L'influence de la linguistique structurale sur la didactique du français langue étrangère dans les années 60-70 avant son déclin à partir des années 80 en raison de la montée en force de l'interculturel.
Le FOS aujourd’hui : quel périmètre et quelle influence en didactique des lan...Nicolas Clf
Points communs - n° 1 avril 2014
Cette revue est entièrement consacrée au FOS et notamment à/aux :
la délimitation de son champ linguistique et didactique,
ses différentes applications,
la place qu’il occupe au sein de la didactique des langues,
relations qu’il entretient avec le français langue seconde (FLS), le français de spécialité ou le français langue professionnelle (FLP).
L'influence de la linguistique structurale sur la didactique du français langue étrangère dans les années 60-70 avant son déclin à partir des années 80 en raison de la montée en force de l'interculturel.
Le FOS aujourd’hui : quel périmètre et quelle influence en didactique des lan...Nicolas Clf
Points communs - n° 1 avril 2014
Cette revue est entièrement consacrée au FOS et notamment à/aux :
la délimitation de son champ linguistique et didactique,
ses différentes applications,
la place qu’il occupe au sein de la didactique des langues,
relations qu’il entretient avec le français langue seconde (FLS), le français de spécialité ou le français langue professionnelle (FLP).
Problématique de l'enseignement de la prononciationMichel Billières
Pourquoi a-t-on des difficultés à acquérir une bonne prononciation en langue étrangère. Existe-t-il des méthodes permettant de pallier ces difficultés?
Introductory lecture on Corpus Linguistics. Contents: Corpus linguistics: past and present, What is a corpus?, Why use computers to study language? Corpus-based vs. Intuition-based approach, Theory vs. Methodology.
This lecture was based on McEnery et al. 2006. Corpus-based Language Studies. An Advanced resource book. Routlege.
Comparaison des Methodes "actives" et "traditionnelles" avec le modèle IMAIPMarcel Lebrun
Comparaison des Methodes "actives" et "traditionnelles" avec le modèle IMAIP. Inspiré de Lebrun. M. (1999). Des technologies pour enseigner et apprendre. Bruxelles: De Boeck Université (p. 168). Pour IMAIP voir : http://bit.ly/IMAIP-Batier-Lebrun et http://bit.ly/IMAIP-ELEARNING
« Le discours et les choses. Matières technolangagières dans les environnements numériques », conférence au Colloque interdisciplinaire doctorant-e-s & jeunes chercheurs-ses Donnees hybrides et contextualisation des corpus. nouvelles approches, Universités SPC, 24 mai 2014
Problématique de l'enseignement de la prononciationMichel Billières
Pourquoi a-t-on des difficultés à acquérir une bonne prononciation en langue étrangère. Existe-t-il des méthodes permettant de pallier ces difficultés?
Introductory lecture on Corpus Linguistics. Contents: Corpus linguistics: past and present, What is a corpus?, Why use computers to study language? Corpus-based vs. Intuition-based approach, Theory vs. Methodology.
This lecture was based on McEnery et al. 2006. Corpus-based Language Studies. An Advanced resource book. Routlege.
Comparaison des Methodes "actives" et "traditionnelles" avec le modèle IMAIPMarcel Lebrun
Comparaison des Methodes "actives" et "traditionnelles" avec le modèle IMAIP. Inspiré de Lebrun. M. (1999). Des technologies pour enseigner et apprendre. Bruxelles: De Boeck Université (p. 168). Pour IMAIP voir : http://bit.ly/IMAIP-Batier-Lebrun et http://bit.ly/IMAIP-ELEARNING
« Le discours et les choses. Matières technolangagières dans les environnements numériques », conférence au Colloque interdisciplinaire doctorant-e-s & jeunes chercheurs-ses Donnees hybrides et contextualisation des corpus. nouvelles approches, Universités SPC, 24 mai 2014
2022_09_12_vertus pédagogiques de la transcription.pdfEveilleHN
Présentation d'Anne Réach-Ngô lors de la matinée organisée par le groupe OLIO aux deuxièmes rencontres Estrades / EVEille (Strasbourg, 12-13 septembre 2022)
Richard Walter (IRHT), "Chercheurs vos papiers", 26 novembre 2009, MMSHPhonothèque MMSH
FORMATION : Cahier des charges d’un chercheur pour l’organisation, la diffusion, l’archivage et la valorisation de ses sources
jeudi 26 novembre 2009 (MMSH, salle Paul Albert Février). Matinée : Intervention de Richard Walter, Responsable du Service éditorial et Publications électroniques, IRHT (Institut de recherche pour l’histoire des textes : Gérer un projet d’édition de sources : à l’interface entre recherche et informatique / entre chercheurs et ingénieurs…
TEI et Humanités Digitales : projet HumanitéDigitMaghrebMokhtar Ben Henda
TEI et Humanités Digitales : retour d’expérience du projet « HumanitéDigitMaghreb ». Journée "Des Images pour les Humanités digitales", MICA, Université Bordeaux Montaigne
Épigraphie et numérique : quelle incidence des nouvelles technologies sur la discipline et le métier ?
Afin de dissiper d’entrée de jeu les malentendus, on commencera par donner quelques définitions expliquant en quoi consiste la mise en oeuvre de technologies numériques pour la publication des corpus d’inscriptions sur le Web, telle qu’elle se pratique depuis une vingtaine d’années déjà. Puis, en examinant quelques exemples, on montrera sur quoi exactement portent les transformations induites par l’outillage numérique : contenu des publications, édition des textes, construction des corpus, en se plaçant au double point de vue de l’éditeur scientifique et du lecteur-chercheur.
En se livrant ainsi à une sorte d’« archéologie du travail savant », on mettra en lumière l’incidence des techniques et des vecteurs de diffusion sur la production scientifique elle-même : re-qualification des documents (inscriptions ou estampages), visualisation statistique et heuristique des données sont le point de départ pour de nouvelles interprétations. Mais l’économie de l’argumentation s’en trouve elle aussi modifiée et partant, les modes de validation des résultats. En reconfigurant la chaîne auctoriale, les techniques du numérique induisent de ce fait aussi une transformation de certaines règles de l’édition critique savante.
Par conséquent, il apparaît essentiel de s’adapter à cette transition technologique et, mieux encore, de s’en saisir comme d’une opportunité, afin d’assurer, entre l’âge de l’imprimé et l’âge du numérique, une passation dans de bonnes conditions, c’est à dire sans perte des acquis, connaissances et savoir-faire de la discipline « épigraphie », bâtis depuis bientôt deux siècles au sein une communauté académique dynamique et internationale.
Sur YouTube :
https://youtu.be/Ia8tnck8gQc
Cours sur les normes et standards (principales notions à connaître) auprès d'étudiants en Master Multimédia de Bordeaux. Principaux enjeux des normes et standards abordés : accessibilité, indexation (avec métadonnées et dublin core), interopérabilité, web sémantique et open data.
Introduction sur les domaines scientifiques impliqués dans la fouille de textes
- TAL et fouille de données : En quoi les données textuelles sont particulières (lexique, syntaxe mais aussi diversité langagière, des formats, des entités, des méta-données etc.) et quels sont les types de ressources utiles ou disponibles.
- Des modèles et des tâches (analyse grammaticale, désambiguisation, similarité textuelle, recherche et extraction d'information, classification...) et des collections standard pour évaluer des modèles et des outils
- Les approches automatisées sont associées à différentes manières de travailler les corpus (règles manuelles, apprentissage et bases d'exemples, degrés de supervision humaine, ...) : avantages / inconvénients, risques ...
Panorama méthodologique de l'offre logicielle académique ou commerciale
- Des outils pour l'utilisateur final, des APIs pour le développement, des plateformes d'annotation pour la création de bases d'apprentissage, des outils pour écrire des règles symboliques
- Des outils logiciels plus ou moins interactifs
Présentation faite lors d'une réunion du projet animitex à Montpellier en aôut 2014. Cette présentation brosse un apercu des standards du web sémantique disponible sur le web de données. Puis nous introduisons brièvement les travaux de Fabien Amarger sur la transformation de SKOS en ontologie.
Les données massivement accumulées par des sociétés comme Google ont permis des avancées considérables dans le traitement du langage humain par des machines (recherche d'information, traduction automatique, etc.). En quelques années, plus de progrès ont été accomplis que dans le demi-siècle qui a précédé, au risque d'une certaine frustration pour le chercheur qui peut avoir à juste titre l'impression que la compréhension des phénomènes lui échappe. L'exposé décrira ces progrès, ainsi que les défis qui restent à relever et qui peuvent changer la face de l'accès à l'information au cours des décennies à venir.
Par Jean Veronis, Professeur de linguistique et d'informatique à l'Université Aix Marseille, chercheur.
Similaire à Ppt exposé du 31 août 2021 - L'analyse du discours numérique - Facultad de derecho Universidad de Buenos Aires (20)
Ppt exposé du 31 août 2021 - L'analyse du discours numérique - Facultad de derecho Universidad de Buenos Aires
1.
2.
3. Thème de l’exposé: l’analyse du discours numérique
(ADN)
Objectif de l’exposé: développer les notions
introduites au champ épistémique par Marie-Anne
Paveau sur la technodiscursivité, l’hypertextualité et
l’écrilecture.
Présentation du sujet
Exposé présenté par Pablo E. Luna
4. 1. Présentation du sujet
2. Présentation des thèses des deux textes de Marie-Anne
Paveau
3. Conclusions
4. Extra
Plan del’expose
6. Professeure en Sciences du langage à l’université de
Paris 13 travaille en théorie du discours avec une
approche transdisciplinaire (philosophie,
anthropologie, sciences cognitives, SIC, internet
studies, animal studies, plant studies).
Marie-Anne Paveau
Elle a rédigé deux articles qui abordent un nouveau objet d’étude dans le terrain
de l’analyse du discours: l’analyse du discours en ligne ou de la technodiscursivité,
l’hypertextualité et l’écrilecture.
Thèmes de recherche:
Discours en contexte : analyse du discours numérique (ADN), nouveaux discours
féministes, discours antiracistes décoloniaux, discours animal et végétal
Histoire et épistémologie des disciplines TDI (texte, discours, interaction) : histoire
et épistémologie de l’analyse du discours, nouveaux concepts pour la théorie du
discours, folk linguistics, analyse du discours et cognition distribuée, discours et
affordances, émergence d'une postlinguistique, articulation race, genre et discours
Normes éthiques et épistémiques : éthique des vertus discursives, décence
discursive, question du locuteur vulnérable, notion de destitution interprétative,
émotions scientifiques, subjectivité et réflexivité dans la recherche, construction et
diffusion des savoirs académiques et informels, épistémicide colonial
8. A propos de l’univers numérique, la thèse principale de Marie-Anne Paveau est :
«Quand dire c’est relier». Elle introduit des mots qu’elle va développer dans ses
travaux et elle étend les sens d’autres mots dont la signification est importante
pour la linguistique et notamment pour l’analyse du discours, tels que:
Discours - Discours natif - Discours en ligne – Technodiscours – Technosigne –
Délinéarisation - Linguistique TDI (texte, discours, interactions) – Logocentrisme -
Police - Postdualisme - Non-humain - Environnement technologique – Numérisé -
Numérique – Numériquée – Technosignes - Technogenres du Web - L'imprimé - le
fichier éléctronique – la mise en réseau – l’écriture à plusieurs – l’écosystème du web -
Numériquer – Numérication – Plurisémioticité – Twittérature – Scripteur - Enonciation
multiple - Techno-énonciatif – Microblogging – Technogénérécité – Technologie
discursive – Polylecte – Lien – Mainstream – Affordances
12. Le hardware concernant le langage éléctronique sert à s’entourer
du numérique. C’est de l’ordre du hors ligne. Le langage est
mécanique et éléctronique.
L’interface utilisateur est l’interaction entre le site, création du développeur
web, et l’usager. Le bouton est le technogenre par excellence. Il inclut une
action à accomplir qui peut être écrite à l’infinitif ou indiquer l’action décrite
à engager, telle que «J’aime». C’est de l’ordre de l’en ligne. Le langage est
généralement courant.
La souris qui fait bouger le curseur et qui fait «clic» et le clavier qui offre les
touches pour écrire et faire quelque chose sur le software concernent le
hardware et ils sont avec le smartphone aussi les moyens d’interaction entre
le sujet parlant et l’écosystème numérisé, numérique et numériqué. C’est un
ordre double entre le hors ligne et l’en ligne. Lorsque qu’on fait clic ou qu’on
tappe on dit un «faitez ça» qui engage une action souhaitable. Le langage
est à la fois mécanique, électronique et numérique.
Les affordances: les langages de programmation créent ce qui est appelé
l’écosystème du Web et notamment des applications. On parle alors du front
end ou frontal et du back end ou dorsal. Le frontal est l’ensemble de
mécanismes, matériels ou logiciels qui permettent à un utilisateur d’interagir
avec un système informatique. Le dorsal est toute la partie que l’utilisateur
ne voit pas mais qui lui permet de réaliser des actions sur un site ou une
application. Le langage de programmation est généralement écrit en anglais
et il a sa propre grammaire et sa propre syntaxe, il engage des actes
perlocutoires étant donné qu’il change une certaine condition d’ existence.
Au commencement était l’Unité centrale de traitement…
14. Technodiscursivité
(A) Contexte de production
L’écosystème hors ligne
(humain –sujet parlant-
et non-humain –
hardware et processus
algorithmiques)
L’écosystème en ligne : l’écosystème du web (frontal et
dorsal; l’interface utilisateur; non-humain –les
algorithmes; l’ordinateur; le portable-)
• Technomots: hastags, pseudonymes, liens
• Technosignes: bouton de partage, like
• Augmentation énonciative: le scripteur collectif et écriture à plusieurs
• Délinéarisation: la plurisémioticité d’un tweet et sa syntaxe multi-linéaire
• Composition: un langage de programmation, un billet d’un blog
(B)Type de production
• Numérisé: un document numérisé est un document produit hors ligne qui est scanné pour être introduit en univers numérique.
Par exemple: un livre scanné.
• Numérique: un document numérique est un document produit hors ligne en électronique par écriture au clavier. Il n’est pas
destiné pour la mise en réseau et il peut devenir un document imprimé. Par exemple: cette présentation.
• Numériqué: un document produit en contexte numérique qui juxtapose une délinéarisation, une augmentation énonciative, une
technogénéricité et une plurisémioticité. Par exemple: un tweet avec des hastags, une photo, un texte, un lien et un pseudonyme
précédé d’un @.
(C)Conditions discursives
(D) Modifiabilité: Qu’est-ce qu’on peut faire
avec ? (E) Identité:
• Le pseudonyme
• L’anonymat
• L’hétéronymat
• L’anthroponyme (du sujet parlant)
Modifiabilité interne: modifier le texte
(ce qui a été dit, ce qui se dit et ce qui
va être dit). C’est une modification du
contenu.
Modifiabilité externe: la police,
la couleur et la taille de la police,
le fond . C’est une modification
de la forme.
16. Hypertexte
1. Un signe passeur
2. Un discours
d’accompagnement
3. Un discours lié ou
discours hors écran
• Il concerne un processus technique
pour le scripteur et manipulation de
texte pour le lecteur.
• Il est une technologie de
l’information où le lien joue le rôle
majeur.
• Il a une caractéristique scripturale
multiséquentielle et multilinéaire
Le lien: la relationalité des
énoncés en contexte
hypertextuel.
«une forme de mémoire artificielle
capable d’entrer en interaction avec
l’intelligence humaine, de former
avec elle un système qui ouvre à son
utilisateur de nouvelles perspectives
pour s’informer, lire, écrire, penser»
Jean Clément
Fil-source
Fil-cible
Élément cliquable
Profil de A, vu depuis la compte
facebook de B
Ajout de A en tant qu’ami(e) facebook
Bouton qui afforde un lien qui engage
une action: ajouter A comme ami (e) –
Signe passeur
Hypertextualité
Ecrilecture
Technodiscursivité
L’hyperdocument est un ensemble de
documents qui constituent une unité
d’hypertexte
L’hypertexte est une informatisation des hyperdocuments sous forme d’un
réseau de nœuds documentaires et de liens navigationnels les reliant
17. La typologie de lectures et
hyperliens en numérique
hypertextualisé selon
Alexandra Saemmer
1. Lecture informationnelle
2. Lecture dialogique
3. Lecture chronologique
4. Lecture immersive
5. Lecture affirmative
6. Lecture déviative
A1. Hyperlien définissant
A2. Hyperlien renvoyant à la source
A3. Hyperlien illustratif
A4. Hyperlien fournissant des preuves
A5. Hyperlien d’autorité
A6. Hyperlien explicatif
B1. Hyperlien déplaçant le focus
B2. Hyperlien comparatif
B3. Hyperlien croisant des points de vue
B4. Hyperlien réinterprétant
C1. Hyperlien successif
C2. Hyperlien analeptique
C3. Hyperlien proleptique
C4. Hyperlien synchronisant
D1. Kiné-gramme
D2. Ciné-gramme
E1. Couplage emphatique
E2. Coupage additionnel
F1. Hyperlien déformatoire
F2. Hyperlien ironisant
F3. Hyperlien métaphorisant
F4. Kiné-trope
F5. Ciné-trope
19. Discours
d’accompagnement
(instructions sur le site)
Discours
d’accompagnement
(instructions sur le site)
Signe passeur /
hyperlien
Ecriture : des espaces à
compléter. A la suite
d’une lecture des
instructions pour l’action
souhaitable on
accomplit les conditions
pour la réussite de ladite
action
Plurisémioticité
Qu’est-ce que le
texte me dit?
Comment
l’énonciateur
exprime-t-il ce qu’il
dit?
Demande d’abonnement pour Le Figaro (à travers LeParticulier-
création d’un nom spécifique pour que l’usager ressent une
proximité avec le journal)
Ecrilecture
Double
subjectivité
Manipulation de l’information
Cheminement choisi
Alain Vuillemin distingue
trois types d’écrilecture.
Elle est périphérique
lorsqu’il s’agit d’apporter
des annotations, elle est
centrale, fondatrice, dès
lors que le texte devient
préhensible, c’est-à-dire
lorsque, numérisé́, il
devient manipulable,
interrogeable ; elle est
enfin créatrice quand
l’ordinateur est au service
de l’extraction des aspects
méconnus d’un texte
Coconstruction de sens par l’usager
dans un geste d’écriture et de lecture
21. Délinéarisation
Composition
• Délinéarisation visuelle: exprimée par les couleurs (ex.: l’écriture collective ou écriture à plusieurs)
• Délinéarisation syntagmatique: exprimée par une interruption du déroulé de l’énoncé (ex.: La #nuitdébout est une émission faite par @BanlieuesDebout)
• Délinéarisation énonciative: exprimée par une décomposition de l’énoncé en plusieurs parties divisées par des hyperliens (ex.: certaines définitions dans
Wikipédia qui en abordant un texte-source offrent des informations dans des textes-cible où l’on accède à travers des hyperliens)
• Délinéarisation discursive: exprimée par une multilinéarité discursive ou technodiscours rapporté (ex.: le partage de sites tels que Blogspot ou Tumblr dans
de réseaux sociaux numériques –RSN- tels que Facebook ou Twitter)
• Délinéarisation sémiotique: exprimée par une nature composite ou un assemblage d’éléments non-verbaux tels que l’image, le son, le graphique ou l’action.
1. Un trait du discours hypertextualisé
2. Elle consiste en l’intervention d’éléments cliquables dans le fil du discours, qui dirigent l’écrilecteur d’un fil-
source vers un fil-cible, instaurant par là une relation entre deux discours
3. On parle d’un élément délinéarisateur
Dans le cadre de l’Analyse du discours numérique (ADN) le terme composite désigne une coconstruction du langagier et du technique dans les discours
numériques natifs. Il s’agit d’un assemblage entre le social et le naturel mais aussi entre l’humain et le non-humain. Cet assemblage qui désigne une écriture
composite concerne aussi le polylecte, l’écriture à plusieurs. L’univers numérique n’est pas une société mais une communauté. Du point de vue sociolinguistique
le non-humain, la discursivité et le lien social prennent la parole pour la rendre piétonnière.
23. Jakobson, Bakhtine, Kerbrat-Orecchioni, Saussure, Chomsky,Amossy, Maingueneau, Bourdieu encore…
1. Il est nécessaire un dispositif d’analyse pour l’Analyse du discours numérique (ADN).
2. Il faut repenser l’Analyse du discours numérique sous une perspective écologique et postdualiste.
3. Dans l’univers discursif liquide, le linguiste doit avoir une formation sur le terrain, qui lui permette d’aborder les objets d’analyse sous
l’angle précis.
4. Il faut analyser le discours hypertextualisé partant de l’observation empirique des usages de ses producteurs et de ses utilisateurs, les
écrilecteurs.
5. Il faut construire un nouvel parcours en explorant les dimensions linguistiques inédites abordant sur la composition technodiscursive
et technocorpodiscursive du discours hypertextualisé. La prise en compte de la contrainte algorithmique, dimension calculatoire de
tout discours numérique natif est très importante lors d’une étude sur le terrain.
6. Il est important de tenir compte de la fluidité du discours numérique et de la relationalité du discours dans cette forme de discours.
7. Il est à retenir le progrès de l’hypermédia, une variable très importante pour l’Analyse du discours numérique.
30. Bibliographie
1. Facebook
2. Pour la biographie de Marie-Anne Paveau: https://pleiade.univ-
paris13.fr/profil/marie-anne.paveau/
3. PAVEAU M.-A., 2015. « Ce qui s’écrit dans les univers numériques, Itinéraires ». En
4. ligne: http://journals.openedition.org/itineraires/2313
5. PAVEAU M.-A. , 2017. « Des discours et des liens.Hypertextualité, technodiscursivité,
écrilecture ». Semen. En ligne: http://journals.openedition.org/semen/10609
6. Pour la définition de dualisme :
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/dualisme/26913#:~:text=1.,compl%C
3%A9mentaires%20%3A%20Le%20dualisme%20des%20partis.
7. Pour les définitions de Frontal et dorsal ou front end :
https://www.wildcodeschool.com/fr-FR/blog/differences-backend-frontend-
developpement-web
8. Pour les mèmes internet : https://fr.wix.com/blog/2017/08/10/que-sont-les-memes-
et-comment-les-utiliser/
9. Pour l’image de l’abonnement au journal en ligne LeFigaro : https://www.lefigaro.fr/
10. Spotify
11. Twitch: www.twitch.tv
12. Word et calculatrice