés et d’emplois cadres. Elle réunira 7,4 % des cadres du privé de France
métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Champagne-ArdenneApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Champagne-Ardenne.
L’emploi cadre en Champagne-Ardenne apparaît fortement polarisé sur 2 des 7 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi de Reims et de Troyes concentrent en effet près de 60 % des cadres du privé. L’économie régionale repose sur un socle industriel fort. Dans certaines zones d’emploi, il est source d’attractivité. C’est notamment le cas de l’industrie agroalimentaire à Épernay et Reims. Le rapprochement de la Champagne-Ardenne avec l’Alsace et la Lorraine, deux régions également bien positionnées dans l’industrie, pourrait conforter cette dynamique. Le redécoupage territorial placera d’ailleurs la nouvelle région parmi les plus importants des 13 futurs espaces régionaux : au 6e rang
en termes de population et au 5e rang en termes d’emplois salariés. Elle figurera au 6e rang des régions métropolitaines pour l’emploi cadre, réunissant 6,7 % des cadres du privé.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres dans le Grand Est...Apec
En 2020, l’économie de la région Grand Est n’a pas été épargnée par la crise, mais en 2021, elle retrouve progressivement des couleurs
Les entreprises de la région sont confrontées à des difficultés de recrutement de différentes natures
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en AlsaceApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Alsace.
L’emploi cadre en Alsace apparaît fortement polarisé sur la zone d’emploi de Strasbourg. Elle concentre près de la moitié des cadres du privé. Cette proportion dépasse 75 % en ajoutant les zones d’emploi de Mulhouse et Colmar. Les spécificités sectorielles de ces territoires renforcent leur attractivité, comme les activités informatiques à Strasbourg ou l’automobile à Mulhouse. Les domaines des écotechnologies et de la santé sont également bien implantés dans la région. Leur dynamisme pourrait se renforcer avec le rapprochement de l’Alsace avec la Lorraine et Champagne-Ardenne.
Le redécoupage territorial placera d’ailleurs la nouvelle région parmi les plus importants des 13 futurs espaces régionaux : au 6e rang en termes de population et au 5e rang en termes d’emplois salariés. Elle figurera au 6e rang des régions métropolitaines pour l’emploi cadre, réunissant 6,7 % des cadres du privé.
Emploi Centre : baromètre Qapa pour la rentrée 2015Qapa.fr
La rentrée 2015 sera-t-elle bénéfique pour l'emploi ? Les chiffres du chômage vont-ils s'améliorer jusqu'au mois de décembre ? Si nous n'avons pas encore les réponses, voici un petit aperçu des tendances chiffrées de l'emploi pour la rentrée 2015 en région Centre.
Zone d'emplois de Lorient : quelles spécificités ? Communication AudéLor n°97...Marie-Julie Dupont-Boucher
Afin de dépasser les idées reçues sur l'économie du territoire, AudéLor a comparé la zone d’emploi de Lorient à 36 autres zones d’emploi, afin d’en dégager ses spécificités socio-démographiques et économiques.
La comparaison porte sur deux panels : un premier intégrant toutes les zones d’emploi bretonnes, et sur un second comprenant des zones d’emploi de taille comparable.
Au sommaire de cette étude :
- Les principales caractéristiques de la zone d’emploi de Lorient, intégrant le périmètre du nouveau pays de Lorient (Lorient Agglomération, CC Blavet Bellevue Océan et Quimperlé Communauté).
- Les spécificités démographiques et sociales de la zone d’emploi de Lorient : attractivité résidentielle, niveau d’éducation, CSP, inégalités, structure par âge…
- Les spécificités économiques : résistance à la crise, poids des industries, de la conception-recherche, des fonctions métropolitaines…
Etude Apec - Panorama 2019 de l'emploi cdare en Centre-Val de LoireApec
La vitalité du marché de l’emploi cadre observé au niveau national concerne également la région Centre-Val de Loire. Celle-ci se distingue en 2018 avec des recrutements cadres en hausse de 21 % par rapport à 2017 (contre 11 % pour l’ensemble de l’Hexagone). En 2019, le cap des 6 000 recrutements de cadres pourrait être de nouveau atteint, voire dépassé à la condition que les entreprises arrivent à trouver les profils et les compétences recherchés.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en BretagneApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Bretagne.
L’emploi cadre en Bretagne apparaît fortement polarisé sur 2 des 18 zones d’emploi qui la composent.
Les zones d’emploi de Rennes et de Brest concentrent en effet plus de la moitié des cadres du privé. Ce taux dépasse les 80 % en ajoutant les zones de Vannes, Quimper, Lorient et Saint-Brieuc. Les spécificités sectorielles de chacune de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité : l’industrie automobile et les technologies numériques à Rennes, le maritime à Brest...
La réforme territoriale en cours influera toutefois sur le positionnement de la région. La Bretagne, qui conserve son périmètre, deviendra ainsi l’une des régions les moins peuplées de l’Hexagone. Elle se placera aussi au 10e rang des 13 nouvelles régions métropolitaines que ce soit pour le nombre de salariés ou le nombre de cadres. La région
continuera de réunir 3,5 % des cadres du privé.
Etude Apec - Panorama 2019 de l'emploi cadre en OccitanieApec
Après une année 2018 en demi-teinte pour l’emploi cadre en Occitanie, à la fois marquée par la prudence des recruteurs mais aussi par une pénurie de candidats pour certains métiers, le marché de l’emploi cadre serait mieux orienté en 2019. Ainsi, les entreprises régionales envisagent de recruter entre 15 900 et 17 000 cadres (soit une progression comprise entre +2 % et +9 %), ce qui placerait l’Occitanie en 3e position ex aequo avec Hauts-de-France et Provence-Alpes-Côte d’Azur des régions métropolitaines qui recruteraient le plus en 2019. Cette tendance à la hausse des recrutements de cadres serait portée par le secteur des services (et notamment les activités informatiques), qui représente la majorité des intentions de recrutements.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Bourgogne-Fran...Apec
En 2020, un tissu économique régional à forte dominante industrielle et marqué par la crise économique née de la pandémie
Les entreprises de la région sont confrontées à des difficultés de recrutement de différentes natures
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Pays de la Loi...Apec
En 2020, l’économie des Pays de la Loire n’a pas été épargnée par la crise mais elle dispose de nombreux atouts
Les entreprises de la région sont confrontées à des difficultés de recrutement de différentes natures
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Recrutements dans les métiers de l'informatique et de la R&D, dé...Apec
La transformation des entreprises continue d’alimenter des forts besoins structurels en recrutement de cadres en informatique et études-R&D
Ces profils sont particulièrement difficiles à recruter pour les entreprises
Les transformations anticipées sur ces métiers vont maintenir les difficultés de recrutement des entreprises sur ces profils
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Occitanie, nov...Apec
Ce document revient sur les spécificités économiques en Occitanie. Il aborde les difficultés et les enjeux du recrutement de cadres dans la région et propose des pistes d'action pour les entreprises.
Etude Apec - L'emploi cadre : une répartition très inégale sur le territoireApec
La répartition territoriale des cadres du privé fait apparaître une importante concentration dans quelques bassins d’emploi. Sur les 304 zones d’emploi de France métropolitaine, seules 17 regroupent plus de 25 000 cadres. Ces places fortes pour l’emploi cadre rassemblent ainsi 58 % des cadres du privé, contre 34 % de la population et 44 % des emplois du secteur privé. De surcroît, ces territoires bénéficient d’une dynamique économique très favorable et d’un positionnement sur des activités à forte valeur ajoutée.
Dans 16 des 22 régions françaises, on observe également une concentration des cadres du privé autour d’une seule zone d’emploi. Toutefois, des pôles secondaires peuvent également regrouper un volume significatif de cadres. Ce couplage entre une zone d’emploi principale pour l’emploi cadre et des zones d’emploi annexes se trouvera renforcé dans le nouveau découpage régional en 13 régions.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Centre-Val de ...Apec
En 2020, l’économie en Centre-Val de Loire n’a pas été épargnée par la crise mais retrouve progressivement des couleurs
Les entreprises de Centre-Val de Loire sont confrontées à des difficultés de recrutement de différentes natures
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Languedoc-RoussillonApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Languedoc-Roussillon.
L’emploi cadre en Languedoc-Roussillon apparaît fortement polarisé sur 1 seule des 18 zones d’emploi qui la composent. En effet, la zone d’emploi de Montpellier concentre 44 % des cadres du privé de la région. En ajoutant les zones d’emploi de Nîmes et de Perpignan, ce taux atteint presque 70 %. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité. Montpellier, en particulier, se caractérise par une forte spécificité dans les activités informatiques et la R&D. Leur dynamisme pourrait se renforcer avec le rapprochement de Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées. Le redécoupage territorial placera d’ailleurs la nouvelle région parmi les plus importants des 13 futurs
espaces régionaux. Le futur ensemble constitué se situera au 5e rang des 13 nouvelles régions en termes de nombre de cadres du privé. Il regroupera 7 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Midi-PyrénéesApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Midi-Pyrénées.
L’emploi cadre en Midi-Pyrénées apparaît fortement polarisé sur 1 seule des 16 zones d’emploi qui la composent. En effet, la zone d’emploi de Toulouse concentre à elle seule plus de 75 % des cadres du privé de la région. Avec près de 100 000 cadres, Toulouse est la 4e zone d’emploi la plus importante de France pour les effectifs cadres. De surcroît, le territoire toulousain possède des spécificités sectorielles fortes qui contribuent à son attractivité : R&D, aéronautique, industries de la santé... L’attractivité de Midi-Pyrénées pourrait s’intensifier avec la réforme territoriale et le rapprochement prévu avec
le Languedoc-Roussillon. Le futur ensemble constitué se situera au 5e rang des 13 nouvelles régions en termes de population et de nombre de cadres du privé. La future région regroupera 7 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Ile-de-FranceApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Ile-de-France.
L’emploi cadre en Île-de-France apparaît fortement polarisé sur la zone d’emploi de Paris qui concentre, à elle seule, près des trois quarts des cadres du privé. Ce taux dépasse les 85 % en ajoutant les zones de Saclay et de Roissy - Sud Picardie. La richesse et la diversité du tissu économique de ces territoires les rendent très attractifs. Cette attractivité est renforcée, de surcroît, par certaines spécificités sectorielles : les services qualifiés pour Paris,
la fabrication de produits électroniques ou l’automobile à Saclay, les transports aériens pour Roissy -Sud Picardie… La réforme territoriale ne modifiera pas le positionnement de la région. L’Île-de-France sera toujours largement en tête des classements régionaux tant sur le plan démographique qu’économique.
Avec 35 % des effectifs de cadres du privé, elle devancera très largement les 12 autres nouvelles régions de l’Hexagone.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Pays de la LoireApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Pays de la Loire.
L’emploi cadre du privé dans les Pays de la Loire apparaît
fortement polarisé sur 3 des 20 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi de Nantes, Angers et Le Mans concentrent en effet plus des deux tiers des cadres du privé. Ce taux dépasse les 80 % en ajoutant les zones de Saint-Nazaire, Laval et La-Roche-sur-Yon.
Les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité : les activités informatiques à
Nantes, l’assurance au Mans, l’aéronautique-construction
navale à Saint-Nazaire...
La réforme territoriale influera sur le positionnement de la région. Ainsi, les Pays de la Loire, qui conserveront leur périmètre, se classeront au 8e rang des 13 nouvelles régions métropolitaines que ce soit pour le nombre d’habitants, le volume de salariés ou pour le nombre de cadres du privé. La région continuera de réunir 4,5 % des cadres du privé de l’Hexagone.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en BourgogneApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Bourgogne.
Les effectifs cadres du privé en Bourgogne apparaissent
fortement polarisés sur 3 des 16 zones d’emploi qui la
composent. La zone d’emploi de Dijon réunit 40 % de
l’emploi cadre régional et celles de Chalon-sur-Saône et
d’Auxerre plus de 20 % à elles deux.
Implantées de part et d’autre du territoire, les activités liées à la métallurgie de pointe, à la mécanique ou aux
équipements électriques figurent parmi les principaux domaines de spécificité de l’économie bourguignonne.
Leur importance, associée à celle des transports, pourrait
se voir renforcée avec la réforme territoriale et le regroupement de la Bourgogne et de la Franche-Comté.
Le redécoupage territorial placera la future région Bourgogne / Franche-Comté au 11e rang des 13 nouveaux
espaces régionaux en termes de population et d’emplois
salariés, et au 12e rang pour les emplois cadres. La future région rassemblera au global 3 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en AuvergneApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Auvergne.
L’emploi cadre en Auvergne est fortement polarisé sur la seule zone d’emploi de Clermont-Ferrand. Elle regroupe six cadres auvergnats sur dix. Parmi les 12 autres zones d’emploi d’Auvergne, seules celles de Vichy et de Montluçon regroupent plus de 5 % des cadres régionaux (respectivement 7 % et 6 %).
De surcroît, les spécificités sectorielles de Clermont-Ferrand renforcent son attractivité. Les activités liées à la R&D et à l’ingénierie y sont notamment bien implantées. Leur importance pourrait se renforcer avec la réforme territoriale et le rattachement de l’Auvergne à Rhône-Alpes, également bien positionnée sur ces secteurs.
Le redécoupage territorial placera d’ailleurs la région
Auvergne / Rhône-Alpes au 2e rang des 13 nouveaux
espaces régionaux en termes de population, d’emplois
salariés ou d’emplois cadres. La future région rassemblera en tout 12 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en PicardieApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Picardie.
L’emploi cadre en Picardie apparaît fortement polarisé sur 2 des 13 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi d’Amiens et de Roissy - Sud Picardie concentrent en effet 45 % des cadres du privé dans la région. Cette proportion atteint 75 % en rajoutant Compiègne et Beauvais, deux autres zones d’emploi d’importance pour la Picardie. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces
zones d’emploi renforcent leur attractivité : l’aéronautique
à Amiens, l’industrie automobile à Beauvais ou encore l’industrie chimique à Compiègne…
Avec la réforme territoriale et le regroupement de la Picardie et du Nord-Pas-de-Calais, la nouvelle région se placera parmi les plus importants des 13 futurs espaces régionaux : au 3e rang en termes de population comme pour le volume d’emplois salariés et les effectifs cadres. Elle réunira 7,4 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Nord-Pas-de-CalaisApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur attractivité et l'emploi cadre en région Nord-Pas-de-Calais.
L’emploi cadre en Nord-Pas-de-Calais apparaît fortement
polarisé sur 2 des 15 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi de Lille et de Roubaix - Tourcoing concentrent plus de la moitié des cadres du privé de la région. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité. L’informatique et les objets connectés à Lille ou la conception de matériaux nouveaux à Roubaix en sont des exemples.
Le dynamisme de la région pourrait se renforcer avec la
réforme territoriale et le regroupement de la Picardie et du Nord-Pas-de-Calais. Le redécoupage territorial placera
d’ailleurs la future région parmi les plus vastes et les plus importants des 13 nouveaux espaces régionaux. Elle occupera ainsi le 3e rang des régions françaises en termes de population, d’emplois salariés et d’emplois cadres. Elle réunira 7,4 % des cadres du privé de France
métropolitaine.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Champagne-ArdenneApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Champagne-Ardenne.
L’emploi cadre en Champagne-Ardenne apparaît fortement polarisé sur 2 des 7 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi de Reims et de Troyes concentrent en effet près de 60 % des cadres du privé. L’économie régionale repose sur un socle industriel fort. Dans certaines zones d’emploi, il est source d’attractivité. C’est notamment le cas de l’industrie agroalimentaire à Épernay et Reims. Le rapprochement de la Champagne-Ardenne avec l’Alsace et la Lorraine, deux régions également bien positionnées dans l’industrie, pourrait conforter cette dynamique. Le redécoupage territorial placera d’ailleurs la nouvelle région parmi les plus importants des 13 futurs espaces régionaux : au 6e rang
en termes de population et au 5e rang en termes d’emplois salariés. Elle figurera au 6e rang des régions métropolitaines pour l’emploi cadre, réunissant 6,7 % des cadres du privé.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres dans le Grand Est...Apec
En 2020, l’économie de la région Grand Est n’a pas été épargnée par la crise, mais en 2021, elle retrouve progressivement des couleurs
Les entreprises de la région sont confrontées à des difficultés de recrutement de différentes natures
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en AlsaceApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Alsace.
L’emploi cadre en Alsace apparaît fortement polarisé sur la zone d’emploi de Strasbourg. Elle concentre près de la moitié des cadres du privé. Cette proportion dépasse 75 % en ajoutant les zones d’emploi de Mulhouse et Colmar. Les spécificités sectorielles de ces territoires renforcent leur attractivité, comme les activités informatiques à Strasbourg ou l’automobile à Mulhouse. Les domaines des écotechnologies et de la santé sont également bien implantés dans la région. Leur dynamisme pourrait se renforcer avec le rapprochement de l’Alsace avec la Lorraine et Champagne-Ardenne.
Le redécoupage territorial placera d’ailleurs la nouvelle région parmi les plus importants des 13 futurs espaces régionaux : au 6e rang en termes de population et au 5e rang en termes d’emplois salariés. Elle figurera au 6e rang des régions métropolitaines pour l’emploi cadre, réunissant 6,7 % des cadres du privé.
Emploi Centre : baromètre Qapa pour la rentrée 2015Qapa.fr
La rentrée 2015 sera-t-elle bénéfique pour l'emploi ? Les chiffres du chômage vont-ils s'améliorer jusqu'au mois de décembre ? Si nous n'avons pas encore les réponses, voici un petit aperçu des tendances chiffrées de l'emploi pour la rentrée 2015 en région Centre.
Zone d'emplois de Lorient : quelles spécificités ? Communication AudéLor n°97...Marie-Julie Dupont-Boucher
Afin de dépasser les idées reçues sur l'économie du territoire, AudéLor a comparé la zone d’emploi de Lorient à 36 autres zones d’emploi, afin d’en dégager ses spécificités socio-démographiques et économiques.
La comparaison porte sur deux panels : un premier intégrant toutes les zones d’emploi bretonnes, et sur un second comprenant des zones d’emploi de taille comparable.
Au sommaire de cette étude :
- Les principales caractéristiques de la zone d’emploi de Lorient, intégrant le périmètre du nouveau pays de Lorient (Lorient Agglomération, CC Blavet Bellevue Océan et Quimperlé Communauté).
- Les spécificités démographiques et sociales de la zone d’emploi de Lorient : attractivité résidentielle, niveau d’éducation, CSP, inégalités, structure par âge…
- Les spécificités économiques : résistance à la crise, poids des industries, de la conception-recherche, des fonctions métropolitaines…
Etude Apec - Panorama 2019 de l'emploi cdare en Centre-Val de LoireApec
La vitalité du marché de l’emploi cadre observé au niveau national concerne également la région Centre-Val de Loire. Celle-ci se distingue en 2018 avec des recrutements cadres en hausse de 21 % par rapport à 2017 (contre 11 % pour l’ensemble de l’Hexagone). En 2019, le cap des 6 000 recrutements de cadres pourrait être de nouveau atteint, voire dépassé à la condition que les entreprises arrivent à trouver les profils et les compétences recherchés.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en BretagneApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Bretagne.
L’emploi cadre en Bretagne apparaît fortement polarisé sur 2 des 18 zones d’emploi qui la composent.
Les zones d’emploi de Rennes et de Brest concentrent en effet plus de la moitié des cadres du privé. Ce taux dépasse les 80 % en ajoutant les zones de Vannes, Quimper, Lorient et Saint-Brieuc. Les spécificités sectorielles de chacune de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité : l’industrie automobile et les technologies numériques à Rennes, le maritime à Brest...
La réforme territoriale en cours influera toutefois sur le positionnement de la région. La Bretagne, qui conserve son périmètre, deviendra ainsi l’une des régions les moins peuplées de l’Hexagone. Elle se placera aussi au 10e rang des 13 nouvelles régions métropolitaines que ce soit pour le nombre de salariés ou le nombre de cadres. La région
continuera de réunir 3,5 % des cadres du privé.
Etude Apec - Panorama 2019 de l'emploi cadre en OccitanieApec
Après une année 2018 en demi-teinte pour l’emploi cadre en Occitanie, à la fois marquée par la prudence des recruteurs mais aussi par une pénurie de candidats pour certains métiers, le marché de l’emploi cadre serait mieux orienté en 2019. Ainsi, les entreprises régionales envisagent de recruter entre 15 900 et 17 000 cadres (soit une progression comprise entre +2 % et +9 %), ce qui placerait l’Occitanie en 3e position ex aequo avec Hauts-de-France et Provence-Alpes-Côte d’Azur des régions métropolitaines qui recruteraient le plus en 2019. Cette tendance à la hausse des recrutements de cadres serait portée par le secteur des services (et notamment les activités informatiques), qui représente la majorité des intentions de recrutements.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Bourgogne-Fran...Apec
En 2020, un tissu économique régional à forte dominante industrielle et marqué par la crise économique née de la pandémie
Les entreprises de la région sont confrontées à des difficultés de recrutement de différentes natures
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Pays de la Loi...Apec
En 2020, l’économie des Pays de la Loire n’a pas été épargnée par la crise mais elle dispose de nombreux atouts
Les entreprises de la région sont confrontées à des difficultés de recrutement de différentes natures
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Recrutements dans les métiers de l'informatique et de la R&D, dé...Apec
La transformation des entreprises continue d’alimenter des forts besoins structurels en recrutement de cadres en informatique et études-R&D
Ces profils sont particulièrement difficiles à recruter pour les entreprises
Les transformations anticipées sur ces métiers vont maintenir les difficultés de recrutement des entreprises sur ces profils
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Occitanie, nov...Apec
Ce document revient sur les spécificités économiques en Occitanie. Il aborde les difficultés et les enjeux du recrutement de cadres dans la région et propose des pistes d'action pour les entreprises.
Etude Apec - L'emploi cadre : une répartition très inégale sur le territoireApec
La répartition territoriale des cadres du privé fait apparaître une importante concentration dans quelques bassins d’emploi. Sur les 304 zones d’emploi de France métropolitaine, seules 17 regroupent plus de 25 000 cadres. Ces places fortes pour l’emploi cadre rassemblent ainsi 58 % des cadres du privé, contre 34 % de la population et 44 % des emplois du secteur privé. De surcroît, ces territoires bénéficient d’une dynamique économique très favorable et d’un positionnement sur des activités à forte valeur ajoutée.
Dans 16 des 22 régions françaises, on observe également une concentration des cadres du privé autour d’une seule zone d’emploi. Toutefois, des pôles secondaires peuvent également regrouper un volume significatif de cadres. Ce couplage entre une zone d’emploi principale pour l’emploi cadre et des zones d’emploi annexes se trouvera renforcé dans le nouveau découpage régional en 13 régions.
Cette phase 1 a pour objet la réalisation d'un diagnostic des deux territoires concernés et de leur niveau de collaboration, et vise à dessiner des pistes de collaboration pour insuffler une démarche participative.
Zone d'emploi de Lorient : quelles spécificités ? Communication AudéLor n°97,...AudéLor
Afin de dépasser les idées reçues sur l'économie du territoire, AudéLor a comparé la zone d’emploi de Lorient à 36 autres zones d’emploi, afin d’en dégager ses spécificités socio-démographiques et économiques.
La comparaison porte sur deux panels : un premier intégrant toutes les zones d’emploi bretonnes, et sur un second comprenant des zones d’emploi de taille comparable.
Au sommaire de cette étude :
- Les principales caractéristiques de la zone d’emploi de Lorient, intégrant le périmètre du nouveau pays de Lorient (Lorient Agglomération, CC Blavet Bellevue Océan et Quimperlé Communauté).
- Les spécificités démographiques et sociales de la zone d’emploi de Lorient : attractivité résidentielle, niveau d’éducation, CSP, inégalités, structure par âge…
- Les spécificités économiques : résistance à la crise, poids des industries, de la conception-recherche, des fonctions métropolitaines…
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Nouvelle Aquit...Apec
En 2020 l’économie de la Nouvelle-Aquitaine n’a pas été épargnée par la crise mais elle dispose de nombreux atouts
Les entreprises de la région sont confrontées à des difficultés de recrutement de différentes natures
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Observation partenariale-de-la-conjoncture-regionale-2 t-2020France Travail
En région, la détérioration de l’emploi et du marché du travail initiée au 1er trimestre, se poursuit au 2e trimestre pour
la plupart des indicateurs : recul de l’emploi salarié, forte baisse des déclarations préalables à l’embauche (DPAE), forte
augmentation de la demande d’emploi et de l’Indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC)… seul l’intérim repart à
la hausse notamment dans l’industrie et la construction. Pour autant, l’activité économique régionale et nationale montre
des signes de rebond malgré un contexte national et international contraint et rempli d’incertitudes.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Provence-Alpes-Côte d'AzurApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Paca.
L’emploi cadre du privé en Provence-Alpes-Côte d’Azur apparaît fortement polarisé sur 4 des 18 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi de Marseille-Aubagne, d’Aix-en-Provence, de Cannes-Antibes et de Nice concentrent en effet plus de sept cadres du privé sur dix. Ce taux approche les 80 % en ajoutant la zone de Toulon. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité : le transport maritime dans la zone d’emploi de Marseille-Aubagne, la fabrication de produits électroniques dans celle d’Aix-en-Provence, l’industrie pharmaceutique pour Nice...
La réforme territoriale influera sur le positionnement de la région. Provence-Alpes-Côte d’azur, qui conservera son périmètre, reculera dans la hiérarchie des régions métropolitaines. Avec 7 % des cadres du privé, elle occupera toutefois le 4e rang des 13 nouvelles régions pour le volume de cadres.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Rhône-AlpesApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Rhône-Alpes.
L’emploi cadre en Rhône-Alpes apparaît fortement polarisé sur 2 des 24 zones d’emploi qui la composent : Lyon et Grenoble. À elles deux, ces zones d’emploi regroupent en effet 6 cadres rhônalpins sur 10. Lyon occupe le 2e rang des 304 zones d’emploi de France métropolitaine pour le nombre de cadres, Grenoble le 9e. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces territoires renforcent leur attractivité : chimie, santé ou informatique à Lyon, R&D ou électronique à Grenoble.
La réforme territoriale, impliquant le rapprochement de l’Auvergne et de Rhône-Alpes, ne devrait pas avoir d’impact sur le positionnement de la région. Elle continuerait d’être classée au 2e rang des territoires métropolitains pour le nombre d’habitants, de salariés et de cadres du privé. La future région Auvergne/Rhône-Alpes rassemblera 12 % des cadres du privé de France métropolitaine.
Chantier LGV SEA et évolution du taux de chômage en Poitou-CharentesLISEA
LISEA a mis en place un Observatoire socio-économique dont les principaux objectifs sont de participer à l'argumentaire national sur les effets constatés des Lignes à Grande Vitesse ferroviaires et d'exposer aux acteurs locaux les effets territoriaux, économiques et sociaux de la LGV SEA Tours-Bordeaux. Ses travaux s’organisent autour de six axes : 1. Effets « chantier », 2. Offre de transport et mobilité, 3. Effets « gare LGV », 4. Dynamiques métropolitaines et territoriales, 5. Tourisme et LGV, 6. Stratégies des acteurs et organisations. L’axe 1 interroge les effets de la construction de la ligne sur l’économie des territoires. Trois thématiques guident le travail de recherche : Entreprises et sous-traitance, Emploi et formation, Lieux de vie et lieux de consommation.
Ce rapport s’inscrit dans le cadre de la thématique Emploi et formation. Son objectif est de mesurer l’effet de la construction de la LGV SEA sur le taux de chômage en région Poitou-Charentes. Il montre que sans la construction de la LGV SEA, la croissance du chômage aurait été plus forte que celle observée et le taux de chômage plus élevé. En ce sens, le chantier de la LGV SEA a contribué à limiter le rattrapage de long terme du taux de chômage national par le taux de chômage de Poitou-Charentes, sans pour autant empêcher le secteur du BTP de perdre des emplois.
D'où viennent les écarts de salaire entre les terrtitoires ?France Stratégie
En France, le salaire net horaire moyen varie du simple au double selon la zone d’emploi. En tête des salariés les mieux payés, ceux des grandes métropoles. Et si, au-delà de la spécialisation économique des territoires, ce n’était pas tant la concentration des activités que celle du savoir qui expliquait ces écarts ?
En savoir plus :
http://www.strategie.gouv.fr/note-danalyse/dou-viennent-ecarts-de-salaire-entre-territoires
L'économie productive du Nouveau pays de Lorient. Communication AudéLor n°106...AudéLor
L'économie du Nouveau pays de Lorient (Lorient Agglomération, CC Blavet-Bellevue Océan et Quimperlé Communauté) est une économie diversifiée.
Elle bénéficie d'une économie présentielle dynamique portée par une croissance démographique et un développement du tourisme mais aussi d'un large panel d'activités productives.
On y retrouve bien entendu les activités maritimes, elles-mêmes diversifiées (CRN, nautisme, produits de la mer…), mais également d’autres industries (agroalimentaire non maritime, équipements, emballages, papier…) et services aux entreprises (nettoyage, gestion, ingénierie…).
Cette diversité du tissu productif est souvent méconnue. Elle constitue pourtant un facteur de résistance de l’économie locale aux crises ou dépressions.
Elle révèle également une grande richesse de compétences sur le territoire.
Elles constituent un levier de développement économique, notamment à travers des croisements de filières.
Aire urbaine de Lorient : une convergence du tissu productif, de l’emploi et ...AudéLor
AudéLor - Agence d’urbanisme, de développement économique et Technopole du pays de Lorient - a souhaité en 2015 travailler en partenariat avec l’Insee sur les questions de positionnement du territoire par rapport à un panel d’aires urbaines comparables. À l’heure de la révision du SCoT du Pays de Lorient et dans un contexte de métropolisation, il est apparu nécessaire de passer
en revue les forces et les faiblesses du territoire. Ce travail partenarial vient compléter celui mené en 2011 qui était centré sur le fonctionnement interne du territoire (pôle, localisation population et revenus). Dans la présente publication, l’utilisation de multiples indicateurs a permis de mettre en évidence les liens entre évolution économique et évolution démographique, les dynamiques de convergence en matière de qualification et d’attractivité, la question de l’emploi des jeunes… L’utilisation d’un panel de territoires proches s’est avérée pertinente pour enrichir les comparaisons habituelles effectuées par rapport à la moyenne française ou la moyenne bretonne.
Etude Apec - Panorama 2019 de l'emploi cadre en Ile-de-FranceApec
Avec des prévisions oscillant entre 130 000 et 140 000 embauches de cadres en 2019, l’Ile-de-France resterait de loin la région phare en concentrant, à elle seule, la moitié des embauches attendues. Cette dynamique favorable à l’emploi cadre est notamment portée par la bonne tenue des activités informatiques et de télécommunication, des activités juridiques, comptables et de conseil et de l’ingénierie-R&D, secteurs très porteurs et particulièrement présents dans le tissu économique régional. Les entreprises solliciteraient en priorité les jeunes cadres ayant de un à cinq ans d’expérience professionnelle.
Similaire à Etude Apec - Attractivité et emploi cadre dans le Centre (15)
Etude Apec - Perception du télétravail par les cadres, décembre 2022Apec
Sous l’effet des confinements successifs liés au Covid-19, le télétravail des cadres s’est durablement imposé.
Aujourd’hui, deux tiers des cadres télétravaillent de manière régulière, au moins un jour par semaine.
Si les cadres sont très majoritairement satisfaits de pouvoir télétravailler, de nouveaux questionnements se font jour en matière de qualité de vie au travail. En effet, en dépit de ses nombreux impacts positifs, le télétravail ne répond pas à lui seul aux fortes aspirations des cadres sur ce sujet.
Etude Apec - Reconversion professionnelle des cadres, décembre 2022Apec
Des projets rarement radicaux
Des projets qui répondent à 6 grands moteurs :
- La reconnexion à une passion ;
- La quête de sens ;
- La nécessité de rebondir ;
- Le désir de promotion sociale ;
- La recherche de meilleures conditions de travail ou de vie ;
- L’envie d’un second souffle.
Des projets qui nécessitent un accompagnement spécifique
Etude Apec - Le rôle des managers dans les recrutements, décembre 2022Apec
Les difficultés de recrutement, de cadres comme de non-cadres, ont atteint en 2022 des niveaux d’intensité très élevés. Dans ce contexte, mieux comprendre comment les recrutements s’organisent concrètement dans les entreprises revêt un enjeu important.
À ce titre, le rôle des cadres managers est crucial : ils définissent leurs besoins de recrutement dans leur équipe, rencontrent les candidats et sont au coeur de la décision finale. Comprendre plus finement le rôle des managers dans les processus d’embauche et les interactions avec les RH peut ainsi permettre de définir des leviers afin d’optimiser les processus de recrutement.
Etude Apec- La relation des cadres à leur entreprise, novembre 2022Apec
- Les cadres sont globalement investis et attachés à leur entreprise et se sentent considérés en retour
- Les cadres s’interrogent toutefois sur leur degré d’investissement et aspirent à un meilleur équilibre
- Dans une optique de fidélisation, la relation gagne à être nourrie par des actions fortes en matière d’évolution professionnelle et des pratiques favorisant la qualité de vie au travail
Etude Apec - Bac + 6 et plus : quelles opportunités d'emploi cadre dans les e...Apec
Cette étude repose sur les offres d’emploi cadre publiées sur apec.fr par des entreprises du secteur privé entre le premier semestre 2019 et le premier semestre 2022. L’analyse de la répartition des offres par secteur, par région, par type de contrat, par fonction, par famille de métiers tient compte de celles publiées au 1e semestre 2022 uniquement.
Etude Apec - Les salaires des cadres dans 111 familles de métiers - édition 2...Apec
Le salaire médian des cadres en poste (salaire fixe + part variable) s’établit à 51 k€ : la moitié des cadres perçoit un salaire annuel brut inférieur à ce montant et l’autre moitié un salaire supérieur
Les salaires des cadres varient fortement selon la famille de métiers
Le document propose pour 111 familles de métiers une fiche détaillée sur la rémunération
Etude Apec - Difficultés de recrutement de cadres par région et par fonction,...Apec
La dynamique du marché de l’emploi cadre devrait se poursuivre en 2022
Pour satisfaire leurs besoins en compétences cadres, les entreprises font face à des tensions très élevées
De leur côté, les cadres ont conscience que la dynamique du marché de l’emploi leur est particulièrement favorable et affichent leur confiance
Etude Apec - Pratiques managériales 2022, octobre 2022Apec
Les managers ont commencé à faire évoluer leurs pratiques pour répondre à de nouvelles attentes
Ces transformations peuvent mettre les managers face à des dilemmes et accentuer leur sentiment d’être débordés
Les managers souhaitent le rester et la fonction de manager reste une aspiration pour une majorité des jeunes cadres non-managers
Etude Apec - Démissions précoces de cadres, octobre 2022Apec
La majorité des cadres considèrent qu’une démission précoce peut être pénalisante
Pour autant, près d’un quart des cadres a déjà démissionné de façon précoce
Les cadres avancent deux motifs principaux aux démissions précoces : une opportunité dans une autre entreprise et un hiatus entre promesse employeur et réalité vécue du poste
Alimenter la promesse employeur au-delà de l’embauche : un enjeu clé pour la durabilité des recrutements
Etude Apec - Marché de l'emploi cadre dans l'informatique, septembre 2022Apec
En 2021, le marché de l’emploi cadre a retrouvé sa vitalité, ce qui a particulièrement profité aux cadres informaticiens
Les recrutements de cadres informaticiens sont fortement concentrés en Île-de-France et dans les activités informatiques
Pour 2022, la dynamique de fond devrait se poursuivre, notamment pour les métiers du développement informatique
- Selon les définitions de l’Observatoire national des emplois et métiers de l’économie verte, ce sont aujourd’hui 4,4 millions de personnes qui occupent des métiers dits « verts » ou « verdissants », dont près de 800 000 cadres du privé
- Sous l’effet de la transition écologique, le verdissement des emplois va s’amplifier dans de nombreuses activités et entreprises, notamment pour intégrer des modes de production et de consommation moins énergivores et plus durables
- Le développement de l’économie verte nécessite la maîtrise de compétences pointues dans les métiers « verts » et aussi la montée en compétences liée au verdissement
Etude Apec - Baromètre Apec 3e trimestre 2022.pdfApec
Au 2e trimestre 2022, les offres d’emploi sont restées dynamiques et les difficultés à recruter se sont encore intensifiées
Pour le 3e trimestre 2022, les entreprises tempèrent leurs intentions de recrutement de cadres face à l’incertitude économique
Côté cadres, les projets professionnels ne sont pas affectés à ce stade par les inquiétudes vis-à-vis de la situation économique
Etude Apec - Focus sur la rémunération des jeunes cadres, juin 2022Apec
En 2021, les jeunes cadres ont renoué avec des augmentations fréquentes
Ces augmentations font la part belle à la mobilité interne…
… mais n’ont pas permis de réduire les disparités en matière de salaire chez les jeunes cadres entre femmes et hommes
Dans un contexte de fortes tensions géopolitiques et inflationnistes, les perspectives 2022 pour la rémunération des jeunes cadres restent favorables, mais nourrissent une insatisfaction grandissante
Etude Apec - Baromètre 2022 de la rémunération des cadres, juin 2022Apec
La part des cadres ayant bénéficié d’une augmentation en 2021 retrouve presque le niveau d’avant-crise
Les inégalités salariales entre les femmes et les hommes cadres persistent
Dans un contexte de fortes tensions géopolitiques et inflationnistes, la part des cadres augmentés devrait croître en 2022, ainsi que celle des cadres insatisfaits en matière de salaire
En 2021, 7 000 offres d’emploi cadre ont été publiées sur apec.fr dans le champ de la cybersécurité
La cybersécurité en Bretagne : un écosystème riche et dynamique
Une grande diversité de profils sont recherchés par les entreprises
Ces profils sont difficiles à recruter
Etude Apec - Pratiques de recrutements des cadres 2022, juin 2022Apec
Avec le rebond en 2021 des volumes d’embauches de cadres, les difficultés de recrutement se sont intensifiées
Dans ce contexte de concurrence plus vive, les entreprises déploient des stratégies de sourcing plus proactives
Pour concrétiser leurs recrutements, les entreprises commencent à assouplir leurs critères de sélection et renforcent leur promesse employeur
Etude Apec - Recrutements de cadres en 2022 - prévisions Apec révisées, avril...Apec
Les prévisions de recrutements de cadres pour 2022, bien que légèrement minorées du fait des répercussions liées à la guerre en Ukraine, resteraient bien orientées.
Les prévisions 2022 des recrutements de cadres sont basées sur le déclaratif des 8000 entreprises interrogées dans le « panel » Apec, une enquête annuelle, et révisées par des éléments prenant en compte notamment les premiers impacts liés à la guerre en Ukraine.
Etude Apec - Baromètre Apec du 2e trimestre 2022, avril 2022Apec
Au 1er trimestre 2022, les entreprises ont été plus nombreuses à recruter des cadres malgré des difficultés de production (absences liées au Covid-19, difficultés d’approvisionnent) et de recrutement.
L’incertitude liée à la guerre en Ukraine et ses impacts affecte la confiance des entreprises et entraîne un fléchissement relatif des intentions de recrutement dans les PME et les grandes entreprises.
Côté cadres, le marché jugé plus favorable incite à être davantage à l’écoute des opportunités.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Guadeloupe, no...Apec
Ce document revient sur les spécificités économiques en Guadeloupe. Il aborde les difficultés et les enjeux du recrutement de cadres sur ce territoire et propose des pistes d'action pour les entreprises.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Guadeloupe, no...
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre dans le Centre
1. – ATTRACTIVITÉ ET
EMPLOI CADRE
DANS LE CENTRE–
LESÉTUDESDEL’EMPLOICADRE
– Cartographie de l’emploi régional.
– Concentration des cadres du
secteur privé.
– Spécificités sectorielles de la
région.
– Perspectives à l’aune de la réforme
territoriale.
Dossiers attractivité régionale de l’Apec
N°2015-08
JANVIER 2015 L’emploi cadre dans le Centre apparaît fortement
polarisé sur 2 des 21 zones d’emploi qui la composent.
Les zones d’emploi d’Orléans et de Tours concentrent
en effet plus de la moitié des cadres du privé. Ce
taux atteint 80 % en ajoutant les zones de Chartres,
Blois, Bourges et Châteauroux. De surcroît, les
spécificités sectorielles de ces zones d’emploi ren-
forcent leur attractivité : les activités informatiques
dans la zone d’emploi d’Orléans, la fabrication de
produits électroniques dans celle de Tours, l’indus-
trie chimique pour Chartres... La réforme territoriale
en cours pourrait influer sur le positionnement de
la région. Le Centre, qui conserverait son périmètre,
deviendrait ainsi l’avant-dernière région métropo-
litaine pour le nombre d’habitants et le nombre de
salariés. Sur les 13 futures régions de l’Hexagone,
elle occuperait le 11e
rang pour le nombre de cadres
du privé, continuant de réunir 3,2 % des effectifs de
cadres.
ZOOM SUR LES ZONES D’EMPLOI
2. APEC – ATTRACTIVITÉ ET EMPLOI CADRE DANS LE CENTRE2
–
DE FORTES DIFFÉRENCES SUR LE PLAN
DÉMOGRAPHIQUE
–
Avec 531 000 habitants, la zone d’emploi de Tours
est la plus peuplée de la région (21 % de la popula-
tion régionale). Elle devance de peu celle d’Orléans
(476 000 habitants, 19 % de la population régio-
nale) et beaucoup plus largement celle de Chartres
(3e
zone d’emploi de la région avec 246 000 habi-
tants). Les petites zones d’emploi de Nogent-le-Rotrou
au Nord, d’Issoudun au Sud, de Le Blanc et de Loches
côté Sud-Ouest sont les moins peuplées (moins de
25 000 habitants chacune).
En termes de dynamisme démographique, les zones
d’emploi de Chartres, Loches et Pithiviers sont celles
qui ont gagné le plus d’habitants en proportion entre
2006 et 2011 (+4 %), tandis que celles de Saint-
–CARTOGRAPHIE DE L’EMPLOI RÉGIONAL–
1. http://www.insee.fr/fr/
methodes/default.
asp?page=zonages/zones_emploi.htm
–
DÉFINITION DES ZONES D’EMPLOI
–
La région Centre comporte 21 zones d’emploi, dont
l’une s’étend sur la Basse-Normandie (Nogent-le-
Rotrou) et l’autre sur la Bourgogne (Cosne-Cla-
mecy). Les zones d’emploi sont définies par l’Insee
comme des « espaces à l’intérieur desquels la plu-
part des actifs résident et travaillent et dans les-
quels les établissements peuvent trouver l’essentiel
de la main-d’œuvre nécessaire pour occuper les
emplois offerts ». Fondées sur le critère des dépla-
cements des actifs en emploi entre leur commune
de domicile et leur commune de travail, elles sont
définies de façon à ce que parmi les actifs résidant
dans la zone d’emploi, le plus grand nombre d’entre
eux travaillent également dans la zone. Chaque
zone d’emploi est ainsi constituée d’un ensemble
de communes entières et contiguës aboutissant à
un bassin d’emploi où la plupart des actifs résident
et travaillent1
. La France compte 322 zones d’em-
ploi, dont 304 en métropole.
Amand-Montrond et d’Issoudun sont celles qui en ont
perdu le plus (-3 %). Par ailleurs, si la région Centre
se caractérise actuellement par une proportion d’ha-
bitants âgés de plus de 60 ans plus élevée qu’à
l’échelle hexagonale (26 % contre 23 %), cette part
atteint 35 % à Saint-Amand-Montrond et Le Blanc.
La part de jeunes de moins de 30 ans est de 35 %
en région Centre. Mais elle dépasse les 37 % affichés
à l’échelle métropolitaine dans deux zones d’emploi :
Dreux et Orléans.
–
TOURS ET ORLÉANS CONCENTRENT 45 %
DES SALARIÉS DU PRIVÉ
–
Au 2e
trimestre 2014, on compte dans la région
Centre 627 000 salariés dans le secteur privé (source
Acoss). Les emplois sont concentrés sur deux zones
Dreux
Chartres
Vendôme
Châteaudun
Tours
Chinon
Orléans
Blois
Montargis
Pithiviers
Bourges
Romorantin-
Lanthenay Vierzon
Gien
Loches
Le Blanc Châteauroux
Issoudun
Limite régionale
Limite des zones d’emploi
Nogent-le-Rotrou
Cosne - Clamecy
Saint-Amand-Montrond
–Carte 1–
Carte des zones d’emploi du Centre
3. APEC – ATTRACTIVITÉ ET EMPLOI CADRE DANS LE CENTRE 3
2. L’établissement est une unité de
production géographique
individualisée, mais juridiquement
dépendante de l’entreprise. Seuls les
établissements employeurs sont ici
considérés, c’est-à-dire les
établissements comptant un salarié
au moins. Les données sont par
ailleurs comprises hors Administration
publique, enseignement, santé et
action sociale.
d’emploi en particulier : Tours (près de 143 000 sala-
riés) et Orléans (139 000 salariés environ). Les zones
d’emploi de Tours et d’Orléans rassemblent ainsi à
elles deux 45 % des salariés de la région, devançant
de loin celles de Bourges (44 000, 7 %), Blois
(47 000, 8 %) ou Chartres (59 000, 9 %). À l’inverse,
les zones d’emploi de Loches, Le Blanc et Cosne - Cla-
mecy sont les moins importantes de la région en
termes de nombre de salariés.
–
59 000 ÉTABLISSEMENTS EMPLOYEURS
DONT 21 % À TOURS ET 18 % À ORLÉANS
–
Dans le Centre, quatre établissements employeurs2
sur dix sont situés dans la zone d’emploi d’Orléans
ou celle de Tours. 83 % des établissements du Centre
comptent moins de 10 salariés (en conformité avec
la moyenne métropolitaine). Les 275 établissements
de plus de 200 salariés (hors administration) recen-
sés dans le Centre se répartissent inégalement sur le
territoire. La zone d’emploi d’Orléans en concentre
28 %, celle de Tours 20 %. Ces deux zones d’emploi
devancent de très loin celles de Chartres, de Blois et
de Bourges, chacune d’elles en rassemblant 8 %.
Plusieurs zones d’emploi ne comptent pratiquement
aucun grand établissement : Le Blanc, Saint-Amand-
Montrond, Loches et les parties régionales de Cosne -
Clamecy et Nogent-Le-Rotrou.
–
EN 5 ANS, LE NOMBRE D’EMPLOIS
SALARIÉS A RECULÉ DANS LE CENTRE
–
Entre le 2e
trimestre 2009 et le 2e
trimestre 2014,
l’emploi salarié a reculé de 2,2 % dans le Centre
(tableau 1), contre une progression de 0,5 % à
l’échelle nationale. Pourtant, deux zones d’emploi
semblent avoir mieux résisté que les autres. Il s’agit
de Chinon d’abord où 800 emplois ont été créés sur
5 ans, ce qui représente à l’échelle de ce territoire une
hausse de 9,4 %. La présence sur la zone de la cen-
trale nucléaire d’Avoine explique en partie ce dyna-
misme. Avec 3,1 % d’emplois salariés en plus (soit
600 nouveaux emplois), Dreux figure au 2e
rang des
zones d’emploi régionales ayant connu en proportion
la plus forte augmentation d’emplois salariés au
cours des 5 dernières années. Toutes les autres zones
d’emploi de la région ont connu, sur la même pé-
riode, soit une stabilité relative des emplois salariés
(Châteaudun, Tours, Loches, Le Blanc), soit des des-
tructions d’emploi. Ces dernières ont été plus ou
moins marquées selon les territoires, avec des pertes
oscillant entre -1,3 % (Orléans, Chartres) et -8,1 %
(Pithiviers). Les zones d’emploi de Saint-Amand-Mon-
trond, de Bourges et de Vierzon ont elles aussi connu
d’importantes pertes d’emploi (-7 % au minimum).
L’industrie du bois, la plasturgie ou encore la métal-
lurgie font partie, à l’échelle régionale, des secteurs
les plus impactés par la crise.
Entre le 2e
trimestre 2013 et le 2e
trimestre 2014, le
taux de chômage dans la région a baissé de 0,2 point
pour atteindre 9,3 %, situant le Centre au 11e
rang
des régions métropolitaines les plus touchées par le
chômage. Les situations sont toutefois très diffé-
rentes d’un territoire à l’autre. Le Blanc et Chinon
sont les deux zones d’emploi où le taux de chômage
est le plus bas (respectivement 7,7 % et 8,1 %),
Montargis et Vierzon celles où il est le plus haut (soit
12,7 % et 12,9 %). Dreux affiche aussi un taux de
chômage conséquent (12,2 %) et ce malgré un
nombre d’emplois en hausse. Ici, les créations d’em-
ploi ne suffisent pas à couvrir les besoins d’une popu-
lation particulièrement jeune et peu diplômée. Enfin,
dans les 6 principales zones d’emploi du Centre, le
taux de chômage se situe en dessous de la moyenne
régionale, sauf à Châteauroux où il l’égale.
Nom de la zone d’emploi
Nombre
de salariés
du secteur privé
en 2014
Évolution
du nombre
de salariés entre
2009 et 2014
Taux de
chômage au 2e
trimestre 2014
Tours 142 542 -0,2 % 8,9 %
Orléans 139 056 -1,3 % 8,5 %
Chartres 58 950 -1,3 % 8,4 %
Blois 47 360 -2,4 % 8,5 %
Bourges 43 873 -7,4 % 9,2 %
Châteauroux 39 826 -5,3 % 9,3 %
Centre 627 094 -2,2 % 9,3 %
Sources : Données Acoss au 2e
trimestre 2009 et au 2e
trimestre 2014 pour le nombre de salariés. Données Insee pour le taux de chômage.
–Tableau 1–
Indicateurs clefs pour les principales zones d’emploi de la région
4. APEC – ATTRACTIVITÉ ET EMPLOI CADRE DANS LE CENTRE4
–CONCENTRATION DE L’EMPLOI CADRE DU PRIVÉ–
Nom de la zone d’emploi
Estimation Apec
du volume de
cadres du privé
Part de la zone
d’emploi dans
les cadres
régionaux
Rang parmi
les 304 zones
d'emploi en
France
métropolitaine
Orléans 24 500 26,5 % 19
Tours 23 600 25,5 % 20
Chartres 8 700 9,4 % 58
Blois 6 900 7,5 % 74
Bourges 6 400 6,9 % 80
Châteauroux 4 200 4,6 % 101
Montargis 2 800 3,0 % 132
Dreux 2 700 2,9 % 140
Gien 2 700 2,9 % 142
Vendôme 1 800 1,9 % 189
Pithiviers 1 400 1,6 % 211
Chinon 1 300 1,4 % 218
Vierzon 1 000 1,1 % 244
Romorantin-Lanthenay 900 1,0 % 253
Châteaudun < 900 < 1 % 268
Issoudun < 900 < 1 % 274
Nogent-Le-Rotrou (partie
Centre)
< 900 < 1 % 240*
Saint-Amand-Montrond < 900 < 1 % 291
Loches < 900 < 1 % 294
Le Blanc < 900 < 1 % 301
Cosne-Clamecy (partie
Centre)
< 900 < 1 % 220**
–Tableau 2–
Estimation du volume des cadres du privé dans les zones d’emploi de la région
–
92 400 CADRES DU PRIVÉ DONT LA MOITIÉ
SUR LES ZONES D’EMPLOI D’ORLÉANS ET
DE TOURS RÉUNIES
–
Selon les estimations de l’Apec3
, 24 500 emplois de
cadres du privé sont recensés dans la zone d’emploi
d’Orléans, et presque autant dans celle de Tours. À
elles deux, ces deux zones d’emploi (qui se situent
aux 19e
et 20e
rangs des 304 zones d’emploi métro-
politaines pour le nombre de cadres) rassemblent
plus de la moitié des cadres du privé travaillant dans
la région (92 400). Viennent ensuite les zones d’em-
ploi de Chartres, de Blois, de Bourges et de Château-
roux. Elles réunissent au total 26 200 cadres, soit
28 % des cadres régionaux. Au global, 80 % de
l’emploi cadre régional est ainsi concentré sur unique-
ment 6 des 21 zones d’emploi de la région (ta-
bleau 2). De leur côté, quatre zones d’emplois, beau-
coup plus rurales, se démarquent par un volume de
cadres éminemment faible. Il s’agit de Saint-Amand-
Montrond, Loches, Le Blanc, et Cosne - Clamecy.
–
PLUS DE DIPLÔMÉS DU SUPÉRIEUR
PARMI LES ACTIFS DES ZONES D’EMPLOI
D’ORLÉANS ET DE TOURS
–
Les actifs travaillant dans la région Centre sont glo-
balement moins qualifiés qu’à l’échelle nationale
(30 % possèdent un diplôme du supérieur contre
36 % en moyenne en France). Pour autant, cette pro-
portion augmente de manière significative dans les
deux zones d’emploi comptant le plus de cadres. Les
zones d’emploi d’Orléans et de Tours, qui concentrent
plusieurs établissements du supérieur, comptabilisent
chacune 35 % de diplômés parmi leurs actifs. On y
recense par ailleurs respectivement 15 000 et 30 000
étudiants (soit 27 % et 53 % des effectifs régionaux).
–
ORLÉANS, ZONE D’EMPLOI ATTIRANT LE
PLUS D’ACTIFS QUALIFIÉS
–
De toutes les zones d’emploi de la région Centre,
Orléans est celle qui attire, proportionnellement au
nombre d’emplois, le plus d’actifs qualifiés. Les zones
d’emplois de Gien, Issoudun, Tours et Chinon, par-
viennent également à attirer des actifs qualifiés4
. Les
zones les moins attractives sur ce plan sont Saint-
Amand-Montrond, Le Blanc et Châteaudun.
3. Cette estimation a été réalisée à
partir de la base du recensement 2011
(Insee). Les cadres en activité dans le
secteur privé ont été repérés et
répartis par zone d’emploi. Cette
répartition a été appliquée par région
en fonction des effectifs cadres
régionaux au 31/12/2013 calculés
par l’Apec à partir de son enquête
annuelle Perspectives de l’emploi
cadre.
4. http://www.insee.fr/fr/themes/
document.asp?reg_id=0&ref_
id=ip1416
(*) Le rang de Nogent-Le-Rotrou intègre le territoire de la zone d’emploi situé en Basse-Normandie : 1 100 cadres
au total sur la zone. (**) Celui de Cosne-Clamecy intègre la partie de la zone d’emploi située en Bourgogne : 1 200
cadres au total sur la zone.
5. APEC – ATTRACTIVITÉ ET EMPLOI CADRE DANS LE CENTRE 5
–LES SPÉCIFICITÉS SECTORIELLES DE LA RÉGION–
–
LA GRANDE MAJORITÉ DES SALARIÉS DE
LA RÉGION CENTRE TRAVAILLE DANS LE
SECTEUR TERTIAIRE
–
Dans le Centre, 42 % des salariés travaillent dans le
secteur tertiaire marchand, ce qui dénote une sous-
représentation de cette activité par rapport à l’échelle
métropolitaine (tableau 3). Elle reste cependant le
1er
secteur d’activité de la région (comme dans
l’Hexagone), suivie par le tertiaire non-marchand (qui
réunit 33 % des effectifs salariés régionaux). La pré-
pondérance du tertiaire marchand se vérifie dans
quasiment toutes les zones d’emploi à l’exception,
d’une part, de Saint-Amand-Montrond, Châteaudun
et Le Blanc où la sphère non-marchande prédomine
de peu et, d’autre part, de Gien qui se distingue par
le poids de son secteur industriel. Les activités indus-
trielles rassemblent 17 % des effectifs salariés de la
région. Fort représentées à Gien, elles sont aussi bien
présentes à Issoudun et Pithiviers. Ces trois zones
d’emploi, où trois salariés sur dix travaillent dans
l’industrie, sont donc les plus industrialisées de la
région, à l’inverse de Cosne - Clamecy et Le Blanc où
cette activité ne rassemble que 10 % des salariés
locaux. La faible représentation des salariés tra-
vaillant dans le domaine industriel sur la zone d’em-
ploi de Cosne - Clamecy, associée à la sous-représen-
tation des salariés relevant du secteur marchand sur
ce même territoire (28 %), s’explique par sa forte
dominante agricole. En effet, sur cette zone d’emploi,
25 % des salariés travaillent dans le secteur agricole.
Agriculture Industrie Construction
Tertiaire
marchand5
Tertiaire
non-marchand6
Région Centre 1 % 17 % 7 % 42 % 33 %
Valeurs les plus élevées
par zone d'emploi
Cosne - Clamecy
(25 %).
Chinon (5 %)
Gien (35 %).
Issoudun (34 %)
Cosne - Clamecy
(10 %).
Montargis,
Le Blanc (9 %)
Orléans (46 %).
Tours, Blois (45 %)
Le Blanc (43 %).
Bourges (38 %)
France métropolitaine 1 % 14 % 6 % 47 % 32 %
France hors Île-de-France 1 % 15 % 7 % 43 % 34 %
Source:Insee(Estel)2011,traitementsApec.
–Tableau 3–
Répartition des salariés de la région Centre par secteur d’activité
Enfin, la part des salariés de la construction connaît
elle aussi quelques écarts d’une zone d’emploi à
l’autre. Elle passe de 4 % à Issoudun à 10 % pour la
zone d’emploi de Cosne - Clamecy.
–
DES SPÉCIFICITÉS SECTORIELLES
INFRARÉGIONALES MARQUÉES
–
Six zones d’emploi représentent 75 % de l’emploi
salarié régional du secteur privé : Orléans, Tours,
Chartres, Blois, Bourges et Châteauroux. En termes
d’activités, toutes présentent des spécificités fortes,
au regard de la structure sectorielle régionale (ta-
bleau 4).
La programmation et le conseil aux activités informa-
tiques ressort comme étant la spécificité première
d’Orléans (avec un indice de spécificité7
de 2,9), ce
qui est à mettre en lien avec la présence sur ce terri-
toire d’entreprises telles que Sopra (groupe dédié aux
conseils, services technologiques, et l’édition de logi-
ciels), IBM ou Atos. De son côté, Tours se démarque
dans le domaine de la fabrication de produits infor-
matiques électroniques et optiques (indice de 1,8).
STMicroelectronics compte parmi les grands acteurs
de ce domaine qui sont implantés sur la zone touran-
gelle. De son côté, la zone d’emploi de Chartres met
en évidence une forte spécialisation dans l’industrie
chimique (indice de 2,9), tandis que pour les zones
d’emploi de Blois et de Bourges, ce sont respective-
ment les services d’information et la fabrication de
matériels de transport autres qu’automobiles qui
5. Transports, commerce, services aux
entreprises, services aux particuliers,
activités immobilières et financières.
6. Administration publique,
enseignement, santé humaine et
action sociale.
7. Ce niveau de spécificité est calculé
en faisant le rapport de la part
occupée par tel ou tel secteur
d’activité dans une zone d’emploi
donnée, par rapport à celle qu’il
occupe au niveau régional. Seuls ont
été pris en compte ici, les secteurs
représentant 1 % au moins des
effectifs propres à chaque zone
d’emploi et un nombre significatif de
salariés.
6. APEC – ATTRACTIVITÉ ET EMPLOI CADRE DANS LE CENTRE6
sont caractéristiques de l’emploi salarié (avec des
indices respectifs de 4,2 et de 6,1). À Châteauroux,
la métallurgie est surreprésentée (indice de 6,1).
D’autres activités sont surreprésentées dans des
zones d’emploi de plus petite importance par rapport
au tissu régional. Gien, Vendôme et Montargis pos-
sèdent ainsi des dominantes sectorielles fortes, à
savoir respectivement la production et distribution
d’électricité ou de gaz (indice de 8), ou l’industrie
automobile (indice de 3,5 pour Montargis, et de 5,3
pour Vendôme). Tous ces éléments attestent l’impor-
tante hétérogénéité du tissu sectoriel régional.
Du point de vue régional, deux industries sont parti-
culièrement bien représentées dans le Centre : l’indus-
trie pharmaceutique, qui compte en proportion trois
fois plus de salariés en proportion qu’à l’échelle na-
tionale, et la plasturgie.
La première de ces activités est particulièrement asso-
ciée à la zone d’emploi de Dreux. C’est là que sont
notamment implantées Beaufour Ipsen Industrie ou
Norgine Pharma. La zone d’emploi de Chartres, siège
du cluster Polepharma est un autre territoire régional
où se développe spécifiquement cette activité. Quant
aux zones d’emploi de Vierzon, Châteaudun, Montar-
gis, elles s’avèrent particulièrement emblématiques
pour ce qui concerne la confection de produits en
caoutchouc et plastique. Hutchinson, entre autres, y
possède des implantations.
Zone d’emploi
Principaux domaines de spécificité
Indice
de spécificité
% des salariés
de la zone
travaillant dans ce
domaine
Orléans 1 Programmation, conseil et autres activités
informatiques
2,9 1,6 %
2 Recherche-développement scientifique 2,2 1,3 %
Tours 1 Fabrication de produits informatiques,
électroniques et optiques
1,8 1,3 %
2 Transports terrestres et transports par
conduites
1,3 4,5 %
Chartres 1 Industrie chimique 2,9 2,4 %
2 Fabrication d'équipements électriques 2,3 2,1 %
Blois 1 Services d'information 4,8 1,2 %
2 Industrie automobile 3,9 2,8 %
Bourges 1 Fabrication d'autres matériels de transport 4,2 2,8 %
2 Télécommunications 2,5 1,3 %
Châteauroux 1 Métallurgie 6,1 2,2 %
Autres industries manufacturières 2,9 1,0 %
Région Centre 1 Industrie pharmaceutique 2,9 1,0 %
2 Fabrication de produits en caoutchouc
et en plastiques
2,1 1,7 %
Source:Insee(Clap),TraitementsApec.
–Tableau 4–
Domaines de spécificités sectorielles dans les 6 zones d’emploi du Centre comptant le plus de salariés
La part des salariés dans la « programmation, conseil et autres activités informatiques » est 2,9 fois plus importante
dans la zone d’emploi d’Orléans qu’à l’échelle régionale.
La part des salariés dans « l’industrie pharmaceutique » est 2,9 fois plus importante dans la région Centre qu’à l’échelle
nationale.
Seuls les secteurs comptant un volume significatif de salariés (généralement au moins 1 000 salariés et/ou au moins 1 % des effectifs salariés de la zone ou de la région)
sont ici considérés.
7. APEC – ATTRACTIVITÉ ET EMPLOI CADRE DANS LE CENTRE 7
–PERSPECTIVES POUR LE CENTRE–
–
LE CENTRE À L’AUNE DE LA RÉFORME
TERRITORIALE
–
Le projet de loi relatif à la délimitation des régions,
aux élections régionales et départementales, et modi-
fiant le calendrier électoral a été adopté par l’Assem-
blée nationale le 17 décembre 2014. Aussi, au 1er
janvier 2016, la France métropolitaine comptera 13
régions au lieu de 22. Dans un contexte global en
mutation, le périmètre de la région Centre demeure
toutefois inchangé. Pour autant, les fusions régio-
nales envisagées de part et d’autre du territoire hexa-
gonal vont jouer sur son positionnement, tant au
niveau démographique qu’économique. Avec ses 2,6
millions d’habitants, le Centre deviendra ainsi l’une
des régions de France les moins peuplées. Seule la
Corse comptera moins d’habitants. Elle se situera
également en bas de classement des régions métro-
politaines pour le nombre de salariés (627 000 envi-
ron, soit le 12e
rang derrière la région Bourgogne/
Franche-Comté, mais devant la Corse). Avec ses
92 400 cadres du privé, la région Centre rassemblera
3,2 % des effectifs cadres en France, soit un peu plus
que la Bourgogne/Franche-Comté (87 900 cadres,
3 %) mais légèrement moins que la Bretagne
(101 000 cadres, 3,5 %).
–
QUELLES ORIENTATIONS STRATÉGIQUES
POUR LA RÉGION ?
–
En matière de recherche et d’axes d’investissement
pour le futur, le Centre devrait continuer de dévelop-
per son expertise dans le secteur pharmaceutique.
Grande région productrice de médicaments et de
cosmétiques, le Centre accueille le siège du pôle de
compétitivité Cosmetic Valley. Sur ce domaine d’acti-
vité, elle devrait poursuivre ses collaborations avec
l’Île-de-France mais aussi avec la nouvelle région fu-
sionnée de Normandie, toutes deux hébergeant des
établissements d’entreprises membres du pôle Cos-
metic Valley mais aussi du cluster Polepharma. Dans
le Centre, le champ plus spécifique des biotechnolo-
gies appliquées au domaine de la santé et à la cos-
métique pourrait par ailleurs être amené à se déve-
lopper.
Le Centre devrait aussi continuer de développer des
partenariats interrégionaux, par exemple, autour de
la problématique des systèmes de stockage pour
l’énergie. La région accueille en effet le siège du pôle
de compétitivité S2E2 (basé à Tours), pôle qui réunit
des établissements localisés dans le Centre mais
aussi dans les régions Pays de la Loire, Île-de-France,
Limousin et Poitou-Charentes.
En complément, le Centre devrait continuer de se
positionner comme un acteur majeur dans le do-
maine de la plasturgie et des matériaux avancés.
C’est sur ce champ en effet qu’elle accueille le siège
d’Élastopole, pôle de compétitivité transverse aux
régions Pays de la Loire, Île-de-France, Auvergne.
Au-delà de ces synergies interrégionales, la région
Centre devrait également continuer de renforcer son
expertise propre en matière d’ingénierie et métrolo-
gie environnementales. Sont ici visés « l’ensemble des
outils et services consacrés à la restauration et à la
réhabilitation des milieux, en particulier aquatiques,
notamment par le développement de solutions éco-
logiques d’assainissements et d’épuration » (Aritt
Centre, 2013). Le pôle de compétitivité DREAM Eau
et milieux ainsi que le centre de recherche BRGM
(Bureau de recherches géologiques et minières), tous
deux situés à Orléans, constituent deux éléments
moteurs pour cet axe considéré comme stratégique
par la région.