Etude des aptitudes à l’engraissement d’animaux précoces avec des fourrages herbagers et des concentrés issus de sous-produitsde l’industrie agroalimentaire
Focus sur le bien-être et la protection animale tout au long de la filière bovin viande. Témoignages de 2 intervenants de la filière. Coordonné par Audrey Lebrun (Interbev) et Agathe Cheype (Idele).
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Nourrir les animaux pour nourrir les hommes est-il pertinent ? Cette question fait débat. Le projet Casdar ERADAL propose une approche, notamment sur l’efficience protéique, en prenant en compte la part de l’alimentation des chèvres qui pourrait être directement consommée par l’homme.
Etude des aptitudes à l’engraissement d’animaux précoces avec des fourrages herbagers et des concentrés issus de sous-produitsde l’industrie agroalimentaire
Focus sur le bien-être et la protection animale tout au long de la filière bovin viande. Témoignages de 2 intervenants de la filière. Coordonné par Audrey Lebrun (Interbev) et Agathe Cheype (Idele).
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Nourrir les animaux pour nourrir les hommes est-il pertinent ? Cette question fait débat. Le projet Casdar ERADAL propose une approche, notamment sur l’efficience protéique, en prenant en compte la part de l’alimentation des chèvres qui pourrait être directement consommée par l’homme.
Intérêts et précautions ?
Pourquoi réfléchir à utiliser plus de matières premières dans la ration de mes chèvres ? Est-ce judicieux dans le contexte de mon exploitation ? Comment raisonner le choix et l'incorporation des matières premières dans la ration ? Un temps d'échange autour de toutes les questions soulevées par l'alimentation des chèvres avec des fourrages et des concentrés "matières premières", autoproduits ou achetés.
Trente-cinq fermes réparties dans les 3 régions du Grand Ouest, seront identifiées suivant un gradient de valorisation de l’herbe par les troupeaux, à partir des connaissances acquises dans le VR1 et des données du Réseau Redcap.
1ères Biennales des conseillers fourragers 2015 - GAEC du Pain de Sucre à Agincourt (54), Florian Boyer (Chambre d’agriculture de Meurthe et Moselle, Inosys-Réseaux d’Élevage)
L’amélioration de l’efficience alimentaire est un enjeu essentiel pour la filière bovin viande de demain. Pour étudier la faisabilité d’une sélection sur ce caractère, le programme BEEFALIM 2020 vise à comprendre ses déterminants physiologiques et génétiques chez les jeunes bovins (JB) en engraissement. Ce webinaire présentera les premiers résultats zootechniques, génétiques mais aussi économiques de 600 JB engraissés avec deux rations contrastées, une à base d’ensilage de maïs, l’autre d’ensilage d’herbe.
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
A la ferme expérimentale de Jalogny, deux systèmes contrastés producteurs de maigre ont été étudiés sur 6 années. L’un basé sur des vêlages d’automne et produisant des jeunes mâles de 9 mois vendus en juin et l’autre reposant sur des vêlages de fin d’hiver, producteur de mâles de 15 mois vendus en juin après un deuxième passage à l’herbe avaient pour objectif d’approvisionner la filière durant le creux de production estivale. Retour chiffré sur les résultats techniques, économiques et environnementaux de ces deux stratégies de production…
Intérêts et précautions ?
Pourquoi réfléchir à utiliser plus de matières premières dans la ration de mes chèvres ? Est-ce judicieux dans le contexte de mon exploitation ? Comment raisonner le choix et l'incorporation des matières premières dans la ration ? Un temps d'échange autour de toutes les questions soulevées par l'alimentation des chèvres avec des fourrages et des concentrés "matières premières", autoproduits ou achetés.
Trente-cinq fermes réparties dans les 3 régions du Grand Ouest, seront identifiées suivant un gradient de valorisation de l’herbe par les troupeaux, à partir des connaissances acquises dans le VR1 et des données du Réseau Redcap.
1ères Biennales des conseillers fourragers 2015 - GAEC du Pain de Sucre à Agincourt (54), Florian Boyer (Chambre d’agriculture de Meurthe et Moselle, Inosys-Réseaux d’Élevage)
L’amélioration de l’efficience alimentaire est un enjeu essentiel pour la filière bovin viande de demain. Pour étudier la faisabilité d’une sélection sur ce caractère, le programme BEEFALIM 2020 vise à comprendre ses déterminants physiologiques et génétiques chez les jeunes bovins (JB) en engraissement. Ce webinaire présentera les premiers résultats zootechniques, génétiques mais aussi économiques de 600 JB engraissés avec deux rations contrastées, une à base d’ensilage de maïs, l’autre d’ensilage d’herbe.
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
A la ferme expérimentale de Jalogny, deux systèmes contrastés producteurs de maigre ont été étudiés sur 6 années. L’un basé sur des vêlages d’automne et produisant des jeunes mâles de 9 mois vendus en juin et l’autre reposant sur des vêlages de fin d’hiver, producteur de mâles de 15 mois vendus en juin après un deuxième passage à l’herbe avaient pour objectif d’approvisionner la filière durant le creux de production estivale. Retour chiffré sur les résultats techniques, économiques et environnementaux de ces deux stratégies de production…
L’autonomie protéique et l’efficience nette de conversion des protéines permettent d’avoir un autre regard sur l’élevage laitier. En France, les fermes laitières produisent de 60 à 90% des protéines qu’elles utilisent. Et près de 75% d’entre elles produisent plus de protéines consommables par l’Homme qu’elles n’en consomment.
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Le projet LIFE Green Sheep a pour ambition de mettre en place et déployer une démarche bas carbone et durable en élevage ovin en Europe. Cette conférence vise à présenter les premiers résultats du projet en France : l’observatoire des performances environnementales et économiques ainsi que les leviers d’action permettant de réduire les émissions de GES via le témoignage d’un éleveur ovin viande et de sa conseillère.
Avec les interventions d'Hugues Chauveau - Arvalis, Elodie Tranvoiz et Claire Caraës - CA de Bretagne, Romaric Puthod - PRISM - Poisy, Alice Berchoux et Valérie Brocard, Idele
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Similaire à UMT SC3D - axe 1 : efficience de conversion des protéines et énergie végétale par les ruminants (20)
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génétique, un levier majeur pour les enjeux à venir (Mathieu Foucault)
Le comité de filière ovin et les équipes de l’Institut de l’Elevage ont présenté lors d'un webinaire, comment la sélection génétique contribue aux enjeux actuels de la production ovine. Quelles sont les travaux en cours et les perspectives d’étude sur la brebis de demain.
Intervention : La génétique s’adapte à la demande de la filière ovine (Gilles Lagriffoul)
3. Question 1 :
Quelle part des protéines
consommée par les chèvres est non
consommable par l’homme ?
3
4. 4
0%
10%
15%
0%
92%
0% 0%
60%
46%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Herbe sous
toutes ses
formes
Ensilage de
maïs
Mais grain Pulpes de
betteraves
Fèveroles Drêches de
blé
Tourteau de
colza
Tourteau de
soja
Chèvre
laitière 22
Proportiondesprotéinesconsommablesparl'homme
Proportion de Protéines Consommables (PPC) par l’homme
Une part des matières premières végétales consommable
selon la valorisation actuelle en France
6. 6
Dans les élevages laitiers, quelle part des protéines
est non consommable par l’homme ?
1,12
d’EPN
89% 89% 86%
PROTÉINES CONSOMMÉES NON
CONSOMMABLES PAR L’HOMME
Moyenne des élevages –
Inosys Réseau d’Elevage
7. Question 2 :
Les élevages caprins sont-ils
producteurs nets de protéines pour
l’alimentation humaine ?
15/06/2020 7
8. Les protéines animales produites
93%
87% 90%
7%
13% 10%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Bovin lait Ovin lait Caprin
Part des protéines animales provenant de la viande et du lait
dans les filières laitières
Protéines du lait Protéines de la viandes
8
9. Les élevages caprins sont producteurs nets de
protéines pour l’alimentation humaine
1,14
d’EPN0,15
d’EPB
Il faut 6,5 kg de protéines végétales
pour produire 1 kg de protéines
animales
Il faut 890 g de protéines végétales
consommable par l’homme
pour produire 1 kg de protéines
animales consommable par l’homme
Moyenne des élevages – Inosys Réseau d’Elevage
11. 1,88
d’EPN
1,16
d’EPN
1,14
d’EPN
11
QUELLE EST LA SITUATION dans les filières lait ?
EFFICIENCE PROTÉIQUE NETTE
DES SYSTÈMES D’ÉLEVAGE
LAITIERS
L’élevage laitier est producteur net de
protéines pour l’alimentation humaine.
Moyenne des élevages – Inosys Réseau d’Elevage
Il faut 0,53 kg de protéines végétales consommable par l’homme
pour produire 1 kg de protéines animales consommable par l’homme
13. Question 3 :
Quels facteurs techniques pour
expliquer la variabilité de l’EPN ?
15/06/2020 13
14. Quels facteurs techniques pour
expliquer la variabilité de l’EPN ?
14
Variables
Affouragement
EnsilageMaïs
Enrubannage
Foindemélange
Foinlégumineuses
Pastoraldistribué
Pastoralpâturage
Pâturage
Rationsècheet
déshy
Part d'herbe dans ration
totale
Part de concentrés à
compétition EPN élevé
concentrés g/l
lait/animal standard
TP (g/L)
Grille de lecture
-1 ; -0,5 Corrélation négative forte Traduit une augmentation de l'EPN
quand la variable diminue-0,5 ; 0 Corrélation négative faible
0 ; 0,5 Corrélation positive faible Traduit une augmentation de l'EPN
quand la variable augmente0,5 ; 1 Corrélation positive forte
15. Résultats d’efficience obtenus sur un système
caprin saisonné pâturant en recherche
d’autonomie - dispositif Patuchev (INRAE)
Extrait d’une affiche prévue pour les 3R 2020 (Kocken et al.) 15
16. Question 4 :
Quels liens avec la qualité de la
protéine et l’occupation des sols
À venir en 2020
- Méthode du Land Use Ratio (LUR) pour l’occupation des terres
- Score DIASS pour la qualité nutritionnelle
15/06/2020 16
17. Land Use Ratio
17
1. Estimation des surfaces nécessaires
pour produire les aliments de la
ration
2. Séparation entre terres arables et
non arables // méthode dichotomique
3. Estimation de la quantité de
protéine végétales potentiellement
productible sur cette surface //
hypothèses assolement et rotation à faire
4. Calcul du LUR
18. Nos partenaires
Animateurs du projet :
Benoît Rouillé (Idele) – benoit.rouille@idele.fr (animation générale + bovin laitier)
Barbara Fança (Idele) – barbara.fanca@idele.fr (ovin laitier)
Jérémie Jost (Idele) et Bertrand Bluet (CA36) – jeremie.jost@idele.fr (caprin)
18
d’infos : http://idele.fr/reseaux-et-
partenariats/eradal.html
Notes de l'éditeur
« 10 kg de protéines végétales pour faire un kg de protéines animales » -> certes, mais les animaux consomment de l’herbe