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Conference Bi Sam symposium paris : les nouvelles attentes des investisseurs institutionnels en matiere de reporting et de communication

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Conference Bi Sam symposium paris : les nouvelles attentes des investisseurs institutionnels en matiere de reporting et de communication

  1. 1. Symposium « Les nouvelles attentes des investisseurs institutionnels en matière de reporting et de communication » 10 décembre 2013 Alban JARRY Directeur du Programme Solvency 2 de La Mutuelle Générale
  2. 2. Ordre du jour Table Ronde animée par Gaëlle Copienne, Journaliste indépendante Les nouvelles attentes des investisseurs institutionnels en matière de reporting et de communication    Florent Combes, Responsable de la gestion des risques, La mutuelle des artisans Alban Jarry, Directeur du Programme Solvency 2, La Mutuelle Générale David Vafai , Président Directeur Général, Bfinance Conférence Bloomberg sur les réglementations 2
  3. 3. Questions / réponses Aujourd’hui les outils de reporting ont une importance accrue, particulièrement depuis la crise financière de 2008. C’est encore plus vrai pour les investisseurs institutionnels qui sont de plus en plus exigeants… Quand nous préparions cette table ronde vous m’avez dit que nous étions à l’aube d’un véritable big bang en matière de reporting et de communication du fait des nouvelles contraintes règlementaires (notamment le pilier 2 de solvency II)… Qu’en est -il exactement ?  Les délais de production vont être de plus en plus courts sous contraintes de rétros planning liés aux délais réglementaires imposés par l’EIOPA  Il va y avoir des nouvelles exigences dans le pilier 2 de Solvency 2 en termes de qualité et traçabilité des données  Les contrôles vont s’accroître sur la sous-traitance des fonctions clés dont fait partie le suivi des investissements   De nouveaux besoins vont émerger pour analyser les positions et les émetteurs A la place de reportings de performance, le besoin va s’orienter vers une analyse des contraintes de gestion et du respect de couples rendements / risques optimisés. Conférence Bloomberg sur les réglementations 3
  4. 4. Questions / réponses En quoi ces nouvelles directives européennes impactent elles vos attentes en matière de reporting et de communication ?   La comparaison avec la performance d’un benchmark est moins primordiale que par la passé  Les décisions de gestion seront prises en fonction de contraintes propres à l’institutionnel : niveau de SCR, réserve de capitalisation, plus ou moins values, …  Le niveau d’information demandé sera plus fin Une analyse des décisions prises avec de nouveaux types de contraintes pré-trade sera nécessaires Conférence Bloomberg sur les réglementations 4
  5. 5. Questions / réponses Quand vous étiez en asset management, et que vous aviez de nombreux investisseurs institutionnels parmi vos clients, que constatiez vous ? Comment se préparaient ils à ces échéances règlementaires ?  Avant Solvency 2, les demandes étaient surtout axées sur l’analyse de performance, les couples duration / rating, les comparaisons avec les benchmark  Pour se préparer, sur la partie actif, plusieurs institutionnels ont participé aux travaux menés par le Club Ampere. Ces travaux vont reprendre en janvier 2014 (sur le QRT – Actif – D1 qui sera demandé en septembre par l’ACPR)  Une matrice des caractéristiques nécessaires aux calculs de SCR est née de ces échanges et disponible sur le site du Club Ampere Conférence Bloomberg sur les réglementations 5
  6. 6. Questions / réponses La Mutuelle Générale a délégué 1.8 milliards sur ses 2.2 milliards avec pour objectif l’optimisation de sa gestion sous Solvency 2, quelles sont vos attentes de ce fait aujourd’hui en matière de reporting ?       Avoir des informations qualitatives sur les émetteurs des titres et sur les groupes d’émetteurs D’être en mesure de suivre les risques liés à chaque valeur D’appliquer le principe de la personne prudente D’obtenir un référentiel d’analyse permettant de connaître la qualité des investissements D’avoir plus d’analyses liées aux décisions de gestion De mettre en place des contrôles de la sous-traitance plus importants Conférence Bloomberg sur les réglementations 6
  7. 7. Questions / réponses Est ce que vous aussi votre degré d’exigence a augmenté ?    Il a toujours été élevé chez les investisseurs La réglementation retranscrit le besoin d’augmenter le suivi et de le rendre plus qualitatif Des nouveaux indicateurs d’analyse des fonds et mandats vont voir le jour pour mieux retranscrire une gestion sous contrainte de gestion assurantielle et réglementaire Conférence Bloomberg sur les réglementations 7
  8. 8. Questions / réponses Le reporting est il aujourd’hui un véritable élément de différenciation ?    Il a toujours été un élément de différenciation entre société de gestion  De nouveaux types de reportings et d’analyses vont apparaître Il fait partie d’une offre globale de service à destination du client Il va fortement évoluer dans les deux prochaines années avec la mise en place de Solvency 2 et l’évolution des besoins des institutionnels Conférence Bloomberg sur les réglementations 8
  9. 9. Questions / réponses Parlons à présent plus précisément de la production de ces reportings. Dans la mesure où les investisseurs institutionnels doivent comme on l’a vu fournir des reportings de plus en plus réguliers et détaillés, la question se pose : le faire en interne ou sous-traiter... Pour quelle solution faut-il opter et quelle est la tendance ?  Il existe trois solutions actuellement pour les institutionnels : • Produire les reportings par eux-mêmes à partir de données d’inventaires sur les mandats ou les fonds • Faire produire ces reportings par les sociétés de gestion • Recourir à des prestataires externes capables de centraliser les données et de faire les reportings. Différents acteurs proposent ce type d’offre : les dépositaires, les market data vendors, les éditeurs, certains prestataires, …  Il faut choisir selon des critères qui intègrent une optimisation des coûts, une traçabilité et une qualité des données, une optimisation de la chaîne de valeurs  Cela va amener les institutionnels à renforcer les contrôles Conférence Bloomberg sur les réglementations 9
  10. 10. Questions / réponses Parlons à présent de la personnalisation des reportings. Quelles sont vos attentes à ce sujet ? Quel est le niveau de personnalisation que vous attendez ?   Il faut que ces nouveaux reportings soient le plus standardisés possibles au niveau de la forme  De nouvelles demandes vont émerger sur l’analyse propres à chaque valeur et chaque émetteur en portefeuille Le Club Ampere travaille à la fois pour standardiser les données nécessaires aux SCR et aux QRT ainsi que sur des nouvelles formes de reportings nécessaires à l’analyse des performances réalisées sous contraintes Conférence Bloomberg sur les réglementations 10
  11. 11. Questions / réponses Quelles sont vos attentes en matière de flexibilité dans l’utilisation des outils de reporting ?   La réactivité va surtout augmenter dans la demande du respect des délais de production  La chaîne doit être simplifier pour limiter les coûts et des volumes de données qui seront compliqués à contrôler Il faudra éviter le plus possible les détentions entre fonds pour ne pas faire de la « transparisation » Conférence Bloomberg sur les réglementations 11
  12. 12. Annexe : Article pour Le Cercle Les Echos Un article pour Le Cercle Les Echos complète cette présentation : http://lecercle.lesechos.fr/entreprises-marches/finance-marches/banquesassurances/221188367/solvency-2-fait-evoluer-attentes-in Conférence Bloomberg sur les réglementations 12
  13. 13. Annexe : présentation Alban Jarry est Directeur du programme Solvency 2 de La Mutuelle Générale. Dans le domaine de l’Assurance, la Mutuelle, l’Asset Management et la Banque privée depuis 1995, il préside les Groupes de Travail « Reporting AIFM-EMSA » et « LEI » de l’AFG (Association Française de Gestion), est Membre du Bureau du Club AMPERE (Asset Management Performance et Reporting) et participe au Groupe de Travail ORSA de la FNMF (Fédération Nationale de la Mutualité Française). Depuis 2012, il a développé des groupes de travail entre Asset Managers et Assureurs pour normaliser les échanges dans le cadre notamment de Solvency II. Spécialiste de la mise en œuvre des réglementations financières (AIFM, UCIT, Solvency 2, LEI, EMIR, BALE, …) et des réseaux sociaux professionnels, il est l’auteur d’articles pour La Nouvelle Revue de Géopolitique (Rubrique Le Monde Selon Twitter), Le Cercle Les Echos, L'Agefi Communautés, Culture Banque, et anime un blog. Il est intervenant à HEC Executive Education. Il est titulaire d’une MIAGE et du MGA d’HEC. Conférence Bloomberg sur les réglementations 13
  14. 14. Annexe : publications sur les réglementations  Principales publications sur les réglementations : «Solvency II : l’occasion de normaliser les reporting entre Sociétés de Gestion et Institutionnels » (02/2013) «"Le Point sur … Solvency 2" (AFG) » (03/2013) «AIFM, la place financière parisienne avance rapidement sur la mise en place » (04/2013) «Singapour, Londres ou Luxembourg, futures destinations à la mode des Asset Managers Français ? » (06/2013) «Mur réglementaire : comment l’Europe l’édifie pour les réglementations financières (Solvency 2, Bâle III, Aifm, Ucit, Emir, BCE) » (06/2013) «Focus sur AIFM : résultats d’une étude sur les réglementations financières (Aifm, Solvency 2, Bale 3, Ucit, Emir, ...) » (06/2013) «Directive AIFM : les acteurs concernés ne sont pas bien informés » (07/2013) «Directive Solvency 2 : le retour… des investissements » (07/2013) «La France vers un virage à 180° sur les réglementations financières ? » (07/2013) «Directive AIFMD : entrée en vigueur ce 22 juillet 2013 » (07/2013) «Directive AIFMD-D-Day retour sur les principales publications internationales » (07/2013) «Directive AIFM, sujet urgent ou brûlant ? » (08/2013) «Le contrôle des risques des assureurs avec Solvency 2 » «La codification LEI, futur instrument de surveillance mondiale » (09/2013) «L’asset management français sur Twitter » (09/2013) Conférence Bloomberg sur les réglementations 14

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