2. 2
1 – Synthèse de la séance 1
2 – Rédiger des références bibliographiques
3 – Le plagiat / classer sa bibliographie
4 – Mémoriser des ressources, mettre en place
une veille
4. 4
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L1 Bio UE NUTR – Recherche Biblio
e-books
5. 5
1 – Synthèse de la séance 1
2 – Rédiger des références bibliographiques
3 – Citer des extraits / classer sa bibliographie
4 – Mémoriser des ressources, mettre en place
une veille
6. 6
LA BIBLIOGRAPHIE
Règles de base
- Complétude : retrouver les mêmes références dans le texte et la
bibliographie
- Homogénéité : Présenter ses références dans le même style
- Honnêteté : Ne citer que ce qu'on a réellement lu
- Rappel : penser à son lecteur, clarté, facilité de lecture et classement
7. 7
FARDET Anthony, SOUCHON Isabelle, DUPONT Didier.
Structure des aliments et effets nutritionnels. Versailles : Quae,
2013. 461 p.
NOM DE L'AUTEUR ( Si plus de 3 auteurs, citer les trois auteurs et
ajouter et al)
•
Titre du livre, de la revue ou de la page web
•
Toujours indiquer la date du document ([s.d.] si introuvable)
•
Nombre de pages facultatif
LivreLivre
8. 8
SCOFFIER Stéphanie, D'ARRIPE LONGUEVILLE Fabienne. Facteurs
psychosociaux des attitudes alimentaires déséquilibrées en contexte
sportif : une revue de la littérature. Movement and sport science, 2012,
vol. 2, n° 76, p. 47-57.
SCOFFIER Stéphanie, D'ARRIPE LONGUEVILLE Fabienne.
Facteurs psychosociaux des attitudes alimentaires déséquilibrées en
contexte sportif : une revue de la littérature. Movement and sport
science [en ligne]. 2012, vol. 2, n° 76, p. 47-57 [réf. du 20/01/2015].
Disponible sur Internet (après authentification) :
<www.cairn.info/revue-science-et-motricite-2012-2-page-47.htm>
Article de revueArticle de revue
9. 9
SIRET Claude. Les composants chimiques des produits alimentaires.
Techniques de l'ingénieur [en ligne]. 10/06/2002 [réf. du
20/01/2015], référence F1010.
Disponible sur Internet (après authentification) :
http://www.techniques-ingenieur.fr.passerelle.univ-rennes1.fr/base-documenta
Article des Techniques de l'ingénieurArticle des Techniques de l'ingénieur
10. 10
Les acides gras OMEGA 3 : fonctions dans l'organisme et besoins
alimentaires [en ligne]. ANSES (Agence nationale de sécurité
sanitaire), 17/04/2013 [réf. du 20/01/2015].
Disponible sur Internet :
http://www.anses.fr/fr/content/les-acides-gras-om%C3%A9ga-3
•
Une simple url ne suffit pas !
•
Ne pas oublier la date de consultation du site.
Page webPage web
11. 11
DVD
HOREL Stéphane, réal. Les alimenteurs. Paris : Éditions
Montparnasse, 2013. DVD, 53 min.
Vidéo en ligne
L'alimentation des seniors et le bien vieillir [en ligne]. INRA
(Institut national de la recherche agronomique), 05/02/2013,
mise à jour 08/01/2014 [réf. du 21/01/2015], 1 h 26 mn.
Disponible sur Internet :
http://www.inra.fr/Entreprises-Monde-agricole/CIAg/Tous-les-maga
VidéoVidéo
12. 12
1 – Synthèse de la séance 1
2 – Rédiger des références bibliographiques
3 – Le Plagiat / classer sa bibliographie
4 – Mémoriser des ressources, mettre en place
une veille
14. Parmi les situations suivantes,
lesquelles relèvent du plagiat ?
14
J'utilise, sans citer la source une idée ou une expression issue d'
A un blog
B un cours en ligne
C un rapport public
D un article scientifique en accès libre
E un article trouvé dans une revue à laquelle la BU est abonnée
15. Réponse : A, B, C, D, E
15
Peu importe le support de diffusion (papier ou en ligne), ou les
droits d'accès (libre accès ou soumis à abonnement), il faut citer
ses sources.
Car librement accessible ne veut pas dire librement appropriable
(ni même librement rediffusable) : Il faut donc citer ses sources
dans tous les cas. Ne pas citer ses sources, c'est plagier.
droits patrimoniaux/ droit moral
16. Parmi les situations suivantes,
lesquelles relèvent du plagiat ?
16
J'écris sans citer ma source
A Compilatio est un logiciel anti-plagiat
B Les maladies de l'appareil circulatoire représentent 25 % des
causes de décès en France en 2013
C Le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi
les hommes a été écrit pendant le siècle des Lumières par J.J
ROUSSEAU
D En 2015, le Chiffres d'affaires du groupe américain Wiley
dépassait 1 000 millions de dollars
17. Réponse : B, D
17
La A (Compilatio est un logiciel antiplagiat) et la C (Le "Discours
sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes" a
été écrit pendant le siècle des Lumières par J.J ROUSSEAU), sont
des faits dits "de notoriété publique". C'est à dire qu'il ne s'agit pas
d'une idée mais d'un fait, et que cette information est largement
répandue, donc facilement retrouvable si toutefois le lecteur voulait
vérifier.
En revanche, des statistiques ou des chiffres issus de rapports
annuels doivent être cités, même s'ils sont disponibles en ligne
librement: ce sont des faits mais pas de notoriété publique.
18. Parmi les situations suivantes,
lesquelles relèvent du plagiat ?
18
Pour illustrer mon exposé, j'utilise sans citer ma source :
A une image trouvée avec Google image
B un graphique issu d'un article scientifique
C une photo trouvée dans une banque d'images portant cette
mention :
19. Réponse : A, B, C
Une image ou tableau illustrant les recherches relatées dans un
document (article, rapport,...) doivent être considérées comme une
citation extraite de ce document : Il faut donc citer la source.
Concernant les images trouvées dans des banques d'images :
Une image sous licence Creative Commons CC- BY est certes
librement exploitable, modifiable, diffusable MAIS la paternité
(BY) doit être mentionnée. Il en est de même pour les oeuvres du
domaine public.
Pour toute image sans mention, c'est le droit d'auteur "classique"
qui s'applique par défaut. Il faut donc non seulement citer la source
mais aussi demander une autorisation à l'auteur pour l'exploiter.
droits patrimoniaux/ droit moral
20. C'est plagier ou pas ?
20
Stephen Hawking dans A Brief History of Time (1988) écrit :
“Galileo, perhaps more than any other single person, was
responsible for the birth of modern science. »
Dans l'introduction de mon mémoire, j'écris : Galilée, peut-être plus
que tout autre, est responsable de la naissance de la science
moderne.
A C'est du plagiat
B Ce n'est pas du plagiat
C Je ne sais pas
22. C'est plagier ou pas ?
22
Mon mémoire porte en partie sur un point que j'ai déjà traité
dans un dossier l'an dernier. Je réutilise, sans citer, un chapitre
de ce dossier dans mon mémoire.
A C'est du plagiat
B Ce n'est pas du plagiat
C Je ne sais pas
23. Si on ne cite pas ses propres travaux, on se trouve en
situation d'auto-plagiat (recyclage de ses propres idées)
Réponse : A
24. C'est plagier ou pas ?
24
Je trouve cette citation dans un article issu de La Presse Médicale:
"Le plagiat réduit la capacité de réflexion nécessaire au
développement des connaissances. "
J'écris dans mon mémoire : reproduire les idées d'autrui a un
impact sur la qualité de la réflexion
A C'est du plagiat
B Ce n'est pas du plagiat
C Je ne sais pas
25. Il ne s'agit pas de Copier Coller puisqu'on reformule avec nos propres
mots. Dans cette situation on parle de paraphrase.
Mais reformuler, sans citer, c'est plagier car il ne s'agit pas de notre
idée.
Réponse : A
26. C'est plagier ou pas ?
26
Je trouve cette citation dans un article issu de La Presse Médicale:
"Le plagiat réduit la capacité de réflexion nécessaire au
développement des connaissances. "
Qu'aurait-il fallu faire pour éviter le plagiat?
A Mettre des guillemets
B Citer la source. Par exemple en écrivant selon L'auteur....
C Mettre la référence exact de l'article en bibliographie finale
J'écris dans mon mémoire : reproduire les idées d'autrui a un
impact sur la qualité de la réflexion
27. Quand on paraphrase on ne met pas de guillemets car il ne
s'agit pas d'une citation, des mots de l'auteur, mais il faut
citer l'auteur de l'idée originale qu'on veut exploiter.
Réponse : B et C
28. 28
Comment citer ?
Plusieurs grandes entreprises utilisent les Jeux Olympiques dans leur stratégie de marketing, mais le prix
payé pour avoir le privilège d’être un partenaire de l’événement est-il justifié? Comme le mentionne Jessica
Othnin-Girard dans un article paru sur le site Sport-Stratégies, « l’image véhiculée par les Jeux Olympiques
n’est plus la même qu’auparavant et on note des différences entre les pays » [Othin-Girard, 2004]. Différents
scandales ont entaché la réputation de la plus grande rencontre sportive au monde, ce qui dégage une
image négative à laquelle les partenaires commerciaux ne veulent pas s’associer.
Dans la bibliographie :
OTHIN-GIRARD, Jessica. L’image des JO n’attirent plus autant les publicitaires [en ligne]. Sport Stratégie,
13/09/2004. [consulté le 24/09/2015]. Disponible sur : http://www.sportstrategies.com/article-restrict-2802-
image-des-JO-attire-plus-autant-les-publicitaires.html
Citation textuelle = copier/coller
29. 29
Plusieurs grandes entreprises utilisent les Jeux Olympiques dans leur stratégie de marketing, mais le prix payé pour avoir
le privilège d’être un partenaire de l’événement est-il justifié? L’image transmise par les Jeux Olympiques a changé avec le
temps : avec les différents scandales de retards et de dopage qui ont entaché la réputation de la rencontre d’Athènes en
2004, les Jeux dégagent une image négative à laquelle les partenaires commerciaux ne veulent pas s’associer. De plus, en
tenant compte des différences de perception de l’événement dans les différents pays participants, il devient difficile pour une
entreprise d’élaborer une stratégie marketing uniforme et efficace basée sur les Jeux.[Othin-Girard, 2004]
Dans la bibliographie :
OTHIN-GIRARD, Jessica. L’image des JO n’attirent plus autant les publicitaires [en ligne]. Sport Stratégie, 13/09/2004.
[consulté le 24/09/2015]. Disponible sur : http://www.sportstrategies.com/article-restrict-2802-image-des-JO-attire-plus-autant-
les-publicitaires.html
Paraphrase : l'idée est reformulée avec ses propres termes
Comment citer ?
31. 31
Classement auteurClassement auteur
Les acides gras OMEGA 3 : fonctions dans l'organisme et besoins alimentaires [en ligne].
ANSES, 17/04/2013 [réf. du 20/01/2015].
Disponible sur Internet :
http://www.anses.fr/fr/content/les-acides-gras-om%C3%A9ga-3
FARDET Anthony. Structure des aliments et effets nutritionnels. Versailles : Quae, 2013.
461 p.
HOREL Stéphane, réal. Les Alimenteurs. Paris : Éditions Montparnasse, 2013. DVD, 53
min.
SCOFFIER Stéphanie, D'ARRIPE LONGUEVILLE Fabienne. Facteurs psychosociaux des
attitudes alimentaires déséquilibrées en contexte sportif : une revue de la littérature.
Movement and sport science, 2012, vol. 2, n° 76, p. 47-57.
32. 32
Classement séquentielClassement séquentiel
[1] HOREL Stéphane, réal. Les Alimenteurs. Paris : Éditions Montparnasse, 2013.
DVD, 53 min.
[2] Les acides gras OMEGA 3 : fonctions dans l'organisme et besoins alimentaires
[en ligne]. ANSES, 17/04/2013 [réf. du 20/01/2015].
Disponible sur Internet :
http://www.anses.fr/fr/content/les-acides-gras-om%C3%A9ga-3
[3] SCOFFIER Stéphanie, D'ARRIPE LONGUEVILLE Fabienne. Facteurs
psychosociaux des attitudes alimentaires déséquilibrées en contexte sportif : une
revue de la littérature. Movement and sport science, 2012, vol. 2, n° 76, p. 47-57.
[4] FARDET Anthony. Structure des aliments et effets nutritionnels. Versailles : Quae,
2013. 461 p.
34. 34
1 – Synthèse de la séance 1
2 – Rédiger des références bibliographiques
3 – Citer des extraits / classer sa bibliographie
4 – Mémoriser des ressources, mettre en place une
veille
35. 35
Qu'est-ce que la « veille » ?Qu'est-ce que la « veille » ?
« La veille informationnelle est l’ensemble des stratégies
mises en place pour rester informé, en y consacrant le
moins de temps possible, en utilisant des processus de
signalement automatisés. »
Jean-Pierre Lardy (URFIST de Lyon)
37. 37
Les newsletters
Les alertes
Les flux RSS
Agrégateurs gratuits de
flux (Netvibes,
Feedly...)
Nouveaux outils collaboratifs :
Twitter, Research gate
Les outils
Timing :
Partie 1 : 20 min
Partie 2 (TP +modèles) : 30 min
Partie 3 : 10 min
Partie 4 (théorie, alertes) : 15 min
Partie 4 (TP Diigo) : 45 min
Liste émargement TD1
Point et retour sur :
* Le cahier des charges → document Valérie Guillaume ?
Paragraphe de méthodologie (10-15 lignes) : expliquer :
comment vous avez préparé votre recherche pour cerner votre sujet : possibilité d&apos;intégrer une carte heuristique ou 3QOCP
indiquer les dates limites choisies (ex. documents publiés depuis 10 ans), pourquoi ?
y faire figurer les mots-clés utilisés (en français et le cas échéant, en anglais)
indiquer les outils utilisés
Bibliographie
→ une dizaine de références (recours à des articles en anglais pas obligatoires mais certains thèmes impliquent d&apos;aller chercher à l&apos;international).
→ rédigées selon les normes que l&apos;on va voir
* La définition d&apos;une problématique
* L&apos;avancement des recherches et les outils + Focus
* Les ressources à voir ou revoir
[email_address] : demandes de brevets des 30 dernières années → Base Brevets (depuis fin janvier)
Google Brevets : demandes et brevets octroyés (voir dans Outils de recherche « Statut de la demande »)
+ Google Scholar
10h35
L&apos;exogence universitéire se situe
Au niveau du respect du droit d&apos;auteur et de la qualité de la présentation de la bibliographie, qualité de la richesse de la bibliographie et rigueur dans la mise en place d&apos;appel de note, de citation
La bibliographie : élément essentiel de tout travail de recherche.
LNoter au fur et à mesure de vos recherches les références des documents consultés.
La qualité d&apos;une bibliographie :
- permet au lecteur de retrouver les sources
- mais représente aussi un gage de sérieux et de professionnalisme.
Exemple : Le monde de l&apos;édition scientifique est très exigeant en la matière.
=&gt; Les enseignants aussi. Souvent des points de barème sont réservés à bibliographie.
Règles de base :
- Complétude
- Homogénéité
- Honnêteté : ne pas citer des documents qu&apos;on n&apos;a pas vraiment consultés.
Pl
LIVRE
Faire comprendre les différences typographiques :
Nom de l&apos;auteur en majuscules
Titre en italique
Lieu : éditeur, date.
Nombre de pages facultatif.
ARTICLE DE REVUE
Auteur : idem
Titre de l&apos;article sans italique
Titre de la revue en italique + année, volume, numéro, pagination article.
VERSION ELECTRONIQUE
Idem
Indiquer [en ligne] après la revue
URL après « Disponible sur Internet » :
« Après authentification » : à ajouter pour une ressource sur abonnement.
Pour un article en accès libre, gratuit sur le site INSERM, par exemple : inutile.
Par contre, pour ressource Elsevier-Sciencedirect, EM-Premium, TI, etc : tout le monde n&apos;y a pas accès.
Date de consultation : [réf. du ...]
Dans ce genre de base technique, le document contient parfois une référence technique, qui renvoie à une nomenclature interne : à indiquer.
Ici l&apos;URL est le « permalien » : à copier-coller depuis la bouton ad hoc à gauche.
Une url seule ne suffit pas !
Pour pages et sites web, ajouter la date de consultation.
Ici pas d&apos;auteur. Bien penser à mentionner l&apos;éditeur du site !
Penser à développer les sigles le cas échéant (au moins la première fois)
Activer les liens si votre document est consultable sous-forme numérique ou envoyé par messagerie électronique (Insertion hyperlien dans Libreoffice)
Vous pouvez également utiliser des vidéos (DVD / en ligne), si elles proviennent de sources fiables.
DVD : indiquer le type de support et la durée.
Vidéo en ligne : De même, ici pas d&apos;auteur mais INRA éditeur !
Une bibliographie en fin de document ne suffit pas pour justifier votre utilisation des documents.
La citation doit être au cœur de votre document, pour que l&apos;on sache de qui sont les passages que vous reprenez. Les citations sont des extraits d’articles ou d’ouvrages lus que vous insérez dans votre propre rédaction. (fait partie des exceptions au droit d&apos;auteur = droit de courte citation). Ne pas citer l&apos;auteur est une faute morale car elle revient à s&apos;attribuer la création d&apos;une autre personne. Par contre il est légitime et même reconmmandé dans le contexte d&apos;un travail universitaire de s&apos;inspirer d&apos;oeuvres d&apos;autres auteurs .
Le plagiat est sanctionné à l&apos;université.
Note : La citation doit servir soit à illustrer l’idée développée, soit à faire progresser la démonstration menée. Une citation ne vaut que par la place qu’elle occupe ; il ne faut donc pas citer à tort et à travers. Il est inutile (voire ridicule) de citer un auteur pour avancer une banalité.
Réutiliser un extrait à l&apos;identique et de façon explicite s&apos;appelle une citation (fait partie des exceptions au droit d&apos;auteur (citation courte).
Dans le cadre d&apos;une citation textuelle il faut placer l&apos;extrait entre guillemet et toujours indiquer l&apos;auteur et la date
P
Par ordre alphabétique auteur
Par ordre d&apos;apparition dans le texte : citations numérotées
Thématique : suppose de toute façon un sous-classement, auteur par exemple.
Par type de document (livres, pages web, etc).
A éviter : non pertinent. Le support n&apos;est pas si important que cela.
S&apos;impose quand on cite avec la méthode auteur-date.
Pour votre dossier avec Mme Guillaume, on vous impose le classement alphabétique auteur, avec méthode de citation auteur-date (comme dans les articles scientifiques).
Si pas d&apos;auteur, classer au titre du document, en rejeter l&apos;article.
Vous est expliqué ici pour info. Vous pourrez être amené à l&apos;utiliser dans certains cas, notamment des petits documents, avec peu de références...
La première référence correspond au premier document convoqué dans le dossier.
La deuxième au 2e document convoqué, etc.
Règles qui peuvent vous sembler contraignantes, fastidieuses. Certes.
Ce sont des techniques qui s&apos;acquièrent avec le temps : plus on y est attentif, plus cela devient un automatisme.
ET cette rigueur de présentation vous prépare aussi à la rigueur qu&apos;on va attendre de vous en entreprise : dans la rédaction de documents techniques, de cahiers des charges, etc. il faut de la rigueur, de la précision, de la clarté, respecter des consignes, parfois internes à l&apos;entreprise...
Vous sensibiliser à la démarche de veille.
Présentation très très rapide (on pourrait faire un cours entier ou même plusieurs cours sur les techniques de veille).
Ici quelques exemples de base
1. Les newsletters : document d&apos;information envoyé régulièrement par courrier électronique à une liste de diffusion. Ex : La Newsletter de l&apos;ANSES
2. Les alertes : envoi sur messagerie d&apos;une alerte sur un sujet (cf. Google Scholar)
3. Flux RSS (voir juste après) : possibilité de suivre l&apos;actualité d&apos;un ou plusieurs sites sans avoir à les reconsulter.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Les flux RSS tendent à être remplacés par des outils plus collaboratifs, comme Twitter.
Twitter permet de faire une excellente veille, efficace sur un domaine : identifier les personnes-ressources, leaders de veille sur Twitter, les institutions et éditeurs qui ont un Twitter.
Principe : être prévenu en temps réel des nouvelles informations d&apos;un site, sans se connecter aux sites eux-mêmes.
Marque-pages dynamique (ex. ANSES)
Pratique mais ne convient plus au-delà de 5-6 flux.
Intérêt d&apos;une page personnelle qui centralise tous vos flux.
Agrégateurs de flux RSS : par ex. Netvibes, Feedly : permettent d&apos;organiser simplement sa veille d&apos;informations sur un tableau de bord personnalisable
en ajoutant les sources d&apos;informations de son choix parmi différentes thématiques.
→ vision synthétique + liens vers articles complets.
On peut activer sa page publique.
Rassembler ces informations sur une seule et même application
=&gt; actualités d&apos;un site officiel, institutionnel
=&gt; derniers billets d&apos;un blog
=&gt; table des matières du dernier numéro d&apos;une revue
=&gt; derniers articles d&apos;un journal
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Lorsque que l&apos;on a sélectionné des documents ou des sites, comment peut-on en conserver la trace et les organiser ? Le moyen le plus connu est le système des marque-pages (ou Favoris). Mais limites :
- quand on accumule un grand nombre de favoris, on a du mal a s&apos;y retrouver,
- les favoris sont enregistres dans le navigateur et non &quot;en ligne&quot;.
Il existe des outils plus performants qui permettent de créer un espace personnel où l&apos;on peut mémoriser des sites ou des pages.
→ Plateforme de partage de signets ou social bookmarking
Triple intérêt :
- mémoriser ses trouvailles sur le web (bookmarks), pour pouvoir les retrouver facilement plus tard, les lire plus tard ; les classer par listes thématiques et les indexer par des tags
- y accéder depuis n&apos;importe quel ordinateur
- plateforme collaborative : bénéficier des bookmarks des autres.
1/ Se créer un compte – confirmation par mail
2/ Télécharger la barre d&apos;outils : Tools &gt; Diigolet
Barre simplifiée. Faire un glissé-déposé dans la barre personnelle du navigateur (l&apos;afficher si nécessaire)
3/ Décrypter la barre d&apos;outils
4/ Bookmarquer des ressources web
Ex. page ANSES édulcorants intenses
Titre à modifier, compléter + description : ANSES, 09-01-2015
Tags : indexation par vos propres mot-clés : nutrition édulcorants additifs
=&gt; caractérise le contenu d&apos;une page web
essayer d&apos;être rigoureux et cohérent dans la saisie des informations importantes (titre, auteur, date) ainsi que dans le choix des tags.. Ceci permettra d&apos;identifier et de retrouver les signets plus facilement !
Insertion dans des listes thématiques (« Outliners »)
5/ Consulter la bibliothèque de signets
→ Surligner et mettre des notes
Effectuer une recherche par le moteur, les listes ou les tags
Edit / Delete
6/ Travailler en mode collaboratif
Une des grandes forces de Diigo réside dans les possibilités de partage des signets et donc de recherche et de veille collaborative.
Discovery &gt; My network : possibilité de suivre d&apos;autres personnes s/ Diigo
Leur laisser le temps de bookmarquer 1/2 ressources sur leur sujet ; créer une liste