Présentation de la société EOS et de ses équipements de stéréo radiographie à faible dose. Présentation de l'innovation dans le parcours de soin: passage de l'examen d'imagerie à la modélisation 3D et biomarqueur clinique puis au outils 3D pour le traitement personnalisé
L’édition 2013 du congrès Nord-Américain d’Imagerie Médicale (RSNA) s’est tenue du 1er au 6 décembre 2013, réunissant plus de 53000 radiologues et professionnels de l’Imagerie Médicale. La Société Française de Radiologie, en partenariat avec les Laboratoires GUERBET, a permis à 10 jeunes radiologues de participer à cette édition 2013 du RSNA. Sélectionnés par leurs inter-régions d’origine, ils ont présenté leurs travaux, assisté aux sessions scientifiques et de formation continue, rencontré les industriels, avant de profiter de la vie nocturne de Chicago. Recherche et innovations instrumentales étaient au programme des séances de travail quotidiennes. Ils ont directement participé à la rédaction de ce rapport, qui sans pouvoir être exhaustif, met en avant certaines avancées instrumentales ainsi que les points forts et nouveautés scientifiques dans chacune des spécialités.
Catherine Oppenheim, CH Sainte-Anne, Paris
Ont participé cette année
Jean-Baptiste MEYER, interne au CHU de Nancy dont les thématiques de recherche sont centrées autour de l’imagerie ostéo-articulaire. Il est auteur de 2 posters au RSNA 2013.
Anthony DOHAN, Chef de Clinique Assistant au CHU Lariboisière, dont les thématiques de recherche sont centrées sur imagerie digestive/ interventionnelle. Il est auteur et co-auteur de 4 posters au RSNA 2013.
Lambros TSELIKAS, interne à Paris, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie Interventionnelle en particulier en oncologie. Il est co-auteur de 2 posters et 5 communications au RSNA 2013.
Constance de MARGERIE MELLON, étudiante en master 2 à Paris après avoir validé son DES à Paris, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie thoracique et neurologique.
Francesco MACRI, Chef de Clinique Assistant au CHU de Nîmes, dont les thématiques de recherche sont centrées sur les urgences thoraciques et abdominales, digestives.
Suonita KHUNG, Chef de Clinique Assistante au CHRU de Lille, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie thoracique.
Roxane MERILLON, Chef de Clinique Assistant au CHU de Caen, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie ostéoarticulaire et sénologie.
Pierre DURAND, interne au CHU de Grenoble, radiologie, dont les thématiques de recherche sont centrées sur la neuro-radiologie, l’imagerie oncologique et interventionnelle. Il est auteur d’une communication primée au RSNA 2013.
Vincent HUMMEL, Chef de Clinique Assistant au CHU de Limoges, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie digestive.
Mélanie KULIK, interne au CHU d’Angers, dont les thématiques de recherche sont centrées sur la sénologie, l’imagerie abdominale et génito-urinaire. Elle est auteur d’un poster au RSNA 2013.
C’est leur rapport que nous vous présentons dans les pages suivantes.
reseauprosante.fr
Présentation de la société EOS et de ses équipements de stéréo radiographie à faible dose. Présentation de l'innovation dans le parcours de soin: passage de l'examen d'imagerie à la modélisation 3D et biomarqueur clinique puis au outils 3D pour le traitement personnalisé
L’édition 2013 du congrès Nord-Américain d’Imagerie Médicale (RSNA) s’est tenue du 1er au 6 décembre 2013, réunissant plus de 53000 radiologues et professionnels de l’Imagerie Médicale. La Société Française de Radiologie, en partenariat avec les Laboratoires GUERBET, a permis à 10 jeunes radiologues de participer à cette édition 2013 du RSNA. Sélectionnés par leurs inter-régions d’origine, ils ont présenté leurs travaux, assisté aux sessions scientifiques et de formation continue, rencontré les industriels, avant de profiter de la vie nocturne de Chicago. Recherche et innovations instrumentales étaient au programme des séances de travail quotidiennes. Ils ont directement participé à la rédaction de ce rapport, qui sans pouvoir être exhaustif, met en avant certaines avancées instrumentales ainsi que les points forts et nouveautés scientifiques dans chacune des spécialités.
Catherine Oppenheim, CH Sainte-Anne, Paris
Ont participé cette année
Jean-Baptiste MEYER, interne au CHU de Nancy dont les thématiques de recherche sont centrées autour de l’imagerie ostéo-articulaire. Il est auteur de 2 posters au RSNA 2013.
Anthony DOHAN, Chef de Clinique Assistant au CHU Lariboisière, dont les thématiques de recherche sont centrées sur imagerie digestive/ interventionnelle. Il est auteur et co-auteur de 4 posters au RSNA 2013.
Lambros TSELIKAS, interne à Paris, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie Interventionnelle en particulier en oncologie. Il est co-auteur de 2 posters et 5 communications au RSNA 2013.
Constance de MARGERIE MELLON, étudiante en master 2 à Paris après avoir validé son DES à Paris, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie thoracique et neurologique.
Francesco MACRI, Chef de Clinique Assistant au CHU de Nîmes, dont les thématiques de recherche sont centrées sur les urgences thoraciques et abdominales, digestives.
Suonita KHUNG, Chef de Clinique Assistante au CHRU de Lille, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie thoracique.
Roxane MERILLON, Chef de Clinique Assistant au CHU de Caen, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie ostéoarticulaire et sénologie.
Pierre DURAND, interne au CHU de Grenoble, radiologie, dont les thématiques de recherche sont centrées sur la neuro-radiologie, l’imagerie oncologique et interventionnelle. Il est auteur d’une communication primée au RSNA 2013.
Vincent HUMMEL, Chef de Clinique Assistant au CHU de Limoges, dont les thématiques de recherche sont centrées sur l’imagerie digestive.
Mélanie KULIK, interne au CHU d’Angers, dont les thématiques de recherche sont centrées sur la sénologie, l’imagerie abdominale et génito-urinaire. Elle est auteur d’un poster au RSNA 2013.
C’est leur rapport que nous vous présentons dans les pages suivantes.
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Revue "Radioactif" n°23 - UNIR - Avril 2016
La radiologie interventionnelle ostéo-articulaire (ou musculo-squelettique) peut se définir comme la réalisation percutanée, guidée par l’imagerie, d’une procédure diagnostique ou thérapeutique sur l’appareil locomoteur.
Le champ et les indications sont donc très larges, avec différents niveaux de complexité. On peut distinguer :
1/ les procédures légères comme les ponctions et injections articulaires, les injections de bourses séreuses, les infiltrations rachidiennes ;
2/ les procédures de niveau intermédiaire comme les discographies, les biopsies des tissus mous, les biopsies osseuses ;
3/ les procédures lourdes comme les vertébroplasties et les expansions vertébrales, les cimentoplasties du pelvis, les ostéosynthèses et les ablations tumorales percutanées.
Les patients sont adressés principalement par des spécialistes en rhumatologie, rééducation / MPR, médecine du sport, médecine interne et infectieuse, oncologie, hématologie, et chirurgie orthopédique.
http://www.reseauprosante.fr/
Revue "Radioactif" n°23 - UNIR - Avril 2016
L’imagerie ostéo-articulaire est un champ de recherche très vaste. Le plus souvent, le problème n’est pas le manque de sujets de recherche, mais plutôt de ressources humaines pour les mettre en œuvre ! Ce point s’explique en partie par le fait que les pathologies ostéo-articulaire sont nombreuses et variées, pouvant être explorées par un grand nombre de méthodes d’imagerie. Les radiographies standard, l’échographie, le scanner, l’IRM, la scintigraphie, la TEP... toutes ces méthodes sont utilisées couramment pour l’évaluation des pathologies ostéo-articulaires et ont donc un intérêt pour la recherche.
De façon très schématique la recherche en imagerie ostéo-articulaire pourrait être divisée en 3 classes : la recherche clinique avec les méthodes classiques, l’application clinique de techniques innovantes et la recherche fondamentale.
http://www.reseauprosante.fr/
Revue "Radioactif n°18" septembre 2014
Vers une IRM silencieuse ?
L’un des inconvénients majeurs de la technologie IRM réside dans son niveau sonore élevé, pouvant atteindre 110 décibels [dB], 120 dB étant le seuil de douleur auditive.
Le bruit provient de la vibration des bobines de gradients de champ magnétique qui sont de plus en plus performantes et sollicitées pour l’acquisition en imagerie rapide et haute résolution comme les séquences 3D et de diffusion par exemple.
Cette année, plusieurs constructeurs ont présenté à l’European Congress of Radiology (ECR) de nouveaux systèmes de réduction de bruit en IRM 1,5 ou 3 Teslas et les dernières innovations techniques :
Chez Toshiba, le bruit généré par les bobines de gradients est réduit grâce à la technologie exclusive Pianissimo. Brevetée depuis 1989, elle propose une solution exclusive de réduction du bruit disponible pour toutes les séquences et toutes les applications cliniques. Les bobines de gradient sont isolées dans une enceinte à vide poussé ou garnies d’isolant phonique afin que le bruit ne soit pas transmis à l’extérieur de l’enveloppe. Pianissimo permet une réduction sonore de 36 dB, ce qui permet d’éviter au patient la mise en place d’un casque anti-bruit. Pianissimo est disponible de base pour toute la gamme IRM de Toshiba 1,5 et 3T.
Chez Philips, les bobines de gradients sont assemblées à partir de matériaux acoustiques absorbants pour un niveau sonore qui n’excède pas 95 dB. De plus, un casque antibruit est systématiquement placé sur les oreilles du patient et, en complément, la technique SofTone peut être activée à tout moment afin de réduire encore davantage le bruit acoustique. Cette réduction peut atteindre 30 dB, notamment pour les séquences pondérées en T2, soit une baisse de 86 % du bruit acoustique perçu par le patient. Cette technologie fonctionne sur la modification de commutation des gradients à durée d’acquisition préservée.
Chez Siemens, il existe des applications avec réduction de bruit pour la neurologie, l’orthopédie et la pédiatrie en jouant également sur la commutation de gradient (Quiet X).
Chez General Electric, une nouvelle technique avancée de codage des séquences d’acquisition (Silent Scan) avec des applications pour la neurologie et bientôt l’ostéo-articulaire, la prostate et les reins. Grâce au temps d’écho à zero de la séquence Silenz de GE Silent Scan, de nouvelles régions d’intérêt jusqu’à présent impossibles à explorer en IRM sont en cours d’étude et d’évaluation, comme les poumons et l’os cortical.
reseauprosante.fr
La neuroendoscopie 3D en neurochirurgie Pourquoi faire ? Michel Triffaux
Journée scientifique du 13 juin 2015 du CHwapi Tournai
Possibilités actuelles de l'endoscopie 3D en neurochirurgie:
Ventriculoscopie 3D, Keyhole Surgery, Skull Base and Spine Surgery.
Aspects medico-legaux en chirurgie plastique,réparatrice et esthétique madjoudj ahcene
présentation sur les aspects medico-legaux en chirurgie plastique,réparatrice et esthétiquelors du congrès international de chirurgie esthétique 2018 par le docteur Madjoudj Ahcène
500 jours plus tard: les DRG, contrainte ou opportunité?
Conférence du 27 juin 2013
Organisé par Paianet & Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG)
Intervention:
Nom du programme
Transformer la contrainte en opportunité: stratégies locales
Karl Schaller
Hôpitaux universitaires de Genève
La Kinect à l'écoute des nouveaux usages métiers et interactions avec les sol...Microsoft Technet France
Avec l'arrivée de la technologie Kinect, l'intégration des interfaces naturelles permet de répondre à de nouveaux besoins métiers. A travers deux exemples concrets dans le domaine de la santé, nous présenterons ces nouveaux usages et les interactions avec d'autres solutions Microsoft telles que SharePoint et Azure ...
Revue "Radioactif" n°23 - UNIR - Avril 2016
La radiologie interventionnelle ostéo-articulaire (ou musculo-squelettique) peut se définir comme la réalisation percutanée, guidée par l’imagerie, d’une procédure diagnostique ou thérapeutique sur l’appareil locomoteur.
Le champ et les indications sont donc très larges, avec différents niveaux de complexité. On peut distinguer :
1/ les procédures légères comme les ponctions et injections articulaires, les injections de bourses séreuses, les infiltrations rachidiennes ;
2/ les procédures de niveau intermédiaire comme les discographies, les biopsies des tissus mous, les biopsies osseuses ;
3/ les procédures lourdes comme les vertébroplasties et les expansions vertébrales, les cimentoplasties du pelvis, les ostéosynthèses et les ablations tumorales percutanées.
Les patients sont adressés principalement par des spécialistes en rhumatologie, rééducation / MPR, médecine du sport, médecine interne et infectieuse, oncologie, hématologie, et chirurgie orthopédique.
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Revue "Radioactif" n°23 - UNIR - Avril 2016
L’imagerie ostéo-articulaire est un champ de recherche très vaste. Le plus souvent, le problème n’est pas le manque de sujets de recherche, mais plutôt de ressources humaines pour les mettre en œuvre ! Ce point s’explique en partie par le fait que les pathologies ostéo-articulaire sont nombreuses et variées, pouvant être explorées par un grand nombre de méthodes d’imagerie. Les radiographies standard, l’échographie, le scanner, l’IRM, la scintigraphie, la TEP... toutes ces méthodes sont utilisées couramment pour l’évaluation des pathologies ostéo-articulaires et ont donc un intérêt pour la recherche.
De façon très schématique la recherche en imagerie ostéo-articulaire pourrait être divisée en 3 classes : la recherche clinique avec les méthodes classiques, l’application clinique de techniques innovantes et la recherche fondamentale.
http://www.reseauprosante.fr/
Revue "Radioactif n°18" septembre 2014
Vers une IRM silencieuse ?
L’un des inconvénients majeurs de la technologie IRM réside dans son niveau sonore élevé, pouvant atteindre 110 décibels [dB], 120 dB étant le seuil de douleur auditive.
Le bruit provient de la vibration des bobines de gradients de champ magnétique qui sont de plus en plus performantes et sollicitées pour l’acquisition en imagerie rapide et haute résolution comme les séquences 3D et de diffusion par exemple.
Cette année, plusieurs constructeurs ont présenté à l’European Congress of Radiology (ECR) de nouveaux systèmes de réduction de bruit en IRM 1,5 ou 3 Teslas et les dernières innovations techniques :
Chez Toshiba, le bruit généré par les bobines de gradients est réduit grâce à la technologie exclusive Pianissimo. Brevetée depuis 1989, elle propose une solution exclusive de réduction du bruit disponible pour toutes les séquences et toutes les applications cliniques. Les bobines de gradient sont isolées dans une enceinte à vide poussé ou garnies d’isolant phonique afin que le bruit ne soit pas transmis à l’extérieur de l’enveloppe. Pianissimo permet une réduction sonore de 36 dB, ce qui permet d’éviter au patient la mise en place d’un casque anti-bruit. Pianissimo est disponible de base pour toute la gamme IRM de Toshiba 1,5 et 3T.
Chez Philips, les bobines de gradients sont assemblées à partir de matériaux acoustiques absorbants pour un niveau sonore qui n’excède pas 95 dB. De plus, un casque antibruit est systématiquement placé sur les oreilles du patient et, en complément, la technique SofTone peut être activée à tout moment afin de réduire encore davantage le bruit acoustique. Cette réduction peut atteindre 30 dB, notamment pour les séquences pondérées en T2, soit une baisse de 86 % du bruit acoustique perçu par le patient. Cette technologie fonctionne sur la modification de commutation des gradients à durée d’acquisition préservée.
Chez Siemens, il existe des applications avec réduction de bruit pour la neurologie, l’orthopédie et la pédiatrie en jouant également sur la commutation de gradient (Quiet X).
Chez General Electric, une nouvelle technique avancée de codage des séquences d’acquisition (Silent Scan) avec des applications pour la neurologie et bientôt l’ostéo-articulaire, la prostate et les reins. Grâce au temps d’écho à zero de la séquence Silenz de GE Silent Scan, de nouvelles régions d’intérêt jusqu’à présent impossibles à explorer en IRM sont en cours d’étude et d’évaluation, comme les poumons et l’os cortical.
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La neuroendoscopie 3D en neurochirurgie Pourquoi faire ? Michel Triffaux
Journée scientifique du 13 juin 2015 du CHwapi Tournai
Possibilités actuelles de l'endoscopie 3D en neurochirurgie:
Ventriculoscopie 3D, Keyhole Surgery, Skull Base and Spine Surgery.
Aspects medico-legaux en chirurgie plastique,réparatrice et esthétique madjoudj ahcene
présentation sur les aspects medico-legaux en chirurgie plastique,réparatrice et esthétiquelors du congrès international de chirurgie esthétique 2018 par le docteur Madjoudj Ahcène
500 jours plus tard: les DRG, contrainte ou opportunité?
Conférence du 27 juin 2013
Organisé par Paianet & Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG)
Intervention:
Nom du programme
Transformer la contrainte en opportunité: stratégies locales
Karl Schaller
Hôpitaux universitaires de Genève
La Kinect à l'écoute des nouveaux usages métiers et interactions avec les sol...Microsoft Technet France
Avec l'arrivée de la technologie Kinect, l'intégration des interfaces naturelles permet de répondre à de nouveaux besoins métiers. A travers deux exemples concrets dans le domaine de la santé, nous présenterons ces nouveaux usages et les interactions avec d'autres solutions Microsoft telles que SharePoint et Azure ...
Evolution et critique des système de reconstruction 3D humainMedhyBouziane
Evolution et critique des système de reconstruction 3D humain
nous nous intéressons `a l’acquisition automatique de mouvements 3D de
personnes. Cette opération doit ˆêtre réalisée sans un ´équipement spécialise (marqueurs ou habillage specifique), pour rendre son utilisation générale, sous la contrainte du temps réel. Cette
condition est nécessaire pour permettre des applications interactives. Pour répondre `a ces questions, nous sommes amenés `a traiter de la reconstruction et l’analyse de la forme 3D.
Concernant le problème de reconstruction 3D en temps r´eel d’entit´es en mouvement `a partir
de plusieurs vues, les approches existantes font souvent appel `a des calculs complexes incompatibles avec la contrainte du temps réel. Les approches du type Shape-From-Silhouette (SFS)
offrent un compromis int´eressant entre efficacit´e algorithmique et précision. Ces dernières utilisent les silhouettes issues de chaque camera pour proposer un volume englobant des objets.
Cependant elles n´nécessitent un environnement particulièrement contraint, dont le placement
minutieux des cameras. Les travaux présentes dans ce manuscrit généralisent l’utilisation des
approches SFS `a des environnements peu contrôles. Ils s’appuient sur le domaine de visibilité de
chaque camera, et relaxent les contraintes de leur placement. L’introduction de critères géométriques réduit la quantité d’artefacts generes. Enfin une mesure de confiance sur l’existence de
chaque point 3D compense les erreurs d’extraction de silhouette
haque point 3D compense les erreurs d’extraction de silhouette.
Les principales m´ethodes d’acquisition de mouvements sans marqueur s’appuient sur une
modélisation paramétrique du corps. L’acquisition du mouvement revient `a déterminer les paramètres offrant la meilleure correlation entre le modèle et la reconstruction 3D.
Présentation des 14 technologies de la Bourse aux Technologies "santé numérique" à Télécom SudParis le 05 mars 2015.
14 technologies matures prêtes à être transférées aux entreprises du secteur médical et de la santé. Bourse aux technologies organisée par l'Institut Mines-Télécom.
Spine Unit Lombalgies et Radiculalgies des Guidelines à la pratiqueMichel Triffaux
Matinée scientifique du CHWapi
Invitée Dr P Jonckheer: trajet de soins national KCE
Prise en charge aux urgences, Place de la Médecine Physique, Place du kinésithérapeute, Place de la Pain clinic, Place de la Radiologie, Place de la chirurgie et Spine Unit mode d'emploi.
Présentation par différentes disciplines de la Spine Unit du CHwapi.
Présentation des offres commerciales d'ATTOM.
ATTOM est née en 2016 avec la volonté de mettre à disposition au plus grand nombre, particuliers, PME et Grands groupes, des compétences et des outils accessibles pour développer des produits mécatroniques innovants. Aujourd’hui partenaire du plus grand Fablab publique IDLab by IDPro, ATTOM vous propose de vous accompagner dans les premières phases du développement de produit. De la maquette mécatroniques comme démonstrateurs aux études techniques, juridiques et financières jusqu’au développement expérimental, ATTOM est votre partenaire privilégié pour aborder en confiance le développement de votre produit mécatronique. Fort d’une équipe pluridisciplinaire complète, réactive et fonctionnelle et s’appuyant sur un pôle d’experts reconnus, ATTOM vous accompagne pour matérialiser vos idées.
ATTOM a su gagner la confiance de ses clients en particulier dans le domaine du développement expérimental pour les Dispositifs électro-Médicaux pour lesquels les enjeux de Propriété Industrielle et de Financement de l’Innovation viennent compléter une étude technique de haut niveau pour établir une RoadMap stratégique du développement de produits.
CGTech® est le leader de la technologie des logiciels de simulation, de vérification et d’optimisation de machines CN. Depuis 1988, nos produits ont atteint le rang de standard des secteurs industriels, dont l’aérospatiale, l’automobile et les transports terrestres, le moule, les produits grand public, la production d’énergie et l’industrie lourde. Aujourd’hui, avec des bureaux en Europe et en Asie, et un réseau mondial de revendeurs, les logiciels CGTech sont utilisés par des entreprises de toutes dimensions, des universités, des écoles et des organismes gouvernementaux.
Le logiciel VERICUT est utilisé pour simuler l’usinage CN afin de détecter les erreurs, les collisions potentielles ou les zones d’inefficacité. VERICUT permet aux programmeurs CN de corriger les erreurs avant même que le programme soit chargé sur la machine CN, ce qui élimine les contrôles manuels. VERICUT optimise également les vitesses de coupe des programmes CN pour un usinage plus efficace.
Lorsque vous investissez dans VERICUT, vous n’achetez pas seulement un logiciel, vous faites équipe avec le partenaire de fabrication ayant la plus grande collection d’experts en usinage CN dans le monde. Nous sommes continuellement exposés à des méthodes de fabrication et des technologies nouvelles dans le monde entier, acquérir de l’expertise peut vous donner un avantage concurrentiel. Contactez-nous dès aujourd’hui pour convenir d’un rendez-vous.
Similaire à Les instruments sur mesure créés par l'imprimante 3D (20)
Le Comptoir OCTO - Qu’apporte l’analyse de cycle de vie lors d’un audit d’éco...OCTO Technology
Par Nicolas Bordier (Consultant numérique responsable @OCTO Technology) et Alaric Rougnon-Glasson (Sustainable Tech Consultant @OCTO Technology)
Sur un exemple très concret d’audit d’éco-conception de l’outil de bilan carbone C’Bilan développé par ICDC (Caisse des dépôts et consignations) nous allons expliquer en quoi l’ACV (analyse de cycle de vie) a été déterminante pour identifier les pistes d’actions pour réduire jusqu'à 82% de l’empreinte environnementale du service.
Vidéo Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=7R8oL2P_DkU
Compte-rendu :
Ouvrez la porte ou prenez un mur (Agile Tour Genève 2024)Laurent Speyser
(Conférence dessinée)
Vous êtes certainement à l’origine, ou impliqué, dans un changement au sein de votre organisation. Et peut être que cela ne se passe pas aussi bien qu’attendu…
Depuis plusieurs années, je fais régulièrement le constat de l’échec de l’adoption de l’Agilité, et plus globalement de grands changements, dans les organisations. Je vais tenter de vous expliquer pourquoi ils suscitent peu d'adhésion, peu d’engagement, et ils ne tiennent pas dans le temps.
Heureusement, il existe un autre chemin. Pour l'emprunter il s'agira de cultiver l'invitation, l'intelligence collective , la mécanique des jeux, les rites de passages, .... afin que l'agilité prenne racine.
Vous repartirez de cette conférence en ayant pris du recul sur le changement tel qu‘il est généralement opéré aujourd’hui, et en ayant découvert (ou redécouvert) le seul guide valable à suivre, à mon sens, pour un changement authentique, durable, et respectueux des individus! Et en bonus, 2 ou 3 trucs pratiques!
L'IA connaît une croissance rapide et son intégration dans le domaine éducatif soulève de nombreuses questions. Aujourd'hui, nous explorerons comment les étudiants utilisent l'IA, les perceptions des enseignants à ce sujet, et les mesures possibles pour encadrer ces usages.
Constat Actuel
L'IA est de plus en plus présente dans notre quotidien, y compris dans l'éducation. Certaines universités, comme Science Po en janvier 2023, ont interdit l'utilisation de l'IA, tandis que d'autres, comme l'Université de Prague, la considèrent comme du plagiat. Cette diversité de positions souligne la nécessité urgente d'une réponse institutionnelle pour encadrer ces usages et prévenir les risques de triche et de plagiat.
Enquête Nationale
Pour mieux comprendre ces dynamiques, une enquête nationale intitulée "L'IA dans l'enseignement" a été réalisée. Les auteurs de cette enquête sont Le Sphynx (sondage) et Compilatio (fraude académique). Elle a été diffusée dans les universités de Lyon et d'Aix-Marseille entre le 21 juin et le 15 août 2023, touchant 1242 enseignants et 4443 étudiants. Les questionnaires, conçus pour étudier les usages de l'IA et les représentations de ces usages, abordaient des thèmes comme les craintes, les opportunités et l'acceptabilité.
Résultats de l'Enquête
Les résultats montrent que 55 % des étudiants utilisent l'IA de manière occasionnelle ou fréquente, contre 34 % des enseignants. Cependant, 88 % des enseignants pensent que leurs étudiants utilisent l'IA, ce qui pourrait indiquer une surestimation des usages. Les usages identifiés incluent la recherche d'informations et la rédaction de textes, bien que ces réponses ne puissent pas être cumulées dans les choix proposés.
Analyse Critique
Une analyse plus approfondie révèle que les enseignants peinent à percevoir les bénéfices de l'IA pour l'apprentissage, contrairement aux étudiants. La question de savoir si l'IA améliore les notes sans développer les compétences reste débattue. Est-ce un dopage académique ou une opportunité pour un apprentissage plus efficace ?
Acceptabilité et Éthique
L'enquête révèle que beaucoup d'étudiants jugent acceptable d'utiliser l'IA pour rédiger leurs devoirs, et même un quart des enseignants partagent cet avis. Cela pose des questions éthiques cruciales : copier-coller est-il tricher ? Utiliser l'IA sous supervision ou pour des traductions est-il acceptable ? La réponse n'est pas simple et nécessite un débat ouvert.
Propositions et Solutions
Pour encadrer ces usages, plusieurs solutions sont proposées. Plutôt que d'interdire l'IA, il est suggéré de fixer des règles pour une utilisation responsable. Des innovations pédagogiques peuvent également être explorées, comme la création de situations de concurrence professionnelle ou l'utilisation de détecteurs d'IA.
Conclusion
En conclusion, bien que l'étude présente des limites, elle souligne un besoin urgent de régulation. Une charte institutionnelle pourrait fournir un cadre pour une utilisation éthique.
MongoDB in a scale-up: how to get away from a monolithic hell — MongoDB Paris...Horgix
This is the slide deck of a talk by Alexis "Horgix" Chotard and Laurentiu Capatina presented at the MongoDB Paris User Group in June 2024 about the feedback on how PayFit move away from a monolithic hell of a self-hosted MongoDB cluster to managed alternatives. Pitch below.
March 15, 2023, 6:59 AM: a MongoDB cluster collapses. Tough luck, this cluster contains 95% of user data and is absolutely vital for even minimal operation of our application. To worsen matters, this cluster is 7 years behind on versions, is not scalable, and barely observable. Furthermore, even the data model would quickly raise eyebrows: applications communicating with each other by reading/writing in the same MongoDB documents, documents reaching the maximum limit of 16MiB with hundreds of levels of nesting, and so forth. The incident will last several days and result in the loss of many users. We've seen better scenarios.
Let's explore how PayFit found itself in this hellish situation and, more importantly, how we managed to overcome it!
On the agenda: technical stabilization, untangling data models, breaking apart a Single Point of Failure (SPOF) into several elements with a more restricted blast radius, transitioning to managed services, improving internal accesses, regaining control over risky operations, and ultimately, approaching a technical migration when it impacts all development teams.
MongoDB in a scale-up: how to get away from a monolithic hell — MongoDB Paris...
Les instruments sur mesure créés par l'imprimante 3D
1. LES INSTRUMENTS SUR MESURE
CRÉÉS PAR L’IMPRIMANTE 3 D
pour la chirurgie personnalisée de la
PTG
Dr Didier D’hondt
Clinique Saint George ,Nice
congrès : e-health world
Monaco le 1er juin 2017
2. – Une des chirurgies donnant un fort taux de réussites.
• 90 à 95% de réussite à 15 ans
La satisfaction patient est moins importante :
• 80% des patients totalement satisfaits de leur prothèse de genou
– Le nombre d’intervention augmente : (8)
• - 65 Ans : + 109 %
• +65 Ans : + 46 %
– Pression sur les coûts : (11)
• Baisse des remboursements pour les cliniques
• Donc Contrôle des dépenses.
• Augmentation du nombre de procédures.
Pourquoi proposer une nouvelle
technique ?
3. Evolution des Techniques
Chirurgicales
• Les différents méthodes
opératoires : o Prototypage :
• 2003
o Essais laboratoire :
• Hafez M (2004)
o Logiciel :
• Mimics, Materialise
(2005)
o Essai in Vivo :
• Berend & Thienpont
(2007)
OBJECTIF : Créer un ancillaire pour mettre un implant standard sur un os de patient
unique
4. LA MÉTHODE :
- Transposer les images de l’imagerie diagnostique : scanner ou irm
Sur un support hors écran imprimé grâce à l’imprimante 3 D pour obtenir
Un modèle 3D du genou arthrosique
- Une Planification de l’intervention grâce à un logiciel permet de déterminer
les coupes osseuses à réaliser
puis les guides de coupe sur mesure
5. • C’est un instrument produit grâce à
l'imagerie préopératoire TDM ou IRM, à
l’aide d’imprimante 3D.
• Les instruments spécifiques au patient (PSI)
sont un ensemble de guides conçus pour
s'adapter au genou du patient à opérer .
.
Ces guides de coupe se positionnent avec
précision en préopératoire sur le modèle 3D du
genou arthrosique et en peropératoire
. Un logiciel adapté à la prothèse permet
d’effectuer une modélisation virtuelle de la
chirurgie en 3D.
Définition des Guides de
coupe sur mesure
http://www.fabulous.com.co/guide-impression-3d/en-bref/histoire/
6. • 1984 : 1er brevet sur l’impression 3D
• 1988 : Développement du frittage laser
– Reconstruction volumique par couche de
polyamide.
• 1995 : apparition de la technologie 3D Métal :
– Adaptée au métal
• 2000 : 1er implant et moulage dentaire et 1ère
expérience en chirurgie rachidienne
• 2003 : Impression3D Papier
• 2011 : Impression 3D alimentaire
• 2014 : Première maisons 3D
• 2016 : Travail sur la vitesse de reconstruction
Historique de l’impression
3D
7. Impression 3D : (1)
Les imprimantes 3D construisent l’objet
couche par couche : dans un premier
temps, elle le découpe en milliers de «
tranches » et les superpose pour créer
l’objet final.
Récupération et nettoyage du
Moule.
Contrôle qualité avant conditionnement et
envoi.
Technologie : Imprimante 3 D
8. • Materiau: PA2200
– Polyamide (poudre de Nylon) pour impression
3D
• Permet le prototypage de pièces ayant un
objectif :
• fonctionnel (clipage, charnière, etc.)
• de validation d’assemblage
• de tenue mécanique
• de tenue en température
• de validation d’encombrement
• Ce matériau colorable est aussi certifié
biocompatible.
• Parfaitement autoclavable.
Propriétés
http://www.beam-it.eu
9. • Arthroplastie articulaire :
• Genou
• Hanche
• Epaule
• Ostéotomie corrective :
• Chirurgie de la colonne vertébrale :
Domaine d’application en
Orthopédie
10. • Prototypage :
– Instruments
• Sur mesure : 3D Metal (2)
– Dans des cas complexes (par exemple, des
tumeurs osseuses) qui ne peuvent être
gérés avec des implants standards
La liberté géométrique inhérente de la technologie
de l’imprimante 3 D permet la conception de formes
anatomiques complexes
Domaine d’application en
Orthopédie
11. – 1er une planification préopératoire de
la chirurgie grâce à un logiciel
• Calibrer les tailles de la PTG
• Virtualiser le positionnement de la PTG et
• Proposer les paramètres de poses de la
PTG (coupes osseuses , rotation des
implants ,…)
– 2e la fabrication de modèles 3 D
spécifique au patient opéré :
• Fémur et son guide de coupe
• Tibia et son guide de coupe
La Methode des guides de
coupe implique :
12. DiagnostiqLLLLLESueExamen radiologique :
Les Etapes pour la réalisation des guides de coupe :
Acquisition SCAN/IRM du genou
Envoi et traitement des images :
Reconstruction 3D du genou du patient
PPLPPropositiod’uneplanification et validation du chi
Planification grâce à un logiciel : Détermination de la
taille et du positionnement de l’implant
(rotation et pente tibiale …)
Validation par le chirurgien ou modification des
paramètres ( rotation et pente tibiale …..)
Fabrication et livraison du guide :
Création du modèle 3 D du genou et des blocs de
coupe sur mesure à partir de la planification 3D
définie par le chirurgien
Chirurgie
3 Semaines de délai minimum
13. Suivi en temps réel de tous les patients et de tous les cas opératoires :
INTERACTION CHIRURGIEN ►INFORMATICIEN
- Enregistrement du patient et du scanner
- Traitement du planning : MODELE 3D ET COUPES OSSEUSES
- Modifications si nécessaire et validation pour fabrication :
EXCLUSIVEMENT PAR LE CHIRURGIEN
- Suivi livraison :
ETABLISSEMENT HOSPITALIER
-► SANS LOGICIEL SPECIFIQUE, QUELQUE SOIT LE TYPE DE TERMINAL :
PC, portable, téléphone, tablette,…
Interface ingénieur/chirurgien :
Le site INTERNET MyKnee
14. MyKnee workflow
• La reconstruction du modèle osseux est basée sur le logiciel Mimics
et les repères osseux sont identifiés avec un logiciel spécifique.
• Les blocs de coupe sont positionnés sur des repères osseux définis:
les ostéophytes.
• Les paramètres sont basés sur les préférences du chirurgien.
Envoi et traitementdes images:
15. MyKnee workflow
L'examen de la planification est une étape clé de tout
le processus.
Proposition d’une planificationet validationdu
chirurgien:
• Planification Web 3D pour
simuler en temps réel l'effet de
chaque modification.
• Un positionnement virtuel de
l’implant est proposé basé sur :
- Les préférences du chirurgien,
- Les repères anatomique,
- L’axe mécanique du membre,
Représentation de la position des
implants.
16.
17.
18. La fabrication des blocs de coupe ne commence qu'après la validation de la
planification du chirurgien
La fabrication:
22. – Faciliter le geste chirurgicale :
• En déplaçant plusieurs étapes opératoires au stade préopératoire,
• En facilitant la procédure opératoire (moins de manipulations) et
• Moins d’instruments.
• Chirurgie MINI-INVASIVE: plus de perforation du canal médullaire fémoral
• Moins de perte sanguine
• Moins de temps opératoire et d’infection
– Augmenter la précision du geste : (9)
• modélisation 3D
• Positionnement précise du système sur l’os
• Corrélation entre la précision de la pose et la rapidité de récupération du patient
– Augmenter la durée de vie de la prothèse : (1,2,3)
• Correlation entre précision de la pose et la longévité des implants
Et entre respect de l’anatomie et la longévité des implants
– Faciliter la gestion du bloc opératoire : (6,7)
• moins de Temps (11) OPERATOIRE
• Coût de fonctionnement (11) : MOINS D’INSTRUMENT A STERILISER
– Conclusion : une technique simple et reproductible :
• Plus ergonomique et moins invasive
Avantages des Guides de Coupe sur mesure
23. • La technologie n’exclut pas le contrôle du chirurgien :
– Validation des paramètres indispensables.
– Le chirurgien ne sera jamais un ingénieur opérateur : son expérience intervient
tout au long de la procédure
• Ne pas confondre avec les prothèses sur mesure :
– C’est l’instrumentation qui s’adapte au patient
• Objectifs chirurgicaux :
– Limiter les « outliers » (précision, longévité).
– Personnaliser la chirurgie au patient opéré
– rendre la chirurgie plus fiable et plus simple (ex : cas compliqués : cals vicieux
osseux en particulier fémoraux )
• Objectifs médico-économique :
- Moins d’instruments à stériliser
– meilleure Gestion du temps d’occupation de la salle
– Maîtrise des flux : - de stock de Prothèse et d’ancillaire
– INCONVÈNIANT : Guides de coupe NON remboursés par la SS donc coût pour la
clinique ou le chirurgien ou le labo
Conclusion
24. Conclusion
Depuis 5 ans :
Des études internationales : France , suisse ,
Allemagne, USA , sur les guides de coupe sur
mesure prouvent la supériorité clinique et
l’efficacité économique .
Ceci n’est qu’une 1ere étape :
25. • Instrumentation à usage unique :
• Technologie : injection plastique
• Polymères hautes résistance.
• En compléments de la technologie 3D
• Développement depuis 2015
• Validation et marquage OK
• Empreinte Carbonne neutre :
– Etude « swissclimate »
• Premières études très positives :
– Précision
– Coût de fonctionnement
– Temps opératoire
Le futur
26. Instrumentation à usage unique
MyKnee + Efficiency = volume d’ancillaire
restreint pour la chirurgie du genou
30. [6] Anderl W et al, CT-based patient-specific vs. conventional instrumentation: Early clinical outcome and radiological accuracy in primary
TKA; Knee Surg Sports Traumatol Arthrosc. 2016 Jan;24(1):102-11
[7] Koch P, Müller D, Pisan M, Fucentese S, Radiographic accuracy in TKA with CT-based patient-specific cutting block technique, Knee Surg
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[11] Peersman G et al, Prolonged Operative Time Correlates with Increased Infection Rate after Total Knee Arthroplasty. Hospital for Special
Surgery Journal 2006 - Feb;2(1):70-2.
[12] Gilles Gagna, Aspects économiques de l’utilisation de l’ancillaire sur-mesure en chirurgie prothétique du genou
Clinique du Pré - 72000 Le Mans, Maîtrise orthoépdique (juin 2013)
Diapo 8 et 9
[1]Kurtz SM , Lau E , Ong K , Zhao K , Kelly M , Bozic KJ . Future young patient demand for primary and revision joint replacement: national projections from 2010 to
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[2] DeHaan AM , Adams JR , DeHart ML , Huff TW Patient-specific versus conventional instrumentation for total knee arthroplasty: peri-operative and cost
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[3] Noble JW, Moore CA, Liu N. The Value of Patient-Matched Instrumentation in Total Knee Arthroplasty. J Arthroplasty 27(1):153-5, 2012
[4] Watters T, Mather R, Browne J, Berend K, Lombardi A, Bolognesi M. Analysis of procedure-related costs and proposed benefits of using patient-specific approach
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[5] Leon VJ et al.,Use of patient-specific cutting blocks reduces blood loss after total knee arthroplasty. Eur J Orthop Surg Traumatol
Diapo 11 et 14
(1) Sing SL, An J, Yeong WY, Wiria FE. Laser and electron-beam powder-bed additive manufacturing of metallic implants: A review on processes,
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(2) Melican MC, Zimmerman MC, Dhillon MS, Ponnambalam AR, Curodeau A, Parsons JR. Three-dimensional printing and porous metallic
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