2. COLLABORATIF OU COOPÉRATIF
T R A V A I L C O O P É R A T I F
le travail coopératif est une
coopération entre plusieurs
personnes qui interagissent dans
un but commun mais se partagent
les tâches
T R A V A I L C O L L A B O R A T I F
le travail collaboratif se fait en
collaboration du début à la fin
sans division fixe des tâches.
2
3. LE TRAVAIL COOPÉRATIF
3
Les avantages
Rapidité : travail en parallèle
Clarté des responsabilités
Les limites :
Définition des périmètres des
tâches
Délégation complète de la tâche
4. LE TRAVAIL COOPÉRATIF
4
Les avantages
Intègre tous les points de vue
Résultats plus riches grâce à
l’interaction
Les limites :
Implication / déresponsabilisation
Les outils de communication et de
partage
5. le SNBVI parle pour
tous ses membres
Pour exister il faut
être visible et
produire des
contenus
Le travail collectif est
plus pertinent et riche
le SNBVI ne doit pas
dépendre d’individus
….
Nous connaissons et
représentons notre
domaine
Nous avons tous
d’autres
responsabilités à
temps plein
Notre temps n’est pas
extensible
Nous sommes des
individus
…
5
POURQUOI LE TRAVAIL COLLABORATIF
POUR LE SNBVI ?
7. GÉRER LE TEMPS ET L’ESPACE
Lieux
Temps
Même lieu Lieux différents
SYNCHRONE
Même temps
Réunion face à face Réunion virtuelle
ASYNCHRONE
Temps différents
Applications , agenda
partagé
Blogs
Email…
7
8. 1. il propose à tous et chacun,
dans le projet, de s'inscrire
dans un principe
d'amélioration continue de
chaque tâche et de
l'ensemble du projet,
2. il organise le travail en
séquences de tâches
parallèles (permettant un
travail plus asynchrone),
3. il fournit aux acteurs de<
chacune des tâches
une information utile et
facilement exploitable sur
les autres tâches parallèles
et sur l'environnement de la
réalisation.
En pratique
1. Nous participons à
l’ensemble du projet et
non à une partie
2. Nous choisissons le
moment où nous
participons
3. Nous partageons les
informations et
bénéficions de ce partage
8
LES 3 POINTS CLÉS
9. LES 3 FACTEURS CLÉS
L E S P R I N C I P E S
1. L'intimité
L'intimité permet de rester
maîtres de l’accessibilité aux
autres
2. La proximité
Le facteur de la proximité doit
rapprocher les individus
3. la permissivité...
(permission en anglais)
la possibilité d'interagir en toute
liberté
D E M A N I È R E C O N C R È T E
• Choisir et
communiquer ses
temps de
disponibilité
• Utiliser des outils de
communication
synchrone (confcall,
skype, netviewer)
• Faciliter les échanges
et l’ouverture
9
10. RETOURS D’EXPÉRIENCE
L E S I N T É R Ê T S
• Partager, échanger
• Apprend à écouter donc à
apprendre
• Concilier, faire des compromis
• Solidarité
• La pression du groupe stimule
• Réflexion collective plus
complète que les réflexions
individuelles additionnées
• Expériences diverses
approches différentes
L E E S L I M I T E S
• Organisations personnelles qui ne
cadrent pas avec l’organisation
collective
• Le passager clandestin ,
Déresponsabilisation,
Individualisme
• Dépend de la bonne volonté de
chacun
• Spécialisation / division des tâches
• L’absence de proximité ne favorise
pas la collaboration voire crée des
conflits
• La communication par mail /écrit
peut créer des conflits
• Maximum 4 personnes
10
• Travail de groupe 1 +1 = 3
• Gérer les priorités
• Relativise le niveau d’exigence en
fonction des enjeux
• Fait prendre du recul
12. LES ÉTAPES DE LA COLLABORATION
12
Communication
asynchrone
Communication
asynchrone
Communication
synchrone
Communication
synchrone
13. COMMENT UTILISER LES OUTILS COLLABORATIFS?
La
planification
La rédaction
du document
en commun
La collecte
d’informatio
n
L’organisatio
n de l’équipe
Le
brainstorming
La
communic
ation
La diffusion
et le
stockage du
document
14. LES OUTILS DU SNBVI
Se synchroniser
Doodle
Drive
La communication synchrone sur des phases clés
Conférence telephonique
Skype
Email
La veille et le partage de la veille
Emails
Dropbox ?
Drive
Le partage de la production
Google docs
Drive
14
15. DEFINIR NOTRE
PROCESSUS DE
TRAVAIL
CHOISIR NOS OUTILS
ORGANISER LE TRAVAIL
DANS LE TEMPS
Par exemple
En réunion pleinière,
20 minutes pour créer les
thèmes et les groupes
À 10/12 : max 4 groupes
Planifier un premier point
(email, tel) sur l’objectif et le
plan de travail
Par expérience sous 3 jours
maximum
Planifier un point à mi –
planning
Un point de finalisation
Choisir une personne qui
finalise pour le groupe
15
DE MANIÈRE PLUS CONCRÈTE
Le travail coopératif Le travail collaboratif L’intelligence Collective
- Le travail se fait par addition de travaux individuels ;
- Les rapports sont très souvent qualifiés de verticaux ;
- Le mode de communication est plutôt asynchrone même si le travail synchrone n’est pas impossible ;
- Le travail individuel effectué est facilement identifiable à la fin et la responsabilité des acteurs est engagée. - Le travail se fait par fusion et modifications permanentes ;
- Les rapports sont très souvent qualifiés d’horizontaux ;
- Le mode de communication alterne entre le synchrone et l’asynchrone (notamment du à la démocratisation des outils TIC) ;
- Le travail individuel est difficilement identifiable à la fin et la responsabilité est constamment partagée. - Une autonomie des individus valorisés en tant que créateurs de sens ;
- Une décentralisation du savoir et des pouvoirs ;
- Une interactivité constante entre les individus et leur environnement (technique, économique, écologique...) dont les modifications sont perçues et contrôlées en temps réel ;
- Une émergence d'une nouvelle convivialité et d'une nouvelle éthique.
- Une désagrégation des structures massives au profit d'entités autonomes, petites et conviviales
La co-analyse : un travail de diagnostic qui permet à un groupe de comprendre une situation donnée et de construire un référentiel cognitif ;
La co-définition : dans cette phase les interactions collectives permettent au groupe de formuler l’objectif à atteindre en construisant une vision partagée ;
La co-réalisation : la fixation des règles du jeu, la détermination d’un plan d’action et d’un calendrier pour atteindre l’objectif poursuivi ;
La co-évaluation : les formes d’interaction qui permettent à un groupe de juger des résultats mais aussi de la valeur de la co-décision et du co-apprentissage tout au long du processus.
La co-analyse : un travail de diagnostic qui permet à un groupe de comprendre une situation donnée et de construire un référentiel cognitif ;
La co-définition : dans cette phase les interactions collectives permettent au groupe de formuler l’objectif à atteindre en construisant une vision partagée ;
La co-réalisation : la fixation des règles du jeu, la détermination d’un plan d’action et d’un calendrier pour atteindre l’objectif poursuivi ;
La co-évaluation : les formes d’interaction qui permettent à un groupe de juger des résultats mais aussi de la valeur de la co-décision et du co-apprentissage tout au long du processus.