Trente-cinq fermes réparties dans les 3 régions du Grand Ouest, seront identifiées suivant un gradient de valorisation de l’herbe par les troupeaux, à partir des connaissances acquises dans le VR1 et des données du Réseau Redcap.
Ce diaporama présente les résultats 2019 de l'Observatoire des volumes en ovins viande bio.
Les différents graphiques font notamment le point sur l'évolution de la production nationale au cours des dernières années, les principales régions productrices, l'étalement des ventes au cours de l'année, les prix rendu abattoir comparativement au conventionnel, etc.
Jean-François Deglorie (ForéBio)
Webinaire 31 mars 2022 de 10h à 12h
Restitution de l’action 1 du projet COPRAME
des COPROduits pour Améliorer la Multiperformance des Elevages bovins lait et viande
Trente-cinq fermes réparties dans les 3 régions du Grand Ouest, seront identifiées suivant un gradient de valorisation de l’herbe par les troupeaux, à partir des connaissances acquises dans le VR1 et des données du Réseau Redcap.
Ce diaporama présente les résultats 2019 de l'Observatoire des volumes en ovins viande bio.
Les différents graphiques font notamment le point sur l'évolution de la production nationale au cours des dernières années, les principales régions productrices, l'étalement des ventes au cours de l'année, les prix rendu abattoir comparativement au conventionnel, etc.
Jean-François Deglorie (ForéBio)
Webinaire 31 mars 2022 de 10h à 12h
Restitution de l’action 1 du projet COPRAME
des COPROduits pour Améliorer la Multiperformance des Elevages bovins lait et viande
A la ferme expérimentale de Jalogny, deux systèmes contrastés producteurs de maigre ont été étudiés sur 6 années. L’un basé sur des vêlages d’automne et produisant des jeunes mâles de 9 mois vendus en juin et l’autre reposant sur des vêlages de fin d’hiver, producteur de mâles de 15 mois vendus en juin après un deuxième passage à l’herbe avaient pour objectif d’approvisionner la filière durant le creux de production estivale. Retour chiffré sur les résultats techniques, économiques et environnementaux de ces deux stratégies de production…
L’amélioration de l’efficience alimentaire est un enjeu essentiel pour la filière bovin viande de demain. Pour étudier la faisabilité d’une sélection sur ce caractère, le programme BEEFALIM 2020 vise à comprendre ses déterminants physiologiques et génétiques chez les jeunes bovins (JB) en engraissement. Ce webinaire présentera les premiers résultats zootechniques, génétiques mais aussi économiques de 600 JB engraissés avec deux rations contrastées, une à base d’ensilage de maïs, l’autre d’ensilage d’herbe.
Ce diaporama présente les résultats de 22 entretiens auprès d'opérateurs intervenant dans la filière de commercialisation des agneaux biologiques. Pour les Organisations de Producteurs les leviers permettant une meilleure adéquation entre l'offre et la demande sont d'abord une incitation financière au dessaisonnement, la bonne connaissance des élevages, plus de régularité dans la qualité des agneaux. Pour les abattoirs, le premier leviers cité est la complémentarité entre les bassins de production, devant le dessaisonnement et l'accompagnement technique des éleveurs pour plus de qualité et de régularité. Ces entretiens ont été réalisés dans le cadre du projet Casdar RéVABio, et le diaporama a été présenté lors des BioThémas du Sommet de l'Elevage 2021.
Pour en savoir plus :
Idele.fr
Le projet FROM’MIR a montré la faisabilité d’utiliser la technologie MIR pour estimer la fromageabilité des laits individuels de vache au travers du rendement et de l’aptitude à la coagulation. Ces critères, étudiés en zone AOP/IGP Franche Comté, sont sélectionnables en race Montbéliarde et l’effet des principaux facteurs de variation a pu être mis en évidence.
[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Conférence organisée par la Chambre d'Agriculture du Pays de la Loire, Allice, Bovins Croissance, l'Inra, l'Institut de l'Elevage, SNGTV, et les races Charolaise, Limousine et Blonde d'aquitaine ; avec le soutien de MSD Santé Animale.
Une utilisation importante de l’herbe peut être est un levier pour une plus grande durabilité des exploitations caprines. Pour assurer des prairies performantes en quantité et qualité, le recours à la diversité d’espèces prairiales est une solution technique intéressante.
La prairie multi-espèces (PME) doit cependant être adaptée à différentes contraintes. Savoir composer un mélange et connaître son évolution sont des attentes fortes des éleveurs caprins.
Le réseau REDCap a traité cette problématique en entreprenant des essais en élevages sur le territoire du Grand Ouest de 2012 à aujourd’hui.
L’autonomie protéique et l’efficience nette de conversion des protéines permettent d’avoir un autre regard sur l’élevage laitier. En France, les fermes laitières produisent de 60 à 90% des protéines qu’elles utilisent. Et près de 75% d’entre elles produisent plus de protéines consommables par l’Homme qu’elles n’en consomment.
La diversité des élevages résulte de combinaisons entre les systèmes alimentaires, les conduites, les objectifs de production et les troupeaux. En nous appuyant sur des résultats d’expérimentations et sur des pratiques d’éleveurs, nous cherchons des réponses à la question : Comment adapter la génétique du troupeau à sa propre situation ?
A la ferme expérimentale de Jalogny, deux systèmes contrastés producteurs de maigre ont été étudiés sur 6 années. L’un basé sur des vêlages d’automne et produisant des jeunes mâles de 9 mois vendus en juin et l’autre reposant sur des vêlages de fin d’hiver, producteur de mâles de 15 mois vendus en juin après un deuxième passage à l’herbe avaient pour objectif d’approvisionner la filière durant le creux de production estivale. Retour chiffré sur les résultats techniques, économiques et environnementaux de ces deux stratégies de production…
L’amélioration de l’efficience alimentaire est un enjeu essentiel pour la filière bovin viande de demain. Pour étudier la faisabilité d’une sélection sur ce caractère, le programme BEEFALIM 2020 vise à comprendre ses déterminants physiologiques et génétiques chez les jeunes bovins (JB) en engraissement. Ce webinaire présentera les premiers résultats zootechniques, génétiques mais aussi économiques de 600 JB engraissés avec deux rations contrastées, une à base d’ensilage de maïs, l’autre d’ensilage d’herbe.
Ce diaporama présente les résultats de 22 entretiens auprès d'opérateurs intervenant dans la filière de commercialisation des agneaux biologiques. Pour les Organisations de Producteurs les leviers permettant une meilleure adéquation entre l'offre et la demande sont d'abord une incitation financière au dessaisonnement, la bonne connaissance des élevages, plus de régularité dans la qualité des agneaux. Pour les abattoirs, le premier leviers cité est la complémentarité entre les bassins de production, devant le dessaisonnement et l'accompagnement technique des éleveurs pour plus de qualité et de régularité. Ces entretiens ont été réalisés dans le cadre du projet Casdar RéVABio, et le diaporama a été présenté lors des BioThémas du Sommet de l'Elevage 2021.
Pour en savoir plus :
Idele.fr
Le projet FROM’MIR a montré la faisabilité d’utiliser la technologie MIR pour estimer la fromageabilité des laits individuels de vache au travers du rendement et de l’aptitude à la coagulation. Ces critères, étudiés en zone AOP/IGP Franche Comté, sont sélectionnables en race Montbéliarde et l’effet des principaux facteurs de variation a pu être mis en évidence.
[Diaporamas à la carte]
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Conférence organisée par la Chambre d'Agriculture du Pays de la Loire, Allice, Bovins Croissance, l'Inra, l'Institut de l'Elevage, SNGTV, et les races Charolaise, Limousine et Blonde d'aquitaine ; avec le soutien de MSD Santé Animale.
Une utilisation importante de l’herbe peut être est un levier pour une plus grande durabilité des exploitations caprines. Pour assurer des prairies performantes en quantité et qualité, le recours à la diversité d’espèces prairiales est une solution technique intéressante.
La prairie multi-espèces (PME) doit cependant être adaptée à différentes contraintes. Savoir composer un mélange et connaître son évolution sont des attentes fortes des éleveurs caprins.
Le réseau REDCap a traité cette problématique en entreprenant des essais en élevages sur le territoire du Grand Ouest de 2012 à aujourd’hui.
L’autonomie protéique et l’efficience nette de conversion des protéines permettent d’avoir un autre regard sur l’élevage laitier. En France, les fermes laitières produisent de 60 à 90% des protéines qu’elles utilisent. Et près de 75% d’entre elles produisent plus de protéines consommables par l’Homme qu’elles n’en consomment.
La diversité des élevages résulte de combinaisons entre les systèmes alimentaires, les conduites, les objectifs de production et les troupeaux. En nous appuyant sur des résultats d’expérimentations et sur des pratiques d’éleveurs, nous cherchons des réponses à la question : Comment adapter la génétique du troupeau à sa propre situation ?
Nourrir les animaux pour nourrir les hommes est-il pertinent ? Cette question fait débat. Le projet Casdar ERADAL propose une approche, notamment sur l’efficience protéique, en prenant en compte la part de l’alimentation des chèvres qui pourrait être directement consommée par l’homme.
Les progrès génétiques et phénotypiques depuis plusieurs années sur la croissance, les poids de carcasse, les conditions de naissance des veaux. La génomique et les nouveaux caractères à sélectionner pour demain. Coordonné par Laurent Griffon (Idele)
Le projet Casdar RéVABio (janvier 2020-juin 2023) a étudié les différentes possibilités d'une meilleure adéquation entre l'offre et la demande en agneau bio. Ce diaporama compile les différentes présentations effectuées le 6 juin 2023 lors du séminaire final :
- Présentation de la problématique : le décalage entre pics de production et de demande entraine des "fuites" vers le conventionnel.
- Chiffres de l'Observatoire de la filière (volumes, prix).
- Point de vus des opérateurs (organisations de producteurs et abatteurs).
- Itinéraires techniques d'étalement de la production à l'échelle des élevages.
- Complémentarité entre bassins vs désaisonnement.
- Retour sur les rencontres professionnelles en région.
- Impact du report des agneaux à plus de 10 mois sur le bien-être animal et la qualité de la viande.
- Temps de pâturage nécessaire pour l'apparition d'une signature de l'herbe sur la viande d'agneau.
- Récapitulatif des livrables prévus et focus sur le kit pédagogique.
Vincent Bellet (Idele)
BioThémas 2016 - Conférence organisée par l'ITAB, en partenariat avec le pôle AB Massif Central
Pascale Le Mezec, Jean Guerrier (Idele - Institut de l'Elevage) Antoine Ronsard (ITAB)
En quoi les laits des brebis, vaches, chèvres sont-ils similaires ? En quoi diffèrent-ils ? Qu'est-ce qui est intéressant au regard de la santé humaine ? Cet article de synthèse fait un zoom sur la matière grasse, les matières protéiques et les minéraux des laits et produits laitiers.
Réalisée dans le cadre du réseau des spécialistes d’Inn’ovin, cette série de diaporamas a pour objectif de mettre à disposition de tous de récentes références techniques et économiques sur un sujet.
Combinaison des approches génétique et de modélisation pour développer un nouveau biomarqueur non invasif de résilience basé sur les métabolites du lait, par Marie Ithurbide - INRAE
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
3. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
L’Efficience Alimentaire (EA)
• C’est un rapport entre
3
On parle de :
EA : • massique
• énergétique
• protéique
Et de plus en plus de :
EA : • brute
• nette
Efficience nette
𝑷𝒓𝒐𝒅𝒖𝒊𝒕 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙′
ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒
𝑪𝒐𝒏𝒔𝒐𝒎𝒎é 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙′ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒
4. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
• Indicateurs « directs » (Eleveurs…)
L’EA en BV
Comment la mesure-t-on ?
4
𝑃𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛
𝐶𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛
FCE
(Feed Conversion
Efficiency)
IC
𝐶𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛
𝑃𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛
(Indice de
consommation)
• Indicateur « de référence » (généticiens…)
(Consommation réelle
–
consommation théorique calculée)
(Residual feed
intake)
RFI
Comprendre l’indicateur RFI
(consommation résiduelle)
Consommation
> réelle animal A
Consommation
< réelle animal B
Consommation
théorique calculée
f (poids, GMQ)
Animal A
GASPILLEUR
Animal B
EFFICIENT
5. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
Quelques ordres de grandeur
• Le bovin : un animal perçu comme peu efficient
5
EA BRUTE
(Gain poids/MSI)
> 1/2 1/3 1/10 ± Δ
Tolkam
p et al.,
2010
EA protéique
NETTE (parties
consommables)
≈ 0,8 ≈ 1 ± Δ ≈ 0,7± Δ (NE)
Laisse
et al.,
2019
• Et pourtant un animal qui
• valorise des ressources non consommables par l’homme
(herbe, coproduits…)
• fournit des produits à hautes valeurs nutritionnelles
6. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
L’EA : une réponse à des enjeux essentiels pour
l’avenir de l’élevage bovins viande
• Performances économiques des élevages
6
Coût alimentaire
[ 25 à 30 % du coût de production (hors MO) d’un NE]
• Performances environnementales et sociétales
7. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
L’EA : une conséquence des évolutions
des animaux et des conduites ?
• Au niveau des animaux en finition : une recherche de
croissance
• + 20 kgc en 10 ans pour des JB charolais d’un même âge à l’abattage
7
EA
MAIS : des consommations de concentrés
qui augmentent
• Au niveau des animaux d’élevage : une augmentation
du format adulte
• + 2 à 3 kgc /an pour des vaches de race à viande
- Augmentation des besoins d’entretien
- Lien « précocité » ?
- Capacité d’adaptation
EA
?
8. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
Améliorer l’EA en bovins viande
C’est agir sur tous les animaux du troupeau
8
• Une même
population de bovins
doit être efficace
pour des rations
• à base de fourrage
(élevage –
reproduction)
• plus denses en
énergie (finition)
9. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
Beefalim 2020 : un programme R&D
pour répondre à de multiples questions
9
Axe 1
Axe 2
Axe 3
Axe 4
Quels
mécanismes
en jeu ?
Peut-on prédire l’EA à
partir de biomarqueurs ?
Un animal efficient
avec une ration maïs
l’est-il aussi avec une
ration herbe ?
JB à l’engraissement
(génétique/régime)
L’EA se conserve-
t-elle aux
différentes
phases de la vie ?
Quels liens
entre l’EA et
autres
caractéristiques
(précocité) ?
Quelles
interactions
génétique/
régime ?
Quelle
stratégie
génétique
proposer ?
Femelles
d’élevage
11. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
11
65%
6%
12%
17%
Régime « maïs » (en % MS)
MAIS
PAILLE
SOJA
BLE
• …mais une plus grande
irrégularité de qualité de
l’herbe récoltée
• [EH : MS de 22 à 38%, UF/kgMS : 0,63 à 0,86]
Maïs Herbe
UFV/kg MS 0,91 0,88
% amidon 33 7
% concentrés 29 36
% des protéines
consommables par l’homme
41,4 18,2
• Des objectifs expérimentaux
respectés…
De moins bonnes EA avec de l’herbe
de moindre qualité
(malgré des rations équilibrées en UF…)
Les régimes utilisés
58%
6%
8%
6%
22%
Régime « herbe » (en % MS)
HERBE
PAILLE
SOJA
BLE
BETTEPULPE BETT.
12. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
L’impact du régime sur l’EA
12
• Une variabilité individuelle
importante
• Une meilleure EA brute
pour le régime « maïs »
+ 160 g de GMQ
+ 10% d’EA
mais avec des écarts + ou –
prononcés selon les essais
Pour un même GMG de 1 700 g/j,
des EA qui varient de 0,19 à 0,14,
ce qui signifie des ingestions de
9 Kg MS/j à 12,5 kg MS/j »
Lien entre EA et GMQ (485 JB)
13. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
Des effets génétiques à approfondir
13
• Une tendance générale
à observer une meilleure
EA des descendants sur le
régime « maïs »
Mais…
• Un certain nombre de cas
pour lesquels le classement
diffère : signe d’une
interaction
« génétique/régime » ?
Lot
« maïs »
Lot
« herbe »
FCE(kggaindePV/kgMSingérée)
EA moyenne des descendances selon les
pères et le régime
• : EA de la descendance
d’un père donné
14. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
En conclusion sur ces premiers
enseignements
• Une meilleure EA brute avec le régime maïs
(amidon) mais à relativiser au regard
• Des performances économiques escomptées
• Des nouvelles exigences environnementales et sociétales
• Des marges de manœuvre pour améliorer l’EA
des animaux à l’engraissement
• En travaillant la qualité des fourrages (herbe) récoltés
• En jouant sur le potentiel génétique
14
16. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
Contrôle strict de l’ingestion individuelle (journalière) et du
poids (toutes les 2 semaines) pendant au moins 70 jours
Recherche de biomarqueurs de la variabilité individuelle
de l’efficience alimentaire chez le bovin en croissance
Connaître l’efficience alimentaire de
chaque individu est coûteux
16
17. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
Abondance 15N dans le plasma, ‰
Guarnido et al., 2019
N = 360
4.64.44.24.03.83.63.43.2
250
225
200
175
150
Abondance 15N dans le plasma, ‰
N = 54
Meale et al., 2017
Même relation avec des poils!!
FCE,
gain/ingestion(g/kg)L’abondance naturelle en 15N dans le
plasma reflète l’efficience alimentaire de
l’animal
18. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
PROTEOMIQUE PLASMA
Cassar-Malek et al., 2018
-4
-3
-2
-1
0
1
2
3
4
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4
t2
t1
RFI-
RFI
+
Q2 = 0.86
7 protéines : Immunité,
Inflammation, métabolisme protéique
et lipidique
METABOLOMIQUE PLASMA
Meale et al., 2017
HORMONES PLASMATIQUES
• Acides aminés et dérivés
• Vitamine B
• Hormone de la croissance
Validation en cours
(Projet Effitool-Plus)
Certaines protéines, métabolites et hormones
plasmatiques discriminent les animaux efficients
des inefficients
19. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
À retenir
• Validé
• L’abondance naturelle en 15N dans le plasma reflète
l’EA (FCE)
• À valider sur un grand dispositif animal
• Des protéines, des métabolites et des hormones du
plasma reflètent l’EA (RFI)
• Objectifs :
• Trouver une combinaison de biomarqueurs qui reflète
l’EA (FCE, RFI)
• Disposer d’analyses en laboratoire abordables pour
phénotyper (sélection génétique, alimentation de
précision)
19
21. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
Dispositif expérimental
21
Le Pin au Haras
(Inra)
Bourges (Inra)
• Mesures de Précocité
• Croissance pondérale et morphologique
• Puberté (âge apparition cyclicité)
• Réserves corporelles
(échographie gras sous-cutané)
• Mesures d’Efficience
• Régime : fourrages grossiers
(12 semaines à 22 mois)
• Mesures individuelles d’ingestion
et de croissance
Même expérimentation sur deux élevages
649 génisses issues de 48 pères
22. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
Relations entre Croissance post-
sevrage et Poids à la Naissance
Potentiel de
Croissance
P_Nais
P_Sevr
P14m
P18m
P22m
Pour un même potentiel de Croissance
il y a des génisses qui naissent avec
Poids Naissance Elevé
Poids Naissance Faible
23. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
Relations entre Poids Naissance,
Croissance, Format et Adiposité post-
sevrage
P_Nais
Croiss…
Forma
t
Gras
P_Nais
Croissa…
Gras
Format
Corrélations Phénotypiques Corrélations Génétiques
Poids Naissance Faible => plus Grasses
Poids Naissance Elevé => plus Maigres
24. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
Relations entre Poids Naissance,
Croissance, Format, Adiposité et
Précocité sexuelle
Corrélations Phénotypiques Corrélations Génétiques
P_Nais
Age_Cycl…
Croiss…
Cycl18
Forma
t
Gras
P_Nais
Age_Cyc…
Cycl18
Croissa…
Gras
Format
Poids Naissance Faible => plus Précoces
Poids Naissance Elevé => plus Tardives
25. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
Relations entre Poids Naissance,
Précocité et Efficience
Corrélations Génétiques
P_Nais
Age_Cycli…
Croiss…
Format
RFI
Poids Naissance
Elevé =>
« Gaspilleuses »
26. Beefalim 2020 : quelles avancées pour l’efficience alimentaire ?
Conférence Grand Angle Viande – Jeudi 05 décembre 2019
• Parmi les génisses à bonne Croissance post-sevrage
• Celles qui ont un poids à la naissance élevé sont Tardives
• Âge à la puberté plus élevé
• Moindres dépôts adipeux
• Moins efficientes
• Celles qui ont un poids à la naissance plus petit sont
Précoces
• Âge à la puberté plus jeune
• Réserves adipeuses plus élevées
• Plus efficientes
Précocité et Efficience des Génisses
😕