L’îlot ouvert est un rassemblement de bâtiments autonomes et non identiques, autour d’une rue traditionnelle. Les hauteurs des bâtiments sont limitées, mais non généralisées. Il en est de même pour les façades, alignées, mais sans continuité d’une construction à une autre. La mitoyenneté est évitée afin de créer des bâtiments aux expositions multiples et de privilégier la création d’échappées visuelles au sein de l’îlot.
Portzamparc ne souhaite pas revenir à la forme de la rue, mais il ne valide pas le mouvement moderne. Son îlot ouvert est un ‘entre deux’ ’. Il retient de l’Haussmannisme la hiérarchisation entre espaces publics, semi-publics et privés. Il retient donc la rue de l’âge I, et des immeubles de l’âge II. il cherche à favoriser une diversité des constructions
Grands ensembles : donner des références
La dénomination « grands ensembles » désigne à la fois une forme (les
barres et les tours), une mesure (plus de 500 logements), un mode de
financement par les processus complexes du logement social, une implantation (le plus souvent la périphérie des villes), un zonage, une absence
de mixité sociale et fonctionnelle, des situations de coupures urbaines
multiples, un mode de conception inspiré fortement du Mouvement
moderne, avec des équipements prévus mais rarement réalisés dans leur
globalité. Le tout exigerait au moins trois notions dans toute autre langue.
Par exemple en anglais : grand scheme rend compte d’une forme architecturale, low cost housing ou moderate rental housing décrivent la
fonction de logement social et seraient traduits en français par HLM, high
rise estate housing ou multi storey flats (Grande-Bretagne) ou blocks
(États-Unis) évoquent la taille du quartier ou la hauteur des bâtiments.
Cette dénomination désigne aussi une époque de l’urbanisation en
France, des années 1960 à la fin des années 1970, un modèle largement
décrié — mais encore en cours dans bien des pays. Ces « années béton »
ont construit de nombreux quartiers pour accueillir la demande forte d’un
habitat à coût modéré. Les grands ensembles ont pour trait commun de
voir le jour dans des contextes où le contrôle de l’État est fort. Et ces
formes architecturales partagent, quel que soit le pays, une massivité et
un lien avec une situation de crise et d’urgencealimenterait le plus grand nombre des débats contemporains. Parlons-en !
Utopie urbaine et utopie sociale
Lier urbanisme et société est un truisme illustré par nombre d’utopies
urbaines. Comment ne pas citer Tony Garnier (1869-1948) dont la Cité
industrielle s’inspire du phalanstère de Charles Fourier qui proposait un
dispositif expérimental à la fois spatial et social regroupant des classes
sociales, âges et fortunes variés sur des sites précis, près d’un cours d’eau,
avec une terre arable, proche d’une grande ville.
D’autres conjuguent les deux approches en les liant intrinsèquement :
l’urbaniste britannique Ebenezer Howard (1850-1928) dont l’idéal de
cité-jardin est fondé su
L’îlot ouvert est un rassemblement de bâtiments autonomes et non identiques, autour d’une rue traditionnelle. Les hauteurs des bâtiments sont limitées, mais non généralisées. Il en est de même pour les façades, alignées, mais sans continuité d’une construction à une autre. La mitoyenneté est évitée afin de créer des bâtiments aux expositions multiples et de privilégier la création d’échappées visuelles au sein de l’îlot.
Portzamparc ne souhaite pas revenir à la forme de la rue, mais il ne valide pas le mouvement moderne. Son îlot ouvert est un ‘entre deux’ ’. Il retient de l’Haussmannisme la hiérarchisation entre espaces publics, semi-publics et privés. Il retient donc la rue de l’âge I, et des immeubles de l’âge II. il cherche à favoriser une diversité des constructions
Grands ensembles : donner des références
La dénomination « grands ensembles » désigne à la fois une forme (les
barres et les tours), une mesure (plus de 500 logements), un mode de
financement par les processus complexes du logement social, une implantation (le plus souvent la périphérie des villes), un zonage, une absence
de mixité sociale et fonctionnelle, des situations de coupures urbaines
multiples, un mode de conception inspiré fortement du Mouvement
moderne, avec des équipements prévus mais rarement réalisés dans leur
globalité. Le tout exigerait au moins trois notions dans toute autre langue.
Par exemple en anglais : grand scheme rend compte d’une forme architecturale, low cost housing ou moderate rental housing décrivent la
fonction de logement social et seraient traduits en français par HLM, high
rise estate housing ou multi storey flats (Grande-Bretagne) ou blocks
(États-Unis) évoquent la taille du quartier ou la hauteur des bâtiments.
Cette dénomination désigne aussi une époque de l’urbanisation en
France, des années 1960 à la fin des années 1970, un modèle largement
décrié — mais encore en cours dans bien des pays. Ces « années béton »
ont construit de nombreux quartiers pour accueillir la demande forte d’un
habitat à coût modéré. Les grands ensembles ont pour trait commun de
voir le jour dans des contextes où le contrôle de l’État est fort. Et ces
formes architecturales partagent, quel que soit le pays, une massivité et
un lien avec une situation de crise et d’urgencealimenterait le plus grand nombre des débats contemporains. Parlons-en !
Utopie urbaine et utopie sociale
Lier urbanisme et société est un truisme illustré par nombre d’utopies
urbaines. Comment ne pas citer Tony Garnier (1869-1948) dont la Cité
industrielle s’inspire du phalanstère de Charles Fourier qui proposait un
dispositif expérimental à la fois spatial et social regroupant des classes
sociales, âges et fortunes variés sur des sites précis, près d’un cours d’eau,
avec une terre arable, proche d’une grande ville.
D’autres conjuguent les deux approches en les liant intrinsèquement :
l’urbaniste britannique Ebenezer Howard (1850-1928) dont l’idéal de
cité-jardin est fondé su
Habitat collectif et semi collectif entre divergences et convergencesghafour abdou
Habitat collectif et semi collectif entre divergences et convergences
analyse de 6 exemples d'habitat collectif /semi collectif /et individuelle ... 1 exemple étranger et un autre locale de chaque type d'habitat ...
1. Réalisée par :
-Larabi Marwa
Centre culturel
Havre (Le volcan)
ville de Havre _ Paris
Encadré par :
Mm Youbi Ahlem
Université Baji Mokhtar Annaba
Département d’architecture et
d’urbanisme
2. Présentation du projet
Espace Oscar Niemeyer, aussi appelé le centre culturel, a été commandée
par la ville du Havre en 1972, l'architecte qui a réalisé le projet à l'égard de
tout projet de développement d'après-guerre précédente décrit par
Auguste Perret pour le remodelage Le Havre Centre détruits. C'est la seule
ville dont l'architecture moderne est classé comme un site du patrimoine
mondial de l'UNESCO en son centre.
3. Fiche technique
- Réalisé Par l’architecte : Oscar Niemeyer
- Date de réalisation: Concours 1972 – Construction 1982
- Situation : la maison de culturel se situe dans la ville du havre qui se trouve au Nord-Ouest de la capitale Paris
dans le prolongement du Bassin du Commerce, l'un des paysages essentiels du centre-ville, sur une place carrée de 120
mètres de côté, entourée au sud, au nord et à l'ouest par des immeubles de l'atelier Perret à trame orthogonale
- Genre: Centre culturel qui se compose de 2 volcans
- Ses dimensions: surface intérieure des bâtiments: 12219.20 m² (grand volcan 6948.90 m²; petit volcan
5270.30 m²)
- Mouvement: le mouvement moderne adapté du site Havre ( patrimoine mondiale ) Oscar dit "Quand j'ai étudié ce
projet ma principale préoccupation était de réussir à intégrer dans l'architecture de la ville"
4. Conception des espaces extérieurs
La maison est limitée par les bâtiments de trois cotés d’autre
par elle est ouverte sur la plage
L’objectif est d’offrir des vues panoramiques à partir de la
plage
Ni la visibilité ; ni l’intégration faisant la souci de l’architecte il
fallait faire une architecture déférente il fallait utilisée le
béton il fallait des formes les plus libres possibles … Donc le
projet joue un Rolle attractif bénéficie d’une bonne
fréquentation
Le projet est bien desservie par des
route, vu sa situation en plein centre
urbain
Accès mécanique: à partir des rues qui
entourent le projet, il assure une bonne
fréquentation et dégage une esplanade
par l’emplacement de parking en sous-sol
: l'accès du public se fait
à partir de forum, auquel mènent de
large rampes piétonnes
5. Conception des espaces extérieurs
La maison de culture de Havre se compose de deux bâtiments sous formes de deux
volcan : on les appelles le grand volcan et les volumes sont fermés , courbés qui
exprime la douceur et qui attire la curiosité des gens et c’est une façon de es
invités à l’intérieur.
6. Conception des espaces extérieurs
Le volume Répartis entre deux organes en forme de cônes tronqués par des avions avec des
inclinaisons et hauteurs différentes, Les deux volumes asymétriques s'ouvrant sur une place forum
contraste dans l’aspect géométrique par rapport à l’environnement immédiat La hauteur des
volumes est similaire à celle des bâtiments existants
Petit
volcan
Grand
volcan
Même hauteur
Utilisation des volumes clos
excite la curiosité de gens c’est
une façon de les inviter à
l’intérieur
La maison de culture a été conçue
en fonction des données
climatique, L’architecture a pris
comme axe principal la direction
des vents dominants: nord-ouest,
et sud-est :c’est sur cet axe que
les deux bâtiments furent placés
7. Conception du façade
Les façades sont brut opaques
lourdes Ils ont une forme fluide qui
exprime la souplesse , le four tresse
, la brutalité et la plasticité d’un
usage rational de ce matériau noble
La disposition
horizontales des
ouvertures brises la
verticalités de la
façade
8. Conception du façade
Utilisation du béton comme matériaux de base
Le projet a était intègre par contraste le but qui
visait OSCAR par ce type d’intégration était pas de
négliger l’environnements mais surtout d’utiliser les
moyens propres de périodes moderne et de
l’exploiter au maximum.
9. Organisation spatial intérieur
le projet a des formes géométriques simples . Les deux volcans
prend la forme circulaire
L’architecte a travailler avec le terrain, le premier est un axe
dynamique .le deuxième c’est la structure de l’emplacement des
deux volume
Le projet est bien desservi par des routiers vu sa situation en plein
centre urbain il prend des accès mécanique assure une bonne
fréquentation et dégage une esplanade par l’emplacement du
parking au sous sol
Et des accès piétons qui assure la circulation par des rampes qui
accentuent l’effet dynamique
Et il y a aussi accès au bâtiment qui oriente le large public à
l’intérieur des blocs
Il y a aussi le forum qui articule les deux bâtiments
10. Organisation spatial intérieur
Le plan est clair et lisible car les deux espaces sont organisés en 2 volcans et
chaque composant contient plusieurs espaces reparties de manière a distinctif
13. Organisation spatial intérieur
Les volumes architecturaux sont construites en béton peint en blanc avec des formes courbes et libres cherchant à
atteindre une poétique venue du mouvement moderne.