1. Lecture du « Bateau ivre » Le 13 septembre : Le 24 septembre :
Le carnet de lecture
d’Aimery :
« J’ai trouvé ce poème très flou, en effet j’ai eu du
mal à décrypter le sens premier de l’œuvre. Il fait
référence à plusieurs choses comme : la mer, les
fleuves, les lacs, les marées mais il utilise aussi
plusieurs fois le champ lexical des couleurs : « des
golfes bruns », « de longs figements violets », « la
nuit verte ». Mais il fait aussi référence au
Mystique : « Maelstrom », « Léviathan ».
« Pour moi l’histoire que raconte Rimbaud à travers le bateau est sûrement un
réel vécu : le bateau qui dérive, qui se sent enfin libre mais qui petit à petit est
lassé de ses découvertes, il veut rentrer il est au bord du délire « les yeux de
panthère à peau d’homme »
Je pense que ce poème est très particulier. Il est difficilement compréhensible
du premier coup et nécessite plusieurs lectures. De plus le poème est raconté
comme une histoire avec situation initiale, élément perturbateur, péripéties,
élément de résolution et situation finale. Il a aussi la particularité d’être très
long pour un poème ce qui n’est pas commun.
La façon dont Rimbaud écrit sans forcément être rationnel et penser à la
compréhension du poème intrigue le lecteur.
Le carnet de lecture de
Corentin :
« Je viens de découvrir « Le Bateau ivre » d’Arthur
Rimbaud. D’après moi, ce poème évoque les
regrets du narrateur envers les mauvaises images
qu’il a pu voir jusqu’ici. Ce poème est globalement
triste car chaque strophe évoque au moins une
variante du champ lexical de la tristesse ou de
l’horreur. Peut-être faut-il comprendre que le
narrateur cherche à s’exprimer à travers la poésie
afin d’exprimer tout ce qu’il ressent ou ce dont il
n’a pas envie de parler. Personnellement, je
préfère les textes neutres ou joyeux ; celui-là est
assez triste tout de même. »
« Le bateau ivre » d’Arthur Rimbaud est un poème dans lequel l’auteur va
exprimer sa liberté dans le symbole du bateau. Le sujet principal semble être le
bateau : « guidé par les haleurs » (v.2) ; « l’eau verte pénétra ma coque »
(v.18) ; « Me lava, dispersant gouvernail et grappin » (v.20).
Durant le poème, le bateau est personnifié à travers des actes ou des états
humains : « je ne me sentis » (v.2) ; « j’étais insoucieux » (v.5) ; « je voulais »
(v.8) ; « je courus » (v.10)...
Durant le poème, on ne sait pas si c’est le bateau qui devient une personne ou
l’inverse. Le bateau ivre serait donc une représentation du poète.
Je pense que ce poème est un voyage imaginaire dans lequel Rimbaud nous
montre son désir d’être libre.
Ce poème me plaît un peu car tout ce qui touche au voyage et à la liberté
m’intéresse. Le vers « Les fleuves m’ont laissé descendre où je voulais » illustre
parfaitement la conception de la liberté citée précédemment. »
2. Carnet de Aimery
Le 13 septembre :
« J’ai trouvé ce poème très flou, en effet j’ai eu du mal à décrypter le sens premier de
l’œuvre. Il fait référence à plusieurs choses comme : la mer, les fleuves, les lacs, les
marées mais il utilise aussi plusieurs fois le champ lexical des couleurs : « des golfes
bruns », « de longs figements violets », « la nuit verte ». Mais il fait aussi référence au
Mystique : « Maelstrom », « Léviathan ».
Le 24 septembre :
« Pour moi l’histoire que raconte Rimbaud à travers le bateau est sûrement un réel
vécu : le bateau qui dérive, qui se sent enfin libre mais qui petit à petit est lassé de ses
découvertes, il veut rentrer il est au bord du délire « les yeux de panthère à peau
d’homme »
Je pense que ce poème est très particulier. Il est difficilement compréhensible du
premier coup et nécessite plusieurs lectures. De plus le poème est raconté comme une
histoire avec situation initiale, élément perturbateur, péripéties, élément de résolution
et situation finale. Il a aussi la particularité d’être très long pour un poème ce qui n’est
pas commun.
La façon dont Rimbaud écrit sans forcément être rationnel et penser à la
compréhension du poème intrigue le lecteur.
3. Carnet de Corentin
Le 13 septembre :
« Je viens de découvrir « Le Bateau ivre » d’Arthur Rimbaud. D’après moi, ce poème évoque les regrets
du narrateur envers les mauvaises images qu’il a pu voir jusqu’ici. Ce poème est globalement triste car
chaque strophe évoque au moins une variante du champ lexical de la tristesse ou de l’horreur. Peut-être
faut-il comprendre que le narrateur cherche à s’exprimer à travers la poésie afin d’exprimer tout ce qu’il
ressent ou ce dont il n’a pas envie de parler. Personnellement, je préfère les textes neutres ou joyeux ;
celui-là est assez triste tout de même. »
Le 24 septembre :
« Le bateau ivre » d’Arthur Rimbaud est un poème dans lequel l’auteur va exprimer sa liberté dans le
symbole du bateau. Le sujet principal semble être le bateau : « guidé par les haleurs » (v.2) ; « l’eau
verte pénétra ma coque » (v.18) ; « Me lava, dispersant gouvernail et grappin » (v.20).
Durant le poème, le bateau est personnifié à travers des actes ou des états humains : « je ne me
sentis » (v.2) ; « j’étais insoucieux » (v.5) ; « je voulais » (v.8) ; « je courus » (v.10)...
Durant le poème, on ne sait pas si c’est le bateau qui devient une personne ou l’inverse. Le bateau ivre
serait donc une représentation du poète.
Je pense que ce poème est un voyage imaginaire dans lequel Rimbaud nous montre son désir d’être
libre.
Ce poème me plaît un peu car tout ce qui touche au voyage et à la liberté m’intéresse. Le vers « Les
fleuves m’ont laissé descendre où je voulais » illustre parfaitement la conception de la liberté citée
précédemment. »