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AMAZON PRIME – BARRY KEOGHAN –
SALTBURN – 2023
So much is being said about this film and rumored about some scenes that are
supposed to be sexy and they are but in a plain cinematographic way. Just do not show
what everyone wants to see, and just give a glimpse of it within a full view of the backside
dancing in front of your eyes. So, plain sexy erotic appeal. Nothing is more desirable than
what you do not see, you cannot watch, you can only have a skimpy glimpse at. But don’t
try to get a closer vision. The actor is Irish so, he is probably not cut.
But of course, the most important side of this film is not the few sexy scenes between
mostly the three male young characters who from time to time may condescend to, or
plainly conquer, grasp, take possession of a girl for a minute, rarely more, because they
are quick to come to terms with the situation to move on to the next vessel of their bliss.
So, what is the most important side of this film? It is what some call the gothic story. But it
is in no way gothic in the simple meaning of the term. It is simply a cannibalistic self-
possessed male who has decided to take possession of the assets of a rich, very rich
aristocrat, a Sir mind you but with no noble title. Too bad. The cannibal is Oliver Quick. He
is from an upper middleclass family, but he pretends his family is derelict and deprived of
everything, that his father has just fallen on the sidewalk in some Mersey city in a state of
full drunkenness, and thus killed himself. He pretends his mother is a drunk that he has
endured for years, making her vomit her drunkenness every night with his own fingers in
her throat before she goes to sleep so that she will wake up the following morning. He let
people say he has a scholarship (in Oxford mind you) and thus is one of the scums of
society that all the portentous hypocrites of the aristocracy and top bourgeois classes in
this microcosm of hell that Oxford University is, all of them must both reject, look down
upon, and at the same time give them a few crumbs from the top banquet table under
which they have to be kept?
Our Oliver Quick decides that he is going to conquer, meaning take possession of this
Catton family and family home, Sir James Catton and his wife. So, he seduces the son
first, emotionally for sure but not sexually, though he would have condescended to do it
with pleasure if he had been asked. Emotional and mental dependence is even worse than
sexual dependence. It provides the manipulator with many strings that turn the victim into
a plain, puppet, a marionette.
I won’t enter the details of the conquest, but every single member of the family is
eliminated, and our James Quick is left behind as the fully empowered caretaker of the
estate that has no direct heir anymore. So, he can dance in the – by far more than a
mansion – estate in the nude, just the same way he masturbated fully nude on the fresh
tomb of the son who had just been buried after having been killed by his own cousin who
in a way wanted James Quick for his own and sole service.
I would advise people to watch that film because it is a cynical and thus honest
depiction of the aristocracy in England, and this vision will bring the monarchy down one
day because it is so artificial inhumane, un-human even, something like a gothic descent
into some extra-terrestrial community where you can die overnight twenty times. After all,
you can always buy a miserable substitute for your death who accepts to be cut up into
pieces in your place for a good check payable to the person of the substitute’s choice, and
James Quick is a direct witness who gets his own onanistic pleasure watching the slow
death of the substitute who is kept conscious till he can see the ultimate moment of bliss of
this James Quick. And you can then admire James Quick who manages to be the predator
of one of these families.
But if you are slightly sensitive, sensuous, or even sensible, you better not watch it
because it is anything but mental, spiritual, compassionate, and empathetic. It is purely
hellish and Dantesque if we can embroil Dante in such a context. Get some mouthwash
before starting. You will need it several times during the viewing and definitely at the end.
If you find some appeal in the nudity of this James Quick at the beginning, at the end, you
might have been cured of such appeal for male nudity for at least fifteen minutes. And this
appeal you feel for a while, you long for then, and you get totally disgusted with later on in
the film, this appeal makes the film perverse because that’s exactly what the filmmakers
want you to mentally experience: gay appeal for a poor miserable young man you have to
comfort in any necessary way, and then perverse and more or less imposed gay
experience to free you of any desire though you’ll get the pleasure, and finally a total
rejection of such an appeal when you realize the James Quick of this fable is a
cannibalistic pervert who is only after your family jewels, not those in your pants, but those
in your safe or bank account. Do not entrust him with your credit card, please.
Dr. Jacques COULARDEAU
VERSION FRANÇAISE
Ils disent tellement de choses sur ce film et on entend tellement de rumeurs sur
certaines scènes qui sont censées être sexy et elles le sont pour sûr mais d'une manière
purement cinématographique. Ne montrez pas ce que tout le monde veut voir, mais
donnez-en simplement une vision fugace avec une vue complète de l'arrière-train dansant
nu bien sûr devant vos yeux. Donc, un attrait érotique tout simplement sexy. Rien n’est
plus désirable que ce que vous ne voyez pas, que vous ne pouvez pas regarder, dont
vous ne pouvez qu’avoir un aperçu si bref que cela multiplie votre désir en démultipliant
votre frustration. Mais n’essayez pas d’avoir une vision plus détaillée. L'acteur est irlandais
et donc il n'est probablement pas circoncis, tant pis pour vous qui ne saurez jamais pour
sûr.
Mais bien sûr, l'aspect le plus important de ce film ne réside pas dans les quelques
scènes sexy entre trois jeunes personnages masculins qui, de temps en temps, peuvent
condescendre, ou simplement conquérir, saisir, prendre possession d'une fille pendant
une minute, rarement plus, car ils savent exploiter la situation rapidement pour pouvoir
passer au réceptacle suivant de leur jouissance. Alors, quel est l’aspect le plus important
de ce film ? C'est ce que certains appellent l'histoire gothique. Mais il ne s’agit en aucun
cas de gothique au sens simple du terme. Il s'agit simplement d'un mâle cannibale, et
absolument maître de lui-même, qui a décidé de prendre possession des biens d'un riche,
très riche aristocrate, un médaillé ou décoré du titre de « Sir », bien que sans titre de
noblesse. Dommage, mais qu’importe le vase pourvu qu’on ait l’ivresse, qu’importe le titre
pourvu qu’on ait les biens.
Le cannibale est Oliver Quick. Il est issu d'une famille de la classe moyenne
supérieure, mais il prétend que sa famille est destituée et privée de tout, que son père
vient de tomber sur le trottoir d'une ville du canton de Mersey en état d'ivresse totale et
s'est ainsi suicidé par ses propres moyens. Il prétend que sa mère est une ivrogne qu'il a
endurée pendant des années, lui faisant vomir son ivresse tous les soirs avec ses propres
doigts dans sa gorge avant qu’elle ne s'endorme pour qu'elle puisse se réveiller le
lendemain matin. Il laisse les gens dire qu'il a une bourse (à Oxford, pensez à vous) et
qu'il est donc l'une des racailles de la société que tous les hypocrites sinistres de
l'aristocratie et des classes supérieures de la bourgeoisie dans ce microcosme de l'enfer
qu'est l'Université d'Oxford, tous doivent tout à la fois les rejeter, les mépriser et en même
temps leur donner quelques croûtes de pain, pas de la brioche s’(il vous plait, tombées de
la table du banquet sous laquelle ces parias doivent être conservés ?
Notre Oliver Quick décide qu'il va conquérir, c'est-à-dire prendre possession de cette
famille des Catton et de leur maison familiale plus palatiale qu’HLM, à ce Sir James Catton
et sa femme. Il séduit donc d'abord son fils, Félix, émotionnellement bien sûr, pas
sexuellement, même s'il aurait daigné satisfaire ce désir avec plaisir si on le lui avait
demandé. La dépendance émotionnelle et mentale est encore pire que la dépendance
sexuelle. Il fournit au manipulateur de nombreux fils et tringles qui transforment la victime
en un simple guignol, une marionnette dans son castelet.
Je n’entrerai pas dans les détails de la conquête, mais chaque membre de la famille
est éliminé et notre James Quick reste le gardien pleinement habilité de la succession qui
n’a plus d’héritier direct. Ainsi, il peut danser nu dans le château – bien plus qu'un manoir
–, tout comme il s'est masturbé entièrement nu sur la tombe fraîche du fils qui venait d'être
enterré après avoir été tué par son propre cousin qui en quelque sorte voulait James
Quick pour son propre et unique service qu’il ne savait voir que comme la servitude d’un
asservi juste là pour lui donner le coup de main quotidien pour jouir en paix quand sa
poupée gonflable est un peu fatiguée.
Je conseillerais aux gens de regarder ce film parce que c'est une représentation
cynique et donc honnête de l'aristocratie en Angleterre, et cette vision fera tomber la
monarchie un jour parce qu'elle est tellement artificielle, inhumaine, même non-humaine,
quelque chose comme une descente gothique, pour sûr alors bien que totalement
indécente, dans une communauté extraterrestre où vous pouvez mourir vingt fois chaque
soir et dans la nuit qui s’ensuit. Après tout, vous pouvez toujours acheter un misérable
substitut pour votre mort, un remplaçant qui accepte d'être découpé en morceaux à votre
place moyennant un bon chèque payable à la personne choisie par ce substitut, et James
Quick est le témoin direct qui atteint sa propre jouissance onaniste à regarder la mort lente
du remplaçant qui doit rester conscient jusqu'à ce qu'il puisse voir l'ultime moment de
totale satisfaction de ce James Quick, et le substitut mourra heureux d’avoir permis
l’ultime jouissance que normalement seul Dieu peut offrir aux vierges en manque de
procréation. Et on peut alors admirer James Quick qui parvient à se faire le prédateur
d'une telle famille.
Mais si vous êtes légèrement sensible, sensuel ou même sensé, vous feriez mieux de
ne pas le regarder car c'est tout sauf mental, spirituel, compatissant et empathique. C’est
purement infernal et dantesque si l’on peut embrouiller Dante dans un tel marasme.
Prenez un flacon de rince-bouche avant de commencer. Vous en aurez besoin plusieurs
fois pendant le visionnage et certainement à la fin. Si vous trouvez un certain attrait dans
la nudité de ce James Quick au début, à la fin, vous pourriez avoir été guéri de cet attrait
pour la nudité masculine pendant au moins quinze minutes. Et cette émotion que vous
ressentez pendant un instant, que vous désirez ensuite, et dont vous êtes totalement
dégoûté plus tard dans le film, cet attrait rend le film pervers parce que c'est exactement
ce que les cinéastes veulent que vous expérimentiez mentalement : une fascination gay
pour un pauvre misérable. jeune homme qu’il faut réconforter par tous les moyens
nécessaires, puis une expérience gay perverse et plus ou moins imposée pour vous
libérer de tout désir même si vous en aurez du plaisir de cette libération de l’ordre de la
castration mentale, et enfin un rejet total d'un tel appel lorsque vous vous rendrez compte
que le James Quick de cette fable est un pervers cannibale qui ne s'en prend qu'à vos
bijoux de famille, pas à ceux dans votre culotte, surtout si vous êtes un sans-culotte, mais
à ceux de votre coffre-fort ou de votre compte bancaire. Ne lui confiez pas votre carte
bancaire, s'il vous plaît par pitié.
Dr Jacques COULARDEAU
CANNIBALISTIC PARANOID NARCISSISM

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  • 2. AMAZON PRIME – BARRY KEOGHAN – SALTBURN – 2023 So much is being said about this film and rumored about some scenes that are supposed to be sexy and they are but in a plain cinematographic way. Just do not show what everyone wants to see, and just give a glimpse of it within a full view of the backside dancing in front of your eyes. So, plain sexy erotic appeal. Nothing is more desirable than what you do not see, you cannot watch, you can only have a skimpy glimpse at. But don’t try to get a closer vision. The actor is Irish so, he is probably not cut. But of course, the most important side of this film is not the few sexy scenes between mostly the three male young characters who from time to time may condescend to, or plainly conquer, grasp, take possession of a girl for a minute, rarely more, because they are quick to come to terms with the situation to move on to the next vessel of their bliss. So, what is the most important side of this film? It is what some call the gothic story. But it is in no way gothic in the simple meaning of the term. It is simply a cannibalistic self- possessed male who has decided to take possession of the assets of a rich, very rich aristocrat, a Sir mind you but with no noble title. Too bad. The cannibal is Oliver Quick. He is from an upper middleclass family, but he pretends his family is derelict and deprived of everything, that his father has just fallen on the sidewalk in some Mersey city in a state of full drunkenness, and thus killed himself. He pretends his mother is a drunk that he has endured for years, making her vomit her drunkenness every night with his own fingers in her throat before she goes to sleep so that she will wake up the following morning. He let people say he has a scholarship (in Oxford mind you) and thus is one of the scums of society that all the portentous hypocrites of the aristocracy and top bourgeois classes in this microcosm of hell that Oxford University is, all of them must both reject, look down upon, and at the same time give them a few crumbs from the top banquet table under which they have to be kept?
  • 3. Our Oliver Quick decides that he is going to conquer, meaning take possession of this Catton family and family home, Sir James Catton and his wife. So, he seduces the son first, emotionally for sure but not sexually, though he would have condescended to do it with pleasure if he had been asked. Emotional and mental dependence is even worse than sexual dependence. It provides the manipulator with many strings that turn the victim into a plain, puppet, a marionette. I won’t enter the details of the conquest, but every single member of the family is eliminated, and our James Quick is left behind as the fully empowered caretaker of the estate that has no direct heir anymore. So, he can dance in the – by far more than a mansion – estate in the nude, just the same way he masturbated fully nude on the fresh tomb of the son who had just been buried after having been killed by his own cousin who in a way wanted James Quick for his own and sole service. I would advise people to watch that film because it is a cynical and thus honest depiction of the aristocracy in England, and this vision will bring the monarchy down one day because it is so artificial inhumane, un-human even, something like a gothic descent into some extra-terrestrial community where you can die overnight twenty times. After all, you can always buy a miserable substitute for your death who accepts to be cut up into pieces in your place for a good check payable to the person of the substitute’s choice, and James Quick is a direct witness who gets his own onanistic pleasure watching the slow death of the substitute who is kept conscious till he can see the ultimate moment of bliss of this James Quick. And you can then admire James Quick who manages to be the predator of one of these families. But if you are slightly sensitive, sensuous, or even sensible, you better not watch it because it is anything but mental, spiritual, compassionate, and empathetic. It is purely hellish and Dantesque if we can embroil Dante in such a context. Get some mouthwash before starting. You will need it several times during the viewing and definitely at the end. If you find some appeal in the nudity of this James Quick at the beginning, at the end, you
  • 4. might have been cured of such appeal for male nudity for at least fifteen minutes. And this appeal you feel for a while, you long for then, and you get totally disgusted with later on in the film, this appeal makes the film perverse because that’s exactly what the filmmakers want you to mentally experience: gay appeal for a poor miserable young man you have to comfort in any necessary way, and then perverse and more or less imposed gay experience to free you of any desire though you’ll get the pleasure, and finally a total rejection of such an appeal when you realize the James Quick of this fable is a cannibalistic pervert who is only after your family jewels, not those in your pants, but those in your safe or bank account. Do not entrust him with your credit card, please. Dr. Jacques COULARDEAU VERSION FRANÇAISE Ils disent tellement de choses sur ce film et on entend tellement de rumeurs sur certaines scènes qui sont censées être sexy et elles le sont pour sûr mais d'une manière purement cinématographique. Ne montrez pas ce que tout le monde veut voir, mais donnez-en simplement une vision fugace avec une vue complète de l'arrière-train dansant nu bien sûr devant vos yeux. Donc, un attrait érotique tout simplement sexy. Rien n’est plus désirable que ce que vous ne voyez pas, que vous ne pouvez pas regarder, dont vous ne pouvez qu’avoir un aperçu si bref que cela multiplie votre désir en démultipliant votre frustration. Mais n’essayez pas d’avoir une vision plus détaillée. L'acteur est irlandais et donc il n'est probablement pas circoncis, tant pis pour vous qui ne saurez jamais pour sûr. Mais bien sûr, l'aspect le plus important de ce film ne réside pas dans les quelques scènes sexy entre trois jeunes personnages masculins qui, de temps en temps, peuvent condescendre, ou simplement conquérir, saisir, prendre possession d'une fille pendant une minute, rarement plus, car ils savent exploiter la situation rapidement pour pouvoir passer au réceptacle suivant de leur jouissance. Alors, quel est l’aspect le plus important de ce film ? C'est ce que certains appellent l'histoire gothique. Mais il ne s’agit en aucun
  • 5. cas de gothique au sens simple du terme. Il s'agit simplement d'un mâle cannibale, et absolument maître de lui-même, qui a décidé de prendre possession des biens d'un riche, très riche aristocrate, un médaillé ou décoré du titre de « Sir », bien que sans titre de noblesse. Dommage, mais qu’importe le vase pourvu qu’on ait l’ivresse, qu’importe le titre pourvu qu’on ait les biens. Le cannibale est Oliver Quick. Il est issu d'une famille de la classe moyenne supérieure, mais il prétend que sa famille est destituée et privée de tout, que son père vient de tomber sur le trottoir d'une ville du canton de Mersey en état d'ivresse totale et s'est ainsi suicidé par ses propres moyens. Il prétend que sa mère est une ivrogne qu'il a endurée pendant des années, lui faisant vomir son ivresse tous les soirs avec ses propres doigts dans sa gorge avant qu’elle ne s'endorme pour qu'elle puisse se réveiller le lendemain matin. Il laisse les gens dire qu'il a une bourse (à Oxford, pensez à vous) et qu'il est donc l'une des racailles de la société que tous les hypocrites sinistres de l'aristocratie et des classes supérieures de la bourgeoisie dans ce microcosme de l'enfer qu'est l'Université d'Oxford, tous doivent tout à la fois les rejeter, les mépriser et en même temps leur donner quelques croûtes de pain, pas de la brioche s’(il vous plait, tombées de la table du banquet sous laquelle ces parias doivent être conservés ? Notre Oliver Quick décide qu'il va conquérir, c'est-à-dire prendre possession de cette famille des Catton et de leur maison familiale plus palatiale qu’HLM, à ce Sir James Catton et sa femme. Il séduit donc d'abord son fils, Félix, émotionnellement bien sûr, pas sexuellement, même s'il aurait daigné satisfaire ce désir avec plaisir si on le lui avait demandé. La dépendance émotionnelle et mentale est encore pire que la dépendance sexuelle. Il fournit au manipulateur de nombreux fils et tringles qui transforment la victime en un simple guignol, une marionnette dans son castelet.
  • 6. Je n’entrerai pas dans les détails de la conquête, mais chaque membre de la famille est éliminé et notre James Quick reste le gardien pleinement habilité de la succession qui n’a plus d’héritier direct. Ainsi, il peut danser nu dans le château – bien plus qu'un manoir –, tout comme il s'est masturbé entièrement nu sur la tombe fraîche du fils qui venait d'être enterré après avoir été tué par son propre cousin qui en quelque sorte voulait James Quick pour son propre et unique service qu’il ne savait voir que comme la servitude d’un asservi juste là pour lui donner le coup de main quotidien pour jouir en paix quand sa poupée gonflable est un peu fatiguée. Je conseillerais aux gens de regarder ce film parce que c'est une représentation cynique et donc honnête de l'aristocratie en Angleterre, et cette vision fera tomber la monarchie un jour parce qu'elle est tellement artificielle, inhumaine, même non-humaine, quelque chose comme une descente gothique, pour sûr alors bien que totalement indécente, dans une communauté extraterrestre où vous pouvez mourir vingt fois chaque soir et dans la nuit qui s’ensuit. Après tout, vous pouvez toujours acheter un misérable substitut pour votre mort, un remplaçant qui accepte d'être découpé en morceaux à votre place moyennant un bon chèque payable à la personne choisie par ce substitut, et James Quick est le témoin direct qui atteint sa propre jouissance onaniste à regarder la mort lente du remplaçant qui doit rester conscient jusqu'à ce qu'il puisse voir l'ultime moment de totale satisfaction de ce James Quick, et le substitut mourra heureux d’avoir permis l’ultime jouissance que normalement seul Dieu peut offrir aux vierges en manque de procréation. Et on peut alors admirer James Quick qui parvient à se faire le prédateur d'une telle famille. Mais si vous êtes légèrement sensible, sensuel ou même sensé, vous feriez mieux de ne pas le regarder car c'est tout sauf mental, spirituel, compatissant et empathique. C’est purement infernal et dantesque si l’on peut embrouiller Dante dans un tel marasme. Prenez un flacon de rince-bouche avant de commencer. Vous en aurez besoin plusieurs fois pendant le visionnage et certainement à la fin. Si vous trouvez un certain attrait dans la nudité de ce James Quick au début, à la fin, vous pourriez avoir été guéri de cet attrait pour la nudité masculine pendant au moins quinze minutes. Et cette émotion que vous ressentez pendant un instant, que vous désirez ensuite, et dont vous êtes totalement dégoûté plus tard dans le film, cet attrait rend le film pervers parce que c'est exactement ce que les cinéastes veulent que vous expérimentiez mentalement : une fascination gay pour un pauvre misérable. jeune homme qu’il faut réconforter par tous les moyens nécessaires, puis une expérience gay perverse et plus ou moins imposée pour vous libérer de tout désir même si vous en aurez du plaisir de cette libération de l’ordre de la castration mentale, et enfin un rejet total d'un tel appel lorsque vous vous rendrez compte que le James Quick de cette fable est un pervers cannibale qui ne s'en prend qu'à vos bijoux de famille, pas à ceux dans votre culotte, surtout si vous êtes un sans-culotte, mais à ceux de votre coffre-fort ou de votre compte bancaire. Ne lui confiez pas votre carte bancaire, s'il vous plaît par pitié. Dr Jacques COULARDEAU