Orbeye Exoscope qui permet la Microchirurgie sans microscope.Michel Triffaux
Présentation à la presse du nouveau exoscope Orbeye par le CHwapi service de neurochirurgie.
Introduction Dr M Triffaux
Ce qui change pour l'équipe Mme S Fourez
L'Orbeye en chirurgie du rachis MIS Dr A Bouras
L'Orbeye en chirurgie intracrânienne Dr S Lonneville
La neuroendoscopie 3D en neurochirurgie Pourquoi faire ? Michel Triffaux
Journée scientifique du 13 juin 2015 du CHwapi Tournai
Possibilités actuelles de l'endoscopie 3D en neurochirurgie:
Ventriculoscopie 3D, Keyhole Surgery, Skull Base and Spine Surgery.
Microchirurgie 3D 4K sans microscope: Orbeye Exoscope Michel Triffaux
Présentation au Comité de Gestion CHwapi mai 2021
Renouvellement du microscope en neurochirurgie
Alternative au microscope opératoire conventionnel pour la microchirurgie
Surgical Microscope Orbey Olympus en Neurochirurgie Michel Triffaux
Test de 4 semaines au sein du service de neurochirurgie du CHWAPI à Tournai Belgique
Premières impressions après 4 semaines de test
Images et commentaires
Orbeye Exoscope qui permet la Microchirurgie sans microscope.Michel Triffaux
Présentation à la presse du nouveau exoscope Orbeye par le CHwapi service de neurochirurgie.
Introduction Dr M Triffaux
Ce qui change pour l'équipe Mme S Fourez
L'Orbeye en chirurgie du rachis MIS Dr A Bouras
L'Orbeye en chirurgie intracrânienne Dr S Lonneville
La neuroendoscopie 3D en neurochirurgie Pourquoi faire ? Michel Triffaux
Journée scientifique du 13 juin 2015 du CHwapi Tournai
Possibilités actuelles de l'endoscopie 3D en neurochirurgie:
Ventriculoscopie 3D, Keyhole Surgery, Skull Base and Spine Surgery.
Microchirurgie 3D 4K sans microscope: Orbeye Exoscope Michel Triffaux
Présentation au Comité de Gestion CHwapi mai 2021
Renouvellement du microscope en neurochirurgie
Alternative au microscope opératoire conventionnel pour la microchirurgie
Surgical Microscope Orbey Olympus en Neurochirurgie Michel Triffaux
Test de 4 semaines au sein du service de neurochirurgie du CHWAPI à Tournai Belgique
Premières impressions après 4 semaines de test
Images et commentaires
The document discusses photoablation, which is the precise removal of tissue using laser light. Specifically:
- Photoablation involves using ultraviolet laser light to precisely "etch" or ablate tissue without causing thermal damage. The ArF excimer laser is commonly used.
- The process was first discovered in the 1980s using polymers and has since been applied to biological tissues. It allows very precise corneal surgery without thermal effects.
- Refractive corneal surgery uses photoablation to alter the cornea's curvature and refractive power to treat conditions like myopia and hyperopia. Radial keratotomy and excimer laser ablation are examples discussed.
This document discusses lasers used in ophthalmology. It begins by explaining laser construction, which involves a pump source, gain medium, and mirrors forming an optical resonator. It then covers laser types including argon, diode, Nd:YAG, and excimer lasers. Clinical applications such as LASIK, PRK, laser trabeculoplasty, and photocoagulation of the retina are discussed. Laser hazards and safety classifications are also summarized.
Lasers have been used in ophthalmology since the 1960s, with early uses including retinal photocoagulation. The document discusses the history and types of lasers used, including solid state, gas, and semiconductor lasers. It also summarizes key diagnostic and therapeutic uses such as scanning laser ophthalmoscopy, optical coherence tomography, refractive surgery, glaucoma treatment, and capsulotomy. Lasers provide precise tissue effects through photocoagulation, photodisruption, photoablation, and photodynamic therapy, making them a valuable tool for modern eye care.
The document discusses the various medical applications of lasers. It begins by listing some common surgical and cosmetic uses of lasers, such as removing tumors, making incisions, resurfacing skin, and removing tattoos and birthmarks. It then provides more detail on the use of lasers in ophthalmology to perform procedures like removing cataracts and repairing retinas. The document goes on to explain the basic physics behind how lasers work, including atomic structure, light emission, population inversion, and stimulated emission. It describes the characteristics of lasers compared to other light sources, such as directionality, pure color, and temporal coherence. Finally, it discusses various mechanisms of laser-tissue interaction including phot
Les tendances 2016 de la eSanté lors des Signaux Numériques 2016.
Les tendances 2016 dans le eTourisme lors des Signaux Numériques 2016.
La conférence annuelle d’AEC vous délivre les résultats d’une année de veille et d’analyse des tendances mondiales du numérique. Les Signaux Numériques permettent ainsi d’anticiper à court et à moyen terme les futurs enjeux technologiques, sociétaux et territoriaux impulsés par le numérique.
Présentation à la Société Belge d'Ophtalmologie samedi 14 mars 2015
1. Dr Oscar Kallay
Dr O. Kallay
Présentation à la Société Belge d’Ophtalmologie
Samedi 14 mars 2015
Systèmes d’aide au positionnement
des implants toriques
2. But
• Concerne IOLs toriques monofocaux et multifocaux
• Astigmatisme minimum requis pour bonne acuité visuelle non
corrigée (UCVA)
< 0.75 D monofocaux
< 0.50 D multifocaux
3. Prévalence de l’astigmatisme cornéen
chez les patients atteints de cataracte
• 50% des patients de plus de 60 ans une dioptrie
• 22% > à 1.5 D = volume d’implantation en implants toriques
dans grandes séries
4. Induction d’astigmatisme par l’incision
de cataracte peropératoire (SIA)
a. Aplatissement du méridien de l’incision et cambrure du
méridien orthogonal
b. Localisation de l’incision : astigmatisme induit + > en
supérieur qu’en temporal
c. Taille des incisions
5. L’évaluation précise de l’astigmatisme
préopératoire est le premier pas
nécessaire dans l’optimisation des
résultats
6. Pour le chirurgien débutant dans les
implantations toriques
a. Ne pas confondre astigmatisme cornéen et
astigmatisme total
b. Commencer par des astigmatismes tout à fait réguliers
(meilleur candidat = astigmatisme régulier en nœud de papillon à
la topographie)
c. Aujourd’hui grâce à la précision des appareils biomètres non
contact et topographes la prédictibilité des résultats
réfractifs repose sur la précision de l’axe de référence et de
l’axe d’implantation
7.
8. Pourquoi avons-nous besoin de
marquer ou de prendre des images
des yeux ?
a. De la position assise à coucher cyclotorsion de 4.1° +/- 3.7°
avec 8% des yeux présentant une cyclotorsion > à 10°
b. Alignement parfait entre axe d’implant torique et
astigmatisme cornéen : si désalignement sous correction de
l’astigmatisme au méridien et nouvel astigmatisme à un
nouveau méridien
c. Désalignement de 3 dioptries = 10% d’astigmatisme résiduel
et 11.5° = 40%!
9. Méthodes manuelles
• À la lampe à fente en assis avec feutre. La tête du patient ne
doit pas être inclinée
• À main levée au bloc opératoire patient assis avec feutre
• Marqueur pendulaire, marqueur à bulle
• Etape suivante avec anneau de Mendes
10.
11.
12. Sources d’erreurs
• Bonne fixation du patient et position assise correcte
• Précision du geste
• Flux des patients pendant programme opératoire
• Au total 4.9° +/- 2.1°
13. Systèmes de diagnostic préopératoire
guidés par images
1. Application Toreasy et Toraxis
2. Callisto (Zeiss) et plateforme chirurgicale (cataract suite)
3. Verion system et Alcon suite
14.
15.
16.
17. 1. Application Toreasy et Toraxis
Dr Damien Gatinel (Paris Rothschild)
• Non contact
• Elimine les erreurs dues au head tilt
• Principe = utilise capteurs de gravité du smartphone
• D’abord alignement 0° – 180° en passant à travers les pupilles des 2 yeux
• Patient ne bouge plus
• Puis Zoomer et prendre l’image d’un œil (trouver un vaisseau scléral ou
autre repère)
• L’appareil permet de connaitre sa localisation par un réticule par rapport à
la ligne 0°-180°
• Puis au Q.O. retrouver le détail anatomique et marquage par l’anneau de
Mendes
18. 2. Callisto (Zeiss) et plateforme
chirurgicale (cataract suite)
• Appareil monté sur microscope Lumera et comprenant logiciel
reconnaissance structures anatomiques et repérage
astigmatisme cible
• Marquage au feutre des méridiens 0-180° en préopératoire
immédiat (patient assis, regardant au loin)
19. Procédure peropératoire simple
a. Repérage sur l’écran de l’axe 0°-180° (ligne jaune)
(compensation d’une éventuelle cyclotortion)
b. Présentation de l’axe d’alignement précis de l’IOL (3 lignes
mauves)
c. Tracker permettant de suivre les mouvements de l’œil
induits par les manœuvres chirurgicales intraoculaires
20.
21. Plateforme chirurgicale Zeiss (cataract
suite) alignement sans marquage (markerless)
• Repérage automatisé vaisseaux limbiques par IOLmaster 500
en consultation (minimise erreurs liées marquage manuel)
• Image de référence + biométrie sur clé USB
• Système d’assistance peropératoire par ordinateur (Callisto
eye)
• Système informatisé compare image de référence avec image
du patient sous microscope (match) et alignement
automatique
22.
23.
24. Plateforme chirurgicale Zeiss (cataract
suite) alignement sans marquage (markerless)
• Injection d’image dans un oculaire du chirurgien
(positionnement de l’implant sur l’image injecté dans le
microscope en temps réel pendant la chirurgie)
• L’axe d’astigmatisme doit être introduit manuellement
• Donne aussi taille du rhexis et axes des incisions
25.
26.
27.
28. Avantage / Inconvénient
1 Comparaison groupe manuel 4.7° +/- 2.8°
2 Groupe automatique 3.6° +/- 1.5°
3 Surtout rapidité de la procédure
Inconvénient du Callisto : lié au microscope Zeiss et coût
29. Conseil pour les débutants en
implantation torique
Ne pas oublier de bien rincer le visqueux
derrière l’IOL quand implantation torique.
Sinon risque de rotation de l’implant
Commencer par des astigmatismes pas trop
petits
30. 3. Verion system et Alcon suite
1. L’unité de référence
• Prise d’images HD par 12 leds (repérage de détails iriens et vaisseaux
sanguins scléraux) définissant l’axe visuel et l’astigmatisme
2. Pas de biométrie intégrée
3. La planning station
• Pour planifier l’opération : longueur axiale à introduire, formules de calcul
dans le pc, kérato et astigmatisme donnés par l’unité de référence
• Introduire les sites d’incisions chirurgicales et intègre l’isa et éventuel
complément par RLI
à noter biométrie du lenstar peut être incorporé dans la planning station
• Transfert sur clé USB ou en réseau
En consultation
31. 3. Verion system et Alcon suite
1. Eye tracker du microscope
• Reconnait l’œil du patient (très plat d’où pas de modification de
distance de travail)
2. L’écran digital
• Réception des données du réseau ou par clé USB
• Cross Match 3 sec entre l’image prise en consultation et l’image
sous microscope
• Etape alignement, localisation des incisions, rhexis, alignement de
l’IOL torique et centrage de l’implant possible limbe, pupille ou axe
visuel
• Images intercalées dans le microscope ne sont pas perturbantes
En salle d’opération
32.
33.
34.
35.
36.
37. Autres systèmes
• Système de guidage peropératoire
(aberrométrie peropératoire)
1. ORA system de Wavetec (racheté par Alcon)
2. HOLOS IntraOp (Clarity Medical Systems)
38. Futur
• Nouveaux implants clipsés sur capsulorhexis
automatisé parfaitement centré
• Systèmes intégrés pré et peropératoires connectés à
l’appareillage chirurgical (phaco ou femtocataracte)
• Implications :
a. Pour des centres chirurgicaux à haut volume car coût
élevé
b. Personnel qualifié en consultation car temps pour bilan
préopératoire augmente + commande de l’implant
(chirurgie phaco-refractive chronophage)