3. Rappel : Caractéristiques de l’incipit ?
• situation du récit (contexte socio-historique,
localisation spatiale,...)
4. Rappel : Caractéristiques de l’incipit ?
• situation du récit (contexte socio-historique,
localisation spatiale,...)
• présentation des personnages
5. Rappel : Caractéristiques de l’incipit ?
• situation du récit (contexte socio-historique,
localisation spatiale,...)
• présentation des personnages
• amorce de l’intrigue (action)
6. Rappel : Caractéristiques de l’incipit ?
• situation du récit (contexte socio-historique,
localisation spatiale,...)
• présentation des personnages
• amorce de l’intrigue (action)
• horizon d’attente (pour le lecteur)
7. Rappel : Caractéristiques de l’incipit ?
• situation du récit (contexte socio-historique,
localisation spatiale,...)
• présentation des personnages
• amorce de l’intrigue (action)
• horizon d’attente (pour le lecteur)
Problématiques de cet incipit :
Quelle vision de l’homme et du monde se dégage de cet extrait ?
En quoi ce premier chapitre annonce-t-il les enjeux majeurs du roman ?
11. L’arrivée à Verrières
Introduction :
Verrières = ville imaginaire
Chapitre 1 : entièrement descriptif ➙ décor,
habitants et activités d’une petite ville de province.
12. L’arrivée à Verrières
Introduction :
Verrières = ville imaginaire
Chapitre 1 : entièrement descriptif ➙ décor,
habitants et activités d’une petite ville de province.
Paysage majestueux, «propice à la rêverie», mais parti
pris réaliste de l’auteur.
13. L’arrivée à Verrières
Introduction :
Verrières = ville imaginaire
Chapitre 1 : entièrement descriptif ➙ décor,
habitants et activités d’une petite ville de province.
Paysage majestueux, «propice à la rêverie», mais parti
pris réaliste de l’auteur.
Double point de vue :
14. L’arrivée à Verrières
Introduction :
Verrières = ville imaginaire
Chapitre 1 : entièrement descriptif ➙ décor,
habitants et activités d’une petite ville de province.
Paysage majestueux, «propice à la rêverie», mais parti
pris réaliste de l’auteur.
Double point de vue :
• celui d’un témoin anonyme, parisien.
15. L’arrivée à Verrières
Introduction :
Verrières = ville imaginaire
Chapitre 1 : entièrement descriptif ➙ décor,
habitants et activités d’une petite ville de province.
Paysage majestueux, «propice à la rêverie», mais parti
pris réaliste de l’auteur.
Double point de vue :
• celui d’un témoin anonyme, parisien.
• celui du narrateur-auteur qui commente
ironiquement le spectacle
16. La petite ville de Verrières peut passer pour l’une des plus jolies de la Franche-Comté. Ses maisons blanches avec leurs toits pointus de tuiles rouges s’étendent sur la
pente d’une colline, dont des touffes de vigoureux châtaigniers marquent les moindres sinuosités. Le Doubs coule à quelques centaines de pieds au-dessous de ses
fortifications bâties jadis par les Espagnols, et maintenant ruinées.
Verrières est abrité du côté du nord par une haute montagne, c’est une des branches du Jura. Les cimes brisées du Verra se couvrent de neige dès les premiers froids
d’octobre. Un torrent, qui se précipite de la montagne, traverse Verrières avant de se jeter dans le Doubs, et donne le mouvement à un grand nombre de scies à bois,
c’est une industrie fort simple et qui procure un certain bien-être à la majeure partie des habitants plus paysans que bourgeois. Ce ne sont pas cependant les scies à
bois qui ont enrichi cette petite ville. C’est à la fabrique des toiles peintes, dites de Mulhouse, que l’on doit l’aisance générale qui, depuis la chute de Napoléon, a fait
rebâtir les façades de presque toutes les maisons de Verrières.
À peine entre-t-on dans la ville que l’on est étourdi par le fracas d’une machine bruyante et terrible en apparence. Vingt marteaux pesants, et retombant avec un bruit qui
fait trembler le pavé, sont élevés par une roue que l’eau du torrent fait mouvoir. Chacun de ces marteaux fabrique, chaque jour, je ne sais combien de milliers de clous.
Ce sont de jeunes filles fraîches et jolies qui présentent aux coups de ces marteaux énormes les petits morceaux de fer qui sont rapidement transformés en clous. Ce
travail, si rude en apparence, est un de ceux qui étonnent le plus le voyageur qui pénètre pour la première fois dans les montagnes qui séparent la France de l’Helvétie.
Si, en entrant à Verrières, le voyageur demande à qui appartient cette belle fabrique de clous qui assourdit les gens qui montent la grande rue, on lui répond avec un
accent traînard : Eh ! elle est à M. le maire. Pour peu que le voyageur s’arrête quelques instants dans cette grande rue de Verrières, qui va en montant depuis la rive du
Doubs jusque vers le sommet de la colline, il y cent à parier contre un qu’il verra paraître un grand homme à l’air affairé et important.
À son aspect tous les chapeaux se lèvent rapidement. Ses cheveux sont grisonnants, et il est vêtu de gris. Il est chevalier de plusieurs ordres, il a un grand front, un nez
aquilin, et au total sa figure ne manque pas d’une certaine régularité : on trouve même, au premier aspect, qu’elle réunit à la dignité du maire de village cette sorte
d’agrément qui peut encore se rencontrer avec quarante-huit ou cinquante ans. Mais bientôt le voyageur parisien est choqué d’un certain air de contentement de soi et
de suffisance mêlé à je ne sais quoi de borné et de peu inventif. On sent enfin que le talent de cet homme-là se borne à se faire payer bien exactement ce qu’on lui doit,
et à payer lui-même le plus tard possible quand il doit.
Tel est le maire de Verrières, M. de Rênal. Après avoir traversé la rue d’un pas grave, il entre à la mairie et disparaît aux yeux du voyageur. Mais, cent pas plus haut, si
celui-ci continue sa promenade, il aperçoit une maison d’assez belle apparence, et, à travers une grille de fer attenante à la maison, des jardins magnifiques. Au delà
c’est une ligne d’horizon formée par les collines de la Bourgogne, et qui semble faite à souhait pour le plaisir des yeux. Cette vue fait oublier au voyageur l’atmosphère
empestée des petits intérêts d’argent dont il commence à être asphyxié.
On lui apprend que cette maison appartient à M. de Rênal. C’est aux bénéfices qu’il a faits sur sa grande fabrique de clous que le maire de Verrières doit cette belle
habitation en pierres de taille qu’il achève en ce moment. Sa famille, dit-on, est espagnole, antique, et, à ce qu’on prétend, établie dans le pays bien avant la conquête de
Louis XIV.
Depuis 1815 il rougit d’être industriel : 1815 l’a fait maire de Verrières. Les murs en terrasse qui soutiennent les diverses parties de ce magnifique jardin qui, d’étage en
étage, descend jusqu’au Doubs, sont aussi la récompense de la science de M. de Rênal dans le commerce du fer.
Ne vous attendez point à trouver en France ces jardins pittoresques qui entourent les villes manufacturières de l’Allemagne, Leipsick, Francfort, Nuremberg, etc. En
Franche- Comté, plus on bâtit de murs, plus on hérisse sa propriété de pierres rangées les unes au-dessus des autres, plus on acquiert de droits aux respects de ses
voisins. Les jardins de M. de Rênal, remplis de murs, sont encore admirés parce qu’il a acheté, au poids de l’or, certains petits morceaux de terrain qu’ils occupent. Par
exemple, cette scie à bois, dont la position singulière sur la rive du Doubs vous a frappé en entrant à Verrières, et où vous avez remarqué le nom de Sorel, écrit en
caractères gigantesques sur une planche qui domine le toit, elle occupait, il y a six ans, l’espace sur lequel on élève en ce moment le mur de la quatrième terrasse des
jardins de M. de Rênal.
Malgré sa fierté, M. le maire a dû faire bien des démarches auprès du vieux Sorel, paysan dur et entêté ; il a dû lui compter de beaux louis d’or pour obtenir qu’il
transportât son usine ailleurs. Quant au ruisseau public qui faisait aller la scie, M. de Rênal, au moyen du crédit dont il jouit à Paris, a obtenu qu’il fût détourné. Cette
grâce lui vint après les élections de 182*.
17. I - Un chapitre d’exposition
1 - Un incipit descriptif
18. I - Un chapitre d’exposition
1 - Un incipit descriptif
19. I - Un chapitre d’exposition
1 - Un incipit descriptif
Décor petite ville de province près des montagnes
Contexte historique petite noblesse sous la Restauration
Contexte
activité industrielle (bois, manufacture)
économique
le petit noble de province, suffisant et opportuniste
Paysage social (M. de Rênal)
le paysan qui s’ enrichit par la ruse : le père Sorel
20. I - Un chapitre d’exposition
1 - Un incipit descriptif
Décor petite ville de province près des montagnes
Contexte historique petite noblesse sous la Restauration
Contexte
activité industrielle (bois, manufacture)
économique
le petit noble de province, suffisant et opportuniste
Paysage social (M. de Rênal)
le paysan qui s’ enrichit par la ruse : le père Sorel
21. I - Un chapitre d’exposition
1 - Un incipit descriptif
Décor petite ville de province près des montagnes
Contexte historique petite noblesse sous la Restauration
Contexte
activité industrielle (bois, manufacture)
économique
le petit noble de province, suffisant et opportuniste
Paysage social (M. de Rênal)
le paysan qui s’ enrichit par la ruse : le père Sorel
22. I - Un chapitre d’exposition
1 - Un incipit descriptif
Décor petite ville de province près des montagnes
Contexte historique petite noblesse sous la Restauration
Contexte
activité industrielle (bois, manufacture)
économique
le petit noble de province, suffisant et opportuniste
Paysage social (M. de Rênal)
le paysan qui s’ enrichit par la ruse : le père Sorel
23. I - Un chapitre d’exposition
1 - Un incipit descriptif
Décor petite ville de province près des montagnes
Contexte historique petite noblesse sous la Restauration
Contexte
activité industrielle (bois, manufacture)
économique
le petit noble de province, suffisant et opportuniste
Paysage social (M. de Rênal)
le paysan qui s’ enrichit par la ruse : le père Sorel
24. I - Un chapitre d’exposition
1 - Un incipit descriptif
Décor petite ville de province près des montagnes
Contexte historique petite noblesse sous la Restauration
Contexte
activité industrielle (bois, manufacture)
économique
le petit noble de province, suffisant et opportuniste
Paysage social (M. de Rênal)
le paysan qui s’ enrichit par la ruse : le père Sorel
25. I - Un chapitre d’exposition
1 - Un incipit descriptif
Décor petite ville de province près des montagnes
Contexte historique petite noblesse sous la Restauration
Contexte
activité industrielle (bois, manufacture)
économique
le petit noble de province, suffisant et opportuniste
Paysage social (M. de Rênal)
le paysan qui s’ enrichit par la ruse : le père Sorel
26. I - Un chapitre d’exposition
1 - Un incipit descriptif
Décor petite ville de province près des montagnes
Contexte historique petite noblesse sous la Restauration
Contexte
activité industrielle (bois, manufacture)
économique
le petit noble de province, suffisant et opportuniste
Paysage social (M. de Rênal)
le paysan qui s’ enrichit par la ruse : le père Sorel
29. 2 - Originalité du point de vue
Situation d’énonciation ? Le narrateur guide le lecteur
Point de vue? celui d’un guide qui s’approche plus ou
moins du voyageur
Pt de vue généralisant, actualisé par le
Particularité de la 1ère
modalisateur «peut» qui introduit un élmt
phrase ? d’appréciat°
Comment le voyageur pronoms : on + vous
est-il désigné ? le voyageur, puis le voyageur parisien
Système du présent : actualise la description et
lui donne valeur de témoignage (correspond au
mouvement de la promenade et à ses hasards)
Temps ? Le passé composé authentifie la visite
Les adverbes et loc. de tps enracinent le récit
dans le présent.
30. 2 - Originalité du point de vue
Situation d’énonciation ? Le narrateur guide le lecteur
Point de vue? celui d’un guide qui s’approche plus ou
moins du voyageur
Pt de vue généralisant, actualisé par le
Particularité de la 1ère
modalisateur «peut» qui introduit un élmt
phrase ? d’appréciat°
Comment le voyageur pronoms : on + vous
est-il désigné ? le voyageur, puis le voyageur parisien
Système du présent : actualise la description et
lui donne valeur de témoignage (correspond au
mouvement de la promenade et à ses hasards)
Temps ? Le passé composé authentifie la visite
Les adverbes et loc. de tps enracinent le récit
dans le présent.
31. 2 - Originalité du point de vue
Situation d’énonciation ? Le narrateur guide le lecteur
Point de vue? celui d’un guide qui s’approche plus ou
moins du voyageur
Pt de vue généralisant, actualisé par le
Particularité de la 1ère
modalisateur «peut» qui introduit un élmt
phrase ? d’appréciat°
Comment le voyageur pronoms : on + vous
est-il désigné ? le voyageur, puis le voyageur parisien
Système du présent : actualise la description et
lui donne valeur de témoignage (correspond au
mouvement de la promenade et à ses hasards)
Temps ? Le passé composé authentifie la visite
Les adverbes et loc. de tps enracinent le récit
dans le présent.
32. 2 - Originalité du point de vue
Situation d’énonciation ? Le narrateur guide le lecteur
Point de vue? celui d’un guide qui s’approche plus ou
moins du voyageur
Pt de vue généralisant, actualisé par le
Particularité de la 1ère
modalisateur «peut» qui introduit un élmt
phrase ? d’appréciat°
Comment le voyageur pronoms : on + vous
est-il désigné ? le voyageur, puis le voyageur parisien
Système du présent : actualise la description et
lui donne valeur de témoignage (correspond au
mouvement de la promenade et à ses hasards)
Temps ? Le passé composé authentifie la visite
Les adverbes et loc. de tps enracinent le récit
dans le présent.
33. 2 - Originalité du point de vue
Situation d’énonciation ? Le narrateur guide le lecteur
Point de vue? celui d’un guide qui s’approche plus ou
moins du voyageur
Pt de vue généralisant, actualisé par le
Particularité de la 1ère
modalisateur «peut» qui introduit un élmt
phrase ? d’appréciat°
Comment le voyageur pronoms : on + vous
est-il désigné ? le voyageur, puis le voyageur parisien
Système du présent : actualise la description et
lui donne valeur de témoignage (correspond au
mouvement de la promenade et à ses hasards)
Temps ? Le passé composé authentifie la visite
Les adverbes et loc. de tps enracinent le récit
dans le présent.
34. 2 - Originalité du point de vue
Situation d’énonciation ? Le narrateur guide le lecteur
Point de vue? celui d’un guide qui s’approche plus ou
moins du voyageur
Pt de vue généralisant, actualisé par le
Particularité de la 1ère
modalisateur «peut» qui introduit un élmt
phrase ? d’appréciat°
Comment le voyageur pronoms : on + vous
est-il désigné ? le voyageur, puis le voyageur parisien
Système du présent : actualise la description et
lui donne valeur de témoignage (correspond au
mouvement de la promenade et à ses hasards)
Temps ? Le passé composé authentifie la visite
Les adverbes et loc. de tps enracinent le récit
dans le présent.
35. 2 - Originalité du point de vue
Situation d’énonciation ? Le narrateur guide le lecteur
Point de vue? celui d’un guide qui s’approche plus ou
moins du voyageur
Pt de vue généralisant, actualisé par le
Particularité de la 1ère
modalisateur «peut» qui introduit un élmt
phrase ? d’appréciat°
Comment le voyageur pronoms : on + vous
est-il désigné ? le voyageur, puis le voyageur parisien
Système du présent : actualise la description et
lui donne valeur de témoignage (correspond au
mouvement de la promenade et à ses hasards)
Temps ? Le passé composé authentifie la visite
Les adverbes et loc. de tps enracinent le récit
dans le présent.
36. 2 - Originalité du point de vue
Situation d’énonciation ? Le narrateur guide le lecteur
Point de vue? celui d’un guide qui s’approche plus ou
moins du voyageur
Pt de vue généralisant, actualisé par le
Particularité de la 1ère
modalisateur «peut» qui introduit un élmt
phrase ? d’appréciat°
Comment le voyageur pronoms : on + vous
est-il désigné ? le voyageur, puis le voyageur parisien
Système du présent : actualise la description et
lui donne valeur de témoignage (correspond au
mouvement de la promenade et à ses hasards)
Temps ? Le passé composé authentifie la visite
Les adverbes et loc. de tps enracinent le récit
dans le présent.
37. 2 - Originalité du point de vue
Situation d’énonciation ? Le narrateur guide le lecteur
Point de vue? celui d’un guide qui s’approche plus ou
moins du voyageur
Pt de vue généralisant, actualisé par le
Particularité de la 1ère
modalisateur «peut» qui introduit un élmt
phrase ? d’appréciat°
Comment le voyageur pronoms : on + vous
est-il désigné ? le voyageur, puis le voyageur parisien
Système du présent : actualise la description et
lui donne valeur de témoignage (correspond au
mouvement de la promenade et à ses hasards)
Temps ? Le passé composé authentifie la visite
Les adverbes et loc. de tps enracinent le récit
dans le présent.
38. 2 - Originalité du point de vue
Situation d’énonciation ? Le narrateur guide le lecteur
Point de vue? celui d’un guide qui s’approche plus ou
moins du voyageur
Pt de vue généralisant, actualisé par le
Particularité de la 1ère
modalisateur «peut» qui introduit un élmt
phrase ? d’appréciat°
Comment le voyageur pronoms : on + vous
est-il désigné ? le voyageur, puis le voyageur parisien
Système du présent : actualise la description et
lui donne valeur de témoignage (correspond au
mouvement de la promenade et à ses hasards)
Temps ? Le passé composé authentifie la visite
Les adverbes et loc. de tps enracinent le récit
dans le présent.
39. CHRONIQUE :
Récit d'événements historiques ou fictifs qui suit l'ordre
chronologique de leur déroulement. La chronique se veut un
récit "objectif" qui se contente de rapporter les faits comme le
ferait un historien. Son style est sobre.
Elle peut être constituée de faits divers pris en charge par des
narrateurs différents qui donnent à entendre des points de
vue différents
40.
41.
42. Progression de la visite ? du paysage à l’humain
Comment est marquée par son activité économique
la présence humaine ? et ses codes sociaux
Caractéristiques du Grandiose (paix, grâce et romantisme
paysage ? sauvage)
énergie du torrent «donne le mouvement aux
scies à bois»
En quoi contraste-t- «ruisseau» détourné pour satisfaire la «manie de
propriété du maire»
il avec les activités contraste antre les paysages illimités et les
humaines ? clôtures des propriétés
contraste entre la grâce des montagnes et le
«fracas des machines»
43. Progression de la visite ? du paysage à l’humain
Comment est marquée par son activité économique
la présence humaine ? et ses codes sociaux
Caractéristiques du Grandiose (paix, grâce et romantisme
paysage ? sauvage)
énergie du torrent «donne le mouvement aux
scies à bois»
En quoi contraste-t- «ruisseau» détourné pour satisfaire la «manie de
propriété du maire»
il avec les activités contraste antre les paysages illimités et les
humaines ? clôtures des propriétés
contraste entre la grâce des montagnes et le
«fracas des machines»
44. Progression de la visite ? du paysage à l’humain
Comment est marquée par son activité économique
la présence humaine ? et ses codes sociaux
Caractéristiques du Grandiose (paix, grâce et romantisme
paysage ? sauvage)
énergie du torrent «donne le mouvement aux
scies à bois»
En quoi contraste-t- «ruisseau» détourné pour satisfaire la «manie de
propriété du maire»
il avec les activités contraste antre les paysages illimités et les
humaines ? clôtures des propriétés
contraste entre la grâce des montagnes et le
«fracas des machines»
45. Progression de la visite ? du paysage à l’humain
Comment est marquée par son activité économique
la présence humaine ? et ses codes sociaux
Caractéristiques du Grandiose (paix, grâce et romantisme
paysage ? sauvage)
énergie du torrent «donne le mouvement aux
scies à bois»
En quoi contraste-t- «ruisseau» détourné pour satisfaire la «manie de
propriété du maire»
il avec les activités contraste antre les paysages illimités et les
humaines ? clôtures des propriétés
contraste entre la grâce des montagnes et le
«fracas des machines»
46. Progression de la visite ? du paysage à l’humain
Comment est marquée par son activité économique
la présence humaine ? et ses codes sociaux
Caractéristiques du Grandiose (paix, grâce et romantisme
paysage ? sauvage)
énergie du torrent «donne le mouvement aux
scies à bois»
En quoi contraste-t- «ruisseau» détourné pour satisfaire la «manie de
propriété du maire»
il avec les activités contraste antre les paysages illimités et les
humaines ? clôtures des propriétés
contraste entre la grâce des montagnes et le
«fracas des machines»
47. Progression de la visite ? du paysage à l’humain
Comment est marquée par son activité économique
la présence humaine ? et ses codes sociaux
Caractéristiques du Grandiose (paix, grâce et romantisme
paysage ? sauvage)
énergie du torrent «donne le mouvement aux
scies à bois»
En quoi contraste-t- «ruisseau» détourné pour satisfaire la «manie de
propriété du maire»
il avec les activités contraste antre les paysages illimités et les
humaines ? clôtures des propriétés
contraste entre la grâce des montagnes et le
«fracas des machines»
48. Progression de la visite ? du paysage à l’humain
Comment est marquée par son activité économique
la présence humaine ? et ses codes sociaux
Caractéristiques du Grandiose (paix, grâce et romantisme
paysage ? sauvage)
énergie du torrent «donne le mouvement aux
scies à bois»
En quoi contraste-t- «ruisseau» détourné pour satisfaire la «manie de
propriété du maire»
il avec les activités contraste antre les paysages illimités et les
humaines ? clôtures des propriétés
contraste entre la grâce des montagnes et le
«fracas des machines»
49. Progression de la visite ? du paysage à l’humain
Comment est marquée par son activité économique
la présence humaine ? et ses codes sociaux
Caractéristiques du Grandiose (paix, grâce et romantisme
paysage ? sauvage)
énergie du torrent «donne le mouvement aux
scies à bois»
En quoi contraste-t- «ruisseau» détourné pour satisfaire la «manie de
propriété du maire»
il avec les activités contraste antre les paysages illimités et les
humaines ? clôtures des propriétés
contraste entre la grâce des montagnes et le
«fracas des machines»
50.
51.
52. Comment le contact
par des réponses aux questions posées et
avec les habitants est-il
des observations visuelles
établi?
Qu’est-ce qui s’en
la population anime le décor et permet
dégage ? d’esquisser un jugement
53. Comment le contact
par des réponses aux questions posées et
avec les habitants est-il
des observations visuelles
établi?
Qu’est-ce qui s’en
la population anime le décor et permet
dégage ? d’esquisser un jugement
54. Comment le contact
par des réponses aux questions posées et
avec les habitants est-il
des observations visuelles
établi?
Qu’est-ce qui s’en
la population anime le décor et permet
dégage ? d’esquisser un jugement
55. Comment le contact
par des réponses aux questions posées et
avec les habitants est-il
des observations visuelles
établi?
Qu’est-ce qui s’en
la population anime le décor et permet
dégage ? d’esquisser un jugement
56. Comment le contact
par des réponses aux questions posées et
avec les habitants est-il
des observations visuelles
établi?
Qu’est-ce qui s’en
la population anime le décor et permet
dégage ? d’esquisser un jugement
Quelle est l’impression dominante (citation du texte) ?
57. Comment le contact
par des réponses aux questions posées et
avec les habitants est-il
des observations visuelles
établi?
Qu’est-ce qui s’en
la population anime le décor et permet
dégage ? d’esquisser un jugement
Quelle est l’impression dominante (citation du texte) ?
«...cette vue fait oublier au voyageur l’atmosphère
empestée des petits intérêts d’argent dont il commence à
être asphyxié.»
58. Comment le contact
par des réponses aux questions posées et
avec les habitants est-il
des observations visuelles
établi?
Qu’est-ce qui s’en
la population anime le décor et permet
dégage ? d’esquisser un jugement
Quelle est l’impression dominante (citation du texte) ?
«...cette vue fait oublier au voyageur l’atmosphère
empestée des petits intérêts d’argent dont il commence à
être asphyxié.»
59. Comment le contact
par des réponses aux questions posées et
avec les habitants est-il
des observations visuelles
établi?
Qu’est-ce qui s’en
la population anime le décor et permet
dégage ? d’esquisser un jugement
Quelle est l’impression dominante (citation du texte) ?
«...cette vue fait oublier au voyageur l’atmosphère
empestée des petits intérêts d’argent dont il commence à
être asphyxié.»
satire des mentalités de province
60. SATIRE :
Genre hérité de lʼAntiquité et visant à dénoncer les vices et
les folies des hommes.
Sʼappuie sur lʼhumour pour dénoncer ce qui semble
condamnable dans les comportements humains.
Le registre satirique repose principalement sur lʼironie et
lʼantiphrase
61. 3 - L’envers et l’endroit du décor
Intervent° directes ou indirectes du narrateur qui fait sentir
sa vision satirique des mentalités provinciales, notamment par
le recours aux clichés qui caricaturent les valeurs provinciales
et introduit la thématique de l’être et du paraître.
62. 3 - L’envers et l’endroit du décor
Intervent° directes ou indirectes du narrateur qui fait sentir
sa vision satirique des mentalités provinciales, notamment par
le recours aux clichés qui caricaturent les valeurs provinciales
et introduit la thématique de l’être et du paraître.
63. 3 - L’envers et l’endroit du décor
Intervent° directes ou indirectes du narrateur qui fait sentir
sa vision satirique des mentalités provinciales, notamment par
le recours aux clichés qui caricaturent les valeurs provinciales
et introduit la thématique de l’être et du paraître.
ce que l’on voit (paraître) ce qu’il en est (être)
le goût de la propriété plus on bâtit de murs, plus on hérisse sa propriété de pierres rangées les
unes au-dessus des autres, plus on acquiert de droits aux respects de ses
Cette belle habitation en pierres de taille voisins
ce magnifique jardin Les jardins de M. de Rênal, remplis de murs,.....
la respectabilité
(importance de l’opinion)
la dignité du maire du village il rougit d’être industriel
sa famille est, dit-on, espagnole et antique cité dominée par le qu’en dira-t-on
la considération publique (despotisme, tyrannie de l’opinion)
le respect des voisins
les jardins sont admirés (tournure passive)
64. 3 - L’envers et l’endroit du décor
Intervent° directes ou indirectes du narrateur qui fait sentir
sa vision satirique des mentalités provinciales, notamment par
le recours aux clichés qui caricaturent les valeurs provinciales
et introduit la thématique de l’être et du paraître.
ce que l’on voit (paraître) ce qu’il en est (être)
le goût de la propriété plus on bâtit de murs, plus on hérisse sa propriété de pierres rangées les
unes au-dessus des autres, plus on acquiert de droits aux respects de ses
Cette belle habitation en pierres de taille voisins
ce magnifique jardin Les jardins de M. de Rênal, remplis de murs,.....
la respectabilité
(importance de l’opinion)
la dignité du maire du village il rougit d’être industriel
sa famille est, dit-on, espagnole et antique cité dominée par le qu’en dira-t-on
la considération publique (despotisme, tyrannie de l’opinion)
le respect des voisins
les jardins sont admirés (tournure passive)
65. 3 - L’envers et l’endroit du décor
Intervent° directes ou indirectes du narrateur qui fait sentir
sa vision satirique des mentalités provinciales, notamment par
le recours aux clichés qui caricaturent les valeurs provinciales
et introduit la thématique de l’être et du paraître.
ce que l’on voit (paraître) ce qu’il en est (être)
le goût de la propriété plus on bâtit de murs, plus on hérisse sa propriété de pierres rangées les
unes au-dessus des autres, plus on acquiert de droits aux respects de ses
Cette belle habitation en pierres de taille voisins
ce magnifique jardin Les jardins de M. de Rênal, remplis de murs,.....
la respectabilité
(importance de l’opinion)
la dignité du maire du village il rougit d’être industriel
sa famille est, dit-on, espagnole et antique cité dominée par le qu’en dira-t-on
la considération publique (despotisme, tyrannie de l’opinion)
le respect des voisins
les jardins sont admirés (tournure passive)
66. 3 - L’envers et l’endroit du décor
Intervent° directes ou indirectes du narrateur qui fait sentir
sa vision satirique des mentalités provinciales, notamment par
le recours aux clichés qui caricaturent les valeurs provinciales
et introduit la thématique de l’être et du paraître.
ce que l’on voit (paraître) ce qu’il en est (être)
le goût de la propriété plus on bâtit de murs, plus on hérisse sa propriété de pierres rangées les
unes au-dessus des autres, plus on acquiert de droits aux respects de ses
Cette belle habitation en pierres de taille voisins
ce magnifique jardin Les jardins de M. de Rênal, remplis de murs,.....
la respectabilité
(importance de l’opinion)
la dignité du maire du village il rougit d’être industriel
sa famille est, dit-on, espagnole et antique cité dominée par le qu’en dira-t-on
la considération publique (despotisme, tyrannie de l’opinion)
le respect des voisins
les jardins sont admirés (tournure passive)
67. 3 - L’envers et l’endroit du décor
Intervent° directes ou indirectes du narrateur qui fait sentir
sa vision satirique des mentalités provinciales, notamment par
le recours aux clichés qui caricaturent les valeurs provinciales
et introduit la thématique de l’être et du paraître.
ce que l’on voit (paraître) ce qu’il en est (être)
le goût de la propriété plus on bâtit de murs, plus on hérisse sa propriété de pierres rangées les
unes au-dessus des autres, plus on acquiert de droits aux respects de ses
Cette belle habitation en pierres de taille voisins
ce magnifique jardin Les jardins de M. de Rênal, remplis de murs,.....
la respectabilité
(importance de l’opinion)
la dignité du maire du village il rougit d’être industriel
sa famille est, dit-on, espagnole et antique cité dominée par le qu’en dira-t-on
la considération publique (despotisme, tyrannie de l’opinion)
le respect des voisins
les jardins sont admirés (tournure passive)
68. 3 - L’envers et l’endroit du décor
Intervent° directes ou indirectes du narrateur qui fait sentir
sa vision satirique des mentalités provinciales, notamment par
le recours aux clichés qui caricaturent les valeurs provinciales
et introduit la thématique de l’être et du paraître.
ce que l’on voit (paraître) ce qu’il en est (être)
le goût de la propriété plus on bâtit de murs, plus on hérisse sa propriété de pierres rangées les
unes au-dessus des autres, plus on acquiert de droits aux respects de ses
Cette belle habitation en pierres de taille voisins
ce magnifique jardin Les jardins de M. de Rênal, remplis de murs,.....
la respectabilité
(importance de l’opinion)
la dignité du maire du village il rougit d’être industriel
sa famille est, dit-on, espagnole et antique cité dominée par le qu’en dira-t-on
la considération publique (despotisme, tyrannie de l’opinion)
le respect des voisins
les jardins sont admirés (tournure passive)
69. 3 - L’envers et l’endroit du décor
Intervent° directes ou indirectes du narrateur qui fait sentir
sa vision satirique des mentalités provinciales, notamment par
le recours aux clichés qui caricaturent les valeurs provinciales
et introduit la thématique de l’être et du paraître.
ce que l’on voit (paraître) ce qu’il en est (être)
le goût de la propriété plus on bâtit de murs, plus on hérisse sa propriété de pierres rangées les
unes au-dessus des autres, plus on acquiert de droits aux respects de ses
Cette belle habitation en pierres de taille voisins
ce magnifique jardin Les jardins de M. de Rênal, remplis de murs,.....
la respectabilité
(importance de l’opinion)
la dignité du maire du village il rougit d’être industriel
sa famille est, dit-on, espagnole et antique cité dominée par le qu’en dira-t-on
la considération publique (despotisme, tyrannie de l’opinion)
le respect des voisins
les jardins sont admirés (tournure passive)
Ces différents aspects sont incarnés par un personnage
70. 3 - L’envers et l’endroit du décor
Intervent° directes ou indirectes du narrateur qui fait sentir
sa vision satirique des mentalités provinciales, notamment par
le recours aux clichés qui caricaturent les valeurs provinciales
et introduit la thématique de l’être et du paraître.
ce que l’on voit (paraître) ce qu’il en est (être)
le goût de la propriété plus on bâtit de murs, plus on hérisse sa propriété de pierres rangées les
unes au-dessus des autres, plus on acquiert de droits aux respects de ses
Cette belle habitation en pierres de taille voisins
ce magnifique jardin Les jardins de M. de Rênal, remplis de murs,.....
la respectabilité
(importance de l’opinion)
la dignité du maire du village il rougit d’être industriel
sa famille est, dit-on, espagnole et antique cité dominée par le qu’en dira-t-on
la considération publique (despotisme, tyrannie de l’opinion)
le respect des voisins
les jardins sont admirés (tournure passive)
Ces différents aspects sont incarnés par un personnage
le maire
71. 4 - Le portrait du maire : une critique acerbe
Satire du petit noble de province, en perpétuelle représentation
72. 4 - Le portrait du maire : une critique acerbe
Satire du petit noble de province, en perpétuelle représentation
73. 4 - Le portrait du maire : une critique acerbe
Satire du petit noble de province, en perpétuelle représentation
geste machinal automatique
les chapeaux se lèvent ➙ ridicule de celui qui éprouve une certaine autosatisfaction
air de contentement de soi et
de suffisance
chevalier de premier ordre
motivé par l’importance que les autres lui
dignité - agrément - d’un pas accordent et qu’il s’octroie lui-même
grave
borné, peu inventif
la science de M. de Rênal dans le le talent de cet homme-là se borne à se faire payer
commerce du fer 1815 l’a fait maire de Verrières
au moyen du crédit dont il jouit à Paris
74. 4 - Le portrait du maire : une critique acerbe
Satire du petit noble de province, en perpétuelle représentation
geste machinal automatique
les chapeaux se lèvent ➙ ridicule de celui qui éprouve une certaine autosatisfaction
air de contentement de soi et
de suffisance
chevalier de premier ordre
motivé par l’importance que les autres lui
dignité - agrément - d’un pas accordent et qu’il s’octroie lui-même
grave
borné, peu inventif
la science de M. de Rênal dans le le talent de cet homme-là se borne à se faire payer
commerce du fer 1815 l’a fait maire de Verrières
au moyen du crédit dont il jouit à Paris
75. 4 - Le portrait du maire : une critique acerbe
Satire du petit noble de province, en perpétuelle représentation
geste machinal automatique
les chapeaux se lèvent ➙ ridicule de celui qui éprouve une certaine autosatisfaction
air de contentement de soi et
de suffisance
chevalier de premier ordre
motivé par l’importance que les autres lui
dignité - agrément - d’un pas accordent et qu’il s’octroie lui-même
grave
borné, peu inventif
la science de M. de Rênal dans le le talent de cet homme-là se borne à se faire payer
commerce du fer 1815 l’a fait maire de Verrières
au moyen du crédit dont il jouit à Paris
76. 4 - Le portrait du maire : une critique acerbe
Satire du petit noble de province, en perpétuelle représentation
geste machinal automatique
les chapeaux se lèvent ➙ ridicule de celui qui éprouve une certaine autosatisfaction
air de contentement de soi et
de suffisance
chevalier de premier ordre
motivé par l’importance que les autres lui
dignité - agrément - d’un pas accordent et qu’il s’octroie lui-même
grave
borné, peu inventif
la science de M. de Rênal dans le le talent de cet homme-là se borne à se faire payer
commerce du fer 1815 l’a fait maire de Verrières
au moyen du crédit dont il jouit à Paris
77. 4 - Le portrait du maire : une critique acerbe
Satire du petit noble de province, en perpétuelle représentation
geste machinal automatique
les chapeaux se lèvent ➙ ridicule de celui qui éprouve une certaine autosatisfaction
air de contentement de soi et
de suffisance
chevalier de premier ordre
motivé par l’importance que les autres lui
dignité - agrément - d’un pas accordent et qu’il s’octroie lui-même
grave
borné, peu inventif
la science de M. de Rênal dans le le talent de cet homme-là se borne à se faire payer
commerce du fer 1815 l’a fait maire de Verrières
au moyen du crédit dont il jouit à Paris
78. 4 - Le portrait du maire : une critique acerbe
Satire du petit noble de province, en perpétuelle représentation
geste machinal automatique
les chapeaux se lèvent ➙ ridicule de celui qui éprouve une certaine autosatisfaction
air de contentement de soi et
de suffisance
chevalier de premier ordre
motivé par l’importance que les autres lui
dignité - agrément - d’un pas accordent et qu’il s’octroie lui-même
grave
borné, peu inventif
la science de M. de Rênal dans le le talent de cet homme-là se borne à se faire payer
commerce du fer 1815 l’a fait maire de Verrières
au moyen du crédit dont il jouit à Paris
79. II - L’annonce des grands thèmes du roman
1. une société étouffante et sclérosée
80. II - L’annonce des grands thèmes du roman
1. une société étouffante et sclérosée
• La dictature de l’opinion (qui annonce aussi les aspects
politiques du roman)
81. II - L’annonce des grands thèmes du roman
1. une société étouffante et sclérosée
• La dictature de l’opinion (qui annonce aussi les aspects
politiques du roman)
• L’attachement à la naissance (souci de noblesse)
82. II - L’annonce des grands thèmes du roman
1. une société étouffante et sclérosée
• La dictature de l’opinion (qui annonce aussi les aspects
politiques du roman)
• L’attachement à la naissance (souci de noblesse)
• L’acquisition de maisons et de terres : société qui fonde le
respect sur la possession matérielle, société vide de
spiritualité.
83. II - L’annonce des grands thèmes du roman
1. une société étouffante et sclérosée
• La dictature de l’opinion (qui annonce aussi les aspects
politiques du roman)
• L’attachement à la naissance (souci de noblesse)
• L’acquisition de maisons et de terres : société qui fonde le
respect sur la possession matérielle, société vide de
spiritualité.
• Des murs symboliques : les murs qui cloisonnent les
propriétés, sont le signe d’une réussite matérielle, mais ils
symbolisent aussi le cloisonnement de cette société
étouffante.
84. II - L’annonce des grands thèmes du roman
1. une société étouffante et sclérosée
• La dictature de l’opinion (qui annonce aussi les aspects
politiques du roman)
• L’attachement à la naissance (souci de noblesse)
• L’acquisition de maisons et de terres : société qui fonde le
respect sur la possession matérielle, société vide de
spiritualité.
• Des murs symboliques : les murs qui cloisonnent les
propriétés, sont le signe d’une réussite matérielle, mais ils
symbolisent aussi le cloisonnement de cette société
étouffante.
• Refus de toute fantaisie (plans rapportés d’Italie) et règne
du conservatisme, dont M. de Rênal est l’Ultra représentant.
85. II - L’annonce des grands thèmes du roman
2. l’argent roi, moteur de toutes les ambitions
86. II - L’annonce des grands thèmes du roman
2. l’argent roi, moteur de toutes les ambitions
cf le champ lexical :
87. II - L’annonce des grands thèmes du roman
2. l’argent roi, moteur de toutes les ambitions
cf le champ lexical :
il a dû lui compter de beaux louis d’or
88. II - L’annonce des grands thèmes du roman
2. l’argent roi, moteur de toutes les ambitions
cf le champ lexical :
il a dû lui compter de beaux louis d’or
achetés au poids de l’or
89. II - L’annonce des grands thèmes du roman
2. l’argent roi, moteur de toutes les ambitions
cf le champ lexical :
il a dû lui compter de beaux louis d’or
achetés au poids de l’or
6000 francs
90. II - L’annonce des grands thèmes du roman
2. l’argent roi, moteur de toutes les ambitions
cf le champ lexical :
il a dû lui compter de beaux louis d’or
achetés au poids de l’or
6000 francs
la lutte Rênal / Sorel préfigure les intrigues mesquines
qui suivront (Valenod / Rênal, lettres anonymes,...)
91. II - L’annonce des grands thèmes du roman
2. l’argent roi, moteur de toutes les ambitions
cf le champ lexical :
il a dû lui compter de beaux louis d’or
achetés au poids de l’or
6000 francs
la lutte Rênal / Sorel préfigure les intrigues mesquines
qui suivront (Valenod / Rênal, lettres anonymes,...)
3. l’hypocrisie
92. II - L’annonce des grands thèmes du roman
2. l’argent roi, moteur de toutes les ambitions
cf le champ lexical :
il a dû lui compter de beaux louis d’or
achetés au poids de l’or
6000 francs
la lutte Rênal / Sorel préfigure les intrigues mesquines
qui suivront (Valenod / Rênal, lettres anonymes,...)
3. l’hypocrisie
• Les manoeuvres du maire,
• le poids de la rumeur,
• la ruse du père Sorel pour s’enrichir
93. II - L’annonce des grands thèmes du roman
2. l’argent roi, moteur de toutes les ambitions
cf le champ lexical :
il a dû lui compter de beaux louis d’or
achetés au poids de l’or
6000 francs
la lutte Rênal / Sorel préfigure les intrigues mesquines
qui suivront (Valenod / Rênal, lettres anonymes,...)
3. l’hypocrisie
• Les manoeuvres du maire,
• le poids de la rumeur,
• la ruse du père Sorel pour s’enrichir
Ce vice permet de se hisser dans la société et sera
une des armes favorites de Julien
94. Conclusion :
Un incipit qui témoigne du style mordant et incisif de
Stendhal. La société n’est pas encore vue à travers le regard
de Julien, mais plutôt celui d’un narrateur omniscient,
passionné par les relations humaines, ce qui caractérise le
réalisme social et psychologique de Stendhal.
On découvre un type social (M. de Rênal) dans un milieu
qui le révèle. Cet incipit aborde aussi les grands thèmes qui
traverseront le roman : l’hypocrisie, l’ambition et le calcul, la
société étouffante. Il n’y manque que le thème qui
permettra d’échapper à cet univers : la passion.
95. ouverture :
Ière partie du roman : rivalités, ambitions et
mesquineries qui font la vie quotidienne d’une
petite ville de province
2ème partie : aristocratie parisienne, figée et
repliée sur son respect des valeurs
prérévolutionnaires.