Théories des Sciences de l'Information et de la Communication (partie 1)Clément Dussarps
Théories des SIC (Sciences de l'information et de la communication).
Histoire et définition des SIC, modèle de Shannon et Weaver, cybernétique, systémique, approche linguistique (Jakobson)... bref, un survol pour un cours de 4h de modèles et "théories" utilisées en SIC (partie 1).
Théories des Sciences de l'Information et de la Communication (partie 2) Clément Dussarps
Théories et principes issus de l'école de Palo Alto (notamment Watzlawick), l'approche médiologique (R. Debray), communication médiatique, communication des organisations, incommunication (D. Wolton).
Toute activité humaine est communication, elle est partout, elle est inévitable. Elle a lieu avec des individus, des groupes, des objets ; à l’occasion de transactions interpersonnelles ou professionnelles
Théories des Sciences de l'Information et de la Communication (partie 1)Clément Dussarps
Théories des SIC (Sciences de l'information et de la communication).
Histoire et définition des SIC, modèle de Shannon et Weaver, cybernétique, systémique, approche linguistique (Jakobson)... bref, un survol pour un cours de 4h de modèles et "théories" utilisées en SIC (partie 1).
Théories des Sciences de l'Information et de la Communication (partie 2) Clément Dussarps
Théories et principes issus de l'école de Palo Alto (notamment Watzlawick), l'approche médiologique (R. Debray), communication médiatique, communication des organisations, incommunication (D. Wolton).
Toute activité humaine est communication, elle est partout, elle est inévitable. Elle a lieu avec des individus, des groupes, des objets ; à l’occasion de transactions interpersonnelles ou professionnelles
Cours Techniques d'Expression & de Communication I - Initiation- ENSASafi Mor...Rednef68 Rednef68
Ce cours est destiné au étudiants de la licence professionnelle Universitaire (Diverses Disciplines) à l'Ecole des Sciences Appliquées de Safi pour le compte de l'année universitaire 2015/2016.
SNE/FDT
Formation des formateurs pour la prévention contre le travail des enfants
Module 7 larache
la communication et ses enjeux
Encadrement : NAJAT SAADI
LARACHE LE: 30/4/2016
La notion de conflit relationnel : comment et pourquoi il se déclare, comment le réguler, quelle position adopter pour une démarche relationnelle basée sur la bienveillance et la recherche du compromis acceptable par les deux parties.
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la communication et ses enjeux
Encadrement : NAJAT SAADI
LARACHE LE: 30/4/2016
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Guide Initiation aux Médias Sociaux pour les PMELaura Molina
Vous êtes chef d'une petite entreprise et vous envisagez un développement de votre business sur le Net. Vous voulez être présent sur les médias sociaux, mais vous ne savez pas comment faire. Les exemples que vous trouvez sur Internet ne correspondent pas à une stratégie comme la vôtre. Voici le premier guide d'initiation aux médias sociaux pour les petites et moyennes entreprises! Contactez-nous sur www.valeurdimage.com
Quel est le rôle des médias sociaux dans l’entreprenariat d’aujourd’hui ? 4 chefs d’entreprises européens nous livrent, à travers cette présentation, leur vision mais aussi des conseils et astuces pour les utiliser au mieux.
Logiciels de pilotage de force de vente : partenaires de votre reussitecbmbd
Des commerciaux qui se consacrent entièrement à la vente ? C’est possible !
Des dir. Marketing et commerciales connectées au terrain ? C’est possible !
Des logiciels faciles à intégrer à vos dispositifs actuels ? Ça existe !
Des études de cas pour le démontrer
Des conseils pour votre recherche de l’outil le plus adapté à vos équipes.
Accompagner les marques automobiles dans l’optimisation de leur communication : C’est l’ambition de l’observatoire Prism’Automobile, proposé par Prisma Media Solutions. Enrichi des feedbacks de sa première édition l’hiver dernier, l’observatoire Prism’Automobile, approfondit cette année, toujours en partenariat avec @Ipsosfrance, la notion de valeur en communication automobile et l’articulation des discours-prix.
Selon Françoise Hernaez-Fourrier, Directrice du Planning Stratégique d’Ipsos ASI, les constructeurs automobiles vont exprimer 4 stratégies de valorisation publicitaire…
Nous fournissons un effort constant afin de faire bénéficier nos clients des dernières avancées scientifiques appliquées aux études d’évaluation des Marques et des Communications publicitaires.
Notre dernière innovation ?
L’apport d’applications utilisant la neuroscience à nos domaines d’expertise.
Aujourd’hui la valeur de l’information sur le papier réside dans son traitement.
Les journalistes l’analysent, la mettent en perspective, valident les sources, l’illustrent.
Il faut aller encore plus loin pour parvenir à augmenter la valeur perçue de l’information dans la presse. Plus loin…au plus prés des attentes des lecteurs…
Bref la traiter en fonction de leurs attentes spécifiques, en pleine affinité avec eux.
Il existe plusieurs pistes de réflexion possibles, puisque chacun de nous valorise une information d’une façon différente :
- Brute : le lecteur se fait son opinion
- Transparente : l’information transparente : le lecteur suit l’information à la trace pour la valider en fonction des relais d’information
- Opérationnelle : elle devient un moyen de réalisation
- Gratuite : sa valeur est aussi dans son rapport qualité prix
- Ethique : sa valeur vient des valeurs et opinion des personnes qui la diffusent
- Expérientielle : il y a partage d’expériences
- Exclusive : il n’est pas accessible a tout le monde, rédigée par des experts
- Hyper disponible : disponible immédiatement
- Hyper-pertinente : l’information est ciblée
Le nouveau rôle de la presse : aggrégateurs d’information et de communautés d’intérêts.
Jusqu’alors la presse faisait particulièrement autorité face à d’autres grands médias comme la télévision ou la radio. Mais les gens ont accès à de plus en plus de sources ultra ciblées, que ce soient des médias presse, la télé…là ou ils veulent, quand ils veulent.
De plus, tout le monde aujourd’hui peut devenir producteur de contenu, et diffuse via les plateformes de blogging ou micro-blogging.
Il faut se rendre à l’évidence : l’information n’est plus maîtrisable et maîtrisée. Nous assistons à la montée d’un besoin grandissant de filtrage, de hiérarchisation et de simplification de l’information.
Certaines personnes sur internet, choisissent et organisent de façon quasi professionnelle leurs flux d’information grâce aux applications netvibes ou autres igoogle, la ou un très grand nombre de personnes sélectionnent leurs chaînes de TV en choisissant tel ou tel bouquet satellite, ou en choisissant leur journal au kiosque.
On voit paraître un besoin d’agrégation de l’information à la fois individuelle et collective.
C’est pour cela que la presse doit s’adapter. La presse doit donc désormais se présenter comme le meilleur point d’entrée pour prendre connaissance de l’ensemble de l’information qui circule dans la presse, internet, à la TV, de bouche à oreilles et qui est pertinente pour les lecteurs. Elle doit ainsi agréger, en faisant remonter l’ensemble des prises de paroles et en les intégrant : il ne s’agit plus de faire cohabiter l’information «officielle » aux cotés de l’information « non officielle » comme par exemple sur le site web du monde.
Dorénavant pour les journalistes, c'est comme si le vrai travail commençait après la diffusion d’une information. Ils deviendraient plus que jamais aggrégateurs de contenus similaires a ceux qu’ils ont signés et animateurs de communautés d’intérêts autour de ces contenus réunit. Cela permettrait a certains contenus d’émerger dans la presse et sur internet alors qu’ils n’étaient pas encore connus par les journalistes, cela permettrait d’effectuer périodiquement une grande synthèse.
Le développement de services autour de l’information
Puisque Internet a démultiplié les points de relais de l’information, on assiste à une scission entre le média et l’information. Il est donc important de coller au plus près des usages et de mieux appréhender les contextes de vie pour sélectionner au mieux les points de diffusion et la nature des contenus. "Direct soir" n'est que le début d'un grande vague d’innovations contextuelles dans la presse.
Aujourd’hui la valeur de l’information sur le papier réside dans son traitement.
Les journalistes l’analysent, la mettent en perspective, valident les sources, l’illustrent.
Il faut aller encore plus loin pour parvenir à augmenter la valeur perçue de l’information dans la presse. Plus loin…au plus prés des attentes des lecteurs…
Bref la traiter en fonction de leurs attentes spécifiques, en pleine affinité avec eux.
Il existe plusieurs pistes de réflexion possibles, puisque chacun de nous valorise une information d’une façon différente :
- Brute : le lecteur se fait son opinion
- Transparente : l’information transparente : le lecteur suit l’information à la trace pour la valider en fonction des relais d’information
- Opérationnelle : elle devient un moyen de réalisation
- Gratuite : sa valeur est aussi dans son rapport qualité prix
- Ethique : sa valeur vient des valeurs et opinion des personnes qui la diffusent
- Expérientielle : il y a partage d’expériences
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- Hyper disponible : disponible immédiatement
- Hyper-pertinente : l’information est ciblée
Le nouveau rôle de la presse : aggrégateurs d’information et de communautés d’intérêts.
Jusqu’alors la presse faisait particulièrement autorité face à d’autres grands médias comme la télévision ou la radio. Mais les gens ont accès à de plus en plus de sources ultra ciblées, que ce soient des médias presse, la télé…là ou ils veulent, quand ils veulent.
De plus, tout le monde aujourd’hui peut devenir producteur de contenu, et diffuse via les plateformes de blogging ou micro-blogging.
Il faut se rendre à l’évidence : l’information n’est plus maîtrisable et maîtrisée. Nous assistons à la montée d’un besoin grandissant de filtrage, de hiérarchisation et de simplification de l’information.
Certaines personnes sur internet, choisissent et organisent de façon quasi professionnelle leurs flux d’information grâce aux applications netvibes ou autres igoogle, la ou un très grand nombre de personnes sélectionnent leurs chaînes de TV en choisissant tel ou tel bouquet satellite, ou en choisissant leur journal au kiosque.
On voit paraître un besoin d’agrégation de l’information à la fois individuelle et collective.
C’est pour cela que la presse doit s’adapter. La presse doit donc désormais se présenter comme le meilleur point d’entrée pour prendre connaissance de l’ensemble de l’information qui circule dans la presse, internet, à la TV, de bouche à oreilles et qui est pertinente pour les lecteurs. Elle doit ainsi agréger, en faisant remonter l’ensemble des prises de paroles et en les intégrant : il ne s’agit plus de faire cohabiter l’information «officielle » aux cotés de l’information « non officielle » comme par exemple sur le site web du monde.
Dorénavant pour les journalistes, c'est comme si le vrai travail commençait après la diffusion d’une information. Ils deviendraient plus que jamais aggrégateurs de contenus similaires a ceux qu’ils ont signés et animateurs de communautés d’intérêts autour de ces contenus réunit. Cela permettrait a certains contenus d’émerger dans la presse et sur internet alors qu’ils n’étaient pas encore connus par les journalistes, cela permettrait d’effectuer périodiquement une grande synthèse.
Le développement de services autour de l’information
Puisque Internet a démultiplié les points de relais de l’information, on assiste à une scission entre le média et l’information. Il est donc important de coller au plus près des usages et de mieux appréhender les contextes de vie pour sélectionner au mieux les points de diffusion et la nature des contenus. "Direct soir" n'est que le début d'un grande vague d’innovations contextuelles dans la presse.
Communication et qualité des soins. hypothèses de base docteur philippe l’h...Philippe L'Hereec
Le docteur Philippe L’hereec rappelle brièvement ici certaines des hypothèses et axiomes, devenus classiques et communément admis, des théories de la communication et leur lien avec les soins.
ce document retrace les différentes approches en psychologie sociale des organisations qui ont abordé les différentes définitions de l'interaction symboliques
Présentation à la journée d'étude "La narratologie et les nouvelles dimensions sociales des récits", Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), Paris, 1 et 2 février 2010.
Approches esthétique, médiatique, et sémantique du design interactifGeoffrey Dorne
L'interface graphique de l’application numérique, soumise à l’injonction du geste de
l’utilisateur, prolonge le corps de celui-ci. Quel rapport s’établit entre l’image qui émerge et celui
qui la convoque ? Que reste-t-il du message du concepteur construit par un métarécit singulier ? La
diversité de chaque exploration favorise-t-elle une interprétation individuelle ?
Notre problématique porte sur la tension du concept de design entre sa stratégie de
communication et la contingence de son émergence liée au métarécit de l’utilisateur en liberté
surveillée. Pour répondre à ces interrogations, nous émettons l’hypothèse que l’interactivité génère
un récit individualisé.
Nous guidons notre analyse selon trois axes, celui du design tout d’abord, ensuite celui de
l’individualisation, qui souligne la dimension sensible qu’apporte l’interactivité du design au
moyen d’une délégation d’énonciation envers l’utilisateur, et enfin celui du récit, qui organise le
lien narratif entre le message iconique et l’utilisateur. Trois variables sont retenues (esthétique,
médiatique, sémantique) et croisées afin de parvenir à circonscrire la notion de design interactif.
Notre recherche pratique s’appuie sur l’analyse du site web Communicate de la webagency
londonienne Hi-ReS!. Cette étude de cas rend compte des intentions du concepteur et permet
d’évaluer la tension entre le message polysémique émis et le message monosémique reçu. Une
expérimentation d’oculométrie a été mise en place afin d’évaluer la portée de l’interactivité sur
l’attitude et le ressenti des utilisateurs.
Nous avançons alors la figure métaphorique du « dess@in » afin de modéliser le design
interactif comme un corps malléable individualisé, système négocié entre la stratégie de
communication du designer et la production singulière de l’utilisateur.
Sociologie des réseaux sociaux, 2, EHESS/ENS/ENSAEPaola Tubaro
Deuxième séance (8/12/2014) de mon cours "Sociologie des réseaux sociaux", Master 2 "Sociologie et Statistique" (EHESS/ENS/ENSAE).
Intitulé: Relations et structures sociales
Programme de la séance:
Théorie : L’approche structuraliste en sociologie : comprendre les phénomènes sociaux par les structures. Structures locales et globales dans les réseaux
Méthodes : principes de visualisation des données de réseau.
Exercices : combiner des attributs et des données relationnelles dans Gephi.
FARMASI products are in about 123 countries all over the world. With more than 2000 different products in its 5 integrated factories:
1. Make up (Color cosmetic)
2. Personal Care
3. Perfume
4. PET/ PE packaging factory.
5. Laminated Tube factory.
We are looking forward to make this journey together. Its reliability, innovation and its commitment to using the latest technology made from FARMASI one of the fastest growing companies in its sector.
http://www.farmasi.com/ Catalogue: http://www.farmasi.com/catalog2017.pdf
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Newsletter SPW Agriculture en province du Luxembourg du 03-06-24BenotGeorges3
Les informations et évènements agricoles en province du Luxembourg et en Wallonie susceptibles de vous intéresser et diffusés par le SPW Agriculture, Direction de la Recherche et du Développement, Service extérieur de Libramont.
https://agriculture.wallonie.be/home/recherche-developpement/acteurs-du-developpement-et-de-la-vulgarisation/les-services-exterieurs-de-la-direction-de-la-recherche-et-du-developpement/newsletters-des-services-exterieurs-de-la-vulgarisation/newsletters-du-se-de-libramont.html
Bonne lecture et bienvenue aux activités proposées.
#Agriculture #Wallonie #Newsletter #Recherche #Développement #Vulgarisation #Evènement #Information #Formation #Innovation #Législation #PAC #SPW #ServicepublicdeWallonie
Newsletter SPW Agriculture en province du Luxembourg du 17-05-24BenotGeorges3
Les informations et évènements agricoles en province du Luxembourg et en Wallonie susceptibles de vous intéresser et diffusés par le SPW Agriculture, Direction de la Recherche et du Développement, Service extérieur de Libramont.
https://agriculture.wallonie.be/home/recherche-developpement/acteurs-du-developpement-et-de-la-vulgarisation/les-services-exterieurs-de-la-direction-de-la-recherche-et-du-developpement/newsletters-des-services-exterieurs-de-la-vulgarisation/newsletters-du-se-de-libramont.html
Formation M2i - Prise de parole face caméra : performer en distancielM2i Formation
Le travail en distanciel est de plus en plus incontournable et s'installe durablement dans la société, mais bien souvent, les collaborateurs d'une même entreprise n'ont pas toutes les aptitudes permettant d'être efficaces et impactants avec cette nouvelle façon de travailler : le télétravail !
Cette formation flash vous montrera qu'il est important de se professionnaliser et de faire du distanciel un agréable moment de travail.
Pour approfondir ces sujets et aller plus loin, vous pourrez vous inscrire à notre formation Prise de parole face caméra : performer en distanciel.
Formation offerte animée à distance par notre expert Camel Termellil
M2i Webinar - « Participation Financière Obligatoire » et CPF : une opportuni...M2i Formation
Suite à l'entrée en vigueur de la « Participation Financière Obligatoire » le 2 mai dernier, les règles du jeu ont changé !
Pour les entreprises, cette révolution du dispositif est l'occasion de revoir sa stratégie de formation pour co-construire avec ses salariés un plan de formation alliant performance de l'organisation et engagement des équipes.
Au cours de ce webinar de 20 minutes, co-animé avec la Caisse des Dépôts et Consignations, découvrez tous les détails actualisés sur les dotations et les exonérations, les meilleures pratiques, et comment maximiser les avantages pour les entreprises et leurs salariés.
Au programme :
- Principe et détails de la « Participation Financière Obligatoire » entrée en vigueur
- La dotation : une opportunité à saisir pour co-construire sa stratégie de formation
- Mise en pratique : comment doter ?
- Quelles incidences pour les titulaires ?
Webinar exclusif animé à distance en coanimation avec la CDC
2. 1-Mortensen: «Dans le sens le plus large, un modèle
est une représentation systématique d'un objet ou d'un
événement sous forme idéalisée et abstraite.
Les modèles sont arbitraires par leurs natures. L'acte
d'abstraction élimine certains détails pour se
concentrer sur les facteurs essentiels. . . La clé de
l'utilité d'un modèle est le degré auquel elle se
conforme - en correspondance point par point - les
facteurs fondamentaux déterminants du comportement
communicatif ".
2. «Les modèles de communication ne sont que des
images, ils sont même déformé des images, parce qu'ils
arrêtent ou geler un processus interactif ou Transactive
essentiellement dynamique dans une image statique."
3. Les modèles sont des métaphores. Ils nous
permettent de voir une chose en une autre.
3. 1- La définition d'Aristote de la rhétorique. Ehninger, Gronbeck et Monroe: L'une des
premières définitions de la communication venus du philosophe-enseignant grec
Aristote (384-322 avant JC).
une. «Rhétorique» est «la faculté d'observer en tout cas donné les moyens de
persuasion disponibles» (Rhétorique 1335b).
b. Le modèle de haut-parleur centrée d'Aristote reçu peut-être son plus grand
développement dans les mains de l'éducateur romain Quintilien (environ 35-95 AD),
dont Institutio Oratoria a été rempli de conseils sur la formation complète d'un "bon"
haut-parleur d'État.
4. Le modèle d'Aristote de la preuve. Kinnevay voit aussi un modèle
de communication dans la description d'Aristote de la preuve:
A- Logos, est inhérent dans le contenu ou le message lui-même
b. Pathos, est inhérent dans le public
c. Ethos, inhérente à l'orateur
5. De nombreux théoriciens de la communication
ont cherché à conceptualiser « le processus de
communication ». La liste présentée ci-après ne
peut prétendre être exhaustive, tant les modèles
sont nombreux et complémentaires. L’objectif est
de fournir un aperçu de l’évolution générale en
explicitant les modèles les plus connus ainsi que
leurs apports.
En Faite, Ils ont été catégories dans 3 types mais ils les regroupent pas:
Early Linear Models
Non-linear Models
Multidimensional Models
6.
7. Le modèle de Claude Shannon et Weaver[7] désigne un
modèle linéaire simple de la communication. « Un
émetteur, grâce à un codage, envoie un message à un
récepteur qui effectue ledécodage dans un contexte
perturbé de bruit. »
Apparu dans Théorie mathématique de la
communication (1948), ce schéma sert à deux
mathématiciens Claude Shannon (père entre autres de
nombreux concepts informatiquesmodernes) et
Warren Weaver (scientifique versé tant dans la
vulgarisation que la direction de grands instituts).
.
8. Ce modèle, malgré son immense popularité (on le trouve cité souvent
comme "le modèle canonique de la communication"), ne s’applique pas à
toutes les situations de communication et présente de très nombreux
défauts :
- et s’il y a plusieurs récepteurs ?
- et si le message prend du temps pour leur parvenir ?
- et si la réalité décrite n’existe pas ailleurs que chez le premier locuteur ?
- et s’il y a plusieurs messages (au besoin contradictoires) qui sont prononcés
en même temps?
- et s’il y a un lapsus ?
- et si sont mis en jeu des moyens de séduction, de menace ou de coercition
?
- et si le message comporte des symboles nouveaux ou des jeux de mots ?
En sus de sa linéarité, le modèle de Shannon et Weaver considère que le
récepteur est passif : toutes les recherches en
Sciences de l’information et de la communication montrent que cela est
simpliste, ou faux
9.
10. Harold Dwight Lasswell, politologue et psychiatre américain, s’est fait un nom
en modélisant la communication de masse à travers les questions : « Qui, dit
quoi, par quel canal, à qui et avec quel effet ? ». Ce modèle conçoit la
communication comme étant un processus d’influence et depersuasion, très proche
de la publicité
Pourtant il est critiquable, sur la même base que les
critiques émises contre le modèle deClaude Shannon
et Weaver.
- il envisage la communication comme une relation
d’autorité et de persuasion.
-Et il néglige le message de rétroaction, ainsi que les
notions depsychologie et de sociologie de part et
d’autre de la relation de communication.
- Le récepteur est toujours considéré comme passif, ce
qui est encore inexact, car il existe en général
interaction entre l’émetteur et le récepteur, ce qui n’est
pas pris en compte dans ce modèle.
11.
12. Cet autre modèle, fondé sur la linguistique, est proposé par Roman Jakobson (
1896-1982). Ce linguiste russe développe un point de vue centré non plus sur
la transmission d’un message, mais sur le message lui-même, évitant ainsi les
dangers d’instrumentalisation technique (voir sur ce point
philosophie des réseaux).
Il est composé de six facteurs. À chacun de ces facteurs est liée une fonction
du message, explicitée par Jakobson.
•Le destinateur, lié à la fonction expressive du message,
•Le message, lié à la fonction poétique du message,
•Le destinataire, lié à la fonction conative du message,
•Le contexte, l’ensemble des conditions (économiques, sociales et
environnementalesprincipalement) extérieures aux messages et qui influence
sa compréhension, lié à la fonction référentielle du message,
•Le code, symbolisme utilisé pour la transmission du message, lié à la fonction
métalinguistique du message,
•Le contact, liaison physique, psychologique et sociologique entre émetteur et
récepteur, lié à la fonction phatique du message.
On notera l’apparition ou la réapparition des trois dernières notions (contexte,
code,contact) qui complètent énormément la vision d’ensemble sur ce qu’est
une communication.
13.
14. George Gerbner, sociologue des années 1950, avait l’ambition
de formuler un modèle général de la communication. Il
présente en 1956 un modèle beaucoup plus complexe que les
précédents. Son modèle s’articule autour de deux
propositions essentielles :
•Il lie le message au contexte, ainsi il permet de le renseigner
sur la signification dumessage.
•Il décrit le processus de communication comme un
ensemble à deux dimensions : une perceptive et une autre
dimension pour le contrôle.
Le trait particulier de ce modèle est qu’on peut l’appliquer
aux différentes formes de communication en fonction du
contexte. Il convient à un acte de
communication interpersonnelle entre deux personnes mais
aussi au processus plus complexe de la
communication de masse
15.
16. Theodore M. Newcomb, 1953, présente le modèle ABX triangulaire et
devient le premier à introduire le rôle de communication dans la relation
sociale.
Newcomb relève dans les relations sociales deux dimensions. L’attitude,
qui est la qualité du lien affectif, et l’union qui est la spécificité du lien.
Il nous fait également remarquer que les relations se nouent
généralement autour d’un objet (thème de conversation, une
personne, une passion commune…).
La communication est donc ici appréhendée comme un
phénomène dynamique et complexe et non mécanique.
Malheureusement pour ce genre de théorie, les êtres humains ne sont pas des anges.
Ils cherchent à obtenir ou à maintenir leur pouvoir, au travers de toutes les
rhétoriques de l’influence. Le schéma de Thayer doit être revu et corrigé par les
études de Georges Gerbner sur l’influence à long terme de la télévision. Ainsi lorsque
Thayer parle de sens recréé par le récepteur, il convient de ne pas perdre de vue que
cette recréation est elle même le produit des influences et des interactions
préalables ayant activé les processus d’identification, de projection et de transfert.
17.
18. Ce modèle de Matilda White Riley et de John
White Riley introduit de nouvelles notions,
notamment celle de contexte et d’appartenance à
un groupe, liées à la sociologie. De plus ce modèle
est le premier à prendre en compte la notion d’une
boucle de rétroaction, entre l’émetteur et le
récepteur. Cela montre qu’il y a réciprocité et interinfluence entre les individus.
Ce modèle est à l’origine des travaux sur
la communication de groupe
19.
20. Le médiateur intervient directement dans la transmission. Il ajoute ou il
retranche des significations, et à ce titre, il est co-auteur. Dans le
schéma de Westley et MacLean, le médiateur cherche à tenir compte
simultanément des champs sensoriels – on n’oserait pas dire
sémantiques – de l’émetteur et du récepteur
Pour Thayer, c’est le récepteur qui trouve en lui-même le message à partir
des stimuli que le processus de communication a rayonné, au sens d’un
rayonnement électromagnétique. Ce modèle socratique est assimilable à
l’approche maïeutique en matière d’apprentissage. Il trouve cependant
vite ses limites en minorant trop l’activité de l’émetteur. Thayer et d’autres
théoriciens ne posent pratiquement jamais la communication en acte
de pouvoirvis-à-vis de l’information. Pour eux, l’univers de la
communication est évangélique ou rousseauiste.
21.
22. Selon Charles Sanders Peirce, La relation de signe est la
clé. Il décrit cetter relation de signe avec trois éléments
de base de la sémiotique (signes d'action) .
Signe (représente)
Objet (objet sémiotique)
Interprétation ( interpréter le sens)
Tout ce qui est synonyme de quelque chose d'autre dans
la production du sens est appelé "Signe". Chaque signe
qui a soumis à exprimer le cas est appelé «objet». Signes
ont un sens quand il se traduit pour obtenir sens il s'
appelle "interprétation". Peirce nommé cetter operation:
relation triadique
23.
24. Le Modèle transactionnel de Barnlund présente un
système de rétroaction multi-couches pour toutes les
parties concernées, et reconnaît que chacun peut être un
émetteur et un récepteur en même temps.
Les couches de rétroaction se composent de deux signaux
verbaux et non verbaux envoyés en même temps que le
message lui-même. Ceci suggère en outre que les
feedback pourrait prendre un statut égal que le message
lui-même.
25.
26. Par la suite, de nombreuses améliorations de toutes sortes
furent proposées, essentiellement par des auteurs américains
parmi lesquels Elihu Katz et Paul Lazarsfeld qui mirent en
évidence une communication à deux étapes via les leaders
d'opinion.
Les modèles ne peuvent pas être limité sur ceux qui
mentionné au-dessus, mais se sont les plus importants,
chaque modèle a des critiques ou des manques que
l’autre essaye de les satisfaire de sa manière propre, en
but d’arriver au model le plus intégré qui met en
considération les éléments différents qui se présentent
dans l’opération de communication.