Semper Gestion : Confidentialité assurée pour ses clients. Le gérant de fortune genevois Semper obtient en 2011 la certification ISO 27001 qui garantit ses bonnes pratiques en matière de sécurité de l’information. Cette même année, la société indépendante ouvre une antenne à Shanghai et engage une gérante chinoise à Genève. «L’objectif n’est pas d’élargir notre clientèle sur ce marché, mais de saisir des opportunités d’investissement», souligne le directeur général Grégoire Vaucher. Avec environ 2 milliards de masse sous gestion, Semper a annoncé l’ouverture d’un bureau à Londres dans les douze prochains mois.
POINT FORT: «DES CONTACTS PRIVILÉGIÉS NATIONAUX ET INTERNATIONAUX POUR TOUS NOS MANDATS.»
Le Club Economie, animé par Bruno Dumont (MBA 86J) & Jean-Pierre Schmitt (MBA 65J) organisait le mardi 9 octobre 2012 au Cercle de l’Union Interalliée un petit déjeuner avec Nicolas Evain, Président d’IRINOVE sur le thème : « Faciliter l’innovation des PME pour les aider à grandir ». En voici le résumé.
Semper Gestion : Confidentialité assurée pour ses clients. Le gérant de fortune genevois Semper obtient en 2011 la certification ISO 27001 qui garantit ses bonnes pratiques en matière de sécurité de l’information. Cette même année, la société indépendante ouvre une antenne à Shanghai et engage une gérante chinoise à Genève. «L’objectif n’est pas d’élargir notre clientèle sur ce marché, mais de saisir des opportunités d’investissement», souligne le directeur général Grégoire Vaucher. Avec environ 2 milliards de masse sous gestion, Semper a annoncé l’ouverture d’un bureau à Londres dans les douze prochains mois.
POINT FORT: «DES CONTACTS PRIVILÉGIÉS NATIONAUX ET INTERNATIONAUX POUR TOUS NOS MANDATS.»
Le Club Economie, animé par Bruno Dumont (MBA 86J) & Jean-Pierre Schmitt (MBA 65J) organisait le mardi 9 octobre 2012 au Cercle de l’Union Interalliée un petit déjeuner avec Nicolas Evain, Président d’IRINOVE sur le thème : « Faciliter l’innovation des PME pour les aider à grandir ». En voici le résumé.
Discours de Pierre-Antoine Gailly, Président de la Chambre de commerce et d'industrie Paris Ile-de-France, à l'attention du Premier ministre, M. Manuel Valls, à l'Université d'Eté du MEDEF, le 27 août 2014.
Vous avez une vision ? Nous vous offrons la une !EY
Participez à l'édition 2016 du Prix de l'Entrepreneur de l'Année, organisée par EY et le magazine L'Express !
Le Prix de l'Entrepreneur de l'Année met en avant les champions de l'esprit d'entreprise, moteurs de la croissance et de la compétitivité française.
Pour plus d'informations, consultez le site dédié : www.ey.com/fr/eoy
En finir avec la politique des petits boulotsFondation iFRAP
À en croire les chiffres publiés par l'Insee, notre pays est devenu le pays d'Europe le plus prolifique en matière de créations d'entreprises : leur nombre est passé d'environ 180 000 par an en 2002 à près de 600 000 en 2010.
Mais si l'on cherche bien, les créations d'entreprises naissant avec au moins un salarié sont très peu nombreuses, voire en chute. Ce sont pourtant celles qui devraient intéresser nos dirigeants.
EY publie sa 1ère édition du baromètre européen des PME-ETI, réalisé auprès de 6 000 entrepreneurs dans 21 pays. Alors que l’économie mondiale se remet progressivement de la crise, les PME et ETI sont aujourd’hui une source principale de croissance, d’emploi et de revenu pour l’Europe. Ce baromètre met en lumière l’optimisme des dirigeants anglophones et un certain pessimisme chez les dirigeants germanophones.
Panorama des candidats start-up de l'édition 2015 du Prix de l'Entrepreneur d...EY
L’édition 2015 du Prix de l’Entrepreneur de l’Année a rassemblé 182 candidats start-up, fers-de-lance de l’économie dans leur région ou jeunes pousses innovantes. Ce prix permet de mettre en lumière les parcours remarquables et l’envie d’entreprendre des hommes et des femmes qui innovent et créent de l’emploi en France et à l’étranger.
Hypercroissance, international, disruption : voici les principales caractéristiques des start-up qui brillent aujourd’hui.
Plus d'informations sur le Prix de l'Entrepreneur de l'Année : ey.com/FR/EOY
Recréer des places de cotation en pleine désintermédiation du financement des entreprises est un enjeu de taille. Notre analyse révèle que 671 PME et ETI non cotées ont un profil financier et actionnarial idéal pour être candidates à une cotation. Cela représente une capitalisation totale de 52Md€, ce qui augmenterait la capitalisation boursière des PME et ETI françaises de 50%. Ceci permettrait d’offrir en France un marché de la cotation des PME et ETI équivalent au marché anglais.
Classement des Entreprises de Taille Intermédiaire surperformantes 2016Almaviva Santé
Le Magazine des Affaires publie le classement des 100 Entreprises de Taille Intermédiaire surperformantes afin de valoriser ces trajectoires d’entreprises.
Pour l’édition 2016, le groupe Almaviva Santé est classé en 2e position du palmarès.
En 2008, la LME lui a donné une existence institutionnelle. Une ETI, c'est à la fois une petite et une grande entreprise mais surtout une grande agilité et un ADN composé d'innovation et d'entrepreneuriat.
C'est surtout près de 4 000 acteurs qui dynamisent l'économie française et se portent à la conquête des marchés étrangers en dosant soigneusement le niveau d'exposition au risque.
Dans le cadre d'une étude réalisée entre 2014 et 2015, BPI France nous en propose une belle mise en perspective à horizon 2020 avec une segmentation intéressante en 5 catégories :
- Les "hexagonales optimistes" (fort développement local)
- Les "Résistantes en sursaut" (évolution du business model pour faire face à l'adversité)
- Les "Leaders mondialisés" (champions à l'international)
- Les "Serial innovantes" (porte-drapeau de l'innovation "nationale" - biotech, fintech et autres...)
- Les "Routinières à l'heure du choix" (acteurs solides sur leurs actifs)
Que de bonnes raisons d'être optimistes et d'investir dans ces champions de demain !
Discours de Pierre-Antoine Gailly, Président de la Chambre de commerce et d'industrie Paris Ile-de-France, à l'attention du Premier ministre, M. Manuel Valls, à l'Université d'Eté du MEDEF, le 27 août 2014.
Vous avez une vision ? Nous vous offrons la une !EY
Participez à l'édition 2016 du Prix de l'Entrepreneur de l'Année, organisée par EY et le magazine L'Express !
Le Prix de l'Entrepreneur de l'Année met en avant les champions de l'esprit d'entreprise, moteurs de la croissance et de la compétitivité française.
Pour plus d'informations, consultez le site dédié : www.ey.com/fr/eoy
En finir avec la politique des petits boulotsFondation iFRAP
À en croire les chiffres publiés par l'Insee, notre pays est devenu le pays d'Europe le plus prolifique en matière de créations d'entreprises : leur nombre est passé d'environ 180 000 par an en 2002 à près de 600 000 en 2010.
Mais si l'on cherche bien, les créations d'entreprises naissant avec au moins un salarié sont très peu nombreuses, voire en chute. Ce sont pourtant celles qui devraient intéresser nos dirigeants.
EY publie sa 1ère édition du baromètre européen des PME-ETI, réalisé auprès de 6 000 entrepreneurs dans 21 pays. Alors que l’économie mondiale se remet progressivement de la crise, les PME et ETI sont aujourd’hui une source principale de croissance, d’emploi et de revenu pour l’Europe. Ce baromètre met en lumière l’optimisme des dirigeants anglophones et un certain pessimisme chez les dirigeants germanophones.
Panorama des candidats start-up de l'édition 2015 du Prix de l'Entrepreneur d...EY
L’édition 2015 du Prix de l’Entrepreneur de l’Année a rassemblé 182 candidats start-up, fers-de-lance de l’économie dans leur région ou jeunes pousses innovantes. Ce prix permet de mettre en lumière les parcours remarquables et l’envie d’entreprendre des hommes et des femmes qui innovent et créent de l’emploi en France et à l’étranger.
Hypercroissance, international, disruption : voici les principales caractéristiques des start-up qui brillent aujourd’hui.
Plus d'informations sur le Prix de l'Entrepreneur de l'Année : ey.com/FR/EOY
Recréer des places de cotation en pleine désintermédiation du financement des entreprises est un enjeu de taille. Notre analyse révèle que 671 PME et ETI non cotées ont un profil financier et actionnarial idéal pour être candidates à une cotation. Cela représente une capitalisation totale de 52Md€, ce qui augmenterait la capitalisation boursière des PME et ETI françaises de 50%. Ceci permettrait d’offrir en France un marché de la cotation des PME et ETI équivalent au marché anglais.
Classement des Entreprises de Taille Intermédiaire surperformantes 2016Almaviva Santé
Le Magazine des Affaires publie le classement des 100 Entreprises de Taille Intermédiaire surperformantes afin de valoriser ces trajectoires d’entreprises.
Pour l’édition 2016, le groupe Almaviva Santé est classé en 2e position du palmarès.
En 2008, la LME lui a donné une existence institutionnelle. Une ETI, c'est à la fois une petite et une grande entreprise mais surtout une grande agilité et un ADN composé d'innovation et d'entrepreneuriat.
C'est surtout près de 4 000 acteurs qui dynamisent l'économie française et se portent à la conquête des marchés étrangers en dosant soigneusement le niveau d'exposition au risque.
Dans le cadre d'une étude réalisée entre 2014 et 2015, BPI France nous en propose une belle mise en perspective à horizon 2020 avec une segmentation intéressante en 5 catégories :
- Les "hexagonales optimistes" (fort développement local)
- Les "Résistantes en sursaut" (évolution du business model pour faire face à l'adversité)
- Les "Leaders mondialisés" (champions à l'international)
- Les "Serial innovantes" (porte-drapeau de l'innovation "nationale" - biotech, fintech et autres...)
- Les "Routinières à l'heure du choix" (acteurs solides sur leurs actifs)
Que de bonnes raisons d'être optimistes et d'investir dans ces champions de demain !
Les entreprises familiales sont moins endettées que celles non familiales. Est-ce justifié ? Dans le contexte des taux d'intérêt actuels, est-ce que ce paradigme peut être remis en question ?
Comment se fait-il qu'aujourd'hui la France souffre d’un déficit d’ETI et de grosses PME ? Pourtant, ces entreprises constituent un moteur de l’emploi, de l’innovation, du développement de nos territoires, et du succès de notre économie à l’international. Pour répondre à cette question, La Fabrique de l'industrie propose, avec le CETIM, une analyse des stratégies susceptibles de favoriser la croissance des PME industrielles et de les transformer en ETI.
En 2012, la pépite de renommée mondiale Aldebaran, portant les espoirs de la robotique française, est absorbée par le japonais Softbank. En 2017, tandis que la France voit naître son premier réseau social tricolore avec Zenly, la jeune pousse est soudainement rachetée par l’américain Snapchat. Et l’histoire se répète encore et encore. À croire que tous ces investissements dans les start-up françaises ne servent qu’à consolider les positions d’acteurs étrangers, qui se nourrissent de nos technologies et de nos talents.
Faut-il pourtant déplorer ces rachats ? Il existe aussi une vision positive énonçant que ces mariages stimulent le développement de la jeune pousse et de l’économie française. Faute de preuves, le débat en est longtemps resté là. Mais cet ouvrage apporte enfin des éléments pour y voir plus clair.
Analysant les causes et les retombées du rachat des pépites françaises par des acteurs étrangers, et fondé sur une série d’entretiens, il met à l’épreuve plusieurs idées reçues. Non, nos start-up ne sont pas systématiquement pillées et délocalisées. Non, leurs dirigeants ne fuient pas à l’étranger. Non, les startupers ne manquent pas de patriotisme économique. Mieux : les rachats de nos start-up par des acteurs étrangers participent d’une dynamique bénéfique et nécessaire à tous les niveaux.
Cette publication offre un regard longtemps attendu sur cet écosystème, d’une grande utilité pour les décideurs publics, les dirigeants d’entreprises et l’ensemble des citoyens.
Etude Pwc : l'entreprise familiale, un modèle durableGinger
Ginger a réalisé de septembre à décembre 2010 une analyse pour le compte du cabinet PwC, en partenariat avec le Family Busines. Cette enquête a été menée auprès 40 dirigeants d’entreprises familiales françaises pour mieux connaître les caractéristiques de ces entreprises.
Plus d'infos sur notre site web : www.ginger-conseil.fr rubrique Sondages
L'humain... Elément clef de la transformationValtus
Retrouvez nos experts en management de transition !
L'équipe Valtus en collaboration avec SBF 120, publie un dossier consacré au capital humain au coeur de la transformation d'entreprise.
Pour un renforcement structurel des pme en haiti par emmanuel grégory morisse...110809
La prospérité des pays émergents à forte croissance se fonde sur un tissus économique diversifié, constitué de nombreuses Petites et Moyennes Entreprises (PME). Ces dernières jouent un rôle essentiel dans la création de richesses et d’emplois à forte valeur ajoutée. On peut citer, (par exemple : l’Inde, le Brésil, la Chine).
Comment les fondateurs dirigent-ils leur start-up ?Bpifrance
Etude sur les grandes réussites françaises du Digital par Antoine Colboc
"Je suis allé interviewer les fondateurs des plus belles réussites du Digital depuis
15 ans en France. 58 entretiens avec les fondateurs de Critéo, BlaBlaCar, La
Fourchette ou Leetchi, Withings ou Netatmo, Dashlane ou Prestashop, Lendix ou
Younited Credit, pour n’en citer que quelques-uns. Ils sont tous reconnus comme
des succès avérés, ayant réalisé les plus grosses levées de fonds ou ayant fait
l’objet d’une cession industrielle pour plusieurs dizaines de millions d’euros.
Après la présentation des profils sociaux de ce groupe de dirigeants, vous
trouverez une analyse détaillée des profils de management et de leadership,
illustrés de nombreux verbatim et témoignages recueillis pendant les
entretiens." Antoine Colboc
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Faut-il profiter du PFU à 30% pour céder ses actions en 2018 ?VTM Conseil
Le Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU), mesure emblématique du gouvernement pour simplifier l'imposition du capital et l'aligner sur les voisins européens, suscite des interrogations pour les actionnaires de long terme.
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Depuis la publication du Capital au XXIe siècle de Thomas Piketty, l’idée d’une imposition uniforme des revenus du capital (« flat tax ») focalise l’attention.
Mais pourquoi ne pas mettre en place un modèle innovant de compréhension du capital, fondé sur son utilité pour la collectivité ?
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2018 : la fin du cauchemar ISF pour les entreprises familiales ?VTM Conseil
Fiscalité :La suppression annoncée de l'ISF au 1er janvier 2018 ne doit pas faire oublier les conditions d'exonérations antérieures à 2018, dont les engagements continuent à s'appliquer.
VTM Conseil est le cabinet créé par Valérie Tandeau de Marsac, HEC 1982 et avocate depuis 1996.
Start-ups, repreneurs ou entreprises familiales, PME, ETI ou grands groupes, toutes les entreprises ont besoin d’être accompagnées pour structurer leur capital et organiser les relations entre actionnaires.
VTM Conseil intervient pour organiser la gouvernance, mettre en œuvre les réorganisations capitalistiques (liquidité, cessions ou acquisitions de filiales ou d’actifs), anticiper et réaliser la transmission aux héritiers ou la vente à titre onéreux (FamilyBuyOut, OBO, ouverture du capital à des investisseurs privés).
La méthodologie du cabinet est soutenue par les travaux de publications et de recherche de Valérie Tandeau de Marsac. Auteure du « Guide Pratique des Entreprises Familiales » (Eyrolles 2011), de « L’entreprise familiale, un modèle pour l’avenir et pour tous » (Lignes de Repère, 2014, avec le soutien de l’EDHEC Family Business Center), elle enseigne le FamilyBusiness dans les écoles de commerce (HEC, EDHEC). Elle est également doctorante au CNAM, pour une thèse sur la définition d’un capital sociétalement utile.
VTM Conseil est membre du centre d’expertise JeantetFamily, dédié aux entreprises familiales.
Performance and behavior of family firms evidence from the french stock marketVTM Conseil
This paper empirically documents the performance and behavior of family firms listed on the
French stock exchange between 1994 and 2000. On the French stock market, approximately
one third of the firms are widely held, whereas the remaining two thirds are family firms.
It shows that family firms largely outperform widely held corporations
Pacte Dutreil - Un bon outil pour transmettre son entrepriseVTM Conseil
Article paru dans Les Echos du 4 novembre 2016. Comment proceder pour transmettre son entreprise avec une exonération partielle de droits de mutation ?
Pour la première fois, les descendants d’Armand et de Robert
confient leurs parcours, leurs souvenirs, leur attachement
à leur entreprise, leurs projets. Deux ans après l’entrée
au capital de l’État et du chinois Dongfeng, PSA va mieux.
Et s’ils reprennaient le volant?
Les enjeux juridiques de l'éponymie dans les entreprises familiales la lett...VTM Conseil
84% des entreprises éponymes sont familiales et les entreprises éponymes familiales ont une performance supérieure aux autres entreprises familiales.
Voici donc deux bonnes raisons de s’intéresser à ce qui fait leur spécificité : le nom de famille.
Le sujet du nom est particulièrement riche et complexe, car il touche trois domaines du droit bien différents : en tant que nom patronymique, le nom de famille est un « objet juridique » dans le champ du droit civil ; en tant que dénomination sociale, il est assujetti aux règles du droit des sociétés ; enfin, en tant que marque, il est protégé par les règles du droit de la propriété intellectuelle.
Cet article publié dans le Numéro 28 de la Lettre de l'Entreprise Familiale d'avril 2015 détaille les règles applicables et formule certaines recommandations.
Le familiness, gage de succès des entreprises familialesVTM Conseil
Dans son dernier livre sur les entreprises familiales, Valérie Tandeau de Marsac analyse 5 facteurs clés de succès pour les entreprises familiales.
Parmi eux, le concept de "familiness" apparaît le plus intéressant, et le plus riche.
VTM citée par le Figaro "Un capitalisme responsable" 24 novembre 2014VTM Conseil
Le Figaro analyse les conclusions de mon livre "L'entreprise familiale, un modèle pour l'avenir et pour tous", dans un article intitulé "Un capitalisme socialement responsable".
Dans cet article publié en 2000 dans la Revue HEC Hommes et Commerce, que j'avais oublié, je décris la mutation du métier qui m'a finalement conduit à créer mon propre cabinet pour mettre en oeuvre le changement que j'anticipais :
"A l'avenir, nous devrons être capables de d'offrir à nos clients une réponse intégrée conçue sur des compétences pluridisciplinaires et sophistiquées. [...] il va falloir intégrer à notre travail les nouveaux moyens de communication, de traitement et de gestion de l'information qui fleurissent actuellement sur le marché."
Government buildings as a source of financing ? VTM Conseil
The externalization of the real estate assets of private businesses began in the United States during the 1990's and has become so widespread that today more than 80% of all businesses in North America lease their real estate.
The phenomenon has extended to Europe where it has grown since the beginning of the century.
In the context of public debt crisis since 2008, the question now becomes whether or not governments will use their own real estate assets as a source of financing.
This essay reviews the strategies implemented by a sample of Eurpoean countries regarding State-owned real estate.
Quid de l'amour au travail quand entreprise rime avec famille ?VTM Conseil
L’opération les Chênes, trophées de l’entreprise familiale 2014 qui débutent ces jours-ci est l’occasion d’aborder une question qui est souvent source de trouble dans l’entreprise et particulièrement s’agissant des entreprises familiales : l’amour au travail, la place de la femme dans le triangle amoureux entreprise-homme-femme.
L'amour au travail, oui mais seulement dans les entreprises familiales !VTM Conseil
Un éclairage technique sur un sujet plus généralement abordé sous l'angle de la grivoiserie ou des propos sexistes. Doublé e quelques réflexions sur le couple dans les entreprises familiales ...
Interview Les Echos le 4 janv 2014 sur la charte familialeVTM Conseil
La charte familiale est essentielle à la construction de "l'affectio familiae".
La charte est beaucoup plus qu'un document, c'est un processus qui permet la concertation au sein de la famille, pour lui permettre de s'organiser pour jouer efficacement son rôle d'actionnaire.
C'est un processus lent et vertueux, qui repose sur l'écoute pour bien prendre en considération les besoins de tous.
Contrairement à une idée souvent répandue, la charte peut avoir une certaine valeur juridique, notamment si elle comporte des engagements qui s'assimilent à des engagements contractuels.
Interview Les Echos le 4 janv 2014 sur la charte familiale
Faut-il opposer les pigeons aux héritiers ?
1. Latribune.fr - 08/10/2012
Faut-il opposer les "pigeons" aux "héritiers" ?
Dans une interview donnée le 5 octobre 2012 sur Europe1, Michel Sapin, ministre du travail, déclarait « l'entreprise, ce
n'est pas l'entrepreneur [...] il faut distinguer ceux qui ont pris énormément de risques et créé en très peu de temps
beaucoup de richesse même si ils n'ont pas gagné beaucoup. Ce n'est pas comme ceux qui ont hérité de Papa et Maman ».
Le ministre nous donne là une vision inédite des entrepreneurs : seuls ceux qui ne gagnent pas beaucoup d'argent avec
leur entreprise seraient méritants, et donc dignes d'être épargnés par la fiscalité ?
Haro sur ceux qui ont « hérité » !
Mais comment peut-on encore aujourd'hui soutenir que c'est un privilège choquant « d'hériter » d'une entreprise ?
Maintenir la pérennité de l'activité dans un contexte de crise exacerbé est en soi un défi qui en découragerait plus d'un !
En réalité, le danger qui guette les successeurs familiaux est bien souvent la disparition de l'entreprise ou son absorption
par des groupes mondialisés qui n'hésiteront pas à délocaliser les centres de production pour améliorer la rentabilité au
bénéfice de l'actionnariat anonyme des marchés, qui privilégie la rentabilité financière à court terme.
En atteste le décalage entre l'intention de transmettre à leurs héritiers exprimée par les entrepreneurs français,
intention largement majoritaire puisqu'elle atteint 58% [Enquête BPCE 2011], et la réalité : une écrasante majorité des
entreprises détenues par des chefs d'entreprise proches de la retraite est cédée à des tiers et moins de 15% d'entre elles
sont transmises au sein de la famille.
Pour quelques entreprises familiales emblématiques toujours citées par les médias, dont celle évoquée par le Ministre, il
en existe des milliers d'autres en France, qui constituent le terreau nécessaire, et encore insuffisant, de notre vitalité
économique.
Faut-il rappeler que les quelques 4 600 ETI dénombrées par la direction générale de la compétitivité de l'industrie et des
services en France en 2010 représentent 30% de l'emploi salarié du pays, 26% du chiffre d'affaires à l'exportation et 38%
des investissements ?
Faut-il aussi redire qu'environ 80% de ces ETI sont détenues par des actionnaires familiaux, qui, loin de se considérer eux-
mêmes comme de chanceux « héritiers », se sentent investis de la lourde charge de continuer à faire croître ces
entreprises, y compris à l'international, et à maintenir ou augmenter le nombre des salariés qui les accompagneront dans
cette difficile entreprise ?
On ne peut suivre le raisonnement de Monsieur le Ministre lorsqu'il affirme que l'entreprise, ce n'est pas l'entrepreneur,
mais il est vrai qu'une entreprise, ce n'est pas seulement un chef d'entreprise. C'est aussi un capital, dont la dimension
financière, représentée par les capitaux mis à disposition de l'entreprise pour lui permettre de mener à terme son projet,
bien qu'incontournable, n'est peut-être pas aussi prédominante qu'il est traditionnellement admis.
La recherche se penche aujourd'hui en effet sur les autres dimensions du "capital', tout aussi essentielles à la réussite de
l'aventure entrepreneuriale.
La notion de capital incorporel est ainsi aujourd'hui bien admise, à tel point qu'elle est même valorisée comptablement
au bilan des entreprises par les normes comptables internationales.
Et la reconnaissance de l'importance cruciale du "capital humain" gagne elle aussi du terrain, même si cet actif intangible
ne fait l'objet d'aucune valorisation objective.
Certains chercheurs expliquent même la meilleure rentabilité financière des entreprises familiales, aujourd'hui mesurée
et reconnue, par un surcroît de capital social, dénommé "familiness" ou familiarisme, que les auteurs caractérisent
comme le "chevauchement fructueux des deux capitaux sociaux de l'entreprise familiale, à savoir celui de la famille et
celui de l'entreprise" (Origines du capital social et avantages concurrentiels des firmes familiales, de Jean-Luc Arrèle,
Rodolphe Durand, et Philippe Véry).
Il me semble que l'enjeu majeur pour notre pays n'est pas de stigmatiser les « mauvais » entrepreneurs pour mieux
encenser les entrepreneurs « méritants ».
L'important est de replacer l'humain, et donc l'emploi, au cœur du dispositif fiscal qui s'applique à nos entreprises. Dans
cette perspective, ne pourrait-on pas imaginer de taxer plus lourdement les entreprises qui délocalisent et d'alléger la
charge de celles qui maintiennent des emplois sur le territoire national ?
Par Valérie Tandeau de Marsac
Avocat au Barreau de Paris
Associée JeantetAssociés
Auteur du Guide pratique des entreprises familiales (Eyrolles 2011)
Présidente et fondatrice de voxfemina