Françoise Lemaire et Rosine Lheureux_Explorer les nouveaux territoires de la recherche
Explorer - sans s’y égarer - les nouveaux territoires de la
recherche : retour sur cinq ans d’expérience
aux Archives nationales.
Françoise LEMAIRE - Rosine LHEUREUX
Mission des partenariats scientifiques et des relations internationales
Introduction
• Comment, dans un environnement contraint, maintenir ou
développer la qualité de l’offre en direction du monde de la
recherche lui aussi en pleine transformation (restructurations,
impératifs d’interdisciplinarité, etc.) ?
• Comment orienter les programmes de travail internes, face à la
complexité et à l’expansion du domaine des humanités
numériques ?
• En un mot, comment rester étroitement connecté à la demande
académique et sociétale en matière d’accès aux sources
archivistiques ?
Plan
• 1 Comprendre l’environnement et les points d’accroche
• Dresser la cartographie de nos partenariats
• Identifier les champs disciplinaires porteurs et les attentes communes
• 2 Les outils à mettre en place de notre côté
• Le PSCE, outil de dialogue avec les organismes de recherche
• Les outils juridiques, méthodologiques, managériaux
• Animation d’un réseau partenarial.
Comprendre l’environnement et les points d’accroche -
dresser notre cartographie des partenariats :
• Les partenaires institutionnels :
• Administration centrale ;
• Réseau des archives publiques ;
• Organismes internationaux d’archives.
• Les partenariats bilatéraux, traditionnels ou nouveaux :
• Établissements culturels nationaux : BNF; Louvre, etc.
• Établissements de recherche et d’enseignement supérieur : universités ; INHA,
ENC, CELSA, CNAM-INTD, etc.
• Partenariats de la direction des fonds liés à nos collections : Sciences-Po,
Fondations (Napoléon, De Gaulle, Mémorial de la Shoah, ENPC, AHPNE, etc.)
• Partenariats de la direction des publics liés à l’ancrage territorial (Plaine-
commune, villes de Saint-Denis, Pierrefitte, etc.) ; à l’implication sociale (service
civique, PJJ), à l’éducation artistique (via le service éducatif), etc.
Comprendre l’environnement et les points d’accroche -
dresser notre cartographie des partenariats :
• Les acteurs de la recherche apparus après 2010 :
• Communautés d’universités et d’établissements (Comue) : Université
Paris-Lumières (Paris 8-Paris10-CNRS) ;
• Laboratoires d’excellence: LabEx Hastec, ArtsH2H, Passés dans le
présent, Patrima/Fondation des sciences du Patrimoine ;
• Équipements d’excellence: Matrice-13 novembre et Biblissima ;
• Autres : Consortium (Arcmc), groupements d’intérêt scientifiques, (GIS
SGM), IdEfi (Creatic), etc.
• + les réseaux créés à la faveur des projets de l’Agence nationale de la
recherche (ANR).
• Évolutions actuelles :
• Transition des LabEx après 2019, projets d’Écoles universitaires de
recherche (EUR).
Comprendre l’environnement et les points d’accroche -
Identifier les champs disciplinaires porteurs et les attentes
communes avec nos partenaires
Le numérique, vecteur « démultiplicateur » de nos missions
pour diffuser ressources et savoirs en :
• contribuant à des projets de mise en ligne et de valorisation de corpus
massifs, ex :ANR Paprik@2f. ;
• https://anrpaprika.hypotheses.org
• Mettant à disposition ressources archivistiques et expertises pour des
projets de recherche comportant un volet expérimental en « science
exacte », ex : Verspera, ANR Alegoria.
• http://verspera.hypotheses.org/
• http://recherche.ign.fr/labos/matis/arMATIS.php
Comprendre l’environnement et les points d’accroche -
Identifier les champs disciplinaires porteurs et les attentes
communes avec nos partenaires
Le numérique, vecteur « démultiplicateur » de nos missions
pour enrichir nos collaborations pédagogiques en matière de
formation initiale des archivistes mais aussi des historiens par :
• L’appui à des formations innovantes telles que le Master d’Histoire
publique de l’UPEC.
• http://www.u-pec.fr/master-histoire-parcours-histoire-publique-
644604.kjsp
• La production d’un cours en ligne sur inscription (SPOC), partenariat
AN, Paris 8, STIA.
Focus sur notre cours en ligne: traitement
des archives définitives physiques et numériques
Rendre attractif un contenu exigeant : 7 modules
• Les fondamentaux
• Les archives, produits d’une chaine d’archivage organisée
• Études de cas :
• n°1 : le vrac
• n°2 : traiter un versement hybride
• Les instruments de recherche
• Les normes
• La valorisation numérique :
• introduction à l’EAD
• Panorama d’outils de médiation numérique.
Focus sur notre cours en ligne: traitement
des archives définitives physiques et numériques
Rendre attractif un contenu exigeant :
• Des modules de 10 à 20 minutes pour un total estimé à 20
heures de cours pour un public restreint mais disparate ;
• La demande lourde aux les contributeurs de s’adapter à une
forme nouvelle de transmission du savoir et de validation des
connaissances ;
• Le primat du caractère « ludique » des apprentissages.
Focus sur notre cours en ligne: traitement
des archives définitives physiques et numériques
Focus sur notre cours en ligne: traitement
des archives définitives physiques et numériques
Focus sur notre cours en ligne: traitement
des archives définitives physiques et numériques
Focus sur notre cours en ligne: traitement
des archives définitives physiques et numériques
Comprendre l’environnement et les points d’accroche -
Identifier les champs disciplinaires porteurs et les attentes
communes avec nos partenaires
La préoccupation commune d’impliquer le public par :
• L’opportunité d’augmenter la porosité des publics spécialisés et du
grand public (programmation Femmes scientifiques, accueil des prix
Edouard Glissant et Aware, etc.)
• L’animation de réseaux favorisant l’interaction avec un public plus ou
moins étranger aux modalités traditionnelles d’accès aux Archives, de
facebook à wikimedia.
Comprendre l’environnement et les points d’accroche -
Identifier les champs disciplinaires porteurs et les attentes
communes avec nos partenaires
• Promouvoir le collaboratif par l’impulsion de chantiers servant à
enrichir la connaissance de nos fonds à un niveau très fin,
difficilement atteignable par les archivistes au regard du volume
des documents conservés, en :
• Diversifiant les offres : périodes chronologiques, enjeux historiques, culturels et/ou
mémoriels ; en présentiel ou en ligne ;
• Pariant sur l’intelligence collective : exigence scientifique conforme aux règles
professionnelles de traitement des archives, gain en savoir-faire pour le bénévole ;
• Favorisant l’ergonomie des outils avec par exemple le recours à des logiciels libres ;
• Cultivant la relation avec ces nouvelles communautés d’ « usagers actifs »
(échanges, blogs, remerciements, etc.).
• Favorisant les projets en partenariat (externes ou réseau des Archives).
Transcription collaborative des
testaments de poilus morts au
combat durant la Première guerre
mondiale conservés par les
Archives nationales et les Archives
départementales des Yvelines
Autres projets numériques participatifs en cours
• Indexation des registres des tables des registres du Conseil des Ponts-et-
chaussées (XVIIIe S- 1965) par objet (routes, train, etc.) ;
• Annotation des décrets de naturalisation des années 1887 à 1897
permettant un accès direct au numéro de dossier de naturalisation ;
• Indexation des contrats de mariage des commerçants parisiens 1829-1934
(137 111 contrats à terme) pour des recherches par noms et par profession.
Un impératif : nos terrains de collaboration ne doivent plus se borner à être
seulement des pourvoyeur de données
• Pistes de collaboration émergentes ou nouvelles :
• Offrir des moyens d’interroger les humanités numériques par le biais de nos
propres ressources : ex, SIV terrain d’investigation, barcamp, hackathon …
• Croiser création contemporaine et archives (projets Replay, Archives rêvées –
mémoires de peintres)
• Promouvoir accueils de chercheur et d’artistes :
• occasion d’enrichir la connaissance de nos fonds (post-doctorants historiens) ;
• d’interroger nos pratiques professionnelles (Eco-pat);
• d’impliquer les équipes dans l’élaboration de projets artistiques
(Silencieusement de Nicolas Frize).
Comprendre l’environnement et les points d’accroche -
Identifier les champs disciplinaires porteurs et les attentes
communes avec nos partenaires
Conclusion et transition : deux impératifs
• Traduire notre univers professionnel d’archiviste auprès de
chaque partenaire, négocier en évitant toute forme
d’instrumentalisation, tenter d’évaluer coût et bénéfices des
collaborations.
• Faire adhérer les équipes à ces partenariats : restituer
régulièrement les actions, valoriser les participants, démontrer
leur utilité dans le projet.
S’organiser pour dialoguer avec les
organismes de recherche
Notre « boîte à outil »
Outils de communication scientifique
Juridiques (convention cadre)
Méthodologiques (fiches projets, fiches de procédure, gestion de
projet)
Managériaux (ateliers de formation interne, partage d’expérience,
événements...)
S’organiser pour dialoguer avec les
organismes de recherche :
rigueur et générosité
Définir nos modalités d’intervention et les adapter à ces réseaux
et leurs attentes.
• Conventionner pour fixer clairement les engagements de
chacun.
• Participer activement aux instances, donner de son temps
pour:
• appréhender des réalités et des préoccupations éloignées de nôtres ;
• prendre sa part des expertises, jurys, etc.
• proposer, monter, accompagner des projets.
S’organiser pour dialoguer avec les
organismes de recherche :
la logique « PSCE »
Construire un PSCE
Une initiative volontaire, inspirée d’autres environnements
Une démarche évaluée en interne et ajustée
Rendre lisibles nos activités
Reformulation de nos missions réglementaires
Selon des thématiques de recherche
Selon des typologies de projet
Énoncé d’objectifs atteignables en 4 ans
S’organiser pour dialoguer avec les
organismes de recherche :
la logique « PSCE »
PSCE 2013-2016 : Trois axes stratégiques
• Études et recherches sur les fonds (6 axes thématiques, 61 programmes, 234 actions)
• Transition numérique
• Médiation, valorisation
PSCE 2017-2020 : Trois axes stratégiques
• Transition numérique
• Le développement des publics
• Études et recherches sur les fonds (programmation scientifique)
Ouverture à l’interdisciplinarité, modes de restitution hybrides (dimensions
scientifiques, artistiques ou socio-culturelles...).
S’organiser pour dialoguer avec les
chercheurs : reformulation des chantiers
archivistiques
Traduire en problématiques de recherche notre
programme de travail
Programmation de la direction des fonds, par actions :
Mise en exergue de thématiques transversales, diachroniques,
s’inspirant éventuellement des champs de recherche de nos
partenaires
Intégration de fonds d’archives numériques, d’opération de
numérisation ou de développement d’outils numériques
Association étroite de la valorisation à chaque étape du projet (journées
d’étude...)
S’organiser pour dialoguer avec les
organismes de recherche :
la logique « PSCE »
• Les axes de la programmation de la direction des fonds :
• De la logique des départements (par grandes fonctions ou
producteurs) à une logique de champs disciplinaires :
• Axe 1 : Gouverner, administrer, légiférer
• Axe 2 : Trajectoires et identités
• Axe 3 : Patrimoine naturel/patrimoine culturel
• Axe 3 : La France en guerre, la guerre en France
http://www.archives-nationales.culture.gouv.fr/documents/10157/11403/Programmation-
scientifique-PSCE-2017-2020.pdf/3c5f31e8-2162-4d2f-9ff4-262b977093e0
Axe 2. TRAJECTOIRES ET IDENTITÉS
2.1 Circulations et migrations
Émigrés de la Révolution française. Naturalisation. Guerre civile espagnole ;
2.2 Individu(s) et groupes sociaux
Sceaux. Lettres de provision d’office. Prosopographie. Inventaires après décès du 17e siècle…
2.3 Opinions, engagements, contestations
Mai 68.Élections législatives. Mouvements homosexuels et militantisme contre le sida
2.4 Genre
Archives du genre, genre des archives : Femmes et nationalité, Séminaire 2017-2019, Expertise du fichier Slama. Femmes
et politique : Danielle Mitterrand, du rôle de 1re Dame à un engagement politique indépendant
Axes, programmes, actions et chantiers
Exemple de la construction
de l’axe 2
Se mettre au diapason de la recherche :
Piloter un nouveau rythme de travail
• Rompre avec les opérations sur le temps long, définir des
chantiers avec des unités d’œuvre précises
• Instiller la culture du travail en mode projet
• Harmoniser et professionnaliser les pratiques :
• Formation des équipes par des ateliers méthodologiques
• Journées de restitution des résultats en interne, tables-rondes co-animées
avec les partenaires
Se mettre au diapason de la recherche :
Piloter un nouveau rythme de travail
• La « fiche action » : un outil commun mis à disposition des
« responsables de projet » pour bâtir et gérer leur activité
• dans toutes ses dimensions (intellectuelles, matérielles…)
• d’un bout à l’autre (du traitement à la valorisation)
AXE n° 2 Patrimoine naturel, patrimoine culturel
Programme n° ...
Chef du programme Marine ZELVERTE, Violaine CHALLÉAT-
FONCK, Émilie CHARRIER
Action n° ... La politique du cinéma des années 1920
à la création du CNC
Chef de l’action
… Service : ...
* Crédit photographique : ...
Résumé du projet (maximum de 500 caractères espaces compris) :
Ce programme a pour objet l’étude de la politique du cinéma entre la sortie de la Première Guerre Mondiale et la création du
CNC en 1946. L’objectif est de travailler en lien étroit avec des étudiants de master 2 du département « Cinéma et
audiovisuel » de l’Université Paris 3. Ceux-ci rédigeront de nouveaux instruments de recherche afin de mettre en valeur des
fonds jusqu’à présent non exploités, organiseront deux journées d’étude ainsi qu’une exposition, en partenariat avec d’autres
institutions telles que le CNC.
Producteur(s) Administration des Beaux-Arts, Sûreté générale, ministère de l’Information
Fonds, cotes
F/21, 19940493 à 19940504 et 20010216 (archives restituées par la Russie),
F/41
Métrages/unités/nbre d’articles Sûreté générale : 8 ml (24 articles soit environ 350 dossiers)
Description
d’une action
Exemple 1
AXE n°2 Trajectoires et identités
Programme n° 2. Individus et groupes sociaux
Chef du programme Marie-Françoise Limon-Bonnet
Action n° ... Application des techniques HTR aux répertoires
d’actes des notaires parisiens XIXe première moitié
XXe siècle
Chef de l’action A. Rostaing, M.-F. Limon-Bonnet Service : DMC
* Crédit photographique : Archives nationales, MC/RE/XLIII/42
Résumé du projet (maximum de 500 caractères espaces compris) :
Depuis 1803, les notaires tiennent des registres chronologiques normés des actes qu’ils passent. Ces registres, se présentant en colonnes, spécifient le type de l’acte (testament, mariage, vente...), sa date, et le nom des parties. Ils sont la
clé d’accès aux actes. Or, pour trouver un acte dont on ignore la date (cas le plus fréquent), voire le notaire, il faut lire un, voire plusieurs registres in extenso.
Le projet vise à développer un nouvel usage de ces répertoires : pouvoir faire une recherche en texte intégral sur les contenus des catégories d’information (patronymes et types d’acte en priorité), et sur un ou plusieurs registres à la fois.
L’enjeu est donc d’automatiser, sur un ensemble massif d’images numériques, la reconnaissance optique de caractères manuscrits et leur sémantisation (pour un exemple de ces images numériques pour un répertoire donné, voir par
exemple, en salle des inventaires virtuelle, le répertoire de Me Louis Marie Joseph Marotte : https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/IR/FRAN_IR_055020 – cliquer sur « Archives numérisées »)
Le résultat attendu de cette étude préliminaire est la livraison de scénarios pour l’application des technologies HTR aux répertoires d’actes des notaires parisiens du XIXe siècle à la première moitié du XXe siècle. Ces scénarios intègrent
l’utilisation de plates-formes collaboratives de transcription d’archives afin d’établir une boucle rétroactive entre l’expertise humaine et l’amélioration incrémentale des algorithmes de reconnaissance.-
Producteur(s) Notaires de Paris
Fonds, cotes
MC/RE/I à CXXII
Métrages/unités/nbre d’articles
/
Description
d’une action
Exemple 2
Depuis 1803, les notaires tiennent des registres chronologiques normés des actes qu’ils passent. Ces registres, se
présentant en colonnes, spécifient le type de l’acte (testament, mariage, vente...), sa date, et le nom des parties. Ils
sont la clé d’accès aux actes. Or, pour trouver un acte dont on ignore la date (cas le plus fréquent), voire le notaire,
il faut lire un, voire plusieurs registres in extenso.
Le projet vise à développer un nouvel usage de ces répertoires : pouvoir faire une recherche en texte intégral sur les
contenus des catégories d’information (patronymes et types d’acte en priorité), et sur un ou plusieurs registres à la
fois. L’enjeu est donc d’automatiser, sur un ensemble massif d’images numériques, la reconnaissance optique de
caractères manuscrits et leur sémantisation (pour un exemple de ces images numériques pour un répertoire donné,
voir par exemple, en salle des inventaires virtuelle, le répertoire de Me Louis Marie Joseph Marotte :
https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/IR/FRAN_IR_055020 – cliquer sur « Archives numérisées »)
Le résultat attendu de cette étude préliminaire est la livraison de scénarios pour l’application des technologies HTR
aux répertoires d’actes des notaires parisiens du XIXe siècle à la première moitié du XXe siècle. Ces scénarios
intègrent l’utilisation de plates-formes collaboratives de transcription d’archives afin d’établir une boucle rétroactive
entre l’expertise humaine et l’amélioration incrémentale des algorithmes de reconnaissance.
• Exemples d’ateliers méthodologiques organisés en interne :
• Partenariats scientifiques : comment répondre aux appels à projets
• montage scientifique et administratif du dossier
• recherches de collaboration
• modalités de suivi de la réalisation du projet
• Communication
• Impact de la prise en charge matérielle (dépoussiérage, restauration,
numérisation…)
• Référentiel de numérisation
• Organiser un événement
• Diffusion scientifique (open book…)
Se mettre au diapason de la recherche :
Piloter un nouveau rythme de travail
Bénéfices internes et externes
Le PSCE soutient l’évolution des métiers
Bénéfices internes
Sa mise en œuvre entraîne toute l’activité de l’institution.
• Elle favorise l’évolution de la fonction de responsable de fonds
• Elle préside à l’émergence de nouveaux profils professionnels
• Elle structure les échanges avec les chercheurs
• Journées d’études
• Valorisation au fil de l’eau (blog, séminaires…)
Bénéfices internes et externes
Le PSCE outil de dialogue avec la tutelle
• Les AN sont reconnues comme structure de recherche relevant
du ministère chargé de la culture (Arrêté du 16 octobre 2017) au
titre de leur association :
• à des unités de recherche relevant de l'accord-cadre 2016-2020 entre
ministère de la culture et le CNRS ;
• à des Labex ou Equipex lauréats du programme Investissements
d'Avenir ;
• à des établissements publics à caractère scientifique, culturel et
professionnel ou à caractère scientifique et technologique.