La collaboration entre deux organisations peut prendre deux formes : les alliances (lorsque les organisations sont concurrentes);
et les partenariats (lorsqu’elles ne le sont pas).
Les alliances et partenariats varient considérablement en termes de forme et de complexité, du simple partenariat entre un producteur et un distributeur jusqu’aux alliances entre de multiples concurrents dans le but de proposer des solutions élaborées
Exposé sous thème d'alliances stratégique réalise dans le cadre d'un cours de management stratégique par les étudiants du master : MANAGEMENT COMPTABLE ET FINANCIER à l'ENCG Fès .
Exposé sous thème d'alliances stratégique réalise dans le cadre d'un cours de management stratégique par les étudiants du master : MANAGEMENT COMPTABLE ET FINANCIER à l'ENCG Fès .
Le tableau de bord a trois objectifs en tant que support synthétique du fait qu’il fournit les informations essentielles pour comprendre la situation, outil de management en ce qu’il est un instrument de référence permettant de détecter et résoudre en équipe les aléas mais aussi comme vecteur de communication en tant qu’outil de partage de l’information et de la communication entre les échelons
1-La gestion des risques achats
Cartographie des risques
Outils et moyens de gestion de risque achat
Processus d’intégration et de pilotage
2-La gestion des risques de la Supply chain
Définitions
Types de risques
Sources de risque
Méthodologie de gestion du risque
3-Étude de cas Dell: pour une culture globale de la gestion des risques logistiques
La matrice BCG (Boston Consulting Group, fin des années 1960) est un outil d'analyse stratégique inventé par Bruce Henderson. Utilisé en stratégie d'entreprise, il permet de justifier des choix d'allocation de ressources entre les différentes activités d'une entreprise diversifiée, présente sur plusieurs domaines d'activité stratégique (DAS en français, SBU - Strategic Business Unit - en anglais).
Cet outil est utilisé par extension en marketing pour évaluer l'équilibre du portefeuille de produits d'un DAS, mais ce n'est pas sa fonction initiale
La matrice BCG repose sur trois hypothèses :
Chaque activité a un taux de croissance dépendant de son cycle de vie :
Plus l’activité est jeune, plus les investissements sont importants (le DAS consomme des flux de trésorerie).
Réciproquement, plus l’activité est âgée moins les investissements sont importants (le DAS génère des flux de trésorerie).
Plus la part de marché relative du DAS est élevée, plus il est rentable, car il profite de l'effet d'expérience.
L'idée est que plus le DAS a une part de marché relative élevée, plus il va vendre, donc produire en plus grande quantité, ce qui lui permettra d'abaisser son coût de production (du fait des économies d'échelle, des économies d'expérience et des innovations de procédé). Dans cette logique, la rentabilité est directement corrélée au volume de production cumulé.
Chaque activité dégage un résultat financier déduit des deux relations précédentes.
Ainsi si un DAS est arrivé à maturité et qu'il dispose d'une part de marché élevée, ses bénéfices vont être élevés (peu d'investissements et marge importante). L'entreprise va pouvoir utiliser les flux de trésorerie (cash flows) dégagés par ce DAS pour financer le développement d'une autre activité.
Le croisement des situations et des positions débouche sur un tableau à 4 cases. Chacune d’elles possède des caractéristiques commerciales et financières qui justifient son nom et la stratégie à suivre.
La matrice BCG permet ainsi de classer les produits en fonction de leur aptitude à générer du cash, tout en prenant en compte la croissance du marché, ainsi que leur part de marché relative.
- Vedette (ou Etoile) : part de marché relative élevée sur un marché en forte croissance. Fort besoin de cash pour continuer la croissance (ex : les smartphones pour Samsung).
- Vache à lait : part de marché relative élevée sur un marché en faible croissance, en phase de maturité ou en déclin. Exigeant peu d'investissements nouveaux et dégageant des flux financiers importants qui devront être réinvesti intelligemment sur les vedettes et les dilemmes (ex : la Freebox dans le portefeuille d'activités d'Iliad).
- Dilemme : part de marché relative faible sur un marché en croissance élevée. Peu rentable, voire déficitaire en termes de flux financiers, nécessite des investissements importants pour l'acquisit
Le tableau de bord a trois objectifs en tant que support synthétique du fait qu’il fournit les informations essentielles pour comprendre la situation, outil de management en ce qu’il est un instrument de référence permettant de détecter et résoudre en équipe les aléas mais aussi comme vecteur de communication en tant qu’outil de partage de l’information et de la communication entre les échelons
1-La gestion des risques achats
Cartographie des risques
Outils et moyens de gestion de risque achat
Processus d’intégration et de pilotage
2-La gestion des risques de la Supply chain
Définitions
Types de risques
Sources de risque
Méthodologie de gestion du risque
3-Étude de cas Dell: pour une culture globale de la gestion des risques logistiques
La matrice BCG (Boston Consulting Group, fin des années 1960) est un outil d'analyse stratégique inventé par Bruce Henderson. Utilisé en stratégie d'entreprise, il permet de justifier des choix d'allocation de ressources entre les différentes activités d'une entreprise diversifiée, présente sur plusieurs domaines d'activité stratégique (DAS en français, SBU - Strategic Business Unit - en anglais).
Cet outil est utilisé par extension en marketing pour évaluer l'équilibre du portefeuille de produits d'un DAS, mais ce n'est pas sa fonction initiale
La matrice BCG repose sur trois hypothèses :
Chaque activité a un taux de croissance dépendant de son cycle de vie :
Plus l’activité est jeune, plus les investissements sont importants (le DAS consomme des flux de trésorerie).
Réciproquement, plus l’activité est âgée moins les investissements sont importants (le DAS génère des flux de trésorerie).
Plus la part de marché relative du DAS est élevée, plus il est rentable, car il profite de l'effet d'expérience.
L'idée est que plus le DAS a une part de marché relative élevée, plus il va vendre, donc produire en plus grande quantité, ce qui lui permettra d'abaisser son coût de production (du fait des économies d'échelle, des économies d'expérience et des innovations de procédé). Dans cette logique, la rentabilité est directement corrélée au volume de production cumulé.
Chaque activité dégage un résultat financier déduit des deux relations précédentes.
Ainsi si un DAS est arrivé à maturité et qu'il dispose d'une part de marché élevée, ses bénéfices vont être élevés (peu d'investissements et marge importante). L'entreprise va pouvoir utiliser les flux de trésorerie (cash flows) dégagés par ce DAS pour financer le développement d'une autre activité.
Le croisement des situations et des positions débouche sur un tableau à 4 cases. Chacune d’elles possède des caractéristiques commerciales et financières qui justifient son nom et la stratégie à suivre.
La matrice BCG permet ainsi de classer les produits en fonction de leur aptitude à générer du cash, tout en prenant en compte la croissance du marché, ainsi que leur part de marché relative.
- Vedette (ou Etoile) : part de marché relative élevée sur un marché en forte croissance. Fort besoin de cash pour continuer la croissance (ex : les smartphones pour Samsung).
- Vache à lait : part de marché relative élevée sur un marché en faible croissance, en phase de maturité ou en déclin. Exigeant peu d'investissements nouveaux et dégageant des flux financiers importants qui devront être réinvesti intelligemment sur les vedettes et les dilemmes (ex : la Freebox dans le portefeuille d'activités d'Iliad).
- Dilemme : part de marché relative faible sur un marché en croissance élevée. Peu rentable, voire déficitaire en termes de flux financiers, nécessite des investissements importants pour l'acquisit
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Cette démarche nous a conduit à développer un nouveau modèle de classement des solutions Achats et de suivre l’évolution du marché au sein de l’observatoire SIRIUS.
4. Alliances & partenariats
La collaboration entre deux organisations peut
prendre deux formes : les alliances (lorsque les
organisations sont concurrentes) et les partenariats
(lorsqu’elles ne le sont pas). Les alliances et
partenariats varient considérablement en termes
forme et de complexité, du simple partenariat entre
un producteur et un distributeur jusqu’aux alliances
entre de multiples concurrents dans le but de
proposer des solutions élaborées.
5. Introduction
Une alliance stratégique est une coopération
entre des entreprises concurrentes ou
potentiellement concurrentes : elles choisissent
de mener à bien un projet ou une activité
spécifique en coordonnant les compétences, les
moyens et les ressources nécessaires plutôt que
de se faire la guerre sur un marché de plus en
plus exigeant qui pourrait amener à des
cessations ou des acquisitions d’activités.
6. S’allier avec d’autres entreprises la plus part
du temps avec des entreprises concurrentes
est devenue une option très envisageable
dés lors qu’il s’agit de:
Réduire les coûts
Alléger les investissements
Accéder à de nouvelles technologies
Pénétrer de nouveaux marché
7. La littérature de stratégie relève trois points clés
qui semblent caractériser les coopérations
interentreprises:
la conduite d'une action commune.
Préservation de l'indépendance totale des
partenaires.
une mise en commun des ressources (RH,
Technologies, Compétences et talents, champs
commercial…)
enfin, l'accès aux avantages de la coopération
pour chaque partenaire (effets de taille,
synergie, compétences, réduction de coûts…)
8. Alliances Stratégiques
Les alliances stratégiques sont des partenariats
entre plusieurs entreprises concurrentes ou
potentiellement concurrents qui choisissent de
mener à bien un projet ou une activité spécifique en
coordonnant les compétences, moyens et
ressources nécessaires plutôt que:
De se faire concurrencer sur l’activité concernée.
De fusionner entre elles ou de procéder à des
cessions ou acquisitions d’activités ‘’Garrette .B &
Dussauge - 1995’’
10. Les alliances stratégiques sont marquées par
l’ambiguïté de cette relation qui combine rivalité
et coopération. En effet, les alliances stratégiques
stratégiques sont porteuses d’objectifs affichés,
partagés par l’ensemble des partenaires, et
peuvent donc apparaître comme des stratégies
« relationnelles ».
11.
12. Typologie des alliances stratégiques
Alliances complémentaires : Dans ce cas le partenaire
diffère des compétences impliquant ainsi des contributions différentes.
A titre d’exemple : deux entreprises A et B, A développe le
produit et B commercialise le produit en question en raison de son
réseau commercial. Dans une alliance complémentaire, l’objectif est de
valoriser la complémentarité des contributions afin d’éviter la
concurrence par différenciation.
14. Alliances de co-intégration :
Ces alliances ont comme objectif primordial la réalisation des
économies d’échelle sur un certain stade du processus de
production, les entreprises concernées sont de même tailles et les
activités concernées sont celles de R&D et de la production. Par
exemple, une alliance avec un partenaire étranger pour faciliter le
développement de produits ou leur production.
15.
16. Alliances de pseudo concentration :
Ces alliances couvrent toute la chaîne de valeur car les
entreprises alliées développent, produisent et commercialisent
un produit. Dans ce cas là, les compétences et contributions des
partenaires sont similaires. Les alliances dans le transport aérien
appartiennent à ce type d’alliance.
17.
18.
19. TYPOLOGIE DES PATARTENARIATS
°
L'objectif d'une joint-venture de multinationalisation est
de faciliter la pénétration commerciale d’une entreprise
dans une nouvelle zone géographique grâce à l'aide
d'un partenaire local.
C'est souvent le seul moyen de pénétrer un marché car
les législations de nombreux pays n’autorisent
l’importation de produits étrangers que si elle est
effectuée dans le cadre d’une alliance avec une
entreprise locale.
20. Licence
Une entreprise concède l'usage d'une innovation protégée soit
par un brevet, soit par une marque déposée, pendant un laps de
temps prédéterminé,
Sous-traitance
Le donneur d'ordre définit par contrat les conditions techniques,
financières et juridiques d'une activité de sous-traitance
industrielle.
L’ ingénierie simultanée
Approche qui permet une conception intégrée et simultanée des
produits et des processus de production. Elle est destinée à
permettre au développeur de prendre en compte dès l’origine
toutes les phases du cycle de vie du produit depuis sa conception
jusqu’à son retrait.
21. Les accords intersectoriels lient entre elles des
entreprises aux activités complètement différentes.
Ces entreprises n'interviennent ni dans le même
secteur, ni dans la même filière; elles ne sont donc ni
concurrentes, ni client ou fournisseur l'une de l'autre.
23. Les alliances stratégiques permettent d’atteindre des
objectifs relativement ambitieux par rapport aux
moyens limités de mise en oeuvre 2 » Ceci est devenu
un des arguments principaux pour justifier une
alliance.
Quand une alliance stratégique est créée, il est
essentiel que les membres ne considèrent pas la
création de l’alliance comme l’objectif même, mais
comme un moyen facilitant la mise en oeuvre de leurs
propres objectifs stratégiques.
24. Le but d’une alliance stratégique est alors de permettre
aux partenaires d’accomplir leurs objectifs stratégiques
individuels, qu’ils ne pourraient atteindre seuls, en
réunissant leurs capacités et ressources différentes.