[Biennales conseillers fourragers 2017] Atelier 6 resalim, un observatoire des pratiques d’alimentation mobilisable pour le conseil, e doligez et c le doaré
La mixité entre espèces animales offre des opportunités pour améliorer les performances techniques, réduire les intrants et diminuer l’empreinte environnementale des systèmes.
La mixité entre espèces animales offre des opportunités pour améliorer les performances techniques, réduire les intrants et diminuer l’empreinte environnementale des systèmes.
[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
1ères Biennales des conseillers fourragers 2015 - EARL des Ancres à Malaucourt sur Seille (57), Emilie Frustin (Chambre régionale d’agriculture de Lorraine, Inosys-Réseaux d’Élevage)
Une utilisation importante de l’herbe peut être est un levier pour une plus grande durabilité des exploitations caprines. Pour assurer des prairies performantes en quantité et qualité, le recours à la diversité d’espèces prairiales est une solution technique intéressante.
La prairie multi-espèces (PME) doit cependant être adaptée à différentes contraintes. Savoir composer un mélange et connaître son évolution sont des attentes fortes des éleveurs caprins.
Le réseau REDCap a traité cette problématique en entreprenant des essais en élevages sur le territoire du Grand Ouest de 2012 à aujourd’hui.
[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
1ères Biennales des conseillers fourragers 2015 - EARL des Ancres à Malaucourt sur Seille (57), Emilie Frustin (Chambre régionale d’agriculture de Lorraine, Inosys-Réseaux d’Élevage)
Une utilisation importante de l’herbe peut être est un levier pour une plus grande durabilité des exploitations caprines. Pour assurer des prairies performantes en quantité et qualité, le recours à la diversité d’espèces prairiales est une solution technique intéressante.
La prairie multi-espèces (PME) doit cependant être adaptée à différentes contraintes. Savoir composer un mélange et connaître son évolution sont des attentes fortes des éleveurs caprins.
Le réseau REDCap a traité cette problématique en entreprenant des essais en élevages sur le territoire du Grand Ouest de 2012 à aujourd’hui.
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BioThémas 2016 - Conférence organisée par l'ITAB, en partenariat avec le pôle AB Massif Central
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Première étape pour l'élaboration d'un outil d'évaluation du BEA en filières ovines laitières et allaitantes.
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2e édition de Grand Angle Ovin
Nourrir les animaux pour nourrir les hommes est-il pertinent ? Cette question fait débat. Le projet Casdar ERADAL propose une approche, notamment sur l’efficience protéique, en prenant en compte la part de l’alimentation des chèvres qui pourrait être directement consommée par l’homme.
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Autonomie alimentaire des élevages ovins, état des lieux et pistes d’amélioration
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Les systèmes bovins viande à l'épreuve des défis : les dynamiques d'adaptation observées entre 2014 et 2021.
Webinaire INOSYS BV du 9 février 2024.
Confrontés à de profonds changements depuis 10 ans (changement climatique, réformes de la PAC, forte volatilité des prix et hausse des coûts de production, main d’œuvre limitante, …), l’analyse des résultats de 200 fermes allaitantes, avec ou sans engraissement, suivies en continu de 2014 à 2021, est riche d’enseignements : évolution des structures, adaptation des conduites alimentaires, évolution des résultats économiques, des capitaux mobilisés et de l’endettement.
Dans le cadre du projet ValCabri, 3 essais d'engraissement de chevreaux ont été réalisés à la ferme expérimentale du Pradel. Ils portaient sur l'alimentation des mères en fin de gestation, sur le choix de l'aliment d'allaitement ou sur le croisement avec une race à viande. De nombreuses mesures ont été réalisées au cours de ces essais, tant sur les chevreaux (croissance, consommation, mensurations...) que sur les carcasses (poids, conformation, état d'engraissement, couleur...) ou sur les viandes (qualités nutritionnelles et sensorielles). L'ensemble de ces résultats seront présentés au cours de cette conférence.
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Combinaison des approches génétique et de modélisation pour développer un nouveau biomarqueur non invasif de résilience basé sur les métabolites du lait, par Marie Ithurbide - INRAE
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Webinaire santé prédation - Doré Nicolas Inrae 31 mai 2024.pdf
[Biennales conseillers fourragers 2017] Atelier 6 resalim, un observatoire des pratiques d’alimentation mobilisable pour le conseil, e doligez et c le doaré
1. Observatoire national de l’alimentation des vaches laitières
Présentation de l’interface Res’Alim
Biennales de conseillers fourragers, le 25/10/17
2. Contexte
2007-2015
• Observatoire de l’alimentation des vaches laitières du
CNIEL (données INOSYS – Réseaux d’élevage, SSP, RA)
• Les Entreprises de Conseil en Elevage enregistrent les
rations pratiquées par les éleveurs (= constats
d’alimentation) auprès de 30 000 exploitations laitières
françaises
2015-2016
• FCEL agrège ces données dans une base unique
nationale
• Expertise de cette base conduite par le CNIEL – FCEL -
IDELE
2017
• Développement d’un outil interactif de consultation
web de ces données pour les ECEL et l’interprofession
(nationale et régionale)
Objectifs :
• Caractériser l’alimentation des vaches
laitières françaises
• Mettre en évidence des systèmes et
des pratiques d’alimentation
7. Objectifs :
Comprendre les caractéristiques de la base, analyser si ces données permettent de décrire
l’alimentation des VL et de conforter voir développer les connaissances déjà existantes
Caractériser les groupes d’aliments composant la ration
Analyser la cohérence des données
Bilan :
Base de données de bonne qualité 3 % de données exclues en cumulant l’ensemble des règles
Grand nombre d’exploitations 28 000 à ce jour, soit 43 % des élevages français
Territoire L’ensemble du territoire couvert et correctement représenté
Bon niveau de détail de l’alimentation bonne connaissance de la nature des aliments
Suivi dynamique tout au long de l’année environ 4000 remontées hebdomadaires
La base de données s’avère être une véritable opportunité pour la filière
2015
Opportunités et limites pour la valorisation collective des constats
8. Processus d’acquisition et de valorisations des données
Comment sont obtenues et transférées les données des constats d’alimentations réalisées auprès
des exploitations laitières françaises ?
Transfert des données
locales vers une base
nationale FCEL et
traitements nationaux
3
Saisie des constats
d’alimentation
1
Conseiller ou
opérateur de
mesure ECEL
Stockage de ces
informations2
Sur base locale
ECEL ou ARSOE
Consultation
dynamique
Données exploitables pour
toute la filière
Expertises sur un territoire
précis, une catégorie
Impact d’aléas
climatiques
Adaptation court terme
des pratiques à un aléa
économique ou
météorologique
Qualité des
fourrages
4
Accès à la base de données par
FCEL via Qlikview =
interface Res’alim
Etc.
9. Description de la base de données
Constat d’alimentation
Informations « localisation » :
• Bassin laitier (code et libellé)
• Organisme
• Département
• ARSOE
Informations « laitières » :
• Production journalière
moyenne par vache
• Niveau d’étable
• TB, TP
• Nombre de VL présentes lors
du constat
Données Cheptel
• Catégorie (fourrage,
concentré…)
• Nom
• Mode de conservation
• Nature (énergétique, azoté…)
• Code aliment (INRA, …)
• Origine (acheté/produit)
• Quantités en matière sèche et
matière brute
• Valeurs nutritionnelles :
composition organique et
minérale, valeurs
nutritionnelles effectives (PDI,
UFL, …)
Données Aliments Données calculées à partir
des données natives
• Quantité de MS de la
ration du constat
• Rapport quantité de
lait / quantité de MS
de la ration
10. Méthodologie
Mise en place d’une méthodologie de traitement, de reclassement
et d’exclusion des données aberrantes afin de permettre une
exploitation homogène des données à des fins de référence
Objectif : harmoniser et de vérifier la donnée existante
Règles d’exclusion et de tri des aliments
2015
11. Méthodologie
Règles de tri sur les constats
(kg MSI, valeurs nulles)
Cohérence des
aliments (Id,
valeurs, quantité)
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constats
non
conformes
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Constat
Aliment A
Aliment B
Aliment C
Pour chaque élevage :
Si + de 6 constats/an
et au moins un
constat/trimestre
Constats utilisables
pour valorisation
ponctuelle
Constats utilisables
pour valorisation
annuelle
Aliment A
Aliment B
Aliment C
12. Identification de 22 catégories d’aliments
Tri et reclassement
des aliments
Code aliment
Valeurs
nutritionnelles
8 Fourrages
• Foin
• Pâture et affouragement en
vert
• Ensilage de maïs
• Ensilage d'herbe et
enrubannage
• Autres ensilages
• Pailles
• Racines et tubercules
• Autres fourrages
12 Concentrés
• Tourteaux de soja
• Tourteaux de colza
• Céréales
• Coproduits – protéiques
• Autres coproduits
• Aliments composés –
énergétiques
• Aliments composés – de
production
• Aliments composés - azotés,
autres tourteaux et graines
• Autres concentrés –
énergétiques
• Autres concentrés – de
production
• Autres concentrés - azotés
• Concentrés divers
2 Minéraux
• Minéraux contenant plus de
15% d'urée
• Autres minéraux
2015
14. Objectifs :
Evaluer la pertinence des données centralisées par FCEL : sont-elles représentatives des pratiques
d’alimentation locales ?
Validation par les experts des réseaux d’élevage et des ECEL
Segmenter les exploitations de la base selon des critères pertinents pour identifier les pratiques de
ration homogène par territoire
Etre en capacité de pondérer la segmentation obtenue à l’ensemble du parc laitier français pour une
représentativité nationale des pratiques d’alimentation.
Bilan :
Base proche de la réalité de terrain
Base solide, riche en contenu et en enseignements
Etablissement d’une segmentation des exploitations et pondération
2016
Etudes de pertinence et de segmentation
15. Etablissement de « classes de ration »
5 grandes classes de ration identifiées
Aliments
Maïs herbe
42 %
Caractéristiques : entre 50 et
75% d’ensilage de maïs.
Mix fourrager
22 %
Caractéristiques : moins de 50 %
de maïs.
Maïs élevé
8 %
Caractéristiques : plus de 75 %
de maïs.
Sans pâture
9 %
Caractéristiques : 0% d’herbe
pâturée.
Herbagers « purs »
19 %
Caractéristiques : 0% d’ensilage
de maïs.
16. Une méthodologie éprouvée pour « redresser » les données Res’Alim
Les données Res’Alim sont presque représentatives de la ferme France
Etablissement de « segments » : le jeu des 7 erreurs !
Segment 1 Segment 2 Segment 3 S 4
Ration moyenne avant pondération
Ration moyenne pondérée
S 2 Segment 3 S 4Segment 1
Rations issues des exploitations suivies en constat
d’alimentation par FCEL
Données redressées pour correspondre aux proportions
nationales
Coefficients de redressement basés sur la BDNI
23. Utilisation de la base RESALIM pour contribuer à
l’expertise collective de la filière
►Analyse des pratiques des éleveurs
►Lien avec la production des vaches laitières
►Comparaison des années
Deux exemples :
Influence de la valeur des fourrages sur l’utilisation de concentrés
Pratiques de pâturage en fonction de la pousse de l’herbe
Exemples de valorisation
24. Influence de la valeur des fourrages sur l’utilisation de concentrés
Lien entre les
valeurs
alimentaires
des fourrages
récoltés à base
d’herbe et les
pratiques de
complémentati
on des
éleveurs.
Période du 1er
juillet 2016 au
30 juin 2017
Etude des
aliments
contenus dans
les constats
d’alimentation
de 14 207
élevages
Repérage des
fourrages
analysés :
• Valeurs
différentes des
tables INRA,
• Présents dans
plus de 2 élevages
Exemple de valorisation
25. Influence de la valeur des fourrages sur l’utilisation de concentrés
44,9 % des ensilages de maïs
50,4 % des ensilages d’herbe et
enrubannages
10,1 % des foins
Exemple de valorisation
Sont issues d’analyses « élevages », les valeurs alimentaires de :
26. Influence de la valeur des fourrages sur l’utilisation de concentrés
Comparaison des pratiques et
des performances des élevages
bénéficiant des 25 % meilleurs
fourrages aux élevages utilisant
les 25 % moins bons
Bornes retenues :
Exemple de valorisation
Pauvres Riches
Ens. Herbe
– Enrub.
<69 PDIN >91 PDIN
Ens. Maïs <0,91 UFL >0,95 UFL
27. Influence de la valeur des fourrages sur l’utilisation de concentrés
Pas de diminution de concentrés distribués chez les éleveurs
bénéficiant des meilleurs fourrages
Pas d’adaptation du profil de concentrés à la qualité des fourrages.
Exemple de valorisation
28. Influence de la valeur des fourrages sur l’utilisation de concentrés
Augmentation de la production laitière (+ 1.8 kg/VL/j) et la concentration
en matière grasse du lait.
Les éleveurs ont cherché à profiter de ces meilleurs fourrages pour
produire plus de lait. Cette stratégie alimentaire rend les livraisons de lait
bien corrélées à la qualité des fourrages.
Exemple de valorisation
29. Pratiques de pâturage en fonction de la pousse de l’herbe
Comparaison
des données
de
l’observatoire
de la pousse
de l’herbe
avec les
pratiques
d’alimentation
des
exploitations
laitières
avoisinantes
Période du 6
mars 2017 au
25 juin 2017
Données
recueillies
dans le cadre
de la pousse
de l’herbe sur
le site de
Lieury (Lycée
Agricole du
Robillard – 14)
Constats
d’alimentation
de 15 fermes
proche du site
de mesure
Exemple de valorisation
30. Pratiques de pâturage en fonction de la pousse de l’herbe
Courbes de la croissance
des prairies et de
l’utilisation de l’herbe
dans les rations parallèles
Maintien de la part
d’herbe dans les rations
au printemps lorsque la
croissance se réduit
Décalage de 15 jours de
la pousse de l’herbe et
l’augmentation de la part
d’herbe dans les ration
Exemple de valorisation
0
2
4
6
8
10
12
14
16
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26
kg MS/VL/jkg MS/ha/j
Lycée Agricole Le Robillard (14)
Croissance
MoyIngestion
31. Apports du dispositif Res’alim pour le conseil et le
développement en élevage laitier :
Appréciation de la prise en compte des messages techniques par les
éleveurs
Par une meilleure connaissance des pratiques de terrain réelles
Consolider les expertises existantes : alimentation, pousse de l’herbe, …
Caractériser de façon objective des aléas conjoncturels ayant un impact sur
l’alimentation des VL : climatiques, économiques,
Via un suivi dynamique (remontée hebdomadaire des constats d’alimentation)
Exemple de valorisation
33. Res'alim permet :
►De suivre les pratiques réelles d’alimentation des éleveurs laitiers
grâce au suivi d’un nombre important de producteurs
►Mise à jour en temps réel et saisonnière : ouvrant la porte à de
toutes nouvelles expertises !
►D’apprécier la diversité des pratiques : régions, systèmes, taille, …
►Participer aux réseaux de veille sur les pratiques émergentes
En conclusion …
34. Des outils ressources au service des ECEL (évidement !) et des interprofessions laitières :
nationale et régionales pour un partage des données collectives par territoires.
Orienter des messages de terrain à partir de constats établis sur la réalité des pratiques et
cibler les marges de progrès à prioriser
Croiser cette base de données avec d’autres informations connues sur les élevages pour
servir de support à des études sur les performances des troupeaux ou sur des pratiques
innovantes.
Entre autres !
Thématiques possibles :
Efficacité et équilibre des rations,
Evaluation de la robustesse des systèmes d’alimentation face aux aléas économiques et climatiques
Détection des marges de progrès prioritaires pour les élevages laitiers.
Suivi du pâturage selon les systèmes ou les régions
Alimentation et production laitière, …
…
… et perspectives
35. France Conseil Elevage :
Thomas Decers (thomas.decers@france-conseil-elevage.fr)
Etienne Doligez (etienne.doligez@littoral-normand.fr)
CNIEL :
Cécile Le Doaré (cledoare@cniel.com)
Pauline Gautier (p.gautier@cniel.com)
IDELE :
Julien Jurquet (julien.jurquet@idele.fr)
Contacts
36. MERCI !
Ainsi qu’à Pauline Gautier pour la
préparation de cette présentation !
38. Une exploitation est en suivi régulier si elle satisfait au minimum :
• 6 constats / an
• 1 constat / trimestre
Les données « valides » des exploitations qui ne répondent pas aux règles de suivi
régulier, peuvent néanmoins contribuer aux analyses saisonnières, ponctuelles.
Règles de suivi régulier de l’alimentation