Carcinome hépatocellulaire (CHC). Conférence du Dr Eric Vibert (Chirurgien, AP-HP Hôpital Paul Brousse, Villejuif, France) aux Journées de Chirurgie hépato-biliaire, Juin 2014, Paris.
Objectif: Le FOLFIRINOX, validé dans les formes métastatiques, est en cours d’évaluation dans l’adénocarcinome du pancréas borderline (BR) ou localement avancé (LA). Le but de cette étude était d’analyser les suites opératoires de patients réséqués pour ADCP BR/LA après traitement d'induction par FOLFIRINOX.
Méthode: Les patients opérés après FOLFIRINOX ont été inclus dans cette étude rétrospective (20 centres). Les tumeurs ont été classées BR/LA selon la classification du NCCN. Les scanners diagnostiques de 60 patients ont fait l’objet d’une relecture centralisée.
Résultats: De Nov. 2010 à Déc. 2013, 80 patients (âge médian 59 ans) ont été opérés après une médiane de 6 cycles (1-30) de FOFIRINOX, et 65% (n=52) ont reçu en complément une radiochimiothérapie préopératoire après FOLFIRINOX. Au diagnostic, 47 patients (59%) étaient classés BR et 33 (41%) LA. La taille moyenne tumorale était de 33 mm (+/-12,9), et 82,5% (n=66) des tumeurs étaient céphaliques. Une résection veineuse a été réalisée chez 30 patients (37,5%).
La mortalité et la morbidité (Clavien grade III-IV) étaient de 3,7% (n=3) et 22%, dont 4% de fistules pancréatiques. Le taux de résections R0 était de 84%, avec 15% de réponse histologique complète. Après une médiane de suivi post-chirurgicale de 38,2 mois (IC 95% 29,3-47,0), 23 patients (28,7%) sont décédés et 42 (52%) ont présenté une récidive tumorale. La médiane de survie globale depuis le diagnostic (SGD) était de 59,2 mois (IC95% 45,7-72 ,7). La survie sans récidive (SSR) après chirurgie était de 17,2 mois [IC 95%: 11,3-23,0]. Les patients présentant une réponse histologique majeure, tumeurs classées ypT0-T1N0, présentaient une SGD significativement prolongée comparée aux patients ypT2-T4Nx avec, respectivement, des taux de SGC à 36 mois de 100% et 55% (p=0,001).
En analyse univariée, le nombre de cycles de FOLFIRINOX inférieurs à 6 (HR=0,49 ; p=0,03), l’absence de résection veineuse (HR=0,39 ; p=0,003) et la réponse histologique majeure (HR=0,33 ; p=0,01) étaient des facteurs de SSR. En analyse multivariée, l’absence de résection veineuse (HR=0,92 ; p=0,03) et la réponse histologique majeure (HR=0,38 ; p=0,035) étaient des facteurs indépendants de SSR.
Conclusion: La résection chirurgicale pour adénocarcinome du pancréas BR/LA après FOLFIRINOX +/- radiochimiothérapie est R0 dans 84% des cas, associée à une faible morbidité, et permet d’obtenir des SSR et SG proches de celles des patients résécables d’emblée. Ces résultats justifient une évaluation prospective du FOLFIRINOX dans ces indications.
Conférence du Prof. Gilles Pelletier présentant les règles d'attribution des greffons hépatiques pour les patients souffrant d'un cancer primaire du foie (CHC). Conférence donnée en juin 2014. France.
Carcinome hépatocellulaire (CHC). Conférence du Dr Eric Vibert (Chirurgien, AP-HP Hôpital Paul Brousse, Villejuif, France) aux Journées de Chirurgie hépato-biliaire, Juin 2014, Paris.
Objectif: Le FOLFIRINOX, validé dans les formes métastatiques, est en cours d’évaluation dans l’adénocarcinome du pancréas borderline (BR) ou localement avancé (LA). Le but de cette étude était d’analyser les suites opératoires de patients réséqués pour ADCP BR/LA après traitement d'induction par FOLFIRINOX.
Méthode: Les patients opérés après FOLFIRINOX ont été inclus dans cette étude rétrospective (20 centres). Les tumeurs ont été classées BR/LA selon la classification du NCCN. Les scanners diagnostiques de 60 patients ont fait l’objet d’une relecture centralisée.
Résultats: De Nov. 2010 à Déc. 2013, 80 patients (âge médian 59 ans) ont été opérés après une médiane de 6 cycles (1-30) de FOFIRINOX, et 65% (n=52) ont reçu en complément une radiochimiothérapie préopératoire après FOLFIRINOX. Au diagnostic, 47 patients (59%) étaient classés BR et 33 (41%) LA. La taille moyenne tumorale était de 33 mm (+/-12,9), et 82,5% (n=66) des tumeurs étaient céphaliques. Une résection veineuse a été réalisée chez 30 patients (37,5%).
La mortalité et la morbidité (Clavien grade III-IV) étaient de 3,7% (n=3) et 22%, dont 4% de fistules pancréatiques. Le taux de résections R0 était de 84%, avec 15% de réponse histologique complète. Après une médiane de suivi post-chirurgicale de 38,2 mois (IC 95% 29,3-47,0), 23 patients (28,7%) sont décédés et 42 (52%) ont présenté une récidive tumorale. La médiane de survie globale depuis le diagnostic (SGD) était de 59,2 mois (IC95% 45,7-72 ,7). La survie sans récidive (SSR) après chirurgie était de 17,2 mois [IC 95%: 11,3-23,0]. Les patients présentant une réponse histologique majeure, tumeurs classées ypT0-T1N0, présentaient une SGD significativement prolongée comparée aux patients ypT2-T4Nx avec, respectivement, des taux de SGC à 36 mois de 100% et 55% (p=0,001).
En analyse univariée, le nombre de cycles de FOLFIRINOX inférieurs à 6 (HR=0,49 ; p=0,03), l’absence de résection veineuse (HR=0,39 ; p=0,003) et la réponse histologique majeure (HR=0,33 ; p=0,01) étaient des facteurs de SSR. En analyse multivariée, l’absence de résection veineuse (HR=0,92 ; p=0,03) et la réponse histologique majeure (HR=0,38 ; p=0,035) étaient des facteurs indépendants de SSR.
Conclusion: La résection chirurgicale pour adénocarcinome du pancréas BR/LA après FOLFIRINOX +/- radiochimiothérapie est R0 dans 84% des cas, associée à une faible morbidité, et permet d’obtenir des SSR et SG proches de celles des patients résécables d’emblée. Ces résultats justifient une évaluation prospective du FOLFIRINOX dans ces indications.
Conférence du Prof. Gilles Pelletier présentant les règles d'attribution des greffons hépatiques pour les patients souffrant d'un cancer primaire du foie (CHC). Conférence donnée en juin 2014. France.
Dr Benjamin Besse - Parrainage Chercheur Gustave Roussy - Cancer du PoumonGustave Roussy
Première cause de mortalité par cancer chez l’homme mais également chez la femme à l’horizon 2014, le cancer du poumon doit figurer parmi les axes prioritaires de la recherche.
En parrainant ce programme, les donateurs font avancer la recherche.
En savoir plus : www.dons-gustaveroussy.fr/programme-cancer-du-poumon
Cancers du pancréas et chimiothérapie : un duo gagnant ? - Quand et comment opérer : Dans les cancers d’emblée résécables ?
Dr Gabriella Pittau
Journées du Centre Hépato-Biliaire - JCHB 2019
Journées de Chirurgie
Les tests de dépistage rapide de l'Hépatite C : Quel impact sur la prise en charge de nos patients ? Conférence du Dr. Pascal Mélin (Centre Hospitalier de Saint-Dizier, France)
Métastases Hépatiques : Le Pr Christophe Penna, AP-HP Hôpital de Kremlin-Bicêtre nous donne son point vue de chirurgien colo-réctal sur le traitement à adapter en cas du cancer du colon
Imagerie du cholangiocarcinome du hile. Conférence du le Pr Maïté Lewin (Radiologue, AP-HP Hôpital Paul Brousse, Villejuif, France) aux Journées de Chirurgie hépato-biliaire (Juin 2014, Paris).
Gestion du petit foie restant: place et résultats des techniques pré-opératoires préventives de l'IHC :
Radiofréquence combinée à la résection - Dr Gabriella PITTAU / Pr Antonio SA CUNHA
Dr Benjamin Besse - Parrainage Chercheur Gustave Roussy - Cancer du PoumonGustave Roussy
Première cause de mortalité par cancer chez l’homme mais également chez la femme à l’horizon 2014, le cancer du poumon doit figurer parmi les axes prioritaires de la recherche.
En parrainant ce programme, les donateurs font avancer la recherche.
En savoir plus : www.dons-gustaveroussy.fr/programme-cancer-du-poumon
Cancers du pancréas et chimiothérapie : un duo gagnant ? - Quand et comment opérer : Dans les cancers d’emblée résécables ?
Dr Gabriella Pittau
Journées du Centre Hépato-Biliaire - JCHB 2019
Journées de Chirurgie
Les tests de dépistage rapide de l'Hépatite C : Quel impact sur la prise en charge de nos patients ? Conférence du Dr. Pascal Mélin (Centre Hospitalier de Saint-Dizier, France)
Métastases Hépatiques : Le Pr Christophe Penna, AP-HP Hôpital de Kremlin-Bicêtre nous donne son point vue de chirurgien colo-réctal sur le traitement à adapter en cas du cancer du colon
Imagerie du cholangiocarcinome du hile. Conférence du le Pr Maïté Lewin (Radiologue, AP-HP Hôpital Paul Brousse, Villejuif, France) aux Journées de Chirurgie hépato-biliaire (Juin 2014, Paris).
Gestion du petit foie restant: place et résultats des techniques pré-opératoires préventives de l'IHC :
Radiofréquence combinée à la résection - Dr Gabriella PITTAU / Pr Antonio SA CUNHA
Estrategia Semanal de Cortal Consors para la renta variable y las divisasSalainversion
Acciones que se pueden favorecer de un Dólar fuerte.
Consideramos que la debilidad del Euro frente a otras divisas continuará en los próximos meses por dos
factores concretos: primero desconfianza sobre la región por la disparidad de crecimiento entre partes y
elevado % de deuda sobre PIB, y segundo por previsiones de crecimiento de la Eurozona frente a otros países.
Bajo esta premisa filtramos el mercado buscando compañías que se puedan beneficiar primero del mayor
crecimiento de EE.UU frente a nuestra región, y segundo de la fortaleza del Dólar. Los criterios son buscar aquellas compañías cuyas ventas en EE.UU sean superiores a 1.000 millones de € y cuyo % sobre las
ventas totales sea relativamente elevado, y pertenecientes a sectores de corte defensivo con tendencia relativa positiva.
Stock Picking: Delhaize Group (Objetivo 65, Stop Media 200 sesiones , página 4); UCB (Objetivo 40, Stop Media 200 sesiones, página 5); Ahold (Objetivo 10,50, Stop Media 200 sesiones, página 6); Iberdrola
Renovables (Objetivo 4,15, Stop 2,95, página 7) ; Gamesa (Objetivo 14,50, Stop 8,95, página 8) ; Christian Dior (Objetivo 80,50, Stop Media 200 sesiones, página 9) ; Philips (Objetivo 24,70, Stop Media
200 sesiones, página 10) ; Sanofi-Aventis (Objetivo 65, Stop Media 200 sesiones, página 11) ; Siemens
(Objetivo 80, Stop Media 200 sesiones, página 12) ; LVMH (Objetivo 85,50, Stop Media 200 sesiones,
página 13).
Publicado por www.saladeinversion.es, una iniciativa de Saxo Bank y su alianza de socios en España
Quatrième numéro du magazine gratuit Le Mans Auto-Moto. Au programme de ce numéro, comparatif, essai, micro-trottoir, interview, gros plan et autres nouveautés automobiles et motos à venir.
Retrouvez davantage de contenus exclusifs sur le site nantesautomoto.fr
Troisième numéro du magazine gratuit Le Mans Auto-Moto. Au programme de ce numéro, comparatif, essai, micro-trottoir, interview, gros plan et autres nouveautés automobiles et motos à venir.
Retrouvez davantage de contenus exclusifs sur le site nantesautomoto.fr
Nantes Auto-Moto numero 8 - Janvier-Février 2014nantes-auto-moto
Huitième numéro du magazine gratuit Nantes Auto-Moto. Au programme de ce numéro, comparatif, essai, micro-trottoir, interview, gros plan et autres nouveautés automobiles et motos à venir.
Retrouvez davantage de contenus exclusifs sur le site nantesautomoto.fr
Focus gériatrique - Evaluation gériatrique pré-TAVIRéseau Pro Santé
Revue 'La Gazette du Jeune Gériatre " AJGH - N°14 - Mars 2017
Rétrécissement aortique
Le rétrécissement aortique est la pathologie valvulaire la plus fréquente chez les sujets de plus de 65 ans.
Il est serré quand la surface aortique est < 1 cm2 ou < 0,6 cm2 /m2 de surface corporelle.
La principale étiologie est dégénérative, par calcification valvulaire.
Le pronostic de la maladie est déterminé par la survenue des symptômes (angor, syncope et dyspnée d’effort), qui entraînent une diminution de l’autonomie. La survie moyenne sans intervention de remplacement valvulaire après leur apparition est de 1 à 3 ans selon les séries.
Le traitement médical seul (incluant la dilatation aortique par ballonnet) ne modifie pas l’histoire naturelle de la maladie.
Le remplacement valvulaire est recommandé dès l’apparition des symptômes. La technique de référence actuelle est le remplacement valvulaire chirurgical. Cependant, la décision opératoire est complexe chez les patients âgés, qui constituent une population hétérogène. Le risque opératoire et l’espérance de vie après intervention sont variables, selon les particularités de chaque patient. L’âge n’est pas en soi un facteur péjoratif de survie au décours d’une intervention chirurgicale de remplacement aortique, bien que les scores de risque habituellement utilisés pour évaluer le risque opératoire (EUROSCORE II et STS score) l’incluent comme facteur. C’est surtout la présence de comorbidités multiples chez les patients âgés qui peut rendre la balance bénéfice/risque défavorable. (...)
http://www.reseauprosante.fr
Best of des publications sur la chirurgie hépatique et pancréatiqueBertrand Le roy
Merci aux journées d'oncologie digestive de m'avoir sollicité pour parler d'un cas clinique sur la prise en charge du CHC et sur le Best of des publications HPB en 2023.
Voici le Best of des publications sur la chirurgie hépatique et pancréatique
Thrombectomie mécanique dans l’AVC ischémique un challenge globalRéseau Pro Santé
Revue "Radioactif" n°27 - UNIR - Avril 2017
1. La thrombectomie mécanique, révolution thérapeutique
L’accident vasculaire cérébral ischémique est la principale cause de handicap acquis dans le monde, et l’une des causes majeures de mortalité. Le risque de décès ou de handicap sévère, est d’autant plus important chez les patients présentant une occlusion vasculaire « proximale » (c.-à-d. des segments cisternaux des artères du polygone de Willis, de la terminaison carotidienne, de la carotide cervicale ou du tronc basilaire).
Le principal facteur pronostique de bonne récupération fonctionnelle est la précocité de la restauration de la perfusion cérébrale, par recanalisation de l’artère occluse (‘Time is Brain’, ‘the golden hour’). Depuis les années 1990 et la validation de la thrombolyse intraveineuse dans l’AVC ischémique, les filières de soins neurovasculaires n’ont eu cesse de s’organiser pour permettre un accès sans délai, à tous, à la thrombolyse. Pour y parvenir, la plupart des réseaux neurovasculaires dans le monde s’organisent sur un modèle hub-and-spoke où les hôpitaux périphériques de proximité (centres primaires, spokes) sont organisés pour recevoir les patients, réaliser le bilan clinique et d’imagerie, débuter la thrombolyse, pour ensuite transférer le patient (drip and ship) vers un centre disposant d’un plateau technique complet pour la suite de la prise en charge (centre ‘intégratifs ‘, hubs). La télé-expertise (ici télé-stroke) a d’ailleurs, au cours des 5 dernières années, catalysé l’efficacité de ce modèle, permettant le déploiement de multiples centres primaires, et resserrant le maillage territorial d’hôpitaux ‘tPA ready’.
(...)
http://www.reseauprosante.fr
1. Miguel Chaput, Martine Leblanc, Carolane
Beauregard-Totaro, Pavithra Antonito, Rafik Ghali,
Bernard Montreuil
Chirurgie vasculaire et Néphrologie, Hôpital
Maisonneuve-Rosemont, Montréal
4 mai 2013 1
2. L’hémodialyse chronique est associée avec
comorbidités et diminution de l’espérance de
vie.
Deux types de patients référés pour création
de FAV:
Néphropathie isolée (rentabiliser les veines).
Néphropathie diabétique et hypertensive (MCAS,
MVP, infections) survie moyenne de 3 à 4 ans.
Les facteurs de risque sont difficiles à
modifier dans cette population, et les critères
de sélection pour l’HD sont de plus en plus
larges. 4 mai 2013 2
3. 4 mai 2013 3
Xue et al., Am J Kid Dis, 2003.
N = 65595
4. Kidney Disease Outcomes Quality Initiative
(KDOQI - ASN).
Création précoce d’un accès pour HD (autologue
d’abord).
▪ Prédialyse (eTFG<15mL/min/1,73m2
).
Suivi rigoureux.
Aggressivité des traitements des sténoses d’aval.
▪ Sténose de plus de 50%.
▪ « diminution du flow intra-accès » (400 mL/min ou baisse
de 25%).
Éviter les cathéters de dialyse permanents (<10%).
4 mai 2013 4
6. Définitions (Sidawi et al., 2008).
Perméabilité primaire: intervalle entre la création et
tout événement (dilatation, re-opération,
thrombose initiale).
Perméabilité primaire assistée: intervalle entre la
création et la thrombose initiale.
Perméabilité secondaire: intervalle entre la création
et la thrombose finale (incluant la période post
thrombectomie ou thrombolyse).
Perméabilité fonctionnelle; Période
d’utilisation de la FAV pour dialyse double
aiguille (sans cathéter).
4 mai 2013 6
12. Perméabilité fonctionnelle.
Facteurs de risque de thrombose.
Impact du site anatomique choisi.
Impact sur la survie.
4 mai 2013 12
13. Présenter un algorithme de sélection du site
de FAV pour HD en fonction du mapping
préopératoire ET peropératoire et en
fonction des résultats de survie des différents
accès dans l’expérience locale (60 à 100 FAV
créées/an, suivi localement).
Identifier les facteurs de pronostique qui ont
un impact sur la perméabilité fonctionnelle
des FAV autologues et synthétiques.
4 mai 2013 13
14. Technique standardisée (avec garrot).
Identification des diamètres veineux;
Veine céphalique (3 niveaux avant bras et bras).
Veine basilique pli du coude.
Confluence basilico-céphalique pli du coude.
Veine axillaire.
Diamètres artériels et morphologie des ondes
doppler.
4 mai 2013 14
15. Cartographie répétée en salle d’opération
(garrot).
Confirmer les trouvailles de la cartographie
préopératoire.
Identifier une bifurcation brachiale haute.
Identification d’une veine de calibre adéquat à
un site pratique pour réaliser une anastomose
sans tension (incluant la veine perforante de la
confluence BC).
4 mai 2013 15
16. Analyse de survie.
600 FAV autologues, 60 FAV synthétiques.
1er
janvier 2002 au 1er
janvier 2012.
4 chirurgiens.
Approche « autologue d’abord, distal
d’abord » de façon générale.
4 mai 2013 16
17. PTFE utilisé lorsque les veines superficielles
sont épuisées, plus tard dans le cours de la
maladie et dans la détérioration du réseau
veineux.
FAV radiocéphalique utilisée en général chez
les patients avec bon pronostique de survie,
souvent tentée malgré calibre limite de la
veine.
18. Sous l’influence des recommendations du
KDOQI, création d’un poste d’infirmière au
suivi des accès vasculaires, d’abord pour le
recrutement des patients (60 et 100 FAV
créées chaque année).
Mesure du flow intra accès tous les 3 mois
(Transonic) et documentation des dates de
création, d’utilisation, d’abandon et de
thrombose.
4 mai 2013 18
23. 4 mai 2013 23
Perméabilité des FAV autologues
Années
Surviecumulative
Secondaire
Primaire assistée
Primaire
0 1 62 3 4 5 7
1,0
0,2
0,4
0,6
0,8
0
53±4%
29±6%
1 an 76%
5 ans 54%
24. 4 mai 2013 24
Temps (années)
Surviecumulative
0 1 62 3 4 5 7
1,0
0,2
0,4
0,6
0,8
0
Perméabilité fonctionnelle FAV autologues
51±4%
25±6%
Secondaire
Primaire assistée
Primaire
1 an 68%
5 ans 51%
25. 4 mai 2013 25
Temps (années)
Surviecumulative
0 1 62 3 4 5 7
1,0
0,2
0,4
0,6
0,8
0
Perméabilité secondaire
Perméabilité fonctionnelle
Perméabilité vs Fonctionnalité
11,2%
26. Perméabilité secondaire.
Analyse de Cox pour toutes les données
cliniques disponibles.
HR > 1 signifie un impact négatif sur la survie
de l’accès.
4 mai 2013 26
27. Facteur HR Intervalle de
confiance
p
diabète 1,46 1,06 – 2,02 0,021
Cathéter ipsilatéral dans
le passé
1,27 0,91 – 1,76 0,160
Site de la fistule
Brachio-Basilique
Radio-céphalique
Brachio-céphalique
1,0
0,83
0,53
-
0,55 - 1,24
0,37 – 0,76
(0,001)
-
0,363
0,001
FE VG < 50% 1,36 0,93 - 1,98 0,116
Redo 1,316 1,02 – 1,72 0,047
Débit initial < 500 mL/min 3,06 1,61-5,83 0,001
Diamètre de la veine
(augmentation de 1 mm)
0,757 0,621 – 0,924 0,006
4 mai 2013
27Âge, diamètre artériel = NS
29. 4 mai 2013 29
Perméabilité fonctionnelle
(multivarié)FACTEUR HR Intervalle de
confiance
p
diabète 2,21 1,07 – 4,52 0,03
Site de la FAV
Brachio-Basilique
Radio-céphalique
Brachio-céphalique
1,0
0,79
0,51
-
0,43 – 1,34
0,31 – 0,75
-
0,35
0,0001
FEVG < 50% 1,29 0,60 – 2,79 0,509
Redo 2,12 1,04 – 4,34 0,04
Ipsilateral catheter 1,59 0,75 - 3,40 0,23
Initial flow < 500 5,93 2,78 – 12,61 0,0001
Diamètre de la veine
(1mm)
0,76 0,62-0,91 0,01
30. Diamètre < 2,4 mm.
Perméabilité fonctionnelle à 1 an 30,2% vs 64,3%
(p<0,001).
Diamètre de l’artère n’a pas d’impact sur la
perméabilité fonctionnelle.
4 mai 2013 30
31. Âge moyen 67,3±11,0 ans.
13 révisions (22,2%).
11 infections (18,3%).
Période d’utilisation moyen de 10,9 mois.
26 ont duré plus d’un an, 5 plus de 3 ans.
PTFE vs cathéter dans un centre qui applique
les principes de FAV autologue d’abord?
4 mai 2013 31
32. 4 mai 2013 32
Veine>2,3
Controlatéral
Aux KT anciens
34. Identifier un site optimal: calibre>2,3 mm et
localisation de la veine pour une anastomose
sans tension.
Tabatière et diamètre de la veine (écho per op).
Face palmaire vs face dorsale de l’avant-bras (2e
incision et transposition) (écho per op).
Niveau de l’anastomose plus proximal (écho per
op).
4 mai 2013 34
36. Identifier un site optimal: calibre>2,3 mm et
localisation de la veine pour une anastomose
sans tension.
Tabatière et diamètre de la veine (écho per op).
Face palmaire vs face dorsale de l’avant-bras (2e
incision et transposition) (écho per op).
Niveau de l’anastomose plus proximal (écho per
op).
4 mai 2013 36
37. FAV Bcéphalique et Bbasilique.
Bifurcation artérielle haute (écho per op).
Veine basilique ou céphalique distante à l’artère
(écho per op).
Utilisation de la veine perforante de la confluence
basilico-céphalique (écho per op).
4 mai 2013 37
38. L’écho peropératoire permet de confirmer
l’anatomie et les calibres veineux, déterminer
un site optimal, et éviter les surprises (veines
distantes, bifurcation humérale, etc.).
4 mai 2013 38
39. Le diabète, la réintervention et le site d’accès
sont des facteurs de risque indépendant de
thrombose et de non-utilisation des accès.
La fistule brachiocéphalique a une
perméabilité fonctionnelle supérieure.
4 mai 2013 39
40. La fistule synthétique est associée avec une augmentation
des complications mais est potentiellement durable chez un
patient sélectionné, même dans un groupe qui préconise la
fistule autologue (meilleur que le cathéter permanent?).
L’utilisation d’un algorithme d’investigation et de traitement
agressif des accès vasculaires donne une perméabilité
fonctionnelle favorable à long terme…
…malgré la perte de 21,3% des accès avant la première utilisation et la
perte de 11,2% de plus en fonctionnalité pendant le suivi.
4 mai 2013 40
41. L’écho peropératoire permet d’identifier le
site anastomotique idéal et potentiellement
d’éviter l’échec précoce de l’accès vasculaire.
4 mai 2013 41