En combinant l'Hypnose, et l'EFT, les deux méthodes les plus efficaces en thérapie brève, je vous propose de les découvrir rapidement dans un slide j'espère lèger;)
C'est la solution adaptée pour perdre du poids, arrêter de fumer, régler une fois pour toute vos phobies et anxiété, ou gérer votre stress, ou encore améliorer la confiance en vous.
En combinant l'Hypnose, et l'EFT, les deux méthodes les plus efficaces en thérapie brève, je vous propose de les découvrir rapidement dans un slide j'espère lèger;)
C'est la solution adaptée pour perdre du poids, arrêter de fumer, régler une fois pour toute vos phobies et anxiété, ou gérer votre stress, ou encore améliorer la confiance en vous.
Extrait d'un conférence animée par Philippe BARAN & Pierre-Yves HOSTIN du cabinet NOUVELLE TRACE.
"Sous stress, on régresse" Les Neurosciences nous expliquent que le stress est une réaction physiologique et psychologique d'adaptation à une situation nouvelle. Quand la situation est trop complexe pour être gérée par notre mode mental automatique, le cortex préfontal nous adresse un signal d'alerte, le stress.
Quels sont les territoires cerebraux impliqués? Comment s'entraîner à mieux gérer sa stressabilité? comment repérer les 3 états de stress et s'y adapter?
Voici quelques apports des neurosciences issus des travaux de l'INC (Intitute of NeuroCognitivism)
Les techniques d'hypnose en psychotherapieRémi Côté
La capacité de bien se détendre est une composante essentielle dans l'apprentissage de la régulation des émotions. Une baisse de la tension psychique et régule les émotions. Les techniques d’hypnoses sont validées scientifiquement. Le libellé (script) est étudié et optimisé.
Cette technique d'hypnose permet d'augmenter considérablement sa capacité d’adaptation pour faire face aux stresseurs quotidiens et mieux gérer ses réactions émotionnelles.
Les stimulus calmant, les sons, le phrasés, qui vient aider à réorienter la pensée logique extéroceptive et la recentrer vers l'intérieur, vers les valeurs intrinsèques
Une attitude bienveillante de l’émetteur des suggestions
Une diminution du tonus musculaire, favorisée par une position confortable, allongée ou assise, qui réduit au minimum le travail postural
Utilisation des suggestions de détente pour la relaxationRémi Côté
OBJECTIFS VISÉS AU TERME DE LA FORMATION
Comprendre la théorie et la pratique de la détente de groupe
Pouvoir utiliser efficacement des techniques de détente dans son milieu scolaire.
Faire face aux dangers avec courage et lucidité : sensations, émotions, sentiments, besoins, frustrations, mécanismes de défense et outils de protection
Présentation sur les méthodes d'enseignement béhavioristes.
Une première partie sur l'évolution de la théorie (Pavlov, Watson).
Une deuxième partie sur les idées d'applications pratiques du béhaviorisme à l'éducation (Skinner)
Comme chaque année, les organisateurs du CPNLF (Congrès de Psychiatrie et de Neurologie de Langue Française) avaient réservé à l’AFFEP l’organisation d’une session. Cette année le congrès se déroulait à Paris et c’est donc la PEP’S (association des internes parisiens) qui est intervenue. Le thème choisi était une discussion sémiologique entre obsession et automatisme mental.
L’automatisme mental selon Clérambault (1)
Clérambault s’est intéresssé aux productions intrapsychiques, que certains apparentent aux hallucinations : Henri Ey parlait de pseudo-hallucinations (2) et la nosographie actuelle inspirée du DSM IV range les phénomènes d’automatisme mental parmi les hallucinations.
Clérambault était un tenant de la théorie mécaniciste de la psychiatrie, théorie qui veut qu’à un symptôme corresponde une lésion cérébrale localisée, qu’à un syndrome corresponde une association de symptômes et qu’à une maladie mentale corresponde une association de syndromes. Ainsi s’est faite une description très « atomique », atomisée diront certains, des maladies mentales.
L’automatisme mental que Clérambault avait pu observer à l’Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police de Paris, où il travaillait, a ainsi été décrit par lui comme le syndrome initial des psychoses.
Avec une grande finesse clinique, il a rassemblé dans ce syndrome toute une série de phénomènes mentaux, discrets et primaires (il parlera du « fait primordial des psychoses »).
reseauprosante.fr
Le béhaviorisme ou comportementalisme est un paradigme de la psychologie scientifique selon lequel le comportement observable est essentiellement conditionné soit par les mécanismes de réponse.
Les expériences de « classe inversée » apparaissent aujourd’hui prometteuses. Alors que, dans les « classes traditionnelles », on « fait cours » à l’École avant d’envoyer les élèves « travailler » chez eux, dans les « classes inversées », le professeur propose aux élèves de prendre connaissance d’un exposé enregistré ou d’une séquence illustrée puis les accueille en classe pour répondre à leurs questions et les accompagner dans la réalisation d’exercices ou de projets… On comprend que ce modèle pédagogique soit particulièrement attractif : à l’ère du numérique, au moment où tant de ressources documentaires sont disponibles
Extrait d'un conférence animée par Philippe BARAN & Pierre-Yves HOSTIN du cabinet NOUVELLE TRACE.
"Sous stress, on régresse" Les Neurosciences nous expliquent que le stress est une réaction physiologique et psychologique d'adaptation à une situation nouvelle. Quand la situation est trop complexe pour être gérée par notre mode mental automatique, le cortex préfontal nous adresse un signal d'alerte, le stress.
Quels sont les territoires cerebraux impliqués? Comment s'entraîner à mieux gérer sa stressabilité? comment repérer les 3 états de stress et s'y adapter?
Voici quelques apports des neurosciences issus des travaux de l'INC (Intitute of NeuroCognitivism)
Les techniques d'hypnose en psychotherapieRémi Côté
La capacité de bien se détendre est une composante essentielle dans l'apprentissage de la régulation des émotions. Une baisse de la tension psychique et régule les émotions. Les techniques d’hypnoses sont validées scientifiquement. Le libellé (script) est étudié et optimisé.
Cette technique d'hypnose permet d'augmenter considérablement sa capacité d’adaptation pour faire face aux stresseurs quotidiens et mieux gérer ses réactions émotionnelles.
Les stimulus calmant, les sons, le phrasés, qui vient aider à réorienter la pensée logique extéroceptive et la recentrer vers l'intérieur, vers les valeurs intrinsèques
Une attitude bienveillante de l’émetteur des suggestions
Une diminution du tonus musculaire, favorisée par une position confortable, allongée ou assise, qui réduit au minimum le travail postural
Utilisation des suggestions de détente pour la relaxationRémi Côté
OBJECTIFS VISÉS AU TERME DE LA FORMATION
Comprendre la théorie et la pratique de la détente de groupe
Pouvoir utiliser efficacement des techniques de détente dans son milieu scolaire.
Faire face aux dangers avec courage et lucidité : sensations, émotions, sentiments, besoins, frustrations, mécanismes de défense et outils de protection
Présentation sur les méthodes d'enseignement béhavioristes.
Une première partie sur l'évolution de la théorie (Pavlov, Watson).
Une deuxième partie sur les idées d'applications pratiques du béhaviorisme à l'éducation (Skinner)
Comme chaque année, les organisateurs du CPNLF (Congrès de Psychiatrie et de Neurologie de Langue Française) avaient réservé à l’AFFEP l’organisation d’une session. Cette année le congrès se déroulait à Paris et c’est donc la PEP’S (association des internes parisiens) qui est intervenue. Le thème choisi était une discussion sémiologique entre obsession et automatisme mental.
L’automatisme mental selon Clérambault (1)
Clérambault s’est intéresssé aux productions intrapsychiques, que certains apparentent aux hallucinations : Henri Ey parlait de pseudo-hallucinations (2) et la nosographie actuelle inspirée du DSM IV range les phénomènes d’automatisme mental parmi les hallucinations.
Clérambault était un tenant de la théorie mécaniciste de la psychiatrie, théorie qui veut qu’à un symptôme corresponde une lésion cérébrale localisée, qu’à un syndrome corresponde une association de symptômes et qu’à une maladie mentale corresponde une association de syndromes. Ainsi s’est faite une description très « atomique », atomisée diront certains, des maladies mentales.
L’automatisme mental que Clérambault avait pu observer à l’Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police de Paris, où il travaillait, a ainsi été décrit par lui comme le syndrome initial des psychoses.
Avec une grande finesse clinique, il a rassemblé dans ce syndrome toute une série de phénomènes mentaux, discrets et primaires (il parlera du « fait primordial des psychoses »).
reseauprosante.fr
Le béhaviorisme ou comportementalisme est un paradigme de la psychologie scientifique selon lequel le comportement observable est essentiellement conditionné soit par les mécanismes de réponse.
Similaire à 495144444444444444448888855579986464583.ppt (20)
Les expériences de « classe inversée » apparaissent aujourd’hui prometteuses. Alors que, dans les « classes traditionnelles », on « fait cours » à l’École avant d’envoyer les élèves « travailler » chez eux, dans les « classes inversées », le professeur propose aux élèves de prendre connaissance d’un exposé enregistré ou d’une séquence illustrée puis les accueille en classe pour répondre à leurs questions et les accompagner dans la réalisation d’exercices ou de projets… On comprend que ce modèle pédagogique soit particulièrement attractif : à l’ère du numérique, au moment où tant de ressources documentaires sont disponibles
Body Part5555555555555555555555555555555s Vocabulary - Spanish - Foreign Lang...DarrajBrahim1
This document appears to be a template for a presentation on body parts in Spanish for preschoolers. It includes slides with vocabulary words for parts of the face like "ojos", "nariz", "boca"; activities like labeling body parts and puzzles; and instructions for using fonts, colors, and graphics included in the template. The document provides resources for teaching young learners basic Spanish vocabulary related to the human body.
The document discusses project management techniques. It defines a project as a complex, one-time effort with defined objectives, lifespan, and budget. It describes two network techniques, PERT and CPM, that use graphs to show task relationships and durations. The critical path method identifies the longest sequence of tasks in a project network as the critical path. Gantt charts further illustrate project schedules by displaying tasks and their timelines.
Supply chain management involves coordinating organizations, facilities, functions, and activities involved in producing and delivering a product or service. It begins with basic suppliers providing raw materials and extends to the final customer. Key elements include forecasting demand, designing products with customers in mind, managing inventory, evaluating suppliers, and coordinating logistics. An integrated supply chain links a company's internal departments like purchasing and production with external partners like suppliers and customers.
The document discusses Material Requirements Planning (MRP), a system used to manage dependent demand inventory and replenishment scheduling. MRP uses a bill of materials, master production schedule, and inventory records as inputs to determine requirements and schedule receipt of materials. It aims to have the right materials in the right place at the right time. MRP explodes bill of materials and rolls up requirements to generate planned orders. The system has evolved into Manufacturing Resource Planning (MRPII) and further into Enterprise Resource Planning (ERP) systems.
Inventory serves several purposes including meeting demand, smoothing production requirements, and protecting against stockouts. There are three main types of inventory costs: holding costs, ordering costs, and shortage costs. Materials can be classified into three categories based on their value and volume contribution. Economic Order Quantity (EOQ) and Economic Production Quantity (EPQ) models can be used to determine the optimal order/production quantity that minimizes total inventory costs. EOQ assumes constant demand while EPQ assumes production and usage occur simultaneously at constant rates. Both aim to balance holding and ordering costs.
Aggregate planning involves intermediate-range planning from 2-18 months to determine overall levels of output, employment, and inventory. It aims to balance demand and capacity over time. The key steps are to forecast aggregate demand, set output, employment, and inventory targets, and periodically update the rolling plan. Demand and capacity options like pricing, promotions, overtime/slack time, inventory, and subcontracting can be used to better match fluctuations. The optimal plan is selected by developing alternatives and choosing the lowest cost option that meets objectives.
The document discusses facility layout and different types of layout configurations including product layout, process layout, U-shaped layouts, cellular layouts, and fixed position layouts. It provides details on the advantages and limitations of product and process layouts. It also discusses line balancing and the steps involved, including determining the desired output rate, calculating cycle time, finding the theoretical minimum stations, determining idle time, and calculating efficiency. An example of assigning tasks to stations for line balancing is provided.
The document discusses factors to consider when locating facilities, including proximity to suppliers and customers, available labor pool, costs, and infrastructure. It also describes methods for analyzing location options, such as using a factor rating system to combine various criteria or a center of gravity method to find a central location based on existing sites and shipping volumes. The document provides an example of using the center of gravity method to determine the optimal location for an intermediate holding facility between a plant and its distributors.
The document discusses capacity planning, which refers to determining an organization's ability to meet future demands based on its production capacity. It addresses key questions like what type of capacity is needed, how much, and when. The document also covers factors that determine effective capacity like facilities, products, processes, human factors and operations. Finally, it discusses developing capacity alternatives and evaluating them through techniques like cost-volume analysis and financial analysis.
This document discusses forecasting techniques. It outlines the elements of a good forecasting process, which includes gathering relevant data, selecting a forecasting technique, preparing the forecast, and monitoring results. It then describes several approaches to forecasting, including judgment-based methods like surveys and time series methods that analyze trends and seasonality in historical data. Specific forecasting techniques are explained, such as averaging methods, exponential smoothing, regression analysis, and measures to evaluate forecast accuracy like mean absolute deviation and mean squared error.
The document discusses the concepts of projects and project management. It defines a project as a sequence of connected activities that must be completed by a specific time, within budget, and according to specifications to achieve a particular goal. Project management is then defined as the principles and tools used to define, plan, execute, control, and complete a project. The document emphasizes that project management is important as it helps to organize one's approach, generate credible schedules, track progress, control the project, identify issues early, and save both time and money.
1. Principes des Thérapies cognitives et
comportementales (TCC)
Dominique Servant
Unité stress et anxiété
CHRU de Lille
2. Le Behaviorisme
• Dans les années 1920 naît le «behaviorisme»
ou comportementalisme qui décrit les
mécanismes de l’apprentissage et du
conditionnement des comportements et apporte
une vision radicalement différente des phobies
et des névroses.
3. Conditionnement classique
répondant ou pavlovien
• Pavlov (1849-1936) et son ‘chien’
• Obtenu par la répétition d’une relation
temporelle entre un stimulus neutre (ne
produisant pas de réponse) et un stimulus «
inconditionnel » qui de façon naturelle produit
une réponse comportementale ou réponse
inconditionnelle. La répétition du stimulus neutre
déclenche une réponse (stimulus conditionnel).
4. Avant le conditionnement
• Son de cloche Le chien tourne la tête
Réponse d’orientation
• Nourriture Le chien salive
Réponse inconditionnelle
5. Après le conditionnement
Répétition de l’association temporelle entre
le tintement de cloche et la présentation
de nourriture
• Son de cloche Le chien salive
Réponse conditionnelle
6. Conditionnement opérant ou
skinnerien
• Skinner (1904-1990)
• Augmenter ou diminuer la probabilité d’apparition d’une
réponse en punissant ou récompensant chaque
émission de cette réponse.
• Les comportements se renforcent lorsqu’ils sont
associés à une conséquence positive (renforcement
positif) et ont tendance à s’éteindre quand leur
conséquence est négative (renforcement négatif).
7. Double conditionnement de Mowrer
• Les comportements pathologiques pourraient
s’acquérir par un enchainement, entre
conditionnement classique et opérant.
• Le conditionnement classique serait à l’origine
du ressenti émotionnel, le conditionnement
opérant lui faisant suite concernent les réponses
comportementales faisant cesser l’anxiété.
8. Principe de la thérapie
comportementale
• L’objectif de la thérapie va consister à
modifier le comportement problème et le
changer par un comportement mieux
adapté.
• Comportement proprement dit mais aussi
réactions physiques, émotions…
• Désensibilisation systématique,
exposition…
9. Désensibilisation systématique
(Wolpe 1958)
• Basée sur le principe l’inhibition réciproque..
• Propose d’inhiber la réponse physiologique en
utilisant une réponse «incompatible à l’anxiété»
comme la relaxation. Par l’apprentissage de ce
nouveau comportement se produit un contre-
conditionnement. Dans ce processus, une
réponse alternative à l’anxiété ou à la peur est
associée systématiquement au stimulus
provoquant l’anxiété pour remplacer la réponse
émotionnelle inadaptée.
10. Désensibilisation systématique
Techniques
• Apprentissage de la relaxation
• Construction d’une hiérarchie de situations
anxiogènes
• Le patient relaxé est invité à imaginer une
situation lorsque le niveau d’anxiété est
atteint il le signale au thérapeute (levant le
doigt) puis il est inviter à se relaxer puis on
reprend la confrontation en imagination
selon la hiérarchie construite
11. Hiérarchisation de situations cibles
• De la moins anxiogène à la plus
anxiogène
• Attribuer un score
• Progresser vers des situation de plus en
plus phobogène
12. L’exposition
• L’exposition conduit à
une réduction de l’anxiété
à travers le mécanisme
d’habituation.
• Se confronter, selon
certaines règles, aux
stimuli anxiogènes, afin
de diminuer la réponse
anxieuse associée
13. Un exemple : L’agoraphobie
• L’agoraphobie vient du Grec
Agora qui désigne la place
publique dans les anciennes
cités grecques. Elle regroupait
les bureaux de l’état, les
boutiques, des arcades et était
certainement un espace de
passage et d’activité.
L‘agoraphobie signifie donc
littéralement une peur
pathologique des espaces
vides et des lieux publics.
14. 100 - Concert.
90 -Ascenseur bloqué.
80 - Métro ou tunnel sombre.
70 - Bus ou restaurant le soir.
60 - Conduite de nuit.
50 - Grands magasins.
40 - Cinéma.
30 - Aller chez des amis le soir.
20 - Aller voir un hospitalisé.
10 - Aller au travail après les vacances
Hiérarchie des situations
phobogènes
Evolution du niveau d'angoisse
au cours d'une séance
d'exposition
0
1
2
3
4
5
6
7
8
0 5 10 15 20 25 30
ANGOISSE
Minutes
Exposition : ex de l’agoraphobie
Le sujet est exposé à la situation la moins anxiogène jusqu’à ce que son angoisse diminue.
Une fois qu’il est capable de l’affronter sans angoisse, on l’expose à la suivante.
16. Traitement de l’information
• Inspiré de l’informatique
Input Hardware Software Output
Stimulus schémas Processus cognitifs
Événements Cognitifs et Comportements moteurs
17. 3 variables internes
• Les événements cognitifs.
• Les processus cognitifs et
• Les schémas cognitifs
18. Les schémas cognitifs
• Seraient à l’origine des troubles psychologiques
(dépression, anxiété …)
• Correspondraient à des croyances erronées sur
soi même et le monde et seraient à l’origine de
pensées automatiques, de symptômes
physiques, d’émotions et de comportements
maladaptés source de souffrance et de gène
pour le patient.
• Ils sont en mémoire à long terme et donc ne
sont pas accessibles au conscient
19. Les schémas anxieux et dépressifs
• Anxiété : menace du monde environnant,
sens de la vulnérabilité et contrôle faible
• Dépression : vison négative du monde et
de soi même
20. Processus cognitif
• Les processus cognitifs correspondent à des
règles logiques de transformation de
l’information qui permettent le passage de
structures profondes (schémas cognitifs) vers
les structures superficielles (événements
cognitifs).
• Ex : Surestimation des chances ou probabilité
d’un danger
• Exagération des conséquences
• Sous estimer ses propres possibilités à faire
face
21. Les événements cognitifs
• Correspondent au produit du traitement de
l’information par les schémas cognitifs et
les processus cognitifs. ils se trouvent en
mémoire à court terme et sont
préconscients.
• Ils peuvent prendre différentes formes :
monologues intérieurs, dialogues internes,
autoverbalisations, pensées automatiques,
images mentales…
22. Les pensées automatiques
• Les pensées
automatiques sont les
monologues que le
patients se dit en lui-
même.
• Ce ne sont pas des
pensées absurdes, elles
traduisent une vision
négatives du monde,
elles sont
disproportionnées et
maladaptées.
23. La thérapie cognitive
• A partir du
questionnement
socratique (et alors)
base de la technique
qui enseigne un
raisonnement
déductif, les pensées
sont identifiées et
modifiées par des
pensées plus
rationnelles.
24. Les consignes concrètes
• Demander de noter et d’utiliser un carnet à
colonnes
• Prenez des exemples simples pour
identifier les pensées automatiques
• Suggérer d’autres façon de raisonner
• Demander lui de trouver d’autres pensées
plus adaptées
26. Spirale de la panique
(modèle de Clark, 1990)
Appréhension
Sensations corporelles :
Accélération du
rythme cardiaque
et de la respiration
Interprétations de
ces sensations
comme catastrophiques :
distorsions cognitives
Perception
d’une
menace
Agent
(interne
ou
externe)
27. Carnet à colonnes
Situation Pensées
automatiques
Pensées
alternatives
Être dans le métro
bondé de monde
et ressentir une
douleur dans la
poitrine
J’ai un infarctus je
vais mourir qui va
me ramasser
J’ai déjà ressenti
des pointes dans
la poitrine
Je vais attendre
que cela passe
Je vais respirer
calmement
28. Les étapes de la thérapie cognitive
1 Je prends conscience de la réaction en chaîne :
situation pensée émotion comportement
2 J’identifie mes pensées dans les moments
difficiles
3 J’examine rationnellement mes pensées
défaitistes
4 Je planifie mes activités progressivement
5 Je prends conscience de mes biais de pensées,
de mes jugements arbitraires
6 J’identifie mes différents schémas cognitifs pour
ensuite les discuter.
29. Les techniques de gestion du
stress
• Gérer le malaise
physique et les émotions
négatives (relaxation)
• Penser et à raisonner
autrement
• Agir pour surmonter ses
problèmes
• Gérer le temps
• Avoir un bon mode de vie
(activité physique,
sommeil…)
30. Conclusions
• 1 Modèles : apprentissage et traitement de
l’information…
• 2 Combinaison de différentes techniques
• 3 Approche pragmatique : objectifs et stratégies axés sur
le changement
• 4 Relation thérapeutique : interactive, guidée, explicite
• 5 Protocole structuré
• 6 Evaluation des résultats par des études scientifiques
• 7 indications stress anxiété dépression, douleur,
comportement de santé(addiction) et gestion des
symptômes (cardio, pneumo, gastro, cancero…).