Analyse des Données - Une Approche Innovante pour le Secteur FinancierTrick Consulting
Présentation de l'apport de l'analyse des données dans le secteur financier : Une approche basée sur la satisfaction des clients et la prédiction comportementale
Table ronde PE - magazine des affaires - avril 2014 - Interview de Tristan Pa...Tristan Parisot
Tristan Parisot et sept autres experts du LBO font un état des lieux du marché français dans les locaux du cabinet Wragge Lawrence Graham & Co. La question à l'honneur est de savoir si 2014 sera-t-elle l'année du retour en force du Private Equity ?
Objectif :
En se basant sur des retours d’expérience concrets, présenter des fonctionnements agiles mis en place en temps de crise face au manque de visibilité.
Sommaire :
- Point de contexte
- Projeter avec agilité face à des cycles courts
- Intégrer la digitalisation dans la stratégie de rebond
- Réfléchir en dehors des schémas classiques
- Créer et partager de nouveaux modèles
- Générer de la confiance vers son écosystème
- Conclusion & Questions / réponses
Analyse des Données - Une Approche Innovante pour le Secteur FinancierTrick Consulting
Présentation de l'apport de l'analyse des données dans le secteur financier : Une approche basée sur la satisfaction des clients et la prédiction comportementale
Table ronde PE - magazine des affaires - avril 2014 - Interview de Tristan Pa...Tristan Parisot
Tristan Parisot et sept autres experts du LBO font un état des lieux du marché français dans les locaux du cabinet Wragge Lawrence Graham & Co. La question à l'honneur est de savoir si 2014 sera-t-elle l'année du retour en force du Private Equity ?
Objectif :
En se basant sur des retours d’expérience concrets, présenter des fonctionnements agiles mis en place en temps de crise face au manque de visibilité.
Sommaire :
- Point de contexte
- Projeter avec agilité face à des cycles courts
- Intégrer la digitalisation dans la stratégie de rebond
- Réfléchir en dehors des schémas classiques
- Créer et partager de nouveaux modèles
- Générer de la confiance vers son écosystème
- Conclusion & Questions / réponses
Apprivoiser la dette technique lodie micoulet_nuglif_atmtl2018Agile Montréal
"Une dette technique non maîtrisée peut vite se transformer en un boulet qui vient vampiriser la productivité des équipes.
Dans cette conférence, nous nous attèlerons à cerner cette dette et ses enjeux. Nous verrons quels moyens peuvent être mis en oeuvre pour la prendre en main, grâce à une boîte à outils de visualisation et de suivi, afin de garder heureux : développeurs, clients et utilisateurs"
Elodie Micoulet
Auteur du document : Hervé Alexandre (Professeur à l'Université Paris Dauphine, Directeur du Master 224 "Banque et Finance")
Type d’auteur : Professeur
Réglementation financière traitée : Bale & Dodd Franck
Langue du document : Français
V2 D&C - restructuration obligataire et recapitalisationVermeille & Co
Mise à jour depuis la V1 -
- impact de l'absence de loan to own sur la discipline des dirigeants
- nouveau cas PSA pour comprendre les raisons pour lesquelles l'Etat français a pu gagner de l'argent en sauvant le groupe
- nouvelle recommendation - disclosure des positions de dérivés pour les garants d'émissions d'actionnaires nouvelles
Le financement des opérations de retournementNuma Rengot 🦎
Dans le cadre des "Semaines de la finance" de la House of Finance de l'Université Paris-Dauphine, le Master 122 de Droit Approfondi de l'Entreprise et l'équipe Restructuring d'Aston Avocats ont eu le plaisir d'organiser le 17 mars dernier une table ronde sur le thème du financement des opérations de retournement. Veuillez trouver ci-joint la publication réalisée dans le numéro spécial "House of Finance Days : imaginons la finance de demain" de la Revue Banque.
Les occasions à saisir avec la réglementation : Une perspective de Deloitte s...Deloitte Canada
Les institutions financières qui savent tirer profit du processus de conformité peuvent se positionner avantageusement face à la concurrence. L’énergie déployée pour comprendre l’incidence de la nouvelle réglementation sur leur entreprise, leurs clients et leurs risques peut être utilisée pour stimuler des changements opérationnels.
3 conseils pour bien valoriser votre startup !Myexperteam
Valoriser sa startup est une étape difficile pour tout entrepreneur souhaitant lever des fonds. Sur quels critères se bases pour bien estimer la valorisation de sa startup ? Xavier Milin, notre expert en levée de fonds vous délivre 3 conseils pour bien valoriser votre startup.
Etude AFNOR-GENERALI-CSA PME et management des risquesGroupe AFNOR
Etude publiée en juin par le groupe AFNOR, Generali et l’institut CSA sur la réalité des chocs que vivent les PME qui démontre la pertinence des approches managériales de la gestion des risques, telles que proposées dans les normes volontaires comme l’ISO 9001.
Plus d'infos : http://www.afnor.org/profils/centre-d-interet/gestion-des-risques-et-sst/focus-sur-le-management-des-risques/le-management-des-risques
Les procédures collectives de traitement des difficultés financières des entr...France Stratégie
Chaque année, en France, environ 50 000 entreprises en difficulté financière entament une procédure collective. La plupart sont directement liquidées. Pour un peu plus d’un tiers, cependant, la procédure collective table sur un rétablissement financier, notamment par la renégociation de leur dette avec les créanciers. Qu’advient-il ensuite de ces entreprises placées en redressement judiciaire ou en procédure de sauvegarde ? Pour répondre à cette question, France Stratégie a bâti une base de données qui, progressivement enrichie, permettra un suivi et une évaluation de ces procédures collectives.
En savoir plus :
http://strategie.gouv.fr/publications/procedures-collectives-de-traitement-difficultes-financieres-entreprises-france
Apprivoiser la dette technique lodie micoulet_nuglif_atmtl2018Agile Montréal
"Une dette technique non maîtrisée peut vite se transformer en un boulet qui vient vampiriser la productivité des équipes.
Dans cette conférence, nous nous attèlerons à cerner cette dette et ses enjeux. Nous verrons quels moyens peuvent être mis en oeuvre pour la prendre en main, grâce à une boîte à outils de visualisation et de suivi, afin de garder heureux : développeurs, clients et utilisateurs"
Elodie Micoulet
Auteur du document : Hervé Alexandre (Professeur à l'Université Paris Dauphine, Directeur du Master 224 "Banque et Finance")
Type d’auteur : Professeur
Réglementation financière traitée : Bale & Dodd Franck
Langue du document : Français
V2 D&C - restructuration obligataire et recapitalisationVermeille & Co
Mise à jour depuis la V1 -
- impact de l'absence de loan to own sur la discipline des dirigeants
- nouveau cas PSA pour comprendre les raisons pour lesquelles l'Etat français a pu gagner de l'argent en sauvant le groupe
- nouvelle recommendation - disclosure des positions de dérivés pour les garants d'émissions d'actionnaires nouvelles
Le financement des opérations de retournementNuma Rengot 🦎
Dans le cadre des "Semaines de la finance" de la House of Finance de l'Université Paris-Dauphine, le Master 122 de Droit Approfondi de l'Entreprise et l'équipe Restructuring d'Aston Avocats ont eu le plaisir d'organiser le 17 mars dernier une table ronde sur le thème du financement des opérations de retournement. Veuillez trouver ci-joint la publication réalisée dans le numéro spécial "House of Finance Days : imaginons la finance de demain" de la Revue Banque.
Les occasions à saisir avec la réglementation : Une perspective de Deloitte s...Deloitte Canada
Les institutions financières qui savent tirer profit du processus de conformité peuvent se positionner avantageusement face à la concurrence. L’énergie déployée pour comprendre l’incidence de la nouvelle réglementation sur leur entreprise, leurs clients et leurs risques peut être utilisée pour stimuler des changements opérationnels.
3 conseils pour bien valoriser votre startup !Myexperteam
Valoriser sa startup est une étape difficile pour tout entrepreneur souhaitant lever des fonds. Sur quels critères se bases pour bien estimer la valorisation de sa startup ? Xavier Milin, notre expert en levée de fonds vous délivre 3 conseils pour bien valoriser votre startup.
Etude AFNOR-GENERALI-CSA PME et management des risquesGroupe AFNOR
Etude publiée en juin par le groupe AFNOR, Generali et l’institut CSA sur la réalité des chocs que vivent les PME qui démontre la pertinence des approches managériales de la gestion des risques, telles que proposées dans les normes volontaires comme l’ISO 9001.
Plus d'infos : http://www.afnor.org/profils/centre-d-interet/gestion-des-risques-et-sst/focus-sur-le-management-des-risques/le-management-des-risques
Les procédures collectives de traitement des difficultés financières des entr...France Stratégie
Chaque année, en France, environ 50 000 entreprises en difficulté financière entament une procédure collective. La plupart sont directement liquidées. Pour un peu plus d’un tiers, cependant, la procédure collective table sur un rétablissement financier, notamment par la renégociation de leur dette avec les créanciers. Qu’advient-il ensuite de ces entreprises placées en redressement judiciaire ou en procédure de sauvegarde ? Pour répondre à cette question, France Stratégie a bâti une base de données qui, progressivement enrichie, permettra un suivi et une évaluation de ces procédures collectives.
En savoir plus :
http://strategie.gouv.fr/publications/procedures-collectives-de-traitement-difficultes-financieres-entreprises-france
Les procédures collectives de traitement des difficultés financières des entr...
La mise en place de bad banks
1. La mise en place de « bad banks » peut-elle
aider à résoudre la crise ?
Une bad bank est une structure publique, privée ou mixte qui prend en charge les actifs “pourris”
d’une ou plusieurs banques afin de liquider ces actifs en essayant de limiter les pertes, ce qui doit
permettre aux banques assainies de recommencer à prêter et/ou d’éviter la faillite. Plusieurs Etats y ont
eu recours par le passé, avec plus ou moins de succès. En nous penchant sur deux exemples éloquents
de réussite d’une part - la Resolution Trust Corporation aux Etats-Unis, et Securum et Retriva en
Suède- et d’échec d’autre part- le Consortium de Réalisation du Crédit Lyonnais en France et la
Resolution and Collection Corporation japonaise -, nous pouvons mettre en avant quelques facteurs-
clés ayant concouru à l’efficacité d’une telle structure :
- la qualité relative des actifs placés dans la bad bank;
- une structure disposant de l’autorité nécessaire pour contraindre les banques concernées à
agir ;
- une valorisation adéquate des actifs concernés ;
- des gestionnaires compétents, indépendants et motivés ;
- un fonctionnement transparent ;
- une durée de vie en adéquation avec la mission de liquidation ;
- l’ampleur limitée de la crise.
Fin 2008, la piste de la bad bank a été envisagée dans différents Etats. Les USA, l’Allemagne et
l’Irlande ont chacun proposé un modèle différent dont le tableau ci-dessous constitue une brève
comparaison :
USA Allemagne Irlande
Rôle de l’Etat Apport de fonds + Garantie Financement complet
garanties
Répartition des risques entre Très limitée oui oui
secteur public et secteur privé
Valorisation des actifs Enchères du secteur privé NA Dévalorisation jusqu’à 47%
Pénalisation des actionnaires Non Oui Non
des banques
2. Notons que les modèles pris en compte pour cette étude sont ceux visant à sauver plusieurs banques et
non à venir en aide à une seule banque, comme ce fut le cas en Belgique pour Fortis.
Si l’on reprend les facteurs de succès décrits ci-dessus, force nous est de constater qu’ils ne sont que
partiellement présents dans les modèles proposés, comme le montre le tableau suivant :
USA Allemagne Irlande
Qualité relative des actifs ? oui oui
Autorité suffisante ? non oui
Valorisation correcte ? NA oui
Personnel adéquat non NA oui
Fonctionnement transparent non oui non
Durée de vie NA NA non
Ampleur de la crise Très importante Très importante Très importante
Bilan Rien de concret Très mitigé En cours sans convaincre
Quels que soient les choix opérés, ces modèles n’ont pas convaincu et ont parfois même été moins
bien perçus qu’une nationalisation pure et simple des banques concernées.
En conclusion : vu l’efficacité avec laquelle certaines bad banks ont permis de venir à bout de
précédentes crises, il est logique qu’une structure similaire ait été envisagée pour endiguer la crise
actuelle. Le problème, c’est que nous sommes face à une crise tout à fait spécifique qui a frappé de
plein fouet l’ensemble du globe et qui ne permet plus de miser sur les atouts des structures
précédentes, vu le climat d’incertitude. Les actifs toxiques ou non performants sont des produits
complexes, bien plus difficiles à évaluer que lors de précédentes crises. Les tentatives de valorisation
relancent le débat sur le renflouement des banques par l’Etat alors que la création de bad banks devait
précisément y mettre un terme. La solution des bad banks s’est surtout révélée efficace dans le passé
pour des banques déjà nationalisées ou en faillite, où les gestionnaires pouvaient prendre toutes les
décisions qui s’imposaient dans l’intérêt public en vue de rétablir la situation économique.
Actuellement, vu l’incertitude qui règne, les Etats n’ont pas la possibilité de se montrer aussi sévères
et, s’il s’agit certes également de rétablir la situation économique, le but est d’éviter au maximum
faillites et nationalisations.
Dès lors, s’il est peut-être présomptueux d’affirmer catégoriquement qu’une bad bank ne peut pas
contribuer à la résolution de la crise actuelle, nous sommes obligés de reconnaître que le bilan est
jusqu’ici plus que mitigé.
Marie Mélin