1. « Le K » : Buzzati<br />Bascule entre le réalisme et le fantastique au 18ème trou.<br />Buzzati (1906 – 1972): <br />Ecrivain des fables et romans avec message philosophique implicite<br />Thèmes particulières : L’échec de la vie, la mort, la solitude, ma marginalité et l’originalité.<br />Caractérisé par : le conte philosophique et l’humour grinçant (Franz Kafka)<br />I. La Lassitude de l’existence<br />- Mise en parallèle de la 1ère et dernière paragraphe.<br />Métamorphose du personnage : indices symboliques, propos de Merizzi, thème des mouches (gravitent au début, il est seul à les voir, puis visibles à la fin à profiter de lui)<br />« Sucer » « Vider » : parallélisme des verbes<br />Alternation entre sens propre et sens figuré<br />- Merizzi est las, fatigué de sa vie ; il trouve que tout le monde est semblable<br />Sa manière de jouer explique cela : ce n’est pas lui qui joue. Il devient objet.<br />II. La Mort / Dernier parcours<br />- Atmosphère propice au fantastique : fin de la journée / fin de vie<br />Dernier trou : ombres, lumière, ambiance, crépuscule<br />Accentuation des sens (moment charnière)<br />(l. 50 – 52) Référence au contes de fée<br />Métamorphose en crapaud : inversion, détournement<br />III. L’enseignement Moral du Texte<br />- Symboles<br />Enseignement : l’auteur ne cherche à dissimuler le sens, il explique de façon allégorique.<br />Il trouve une image claire de son propos (sentiment de l’inutilité de sa propre vie, d’être exploité, ses regrets)<br />• Ce récit pourrait détenir plusieurs fins :<br />Réaction des autres joueurs, différents points de vue<br />Choix du lecteur de décrypter<br />• Texte où les réponses ne sont pas données : la fin donne à réfléchir.<br />