Nourrir les animaux pour nourrir les hommes est-il pertinent ? Cette question fait débat. Le projet Casdar ERADAL propose une approche, notamment sur l’efficience protéique, en prenant en compte la part de l’alimentation des chèvres qui pourrait être directement consommée par l’homme.
Nourrir les animaux pour nourrir les hommes est-il pertinent ? Cette question fait débat. Le projet Casdar ERADAL propose une approche, notamment sur l’efficience protéique, en prenant en compte la part de l’alimentation des chèvres qui pourrait être directement consommée par l’homme.
L’autonomie protéique et l’efficience nette de conversion des protéines permettent d’avoir un autre regard sur l’élevage laitier. En France, les fermes laitières produisent de 60 à 90% des protéines qu’elles utilisent. Et près de 75% d’entre elles produisent plus de protéines consommables par l’Homme qu’elles n’en consomment.
La diversité des élevages résulte de combinaisons entre les systèmes alimentaires, les conduites, les objectifs de production et les troupeaux. En nous appuyant sur des résultats d’expérimentations et sur des pratiques d’éleveurs, nous cherchons des réponses à la question : Comment adapter la génétique du troupeau à sa propre situation ?
Le projet Casdar ERADAL a permis de réfuter les affirmations selon lesquelles
les élevages de ruminants consomment plus de protéines qu’ils n’en produisent.
Ainsi, en ne considérant que la part des protéines consommables par l’Homme,
un élevage ovin laitier français moyen produit 1,16 kg de protéines animales
pour 1 kg de protéines végétales consommées, et 89 % des protéines qu’il
consomme sont non consommables par l’Homme. Aujourd’hui, plusieurs outils
de communication sont disponibles pour diffuser ces résultats.
De l’amont à l’aval des filières agroalimentaires,
Avril et Carrefour présentent 6 solutions concrètes pour une alimentation plus favorable au climat #SolutionsCop21
Journée Alimentation et Agro-écologie 15/02/2019 - Slide ateliersseverinlavoyer
Reconnecter agriculture et alimentation pour préserver notre santé et notre environnement
Michel DURU (Directeur de Recherche à l’INRA)
Jean-Luc BESSET (Responsable régional Bleu Blanc Coeur)
15 février 2019, Hôtel de Région, Toulouse
Journée organisée par l'Association Française d'Agroforesterie et le mouvement Pour une Agriculture Du Vivant dans le cadre du programme Agr'eau, en partenariat avec la région Occitanie et l'Agence de l'Eau Adour-Garonne.
Pour faire correspondre l’offre très saisonnée en agneau bio et la demande
marquée par les fêtes religieuses, les opérateurs peuvent miser sur les
complémentarités entre bassins de production mais aussi sur l’étalement de
la production locale. Dans les bassins herbagers et rustiques, nous abordons
des pistes permettant de concilier production locale, étalement de l’offre et
durabilité des systèmes.
L’amélioration de l’efficience alimentaire est un enjeu essentiel pour la filière bovin viande de demain. Pour étudier la faisabilité d’une sélection sur ce caractère, le programme BEEFALIM 2020 vise à comprendre ses déterminants physiologiques et génétiques chez les jeunes bovins (JB) en engraissement. Ce webinaire présentera les premiers résultats zootechniques, génétiques mais aussi économiques de 600 JB engraissés avec deux rations contrastées, une à base d’ensilage de maïs, l’autre d’ensilage d’herbe.
L’autonomie protéique et l’efficience nette de conversion des protéines permettent d’avoir un autre regard sur l’élevage laitier. En France, les fermes laitières produisent de 60 à 90% des protéines qu’elles utilisent. Et près de 75% d’entre elles produisent plus de protéines consommables par l’Homme qu’elles n’en consomment.
La diversité des élevages résulte de combinaisons entre les systèmes alimentaires, les conduites, les objectifs de production et les troupeaux. En nous appuyant sur des résultats d’expérimentations et sur des pratiques d’éleveurs, nous cherchons des réponses à la question : Comment adapter la génétique du troupeau à sa propre situation ?
Le projet Casdar ERADAL a permis de réfuter les affirmations selon lesquelles
les élevages de ruminants consomment plus de protéines qu’ils n’en produisent.
Ainsi, en ne considérant que la part des protéines consommables par l’Homme,
un élevage ovin laitier français moyen produit 1,16 kg de protéines animales
pour 1 kg de protéines végétales consommées, et 89 % des protéines qu’il
consomme sont non consommables par l’Homme. Aujourd’hui, plusieurs outils
de communication sont disponibles pour diffuser ces résultats.
De l’amont à l’aval des filières agroalimentaires,
Avril et Carrefour présentent 6 solutions concrètes pour une alimentation plus favorable au climat #SolutionsCop21
Journée Alimentation et Agro-écologie 15/02/2019 - Slide ateliersseverinlavoyer
Reconnecter agriculture et alimentation pour préserver notre santé et notre environnement
Michel DURU (Directeur de Recherche à l’INRA)
Jean-Luc BESSET (Responsable régional Bleu Blanc Coeur)
15 février 2019, Hôtel de Région, Toulouse
Journée organisée par l'Association Française d'Agroforesterie et le mouvement Pour une Agriculture Du Vivant dans le cadre du programme Agr'eau, en partenariat avec la région Occitanie et l'Agence de l'Eau Adour-Garonne.
Pour faire correspondre l’offre très saisonnée en agneau bio et la demande
marquée par les fêtes religieuses, les opérateurs peuvent miser sur les
complémentarités entre bassins de production mais aussi sur l’étalement de
la production locale. Dans les bassins herbagers et rustiques, nous abordons
des pistes permettant de concilier production locale, étalement de l’offre et
durabilité des systèmes.
L’amélioration de l’efficience alimentaire est un enjeu essentiel pour la filière bovin viande de demain. Pour étudier la faisabilité d’une sélection sur ce caractère, le programme BEEFALIM 2020 vise à comprendre ses déterminants physiologiques et génétiques chez les jeunes bovins (JB) en engraissement. Ce webinaire présentera les premiers résultats zootechniques, génétiques mais aussi économiques de 600 JB engraissés avec deux rations contrastées, une à base d’ensilage de maïs, l’autre d’ensilage d’herbe.
Combinaison des approches génétique et de modélisation pour développer un nouveau biomarqueur non invasif de résilience basé sur les métabolites du lait, par Marie Ithurbide - INRAE
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
2. LE PROJET #ERADAL
Utilisation Efficiente des Ressources Alimentaires
en production laitière
pour produire des Denrées Alimentaires pour l’Homme
https://idele.fr/eradal
Projet n°5710 réalisé avec la contribution financière du Compte d’Affectation Spéciale
« Développement Agricole et Rural » du Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire
et de la Forêt.
3. 3
Augmentation
de la population
mondiale
En 2050 : 9 ou 10
milliards
d’êtres humains sur
Terre
Augmentation
de la production
des filières
agricoles
Meilleure utilisation
des ressources
Contexte
sociétal
Demandes variées :
environnement,
bien-être animal,
compétition
alimentaire
DEMAIN, NOURRIR LA PLANÈTE AVEC …
4. ELEVAGE : GASPILLAGE OU NON ?
4
86% de la ration
non consommable
par l’homme
Source : FAO, 2009
MAIS il faut prendre
en compte que …
5. 5
• rémunératrices pour les éleveurs,
• respectueuses du bien être animal,
• vertueuses sur le plan environnemental,
• peu en compétition avec l’alimentation humaine, pour produire de
la protéine de qualité,
• légitimes dans l’occupation et l’entretien des territoires.
Demain, les productions animales seront socialement acceptables
si elles sont :
6. Le projet ERADAL (2017-2021) a pour objectifs :
• D’évaluer objectivement la contribution des élevages laitiers à la production alimentaire
pour l’Homme via
• L’efficience d’utilisation des ressources alimentaires
• Le repérage, l’étude et la description des systèmes innovants, efficients et produisant en
quantité et qualité
• D’avoir une approche transversale sur les 3 filières laitières
• De créer une dynamique professionnelle et concrète, avec des groupes d’innovation
multi-acteurs
• Ce qui a été fait :
• Analyses base de données
• Etude approfondie de systèmes expérimentaux
• Groupes d’innovation
• Vulgarisation
6
7. 10/06/2022 7
Quelles données avons-nous utilisé ?
1384
données
343
données
847
données
498
exploitations
274
exploitations
Livreurs
Fromagers
108
exploitations
• 5 années étudiées : 2012 à
2016
• Références possibles par
zone géographique et/ou
système alimentaire
• Moyenne de l’échantillon
étudié qui n’est pas
représentatif de l’ »élevage
France » : ne pas sur
interpréter les résultats
10. Les ruminants mangent beaucoup…
Pour produire 1 kg de protéines animales (lait et viande),
• Les vaches laitières consomment 5,0 kg de protéines végétales
• Les chèvres laitières consomment 6,5 kg de protéines végétales
• Les brebis laitières consomment 7,8 kg de protéines végétales
Mais…
10
Moyenne des élevages – Inosys Réseaux délevage
2012-2016
11. 100% 100% 100% 100%
90%
85%
66%
40%
8%
0%
20%
40%
60%
80%
100%
120%
Proportion des protéines non consommables par l'homme
Une part des matières premières végétales est non consommable par
l’Homme selon la valorisation actuelle en France
12. De l’efficience brute à l’efficience nette
12
Efficience Protéique Nette =
Protéines des produits de l’élevage « consommables par l’Homme »
Protéines végétales « consommables par l’Homme » consommées par les animaux
Prise en compte de la fraction
consommable par l’homme
=> Efficience Protéique Nette
13. EFFICIENCE PROTÉIQUE NETTE
DES SYSTÈMES D’ÉLEVAGE
LAITIERS
1,16
EPN
Des systèmes ovins laitiers producteurs nets de protéines
Il faut environ 0,9 kg
de protéines végétales consommables par l’homme
<
pour produire 1 kg
de protéines animales consommables par l’homme
14. • Pour produire 1 kg de protéines animales (lait et viande), les brebis laitières
consomment 7,8 kg de protéines végétales
• Mais 89 % des protéines consommées sont non pas consommables par
l’Homme
• Pour produire 1 kg de protéines animales consommables par l’Homme, il faut
environ 0,9 kg de protéines végétales consommables par l’Homme.
• En moyenne, les systèmes ovins laitiers sont producteurs nets de protéines.
14
En résumé…
15. 15
43 % 65 %
Efficience Protéique Nette
0
10
20
30
40
50
60
70
0,2-0,4 0,4-0,6 0,6-0,8 0,8-1 1-1,2 1,2-1,4 1,4-1,6 1,6-1,8 1,8-2 2-2,2 2,2-2,4 2,4-2,6 2,6-2,8 2,8-3 >3
51 % 71 %
EPN > 1 EPN > 0,8
DES ÉLEVAGES
Il existe une variabilité de l’efficience protéique nette
Nombre
de
données
16. • Pas de modèle dominant
• De bons résultats dans tous les systèmes
d’élevage
• Une combinaison de nombreux facteurs
Bientôt disponible : un outil de calcul
à destination des éleveurs pour
connaître son efficience
16
Quels facteurs font varier l’efficience d’un élevage à l’autre?
17. Des systèmes laitiers producteurs nets de protéines
17
1,12
d’EPN
89 % 89 % 86 %
PROTÉINES CONSOMMÉES NON
CONSOMMABLES PAR L’HOMME
Moyenne des élevages – Inosys Réseau d’Elevage
2012-2016
1,9
EPN
1,2
EPN
1,1
EPN
EFFICIENCE PROTÉIQUE NETTE
DES SYSTÈMES D’ÉLEVAGE
LAITIERS
Il faut environ 0,5 kg
de protéines végétales
consommables par l’homme
<
pour produire 1 kg
de protéines animales
consommables par l’homme
ET DANS LES AUTRES FILIÈRES LAITIÈRES ?
18. Test des conclusions
Essai au lycée agricole de la
Cazotte
Remerciements pour la conduite de l’essai à L.
Buisson, M. Rinn, M. Abric, JL. Gineste et L. Lefebvre
10/06/2022 18
19. Objectifs et dispositif
• Alimenter un lot avec une ration la moins en compétition possible avec
l’alimentation humaine
• 2 lots de 40 brebis
• Une ration Témoin classique sur l’exploitation VS une ration Essai sans
compétition
• 2 années d’essai
• 16/12/2019 13/03/2020 = 3 mois
• 25/11/2020 18/03/2021 = 4 mois
19
20. Rations
20
2019 2020
Quantité de MS (kg) Lot Témoin Lot Essai Lot Témoin Lot Essai
Ration de base AV
(estimation MS)
2,2 2,0 2,1 2,2
Luzerne déshydratée 0,5 0,75 0,4 0,5 + 0,45
Orge 0,55 - 0,5 -
Concentré commercial 0,45 - 0,5 -
Pulpe de betteraves
déshydratée
- 0,65 - 0,18
Drèche de maïs - 0,56 - -
Drèche de blé - - - 0,37
TOTAL (kg MS/j/brebis) 3,70 3,96 3,5 3,7
Iso énergie
Iso protéines
Iso énergie
Déficit protéines
21. Production laitière
21
2019 : pas de différence
2020 : avantage au lot Témoin mais
production équivalente à 2019
Source : M. Aubey (2021)
23. Urée
23
Niveau d’urée inférieur dans le lot Essai
les 2 années
Meilleur équilibre énergie/azote année 1
Déficit en azote année 2
Source : M. Aubey (2021)
24. Compétition
Aliments en compétition (PPC, %) : Ensilage de maïs
(RB) 10 %, Concentré du commerce 34 %, Orge 61 %
(Source GIS Elevage Demain, F. Bienne 2018)
24
Témoin : 110 g en
compétition /j/br
Eradal : 6 g en
compétition /j/br
25. Conclusions et perspectives
25
• On peut alimenter les brebis avec une ration sans
compétition avec l’alimentation humaine sans
perdre en quantité ni en qualité de lait
• Aliments sans autres débouchés que l’alimentation
animale
• Baisse des rejets azotés
Crédits : Désialis
26. ENCORE DE NOMBREUSES QUESTIONS À TRAITER SUR
LA COMPÉTITION « FEED/FOOD »
Les surfaces utilisées pour nourrir les ruminants ne seraient-elles pas
mieux valorisées pour nourrir directement l’Homme ?
Comment prendre en compte la qualité nutritionnelle des protéines
animales et végétales ?
27. Les ruminants laitiers sont
producteurs nets de protéines
pour l’alimentation humaine.
Mais les surfaces utilisées
pour les nourrir ne seraient-
elles pas mieux valorisées
pour nourrir directement
l’Homme ?
Les ruminants laitiers piétinent-ils dans notre assiette ?
FOCUS SUR LA PROTEINE
28. LES TERRES AGRICOLES EN
28
Source : L’alimentation animale, principale destination des productions végétales, Agreste, Conjoncture 2013c
Terres arables
Culture pour alimentation
animale
4 millions ha = 14% de la SAU
Terres arables
Fourrage pour
l’alimentation animale
4,2 millions ha = 15% de
la SAU
Terres non-arables
Fourrage pour l’alimentation
animale
9,8 millions ha = 35% de la SAU
Alimentation humaine
10 millions ha = 36% de
la SAU
29. DES CHIFFRES COMPLÉTÉS PAR UNE APPROCHE SURFACE
• Imaginer des rotations à destination
humaine uniquement
• Calculer la quantité de protéines
produites
• Comparer avec les systèmes actuels…
29
Une méthodologie exploratoire pour commencer
30. DES CHIFFRES COMPLÉTÉS PAR UNE APPROCHE SURFACE
30
Une méthodologie exploratoire pour commencer
• Imaginer des rotations à destination
humaine uniquement
• Calculer la quantité de protéines
produites
• Comparer avec les systèmes actuels…
Très grande variabilité en fonction des
hypothèses
À creuser dans un nouveau projet ?
31. Et de nombreuses questions persistent !
• Sur la méthodologie en elle-même => les travaux seront poursuivis !
31
Arrêt de toute fertilisation organique =>
quid des rendements et de la teneur en
matière organique des sols (P & K) ?
Quelle(s) rotation(s) pour avoir
un régime 100% végétal adapté
d'un point de vue nutritionnel ?
L’élevage valorise 9 millions de
tonnes MS de coproduits chaque
année => quid de leur devenir ?
Les surfaces non-arables sont
rendues à la nature
=> quelle gestion de ces espaces ??
(incendies, loisirs, biodiversité)
Comment prendre en compte la
différence de qualité nutritionnelle entre
les protéines végétales & animales ?
(score DIAAS)
32. AU-DELÀ DES CHIFFRES (À RETENIR…)
• Vidéo courte par filière,
32
Un projet tourné vers la communication !
33. AU-DELÀ DE CES CHIFFRES (À RETENIR…)
• Vidéo courte par filière,
• Diaporama commenté (enseignants apprenants, …),
33
Un projet tourné vers la communication !
18:23
34. AU-DELÀ DE CES CHIFFRES (À RETENIR…)
• Vidéo courte par filière,
• Diaporama commenté (enseignants apprenants, …),
• Cartes postales,
34
Un projet tourné vers la communication !
35. AU-DELÀ DE CES CHIFFRES (À RETENIR…)
• Vidéo courte par filière,
• Diaporama commenté (enseignants apprenants, …),
• Cartes postales,
• Jeu de cartes,
35
Un projet tourné vers la communication !
36. AU-DELÀ DE CES CHIFFRES (À RETENIR…)
• Vidéo courte par filière,
• Diaporama commenté (enseignants apprenants, …),
• Cartes postales,
• Jeu de cartes,
• Outil éleveurs,
• Site internet https://idele.fr/eradal/
Beaucoup de ressources mobilisables !
36
Un projet tourné vers la communication !
37. Merci aux collègues, aux
partenaires et aussi aux
stagiaires qui ont participé
à ce projet !
37